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© 2015 Deloitte General Services 1 Etude Deloitte 2014 Les Professionnels de santé au Luxembourg Janvier 2015 Présentation des résultats

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Etude Deloitte 2014 Les Professionnels de santé au Luxembourg

Janvier 2015

Présentation des résultats

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Avant – propos (1/2) En 2014, le système de santé luxembourgeois se trouve toujours dans un contexte marqué par de multiples défis et contraintes. La mise en œuvre et la poursuite de la réforme de santé de 2010, ainsi que la concrétisation de nouvelles priorités fixées par le gouvernement, ont dominé les agendas des parties prenantes tout au long de l’année. En outre, de nombreux projets critiques, tels que la révision du plan hospitalier, du statut du médecin référent, l’amélioration de la qualité de la documentation des prestations, le démarrage du Dossier Soins Partagé (DSP) ou encore la réforme des nomenclatures et de la tarification, sont toujours en cours et représentent un agenda ambitieux pour l’année 2015.

Quels défis les systèmes de santé devront-ils relever à l’aube de 2020 ? Le Luxembourg s’y prépare-t-il aujourd’hui de manière adéquate, et pourra-t-il répondre aux attentes futures ? Anticiper l’évolution des défis et des besoins d’un secteur sur une période de cinq ans est un exercice certes difficile mais qui revêt une importance capitale. Deloitte a réalisé ce travail de prédiction dans son étude « Healthcare and Life Sciences Predictions 2020 – A bold future? », dont le « pronostic » met en exergue cinq constats qui sont autant de facteurs pouvant potentiellement influencer l’environnement de la santé et des sciences de la vie d’ici 2020.

Le premier constat est que les patients se transformeront davantage en consommateurs de soins éclairés, bénéficiant de l’évolution constante des technologies de l’information et de la communication. Les réseaux sociaux et les communautés en ligne permettront aux patients de s’exprimer et de partager leurs expériences, formant ainsi une population plus indépendante et informée.

Parallèlement, le développement de la médecine numérique et connectée permettra le suivi des patients partout et à toute heure, assurant ainsi un parcours de soins intégré en optimisant la coordination entre prestataires et patients. Les systèmes de prise en charge vont donc évoluer, portés à la fois par l’omniprésence de la télémédecine virtuelle et par les avancées de la robotique (impression 3D d’organes, opérations assistées grâce à des périphériques de réalité augmentée, etc.).

Troisièmement, une utilisation croissante des capteurs de données portables et d’applications diverses de santé et de bien-être influencera davantage le comportement des consommateurs de soins de demain, leur permettant de surveiller leur état de santé et de réagir pro-activement en cas de problème. Même si la protection des données restera un sujet sensible, il est probable que le consommateur sera prêt à échanger ces informations dans le cadre de son parcours de soins. Ces données complèteront le dossier médical des patients.

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© 2015 Deloitte General Services 4

Avant – propos (2/2) La gestion de la croissance exponentielle des volumes de données médicales sera une priorité et un enjeu pour les gouvernements. En effet, une exploitation efficace du Big Data sera essentielle pour que l’ensemble des acteurs (patients, médecins, groupes pharmaceutiques, institutions de recherche et institutions publiques) puissent en tirer pleinement parti. Le résultat sera une médecine de plus en plus personnalisée et préventive ayant un impact direct significatif plus important sur la qualité des soins – un sujet qui est au cœur des conférences annuelles conjointes de Deloitte et FHL depuis leur lancement en 2011.

Enfin, les lois et réglementations devront s’adapter pour faire face à l’évolution rapide des technologies ainsi qu’aux demandes des consommateurs de soins qui souhaiteront bénéficier des avantages offerts par ces technologies. Une coordination au niveau international sera assurée pour répondre aux exigences de ce nouvel environnement et garantir une protection maximale des consommateurs de soins.

Ces cinq points sont particulièrement intéressants car ils ont été en partie couverts dans notre enquête réalisée en 2014 auprès des Professionnels de la santé.

En 2011 et en 2013, Deloitte Luxembourg, société de conseil reconnue dans le secteur de la santé et des sciences de la vie, s’est spécifiquement intéressée aux comportements, à la perception, aux expériences vécues et aux attentes des patients par rapport au système de santé national. En 2014, nous nous sommes ensuite intéressés au regard que portent les Professionnels de la santé sur l’état actuel du système de santé luxembourgeois et ses évolutions afin de comparer leurs perceptions avec celles des consommateurs en 2013. Ainsi, notre étude 2014 s’inscrit dans la continuité de celles menées en 2011 et 2013, l’emphase étant toujours mise sur la promotion de la qualité au service du patient.

Les résultats de cette enquête sont analysés dans le présent rapport dont je vous souhaite une lecture instructive.

Luc Brucher Leader Healthcare and Life Sciences

Notre rapport ne reprenant que les éléments clés de l’étude menée, nous restons à votre disposition pour tout renseignement additionnel que vous souhaiteriez obtenir.

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Introduction 5

Résultats de l’étude 8

• Système de santé au Luxembourg 9

• Offre de service traditionnelle 27

• Comportements et habitudes préventives pour améliorer l’état de santé 43

• Technologie 46

• Propositions d’amélioration 61

Conclusions 63

Résultats de l’étude - Sommaire

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Introduction

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Introduction« La qualité au service des patients » : Perception des Professionnels santé

507

• Enquête effectuée entre juillet et novembre 2014 par TNS ILRES

• Administrée à un échantillon représentatif de Professionnels santé, soins et social établis / employés au grand-duché

• Catégories de Professionnels visées:1. Membres de la Direction2. Médecins (généralistes et spécialistes)3. Autres Professionnels (Infirmiers, Sages-

femmes, Professions sociales)4. Pharmaciens et Employés de laboratoire

• Questionnaire en ligne en luxembourgeois et français

MéthodologieContexte de l’enquête 2014

2 enquêtes effectuées (2011 et 2013) auprès des Consommateurs de soins afin de collecter leurs perceptions et leurs attentes vis-à-vis du

système de santé luxembourgeois

Volonté en 2014 de comprendre le point de vue des Professionnels santé, soins et social et de

comparer leurs perceptions à celles des Consommateurs en 2013

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IntroductionEtude Deloitte 2014 sur les Professionnels de santé au Luxembourg

Principaux thèmes couverts par l’étude

• Perceptions du système de santé au Luxembourg

• Offre de service traditionnelle

• Comportements et habitudes préventives pour

améliorer l’état de santé

• Technologie

• Propositions d’amélioration des Professionnels

Critères socio-économiques de la population interrogée

• Sexe

• Age

• Statut professionnel

• Commune d’exercice professionnel

• Profession

• Spécialisation

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Résultats de l’étude

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Système de santé au Luxembourg

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Système de santé au Luxembourg (partie A – 1/6)Vue généraleComment évalueriez-vous le système de santé luxembourgeois sur les aspects suivants ?

6 4 6

127

3025

21

3134

3740

43

35

41

18 1823

14 138 6 6 7

42

72 1 1

0

15

30

45

60

75

Il répond aux besoins enmatière de soins de santé

Il propose les dernièresinnovations en termes de

traitements, de services et detechnologie médicale

La structure globale dusystème de santé est facile à

comprendre

Le système des paiements etdes remboursements est

facile à comprendre

Le système de santéluxembourgeois est

globalement performant

Excellent Très bon Bon Passable Mauvais Je ne sais pas/Sans opinion

Pour

cent

ages

• De manière globale et toutes professions confondues, les Professionnels évaluent le système de santé comme « Bon » voire « Très bon ».• Cette évaluation est très positive mais néanmoins légèrement plus mitigée que celle que les Consommateurs de soins avaient exprimée en 2013 Ils étaient

en effet proportionnellement plus nombreux à estimer le système de santé comme « Très bon » ou « Excellent ».

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Système de santé au Luxembourg (partie A – 2/6)Comment évalueriez-vous le système de santé luxembourgeois sur l’aspect :Il répond aux besoins en matière de soins de santé ?

4

11

2 0

8

30 3026

43

36

22

35

4338 38

30

1420

101213

96 5 4

0 1 25

10

15

30

45

60

75

Membre de la Direction Médecins Autre profession de santé Pharmacien, employé delaboratoire, etc.

Consommateur (résultats2013)

Excellent Très bon Bon Passable Mauvais Je ne saispas/Sans…

NB Les résultats pour les Consommateurs proviennent de l’étude Deloitte 2013

À titre illustratif

• La majorité des répondants évaluent le système de santé comme « Bon » voire « Très bon ». Il est intéressant de noter que les médecins sont les plus positifs avec 11 % des répondants qui l’estiment « Excellent» quant à son adéquation par rapport aux besoins de soins de santé.

• les Membres de la Direction quant à eux pensent à plus de 30% que le système est « Passable », pourcentage qui est largement supérieur (de 10% à 20%) par rapport aux réponses de tous les autres Professionnels de santé interrogés.

Pour

cent

ages

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Système de santé au Luxembourg (partie A – 3/6)Comment évalueriez-vous le système de santé luxembourgeois sur l’aspect : Il propose les dernières innovations en termes de traitements, de services et de technologie médicale ?

95 3

04

2632

1924 23

26

42 4138 37

30

1417

2420

93

75 6

03

1310 10

0

15

30

45

60

75

Membre de la Direction Médecins Autre profession de santé Pharmacien, employé delaboratoire, etc.

Consommateur (résultats2013)

Excellent Très bon Bon Passable Mauvais Je ne saispas/Sansopinion

NB Les résultats pour les Consommateurs proviennent de l’étude Deloitte 2013

• Le système semble répondre aux attentes concernant les innovations de traitement (en moyenne plus de 36% des personnes interrogées pensent qu’il est « Bon » avec un pic à plus de 40% pour les Médecins et les Autres professions de la santé.) Cette évaluation (36% en moyenne ) est en ligne avec les perceptions des Consommateurs de soins en 2013 (37%).• A noter que les Membres de la Direction semblent être plus critiques que les autres catégories, 30 % d’entre eux l’estimant comme « Passable» contre 17%

en moyenne pour les autres Professionnels interrogés.

Pour

cent

ages

À titre illustratif

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Système de santé au Luxembourg (partie A – 4/6)Comment évalueriez-vous le système de santé luxembourgeois sur l’aspect : La structure globale du système de santé est facile à comprendre ?

0

8 6

06

2622

17

29 27

17

4548

3842

39

2319

241917

26 5 3

0 1 3 5 4

0

15

30

45

60

75

Membre de la Direction Médecins Autre profession de santé Pharmacien, employé delaboratoire, etc.

Consommateur (résultats2013)

Excellent Très bon Bon Passable Mauvais Je ne saispas/Sansopinion

NB Les résultats pour les Consommateurs proviennent de l’étude Deloitte 2013

• Il est intéressant de noter que la structure du système de santé semble être facile à comprendre pour la majorité des Professionnels interrogés à l’exception des Membres de la Direction qui l’estiment plutôt complexe.

• En effet, 56 % des Membres de la Direction l’évaluent comme « Passable » ou « Mauvais » dans sa compréhension alors que les autres Professionnels l’estiment à plus de 66 % « Bon » ou « Très Bon » Ceci rejoint les perceptions positives des Consommateurs de soins en 2013 qui étaient quant à eux presque 70% à l’évaluer de manière similaire.

À titre illustratif

Pour

cent

ages

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Système de santé au Luxembourg (partie A – 5/6)Comment évalueriez-vous le système de santé luxembourgeois sur l’aspect : Le système des paiements et des remboursements est facile à comprendre

913 12 10 11

4439

20

2934

3026

45

33 35

4

1513

24

1213

7 75 5

0 03

04

0

15

30

45

60

75

Membre de la Direction Médecins Autre profession de santé Pharmacien, employé delaboratoire, etc.

Consommateur (résultats2013)

Excellent Très bon Bon Passable Mauvais Je ne saispas/Sansopinion

NB Les résultats pour les Consommateurs proviennent de l’étude Deloitte 2013

• Globalement, l’ensemble des catégories professionnelles interrogées estiment que le système des paiements et des remboursements est facile à comprendre En moyenne plus de 66% des réponses sont soit « Bon » ou « Très bon ».

• Cette évaluation des Professionnels rejoint celle des Consommateurs de soins qui étaient 69% à estimer la compréhension du système des paiements et des remboursements comme « Bon » ou « Très bon ».

À titre illustratif

Pour

cent

ages

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Système de santé au Luxembourg (partie A – 6/6)Comment évalueriez-vous le système de santé luxembourgeois sur l’aspect : Le système de santé luxembourgeois est globalement performant

9 11

3 57

26

3336 38

42

4844

37

43

37

17

1116

5

12

0 27

510 0 1

52

0

15

30

45

60

75

Membre de la Direction Médecins Autre profession de santé Pharmacien, employé delaboratoire, etc.

Consommateur (résultats2013)

Excellent Très bon Bon Passable Mauvais Je ne saispas/Sansopinion

NB Les résultats pour les Consommateurs proviennent de l’étude Deloitte 2013

• Le système est globalement perçu comme performant, avec plus de 76% des Professionnels toutes catégories confondues qui l’estiment comme « Bon » voire « Très Bon ».

• Notons toutefois que les Professionnels sont légèrement plus nuancés / critiques que les Consommateurs de soins. 40% d’entre eux évaluent la performance globale du système comme « Très bon » voire « Excellent » contre 50% pour les Consommateurs de soins en 2013.

À titre illustratif

Pour

cent

ages

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Système de santé au Luxembourg (partie B – 1/6)Vue généraleLes coûts du système de santé sont influencés par de nombreux facteurs. Selon vous, quelle est l'influence de chacun des facteurs suivants sur l'augmentation des coûts du système de santé ?

Pour

cent

ages

• Pour les Professionnels de santé, les 3 facteurs principaux d’augmentation des coûts du système sont par ordre d’importance :1. Le comportement des assurés (habitudes de vie et mode alimentaire) pour 72%2. Utilisation excessive des tests diagnostics / actes médicaux et chirurgicaux pour 71%3. Nouvelles technologies et équipements pour 70%

• A titre d’information, il est intéressant de noter que les 3 principaux facteurs cités par les Professionnels sont les mêmes que ceux des Consommateurs en 2013.

72 71 70

5046

23 2125

4043

2 3 3 58

35

35 3

0

15

30

45

60

75

Comportement des assurés,notamment sur les habitudes

/ modes de vie etl'alimentation

Utilisation excessive destests diagnostiques ou

d'actesmédicaux/chirurgicaux

Nouvelles technologies etéquipements

Coûts salariaux Médicaments surordonnance

Forte influence Faible influence Aucune influence Je ne sais pas/Pas d'opinion

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Système de santé au Luxembourg (partie B – 2/6)Selon vous, quelle est l'influence des coûts salariaux sur l'augmentation des coûts du système de santé ?

83

38

50

67

56

17

52

37

2936

04 6 5 5

05 7

04

0

10

20

30

40

50

60

70

80

90

100

Membre de la Direction Médecins Autre profession de santé Pharmacien, employé delaboratoire, etc.

Consommateur (résultats2013) NB Questionné sur les

honoraires des médecins

Forte influence Faible influence Aucune influence Je ne sais pas/Sansopinion

NB Les résultats pour les Consommateurs proviennent de l’étude Deloitte 2013

Pour

cent

ages

• Pour 83 % des Membres de la Direction, les coûts salariaux sont clairement un des facteurs qui influencent le plus l’augmentation des coûts.• Concernent les autres Professionnels de santé, les avis sont moins catégoriques, avec en moyenne 51% d’entre eux qui partagent l’avis des Membres de la

Direction, voire seulement 38% des Médecins interrogés.

À titre illustratif

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© 2015 Deloitte General Services 19

Système de santé au Luxembourg (partie B – 3/6)Selon vous, quelle est l'influence des médicaments sur ordonnance sur l'augmentation des coûts du système de santé ?

22

44

63

10

47

74

45

27

71

42

410

4

19

70 2 5

04

0

10

20

30

40

50

60

70

80

90

100

Membre de la Direction Médecins Autre profession de santé Pharmacien, employé delaboratoire, etc.

Consommateur (résultats2013)

Forte influence Faible influence Aucune influence Je ne sais pas/Sansopinion

NB Les résultats pour les Consommateurs proviennent de l’étude Deloitte 2013

Pour

cent

ages

• En moyenne plus de 72% des Membres de la Direction, Pharmaciens, Employés de laboratoire pensent que les médicaments sur ordonnance ont un faible impact sur l’augmentation des coûts du système.

• L’avis des Médecins est quant à lui très partagé puisque 44% pensent que l’impact est fort contre 45% qui l’estiment faible (voire inexistant pour 10% d’entre eux).

• Par contre, l’opinion des Autres professions de santé est nettement plus tranchée et penche en faveur d’une influence importante des médicaments sur ordonnance sur l’augmentation des coûts du système ( pour 63% des personnes interrogées).

À titre illustratif

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© 2015 Deloitte General Services 20

Système de santé au Luxembourg (partie B – 4/6)Selon vous, quelle est l'influence des nouvelles technologies et équipements sur l'augmentation des coûts du système de santé ?

70 7166

81

66

2629

22 1924

40

50

40 0

60

5

0

10

20

30

40

50

60

70

80

90

100

Membre de la Direction Médecins Autre profession de santé Pharmacien, employé delaboratoire, etc.

Consommateur (résultats2013)

Forte influence Faible influence Aucune influence Je ne sais pas/Sansopinion

NB Les résultats pour les Consommateurs proviennent de l’étude Deloitte 2013

Pour

cent

ages

• L’ensemble des catégories professionnelles estiment que les nouvelles technologies et équipements influencent fortement les coûts du système de santé -72% en moyenne - avec un pic à 81% pour les Pharmaciens et employés de laboratoire.

• Pour rappel, les avis des Consommateurs de soins en 2013 allaient dans le même sens bien que légèrement plus nuancés (66% d’entre eux estimant que l’influence était forte).

À titre illustratif

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© 2015 Deloitte General Services 21

Système de santé au Luxembourg (partie B – 5/6)Selon vous, quelle est l'influence des comportements des assurés (de la population), notamment les habitudes / modes de vie et l'alimentation sur l'augmentation des coûts du système de santé ?

70 70 73

86

60

3026

2014

32

0 2 30

40 2 4

04

0

10

20

30

40

50

60

70

80

90

100

Membre de la Direction Médecins Autre profession de santé Pharmacien, employé delaboratoire, etc.

Consommateur (résultats2013)

Forte influence Faible influence Aucune influence Je ne sais pas/Sansopinion

NB Les résultats pour les Consommateurs proviennent de l’étude Deloitte 2013

Pour

cent

ages

• En moyenne 75% des Professionnels pensent que le mode de vie des patients et l’alimentation influencent les coûts du système de santé (contre 60% pour les Consommateurs en 2013), avec un pic à 86% chez les Pharmaciens et les employés de laboratoire.

• Si la tendance générale est similaire au niveau des Professionnels et des Consommateurs, ces derniers considèrent cependant l’impact de ce facteur de manière plus nuancée / moins significative que les Professionnels.

À titre illustratif

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© 2015 Deloitte General Services 22

Système de santé au Luxembourg (partie B – 6/6)Selon vous, quelle est l'influence des utilisations excessives des tests diagnostiques ou l'actes médicaux / chirurgicaux sur l'augmentation des coûts du système de santé ?

83

70 71 71

60

1725

18 19

30

0 2 40

30

37 10

6

0

10

20

30

40

50

60

70

80

90

100

Membre de la Direction Médecins Autre profession de santé Pharmacien, employé delaboratoire, etc.

Consommateur (résultats2013)

Forte influence Faible influence Aucune influence Je ne sais pas/Sansopinion

NB Les résultats pour les Consommateurs proviennent de l’étude Deloitte 2013

Pour

cent

ages

• En moyenne 73% des Professionnels pensent que les utilisations excessives de tests / diagnostics ou d’actes médicaux / chirurgicaux ont une forte influence sur les coûts du système (contre 60% pour les Consommateurs en 2013), avec un pic à 83 % chez les Membres de la Direction.

• Les avis des Professionnels et des Consommateurs sont alignés, avec cependant plus de nuance dans l’appréciation de l’impact de ce facteur chez les Consommateurs.

À titre illustratif

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© 2015 Deloitte General Services 23

Les réformes hospitalières prévues envisagent la création de centres de compétences dans différents domaines cliniques. Quelles pourraient être selon vous les conséquences de cette évolution ?

1321

26 2921

74

6154

57

65

1319 20

14 14

0

10

20

30

40

50

60

70

80

90

100

Membre de la Direction Médecins Autre profession de santé Pharmacien, employé delaboratoire, etc.

Consommateur (résultats2013)

Augmentation de la qualitéet diminution des coûts

Augmentation de la qualité,mais pas forcément unediminution des coûts

Ni une augmentation de laqualité, ni une diminutiondes coûts

NB Les résultats pour les Consommateurs proviennent de l’étude Deloitte 2013

Pour

cent

ages

• L’ensemble des catégories professionnelles (plus de 61% en moyenne, avec un pic à 74 % pour les Membres de la Direction ) pensent majoritairement que la création des centres de compétences permettra une augmentation de la qualité sans forcément engendrer une diminution des coûts.

• Cette perception globale est en ligne avec celle des Consommateurs de soins en 2013.

À titre illustratif

Système de santé au Luxembourg (partie C – 1/1)

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© 2015 Deloitte General Services 24

Système de santé au Luxembourg (partie D – 1/4)A quel degré la création de centres de compétences a-t- elle une influence positive sur les éléments suivants ?

86

77

46

9

19

37

4

13

0

10

20

30

40

50

60

70

80

90

100

Meilleure coordination des soins et expertisesmédicales optimales

Technologies les plus récentes / infrastructuremoderne

Prise en charge personnalisée

Forte influence Faible influence Aucune influence

Pour

cent

ages

• Pour 86% des Professionnels, la création des centres de compétences aura surtout une influence positive sur la coordination des soins et l’accès à des expertises médicales optimales.

• Ils permettront aussi l’accès aux technologies les plus récentes et à une infrastructure moderne pour 77% des personnes interrogées.• Par contre, 50% des Professionnels sont d’avis que la mise en place de centres de compétences aura une faible voire aucune influence sur un meilleur accès

à une prise en charge personnalisée.

NB Les résultats pour les Consommateurs proviennent de l’étude Deloitte 2013

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© 2015 Deloitte General Services 25

Système de santé au Luxembourg (partie D – 2/4)A quel degré la création de centres de compétences a-t- elle une influence positive sur technologies les plus récentes / infrastructures modernes ?

60

85

72

83

75

30

12

24

1119

103 3 6

20 0 1 05

0

10

20

30

40

50

60

70

80

90

100

Membre de la Direction Médecins Autre profession de santé Pharmacien, employé delaboratoire, etc.

Consommateur (résultats2013)

Forte influence Faible influence Aucune influence Je ne sais pas/Sansopinion

Pour

cent

ages

NB Les résultats pour les Consommateurs proviennent de l’étude Deloitte 2013

• De façon générale, les technologies bénéficieront de la mise en place de centres de compétences.• Les plus mitigés sont les Membres de la Direction avec le taux de réponses le plus important dans « Faible influence » (30% vs 16% en moyenne pour les

autres Professionnels) et « Aucune influence» (10% vs 4 % en moyenne pour les autres).

À titre illustratif

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© 2015 Deloitte General Services 26

Système de santé au Luxembourg (partie D – 3/4)A quel degré la création de centres de compétences a-t- elle une influence positive sur la prise en charge personnalisée ?

55

33

5550

56

25

45

30

39

31

15 17

116 75 4 4 6 6

0

15

30

45

60

75

Membre de la Direction Médecins Autre profession de santé Pharmacien, employé delaboratoire, etc.

Consommateur (résultats2013)

Forte influence Faible influence Aucune influence Je ne sais pas/Sansopinion

Pour

cent

ages

• Toutes les catégories professionnelles (à l’exception des Médecins) pensent à plus de 50% qu’il y aura une « Forte influence » des centres de compétences sur la prise en charge personnalisée. Cette perception rejoint celle des Consommateurs de soins, collectée en 2013.

• Les Médecins pense majoritairement (62%) que les centres de compétences n’auront qu’une « Faible influence» ou « Aucune influence » sur lapersonnalisation de la prise en charge.

NB Les résultats pour les Consommateurs proviennent de l’étude Deloitte 2013

À titre illustratif

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© 2015 Deloitte General Services 27

Système de santé au Luxembourg (partie D – 4/4)A quel degré la création de centres de compétences a-t- elle une influence positive sur la coordination des soins et l’expertise médicale ?

8589

8389

64

10 9 8 6

26

50

80

40 1 1

6 7

0

10

20

30

40

50

60

70

80

90

100

Membre de la Direction Médecins Autre profession de santé Pharmacien, employé delaboratoire, etc.

Consommateur (résultats2013)

Forte influence Faible influence Aucune influence Je ne sais pas/Sansopinion

Pour

cent

ages

• Les chiffres sont clairs plus de 86 % en moyenne des personnes interrogées pensent que la création de centres de compétences permettra une meilleure coordination des soins et un accès à une expertise médicale optimale.

• A noter que les Consommateurs de soins étaient plus mitigés 26% d’entre eux estimaient que l’influence serait faible contre en moyenne environ 8% des Professionnels.

NB Les résultats pour les Consommateurs proviennent de l’étude Deloitte 2013

À titre illustratif

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© 2015 Deloitte General Services 28

Offre de service traditionnelle

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© 2015 Deloitte General Services 29

Offre de service traditionnelle (partie A – 1/1)Les médecins généralistes fournissent des services et des soins liés à la prévention, au diagnostic, au traitement de problèmes de santé et à la coordination et au suivi des soins. Est-ce que vous pensez qu'au Luxembourg les patients ont plutôt tendance à consulter en premier lieu un médecin généraliste / de famille avant les spécialistes, dans l'optique que ce dernier coordonne les traitements avec les référents/spécialistes ?

30

54

6371

82

70

46

3729

18

0

10

20

30

40

50

60

70

80

90

100

Membre de la Direction Médecins Autre profession de santé Pharmacien, employé delaboratoire, etc.

Consommateur (résultats2013)

Oui, plutôt tendance à consulter un médecinGÉNÉRALISTE

Non, plutôt tendance à consulter un médecinSPÉCIALISTE

NB: Pour les Consommateurs la question exacte posée était : Est-ce que vous avez l'habitude de consulter un médecin généraliste / de famille qu'on pourrait considérer comme un médecin référent qui coordonne vos traitements et vous réfère le cas échéant aux spécialistes ?

Pour

cent

ages

• En moyenne 57% des Professionnels pensent que les médecins généralistes sont consultés en premier lieu. • Cependant, les avis sont hétérogènes et varient fortement d’une catégorie professionnelle à une autre, s’agissant notamment des Membres de la Direction qui

sont les seuls à majoritairement penser (70%) que les patients ont plutôt tendance à consulter un spécialiste en première instance.

À titre illustratif

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© 2015 Deloitte General Services 30

Offre de service traditionnelle (partie B – 1/7)Parmi les actions suivantes, lesquelles avez-vous pu observer régulièrement chez les patients au cours des 12 derniers mois ?

NB Pour les Consommateurs la question exacte posée était : Est-ce que vous avez l'habitude de consulter un médecin généraliste / de famille qu'on pourrait considérer comme un médecin référent qui coordonne vos traitements et vous réfère le cas échéant aux spécialistes ?

• Les comportements les plus observés sont: Voyager en dehors du Luxembourg pour se faire soigner / recevoir un traitement (65%) Consulter un conseiller ou praticien de médecine alternative (64%) Changer de médecin spécialiste (48%) Consulter un pharmacien pour des informations ou des conseils sur un traitement (48%)

65 64

48 48

36

30

2018

23

1519

1510 10

1620

27

37

69

1318 19 18

0

15

30

45

60

75

Voyager en dehors duLuxembourg pour

consulter un médecin,subir un test ou une

procédure médicale ourecevoir un traitement

Consulter un herboriste,un homéopathe, un

ostéopathe, unacuponcteur ou un autreconseiller ou praticien de

médecine alternative

Changer de médecinspécialiste

Consulter un pharmacienpour des informations ou

des conseils sur untraitement

Décider de visiter un autrespécialiste que celuirecommandé par lemédecin généraliste

Changer de médecingénéraliste

Oui, fait Oui, prêt à faire Non Ne sait pas le dire

Pour

cent

ages

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© 2015 Deloitte General Services 31

Offre de service traditionnelle (partie B – 2/7)Avez-vous pu observer régulièrement l’action suivante chez les patients au cours des 12 derniers mois : Décider de visiter un autre spécialiste que celui recommandé par le médecin généraliste ?

17

44

36

24

9

30

1520

14

29

22

28 26 29

54

30

1318

33

8

0

15

30

45

60

75

Membre de la Direction Médecins Autre profession de santé Pharmacien, employé delaboratoire, etc.

Consommateur (résultats2013)

Oui, fait Oui, prêt à faire Non Ne sait pas le dire

À titre illustratif

Pour

cent

ages

• 30 % en moyenne des Professionnels interrogés ont indiqué avoir pu observer des patients qui décidaient de visiter un autre spécialiste que celui recommandé par leur médecin généraliste (avec un pic évident chez les médecins qui ont été 44% à l’observer).

• Ce pourcentage diverge fortement des réponses des Consommateurs de soins en 2013 qui n’étaient que 9% à avoir effectivement consulté un autre spécialiste que celui recommandé par leur généraliste.

NB Les résultats pour les Consommateurs proviennent de l’étude Deloitte 2013

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© 2015 Deloitte General Services 32

Offre de service traditionnelle (partie B – 3/7)Avez-vous pu observer régulièrement l’action suivante chez les patients au cours des 12 derniers mois : Changer de médecin généraliste ?

9

35 34

19

5

26

17

8

19 20

3529

44 43

71

30

1914

19

4

0

15

30

45

60

75

Membre de la Direction Médecins Autre profession de santé Pharmacien, employé delaboratoire, etc.

Consommateur (résultats2013)

Oui, fait Oui, prêt à faire Non Ne sait pas le dire

À titre illustratif

Pour

cent

ages

• Les chiffres sont intéressants car divergents entre Professionnels et Consommateurs de soins en 2013. • En effet, alors qu’en moyenne plus de 24% des Professionnels ont observé des patients changer de médecin généraliste (avec même 35 % des Médecins et

34% des Autres professions de santé), seuls 9% des Consommateurs ont indiqué l’avoir effectivement fait en 2013.

NB Les résultats pour les Consommateurs proviennent de l’étude Deloitte 2013

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© 2015 Deloitte General Services 33

Offre de service traditionnelle (partie B – 4/7)Avez-vous pu observer régulièrement l’action suivante chez les patients au cours des 12 derniers mois : Changer de médecin spécialiste ?

26

48

58

29

5

44

26

11

38

29

915

1914

58

22

11 1319

8

0

15

30

45

60

75

Membre de la Direction Médecins Autre profession de santé Pharmacien, employé delaboratoire, etc.

Consommateur (résultats2013)

Oui, fait Oui, prêt à faire Non Ne sait pas le dire

À titre illustratif

Pour

cent

ages

• Plus de 40 % des Professionnels ont observé des patients qui changeaient de médecin spécialiste (avec même 48% des Médecins et 58% des Autres Professions de santé interrogés).

• Ce pourcentage est largement supérieur à celui des Consommateurs de soins en 2013 qui n’étaient que 5% à avoir effectivement changé de médecin spécialiste, 58% d’entre eux n’étant d’ailleurs pas disposés à le faire.

NB Les résultats pour les Consommateurs proviennent de l’étude Deloitte 2013

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© 2015 Deloitte General Services 34

Offre de service traditionnelle (partie B – 5/7)Avez-vous pu observer régulièrement l’action suivante chez les patients au cours des 12 derniers mois : Consulter un pharmacien pour des informations ou des conseils sur un traitement ?

26

4743

95

29

17 1913

5

2930

1923

0

40

26

1621

0 20

10

20

30

40

50

60

70

80

90

100

Membre de la Direction Médecins Autre profession de santé Pharmacien, employé delaboratoire, etc.

Consommateur (résultats2013)

Oui, fait Oui, prêt à faire Non Ne sait pas le dire

Pour

cent

ages

À titre illustratif

• 95% des Pharmaciens et employés de laboratoire interrogés ont observé des patients qui consultaient des Pharmaciens pour des informations ou des conseils sur un traitement.

• 45 % en moyenne des Médecins et Autres professions de santé ont pu faire la même observation Ce pourcentage est largement plus élevé que celui des Consommateurs de soins qui n’étaient que 29% à l’avoir fait, 40% d’entre eux n’étant en outre pas disposés à le faire.

NB Les résultats pour les Consommateurs proviennent de l’étude Deloitte 2013

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© 2015 Deloitte General Services 35

Offre de service traditionnelle (partie B – 6/7)Avez-vous pu observer régulièrement l’action suivante chez les patients au cours des 12 derniers mois : Consulter un herboriste, un homéopathe, un ostéopathe, un acuponcteur ou un autre conseiller ou praticien de médecine alternative ?

26

63

75

57

1926

22

1219

30

13 117

14

47

35

4 610

5

0

10

20

30

40

50

60

70

80

90

100

Membre de la Direction Médecins Autre profession de santé Pharmacien, employé delaboratoire, etc.

Consommateur (résultats2013)

Oui, fait Oui, prêt à faire Non Ne sait pas le dire

• En moyenne 65% des Médecins, Pharmaciens et Autres Professionnels de santé ont constaté que les patients sont très demandeurs de médecine alternative.• Ce pourcentage est plus de trois fois supérieur à celui relevé auprès des Consommateurs de 2013, qui n’étaient en effet que 19% à avoir eu recours à des

traitements de médecine alternative.

NB Les résultats pour les Consommateurs proviennent de l’étude Deloitte 2013

À titre illustratif

Pour

cent

ages

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© 2015 Deloitte General Services 36

Offre de service traditionnelle (partie B – 7/7)Avez-vous pu observer régulièrement l’action suivante chez les patients au cours des 12 derniers mois : Voyager en dehors du Luxembourg pour consulter un médecin, subir un test ou une procédure médicale ou recevoir un traitement ?

57

6963

67

13

2226

1419

38

93

18

0

43

13

2 5

14

5

0

10

20

30

40

50

60

70

80

90

100

Membre de la Direction Médecins Autre profession de santé Pharmacien, employé delaboratoire, etc.

Consommateur (résultats2013)

Oui, fait Oui, prêt à faire Non Ne sait pas le dire

• Globalement et toutes catégories confondues, en moyenne 64 % des Professionnels ont pu observé que les patients voyageaient à l’étranger pour se faire soigner.

• Or, l’étude des Consommateurs de 2013 a fait ressortir que moins de 15 % d’entre eux avaient effectivement passé les frontières pour consulter un médecin ou recevoir un traitement.

NB Les résultats pour les Consommateurs proviennent de l’étude Deloitte 2013

À titre illustratif

Pour

cent

ages

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© 2015 Deloitte General Services 37

Offre de service traditionnelle (partie C – 1/1)Sachant que chacun des 11 éléments ci-dessous est important, veuillez les classer par ordre d'importance pour vous (en imaginant l'expérience idéale à l'hôpital)

Elements Professionnels

Compétences/spécialisation : Niveau de connaissances / compétences des médecins et soignants en termes de diagnostic et de traitement de votre problème de santé 1

Style/approche : Qualité des explications, de l’écoute et du respect de la part des médecins et soignants 2

Processus de prise en charge : Qualité de l’exécution des procédures ; approche pluridisciplinaire ; Traitement efficace des problèmes 3

Système hospitalier efficient : Collaboration entre l’hôpital/les médecins au sein de la communauté pour coordonner les soins, améliorer la qualité et réduire les coûts 4

Coordination/suivi : Qualité de la coordination entre les départements et les institutions ; communication des informations et des instructions ; timing et efficacité du suivi 5

Service au patient : Amabilité des acteurs hospitaliers ; courtoisie et respect 6

Technologie et équipements médicaux : appareils et plateaux techniques pour les examens médicaux, les interventions chirurgicales et les traitements médicaux 7

Facilité/efficacité : Facilité d'enregistrement et de prise en charge administrative ; efficacité des formulaires et autres processus administratifs 8

Accès/disponibilité : Commodité des installations ; horaires ; durée d'attente 9

Infrastructures et aménagements : Etat des bâtiments ; propreté et calme des salles d’attente et d’examen ; qualité de la nourriture ; aménagement des chambres 10

Coût : Frais à charge du patient 11

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© 2015 Deloitte General Services 38

Offre de service traditionnelle (partie D – 1/6)Quelles sont, selon vous, les raisons les plus importantes qui amèneraient les patients à se faire soigner à l'étranger ?

35

22

15

33

4

30

25

20

35

10

2325 24 24 23

9

22

29

7

44

36

12

1

19

0

10

20

30

40

50

Qualité supérieure du diagnosticet de la prise en charge

Des équipements et destechnologies plus avancés que

ceux disponibles auLuxembourg.

Absence de temps d'attente oudes temps d'attente plus courtspour les soins et le traitement

médical

Disponibilité des médecins etdes hôpitaux capables de fournirle traitement spécifique dont j'ai

besoin

Coût global du service

Extrêmementimportant

Très important Important Peu important Pas du toutimportant

Pour

cent

ages

• La disponibilité des médecins et des hôpitaux capables de fournir un traitement spécifique (estimé comme « Très important » voire « Extrêmement important » pour 78 % des Professionnels) ainsi que la qualité supérieure du diagnostic et de la prise en charge (plébiscitée à 75%) sont les 2 raisons principales évoquées pour se faire soigner à l’étranger.

• Le coût global du service est quant à lui la raison la moins invoquée, 63% des Professionnels l’estimant peu ou pas du tout importante.

NB Les résultats pour les Consommateurs proviennent de l’étude Deloitte 2013

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© 2015 Deloitte General Services 39

Offre de service traditionnelle (partie D – 2/6)Selon vous, une meilleure expertise et une qualité supérieure du diagnostic et de la prise en charge amèneraient-elles les patients à se faire soigner à l'étranger ?

52

2934

48

39

22

33 32

24

34

22 2225

19 18

4

127

5 6

04 2

5 3

0

15

30

45

60

75

Membre de la Direction Médecins Autre profession de santé Pharmacien, employé delaboratoire, etc.

Consommateur (résultats2013)

Extrêmementimportant

Très important Important Peu important Pas du toutimportant

Pour

cent

ages

À titre illustratif

• Toutes catégories confondues, une meilleure expertise et une qualité supérieure du diagnostic est considérée par les Professionnels comme une raison « Importante » voire « Extrêmement importante » qui amènerait les patients à se faire soigner à l’étranger.

• L’avis de Professionnels rejoint celui des Consommateurs en 2013 sur ce sujet.

NB Les résultats pour les Consommateurs proviennent de l’étude Deloitte 2013

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© 2015 Deloitte General Services 40

Offre de service traditionnelle (partie D – 3/6)Selon vous, des équipements et des technologies plus avancés que ceux disponibles au Luxembourg amèneraient-ils les patients à se faire soigner à l'étranger ?

17 1922

38 3835

2225

2934

17

26 2529

2017

28

21

5 6

13

5 6

03

0

15

30

45

60

75

Membre de la Direction Médecins Autre profession de santé Pharmacien, employé delaboratoire, etc.

Consommateur (résultats2013)

Extrêmementimportant

Très important Important Peu important Pas du toutimportant

Pour

cent

ages

À titre illustratif

• De façon générale les Professionnels interrogés pensent que le niveau d’avancement des technologies et des équipements disponibles est un facteur « Important » voire « Très important » de l’effet migratoire des patients.

• Les Médecins, bien que considérant cet élément important à 67 %, restent néanmoins 28% à l’estimer comme « Peu important » (contre 6% pour les Consommateurs de soins en 2013).

NB Les résultats pour les Consommateurs proviennent de l’étude Deloitte 2013

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© 2015 Deloitte General Services 41

Offre de service traditionnelle (partie D – 4/6)Selon vous, une absence de temps d'attente ou des temps d'attente plus courts amèneraient-ils les patients à se faire soigner à l'étranger ?

914

1714

1813

2024

10

282621

23

3834

3936

24

14 151310 12

24

5

0

15

30

45

60

75

Membre de la Direction Médecins Autre profession de santé Pharmacien, employé delaboratoire, etc.

Consommateur (résultats2013)

Extrêmementimportant

Très important Important Peu important Pas du toutimportant

Pour

cent

ages

À titre illustratif

• Ce facteur est considéré comme important par la majorité des Professionnels de santé.• Cependant, environ 52 % des Membres de la Direction et 46 % des Médecins l’estiment peu ou pas important du tout, ce qui est largement supérieur aux

Consommateurs de soins (20%).

NB Les résultats pour les Consommateurs proviennent de l’étude Deloitte 2013

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© 2015 Deloitte General Services 42

Offre de service traditionnelle (partie D – 5/6)Selon vous, la disponibilité des médecins et des hôpitaux capables de fournir la prise en charge spécifique amènerait-elle les patients à se faire soigner à l'étranger ?

3530 30

57

4844

35 35

24

31

17

26 27

1015

49 7

04

0 0 1

10

20

15

30

45

60

75

Membre de la Direction Médecins Autre profession de santé Pharmacien, employé delaboratoire, etc.

Consommateur (résultats2013)

Extrêmementimportant

Très important Important Peu important Pas du toutimportant

Pour

cent

ages

À titre illustratif

• Toutes catégories de Professionnels confondues, la disponibilité des médecins et des hôpitaux capables de fournir une prise en charge spécifique est considérée dans plus de 90 % des cas soit « Extrêmement important » ou « Très important » ou « Important ».

• Ce pourcentage rejoint l’opinion de quasi 95 % Consommateurs en 2013.

NB Les résultats pour les Consommateurs proviennent de l’étude Deloitte 2013

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© 2015 Deloitte General Services 43

Offre de service traditionnelle (partie D – 6/6)Selon vous, une coût global du service amènerait-il les patients à se faire soigner à l'étranger ?

03

6

0

26

17

8 1014

26

35

13

32

19

29

4851

36

48

13

0

25

17 19

7

0

15

30

45

60

75

Membre de la Direction Médecins Autre profession de santé Pharmacien, employé delaboratoire, etc.

Consommateur (résultats2013)

Extrêmementimportant

Très important Important Peu important Pas du toutimportant

Pour

cent

ages

À titre illustratif

• Le coût ne semble pas être pour les Professionnels une des causes majeures du départ des patients vers l’étranger.• Ce constat contraste avec les réponses des Consommateurs en 2013 qui estimaient cet élément comme « Important » à « Extrêmement important » pour 81%

d’entre eux.

NB Les résultats pour les Consommateurs proviennent de l’étude Deloitte 2013

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Comportements et habitudes préventives pour améliorer l’état de santé

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Comportements et habitudes préventives pour améliorer l’état de santé (partie A – 1/1)Selon vous, quels seraient les comportements que les patients devraient suivre pour améliorer leur état de santé ? (Ci-dessous classé par ordre d'impact élevé)

Elements Professionnels

Intensification du niveau d’exercice physique ou maintien d’un bon niveau d’exercice physique 1

Amélioration des habitudes alimentaires ou maintien d’un régime alimentaire sain 2

Test de dépistage/procédure de prévention ou de détection précoce (p. ex. mammographie, coloscopie) 3

Participation à un programme de santé/gestion de la maladie proposé par un médecin, un hôpital, un régime de santé ou une autre organisation pour aider à gérer une maladie chronique 4

Visite chez un médecin pour un contrôle de routine 5

Participation à un programme de santé/bien-être proposé par un employeur, une assurance privée, un hôpital ou un autre type d’organisation pour aider à améliorer la santé des patients 6

Consultation d’un conseiller en santé personnel (personne formée pour aider les gens à changer de mode de vie) pour évaluer les risques de santé, définir des objectifs d’amélioration et/ou suggérer des mesures spécifiques pour améliorer la santé des patients 7

Evaluation des risques de santé (en répondant à un questionnaire et/ou en effectuant des tests pour déterminer votre niveau de risque) par un médecin, employeur ou autre 8

Vaccin contre la grippe 9

Téléchargement d’une application de suivi de santé par le biais d’un smartphone / d’une tablette 10

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Comportements et habitudes préventives pour améliorer l’état de santé (partie B – 1/1)Selon vous, quel serait l'impact de chacune des actions suivantes sur l'amélioration de la performance du système de santé ? (Ci-dessous classé par ordre d'impact élevé)

Elements Professionnels

Se concentrer davantage sur la prévention des maladies, la promotion de la santé, du bien-être et d’un mode de vie sain 1

Mettre l’accent sur le suivi et l’analyse comparative des avantages et faiblesses des différents traitements 2

Publier plus d’informations sur la qualité des soins médicaux proposés au Luxembourg 3

Publier plus d’informations sur les prix/coûts des prestations de santé au Luxembourg 4

Utiliser des systèmes électroniques d’assistance pour aider les patients à prendre des décisions de soins et de suivi de traitement 5

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© 2015 Deloitte General Services 47

Technologie

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© 2015 Deloitte General Services 48

Selon vous, quel impact pourrait avoir l’introduction d’un dossier électronique? (Ci-dessous classé par ordre d'impact le plus positif avec un accent sur le top 3)

Elements Professionnel

Meilleure coordination entre les médecins et les hôpitaux/centres de soins 1

Meilleure gestion et accessibilité des données médicales des patients 2

Coûts des soins (baisse des frais de santé grâce à une réduction des formalités inutiles, moins d’abus des services grâce à une meilleure coordination) 3

Efficacité des soins et traitements (facilité et rapidité d’exécution) 4

Qualité des soins et traitements 5

Technologie (partie A – 1/1)

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© 2015 Deloitte General Services 49

Technologie (partie B – 1/7)Quels sont selon vous les facteurs de succès de l'implémentation du dossier électronique des patients (DSP – Dossier de Soin Partagé) ?

30

20

2925

53

3236

27

40 42

27

34

26

36

2228

15

27

6

13

64 2

53

62 3 3 2

0

15

30

45

60

75

a. Processus etprocédures

administratifs légers etfluides

b. Contrepartieadéquate de

rémunération vs tempspassé à utiliser / mettre

à jour le DSP

c. Disposition desmédecins à être

transparents

d. Support et implicationdes médecins dans la

mise en place et ledéploiement du DSP

e. Assurance d’une protection élevée des données personnelles

f. Aisance dans l’utilisation des outils informatiques par les

médecins

Extrêmementimportant

Très important Important Peu important Pas du toutimportant

Pour

cent

ages

• L’assurance d’une protection élevée des données personnelles est considérée comme le facteur le plus important du succès de la mise en œuvre du DSP. 80 % des Professionnels l’estiment comme « Très important » voire « Extrêmement important ».

• L’élément rémunération semblerait être le facteur le moins important (47% « Extrêmement important » ou « Très important »).

NB Questions seulement posées aux Professionnels de la santé

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© 2015 Deloitte General Services 50

Technologie (partie B – 2/7)Selon vous, le facteur de succès suivant est important dans l'implémentation du dossier électronique des patients (DSP) : Processus et procédures administratifs légers et fluides ?

39

28 3033

39 3734 33

13

2530 29

48

4 54 2 30

0

15

30

45

60

75

Membre de la Direction Médecins Autre profession de santé Pharmacien, employé de laboratoire,etc.

Extrêmementimportant

Très important Important Peu important Pas du toutimportant

Pour

cent

ages

• Les Membres de la Direction soulignent plus que les autres catégories l’importance des procédures 78% ont sélectionné les réponses « Extrêmement important » ou « Très important ».

NB Questions seulement posées aux Professionnels de la santé

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© 2015 Deloitte General Services 51

Technologie (partie B – 3/7)Selon vous, le facteur de succès suivant est important dans l'implémentation du dossier électronique des patients (DSP) : Contrepartie « adéquate » de rémunération vs temps passé à utiliser / mettre à jour le DSP ?

13

25

14

29

22

3026

19

30 28

45

2926

128

19

94 6 5

0

15

30

45

60

75

Membre de la Direction Médecins Autre profession de santé Pharmacien, employé de laboratoire,etc.

Extrêmementimportant

Très important Important Peu important Pas du toutimportant

Pour

cent

ages

• Les Médecins semblent êtres les plus préoccupés par les questions de rémunération. • C’est en effet la seule catégorie professionnelle à avoir choisi à plus de 50% « Extrêmement important » ou « Très important ».• Les moins convaincus sont les Membres de la Direction qui répondent de manière plus nuancée (35% pensent que ce facteur est peu voire pas du tout

important).

NB Questions seulement posées aux Professionnels de la santé

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© 2015 Deloitte General Services 52

Technologie (partie B – 4/7)Selon vous, le facteur de succès suivant est important dans l'implémentation du dossier électronique des patients (DSP) : Disposition des médecins à être transparents ?

35

19

33

57

48 4640

10

0

2723

1917

52

14

03 2 0

0

15

30

45

60

75

Membre de la Direction Médecins Autre profession de santé Pharmacien, employé de laboratoire,etc.

Extrêmementimportant

Très important Important Peu important Pas du toutimportant

Pour

cent

ages

• Les Pharmaciens et Employés de laboratoire sont clairement les plus préoccupés par cet élément 67% des personnes interrogées ont répondu soit « Extrêmement important » ou « Très important ».

NB Questions seulement posées aux Professionnels de la santé

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© 2015 Deloitte General Services 53

Technologie (partie B – 5/7)Selon vous, le facteur de succès suivant est important dans l'implémentation du dossier électronique des patients (DSP) : Support et implication des Médecins dans la mise en place et le déploiement du DSP ?

39

21 21

4344 45 43

1917

27 3033

05

25

0 2 40

0

15

30

45

60

75

Membre de la Direction Médecins Autre profession de santé Pharmacien, employé de laboratoire,etc.

Extrêmementimportant

Très important Important Peu important Pas du toutimportant

Pour

cent

ages

• Il semble que l’un des principaux éléments de préoccupation des Membres de la Direction soit l’implication des Médecins. En effet, aucune personne de cette catégorie professionnelle n’a répondu que ce facteur n’était que « Peu » ou « pas Important ».

• Il sont par contre 83 % à estimer cela « Extrêmement important » ou « Très important ».

NB Questions seulement posées aux Professionnels de la santé

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© 2015 Deloitte General Services 54

Technologie (partie B – 6/7)Selon vous, le facteur de succès suivant est important dans l'implémentation du dossier électronique des patients (DSP) : Assurance d'une protection élevée des données personnelles ?

74

48

56

43

17

32

23

33

912

18 19

04

05

04 3

00

10

20

30

40

50

60

70

80

90

100

Membre de la Direction Médecins Autre profession de santé Pharmacien, employé de laboratoire,etc.

Extrêmementimportant

Très important Important Peu important Pas du toutimportant

Pour

cent

ages

• La protection des données est de loin le critère le plus important pour l’ensemble des catégories interrogées Plus de 55% des personnes ont sélectionné « Extrêmement important ».

NB Questions seulement posées aux Professionnels de la santé

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© 2015 Deloitte General Services 55

Technologie (partie B – 7/7)Selon vous, le facteur de succès suivant est important dans l'implémentation du dossier électronique des patients (DSP) : Aisance dans l'utilisation des outils informatiques par les Médecins ?

48

37

20

48

26

35 35 33

1723

38

59

3 4

14

0 2 30

0

15

30

45

60

75

Membre de la Direction Médecins Autre profession de santé Pharmacien, employé de laboratoire,etc.

Extrêmementimportant

Très important Important Peu important Pas du toutimportant

Pour

cent

ages

• De façon générale, les personnes interrogées - et indépendamment de leur catégorie professionnelle - donnent une réponse identique En moyenne plus de 91% d’entre elles pensent que ce facteur est important voire même très ou extrêmement important.

NB Questions seulement posées aux Professionnels de la santé

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© 2015 Deloitte General Services 56

Technologie (partie C – 1/5)Dans quelle mesure êtes-vous ou seriez-vous à l'aise de pratiquer les types d'interaction suivants ?

19

3

19

3030 28

36

4244

62

41

22

7 7 5 61

0

15

30

45

60

75

Recevoir une question de santé par e-mailou SMS

Etre consulté par connexion vidéo (p. ex.FaceTime, Skype)

Utiliser votre ordinateur, tablette,... pourcommuniquer et échanger avec les

patients

Utiliser une vidéo, un programme informatique ou une application pour

s’informer davantage

Déjà pratiqué A l'aise Pas à l'aise Je ne sais pas le dire/Jene suis pas sûr(e)

Pour

cent

ages

• Comme les Consommateurs en 2013, les Professionnels sont en général disposés à utiliser les nouvelles technologies dans leurs interactions / modes d’information et de communication.

• Cependant, le recours aux nouvelles technologies comme mode d’interaction est aujourd’hui encore relativement peu pratiqué.• La consultation par connexion vidéo semble être la pratique avec laquelle les Professionnels se sentent le moins à l’aise (idem que les Consommateurs 2013).

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© 2015 Deloitte General Services 57

Technologie (partie C – 2/5)Dans quelle mesure êtes-vous ou seriez-vous à l'aise de recevoir une question de santé par e-mail ou SMS ?

NB Pour les Consommateurs la question exacte posée était : Dans quelle mesure êtes-vous ou seriez-vous à l'aise avec les types d'interaction suivants ? Envoyer une question de santé à un médecin ou à un autre professionnel de la santé par e-mail ou SMS

2225

1510

79 1013

5

2126

20 2014

3130

40

48

57

31

13

5 4

1411

0

15

30

45

60

75

Membre de la Direction Médecins Autre profession de santé Pharmacien, employé delaboratoire, etc.

Consommateur (résultats2013)

Déjà pratiqué Très à l'aise A l'aise Pas à l'aise Je ne sais pas ledire/Je ne suis pas…

Pour

cent

ages

À titre illustratif

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© 2015 Deloitte General Services 58

Technologie (partie C – 3/5)Dans quelle mesure êtes-vous ou seriez-vous à l'aise d’être consulté par connexion vidéo (p. ex. FaceTime, Skype) ?

NB Pour les Consommateurs la question exacte posée était : Dans quelle mesure êtes-vous ou seriez-vous à l'aise avec les types d'interaction suivants ? Consulter un médecin ou un autre professionnel de la santé par connexion vidéo (p. ex. FaceTime, Skype)

03 4

0 2

17

2

115

13

2619

22 1922

48

70

58

67

35

9 7 510

50

0

10

20

30

40

50

60

70

80

90

100

Membre de la Direction Médecins Autre profession de santé Pharmacien, employé delaboratoire, etc.

Consommateur (résultats2013)

Déjà pratiqué Très à l'aise A l'aise Pas à l'aise Je ne sais pas ledire/Je ne suis passûr(e)

Pour

cent

ages

À titre illustratif

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© 2015 Deloitte General Services 59

Technologie (partie C – 4/5)Dans quelle mesure êtes-vous ou seriez-vous à l'aise à utiliser votre ordinateur, smartphone ou tablette pour communiquer et échanger avec les patients ?

NB Pour les Consommateurs la question exacte posée était : Dans quelle mesure êtes-vous ou seriez-vous à l'aise avec les types d'interaction suivants ? Utiliser votre ordinateur, smartphone ou tablette pour échanger (envoyer ou recevoir) une image ou une photo liée à un problème de santé personnel, une maladie ou une blessure avec un médecin ou autre professionnel de la santé

1723

18

10 74 7

11 10

19

35

2430

24 2630

4239

52

36

13

4 3 5

11

0

15

30

45

60

75

Membre de la Direction Médecins Autre profession de santé Pharmacien, employé delaboratoire, etc.

Consommateur (résultats2013)

Déjà pratiqué Très à l'aise A l'aise Pas à l'aise Je ne sais pas ledire/Je ne suis passûr(e)

Pour

cent

ages

À titre illustratif

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© 2015 Deloitte General Services 60

Technologie (partie C – 5/5)Dans quelle mesure êtes-vous ou seriez-vous à l'aise à utiliser une vidéo, un programme informatique ou une application pour smartphone ou tablette pour s'informer davantage sur des problématiques de santé / pathologies / traitements spécifiques ?

NB Pour les Consommateurs la question exacte posée était : Dans quelle mesure êtes-vous ou seriez-vous à l'aise avec les types d'interaction suivants ? Utiliser une vidéo, un programme informatique ou une application pour smartphone ou tablette pour en savoir plus ou pour choisir entre différents traitements pour un problème de santé

22

40

27

10 8

30

8

1824

1922 2328

3330

13

23 22

29 29

13

7 4 5

14

0

15

30

45

60

75

Membre de la Direction Médecins Autre profession de santé Pharmacien, employé delaboratoire, etc.

Consommateur (résultats2013)

Déjà pratiqué Très à l'aise A l'aise Pas à l'aise Je ne sais pas ledire/Je ne suis passûr(e)

À titre illustratif

Pour

cent

ages

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Technologie (partie D – 1/2)Quelles sont selon vous les informations disponibles sur Internet les plus pertinentes à consulter par vos patients ? (Ci-dessous classé par importance de pertinence)

Elements Professionnels

Informations concernant les disponibilités de médecins / respectivement le service de garde des hôpitaux 1

Informations concernant le bien-être, la prévention ou un mode de vie sain (p. ex. fitness, nutrition, régime, sommeil, tabac, exposition au soleil) 2

Informations pour localiser ou choisir un établissement hospitalier 3Informations pouvant aider à choisir une assurance complémentaire 4

Informations sur des médicaments (p. ex. coûts, sécurité, efficacité, effets secondaires, alternatives) 5

Informations concernant la couverture, les avantages ou les coûts liés à notre assurance complémentaire 6

Informations pouvant aider à choisir un hôpital 7

Informations sur des dispositifs médicaux comme les appareils auditifs, prothèses, tensiomètres, thermomètres etc. (p. ex. coûts, sécurité, efficacité, effets secondaires, alternatives) 8

Informations concernant une maladie, une blessure ou un problème de santé (p. ex. symptômes, tests, traitements, suivi) 9

Informations concernant une facture médicale ou une demande de remboursement des frais 10

Informations concernant les coûts/prix des services (p. ex. consultations, tests, procédures) 11Informations concernant la qualité des soins proposés par un ou plusieurs médecins généralistes, spécialistes ou autres Professionnels de santé 12

Aucune des réponses ci-dessus 13

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© 2015 Deloitte General Services 62

Propositions d’amélioration

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© 2015 Deloitte General Services 63

Propositions d’amélioration du système de santé luxembourgeois

Plus d’analyse des avantages et

inconvénients des médicaments

Plus de reconnaissance et

développement de la médecine

alternative

Acquisition et mise à jour des compétences tout au

long du parcours professionnel

Meilleure détection et

contrôle des abus

Plus de coordination et de « coaching » direct de la part du

médecin généraliste

Davantage d’informations

comparatives sur la qualité des soins et des établissements

Optimisation de l’utilisation des compétences

« Pas tout partout »

Réévaluation des prestations à rembourser

Meilleure communication, coopération et coordination

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© 2015 Deloitte General Services 64

Conclusions

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© 2015 Deloitte General Services 65

Principales ConclusionsSecteur de santé luxembourgeois en 2014Nous avons pu constater que les perceptions des professionnels et des consommateurs se rejoignent sur la plupart des thématiques abordées. 40% des professionnels qualifient le système de santé comme très bon voire excellent, ce qui témoigne d’un avis plus critique que ceux des consommateurs de soins en 2013 qui étaient 50% à l’évaluer ainsi.

Pour les professionnels, les 3 facteurs principaux d’augmentation des coûts du système sont, par ordre d’importance :

1. Le comportement des assurés (habitudes de vie et mode alimentaire)

2. L’utilisation excessive des tests diagnostics / actes médicaux et chirurgicaux

3. Les nouvelles technologies et équipements

Une grande majorité des professionnels estiment que la création de centres de compétences va augmenter encore la qualité des prestations sans forcément engendrer une diminution des coûts, ce qui est en ligne avec la perception des consommateurs.

Concernant l’expérience idéale à l’hôpital, les professionnels de santé mettent en avant le niveau de connaissances et de compétences des médecins et des soignants qui permettent de répondre efficacement aux problèmes de santé à traiter. De plus, le processus de prise en charge et le service au patient comprenant des explications de qualité, sont également deux facteurs qu’ils considèrent comme très importants.

Les raisons invoquées par les professionnels de soins pour se faire soigner à l’étranger sont :

1. La qualité supérieure du diagnostic et de la prise en charge.

2. La disponibilité des médecins et des hôpitaux capables de fournir des traitements spécifiques au problème de santé des patients.

Sur le sujet du dossier de soins partagé (DSP), l’assurance d’une protection élevée des données personnelles est considérée comme le facteur le plus important du succès de sa mise en œuvre.

En outre, selon les professionnels, l’informatisation des dossiers médicaux via notamment l’introduction du DSP, aura un impact positif sur la gestion, l’accessibilité des données médicales et la coordination des activités de soins.

Enfin, les professionnels, comme les consommateurs de soins, sont positifs par rapport à l’utilisation des nouvelles technologies dans le futur.

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Luc BrucherPartner+352 451 454 [email protected]

Leader Healthcare and Life Sciences

Health Care and Life Sciences (HCLS) Leadership

Karine PontetDirecteur+352 451 452 [email protected]

Healthcare and Life Sciences

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Deloitte refers to one or more of Deloitte Touche Tohmatsu Limited, a UK private company limited by guarantee (“DTTL”), its network of member firms, and their related entities. DTTL and each of its member firms are legally separate and independent entities. DTTL (also referred to as “Deloitte Global”) does not provide services to clients. Please see www.deloitte.com/lu/about for a more detailed description of DTTL and its member firms.

Deloitte provides audit, tax, consulting, and financial advisory services to public and private clients spanning multiple industries. With a globally connected network of member firms in more than 150 countries and territories, Deloitte brings world-class capabilities and high-quality service to clients, delivering the insights they need to address their most complex business challenges. Deloitte’s more than 200,000 professionals are committed to becoming the standard of excellence.

In Luxembourg, Deloitte consists of 74 partners and about 1,500 employees and is amongst the leading professional service providers on the market. For over 60 years, Deloitte has delivered high added-value services to national and international clients. Our multidisciplinary teams consist of specialists from different sectors and guarantee harmonised quality services to our clients in their field.

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