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1995 2014

C’est la septième affiche que Jean-Paul réalise pour le festival Tempo Latino. Cette année, au Museo, une exposition lui est dédiée. Vous pourrez y trouver tous les croquis des affiches précédentes.

20 ans d’affiches de Jean-Paul Chambas (1995-2014)

De plus, lors du Lundi de Pentecôte, Jean-Paul Chambas présentera en personne l’affiche de Tempo Latino 2014.

1994

Fatal Mambo - France Mambomania (Paris) - France

Sampling Alfredo Rodriguez

1997

Yuri Buenaventura Adalberto Alvarez

Alfredo Rodriguez Los Van Van

Orlando Poleo Oscar D’Léon

1995

Latin Groove NG La Banda

Azuquita - Panama Papo Luca y la Sonora Ponce�a

1996

Yanza Oscar D’Léon

Jovenes Clasicos del Son

NG La Banda

Compay Segundo Alma Rosa

Orlando Poleo

1998

La Orquesta Aragon Manny Oquendo & Libre

Ernesto Tito Puentes Afro Cuban All Stars

Oscar D’Léon

Celia Cruz - Cuba

1999

Eddie Palmieri Orchestra invité : Alfredo De La Fé Israël Lopez ‘’CACHAO’’

Raul Paz Maraca y Otra Vision

Jimmy Bosch Willie Colon

2000

William Cepeda La Sonora Poncena

Yuri Buenaventura Jimmy Bosch

Orishas

Sergent Garcia

2001

El Conjunto Chapotin y sus Estrellas

New York Salsa All Stars

Grupo Caribe El Gran Combo De Puerto Rico

Omar Sosa

Cie LUBAT de Gasconha

2002

Omara Portuondo Orlando ‘’Cachaito’’ Lopez

Invité : Anga Diaz

Orlando MARACA José Alberto ‘’El Canario’’

Manolito Y Su Trabuco Africando

2003

Macaco Orishas

Maraca & Afro Cuban Jazz Masters

Cubanismo

Plena Libre Richie Ray & Bobby Cruz

Jimmy Bosch Oscar D’Léon

2004

Yerba Buena Amparanoïa

Olga Guillot Israël Lopez ‘’CACHAO’’

Fruko Y Sus Tesos Yuri Buenaventura

Los Soneros del Barrio Spanish Harlem Orchestra

2005

La Banda de Santiago de Cuba Raul Paz

Grupo Caribe Big 3 Palladium Orchestra

Mangu Johnny Pacheco

y su Tumbao Anejo

Son Reinas Orquesta de la Luz

(10 ans)

2006

Free Hole Negro Sergent Garcia

Jose Mangual Jr & Jimmy Sabater

Cheo Feliciano y Mercadonegro

Zon Del Barrio Bobby Valentin

La Charanga Contradanza Oscar D’Leon

2007

Los Van Van Kekelé

Maraca y los Gigantes del Son Israël ‘’CACHAO’’ Lopez & The Mambo Masters

Son Reinas Yomo Toro y Frankie Morales

Mambo Orchestra

Africando Willie Colon

Manu Chao

2008

Ska Cubano Roy Paci

Yerba Buena Latin Giants of Jazz

Los Patriarcas de la Rumba La 33

Dave Valentin & the Tropic Heat Larry Harlow

& the Latin Legends of Fania

2009

Kumar Alexander Abreu y Havana D’Primera

Snowboy Cubanismo

Mazacote/Maria Ochoa y La Sonora Cubana

Ricardo Lemvo y Makina Loca

Calle Real La 33

2010

Sebastian Avispa Ojos de Brujo

Calambuco Salsa Celtica

Grupo Fantasma Choco Orta

La Sucursal SA Jimmy Bosch e Amigos

2011

Bomba Estereo Grupo Fantasma

Quantic y su Combo Barbaro Yuri Buenaventura

Plena Libre Willie Rosario

Zulu 9.30 Ruben Blades

2012

Sergent Garcia Pupy y los que Son Son

Bio Ritmo La Excelencia

Toto la Momposina Staff Benda Bilili

Chico Trujillo Calle 13

2013

Gitanitos y Morenos Yuri Buenaventura

No Jazz - Invité ‘’Mangu’’ Orlando ‘’Maraca’’ - Guest star :

G.Hidalgo

Bio Ritmo Ricardo Lemvo & Bataillond de

la Rhumba

Ondatropica LA 33

(20 ans)

Programmation IN

JEUDI 24 JUILLET 2014 : SALSAFON / OSCAR D’LÉON 21h30 aux arènes : SALSAFON Nîmes, France

Cette formation, composée de 11 musiciens, a vu le jour en 2005. Le projet s'est formé autour d'une envie commune: Rendre un hommage à la salsa des années 70. Un son né dans les quartiers défavorisés de New-York, ayant connu son âge d'or, mais qui s'était un peu dissout au fil des productions latines. Suivant les traces d'artistes New-Yorkais ( J.Bosch, Spanish Harlem Orchestra...) qui, dans les années 2000, donnent un nouvel élan à cette salsa "dura", le groupe explore le répertoire NuYorican, de Libre à E.Palmieri, avec pour leitmotiv: Que la salsa redevienne "dura" ! Grupo SALSAFON "Tribute to the barrio Attiré par le son du "barrio" new-yorkais, le groupe Salsafon joue une "salsa dura" authentique qui nous replonge dans la chaleur des nuits du "Spanish Harlem" et de ses figures mythiques. On retrouve dans cet hommage des noms tels Eddie Palmieri, Ruben Blades, Jimmy Bosch...qui ne pourront pas laisser les danseurs et les mélomanes indifférents ! NO SOY BORICUA PERO LO DIGO : WEPA WEPA ! Au début des années 2000, Grupo Salsafon naît de la rencontre de musiciens ayant participé à l'aventure de groupes tels Fatal Mambo, Stromboli, Mambomania... Le collectif partage alors une passion commune : La salsa des années 70, celle née dans les quartiers populaires de New-York. Ayant connu son âge d'or, cette musique était restée un peu à l'écart de la grande "sono mondiale". L'idée de proposer un Hommage au son du Barrio devient alors une évidence : "Tribute to the Barrio". Ainsi, le groupe revisite le répertoire "NuYorican", de Conjunto Libre à Eddie Palmieri ou SHO, bien décidé à réconcilier tradition et modernité. Engagement, passion, et liberté d'interprétation avec un seul mot d'ordre : Salsa dura, de verdad ! 23h30 aux arènes : OSCAR D LEON Venezuela A Tempo Latino et dans le Grand Sud, plus besoin de présenter Oscar « El Sonero de Vic » tellement sa générosité et son talent ont marqué le public à chacun de ses passages mémorables. En 1997 Oscar était là, fier d’être programmé, il a voulu remercier les bénévoles de Tempo Latino en offrant un concert exceptionnel de plus de 3h30 de musique non stop, du jamais vu à Vic-Fezensac ! En 1998 c’était au tour de Tempo de le remercier, Oscar est venu chanter aux côtés de la Reina de la Salsa, Celia Cruz, étoile qui veille encore et toujours sur le Festival de Tempo Latino. Pour les 10 ans du festival, en 2003 Oscar fait de nouveau partie de la fête et souffle avec nous les bougies de cet anniversaire de la musique latine avec un hommage tout particulier à notre étoile, Célia Cruz. En 2006, encore une exceptionnelle prestation que la star nous offre. Hélas, en 2013 pour les 20 ans Oscar initialement programmé ne peut pas être des nôtres suite à des problèmes de santé. Mais pour 2014, il nous promet un GRAND RETOUR !

VENDREDI 25 JUILLET 2014 : ORQUESTA BROADWAY / TIPICA 73 21h30 aux arènes : ORQUESTA BROADWAY NYC, USA ORQUESTA BROADWAY: LA CHARANGA QUE MANDA L’Orquesta Broadway pourrait être un mythe du passé, il est d’une belle actualité, plus de cinquante ans après sa fondation à New York. « CHARANGAMANIA » À NEW YORK Au tout début des années 60, New York se passionne pour les charangas dites « à la française », un type d’orchestre né à Cuba qui interprétait le danzón. Constitué au départ de flûte, violons, contrebasse, piano, timbal et güiro, il avait évolué en intégrant les congas, des chanteurs et interprétait tous les rythmes, dont le chachacha qui fait fureur internationalement dans les années 50. Mais à New York, c’est la pachanga, sur un tempo vif et très dansant, qui nourrira le boom des charangas. Un rythme toujours à l’honneur en Colombie aujourd’hui.

TRADITION ET INNOVATION Eddy Zervigón est déjà un flûtiste confirmé quand il quitte Cuba avec son frère et arrive à New York en juillet 1962 : son modèle, c’est le prestigieux Orquesta Aragón avec son flûtiste Richard Egües, et aussi un autre flûtiste qui fut son ami, José Fajardo. Il réunit peu à peu les musiciens avec lesquels il crée son propre orchestre qui se présente officiellement au Palladium en 1963. La compétition fait rage puisqu’on estime qu’en 1965, il existait une quinzaine d’orchestres charanga à New York. L’une des forces de la Broadway par rapport à ses concurrents, c’est le maintien du son de la flûte de bois d’ébène à cinq clés alors que beaucoup optent pour la flûte métallique, moins onéreuse. La sonorité de la flûte de bois est très différente, plus chaude, plus brillante, plus variée dans les aigus que celle de la flûte métallique : un fait d’autant plus important que la flûte est le principal instrument d’improvisation. La Broadway est également célèbre pour ses arrangements et sa puissance rythmique, très importante pour les danseurs. Le rôle rythmique des violons en fait partie. Et chose inédite jusque-là, les percussions sont renforcées par un bongo, instrument improvisateur au son clair qui donne une autre couleur à l’orchestre. Enfin, tout en conservant l’esprit de la tradition, La Broadway a évolué vers une sonorité plus urbaine en accord avec le melting pot new yorkais. Dans une entrevue accordée au site Herencia latina (http://www.herencialatina.com/Zervigon/Zervigon.htm), Eddy Zervigón dit : « Notre base musicale est le son montuno auquel nous mêlons diverses fusions. Il faut être très attentif à ce qui se passe autour de soi, il fait savoir flairer ce qui change, […] parfois, un excès de purisme fait qu’on ne comprend pas ces changements. » LE TRIOMPHE INTERNATIONAL La popularité de l’orchestre se traduit dès les années 60 par des tournées aux USA et en Amérique Latine. Au début des années 70, l’Afrique de l’Ouest lui réserve un accueil triomphal : le public y a toujours adoré la sonorité des charangas, et l’Orquesta Aragón de Cuba y est une idole. Après les tournées en Côte d’Ivoire et au Sénégal, l’album African Soul – Alma Africana de 1973 est le remerciement de l’orchestre au public africain. Et cet engouement a traversé les décennies puisqu’en 2010 encore, la Broadway figurait au programme du Festival des Arts Nègres de Saint-Louis du Sénégal ! En 1975, la Broadway signe pour 4 albums avec le prestigieux label Coco. Après Salvaje, l’album Pasaporte de 1976, qui sera disque d’or, est unanimement salué comme un bijou musical. Et le public ne s’y trompe pas puisque l’album, avec Isla del encanto, Arrepiéntete, Presentimiento, Barrio del Pilar et El material (qui prône la légalisation de la marijuana) restera un an dans les charts de New York : une chose tout à fait inédite pour la musique latine. Aujourd’hui encore, partout où passent la Broadway, ce sont des thèmes que le public réclame. En 1978 et 1981, les albums New York City Salsa et Paraíso (disque d’or) sont marqués par l’arrivée du trompettiste cubain Roberto Rodríguez, une innovation très réussie où la flûte dialogue avec la trompette sur certains thèmes. Parallèlement et sous d’autres noms (Ritmo de estrellas ou Charanga colonial), l’orchestre enregistre pour le label SAR de Roberto Torres (qui avait été son premier chanteur). Si les albums s’espacent ensuite, l’activité de l’orchestre reste intense jusqu’à aujourd’hui. En Décembre 1982, il a gagné le concours du meilleur orchestre lors de la prestigieuse Feria de Cali. Africando invitera Eddy Zervigón et sa flûte sur les 3 volumes de la série Senegal meets New York Salsa (1993 à 1996). En 2004, l’orchestre a fêté ses 40 ans avec le CD La charanga que manda…a la cabeza en los 40, sélectionné pour le Grammy latino, disque d’or, et classé dans le top ten de la revue Latin Beat. Et on nous annonce une nouvelle production en cours pour les 50 ans que l’orchestre a fêté au Lincoln Center de New York. Parmi les dates mémorables récentes, il y a le grand gala de la Principauté de Monaco en 2011, et le prix Conga de Oro du meilleur orchestre de salsa remporté en 2013 lors du prestigieux Carnaval de Barranquilla. LES MUSICIENS ACTUELS La Broadway est un orchestre « multinational » et Eddie Zervigón a su lui insuffler un sang neuf avec comme seul critère le talent. Parmi les vétérans figure Ruddy Zervigón, co-fondateur du groupe, qui a pris sa retraite et ne se déplace plus que pour les grandes occasions : un honneur pour Tempo ! Les deux autres violonistes, Eddie Venegas et Ali Bello sont vénézuéliens établis à New York, tous deux compositeurs et arrangeurs. Ils font partie de la nouvelle génération dotée d’une solide formation classique et qui se meut sans problème entre tous les genres musicaux. Comme on dit en français : deux pointures. Eddie Venegas est de plus tromboniste : un duo flûte-trombone en perspective sur certains morceaux?. Le contrebassiste Abraham Saenz, d’ascendance péruvienne, est là depuis 2005 et il a été le plus jeune membre de l’orchestre RMM, le label du défunt promoteur de salsa des années 80 et 90, Ralph Mercado. De Porto Rico viennent deux percussionnistes : Daniel González au timbal, membre de la Broadway depuis le milieu des années 70, qui a aussi ses lettres de noblesse dans la salsa, et aux congas Luis Mangual Jr., frère de José Mangual Jr, une icône de la salsa dans sa version la plus classique. Au bongo, c’est le fils du directeur, Ivan Zervigón. Le pianiste Pablo Mayor, déjà professeur au Conservatoire de Bogota en Colombie, est arrivé à New York en 1999 ; lui aussi est une « pointure », compositeur, arrangeur, professeur au Conservatoire Harbor pour les arts de la scène et professeur de jazz au Conservatoire de musique de Brooklyn-Queens. Avec sa propre formation Folklore Urbano, il travaille à fusionner les rythmes colombiens et le jazz (3 Cds déjà parus)..

Les chanteurs ont largement contribué par le passé au succès de la Broadway. Le Portoricain Jorge Maldonado a été chanteur de la Sonora Matancera de 1976 à 1981 et fait ensuite une carrière en solo, avec deux albums sous son nom. Il fait également partie du All Stars Boricua Legends qui réunit les grands noms de la salsa portoricaine.

23h30 aux arènes : TIPICA 73 NYC, USA La Típica 73 est un orchestre légendaire pour les salseros qui ont vécu les années 70 et pour tous ceux qui ont découvert la salsa plus tard. Elle a été et reste originale de bout en bout, par son histoire et par son répertoire. L’orchestre qui n’avait pas de nom En 1972, tous les lundis, des musiciens se réunissaient dans un club de New York pour le plaisir d’improviser ensemble, dans l’esprit des descargas : un groupe à dimension variable dont la renommée se répandit vite. Leur force ? Une connaissance approfondie de la musique populaire cubaine, la capacité d’improviser librement et de créer au fur et à mesure des arrangements en accord avec les nouvelles sonorités newyorkaises. Des arrangements qu’ils transcrivaient ensuite collectivement pour en faire des partitions. Problème : tous étaient membres fixes de groupes en vue, ce qui devenait incompatible avec l’existence de cet orchestre sans nom sur lequel les contrats pleuvaient. Alors l’initiateur du groupe, Johnny « Dandy » Rodríguez, décide franchir le pas et de formaliser l’orchestre. Le grand saut a lieu la nuit de la Saint Sylvestre 1972, et pour saluer la nouvelle année, le groupe prend le nom de Típica 73. Une bombe dans le ciel de la salsa newyorkaise Premier coup de tonnerre : « Dandy » Rodríguez, bongocero de l’orchestre de Ray Barretto, emmène avec lui quatre autres musiciens, le contrebassiste Dave Pérez, le timbalero Orestes Vilató, le tromboniste René López et le chanteur Adalberto Santiago. Baretto se retrouve du jour au lendemain avec un orchestre exsangue et répliquera avec l’album Indestructible. Pour compléter cette base cubano-portoricaine où « Dandy » est aux congas, il y a le tromboniste dominicain Leopoldo Piñeda, le trompettiste d’origine italienne « Joe » Manozzi et le pianiste Elio Osácar, dit « Sonny Bravo », dont les grands-parents étaient cubains et qui était pianiste de l’orchestre du grand flûtiste cubain José Fajardo. En deux albums, Típica (1973), Típica’ 73 (1974), l’orchestre remporte un succès à faire pâlir les grands noms établis de la salsa. Sur la pochette du premier disque, Felipe Luciano écrit : « Ce qui n’est pas commun dans cet orchestre, c’est sa capacité à remonter le temps et à tirer de l’oubli ces rythmes complexes et ces belles compositions sans rien sacrifier du présent ». Des succès comme Tintorera, Mañoño ou Amalia Batista apportaient une fraîcheur inédite : des rythmes cubains variés, la puissance du son new yorkais mais sans fusion, en conservant la musicalité et la structure originales. Quant aux compositions originales de l’orchestre, elles suivaient la ligne d’improvisation de départ comme dans Acere Boncó ou Descarga 73. Le tournant de 1975 : l’album La Candela Une partie du disque, dont les hits Canuto et Te llevo conmigo, reste classique. Mais une autre partie innove : synthétiseur, effets électroniques, introduction des tambours batá. Ces nouveautés s’inspiraient du travail réalisé à Cuba par ceux qui depuis la fin des années 60 avaient rénové totalement sonorités et structure des rythmes traditionnels : Juan Formell avec Los Van Van et le percussionniste José Luis Quintana « Changuito », la Ritmo Oriental, Elio Revé et enfin Irakere. C’est que « Dandy » Rodríguez était resté en relation avec les musiciens de l’île et s’intéressait à la façon dont ils actualisaient leur musique par la fusion avec le funk ou le beat – le songo de Juan Formell – et dont ils mêlaient flûte et violons aux trombones. « Dandy » a l’appui de Sonny Bravo, l’arrangeur de l’album dont le thème La Candela est une recréation de l’original de Juan Formell. Mais quatre musiciens dont trois des fondateurs sont en désaccord et quittent le groupe. Nouvelle étape La nouvelle ligne artistique se met en place avec l’arrivée de la flûte (Gonzalo Fernández) et du violon (Alfredo de la Fé) aux côtés de la trompette et du trombone. José « Joe » Grajales, venu de l’orchestre Típica Novel, entre aux congas et « Dandy » Rodríguez » reprend le bongo. Trois albums concrétisent cette étape : Rumba caliente en 1976, The Two Sides of Típica 73/Los dos lados de la Típica 73 en 1977 et Salsa encendida en 1978. L’une des forces de l’orchestre réside dans ses chanteurs, tous grands improvisateurs : Tito Allen, puis Camilo Azuquita et enfin José Alberto « El Canario ». Mais surtout, sa composition instrumentale permet au groupe de varier sa sonorité au gré des arrangements. Avec l’entrée en 1977 de Nicky Marrero comme timbalero titulaire, la section rythmique est désormais complète. Les différents flûtistes sont aussi saxophonistes, ce qui permet d’élargir les possibilités vers le latin jazz. Ces trois albums contiennent des hits que l’on entend aujourd’hui encore sur les radios : Sonaremos el tambor, Guaguancó de los violentos, Rumba caliente, Baila que baila, Xiomara (créé par Irakere) ou Bongo Fiesta. Les « deux facettes de la Típica », ce sont le versant cubain made in Cuba, qui va des classiques au plus moderne, et le versant made in New York. La Típica 73 à Cuba en novembre 1978 Ses liens avec la nouvelle scène musicale cubaine vaut à l’orchestre une invitation à enregistrer avec le gratin des musiciens locaux. Depuis le blocus de Cuba par les USA, personne n’avait pris ce risque. Au nom de l’échange culturel, la Típica part.

Deux semaines sur place couronnées par l’album Intercambio cultural, sept thèmes cubains ou newyorkais partagés avec les Cubains, tous compositeurs : le vétéran des descargas, le timbalero Guillermo Barreto, le trompettiste Félix Chappotín, héritier de l’orchestre d’Arsenio Rodríguez, le flûtiste de l’Orquesta Aragón Richard Egües, l’immense conguero Tata Güines, le créateur du rythme mozambique Pello el Afrokán, José Luis Quintana « Changuito », artisan du songo, Raúl « El Yulo » Cárdenas, membre fondateur de Los Van Van, ainsi que le tromboniste Juan Pablo Torres et le virtuose du tres Niño Rivera. Une rencontre au sommet exceptionnelle couronnée par une descarga d’anthologie sur le classique de Tata Güines Pa’ gozar.

Quand la politique l’emporte sur la musique L’album cubain paraît en 1979, suivi en 1980 par Charangueando con la Típica, et en 1981 par Into the 80’s. Mais le puissant lobby cubain anticastriste fait preuve d’efficacité : boycott dans les clubs tenus par des Cubains émigrés, pressions sur les autres salles dont les propriétaires craignent de perdre leur clientèle et n’engagent plus l’orchestre. A la radio, dans la presse, c’est un quasi black-out. En 1982/83, « Dandy » Rodríguez et Sonny Bravo jettent l’éponge et dissolvent l’orchestre. C’est Tito Puente qui les accueillera alors dans son grand ensemble. Mais, affirme Sonny Bravo, « si c’était à refaire, je le referais. Nous parlions ‘culture’, et les autres ont compris ‘politique’ ». La renaissance En 1995, la Típica se réunit de nouveau à Porto Rico. De là naissent des tournées et le concert anniversaire de 1999, enregistré en live. Depuis, de grands concerts à succès comme celui des 40 ans au Lehman Center de New York montrent que sa musique n’a pas pris une ride. Elle arrive à Tempo avec les âmes du groupe, Sonny Bravo et « Dandy » Rodríguez, ainsi que le conguero Joe Grajales. Avec eux, la crème des musiciens newyorkais dont certains ont déjà été appréciés à Tempo : Jerry Madera (basse), Jimmy Delgado (timbal), Richie Viruet (trompette), Reynaldo Jorge (trombone, oui, celui de la Fania !), Dave Santiago (flûte, directeur musical de Latin Affair), et le surdoué vénézuélien du violon Ali Bello. Au chant, on découvrira Julio Salgado (ex-chanteur de la Broadway qui a aussi un disque solo à son actif et qui est chant lead sur nombre de disques depuis les années 2000).

SAMEDI 26 JUILLET 2014 : HERENCIA DE TIMBIQUI / KASSAV’ 21h30 aux arènes : HERENCIA DE TIMBIQUI Timbiqui, Colombie HERENCIA de TIMBIQUI est un ensemble de 11 chanteurs et musiciens talentueux de la petite ville colombienne du Pacifique,Timbiqui. D’orgine africaine, les membres de du groupe mélangent avec créativité la musique africaine traditionnelle avec celle du Pacifique colombien. Leur musique combine les sons vibrants d'instruments à percussion colombiens traditionnels du Pacifique - marimba, cununus et guaza - avec des chants profonds, mélodiques, et passionnés. Leur dernier CD, "Tambo", est une merveilleuse célébration de cette fusion. Ce groupe a remporté en 2011 le « Prize Shock » de Colombie pour le meilleur album. HERENCIA de TIMBIQUI a démarré en 2003 avec l'ambition d'exporter la musique de Timbiqui sur le marché mondial. En 2006 ils ont participé pour la troisième fois à la compétition de musique colombienne du Pacifique, avec la chanson "Petronio Alvarez". Grâce a cela ils ont gagné le prix du meilleur orchestre en Catégorie Libre. Depuis cela, les critiques et bien sûr leurs fans ont été stupéfaits de leur développement au niveau mondial. En 2010, ils se rendent à Barcelone, dans une résidence d'artiste avec le groupe espagnol "Ojos de Brujo". Le résultat de cette interaction fut le remix de Herencia de la chanson "Que malo" fait par le DJ Panko avec une étroite collaboration entre Herencia de Timbiqui et des musiciens d’ Ojos de Brujo. La rencontre entre les rythmes du Pacifique et la musique andalouse (bulerias, tanguillo, les rumbas), fut très inspirante pour le groupe. En 2013, ce groupe a remporté le très prestigieux prix de « la Gaviota de Plata » .

23h30 aux arènes : KASSAV’ Antilles Lancé dans le début des années 80, le ZOUK est un genre musical crée et popularisé par le groupe KASSAV. Le ZOUK reste l’expression musicale Française la plus répandue dans le monde, et s’exporte aujourd’hui partout dans le monde depuis près de 30 ans ! Angola, Cote d’ivoire, Mali, Maroc, Cap Vert, Curaçao, Aruba, Colombie, Brésil, Usa, Canada, Japon, Russie, Portugal, Italie, Suisse, Pays Bas... Au début des années 80, la société antillaise est bousculée du haut en bas : tout le monde danse cette frénésie nouvelle, tout le monde chante en choeur ces refrains qui regardent la réalité droit dans les yeux (il faut vraiment écouter Syé bwa ou Zouk-la sé sèl médikaman nou ni), tout le monde est fier des succès de ses artistes à travers le monde. Les stades africains n’avaient jamais connu de telles foules pour des artistes venus d’un autre continent, Miles Davis parle du zouk comme d’un choc majeur, Jocelyne Béroard installe le créole au Top 50 avec Kolé séré en duo avec Philippe Lavil, Kassav est le premier groupe noir à chanter en URSS… Kassav revient avec un nouvel album ! Présenté comme l'album qui renoue avec le style de leurs débuts, cet album en hommage à Patrick Saint Eloi nous ramène au son du gwoka dans les Zouk antillais.

L’élaboration de l’album a débuté en Avril 2012 à St Domingue (où le groupe recevra le mois prochain un award pour l'ensemble de sa carrière. L'enregistrement s'est ensuite poursuivi à Paris, en Martinique, Guadeloupe, Nouvelle Calédonie pour finir par être mixé sur l'île volcanique de Santorin, la mythique Atlantide. L’influence du Zouk de Kassav' est immense : de Miles Davis à Wyclef Jean, leur musique a conquis la planète entière, en devenant aujourd’hui le style musical numéro 1 en Afrique Lusophone et bientôt au Brésil.

DIMANCHE 27 JUILLET 2014 : CONGA LIBRE / AFRICANDO 21h30 aux arènes : CONGA LIBRE Toulouse, France

Conga Libre est le fruit d’une rencontre riche de l’expérience et de la passion de musiciens français et cubains. Une équipe cosmopolite, enthousiaste et passionnée qui défend une salsa conviviale, alliant les mélodies traditionnelles cubaines (Salsa, Son, Chacha, Rumba…) aux sonorités modernes et urbaines (Timba, Reggaeton, Hip-Hop, Electro, Funk…). Une musique multicolore à l’image de tous les musiciens qui en fusionnant leurs univers donnent vie à la puissance et à la singularité d’un vrai son de groupe. La salsa de Conga Libre transcende les styles, les époques et les frontières pour vivre une aventure musicale unique et participer à la création d’une « nueva Timba » : jeune, moderne, métissée et universelle ! En 2010 Conga Libre sort son 1er opus « Timba Rumbera », dont la chanson originale “Ahi no vive nadie” fait parler du groupe jusqu’au Pérou : « l’album de salsa le plus attendu en France, Amérique Latine et Cuba ! » titre alors le blog de référence de Cali “Timba en el 23” ! L’aventure commence… Suivi par un public fidèle et de plus en plus nombreux, le groupe vit un tournant médiatique en 2012 quand il accède à une émission tv en prime time sur France 2 : La Grande Battle présentée par Nagui. Conga Libre est alors porté en finale de l’émission en direct devant plus de 2 millions de téléspectateurs, avec une interprétation salsa en live pour la 1ère fois à la tv française ! Fort de cette nouvelle expérience inédite, l’orchestre dévoile un nouvel enregistrement en 2013 « Porque Lloras » : il est unanimement salué par les mélomanes, les salseros, et la critique : en témoigne son clip « Sarabandeate » visionné presque 25.000 fois ! Conga Libre revient cette année avec un nouveau projet explosif « Somos Todos Conga Libre », disque qui sortira à l’été 2014 avec d’incroyables surprises musicales… Fort d’une énergie musicale et d’une présence scénique réjouissantes Conga libre s’épanouit sur scène en partageant sa musique et sa bonne humeur communicative dans une ambiance festive irrésistible. Avec plus de 100 concerts sur les meilleures scènes (festivals Tempo Latino, Jazz in Marciac, Penas y Salsa, Cuba Hoy, Jazz sur 31…) ; après avoir partagé ces scènes avec les plus grands (Tromboranga, Tirso Duarte, Sergent Garcia, Chucho Valdès, Paquito d’Rivera, La Sucursal S.A, ou Yuri Buenaventura) ; et avec une création musicale dynamique et reconnue : Conga Libre s’impose aujourd’hui comme une figure incontournable de la nouvelle génération musicale latine ! 23h30 aux arènes : AFRICANDO Sénégal

Apparu en 1993 avec leur premier album éponyme, Africando fait de la salsa à la saveur africaine. Est-ce un groupe ou plusieurs ? Parfois Africando peut se produire en même temps à Paris et à New York avec des musiciens différents, on n’arrive pas bien à en définir les contours... très extensibles.... Créé à l’initiative du producteur Ibrahima Sylla et de l’arrangeur malien Boncana Maiga, le groupe tient sa particularité de ce qu’il réunit des chanteurs sénégalais (Medoune Diallo, Nicolas Menheim et Pap Seck) et la crème des musiciens afro-caribéens de New York. Lorsque Pap Seck meurt en 95, c’est le béninois Gnonnas Pedro (décédé en 2005) qui le remplace rejoint par le chanteur cubano-portoricain Ronnie Barro (ex-Orquestra Broadway). Le mélange donne une Salsa détonante chantée en wolof, en fon ou en malinké. Les deux premiers albums ont été de gros succès en Afrique et dans le monde entier. Sur l’album Betece ils ont invité des musiciens africains bien connus : Tabu Ley Rochereau, Koffi Olomide, Salif Keita, Sekouba Bambino, Amadou Balaké et Thione Seck, transformant le nom du groupe en Africando All Stars. L’album Martina (2003) est sorti sous le nom d’Africando avec comme invité le sénégalais Ismaël Lô. En 2007, le groupe effectue une tournée d’une vingtaine de dates, qui l’amène à jouer en France, en Belgique, aux Pays-Bas, en Suisse, en Allemagne, en Norvège, en Grande Bretagne, en Autriche, mais aussi au Maroc dans le cadre du festival Timitar d’Agadir… En avril 2008, ils traversent l’Atlantique pour prendre part au festival des rythmes d’Afrique et des Antilles, à Montréal, puis jouent Guadeloupe en juin 2009. 2013 : "Viva Africando" Après quatre années très discrètes, Africando revient dans l’actualité avec l’album "Viva Africando", qui parait en novembre 2013. Cette fois, c’est à Paris que les musiciens se sont retrouvés, car en raison des troubles qui ont agité la Mali en 2012, Boncana Maïga, toujours chargé des arrangements, n’a été autorisé à se rendre aux États-Unis. De nouvelles têtes font leur apparition dans le collectif, comme le Sénégalais James Gadiaga, du Royal Band de Thiès, le septuagénaire congolais Lokomba Nkalulu, ancien membre des Grands Maquisards, et le Capverdien René Cabral, chanteur emblématique du Cabo Verde Show.

Programmation OFF

SALSA ILEGAL Bordeaux, France

Salsa Ilegal n’est pas un groupe de salsa comme les autres. Sans nationalité et sans frontière, les musiciens proposent une salsa où se confondent cumbia, son, salsaton, salsa pure ou même raggaeton à travers des chansons qui racontent des histoires, des sentiments et des couleurs, toujours intemporelles. L’identité de Salsa Ilegal, c’est la diversité. MECANICA LOCA Toulouse, France

Composée de 12 musiciens d’origines et de cultures différentes, et dirigé par le percussionniste Julien GARIN, La Mecanica Loca allie avec finesse l’impétuosité de la musique cubaine à la folie de la musique afro-cubaine. Carrefour des musiques fiévreuses, la Timba, genre musical né à Cuba à la fin des années 1980, est la langue de la Mecanica Loca. Le groupe est devenu une figure incontournable dans le monde timba en France et en Europe. SALSOS + Paris, France

Le cœur colombien et les veines du Pérou, de la France, de Venezuela et de l’Argentine les Salsos+ est un orchestre parisien qui rend hommage au son de la salsa des années soixante-dix. Ces dix musiciens saluent et célèbrent les rythmes nés dans les rues de New-York et qui ont servi comme bande-son à une génération entière de latino-américains: Guagancó, Boogaloo, Chachachá… La salsa à Paris revisité avec un programme riche en couleurs, danses et sabor ! YEMAYA LA BANDA Paris, France

Après un succès dans le OFF 2013 de Tempo nous avons décidé de les faire revenir, pour votre plus grand bonheur mais aussi le notre. Ces 12 musiciennes et amies venues des 4 coins du monde vous offrent leur joie de vivre et leur pep’s. Leur « Salsa Consciente » voyage entre critique de la société et réflexion sur le sens de la vie, le tout d'un point de vue féminin mais pas féministe. MOSQUITO SALSA CLUB Paris, France

Mosquitos nous invite à un voyage au cœur de la " culture cubaine " made in Paris, et ce par le biais d'artistes ayant fait leurs gammes aux cotés des plus grands, d'Orlando Poleo à Africando, d'Azuquita à Mambomania, de Roberto Torres à P18 …Que ce soit pour un public d’auditeurs conquis ou à conquérir, pour des danseurs confirmés ou novices, cette formation de 9 musiciens déborde d’une énergie communicative. SABORA TROVA Espagne, Barcelone

La SONORA SABORATROVA adore tous les genres et variétés qui font partie de la musique traditionnelle cubaine: son montuno, bolero, changüí, trova, guajira, conga ... Formé à Barcelone, avec neuf excellents musiciens cubains, SONORA SABORATROVA stimule la danse et est un régal pour l'oreille. Remarqué pour sa qualité et son originalité, il a enregistré son premier album (“Tumbao de Oriente”) avec dix compositions. Ils n’ont pas fini d'étonner les critiques et tout le public audiophile.

Les Stages

STAGE ENFANTS PERCUSSIONS & CHANT Les mercredi 23, jeudi 24 et vendredi 25, les enfants et les ados sont invités à découvrir la diversité rythmique, le toucher de la musique afro-cubaine et à éveiller leur sensibilité par la pratique du chant et de percussions avec les professeurs Reynier Silegas, mickaël Torren, Julien Garin et Malik Mahatal. Après avoir passé un week-end riche en apprentissage, ils donneront leur propre concert à la Conga le dimanche 27 Juillet de 15h30 à 17h00, sans oublier le concert du samedi 26 Juillet de 15h00 à 16h00 à la maison de retraite le ’’Château Fleuri’’ en l’honneur de nos aînés. 3 niveaux : de 5 à 7ans, de 8 à 10 ans et de 11 à 14 ans Tarif normal : 42€ Tarif famille nombreuse (3 enfants) : 36€

STAGE DANSE Les vendredi 25, 26 et 27 juillet 2014 de 10h30 à 12h30 et de 14h30 à 16h30, Tempo Latino vous propose 10 ateliers de danse pour découvrir et bouger aux rythmes latinos : 4 ateliers niveau débutant (salsa cubaine, son, salsa portoricaine, kizomba) et 6 ateliers niveau intermédiaire (salsa portoricaine, kizomba, salsa cubaine, salsa con rumba y afro, rueda, salsa suelta). Ateliers animés par Javier Pompa, Isaac Bationon, Jorge Herrold, Rey Martinez, David Lartist, Yami et Steffy. Tarif pré-vente (avant le 01/07) : de 60€ à 100€.

MAMBO STUDIO

Au coeur du Festival, le Mambo studio propose aussi des cours découverte et d’initiation aux danses latines. Sans réservation et au tarif unique de 10€ et accessibles à tous, les cours seront dispensés avec vitalité et bonne humeur. Le programme sera disponible prochainement sur le site internet.

STAGE MULTI-INSTRUMENTAL Ce stage a pour but de faire découvrir aux musiciens de niveaux et d’horizons différents les musiques latines en travaillant en une semaine sur un répertoire varié et accessible à tous. L’équipe d’intervenants est composée de musiciens professionnels qui, depuis plus de 15 ans, travaillent ensemble au sein de différents projets salsa et ont en commun une solide expérience pédagogique. Le stage s’adresse aux musiciens connaissant ou non ce style musical : bassistes, percussionnistes, cuivres, cordes, pianistes et autres instruments harmoniques ainsi qu’aux chanteurs. La journée est divisée en deux avec un travail en section le matin et en groupe l’après-midi. Deux heures d’‘’ateliers’’ à la carte sont également proposées ainsi qu’une initiation au big band et à la comparsa. Une soirée vidéo ainsi qu’une descarga sont proposées en milieu de stage. La semaine de travail se termine par un concert des stagiaires dans le cadre du Festival Tempo Latino le samedi 26 Juillet à 15h30 au Bar des Amigos, sans oublier le concert en l’honneur des pensionnaires de l’hôpital local. Stage encadré par : Laurent Erdös (Percussions & vibraphone), François Piriou (basse, trombone), Clara Noll (Percussions diverses), Laurent Dumont (saxos et flûte), David Lesprit (chant, clarinette),Cristobal Diaz (piano, choeur) et Julien Matrot (trompette, bugle). Stage du 20 au 26 Juillet - Tarif:475€

Autour de Tempo

LES MATINALES

EL MUSEO Le Museo a ouvert ses portes pour la première fois l’an dernier à l’occasion des 20ans du festival. Il est devenu instantanément un lieu incontournable de Tempo Latino. Le museo, c’est un peu comme le trait d’union entre la musique latine et l’art en général. Tempo a inspiré de nombreux artistes, venus de divers univers. Ils se sont exprimés à travers différents supports. Le Museo est un arrêt sur image de 21 ans de rencontre, d’émotion et de partage que voulions mettre en scène pour rendre hommage aux artistes, au public et aux bénévoles. Il est aussi le trait d’union entre hier et aujourd’hui, reflet artistique d’une vision, elle, bien actuelle de Tempo Latino. Passez les portes du Museo, les plus accoutumés s’y reconnaitront peut être. Visite guidée pour les novices !

Au programme :

Exposition JP Chambas, Performance graffiti avec le retour du crew SOF de Barcelone, Exposition photo, Rencontres, Exposition

vidéo, Tous les « tempo infos » à lire ou à relire, Animations, Boutique, et d’autres surprises…. Esprit Tempo garanti !

ENTREE LIBRE ET GRATUITE - OUVERTURE NON STOP DE 12h à 21h (A Côté du bar de l’Escalinata)

LE PARRAIN 2014 Jules-Édouard Moustic, de son vrai nom Christian Borde, né le 1er octobre 1951 à Antony, est un humoriste français, principalement connu pour jouer, depuis le début des années 1990 sur Canal+, le rôle du présentateur d'une parodie de journal télévisé, dans les émissions ayant le Groland pour cadre. Entre 1987 et 1992, c'est Alain Chabat qui lui donne envie de quitter RMC pour qui il travaille pour écrire des sketches et ainsi devenir auteur pour Les Nuls. Il écrit ainsi pour les émissions Les Nuls L'émission, ABCD Nuls et Histoire(s) de la télévision. Il écrit aussi des fausses pubs et joue dans quelques-unes. De 1988 à 1989 il écrit également des sketches pour Les Guignols de l'info. Il a vécu douze ans en Principauté de Monaco, dont il s'est peut-être inspiré pour quelques années plus tard, inventer le Groland. Il anime un journal télévisé grolandais dans une émission s'appelant tour à tour CANAL International, Le 20H20 (diffusées dans Nulle part ailleurs), Groland Sat, 7 jours au Groland, Bienvenue au Groland, Groland Magzine, Groland.con et Made in Groland. Côté radio, Jules-Édouard Moustic est aussi un passionné de musique, qu’il aime partager avec ses auditeurs basques « du nord » (ceux du côté français), sur les ondes pirates de sa radio I have a dream. En décembre 2008 au théâtre du Rond-Point, il joue dans un one-man-show qu'il a écrit, Moustic en gros, mis en scène par Ahmed Hamidi. Jules-Édouard Moustic est aussi acteur du court métrage Le Meilleur ami de l'homme, comédie sentimentale de Vincent Mariette dans lequel il interprète l'agent de sécurité, maître d'« Œdipe », son chien de garde végétarien et homosexuel2. Depuis le 24 mars 2012, il anime le Mouv'stic mix sur Le Mouv', durant laquelle il délivre une play-list originale, à l'image de sa personnalité3. Il est aussi à l'initiative du festival de musique Black and Basque à Bayonne.

Voici la liste des DJ's qui seront présents cette année :

Dj Esposito - Italie Dj Faniatico - Suisse

Dj kaiser - Paris Dj Sandungueo - Toulouse

Dj Seba Ga - Montpellier Dj Fabricio- Bordeaux

Dj Aurelito - Agen Djette Lady avocado - Espagne / Colombie

Dj Uriel - Cap d'Agde Dj Salsagodfather - Chine

Pour la 21ème édition de Tempo Latino et pour la seconde année consécutive des Sonidos de la Conga, les sonorités latinos vont retentir à Tempo Latino en plein jour, le vendredi, le samedi et le dimanche à partir de 10 heures du matin et jusqu'à 14h30. Un festival gratuit où shows, workshops et DJ's des 4 coins de France et du monde vont se succéder pour que la Conga prenne des allures de fiesta aux premières lueurs de la journée.

Tarifs* Concerts du 24, 25, 26 et 27 juillet La soirée : 30 euros* Pass Concerts 4 jours : 100 euros *avant le 14 juillet 2014

Situation géographique Vic-Fezensac en plein cœur du Gers!

Un patrimoine réputé, une gastronomie généreuse, une campagne dite « toscane », Vic-Fezensac et le Gers offrent chaque année à Tempo Latino une

partition estivale idéale pour tous les spectateurs de Tempo Latino.

Tempo Latino en quelques mots : Tempo Latino est un festival organisé par une association loi 1901 au service de la culture latine et de la musique afro-cubaine qui a été créée en 1994

par Eric Duffau et qui doit son succès à l’implication de plus de 600 bénévoles passionnés. Tempo Latino, c’est 4 jours de convivialité et

d’échanges qui réunissent chaque année, près de 50 000 visiteurs qui viennent applaudir les artistes mais aussi découvrir une programmation « off » (concerts gratuits, stages et ateliers de danse et de musique, exposition de

photos, rencontres littéraires…).

Pour plus d’informations : www.tempo-latino.com

Contact presse : Marie Charrière – La Mini Agence

06.61.63.16.01 – mariecharriè[email protected]

Idéalement situé entre Toulouse et Bordeaux, Vic-Fezensac bénéficie d’arènes avec une acoustique magnifique pouvant accueillir plus de 7000 personnes!

Réservations billetterie www.tempo-latino.com

www.fnac.com www. ticketnet.fr

www.digitick.com