du voix et symptômes 2016 - paris diderot university
TRANSCRIPT
Photo : Adrien Toubiana, avec son aimable autorisation
Diplôme d’Université
ADDICTIONS :
CLINIQUE DES RISQUES ET DÉPENDANCES
Responsable universitaire : M. Eric TOUBIANA
Responsable pédagogique : Dr Hassan RAHIOUI
Université Paris Diderot Paris 7
UFR d’Études psychanalytiques
Service Formation Continue
Case 7058
75205 Paris Cedex 13
www.ep.univ-paris-diderot.fr
UFR d’Études psychanalytiques 2015-2016
2
RESPONSABLES
Responsable universitaire : Éric TOUBIANA, Maître de Conférences Université Paris Diderot,
Psychothérapeute Analyste service psychiatrique 7ème arrdt Paris, Analyste,
Responsable pédagogique : Dr Hassan RAHIOUI, Psychiatre Médecin chef de Pôle du 7ème
arrdt Paris, Enseignant Chercheur Université Paris Diderot.
Superviseurs :
Dr Françoise BLANADET, Praticienne Hospitalière, Service du 7ème, Hôpital Henri EY,
Dr Pierre ZANGER, Psychiatre et Psychanalyste.
En collaboration avec Le Groupe Public de Santé Perray-Vaucluse
Dr Hassan RAHIOUI : Hôpital Henri EY
Dr Marc VALLEUR : Hôpital MARMOTTAN
Fondateurs : Éric TOUBIANA, Pierre ZANGER, Éric MALAPERT
PUBLIC
Ce DU s'adresse à tous les professionnels de la santé qu'ils soient en exercice ou en
formation. Un plancher est fixé à Bac +3/4 ou à une expérience de terrain de plus de 5
années. Ce DU concerne particulièrement les cliniciens en butte à la particularité des
comportements observables. Il nécessite donc une certaine connaissance des pathologies qui
seront mises en chantier. Une connaissance qui ne soit pas trop approximative de la
psychopathologie et de ses théories s'avèrera nécessaire afin de pouvoir suivre et bénéficier
de l'enseignement proposé.
Psychiatres, médecins généralistes ou spécialistes, médecins du travail, cadres d’institution de
soin, psychanalystes, psychologues cliniciens, psychologues du travail, psychologues scolaires,
éducateurs spécialisés, infirmiers hospitaliers ou libéraux, infirmiers cadres ou de terrain,
travailleurs sociaux, étudiants en fin de cursus, constituent les inscrits habituels de cette
formation.
Cependant les responsables des services des relations humaines ou leurs collaborateurs, les
chevilles ouvrières des réseaux associatifs, les juristes et hommes de loi, trouveront
naturellement leur place au sein de ce DU.
Enfin les personnels de l’Education Nationale, enseignants comme encadrants, trouveront
dans ce DU bon nombre d’éclairages devant un phénomène épidémique qui traverse la
globalité du champ social, à commencer par les grands enfants ou les adolescents qui sont,
bien entendu, la première cible visée par certaines addictions venant contrarier leurs
acquisitions de connaissances.
Ce DU n’est pas ouvert aux étudiants (Licence ou Master) ni aux jeunes diplômés de moins
de deux ans, relevant de la Formation Initiale.
3
PRESENTATION
Le Diplôme d’Université proposé par la formation continue de l’UFR d’Études
Psychanalytiques de l'Université Paris Diderot a la particularité de réunir son équipe de
recherche et d'enseignement dont la réputation n'est plus à faire avec les équipes de
praticiens hospitaliers tout aussi renommés, celles du Groupe Public de Santé Perray-
Vaucluse.
Ce groupe hospitalier parisien comprend deux hôpitaux : l'hôpital Henri EY et l'hôpital
Marmottan auxquels il faut ajouter les structures annexes qui leurs sont rattachées. L'hôpital
Marmottan a été, avec le Dr Claude Olivenstein, le pionnier dans la prise en charge des
toxicomanies ; il est maintenant un modèle de prise en charge des addictions grâce au Dr
Marc Valleur. Les équipes de hôpital Henri EY ont été, avec le Dr Pierre Bailly Salin un
modèle dans la mise en place de la politique de sectorisation, il est devenu une référence
dans la qualité des soins qu'il propose et possède lui aussi une structure de prise en charge
spécifique des pathologies addictives grâce au Dr Hassan Rahioui qui a succédé au Dr Éric
Malapert. [Le Docteur Éric Malapert a été avec M. Éric Toubiana et Pierre Zanger le
fondateur de ce DU]. Les pratiques des pôles de Psychiatrie et d’Addictologie seront ainsi
mises en parallèles, dans l’espoir que ces parallèles puissent se croiser et se joindre.
De plus, le DU sur les Addictions et la clinique des Risques et Dépendances collabore
étroitement avec l'Université Fédérale de Rio de Janeiro, celles de San Paolo et les services
de soin de cette ville.
En juin 2015, les Presses Universitaires de France (PUF) publient la seconde édition revue
augmentée et d’un ouvrage: « ADDICTOLOGIE CLINIQUE », sous la Direction d’Eric
Toubiana. Un véritable manuel de près de 900 pages.
4
INTERVENANTS PRESENTIS
(*sous réserve de modifications)
Pr. Paul-Laurent ASSOUN, Professeur Université Paris Diderot.
Dr. Mario BLAISE, Psychiatre Médecin chef de l’Hôpital Marmottan.
Dr Françoise BLANADET, Praticienne Hospitalière, Service du 7ème Paris.
Dr. Muriel GREGOIRE, Psychiatre, Praticienne Hospitalière Hôpital Marmottan
Dr. Michel HAUTEFEUILLE, Psychiatre, Praticien hospitalier l’Hôpital Marmottan.
Dr. Ali GORSANE, Psychiatre, Praticien Hospitalier, service7ème Arrdt Paris
Pr. Philippe JEAMMET, Professeur Honoraire Institut Montsouris.
Dr. Laurent KARILA, Psychiatre, Praticien Hospitalier Hôpital Paul Brousse.
Dr. Isabelle LAFFONT, Psychiatre, praticienne Hospitalière service 7ème Arrdt
Dr. Sophie LAURET, Praticienne Hospitalière service du 7ème
Dr. A. MERCUEL, Psychiatre Chef du Pôle Précarité Hôpital St Anne
Mme. Marie-Christine MARSON, Psychologue Précarité. Paris.
Dr. Cécile MENIOUX, Psychiatre, Praticienne Hospitalière 7ème Arrdt Paris
Dr. Pascale MOINS, Psychiatre, Médecin Chef de Pôle L’Elan Retrouvé, Consultante au CMP du 7ème
Dr Hassan RAHIOUI, Psychiatre, Médecin chef du service de psychiatrie du 7ème. Arrdt Paris.
M. Éric TOUBIANA, Maître de Conférences Université Paris Diderot, Psychothérapeute Analyste
Superviseur, attaché 7ème Arrdt Paris.
Dr Marc VALLEUR, ex-Médecin chef de l’hôpital Marmottan
Pr. Alain VANIER, Professeur Université Paris Diderot
OBJECTIFS
RAPPEL : le terme d'addiction tire trop souvent et faussement sa racine du verbe anglo-
saxon «Addict», Joyce Mac Dougall ayant été une des premières psychanalystes à réutiliser ce
terme, mais sa racine réelle est latine : l'addiction est un terme juridique français qui signifie
«l'ordre du magistrat par lequel le créancier recevait le droit de saisir la personne du débiteur et de
le traiter comme sa chose» nous rappelle le Larousse. Cette définition rend bien mieux compte
de la problématique qui agite l'addicté. Il n'est que la chose de celui à qui il doit de pouvoir
rester en vie, il est saisi par son toxique...
Les pathologies dites «Addictives» tiennent de plus en plus de place dans les pratiques du
psychiatre, de l’addictologue, psychanalyste et du thérapeute, du psychologue clinicien et du
travailleur social, du médecin généraliste et du médecin spécialiste, des exécutifs et des
législatifs, sans compter bien sûr les membres du corps enseignant et les gestionnaires
d’entreprises (monde du travail). Tous sont constamment sollicités par des problématiques
qui ne sont pas toutes réellement nouvelles mais qui prennent une propension envahissante.
5
Les procédures juridiques et les hospitalisations sous contrainte ou à la demande d'un tiers
sont devenues fréquentes et obligent à considérer de façon plus attentive ces activités
aliénatoires. Nous les connaissions déjà mais elles peuvent être maintenant comparées à de
véritables épidémies qui génèrent une souffrance psychique ostensiblement exprimée. Des
activités qui auparavant ne pouvaient être exercées que dans des lieux dits «réservés»,
fleurissent maintenant dans une solitude où la console informatique devient l'unique
compagne.
Les addictions aux jeux en sont un exemple. Le Poker connaît actuellement une très grande
vogue et certaines structures de soin ont dû même se spécialiser pour ce type d’addiction
bien plus toxique qu’il n’y paraît. La modernité permettant de pratiquer ce jeu en ligne n’a
fait que potentialiser sa force attractive. L‘hôpital Marmottan animé par le Dr Marc Valleur fut
une des premières institutions à ouvrir une consultation spécialisée ouverte aux ‘’joueurs
pathologiques’’.
Cependant, se focaliser sur les jeux en ligne et les cyberaddictions empêcherait de
considérer dans son ensemble le phénomène clinique des addictions et les problématiques
psychiques qui s'y rattachent. L'alcool, le tabac, l'héroïne, la cocaïne, les ecstasys et cracks en
tout genre ainsi que d'autres pharmacopées restent plus que jamais des agents addictogènes
majeurs.
Et puis, un nouveau comportement, et non des moindres, est venu prendre une place de
choix dans la liste déjà longue des addictions, à savoir les SEX ADDICTS. Si ces addictions
avaient donné lieu à une trentaine de pages dans la première édition d’‘’Addictologie
Clinique’’, un nombre beaucoup plus conséquent de feuillets leur sera consacré dans l’édition
à paraître et dans l’enseignement dispensé au sein de ce DU.
Ainsi, si le sexuel (au sens où la psychanalyse l’entend, c’est-à-dire le sexuel généralisé, le
libidinal…) était déjà abordé, c’est aussi à la sexualité en tant qu’activité employée comme un
toxique que nous nous intéresserons plus largement.
Le mot « addiction » tend à se conjuguer de manière souvent trop extensive, un flou
artistique usurpe souvent la place d'une approche plus raisonnée des phénomènes observés.
Multiples sont les questions qui se posent : sommes-nous devant un symptôme ou une
structure ? La prise de toxiques est-elle la seule démonstration envisageable ou y a-t-il un
élargissement de la gamme de comportements où la prise de risques est le dénominateur
commun ? Peut-on assimiler toutes les conduites compulsives à des comportements
addictifs ? Sommes-nous en droit de penser qu'une observation psychanalytique, soit-elle la
plus fine et la plus juste puisse être suffisante dans les situations d'urgences qui se
multiplient ? À l'inverse peut-on se satisfaire de l'illusion salvatrice d'un déconditionnement
du symptôme addictif ou doit-on aller plus en profondeur dans la prise en charge de patients
qui n'attendent que de répéter leurs conduites ou d'en choisir d'autres qui auront le même
effet auto-calmant sur la pulsion ?
Face à une demande croissante, les formations proposées se multiplient. La formation
proposée par ce Diplôme d’Université de Paris Diderot a l'ambition de répondre à ces
6
demandes par une pluralité de champs de registres explicatifs où l'approche psychanalytique
sera néanmoins privilégiée. Négliger ce que les approches comportementalistes et
neurobiologiques apportent à la compréhension des addictions serait faire preuve d'un
dogmatisme aussi encombrant qu'aveuglant. Restreindre une approche des addictions à une
simple question d'apprentissage ou de dérèglement biologique serait tout aussi dogmatique
et restrictif. Globaliser le tout sans être pour autant exhaustif est le but avoué de cette
formation.
Ce DU s'adresse à des participants ayant déjà une expérience du terrain étudié ou effectuant
un stage formateur dans une structure où ils auront à se familiariser avec les problématiques
addictives. La pratique clinique sera mise à l'épreuve lors de groupes de supervision menés
par des analystes ayant déjà une solide expérience clinique. Cette primauté donnée à la
clinique et à l'expérience vécue sera le vecteur organisateur de cette formation.
Une série de communications suivies de débats scandera l'approche clinique et tentera de
théoriser l'expérience vécue. De multiples facettes des addictions seront abordées, entre
autres :
- Problèmes nosographiques.
- Comorbidité et addiction.
- Structures, symptômes ou comportements ?
- Neurosciences et addictions.
- Les effets iatrogènes des addictions.
- Élargissement des addictions hors de la prise de toxiques.
- Sériation des différentes formes d'addiction.
- Addictions et conduites à risques.
- L'enfant, l'adolescent et les addictions.
- Les nouvelles addictions : la pulsion à l'épreuve du virtuel
- Hight Tech et conduites addictives.
- Extension de l'addiction aux activités dites sublimatoires.
Nous ne mésestimerons pas un instant la fonction de soupape remplie par ces particularités
comportementales, tant en ce qui concerne l'appareil psychique du sujet que l'organisation
politique des états et nations en proie à ces débordements mais qui sans eux auraient un
devenir paradoxalement plus mortifère. La géopolitique des toxiques, le rapport du trafic de
ces toxiques et la fonction de régulateur social paradoxal ne sera pas oubliée tout au long de
l’année d’enseignement de ce DU.
Mais c’est de ‘’Risquer le pire pour mieux éviter pire encore’’, c’est ce paradoxe qui sera le fil
rouge de notre élaboration; les concepts de Risque et de Prise de Risque seront «les
fantômes» qui nous accompagneront tout au long de cette année.
7
CONTENU
Groupes de supervision
La supervision aura lieu le matin de 10h à 11h30 ou de 11h30 à 13h, selon les groupes.
Chaque groupe de supervision est constitué d'une dizaine de personnes et animé par un
superviseur analyste. La supervision permettra à chacun de pouvoir faire part des
implications, des difficultés, et des avancées dans leur cursus. Les participants pourront
également réfléchir à l'utilisation qu'ils comptent faire de cette formation lors de leur
pratique ultérieure et aux différentes implications cliniques dans ces pratiques.
Enseignement
Un cycle de 20 conférences est proposé le vendredi à 14h, du 06 novembre 2015 au 10
juin 2016. (Voir la liste des conférenciers)
Un séminaire se tiendra ensuite (16h-17h30) :
- discussion autour de la conférence
- élaboration du mémoire clinique
Stage
Au vu de la particularité de la matière abordée, le lieu de travail pourra éventuellement être
utilisé comme terrain de stage, à la condition évidente qu'il s'y prête. Si ce n'était pas le cas,
un stage obligatoire d'une soixantaine d'heures au minimum (et 100h maximum) sera
demandé et nécessaire à la validation. Le matériel observé durant le stage servira à suivre les
groupes de supervision.
Un travail de méthodologie
Il aura lieu tout au long de la formation et permettra à tous les participants de rédiger un
mémoire théorico-clinique validant définitivement cette formation. Ce mémoire d'une
quarantaine de pages fera l'objet d'une soutenance auprès d'un jury. Une quarantaine
d'heures seront consacrées à ce travail méthodologique. Éric Toubiana assurera la
permanence de ces ateliers.
Le mémoire devra être rendu et soutenu en juin.
8
PROGRAMME
- Toxicologie ou Addictologie. Présentation. M. Eric TOUBIANA, Maitre de
Conférences Université Paris Diderot
- Addictions au Cannabis et comorbidités. Dr Hassan RAHIOUI, Médecin chef de Pôle
7ème arrdt Paris
- Les conduites à risque : L’Ordalie et le Jeu. Dr Marc VALLEUR, Ex Médecin chef
Hôpital Marmottan
- Conduites de prise en charge. Dr Mario BLAISE, Médecin chef Hôpital Marmottan
- Suppléances et Toxiques. Dr Cécile MENIOUX, Praticienne Pôle 7ème Arrdt
- Psychopathologie des Addictions. Dr Françoise BLANADET, Praticienne Pôle 7ème
Arrdt
- Toxicomanies et Psychoses. Dr Muriel GREGOIRE, Praticienne Hôpital Marmottan
- Précarités et Addictions. Mme Marie MARSON et Dr Alain MERCUEL, Service
Précarité Hôpital St Anne
- Le Pulsionnel en œuvre. Pr Paul Laurent ASSOUN, Univ Paris Diderot
- Adolescence en devenir. Pr Philippe JEAMMET, Pr Honoraire Institut Montsouris
- Pour une Topique des Addictions. Pr Alain VANIER, Univ Paris Diderot
- L’Alcool Chasse-Spleen. Dr Pascale MOINS, Médecin chef de pôle Elan Retrouvé
- Polyconsommation et Workoolisme. Dr Michel HAUTEFEUILLE, Hôp. Marmottan
- Pour un Nouveau Protocole psychothérapeutique. Dr Hassan RAHIOUI, Médecin
chef de pôle 7ème arrdt.
- La Ritaline. Dr Isabelle LAFFONT, Praticienne hospitalière service 7ème Arrdt.
- Phénoménologie des opiacés. Dr Mario BLAISE, Médecin Chef Hôpital Marmottan
- La Cocaïne. Dr Laurent KARILA, Praticien hospitalier Hôpital Paul Brousse
- Les Joueurs Compulsifs. Dr. Ali GORSANE, Praticien Hospitalier Service 7ème Arrdt
- La clinique en œuvre. Dr Sophie LAURET, Praticienne hospitalière Service. 7ème Arrdt
- Conclusion : Dr Hassan Rahioui et M Éric TOUBIANA
9
CALENDRIER
100 heures de cours sont échelonnées sur 20 journées et auront lieu le vendredi aux dates
suivantes, de 10h à 11h30 ou 11h30 à 13h (selon les groupes) et de 14h à 17h.
(sous réserve de modifications)
- vendredi 06 novembre 2015
- vendredi 13 novembre 2015
- vendredi 20 novembre 2015
- vendredi 27 novembre 2015
- vendredi 04 décembre 2015
- vendredi 11 décembre 2015
- vendredi 18 décembre 2015
- vendredi 08 janvier 2016
- vendredi 15 janvier 2016
- vendredi 22 janvier 2016
- vendredi 29 janvier 2016
- vendredi 05 février 2016
- vendredi 11 mars 2016
- vendredi 18 mars 2016
- vendredi 01 avril 2016
- vendredi 08 avril 2016
- vendredi 20 mai 2016
- vendredi 27 mai 2016
- vendredi 03 juin 2016
- vendredi 10 juin 2016
1 Journée scientifique sera organisée le 26 septembre 2015 avec
Pr Paul Laurent Assoun
Pr. Christian Hoffman,
Pr Alain Vanier,
Dr Hassan Rahioui,
M. Eric Toubiana,
Dr Marc Valleur,
Dr Michel Hautefeuille,
Pr. Philippe Jeammet,
10
VALIDATION DU DIPLOME
Les étudiants du DU Addictions devront rédiger, en vue de la délivrance du diplôme, un
mémoire théorico-clinique validant définitivement cette formation. Ce mémoire d’une
quarantaine de pages fera l’objet d’une soutenance auprès d’un jury. Il sera soutenu devant
deux des membres du corps enseignant.
Ce mémoire sera une démonstration de la réalité des acquis de ces 21 semaines passées
ensemble. Son importance dans le cursus se veut première. Les conditions d’admission à
l’inscription au DU sont corrélatives de la capacité à intégrer l’enseignement et donc de
pouvoir l’assimiler. Le travail écrit de fin de session fournira la preuve d’une réelle capacité
d’aborder les problématiques addictives dans une construction élaborative assurée.
Validation du diplôme :
Assiduité : ne seront tolérées que 20% d’absences. Au-delà, l’Université se réservera le droit de ne
pas valider le diplôme.
Rédaction d’un mémoire et soutenance orale, noté sur 20
Note exigible : 10 sur 20
L'inscription administrative à l’université pour l’année 2015-2016
est obligatoire
et conditionne la remise du diplôme
COUT DE LA FORMATION
1/ Frais pédagogiques :
- paiement employeur ou formation continue : 2 500 €
- paiement individuel : 1 250 €
2/ Droits administratifs :
L’inscription universitaire pour 2015-2016 est requise afin de couvrir le temps de la
formation et de la soutenance.
Le montant des droits est défini par arrêté ministériel chaque année en juillet.
A titre indicatif : montant des droits 2014-2015 : 261,10 €
N° SIRET : 197 517 238 006 59
Déclaration d’existence n° 1175 POO 1175
11
CANDIDATURE
Pour faire acte de candidature au DU Addiction veuillez nous faire parvenir :
- la fiche de candidature remplie,
- une lettre de motivation,
- un curriculum vitæ,
- une photocopie des diplômes,
- 2 photographies d'identité,
- 2 enveloppes timbrées au tarif en vigueur et libellées à vos noms et adresse,
- la fiche accord de l’employeur signée et tamponnée confirmant la prise en charge institutionnelle, si vous êtes dans ce cas
à l'adresse suivante, avant le 17 octobre 2015 :
Université Paris Diderot-Paris 7
UFR d’Études psychanalytiques
Service Formation Continue
Case 7058
75205 Paris cedex 13
Après examen de votre dossier par les responsables, une réponse écrite vous sera adressée
par mail pour vous signifier l'acceptation ou le refus de votre candidature.
Si besoin, un entretien oral pourra également être signifié. Une fois la candidature acceptée, vous devrez procéder à l’inscription administrative à
l’Université selon les modalités qui vous seront indiquées. Cette inscription devra être
validée avant le début des cours.
RENSEIGNEMENTS - LOCALISATION
La fiche accord employeur et de candidature sont téléchargeables sur le site de l’UFR
d’études psychanalytiques, rubrique Formation Continue / Documents et liens utiles ou sur
le lien : http://www.shc.univ-paris-diderot.fr/spip.php?article259
Localisation
Bât. Olympe de Gouges
Accueil : bureau 414, 4ème étage
8 rue Albert Einstein
75013 Paris
Pour venir
Métro Ligne 14 ou RER C : station Biblio.F.
Mitterrand
Bus : 62, 64, 89, 132, 325
Tram T3a : station Avenue de France
Adresse postale
Université Paris Diderot Paris 7
UFR d'Études Psychanalytiques
Service Formation Continue
case 7058
75205 Paris cedex 13
Contacts
Tél. : 01.57.27.63.54 ou 63.94 ou 63.96,
Courriel : [email protected]
12
Photo : Adrien Toubiana, avec son aimable autorisation