Siddhartha Création théâtrale
Création théâtrale
Siddhartha H e r m a n n H e s s e
adaptation et mise en scène Alexandre Bernhardt
acteur conteur danseur Fabio Ezechiele Sforzini
dramaturgie Nicolas Bernhardt
musique originale Marc LobjoitBruno Kuchalski
Dossier de présentationen vue d'une coproduction, d'une coréalisation ou d'une programmation
Association Théâtre des Trois Oliviers
c/ Alexandre Bernhardt 3 place Olivier 31300 Toulousewww.theatredestroisoliviers.fr
[email protected] : Alexandre Bernhardt 06.61.64.93.96.
siret 488106311 ape 9001ZLicence 315859 catégorie 1
11
Siddhartha Création théâtrale
« Tout s'entremêlait, s'unissait, se pénétrait de mille façons. Et toutes les voix, toutes les aspirations, toutes les convoitises, toutes les souffrances, tous les plaisirs, tout le bien, tout le mal, tout cela ensemble, c'était le monde. Tout ce mélange, c'était le fleuve des destinées accomplies, c'était la musique de la vie. »
22
Siddhartha Création théâtrale
Sommaire
Le projet artistique 4
Origine et évolution de Siddhartha 5
Argument et Forme 6
L'achimie corpstexte 7
L'équipe de création 8Alexandre Bernhardt, metteur en scèneFabio Ezechiele Sforzini, acteur conteur danseurNicolas Bernhardt, dramaturgeMarc Lobjoit et Bruno Kuchalski, musique originale
La compagnie Théâtre des Trois Oliviers 9
Création et besoins 10
Annexe 11Curriculum vitae des membres de l'équipe de création
33
Siddhartha Création théâtrale
Projet artistique par Alexandre Bernhardt
Sur les flancs de l'Himalaya, à Dharamsala, la capitale du Tibet en exil, en Inde, j'ai découvert Herman Hesse avec la lecture du Jeu des Perles de Verre, et, parallèlement, j'étudiais les quatre vérités du Bouddha. Dans le roman comme dans ma vie, l'utopie de l'enseignement parfait était confronté à la réalité doctrinaire. Ces deux pôles s'attirent et se repoussent en nous. Et c'est en lisant Siddhartha que j'ai vraiment senti résonner en moi la possibilité de s'affranchir de ce conflit.
Si je souhaite adapter Siddhartha sur scène aujourd'hui c'est pour partager avec le plus grand nombre cette vision.
Siddhartha est un roman qui traite de l'affranchissement d'un homme avec son moi. C'est le voyage d'un héro en quête d'absolu dans les multiples vies que lui propose sa culture. Cette histoire particulière a un écho universel. Notre défi dans cette adaptation sera autant de faire voyager le spectateur dans un conte de l'inde du VI ème siècle que de lui permettre de s'approprier le propos. Il s'agit donc d'intégrer la narration dans notre culture, la rendre possible n'importe où. La scène se doit donc d'être vide ou d'incarner le vide, comme cette chaise posée là qui attend quelqu'un. La pièce se doit d'être un monologue car il place l'homme à la fois face à sa propre solitude et à l'ensemble du monde. Nous avons alors devant nous la force et la vulnérabilité de ce qu'il y a de plus fondamental en chacun de nous. Voilà pourquoi l'adaptation scénique de Siddhartha sera racontéevécue par un acteurconteur.
Trois styles prédominent dans l'écriture de Hermann Hesse. La narration, où les éléments sont mis en place, les dialogues, où les personnages prennent vie, et les envolées lyriques, où Siddhartha est transcendé par ce qu'il vit. Chaque style a une oralité différente, chaque style sera partagé différemment : la narration verra le rapprochement entre le public et le conteur créant une connivence ; les dialogues verront l'apparition de personnages archétypaux et enfin les envolées placeront la salle dans un état second, une abstraction dansée, pour ouvrir une brèche poétique, sublimée, dans les méandres de l'esprit de Siddhartha.
La révélation de Siddhartha est symbolisée par l'écoute du fleuve, dont le son permet d'entrer en contact avec l'éternel retour des choses. Le fleuve, lieu de passage d'une rive à l'autre, est aussi le symbole de l'unité, étant toujours fleuve à sa source comme à son embouchure. Ainsi, dans Siddhartha le fleuve est bien plus qu'un lieu, c'est un appel. Nous chercherons le design sonore de cet élément pour en représenter toutes ses facettes. Les variations ondulatoires combinées aux rythmiques électroniques actuelles composeront la musique originale de cette pièce.
Mon ambition est de réveiller les consciences dans un spectacle divertissant. L'oeuvre de Hermann Hesse est un bijou littéraire. Ce texte, d'une structure dramaturgique impeccable, aux précisions historiques et symboliques avérées, renferme une caractéristique rare: il est nécessaire. Il soulève des questions essentielles. Chacun y trouve des pistes, l'univers des possibles grandit, et l'on rêve de s'aventurer sur d'autres sentiers. Chacun emportera avec lui ses propres images, ses propres liens, gardant pour lui la vision d'un homme qui danse, pense, jouit, souffre, crève et renaît avec pour unique but celui d'être libre.
44
Siddhartha Création théâtrale
Origine et évolution de Siddhartha
« J'ai su dès l'âge de 13 ans que je voulais devenir écrivain ou rien du tout. »
Hermann Hesse
Hermann Hesse est considéré comme un " auteur en crise " qui, en écrivant, se soumettait à la torture de l'autoanalyse, toujours en quête de sa propre et véritable identité. La maison de ses parents et son éducation ont autant imprégné sa personnalité que son œuvre littéraire. C'est la Mission protestante de Bâle en Inde qui a réuni à Calw, une petite ville de forêt noire, les membres souabes (Gundert) et baltes (Hesse) de sa famille. Le monde dans lequel Hesse est né se caractérise par son côté à la fois étriqué et ouvert : d'un côté la rigueur intègre du piétisme de sa ville natale et de la maison paternelle, de l'autre l'ouverture au monde et la grande culture de ses parents et grandsparents. A deux reprises dans sa vie, l'état psychique de Hesse atteignit un point dramatique. La découverte de la psychanalyse chez le docteur Jose Bernhard Lang, un collaborateur de C. G. Jung, qui l'aida à réfléchir aux conflits de sa jeunesse, constitua un tournant important dans la vie de Hermann Hesse.
« Toutes choses, même la plus banale, touchaient le même point en moi, d'un léger et incessant coup de marteau. Elles contribuaient toutes à me débarrasser de mes peaux, à briser mes coquilles d'œuf, et à chaque fois ma tête en sortait un peu plus haut, un peu plus libre, jusqu'à ce que mon oiseau jaune fît sortir une tête de rapace de la coquille brisée du monde. »
En 1919, Hesse écrit dans une lettre : « Je suis persuadé depuis longtemps que l'esprit européen en est à son déclin et a besoin de retourner à ses sources asiatiques. J'ai vénéré Bouddha durant des années et j'ai lu la littérature indienne dès ma toute première jeunesse. Par la suite, je me suis senti plus proche de Lao Tseu et des autres Chinois. Mon voyage en Inde n'a été qu'un petit complément et une illustration de ces pensées et de ces études. » Le véritable fruit de ce voyage fut son récit paru en 1922, Siddharta.
Hesse croyait en « une religion en dehors, au milieu et audelà des confessions, qui soit indestructible. » Il resta d'ailleurs toujours sceptique à l'égard des dogmes et des doctrines. « Je crois que toutes les religions se valent. Il n'y en a aucune grâce à laquelle on ne puisse devenir un sage, et aucune que l'on ne puisse pratiquer comme une stupide idolâtrie. »
En 1946, Hermann Hesse reçoit le prix Nobel de littérature. Il faudra attendre que Siddhartha soit publié aux ÉtatsUnis pour la première fois en 1951 pour que ce roman connaisse une influence mondiale, surtout au cours des années 60, lorsque, comme il l'avait préssenti, le retour aux sources asiatiques inspirait l'occident.
Tout en ayant les qualités d'un livre de référence sur nombre de questions spirituelles, ce qui frappe dans ce roman c'est son aspect romantique. Siddhartha est un voyage, tout autant intérieur qu'extérieur. Il nous renvoie à nos choix, à nos espérances les plus folles comme les plus modestes. On s'identifie alors, non pas au brahmane, mais à l'homme qui veut tout simplement devenir meilleur. Siddhartha est un roman universel.
55
Siddhartha Création théâtrale
Argument
Siddhartha, le fils de brahmane, qui se sait destiné à devenir un grand sage, ne se satisfait pas de la doctrine de ses pairs. Il quitte son père avec son ami Govinda pour suivre l'enseignement ascétique des Samanas mais il trouve l'ivresse de leur rigueur comparable à celle que procurerai la boisson ou le sexe. Toujours en quête de délivrance et suivi par son ami, il part, sceptique, à la rencontre de Gotama, le Bouddha, dont on dit qu'il est très sage. La sainteté du Bouddha est tellement éblouissante que Govinda décide de prendre refuge auprès de lui. Siddhartha, lui, est alors inspiré, non pour embrasser la doctrine de Gotama, mais pour, au contraire, comme le Sublime, ne s'en remettre qu'à luimême.
Livré à luimême, de l'autre côté du fleuve, il entreprend fièrement la conquète de la belle courtisane Kamala. L'enseignement de l'amour nécessitant de l'argent, Siddhartha, le pauvre Samana, se transforme avec une facilité déconcertante en commerçant avec l'aide du riche Kamaswani. Mais le Sansara aura raison de son estime pour luimême à mesure que les années passent, que les richesses s'accumulent, que sa vie s'étiole dans le jeu, la boisson et la débauche. Ecoeuré, il quitte le monde matérialiste pour se donner la mort au bord du fleuve.
Sur le point de se jeter à l'eau, au plus profond de son âme, un son le retient, le son originel : Om. Il décide alors d'apprendre du fleuve, lieu de sa transformation et de sa révélation, en devenant passeur aux côtés de Vasudeva celui qui savait écouter mieux que personne. Mais le hasard voulu que Kamala vint mourir dans ses bras en lui donnant, à éduquer, son propre fils. Ce dernier, ne voulant pas partager la vie de son père, s'enfuit, plongeant Siddhartha dans un profond désarroi. Et c'est l'écoute du chant des mille voix, des mille vies, de l'Om du fleuve qui libéra définitivement Siddhartha. Bien des années plus tard, le vieux Bouddhiste Govinda part à la rencontre d'un passeur sur le fleuve dont on dit qu'il est très sage. Et c'est ainsi que Govinda pu être ébloui par le rayonnement de la sainteté de Siddhartha.
Chaque génération ne peut être ellemême qu'en se révoltant contre celle qui l'a précédée. Siddhartha, comme toute l'oeuvre de Hermann Hesse traite de l'affranchissement de l'homme avec son moi. C'est un roman d'éducation, de recherche de sa propre voie, c'est un roman d'initiation. Sur fond de révolte contre les doctrines établies de l'Inde du VIème siècle, en passant par la corruption qu'exerce le monde matériel, Siddhartha raconte le parcours d'un homme en quête de sa destinée.
Dans ce XXIème siècle qui, selon Malraux, sera spirituel ou ne sera pas, ce même siècle qui voit la gestion vaincre l'idéologie, on peut diagnostiquer un flou existentiel chez nombre d'entre nous. C'est ainsi que Siddhartha s'inscrit plus que jamais dans notre époque. Le rejet de la culture doctrinaire de nos ancêtres fait apparaître un consumérisme qui inspire le dégout.
Où est donc ce lieu, le seul capable de développer notre singularité ? Où estil notre fleuve, celui que choisit Siddhartha à la fin de sa vie pour s'accomplir en tant que simple passeur ? Par quels chemins doiton passer pour atteindre ce jenesaisquoi qui appelle pourtant chacun d'entre nous ?
Forme
Nous vivrons les questions que proposent le texte. L'adaptation du roman sera une expérimentation d'une nouvelle forme d'identification. Les aspects à mettre en avant sont le caractère romantique de l'oeuvre et son aspect mythologique. Ainsi, Siddhartha n'aura pas de forme, il ne sera pas représenté physiquement. Ses actions seront contées par un conteur, il existera à travers les personnages secondaires (Siddhartha n'a à chaque fois qu'un seul interlocuteur) et nous ouvrirons une porte vers son monde intérieur. Sa forme sera celle que lui donnera le spectateur, ses enjeux seront alors ceux du spectateur.
Nous aurons donc un référent, le conteur, notre complice dans l'observation des actions du héros. Nous aurons des interlocuteurs féériques, icônes que nous connaissons tous : le père, l'ami fidèle, le commerçant, la tentatrice ou encore le vieux sage, qui recevront les dires de Siddhartha. Et nous aurons enfin un esprit en mouvement, celui de Siddhartha. Ces passages intérieurs seront créés, en accord avec le dramaturge qui cadrera l'aspect symbolique, en prenant appui sur la méthode de création : l'alchimiecorpstexte. Cette méthode, élaborée par l'acteur luimême, est un outil qui fait apparaître des formes allant du conteur simplement habité au danseur engagé physiquement d'où jaillit de son souffle toute la puissance d'un texte. L'alchimie corpstexte permettra de sublimer le verbe dans un mouvement sensible et esthétique et de créer chez le spectateur une vision personnelle de l'experience spirituelle que propose Herman Hesse.
La pièce se décompose en trois actes délimités par le fleuve : d'un côté du fleuve, une vie de sainteté, de doctrines et de recherche d'absolu, de l'autre la rencontre de la volupté, de la cupidité et de la débauche et enfin sur le fleuve, le passage à l'accomplissement. Trois styles, trois rythmes d'élocution et de gestuelle sont donc à trouver. Hermann Hesse encadre le deuxième acte avec les thématiques du rêve, du cauchemar et du réveil après un long sommeil. Ces thèmes nous offrent une piste pour le choix des styles : autour d'un voyage à la fois physique et spirituel nous mettrons en avant le conflit entre rêve et réalité. Notre réalité correspondant au cauchemar de Siddhartha, notre rêve à sa réalité. La musique accompagnera l'acteur dans ces changements de tons, le tout avec des variations ondulatoires évoquant le fleuve. Cette dernière aura pour ambition de créer un décor sonore.
66
Siddhartha Création théâtrale
L'alchimie corpstexte par Fabio Ezechiele Sforzini
Alchimie corpstexte : œuvre poétique résultant de la fusion entre le mouvement et la parole. L’alchimie CorpsTexte est une forme idéale conçue afin que l’interprète puisse s’exercer au travail de la création. Comme toutes formes idéales elle touche à l’abstraction dans sa forme la plus extrême. Cela permet aux interprètes de s'exprimer avec une palette d'interprétations qui va du concret de l'acteur de cinéma, à l'abstrait des lignes et des intensités spatiales et d’en choisir la dose lors de la création. L’alchimie CorpsTexte utilise le corps comme instrument principal de la création, en relation avec la voix, au moyen d’un processus d’interdépendance basé sur le choix et l’épuration du mouvement. Cette méthode ne traduit pas un texte en mouvement mais elle rend visible la pensée qui, tel un souffle, traverse le corps et précède la nécessité du dire. De cette manière uniquement, le texte et le mouvement peuvent coexister créant un autre effet poétique, loin de tout pléonasme Le sens poétique est le résultat d’une sorte d’« alchimie » qui se produit par association d’idées chez le spectateur, par la perception du sens du texte, en même temps que l’image produite par le mouvement du corps. La parole est le résultat d’un vécu que l’on ne peut pas ignorer, elle évoque aussi un mouvement qui devient visible pour qui l’écoute. La parole peut faire parler le Corps, de sa mémoire et de sa relation aux autres Corps. Le Corps peut donner à voir ce que la parole ne peut pas nous dire. De cette façon, le spectateur est mis dans une position active (et non passive), créant tout un panorama, un agencement d’images et de symboles produits par son imaginaire. Créant sa propre représentation. En littérature, prenons l’exemple de deux mots : la puissance poétique qu’ils inspirent est d’autant plus forte quand leur proximité, sur la page, est grande et que leur sens respectif est très éloigné . [...] une crête soulevée par le vent sur le sable coagulé du désert [...] Cosmicomics Italo Calvino. C’est en cela qu’il existe un fil rouge qui lie l’alchimie corpstexte, le Surréalisme et les essais de l’OULIPO.
« Le surréalisme est souvent caractérisé par ses rapprochements parfois surprenants, par où il cherche à transcender la logique et la pensée ordinaire pour
révéler des niveaux de signification plus profonds et des associations inconscientes ».
Ainsi travaille l’Alchimie CorpsTexte.
Fabienne Larroque dans « comment sont nées les histoires... » Chantier Aout 2006 crédit photo Valérie Schmitt.
77
Siddhartha Création théâtrale
L'équipe de création
Alexandre Bernhardt, adaptation et mise en scène
Au Conservatoire de Saint GermainenLaye, Alexandre Bernhardt obtient une médaille d’or en théâtre moderne. Il approche par ailleurs les fondements mathématiques de la linguistique en étudiant la formalisation du discours. Il s’initie également, en tant que comédien, à la poésie visuelle. Sa passion pour la mise en scène naît lors d’un stage à la London Academy of Music and Dramatic Art. Parmi ses mises en scène, se distinguent Beaucoup de bruit pour rien de William Shakespeare, et Monsieur Malaussène au théâtre de Daniel Pennac joué
plus de cent fois et encore prolongé. Proche de la danse et du théâtre visuel, il pousse ses comédiens à développer leur propre énergie corporelle.
Fabio Ezechiele Sforzini, acteur conteur danseur
Formé d'abord au clown et aux arts du cirque, Fabio Ezechiele Sforzini axe son apprentissage ensuite autour du mime corporel à Ecole de Mime Corporel Dramatique de Paris au Théâtre de l’ange fou. Comédien polyvalent depuis plus de dixsept ans, il s'initie entre autres à la danse contemporaine, au Kyogen, au chant et à la commedia dell'arte. En tant qu'interprète il se distingue dans Dramuscules de Thomas Bernhart, Homme pour Homme et L'Enfant d'Eléphant de Bertolt Brecht, et Dom Juan de Molière. Ses reflexions sur le théâtre le pousse à développer un procédé de création du comédien qu'il nomme l'alchimie corpstexte et qu'il expérimente dans des chantiers de recherche. Sa capacité de création est sans précédent.
Nicolas Bernhardt, dramaturgie
Formé en audiovisuel à tous ses métiers à L'Institut International de l'Image et du Son, il se spécialise dans l'étude et l'écriture du scénario à l'université de New York. Plus de dix ans de recherches personnelles autour des traditions philosophiques orientales et occidentales lui donnent une expertise en symbolisme religieux et mythologique. Ses voyages, notament dans le cadre d'écriture de guides, lui permettent d'approfondir ces connaissances. Aujourd'hui formateur à la lecture de
l'image, consulté par de nombreux artistes et écrivains, sa participation permet de cadrer rythmiquement, stylistiquement et iconographiquement le projet.
Marc Lobjoit et Bruno Kuchalski, musique originale
C'est sur des bancs de montages que les deux musiciens se rencontrent. Leurs affinités musicales les poussent à fonder un groupe de rock indépendant, Pronto. Marc Lobjoit, après des études à l'Institut International de l'Image et du Son, se forme au CNAM au développement informatique pour maîtriser les algorythmes de conception sonore, tout en étant batteur pour des groupes indépendants. Bruno Kuchalski, pianiste de formation, est compositeur pour l’illustration sonore d'expositions plastiques. L'un explosif et l'autre implosif, ils placent l'auditeur hors du temps.
88
Siddhartha Création théâtrale
La Compagnie Théâtre des Trois Oliviers
« Pour cultiver le plus largement possible, nous plantons aujourd'hui trois grainesd'un arbre aux innombrables vertus »
L'objectif du Théâtre des Trois Oliviers est de défendre la création contemporaine en développant un théâtre actuel et universel dirigé vers l'accessibilité et l'éducation. Ce théâtre s'apparente à un pont pour faciliter l'accès au spectacle vivant. Il offre un théâtre de proximité chez des particuliers, en développant le théâtre en appartement. Il assure la pérennité du théâtre public avec des projets en salle, et œuvre sur ces deux plans avec différents spectacles qui allient le théâtre contemporain mais aussi la danse et la musique, et ce à l'adresse d'un public des plus larges. Certains projets s'adressent aux sourds et aux malentendants à cette intention d'ouverture au public.
Ce sont les choix des œuvres, les choix de mise en scène, axés sur la justesse et la simplicité qui ouvrent une fenêtre sur la création d'aujourd'hui. La poésie, la grâce et l'humour constituent la base du travail du Théâtre des Trois Oliviers pour le plus grand plaisir de ses spectateurs.
Siddhartha sera la troisième création du théâtre des Trois Oliviers. Après le thème de l'amour avec Les Variations Enigmatiques de EricEmmanuel Schmitt, celui de la naissance dans Monsieur Malaussène au théâtre de Daniel Pennac, c'est toute la problèmatique de l'initiation et de l'éducation proposée par Siddhartha qui sera explorée.
Contact
Projet Siddhartha
Alexandre Bernhardt 3 place Olivier 31300 Toulouse Tel : 06.61.64.93.96.
DiffusionCamille LagrenaudieTél : 06.61.21.35.20.
Mail : [email protected] Site internet : www.theatredestroisoliviers.fr
99
Siddhartha Création théâtrale
Création et besoins
L'adaptation de Siddhartha pour le théâtre est rédigée et les ayants droits de Hermann Hesse ont donné leur accord pour une exploitation dans le cadre de ce projet. Une première phase de travail a eu lieu durant les mois de février et de mars 2008 pour définir les axes de recherche et pour développer la synergie au sein de l'équipe de création.
Ce spectacle est destiné à être joué dans toutes les salles offrant suffisamment de vide: les espaces larges et grands ou les espaces dédiés à la danse. Le vide est nécessaire pour donner au spectateur un espace d'imagination. Aussi, l'engagement physique de l'acteur et le dynamisme de la pièce impose un minimum d'espace.
Planning : 2
007
fevr
ier
2008
Mar
s
Avri
l
Mai
Juin
Juill
et
Aout
Sept
embr
e
Oct
obre
Nov
embr
e ...
Formation de l'équipeAdaptation du texte X
Préparation artistique:synergie et axes de recherche X X
Préparation artistique:outils et symboles X X X
Composition musicale X X X X
Répétitionsrésidence X X
Conception lumière X
Tournée X X
Nous recherchons aujourd'hui des partenaires pour produire ce spectacle, trouver un ou plusieurs lieux de résidence et pour diffuser ce spectacle. Le projet culturel comprendra aussi une sensibilisation à l'oeuvre du prix nobel de littérature Hermann Hesse et un accès au vocabulaire spécifique à la philosophie indienne.
1010
Siddhartha Création théâtrale
Annexes
L'équipe de création :
Alexandre Bernhardt – adaptation et mise en scène
Fabio Ezechiele Sforzini – acteur conteur danseur
Nicolas Bernhardt – dramaturge
Bruno Kuchalski – musique originale
Marc Lobjoit – musique originale
1111
Alexandre Bernhardtadaptation et mise en scène directeur artistique du Théâtre des Trois Oliviers
3 place Olivier 31300 Toulousetel: 06.61.64.93.96.
mèl: [email protected] ans célibataire
Formation
Conservatoire National d’Art Dramatique de St Germain en Layeavec Monique Fabre (1997-2000) et Paul Lera (1994-1997) Médaille d’or en théâtre moderne avec Le Pélican de Strindberg
Représentation des Connaissances et Formalisation du RaisonnementDiplôme d'ingénieur en informatique et mathématiques appliquées (ENSEEIHT 2004) Classe préparatoire aux grandes écoles lycée Jeanne d'Albret (MPSI-MP 1997-2000)Baccalauréat S avec mention
London Academy of Music and Dramatic Art (1998)stage portant sur William Shakespeare
Modélisation d'un discours mono-locuteur (2003-2004)stage de recherche à l'Institut de Recherche en Informatique de Toulouse sur la traduction de la langue naturelle en langue logique
Poésie Visuelle (2004)stages proposés par le théâtre national de Toulouse avec l'acteur-conteur sourd Olivier Schettrit
Entrainements réguliers de danse contemporaine (oct -nov 2005)Cours du matin proposés par le Centre de Développement Chorégraphique de Toulouse
Méthode Decroux et Alchimie Corps Texte (2005-2006)Avec Fabio Ezechiel Forsini (stages et expérimentations lors de chantiers)
Experiences professionnelles
2007 -Metteur en scène Monsieur Malaussène au théâtre de Daniel Pennac avec Antoine du Jeu(fevrier-mars Théâtre de Nesle à Paris, Mai-Juin Le Funambule Montmartre à Paris)
05/06 -Comédien en tournée en appartement Variations Enigmatiques de Eric-Emmanuel Schmitt mis en scène par Antoine du Jeu
Dec 2005 -Ecriture de L'écrivain une pièce de théâtre en trois actes auto-éditée sur Lulu.comEté 2005 -Comédien au Théâtre de la Cité de Carcassonne Le Narrateur dans Les Chevaliers de la Foi avec l’Association
Carcassonnaise des Spectacles03 / 04 -Metteur en scène de So Show montage de textes à partir de Chambres de Philippe Minyana avec la Compagnie
Le Préau Qui Fuit créé au Théâtre du Grand Rond de ToulouseMai 2004 -Comédien danseur dans le spectacle visuel Fées et Gestes pour public sourd et entendant avec la compagnie
C’est bon signe ! Fév. 2004 -Directeur d’acteurs sur la pièce L’histoire des Ours Panda de Matei Visniec Mise en scène Mary Lynn Clarke
créée au Théâtre du Grand Rond02 / 03 -Comédien Metteur en scène avec la Troupe Semi Professionnelle du Printemps à l’Intérieur. Spectacles à base
de montages de textes joués en café théâtre et prison -Président-fondateur du Bureau des Arst de l'Enseeiht (association). Promotion et accès à la culture – Mise en place d'un voyage culturel annuel à Barcelone
Déc. 2002 -Comédien dans le rôle d’Edmond dans L’Intervention de Victor Hugo avec ActeVII01 / 02 -Metteur en scène de Beaucoup de Bruit pour Rien de William Shakespeare avec Acte VII Théâtre Garonne à
Toulouse, Rencontres Théâtrales De Lyon, Festival des Mines et Une Nuit à St Etienne, Festival Litige à Evry00 / 01 -Comédien dans le rôle de Yonathan dans Croisades de Michel Azama avec Acte VII
Théâtre du Jour Toulouse, Festival des Mines et Une Nuits St Etienne
Fabio Ezechiele SFORZINI Acteur conteur danseur
Né à Ravenne (Italie) le 20-09-1972, 17 Chemin de Bagatelle 31100 TOULOUSE
TEL. 06 61 85 16 28
Mail : [email protected]
Formations
2002-03 Projet Hippocampeprojet international de recherche et création en mime corporel en collaboration avec l’ISTA (centre d’études anthropologiques théâtrales) et Pomona College (Californie) dirigé par T.Lebhart.
1993-97 Ecole de Mime Corporel Dramatique de Paris au Théâtre de l’ange fou dirigé par S. WASSON et C. SOUM ; en suite avec I. BACCIOCCHI et R. BENNET.-Depuis 1998 il se forme régulièrement au mime corporel avec T. LEBHART.
1991-93 -Clown et arts du cirque avec J. MENING (élève de P. HOTTIER).
Stages de 1991-2003
- LE CLOWN ET L’ESPACE INTERDIT, dirigé par J. MENING (Full-immersion de trois mois).- DANSE CONTEMPORAINE, dirigé par D. DUPUY.- KYOGEN, (théâtre comique traditionnel japonais) dirigé par Maître NOMURA (Oguni et Sawauchi, JAPON).- PANTOMIME MODERNE, dirigé par M. MARCEAU.- COMMEDIA DELL’ARTE, dirigé par F. SOLERI (1996)- COMMEDIA DELL’ARTE, dirigé par C. BOSO (1998 et 99)- CHANT BAROQUE, dirigé par X. LEGASA.- ESCRIME THEATRALE, dirigé par B. H. ROBOTH.- LE CHANT DE L’ACTEUR, (méthode Grotowski) dirigé par Z. MOLIK.- L’ECRITURE DE B.M.KOLTES, dirigé par Y.FERRY.- APPRENDRE PAR LE CORPS, Stage corps /texte dirigé par D.ELIET.
DANSE CONTEMPORAINE et CONTACT avec S. Djebbar (Paris)
Expériences professionnelles
2006-07 -Role dans « DRAMUSCULES » de T. Bernhardt avec la C.ie Oui Bizarre… mise en scène de I. Luccioni.-Mise en scène du spectacle jeune public « OUIRAPURU » pour le groupe vocal Tribal Voix.
2005-06: - Lecture Spectacle sur le thème du plurilinguisme pour l’université de Toulouse. ( Sorano Toulouse).- « VAN GOGH ET GAUGUIN : CORRESPONDANCES ». Lecture spectacle. C.IE Canzonetta (Toulouse).- Rôle de danseur- comédien dans le spectacle de danse - théâtre, " PETITES MORTS ". C.ie La Tarte aux Plumes (Poitiers). - Participe en tant que Comédien au projet "24 HEURES BECKETT" dans le cadre du Marathon des Mots 2006 de Toulouse avec la C.ie Jean Serafin, mise en scène de A. Piallat.- Mise en scène du concert " LA VRAIE VIE DES PISSENLITS" pour le Bonaldi Group (Agen).
2004-05 : - Rôle dans « LES CAPRICES DE MARIANNE » de A. Musset. Mise en scène de O. Jannelle (Thèâtre SORANO de Toulouse)- Role dans « UN HOMME EST UN HOMME » et « L’ENFANT D’ELEPHANT » de B. Brecht. Mise en scène de D.Carrette (Thèâtre SORANO de Toulouse).- Role dans « DOG’S OPERA » d »après l’opera des quat’sous de B. Brecht ( sorano Toulouse).
2003-04 : - Mouvements et perspectives de LA MONSTRE, Jeunes Plumes et Cie, m. en scène de P. Beheydt (Avignon 2003)
2002-03 : - Création et rôle dans « TRACADO » C.ie Hippocampe, mise en scène de L. Torreao.- Création et rôle dans « Les guerres que j’ai vues » texte de Gertrude Stein et « EAU » mise en scène de T. Lebhart.
2001-02 : - mouvements et perspectives de TRILOGIE DARIO FO ou orgasme adulte échappé du zoo, création SAS THEATRE, mise en scène de R. RIVART.
- Création du spectacle de Commedia Dell’ARTE « PULCINELLA AU NOUVEAU MONDE » Avec la C.ie A PLEINDENT de Toulouse.
1999-00 : - Création et mise en scène de MUZIO ATTENDOLI et le lancé de la pioche (création pour 12 interprètes et une chorale) spectacle style renaissance avec la C.ie TEATROVIVO (Italie).- ALBATROSS, œuvre multi-mediale en trois actes de D. MARZOLA.
1998-99 : - Création et mise en scène de EXTREMA, spectacle comico-medioeval avec la C.ie TEATROVIVO (en collaboration avec C. BOSO).- Directeur artistique de la C.ie de théâtre de rue TEATROVIVO.
1997-98 : - Création et mise en scène de FRANKENSTEIN, le rêve de Mary avec le THEATRE ESPACE IMAGINAIRE DE PARIS.- Rôle dans VOYAGE DANS LE COSMOS (film documentaire à épisodes) de et avec P.ANGELA, mise en scène de CIPPOLLITTI, production RAI TV.-LES CHAISES (Munich), court-metrage à tableaux de I. KARDES (festival de BERLIN).
1996 : - Mouvements et perspectives de la version intégrale de L’ORESTEE d’ESQUILLE pour le T.N.T. de Turin (Traduction de P.P.PASOLINI).- Rôle de comédien et marionnettiste dans LA FABLE DU FILS ECHANGE’ de PIRANDELLO avec la C.ie TEATRO D’UOMO de Turin pour la mise en scène de P. MARCELLI (premier prix jeune public de la ville de Padoue).- Création et rôle dans HISTOIRES DES VILLES, avec B. GAMBAROTTA (coproduction THEATRE ESPACE IMAGINAIRE ET T.N.T. de TURIN).
1995 : - création et mise en scène de CARNET DE VOYAGE avec le T.E.I. (spectacle en 4 tableaux en collaboration avec L.S.KEMP).- Rôle dans LE BARON ROUGE, création T.E.I. pour la mise en scène de E. MOLLO.
1993-91 : - Création de plusieurs numéros de clown et théâtre de rue sur le territoire italien avec la C.ie ITALENTO (Italie).
Direction de Chantiers d'alchimie corps-texte
2006 « LE CONTE, Sur les ailes d’un oiseau » (travail sur les contes traditionnels) (Montfa, Ariege).2005 « VOUS QUI HABITEZ LE TEMPS » Travail sur l’écriture de V. Novarina ( Toulouse).2004 Relation CORPS – TEXTE (Paris)
Nicolas BernhardtIconographie et dramaturgie – réalisateur monteur
18 rue Custine 75018 PARIStel: 06.60.54.34.67.
mail: [email protected]élibataire 32 ans
Formation
New York University -Tish School of Arts. -1998Formation professionnelle d’écriture de scénario
Diplôme de Technicien Supérieur en Audiovisuel à l’Institut International de l’Image et du Son (IIIS) - Thèse sur l’Ecriture de Scénario et ses Techniques -1998
Arts du spectacle université Paris XEtude de l’histoire du cinéma et d’analyse de l’image
American School of ParisEtude de la poésie américaine
Baccalauréat B -1994
Experiences professionnelles
2006/2007 -Intervenant formateur vidéo pour la direction de l’éducation de la ville de Rueil-Malmaison. Formation et apprentissage du cadrage, mise en scène, jeu, montage ; organisation d’un festival de court métrage pour les enfants.
-Conception de l’image, graphisme, pochette disque et site pour pour Julien Decoret (Opium/Nouvelle Vague) compositeur.
-Prestations de cadrage et conception de plateau 2004-05 -Rédaction du guide Petit Futé Inde du Nord édition
Enquête sur place, historique, culturelle, repérages, audit, rédaction des exposés2004 -Cadrage, découpage, conception du décor, assistance technique et artistique. 2003 -Réalisation et montage de reportages de medecine transdisciplinaires pour DMSanté
Cadrage, interviews, prise de son, lumière, montage sur Première. -Réalisation d’un documentaire de 52 minutes « le Rêve d’Aurvoville », tournage en Inde. Diffusion prochaine sur la chaîne humanitaire One Heart ChannelPréparation, écriture et direction d’une équipe réduite, collaboration au montage.
2001 -Régie de production pour TF1 Publicité/LCI (formation au serveur SGI)Vérification de la qualité, gestions des films à diffuser, interventions techniques, montage des sponsors et des génériques d’émissions d’actualités.
1999 -Membre du comité de lecture de scénario pour TF1 Films ProductionLecture, analyse dramaturgique, évaluation de la faisabilité et du potentiel.
1995-98 -Réalisation de quatre courts-métrages en film super16mm Scénario, préparation, direction des comédiens, direction des équipes techniques.
1996 -Stagiaire réalisation à TF1 : documentaire sur la fabrication technique du Journal Télévisé ( 20h) Ecriture et préparation du projet, collaboration avec un JRI et montage sur banc Beta.
Etudes et Recherches :
- Recherche personnelle approfondie dans les traditions philosophiques orientales et occidentales, mythologies et religions comparées. Histoire de l’art et civilisations. - Connaissance spécialisée de l’iconographie et la cosmologie bouddhique.
Informations complémentairesVoyages : ( USA, Egypte, Arabie Saoudite, Maldives, Galapagos, Equateur, Jamaïque, Inde…).Musique : composition par ordinateur, piano, batterie.Connaissances linguistiques : anglais bilingue/ allemand niveau bac.
Bruno Kuchalski 29 bis rue de la Halte 95370 Montigny-lès-Cormeilles
musique originale tél : 06.14.80.08.82. [email protected]
26 ans - célibataire
Formation
Université Paris IV, La Sorbonne
Master 1 de philosophie 2007
Cours particuliers de piano avec Grégoire JASTRZEBSKI 1986 – 1998
1er prix au concours Claude Kahn
Expériences professionnelles
1999-2007 MONTEUR POUR LA TÉLÉVISION (AB SAT, L'UNESCO, HIGHWAY,...)
2003-2007 Compositeur pour l’illustration sonore d'expositions plastiques
_« Maria Collin, Paysages de Chine » (Espace Roger Ikor à La Frette-sur-Seine, Val d’Oise)
_« Hommage à Vincent Van Gogh » (théâtre Pierre Fresnay à Ermont, Val D’Oise)
_« Résistance, Résistances » (Label Friche à La Perrière, Orne)
_« La Peur du loup » (parc de la mairie d’Ermont)
_Installation multimédia de Maria Collin « Tutsis et Hutus » (Espace Léonard de Vinci, Montigny-lès-Cormeilles, Val d’Oise
2001 Professeur de batterie chez particuliers
Sept-déc 1999 Assistant-monteur chez Skyway
Informations complémentaires
Auteur, compositeur, guitariste, bassiste, batteur, chanteur dans les groupes: Pronto (rock indépendant), Blat (rock), Ghys (pop rock), Ultramatou (Grunge),...
Maîtrises des logiciels : Cubase, Acid, Protools, Logic Audio, Renoise, Audacity, Soundforge, Sound Edit, Amadeus, Cellsynth, Absynth, Audiomulch, Super Collider, Max/Msp, Bidule,Caecilia, Peak, Soundhack, Reason, Recycle, Reaktor, Fruity Loops, Avid, Final Cut Pro, Word, Excel, TextEdit, WordPerfect 8, Maxwell, Powerpoint, AbiWord, Phader, BBEdit Lite, ExactWord, WinPDF, YakaPDF, Asc To Tab, EditPro.
Marc LobjoitSound designer -Technicien de prestations audiovisuelles
[email protected] 82, quai de Jemmapes 75010 Paris
01 42 03 12 2706 60 89 84 31
27 ans, Permis B
Formations
2004-07 Conservatoire National Des Arts et Métiers (CNAM)Etudiant en Licence 3 « développement informatique »
2001 Diplômé avec mention bien de l’Institut International de l’Image et du SonFormation de 4 ans, homologuée par l’état sanctionnée par une équivalence Master
1998 Baccalauréat scientifique spécialité physique chimie
Experiences professionnelles
Technicien d’exploitation vidéo: Depuis 2006 : -Monteur multi machine chez AB Télévision
(Mise aux normes, restauration, montage son, conformation de programmes étrangers, fabrication de génériques etc. en collaboration avec les responsables éditoriaux des chaînes)
De 2003 à 2006: -Vérificateur PAD pour AB Télévision-Vérificateur encodage au Forum des Images-Lecteur chargé des revues de presse chez Press Index
De 2000 à 2002 : -Vérificateur PAD chez TF1 publicité-Chargé d’inventaire et localisation des œuvres chez TF1 International-Vérificateur DVD chez MediaCenter
Ingénieur du Son: 2004 : -Assistant son sur le Festival Georges Brassens de Crespières (78)2002 : -« Les hommes n’en sauront rien » moyen métrage produit par Cinequanon 3 de Charles-Henri Vinot [super 16 mm]
-« La chevelure » court-métrage autoproduit de Mélanie Charpentier [DSR-700]-« Un réveillon » court-métrage IIIS de Eric Brunot-Tiphaigne [super 16mm]
Electricien: 2003 : -Courts-métrages 35mm pour The GANG Films.
Série de portraits d’acteurs pour Canal Plus.2002 : -Publicité Téfal pour The GANG Films.
Stages:2002 : -Assistant son pour Manu Di Bongo (XIIIbis records)2001: -Stage ingénieur du son reportage au Satis pour Satis TV
Informations complémentaires
• Compositeur de musique électronique expérimentale (http://www.myspace.com/subjectivedoubles)• Batteur dans un groupe de rock indépendant• Maîtrise des éditeurs audio : Cubase, Wavelab, Soundforge, Acid … • Elève en septième année à l’école de batterie Dante Agostini• Musique : rock, electro-accoustique, jazz• Cinéma : Lynch, Cronenberg, Burton, Gilliam, Miyazaki, Oshi
• Sport : Roller, Tennis, Trekking….