ekev

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Lehaim Feuillet aussi distribué par les FRENCH NESHEI CHABAD / NEW YORK 347-627-9209 Entrée: : 7:37 pm Sortie: 8:37 pm Velivraha SI LE VISAGE QUE TU VOIS DANS LE MIROIR NE TE PLAIT PAS CE N’EST PAS FORCEMENT LE MIROIR QU’IL FAUT CHANGER! ב״הChabbath Ekev 20 Av / 16 Aout N.274 Réalisé par Y. Berrebi 054.700.73.67 https://www.facebook.com/groups/LeHaim.VeLivraha/ Le 20 Av aura lieu La HILLOULA du père du Rabbi Rabbi Levi-Ytshak Schneorson.

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Page 1: Ekev

Lehaim

Feuillet aussi distribué par les FRENCH NESHEI CHABAD / NEW YORK

347-627-9209

Entrée: :

7:37 pm Sortie:

8:37 pm

Velivraha

SI LE VISAGE QUE TU VOIS DANS LE MIROIR

NE TE PLAIT PAS

CE N’EST PAS FORCEMENT LE MIROIR

QU’IL FAUT CHANGER!

ב״ה

Chabbath Ekev 20 Av / 16 Aout N.274

Réalisé par Y. Berrebi 054.700.73.67

https://www.facebook.com/groups/LeHaim.VeLivraha/

Le 20 Av aura lieu La HILLOULA du père du Rabbi Rabbi Levi-Ytshak Schneorson.

Page 2: Ekev

Résumé Parachat EKEV

Moche poursuit ses réprimandes, et il promet aux Enfants d’Israël que, s’ils accomplissent les Mitsvot, ils connaîtront la prospérité sur la Terre d’Israel. Il rappelle aussi les fautes commis: le veau d’or, Korah, la faute des explorateurs….. Mais il souligne aussi le pardon des fautes et les Secondes Tables de la Loi données après leur Techouva. Moche décrit la terre d’Israël comme un pays « ruisselant de lait et de miel », béni par les « Sept Espèces » (le blé, l’orge, le raisin, la figue, la grenade, l’huile d’olive et la datte) Un lieu où les yeux de D… sont tournes en permanence.. Il ordonne au peuple de détruire les idoles se trouvant en Erets-Israel. Un passage essentiel de la paracha est constitué par le second paragraphe du Chéma Ce passage est également la source du commandement de prier et comporte une référence à la résurrection des morts lors de l'ère messianique.

* « Veaya Ekev Tichmeoune » sont les premiers mots de la Paracha. Nous savons que lorsqu’un passage commence par « Vayeh’i » il annonce de mauvaises choses alors que quand le passage commence par « Veaya » ce sont des bonnes choses a prévoir. On nous apprend ici que: « Tichmeoune » lorsque vous respecterez les Mitsvot « Ekev » a la fin des temps, cela provoquera « Veaya » une grande joie dans le ciel. En effet, bien que notre niveau de connaissance ainsi que d’accomplissement des Mitsvot est bien inferieur a celui des générations antérieures, malgré tôt, au regard de l’obscurité imposante, ces Mitsvot prennent une valeur considérable aux yeux d’Hachem. * Le texte nous enjoint de respecter les Mitsvot en ces termes: « Veaya Ekev Tichmeoun ete Amichpatim Aele ». Pourquoi le Passouk ne cite que les Michpatim et pas les Houkim ou les Edouyot ??? Ekev fait référence aux talon et cela correspond, dans l’accomplissement des Mitsvot a la soumission. Or c’est justement a propos des Michpatim qu’il est nécessaire de rappeler le besoin de soumission car en ce qui concerne les Houkim et les Edouyot, cela va de soit. Les Houkim et les Edouyot sont des Mitsvot que l’on ne comprend que partiellement voire pas du tout, il est donc logique que leur accomplissement passe par la soumission (la crainte) alors que les Michpatim qui sont des Mitsvot compréhensibles, sont elles, accomplie par amour. C’est pourquoi la Thora nous demande ici d’accomplir les Michpatim avec soumission, puisque ce n’est pas automatique. * « Veaya Ekev Tichmeoune » peut se traduire par « Si jamais vous respecte mes lois » soit par « Lorsque vous respecterez mes lois ». Dans le premier cas, il n’est pas certain que la personne accomplira les Mitsvot alors que dans le second cas, c’est une certitude, c’est juste une question de temps puisqu’a la fin des temps, la Thora nous promet que tout le monde fera Techouva et que nul ne sera abandonne.

* Rachi explique le premier verset « Veaya Ekev Tichmeoune » en disant que ceux sont les Mitsvot que les gens ont tendance a accomplir sans réel enthousiasme, contrairement aux Mitsvot de la Thora ou des Hahamim qui elles, sont accomplie avec ferveur et joie. Le Midrash lui dit qu’il s’agit des Mitsvot que les gens jettent sous leur talon, autrement dit, que l’on se fixe un ordre d’importance entre les Mitsvot, celles de la Thora en priorité, puis celles instaurées par nos sages, ensuite les barrières établies pour nous protéger de la faute …. Alors qu’en réalité, un Juif ne doit jamais oublier que les Mitsvot sont la volonté d’Hachem, et que chaque Mitsva qui se présente a nous doit être réalisée de la meilleure manière sans autre considération. Et même si cela parait absurde a notre logique, c’est de cette manière que nous devons nous comporter, respecter les petites Mitsvot que l’on peut faire même si nous ne faisons pas encore (pour le moment) les Mitsvot de base. * La Thora nous promet que aucune des maladies envoyées en Egypte ne s’abattra sur le peuple Juif. C’est pour cela que dans la Haggada, les sages cherchent a augmenter au maximum le nombre de maladies qui touchèrent l’Egypte. Rabbi Yosse Haglili fixe a 10 les plaies qui touchèrent les égyptiens en Egypte et 50 plaies sur la mer. Rabbi Eliezer considère que chaque plaie était composée de 4 (40 en Egypte et 200 sur la mer). Rabbi Akiva, lui, enseigne que chaque plaie était composée de 5 (donc 50 en Egypte et 250 sur la mer). Tout cela afin d’augmenter par la même occasion le nombre de plaie qui ne s’abattront jamais sur le peuple Juif !!! * Le Talmoud enseigne que dans ce monde la récompense de la Mitsva n’existe pas, pourtant nous trouvons a plusieurs endroits des promesse faites en ce sens (Les pluies viendront en leur temps, dans le Chema Israel …..) En réalité, il ne s’agit pas ici de récompense, mais uniquement (selon le Rambam) de conditions pour nous permettre d’accomplir les Mitsvot dans les meilleures conditions. Comme un roi qui donneraient les meilleurs ustensiles a ses employés afin qu’ils réalisent un travail de meilleure qualité. Car un Juif dont les soucis remplissent la tête ne peut se consacrer convenablement a l’étude a la prière ou aux Mitsvot.

COMMENTAIRES EKEV

Page 3: Ekev

Rav Raskin est un des très nombreux émissaires du Rabbi. Il est la entre autre pour redonner vie a la communauté et pour s’occuper de tout ce qui touche de près ou de loin a la vie Juive. Il se souvient d’un épisode survenu il y a de nombreuses années mais dont il se souvient encore dans ces moindres détails. « Un soir, très tard, j’ai reçu un coup de téléphone d’un certain M. Lugassy. « Monsieur le rabbin, je sais que nous ne nous sommes rencontrés qu’une fois il y a des années, mais vous êtes le seul rabbin que je connaisse et j’ai besoin de votre aide. Une de mes clientes, une Juive d’un certain âge, vient de perdre son père ce soir. Or celui-ci, avant de mourir, avait demandé à être incinéré. C’est un ancien combattant et la société à laquelle il était affilié accepte de couvrir les frais de la crémation, puisque telle était sa volonté, mais ne prendra pas en charge les frais d’un enterrement. J’ai dit et répété à ma cliente que l’incinération est contraire à la loi juive mais elle estime qu’elle doit honorer les dernières volontés de son père. De toute manière, la famille n’a pas de quoi payer un enterrement. Mr le Rabbin, il faut faire quelque chose !!! » Il n’y avait pas une minute a perdre. Il était près de minuit quand je suis arrivé à la porte de la famille en deuil. J’ai expliqué l’importance d’un enterrement juif. J’ai ajouté que, très certainement, le défunt avait demandé l’incinération parce qu’il ignorait combien c’est interdit par la loi juive. « Votre père se trouve maintenant dans le Monde de Vérité. Pensez à ses souhaits tels qu’ils sont maintenant. Je vous garantis que, de là où il est, il comprend les choses différemment et qu’il souhaite a présent plus que tout, être enterre comme un Juif ». Autant j’étais passionné par ma plaidoirie pour un enterrement en bonne et due forme, autant la famille restait intraitable quant à la nécessité d’honorer les « derniers vœux » du père. Cela dura plus d’une heure, j’avais exposé tous les arguments auxquels j’avais pensé, rien ne marchait. Je ne savais plus quoi dire ni quoi faire pour empêcher le pire. Finalement, je décidai de téléphoner à un bénévole, membre de la « ‘Hévra Kadicha », la société qui s’occupe des derniers devoirs: peut-être trouverait-il des mots plus convaincants que les miens. Voici ce qu’il me dit : « Monsieur le Rabbin, Expliquez-leur ceci: La tragédie de l’holocauste a consisté en trois drames : combien de Juifs ont été assassinés, comment ils ont été assassinés et le fait que la plupart d’entre eux n’ont jamais eut le mérite d’être enterrés. Comment peut-on volontairement dénier à un Juif l’enterrement que tant des nôtres n’ont pu obtenir ? Que l’enterrement auquel vous allez procéder soit un hommage à l’un des six millions de nos martyrs qui n’ont jamais eu l’honneur et la dignité d’une inhumation selon les règles du judaïsme ! Ne les laissez pas ajouter encore une infamie, celle de la crémation volontaire, à la tragédie ! » Tremblant, je raccrochai le combiné, me tournai vers la famille et répétai mot a mot ce que je venais d’entendre. Au fur et à mesure de mon argumentation, la résistance de la famille s’affaiblit.

Leur sentiment juif avait refait surface et ils avaient réalisé qu’un enterrement cachère n’était pas une option mais une de leurs obligations filiales envers leur père, envers son peuple. Mais il restait un détail à régler : qui paierait ? Bien qu’ils aient été très touchés par mes paroles, ils affirmèrent qu’ils n’avaient pas de quoi payer. Il était maintenant deux heures du matin. Je leur promis que, d’ici le lendemain matin, j’aurais réuni la somme nécessaire et je pris congé non sans avoir fait transférer le défunt dans les locaux de la ‘Hévra Kadicha, qui ferait réciter des Psaumes à son chevet toute la nuit. Le lendemain, j’appris que la communauté disposait de fonds pour les obsèques des indigents : j’en informai donc la famille et ajoutai que l’enterrement pourrait se faire le jour-même. En discutant de la cérémonie, j’expliquai que les prières seraient prononcées devant la tombe. La famille insista pour que le service religieux soit célébré dans une synagogue. Or cette dépense n’était pas comprise dans le forfait alloué par la caisse de bienfaisance. Je ne savais plus quoi faire, il ne me restait que très peu de temps pour résoudre ce problème. La famille insista et posa même un ultimatum : Soit l’office se faisait a la synagogue, soit ils feraient incinérer leur défunt père ! Déstabilisé par cette demande, je me repris et promis que je parviendrais à obtenir l’argent nécessaire. Tout cela afin qu’un homme que ni moi, ni la communauté n’avions connu! Je téléphonai à plusieurs donateurs et Barouh Hachem aucun d’entre eux ne refusa de participer à cette Mitsva exceptionnelle. Un Juif devait être enterré de façon cachère et chacun se sentit concerné. Le lendemain la famille et les amis se rassemblèrent dans l’oratoire et rendirent un dernier hommage à un homme qui, grâce à la Providence divine et grâce à l’amour et la solidarité d’autres Juifs, avait mérité d’être enterré comme il se doit. Je pus m’apercevoir encore une fois que rien ne résiste a la volonté et que, quand on le désire réellement, Hachem est a nos cotes !!!

PAS QUESTION !!!

Mazal Tov Mazal Tov

YOEL CHLOMO BERREBI CH’

Pour ta Bar-Mitsva Que tu grandisse comme un

Hassid Yire Chamaiim et Lamdan.

Page 4: Ekev

Pirke-avot Michna chapitre 4

« Le monde a été crée par 10 paroles….

Pour punir ceux qui le détruisent et

Pour donner du mérite a ceux qui le font vivre »

* Dans le passage de la création du monde, il y a dix paroles « Et l’Eternel dit que la lumière soit » «Et l’Eternel dit que le firmament soit » …. Ou plus exactement 9. La première étant « Berechit Bara Elokim… » Pourquoi Hachem a-t-il eu besoin de crée le monde en 10 paroles si de toute façon le moindre aurait pu être crée par une seule parole ??? Pourquoi le Tsadik qui fait vivre le monde (ou le Racha qui le détruit) sont ils plus méritants (ou redevables) puisque le monde aurait pu être crée par une seule parole ??? C’est comme si une personne vole un objet qui a une valeur de 100 Shekel mais que la personne avait paye 200 Shekel, combien doit rembourser le voleur ??? Bien évidemment 100 Shekel ! Puisque c’est la valeur de l’objet vole. Mais nous sommes obliges de dire dans ce cas précis que si Hachem l’a crée par 10 paroles et non pas une seule, c’est que le monde que nous avons et qui a été crée par 10 paroles est meilleur, que celui qui aurait été crée par une seule parole. * Nos sages nous disent que la première parole est une parole globale qui inclus toutes les autres qui ne sont que des détails.

Avec la première parole Hachem a crée le monde et TOUT ce qu’il contient et les 9 autres paroles, Hachem a séparer et fait sortir chaque chose a sa place.

* Le texte de « Achre » est récité deux fois dans la prière du matin et une fois durant la prière de l’après-midi. * Nos sages disent que « tout celui qui dit 3 fois chaque jour ce texte aura sa part au monde futur. » * Lorsqu’on prononce les mots: « Poteah été yadeha… » (ouvre ta main et donne a chaque créature sa subsistance de bon cœur) on doit penser qu’Hachem nourrit chaque créature sur la terre. En effet, tous les animaux de la terres, les poissons de la mer les oiseaux du ciel, les insectes, les papillons… reçoivent chaque jour leur subsistance des mains d’Hachem alors si Hachem peut nourrir des milliards d’animaux, ne peut il pas aussi me nourrir a moi aussi ??? * Nos maitres nous disent que lorsqu’on voit un cormoran plonger dans l’eau pour y chasser sa proie, il faut avoir conscience que le poisson qui va être pêche a déjà été choisi par Hachem qui s’inquiète de la subsistance de chaque créature. * Celui qui n’a pas pense a cela devra répéter la phrase en y pensant cette fois-ci. * Ce texte est composée de phrases commençant par les 22 lettres de l’alphabet (sauf las lettre NOUNE car c’est la première lettre du mot Nefila qui signifie « tomber »). Mais David Hameleh qui est a l’origine de ce texte ne l’a pas complètement oublie puisque dans le passage suivant (Someh Hachem lehol anoflim) exprime l’idée qu’Hachem soutient et relève ceux qui sont tombes. * Le texte commence par « Tehila Ledavid » et se termine par « Veete kol arechaiym yachmid » mais deux versets lui ont été rajoute au début (« Achre yochve veteha…. » et « Achre am chekaha lo ……. ») et deux autres a la fin (« Tehilat Hachem yedaber pi ….. » et « Vaanahnou nevareh y.a ….. »).

Tefila

« achre yochve veteha »

« Heureux celui qui est assis dans ta maison d’étude »

Ce feuillet est dédié a l’élévation de l’âme de

HAFSEYA GUILA bat MAZAL TOV

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