escapade musicale au pays des cerisiers en fleurs

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ESCAPADE MUSICALE AU PAYS DES CERISIERS EN FLEURS

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Découvrez votre jardin japonais comme vous ne l'avez jamais vu, tableau vivant, sonore, magique et éphémère...

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Page 1: Escapade Musicale au Pays des Cerisiers en Fleurs

ESCAPADE

MUSICALE

AU PAYS

DES CERISIERS

EN FLEURS

Page 2: Escapade Musicale au Pays des Cerisiers en Fleurs

Peinture par Francesca CHO www.francescacho.com

Page 3: Escapade Musicale au Pays des Cerisiers en Fleurs

Imaginez que votre jardin japonais, l'espace d'une soirée, se métamorphose en lieu de musique et de lumière. Mais il ne s'agit pas d'une lumière "morte" ; la Lumière est ici vivante, et se fond aux reliefs, change de couleurs et de textures au gré du flux musical.

Les mélodies japonaises, pour soprano et piano, rendent hommage aux valeurs et à la philosophie du Japon, tandis que la musique descriptive et poétique de Six Japanese Gardens, de la compositrice finlandaise Kaija Saariaho, s'inspire directement des jardins qu'elle a visités lors de son séjour au Japon, et plonge l'auditoire dans son imaginaire. Marimba d’Amore nous permettra quant à elle de découvrir l’univers de Keiko Abe, une des artistes japonaises les plus populaires dans le monde. Maki Ishii nous offre pour sa part, avec Thirteen Drums, une conclusion rythmique et spectaculaire inspirée des Taiko.

Pour cette « Escapade Musicale au Pays des Cerisiers en Fleurs », Gérald Lafosse, créateur lumière renommé, peintre aux faisceaux lumineux, transcendera ce lieu en offrant de nouvelles perspectives visuelles surprenantes et inattendues...

Découvrez votre jardin japonais comme vous ne l'avez jamais vu, tableau vivant, sonore, magique et éphémère...

Conception Conception Conception Conception & Direction artisitique& Direction artisitique& Direction artisitique& Direction artisitique Amélie STILLITANO & Raphaël SIMON

InterprèteInterprèteInterprèteInterprètessss Kaoli ISSHIKI, soprano

Amélie STILLITANO, piano

Raphaël SIMON, percussions

Créateur LumièreCréateur LumièreCréateur LumièreCréateur Lumière Gerald LAFOSSE

RRRRégie Généraleégie Généraleégie Généraleégie Générale François BANCILHON

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Page 5: Escapade Musicale au Pays des Cerisiers en Fleurs

Programme des œuvresProgramme des œuvresProgramme des œuvresProgramme des œuvres

� Marimba d’AmoreMarimba d’AmoreMarimba d’AmoreMarimba d’Amore (marimba) KEIKO ABE 10’

� Six Japanese GardensSix Japanese GardensSix Japanese GardensSix Japanese Gardens (percussions et électronique) KAIJA SAARIAHO 18’

� Thirteen DrumsThirteen DrumsThirteen DrumsThirteen Drums (percussion solo) MAKI ISHII 11’

� Mélodies japonaisesMélodies japonaisesMélodies japonaisesMélodies japonaises (soprano, piano) 30’

• SADAO BAKKU La ruelle du Cerisier

• KOSAKU YAMADA Le son de flûte qui tremble à la lumière, qui danse au soleil

• HIDEO KOBAYASHI L’hommage à l’Iris japonais

• HIKARU HAYASHI 4 mélodies du soir

1. Le soir est comme un grand livre

2. Qui éteint la lumière ?

3. Dans la chambre vide à côté

4. Pour le soir qui accueille la mort

• YOSHINAO NAKADA Les pissenlits

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KAIJA SAARIAHOKAIJA SAARIAHOKAIJA SAARIAHOKAIJA SAARIAHO

Kaija Saariaho, née en Finlande le 14 octobre 1952 apprend la musique à partir de l'âge de 6 ans, avec comme instruments le violon, le piano et l'orgue. Elle étudie les arts visuels à l’Université des arts industriels d’Helsinki, avant de se consacrer, dès 1976, à la composition avec Paavo Heininen à l’Académie Sibelius, où elle obtient son diplôme en 1980. Elle participe à des rencontres entre jeunes compositeurs, et forme un groupe qu'ils appellent Korvat auki (« oreilles ouvertes » en finlandais), qui comprend entre autres Magnus Lindberg, Jouni Kaipainen, Esa-Pekka Salonen, Jukka Tiensuu. En 1980, Saariaho se rend à Darmstadt et y découvre l'école spectrale française, en particulier la musique de Tristan Murail et de Gérard Grisey, ce qu’elle vit comme une véritable révélation. Elle quitte ensuite la Finlande pour étudier à Fribourg-en-Brisgau, auprès de Brian Ferneyhough et Klaus Huber, pendant deux ans, puis à l'IRCAM à Paris, pour se former à l'informatique musicale. Elle vit à Paris depuis 1982. Elle enseigne la composition à San Diego, Californie (1988-89), et à l’Académie Sibelius à Helsinki, de 1997 à 1998, puis à nouveau entre 2005 et 2009.

Le travail de Kaija Saariaho s’inscrit dans la lignée spectrale. Son parcours est jalonné de nombreux prix qui couronnent ses oeuvres les plus importantes : Kranichsteiner Musikpreis pour « Lichtbogen » (1986), oeuvre qui révéla la tonalité personnelle et lumineuse de Kaija Saariaho au sein de l’esthétique spectrale ; Prix Ars Electronica et Italia pour « Stilleben » (1988). La composition de « L’Amour de loin », opéra sur un livret d’Amin Maalouf, mis en scène par Peter Sellars, signe une nouvelle étape où les principes issus du spectralisme se doublent d’un lyrisme nouveau.

SIX JAPANESE GARDENSSIX JAPANESE GARDENSSIX JAPANESE GARDENSSIX JAPANESE GARDENS (1993-1995) pour percussion et électronique

1.Tenju-an Garden of Nanzen-ji Temple 2. Many Pleasures (Garden of the Kinkaku-ji) 3. Dry Mountain Stream 4. Rock Garden of Ryoan-ji 5. Moss Garden of the Saiho-ji 6. Stone Bridges,

« Six Japanese Gardens, pour percussion et électronique, a été composé par Kaija Saariaho pendant l'été 1993, alors qu'elle était invitée à

travailler pendant deux mois au Centre de musique informatique et technologie musicale de l'Université Kunitachi. Six Japanese Gardens reflète les impressions que j’ai eues dans les jardins de Kyoto, pendant mon séjour au Japon de l’été 1993, et mes réflexions sur le rythme à cette période. Comme l’indique le titre, la pièce est divisée en six mouvements. Chacun donne un visage particulier au matériau rythmique, en partant d’un premier mouvement très simpliste, dans lequel l’instrumentation principale est présentée, jusqu’à des polyrythmies complexes ou des figures ostinato, ou bien l’alternance de rythmes et de matériaux purement coloristes. La sélection des instruments est volontairement réduite pour donne de l’espace pour la perception des évolutions rythmiques. Egalement, les couleurs, limitées, sont étendues avec la partie électronique, dans la quelle nous pouvons entendre des bruits de la nature, des chants rituels, et des instruments de percussion enregistrés au Kunitachi College of Music avec Shiniti Ueno. Les sections pré mixées sont déclenchées par le percussionniste pendant la pièce à partir d’un ordinateur Macintosh. » Kaija Saariaho

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KEIKOKEIKOKEIKOKEIKO ABEABEABEABE

Née à Tokyo en 1937, Keiko Abe commence à jouer du xylophone à l’école primaire, puis avec Eiichi Asabuki. Dès l’age de 13 ans après avoir remporté un concours de talents organisé par NHK elle commence sa carrière professionnelle en jouant en live sur des radios telles que NHK, et enregistre ses premiers disques chez Columbia Japan... Elle obtient parallèlement son Bachelor ainsi que son Master de Musique à l’Université de Tokyo Gakugei.

En 1962, elle crée avec deux élèves d’Asabuki, le Xebec Marimba Trio, jouant de la musique populaire et des arrangements de Keiko Abe. Entre 1962 et 1966 le groupe enregistre plus de sept albums. En 1963, Keiko Abe est choisie par Yamaha pour aider à l’élaboration d’un nouvel instrument. Cette collaboration verra naître le marimba à cinq octaves qui est devenu l’instrument standard des marimbistes. Par ailleurs, ses compositions parmi lesquelles "Michi", "Variations on Japanese Children's Songs", et "Dream of the Cherry Blossoms" sont considérées comme des incontournables du répertoire de marimba. Keiko Abe tente également de développer le répertoire de l’instrument, ne s’arrêtant pas à ses compositions, passant commande auprès d’autres compositeurs, et en encourageant les jeunes compositeurs. Elle a, à ce jour ajouté pas moins de 70 compositions au répertoire, et utilise l’improvisation comme élément central de son développement musical.

Keiko Abe est une figure emblématique du marimba comme Isaac Stern est une figure du violon, ou Yo Yo Ma du violoncelle. Interprète et compositeur Keiko Abe joue un rôle important dans l'établissement du marimba comme instrument de concert à part entière, et sa musique est jouée dans des récitals à travers le monde entier. Elle anime des Master Classes dans des conservatoires réputés d'Amérique du Nord, d'Europe et d'Asie. De plus elle a reçu de nombreuses récompenses, dont celle en 1993 d'être la première femme à faire partie du Percussive Arts Society Hall of Fame. Abe est professeur de musique à l'Ecole de musique Toho Gauken de Tokyo, tout en ayant un agenda bien rempli par la composition et les tournées. Elle a à son actif plus de 20 enregistrements.

MARIMBA D’AMORMARIMBA D’AMORMARIMBA D’AMORMARIMBA D’AMOR (1998) pour marimba

« Cette pièce pour marimba solo est très difficile à la fois techniquement mais également musicalement. Comme on peut le deviner d’après le titre, il s’agit d’une évocation de l’amour sous toutes ses formes. Reprenant la chanson de Paul Martini « Plaisir d’Amour”, la pièce démontre les difficultés mais aussi les plaisirs qui vont de paire avec toute forme d’amour, alternant des passages très lyriques avec des passages à la “Abe”. C’est sûrement l’une des pièces les plus abouties et les plus intéressantes de Keiko Abe. » Ethan Pani

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MMMMAKI ISHIIAKI ISHIIAKI ISHIIAKI ISHII

Né à Tokyo le 26 mai 1936, Maki Ishii est le troisième enfant du grand danseur et chorégraphe Baku Ishii, pionnier de la danse moderne au Japon. De 1952 à 1958, il étudie la composition et la direction d’orchestre dans sa ville natale, puis à Berlin auprès de Boris Blacher et de Josef Rufer.

En 1962, il rentre au Japon mais revient à Berlin en 1969, invité par le DAAD (Office allemand d’échanges universitaires), pour

prendre part au « Berliner Künstlerprogramm ». Dès lors, ses activités de composition et de direction se partagent entre les deux pays. Ses oeuvres ont été jouées partout dans le monde et de nombreux concerts-portraits du compositeur ont été organisés, entre autres au Festival d’Automne de Paris (1978), aux Berliner Festwochen (1981), à l’Été japonais de Genève (1983), au festival Music Today de Tokyo (1987), dans la série de concerts symphoniques de la Fondation Suntory (1989), par l’Orchestre symphonique métropolitain de Tokyo (1990) et l’Orchestre Residentie de La Haye (1992).

En 1997, Ishii a été directeur artistique du Festival sino-japonais de musique contemporaine de Pékin. Créé à Utrecht et Berlin en

octobre 1999, son premier opéra, Tojirareta Fune (Das Schiff ohne Augen), a été représenté pour la première fois au Japon, au Théâtre Nissay de Tokyo, en novembre 2000. Des oeuvres telles So-gu pour shakuhachi et piano ou Mono- Prism pour tambours japonais taiko et orchestre occidental ont vu le jour dans les années soixante-dix. Le ballet en deux actes Kaguyahime a rencontré un vif succès entre 1988 et 1993 au Japon, aux Pays-Bas et en France.

Maki Ishii est décédé le 8 avril 2003.

THIRTEEN DRUMSTHIRTEEN DRUMSTHIRTEEN DRUMSTHIRTEEN DRUMS (1985) pour Percussion Solo

« La percussion a toujours joué un rôle important dans mon travail. On peut dire que dans la Percussion, on trouve non seulement tous les paramètres nécessaires : rythme, harmonie, mélodie, complexité et richesse des timbres, mais qu’on y trouvera probablement la source d’une réflexion nouvelle dans notre façon de concevoir et percevoir la musique. » Maki Ishii

Thirteen drums débute par un conflit : un ostinato rythmique tenace joué sur un tambour, constamment interrompu par une violente déflagration sur l’ensemble des instruments. À propos de cette oeuvre, Maki Ishii évoquait deux mondes, dont l’implosion aboutit à la naissance d’un troisième : musique lente et intérieure où, un peu à la manière du théâtre nô, c’est la concentration sur le geste qui donne naissance au discours musical.

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MÉLODIES JAPONAISESMÉLODIES JAPONAISESMÉLODIES JAPONAISESMÉLODIES JAPONAISES SADAO BEKKU (1922- ) CNSM de Paris dans la classe de Darius Milhaud et d’Olivier Messiaen. La ruelle du cerisierLa ruelle du cerisierLa ruelle du cerisierLa ruelle du cerisier Quand j’empreinte la ruelle du cerisier en saison, je me souviens de mon amour jeunesse. On avait surnommé ma bien aimée « La reine du cerisier en fleur », qu’est-elle devenue maintenant ? HIDEO KOBAYASHI (1931- ) L’hommage à l’Iris japonaisL’hommage à l’Iris japonaisL’hommage à l’Iris japonaisL’hommage à l’Iris japonais Avec un peu de nostalgie, le poète décrit le paysage dans la transition fin printemps, début été dans la montagne japonaise - le ciel bleu, l’ombre des arbres, les iris, les violettes…. KOSAKU YAMADA (1886 - 1965) École de la musique de Berlin, Classe de Max Bruch Le son de Le son de Le son de Le son de flûte qui tremble à lflûte qui tremble à lflûte qui tremble à lflûte qui tremble à la lumière, qui danse au soleil a lumière, qui danse au soleil a lumière, qui danse au soleil a lumière, qui danse au soleil La jeune mariée s’enivre de son bonheur au son de la flûte de son époux. HIKARU HAYASHI (1931 - ) Quatre mélodies du soirQuatre mélodies du soirQuatre mélodies du soirQuatre mélodies du soir Des poèmes surréalistes et philosophiques, autour du thème du coucher de soleil 1. Le soir est comme un grand livre 2. Qui éteint la lumière ? 3. Dans la chambre vide à côté 4. Pour le soir qui accueille la mort YOSHINAO NAKADA (1923- 2000) Le pissenlitLe pissenlitLe pissenlitLe pissenlit 1e partie : Le paysage du printemps avec la jolie fleur de pissenlit, zéphire, chants d’oiseaux...

2e partie : Le poète gravement malade se demande combien de temps encore il pourra voir cette fleur…

Tous ces compositeurs japonais sont originaires de Tokyo, et ont étudié à l’Université Nationale des Beaux-Arts et de la Musique de

Tokyo. Cette université est une école qui existe depuis 100 ans, la plus vieille école du Japon pour la musique classique occidentale.

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KKKKaoli aoli aoli aoli ISSHIKI,ISSHIKI,ISSHIKI,ISSHIKI, SopranoSopranoSopranoSoprano

Après avoir étudié à l’Institut de l'Université Nationale des Beaux-Arts et de la Musique de Tokyo, et avoir obtenu son Master de Musique, Kaoli Isshiki s’installe en France en 1996. Parallèlement à ses études à l’École Normale de Musique de Paris, elle débute sa carrière de chanteuse au sein des ensembles vocaux Accentus/AXE21, Musicatreize et Nederlands Kamerkoor.

Elle poursuit sa carrière de soliste avec l’Ensemble InterContemporain, VocaalLab Nederland, l’Ensemble TM+, l’Ensemble 2e2m, l’Octuor de Violoncelle de Beauvais, aux côtés de Christophe Desjardins, Marc Coppey ou Pablo Marquez.

Elle a notamment interprété des œuvres de Steve Reich (Tehillim), Louis Andriesen (De Staat), Giacinto Scelsi (Tre canti popolari, tre canti sacri), Ton Ta Tiet (L’arbalète magique / rôle de Princesse Mi Chau), Antonio Chagas Rosa (Feiticeiras), Pierre Boulez (Improvisations sur Mallarmé), Jonathan Harvey (Song offerings), Leos Janaček (Řicadla), George Crumb (Ancient Voices of Children), Arvo Pärt (L'Abbé Agathon), Paul Méfano (Micromégas, Estampes Japonaises), Ivan Fedele (Paroles), Paul Hindemith (Die Serenaden), Villa-Lobos (Bachianas Brasileiras), Roland Auzet (Fatal plumage, Kataract), Berlioz, Ravel, Stravinsky etc…

En 2001, elle obtient le 2e prix opéra du Concours International de Chant de Paris, et le prix spécial Henri Lemoine du Concours International d'interprétation de la mélodie française à Toulouse.

Kaoli ISSHIKI a également enregistré des œuvres des compositeurs français Bruno Mantovani (L’enterrement de Mozart), Pascal Dusapin (Granum Sinapis), Maurice Ohana (Messe), Felix Ibarrondo (Urrundik), Dominique Lemaître (Circé), Paul Méfano (Micromégas).

Kaoli Isshiki se passionne aussi pour la musique baroque française, et obtient en 2003 le 2ème prix au Concours International du chant baroque de Chimay, présidé par William Christie.

En 2004, elle a participé à l’enregistrement par Il Seminario Musicale d’un DVD appelé « Les Tombeaux » à partir de l’œuvre de Marc Antoine Charpentier.

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Amélie Amélie Amélie Amélie STILLITANO,STILLITANO,STILLITANO,STILLITANO, PianoPianoPianoPiano

Née en 1989, elle débute ses études musicales à l’Académie de Musique Fondation Prince Rainier III où elle étudie le piano de 2000 à 2006, avec Emmanuel Zoccola puis Antoine Dumans.

Après l’obtention de son baccalauréat option internationale avec mention, elle rencontre le soliste Pascal Gallet, avec lequel elle travaille occasionnellement à Paris. Durant l’année scolaire 2007-2008 elle travaille à Strasbourg avec Michèle Renoul, pianiste de l’ensemble Accroche Note.

En Septembre 2008, elle est admise à l’Ecole Normale de Musique Alfred Cortot de Paris dans la classe de Jeanine Bonjean, ancienne élève et assistante d’Alfred Cortot. Suite à son départ en retraite, elle intègre la classe de son assistante, Katarina Barboteu.

Entre 2006 et 2009, elle reçoit une bourse de la Principauté de Monaco pour ses études.

Depuis 2010, elle se lance en association avec Raphael Simon, dans la conception de spectacles autour de la musique contemporaine, du théâtre, de la danse et des lumières.

En septembre 2010, elle participe à la création de la « Nuit Magique au Jardin Japonais de Monaco » où elle joue en compagnie de la soprano japonaise Kaoli Isshiki des mélodies japonaises contemporaines de Bakku, Yamada, Kobayashi, Nakada…

Amélie Stillitano se produit ponctuellement à Paris pour des concerts privés, et accompagne régulièrement des chanteurs.

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Raphaël Raphaël Raphaël Raphaël SIMONSIMONSIMONSIMON, Percussions, Percussions, Percussions, Percussions

Né en 1983, il étudie les percussions à l’ENM de Valence puis intègre la classe de Christian Hamouy (ancien professeur du CNSM de Lyon et ex directeur artistique et soliste des Percussions de Strasbourg) à l’Académie de Musique Fondation Prince Rainier III de Monaco après son baccalauréat. Il y obtient en 2005 un Premier Prix Mention très bien à l’unanimité, puis un Prix de Perfectionnement avec les félicitations du jury en 2007.

Raphaël Simon est boursier de la SO.GE.DA (Ministère de la Culture de Monaco) en 2005, 2006, 2007. Il obtient également en 2006 et 2007 une bourse de la Fondation Princesse Grace pour aller étudier au Aspen Music Festival and School (Colorado).

Il rencontre alors Jean-Pierre Drouet avec lequel il travaille régulièrement et qui devient son mentor.

Il a l’occasion de travailler avec de nombreux interprètes et compositeurs : Vinko Globokar, Yan Maresz, Zad Moultaka, Jean-Christophe Marti, Thierry de Mey, Eric Sammut, Emmanuel Séjourné, Julien Bourgeois, Jonathan Haas, Ben Hermann … ; et de jouer dans divers orchestres : Opéra de Paris, Opéra de Toulon, Opéra de Lyon, Orchestre Philarmonique de Nice et Monte-Carlo, Ensemble Instrumental de l’Ariège…

Depuis 2007 Raphael Simon se lance dans une carrière de soliste, et a déjà eu de nombreuses occasions de se produire avec l’ensemble Musicatreize (Festival d’Avignon, Festival d’Aix en Provence, Festival de la Chaise Dieu, 38ieme Rugissants, Abbaye de Royaumont…), l’ensemble C Barré, l’Orchestre Philarmonique de Monte-Carlo, l’Orchestre de Chambre de Moscou, récital Xenakis au Festival musique et architecture au Couvent de la Tourette…

Il a également eu le privilège de créer la pièce pour percussion Au-dela d’une étude pour la percussion de Vinko Globokar lors de la demi-finale de la Gaudeamus Interpreters Competition en 2009.

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Gérald Gérald Gérald Gérald LAFOSSELAFOSSELAFOSSELAFOSSE,,,, Création LCréation LCréation LCréation Lumièreumièreumièreumière

Eclairagiste concepteur - designer - directeur photo

Spectacle vivant, Evénementiel-Publicité, Architecture-lieux publics, Tournées internationales et festivals

Création lumière pour une trentaine de pièces de théâtrepièces de théâtrepièces de théâtrepièces de théâtre (Shakespeare, Mishima, Racine, Molière … Théâtre de l’Odéon Paris, Théâtre Romea Barcelone, Théâtre Nowali Varsovie…) concertsconcertsconcertsconcerts (Percussions de Strasbourg, Jean-Michel Jarre, Magma, Jean-Claude Eloy, Pierre Henry … Palais Omnisport Paris Bercy, City Stadium Pékin et Shanghaï, Festival Hall Londres, Olympia Paris …) opéras opéras opéras opéras (Mozart, Donizetti, Purcell … Théâtre des Champs Elysées Paris, R.O.H. Covent Garden Londres … ) événementiel événementiel événementiel événementiel (Aventis, HSBC CCF, Toyota, Citroën, General Motor … Palais des Congrès Strasbourg Cannes Paris, Musée Art Moderne Paris, Musée Cluny Paris, E.N.S. Beaux Arts Paris …) architecture et spectacles permanentsarchitecture et spectacles permanentsarchitecture et spectacles permanentsarchitecture et spectacles permanents (Rabat-Maroc, Futuroscope-France, Tsukuba-Japon …) multiplexmultiplexmultiplexmultiplex vidéotransmissionvidéotransmissionvidéotransmissionvidéotransmission (Renault, Canon, Sofinco … CNIT La Défense, Carrousel du Louvre, Hippodromes Longchamp et Vincennes ….)

FFFFrançois rançois rançois rançois BANCILHON, BANCILHON, BANCILHON, BANCILHON, RRRRégieégieégieégie GGGGénéraleénéraleénéraleénérale François Bancilhon est un collaborateur récurrent de Musicatreize, de la compagnie Opéra3 et de Jeanne Roth, pour qui il a notamment réalisé les décors en 2008 (L’enterrement de Mozart, de Bruno Mantovani ; La Servante Maîtresse de Pergolèse). Il a travaillé depuis 1994 auprès des plus grands metteurs en scène du paysage théâtral français, comme régisseur et constructeur (Ariane Mnouchkine, Roger Planchon, Christophe Rauck, Pierre Guillois, Philippe Adrien, Josef Nadj). Il collabore également avec Matthieu Roy et la Compagnie du Veilleur. Ces productions l’ont emmené dans des théâtres aussi prestigieux que variés (Théâtre de la Cartoucherie, Théâtre du Peuple de Bussang, CDN de Besançon, Studio 24 de Villeurbanne).

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9 Boulevard Clémenceau

67000 Strasbourg

Tel : 06.64.88.00.85 / 06.03.82.89.15

@ : [email protected]

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SIRET : 522.450.824.00019

Licence d’entrepreneur de spectacle de type 2 : 2-1037752