dossier de presse · ses débuts dans le magazine spirou , en 1974, dans le cadre des cartes...

ETC © Il Etait Une Fois 1914 Dossier de presse | Service éducatif de l’Abbaye de Stavelot

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DOSSIER DE PRESSE

EXPOSITION DU 21 MARS AU 16 NOVEMBRE 2014


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SOMMAIRE

Il Etait Une Fois 1914

1. Commémorer 1914 p. 3

2. La Fédération Wallonie-Bruxelles au cœur du projet p. 4

3. La bande dessinée Il Etait Une Fois 1914 p. 4

• Neuf récits illustrés p. 4

• Un cahier graphique et pédagogique p. 4

• Quatorze dessinateurs et scénaristes p. 4

· Didier CHARDEZ (Didgé), Le Papy de Papignac

· Philippe JARBINET, L’Adieu du Cavalier

· Martin JAMAR, Les Grandprez

· Marco VENANZI et Mathieu BARTHELEMY, Carnet de Guerre

· Michel PIERRET, Madeleine

· Didier COURTOIS, Un Caporal français

· MARC-RENIER et DUGOMIER, Les Anges de Mons

· Pierre-Yves BERHIN (HAMO) et Johan PILET, Le Champ des Oiseaux

· Georges VAN LINTHOUT, Le Fil rouge

· Francis CARIN et David CARYN, Bruxelles a Faim

4. L’exposition Il Etait Une Fois 1914 p. 11

• Dans les Combles et la Chapelle p. 11

• Dans le Foyer de la Chapelle p. 12

• Dans le Musée Guillaume Apollinaire p. 13

• Dans le Musée du Circuit de Spa-Francorchamps p. 14

Autour de l’évènement

• Séances de dédicaces p. 15

• Cycle de conférences : La guerre au quotidien

• Apéritif-concert : Tranchées wallonnes p. 16

Visiter l’exposition en groupe p. 17

Informations pratiques p. 18

Réalisation p. 19

Remerciements p. 21

Crédits photographique p. 22

Nos partenaires p. 23


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LE PROJET Il ETAIT UNE FOIS 1914

L’Abbaye de Stavelot s’intègre dans le

calendrier officiel du centième anniversaire de

la première année de la Grande Guerre, en

organisant un événement d’envergure intitulé

Il Etait Une Fois 1914.

Le projet Il Etait Une Fois 1914 se décline en

deux parties : une bande dessinée inédite ainsi

qu’une exposition qui occupe le Musée

Guillaume Apollinaire, le Musée du Circuit de

Spa-Francorchamps et les salles d’exposition

de l’Abbaye de Stavelot.

L’évènement Il Etait Une Fois 1914

1. Commémorer 1914

La Grande Guerre a marqué l’histoire du monde entier, de l’Europe et de la Belgique. En effet,

occupée pendant quatre années, la Belgique a été entraînée bien malgré elle dans le tourbillon de

cette guerre. Pays neutre, notre nation a joué un rôle important dans ce conflit. Soldats et civils

belges ont courageusement unis leur force afin de résister à l’invasion puis à l’occupation allemande.

Cette solidarité a permis de défendre la liberté du peuple belge et celle de la démocratie et des

libertés fondamentales.

La Première Guerre mondiale est un évènement gravé dans la mémoire collective de chaque citoyen

belge. Cette mémoire collective doit être nourrie par les générations actuelles et transmise aux

générations futures.

Soucieuse d’un véritable devoir de mémoire, l’Abbaye de Stavelot rend compte de cette expérience

de guerre vécue par nos parents, grands-parents et arrière-grands-parents, confrontés à la brutalité

d’une invasion et d’une occupation militaire. L’évènement Il Etait Une Fois 1914 sensibilise le grand

public et les jeunes générations à l’impact d’un tel conflit. En effet, cette exposition-bande dessinée

approfondit et assure la transmission des connaissances historiques sur 1914, telle qu’elle a été

vécue dans la Fédération Wallonie-Bruxelles, vers un large public.

Il Etait Une Fois 1914 est un album à mettre entre toutes les mains, une exposition à voir et à revoir,

afin d’encore et toujours rappeler que la défense de la démocratie et des libertés fondamentales

passe par la solidarité et la résistance à l’oppression.


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2. La Fédération Wallonie-Bruxelles au cœur du projet

La partie francophone du pays a connu la guerre comme l’ensemble de la Belgique. L’histoire des

combats ne se limite en effet pas aux tranchées en Flandre. L’invasion allemande a commencé par la

région de Stavelot et Malmedy pour s’étendre dans le sang, durant ce qu’on appelle la guerre de

mouvement, sur tout le territoire belge. La Wallonie et Bruxelles a été occupée pendant 4 années

durant lesquelles civils et soldats se sont battus pour leur patrie et pour la communauté à laquelle ils

appartiennent.

3. La bande dessinée Il Etait Une Fois 1914

La bande dessinée Il Etait Une Fois 1914 est éditée par Espaces, Tourisme et Culture (ETC),

l’association gestionnaire de l’Abbaye de Stavelot et de son site. Diffusée par l’Institut du Patrimoine

wallon, l’album est disponible en français et en anglais.

Il Etait Une Fois 1914

Neuf récits illustrés

La bande dessinée Il Etait Une Fois 1914 est une œuvre inédite et collective qui rassemble une dizaine

de dessinateurs et de scénaristes wallons. Neuf récits illustrés racontent la petite histoire dans la

grande Histoire. Chaque récit a pour cadre une région de la Wallonie ou de Bruxelles : la capitale bien

sûr, mais aussi Stavelot, Mons, Liège, Namur ou encore Tamines. A chaque région se rattache un

évènement inédit ou moins connu du grand public, illustrant une des thématiques principales des

sombres années 1914 et 1915 : l’invasion allemande, l’aide apportée par l’armée française au peuple

belge, la légende des Anges de Mons, les massacres de civils, les hauts faits de la Résistance ou

encore le quotidien de la Croix-Rouge.


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Un cahier graphique et pédagogique

L’album Il Etait Une Fois 1914 se clôt par un cahier graphique et pédagogique. Le lecteur y trouve un

complément d’informations sur les différentes thématiques abordées dans chacun des neufs récits.

Ces petites histoires, fictives ou véridiques, sont ainsi replacées dans leur contexte historique.

Quatorze dessinateurs et scénaristes

• Didier CHARDEZ (Didgé), Le Papy de Papignac

Né à Verviers, le 10 novembre 1953.

Après des études à l’Institut Saint-Luc de Liège, Didier Chardez débute dans

le Trombone Illustré (suppplément au Journal de Spirou) avec Les Ouvriers du

Tartre. Il collabore le temps d’un album à Bobo avec Paul Deliège.

Il signe plusieurs séries dans le Journal de Spirou (Isidore Landurcy, Le Ciné-

club du mardi matin, Honoré Joufflu, Jules Pieznu, les BB de BD, les Fables

aberrantes de Ping et Pong), ainsi que dans le Journal de Tintin (Monsieur

Edouard, le Coin didactique).

Toujours dans le Journal de Tintin, il scénarise plusieurs séries : Clin d’œil (Ernst), William Lapoire

(Ernst), Platon, Torloche et Coquinette (Renaud, puis Disano), Golden Island (Tsili), Ptouih

(Vandendaele), les Dignes Dingues (Richelle).

Didgé réalise aussi de nombreuses BD d’entreprise: 4 albums de Quicky (Nestle-Nesquik), Les

Générations Chocolat (Callebaut), gags revues Touring Secours (avec Georges Van Linthout), et des

travaux d’ordre didactique et scolaire.

De nombreux ouvrages voient le jour: Les Bébés (6 tomes - Blanco et P&T production), Monsieur

Edouard (4 tomes - Le Lombard), La Malédiction d’Edgar (3 tomes- Casterman), Caméra Café (5

tomes avec G. Van Linthout et Stibane - Jungle), Karl Leisner, Jeanne Jugan, Pier Giorgio Frassati,

Joseph André, les frères Jaccard (avec GVL) (Coccinelle BD).

• Philippe JARBINET, L’Adieu du Cavalier

Né à Liège, le 13 février 1965.

Philippe Jarbinet poursuit des études de dessin et de scénario à l'Institut

Saint-Luc de Liège. En collaboration avec Franz (auteur de Jugurtha), il crée la

série Sandy Eastern dont le 1er tome sort en 1992.

En tant que scénariste et dessinateur, Mémoires de Cendres voit le jour en

1995 (10 tomes- Glénat) ainsi que Sam Bracken (3 tomes-Glénat). Airborne 44,

5 albums sur la Seconde Guerre mondiale réalisés en couleur directe chez

Casterman lui vaut le prix du Meilleur album de l'année au Festival de

Toulouse (2010) et celui du meilleur scénario au festival de Chambéry.

Il collabore, avec d'autres dessinateurs, à la série Une folie très ordinaire scénarisée par Christian

Godard chez Glénat.

Depuis 1990, Philippe Jarbinet enseigne également le dessin à l'Académie René Defossez de Spa.


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Martin JAMAR, Les Grandprez

Né à Liège, le 6 novembre 1959.

Faisant fi de la licence en droit dont il est titulaire, il décide de se consacrer au

dessin, sa passion de toujours, et de s’aventurer dans la BD.

En 1997 il réalise avec son scénariste Jean DUFAUX la série les Voleurs

d'Empires (7 tomes-Glénat). Cette saga vaut à Martin Jamar, le Prix du

meilleur Dessinateur décerné par la Chambre belge des Experts en BD. Le

tandem signe ensuite la série Double Masque (6 tomes- Dargaud) qui s’inscrit dans la lignée des

grands feuilletons populaires du 19e siècle signés Dumas, Hugo, Balzac…

• Marco VENANZI et Mathieu BARTHELEMY, Carnet de Guerre

Marco Venanzi

Né à Rome, le 14 décembre 1963.

Marco Venanzi est diplômé de l’Institut Saint-Luc de Liège en 1985.

Dès 1987, ses premiers dessins sont publiés dans le journal Tintin et Tintin

reporter. En 1991, peu après la parution de son premier ouvrage

Froidure scénarisé par Michel Dusart, il reprend chez Glénat la

série Masquerouge sur un scénario de Patrick Cothias.

Toujours chez Glénat, avec le concours de Michel Pierret, il publie en 2003 le premier des deux

tomes de la série Hidalgos. La même année, son travail se voit récompensé au Festival

d’Angoulême pour l’album Auriac sorti en 2002 chez Coccinelle. Depuis 2010, à la demande des

éditions Casterman avec Le Testament de César, Marco Venanzi signe la reprise de la prestigieuse

série Alix de Jacques Martin.

Mathieu Barthelemy

Né à Seraing, le 13 mai 1983.

Après des études de bande dessinée à l’Institut Saint-Luc de Liège,

Mathieu Barthélémy participe à deux albums collectifs chez Manolosanctis

(13m28 et Vivre Dessous), ainsi qu'à un album collectif au Lombard

(Concours Raymond Leblanc : un monde sans pétrole). Il réalise également

des décors pour le dessinateur Hamo (Spécial Branch T3, L'envolée

Sauvage, T1 et T2) et pour Marco Venanzi sur la série Alix (Le Testament de

César, L'ombre de Sarapis). Il travaille actuellement à un album sur l'Abbaye de Stavelot (Les

voyages de Jhen) chez Casterman avec Marco Venanzi.


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• Michel PIERRET, Madeleine

Né à Ebly (Neufchâteau), le 9 mars 1951.

En 1973, Michel Pierret est diplômé de l’Institut Saint -Luc de Liège, section

Illustration.

Après un stage chez Arthur Piroton et une collaboration avec Hachel, il fait

ses débuts dans le magazine Spirou, en 1974, dans le cadre des Cartes

Blanches et des Découvertes Dupuis.

Plusieurs courtes histoires de science-fiction: Terran Stone et Ceux du Khandor

sont signées par Michel Pierret.

En 1978, il publie dans Tintin Papilio (Héroïc-Fantasy) dont plus de 400 planches seront éditées.

Ensuite, en 1987, il signe une nouvelle série humoristique Max et Cati, ainsi que des histoires

authentiques sur la guerre 14-18 et un one-shot sur la guerre civile russe L’Or des Tzars.

Enfin en 1990, il reprend une série historique Les Aigles Décapités qui comptait déjà quatre albums

signés Jean-Charles Kraehn. Depuis, les tomes 5 à 25 ont paru chez Glénat et la série continue.

En collaboration avec Marco Venanzi, une biographie de Zinédine Zidane (Casterman) est publiée

ainsi qu’un diptyque intitulé Hidalgos (Glénat).

Comme scénariste et toujours chez Glénat, une série intitulée Les Déesses sur la Crète minoenne

voit le jour avec des dessins de Jacques Denoël, collaborateur de Jacques Martin.

• Didier COURTOIS, Un Caporal français

Né à Charleroi, le 19 janvier 1960.

Dès 1976, Didier Courtois débute ses gribouillages à l'Institut Félicien Rops de

Namur avant de les terminer en beauté à l’Institut de Saint-Luc de Liège.

Ensuite, petits boulots, service militaire (oui, on le faisait encore!) et encore

petits boulots!

En 1987, il rencontre Chris Lamquet qui fut un magnifique professeur de BD.

Son premier livre voit le jour en 1992 aux éditions Claude Lefrancq Les cavaliers aux yeux verts, une

histoire de Loup Durand. La série tourne court et il rencontre Denis Lapière avec qui il crée La Race

des Seigneurs.

Il participe alors comme décoriste aux tomes 5 à 7 de la série Charly dessinée par Magda.

Didier courtois rencontre ensuite Frank Giroud...En octobre 1998, sort le premier tome de la série

Louis Ferchot. Giroud et Courtois font ainsi la genèse du personnage créé par Jean-Paul

Dethorey Louis la guigne. Huit épisodes sont nécessaires pour faire du jeune Ferchot, le baroudeur

un peu anar qu'est Louis la guigne.

Ensuite, après un petit passage aux éditions du Triomphe pour la biographie d’Eric Tabarly, Courtois

participe à la série Fleury-Nadal en dessinant le tome 4 Anahide chez Glénat avec le scénariste

Giroud (2009).


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• MARC-RENIER et DUGOMIER, Les Anges de Mons

Marc-Renier

Né à Cologne, le 29 octobre 1958. Marc-Renier Warnauts entame sa

carrière dans les derniers numéros du journal Tintin et collabore aux

magazines Tintin reporter et A Suivre.

Il collabore avec les scénaristes Franck Giroud, Denis Lapière, Eric

Warnauts, Patrick Cothias, Virginie Cady, Rodolphe et publie bon nombre

d'albums avec ceux-ci dont les très remarqués Ombres et désirs chez Casterman, Blackhills et

Masque de fer chez Glénat ou encore Clandestine chez Futuropolis. Marc Renier travaille également

pour le cinéma.

Dugomier

Scénariste dans la veine Tout Public, Dugomier (Vincent Lodewick) a réalisé des séries comme Les

Démons d’Alexia ou Hell Schoo. Des thrillers contemporains dans lesquels la narration concilie la

tradition de la BD franco-belge et une modernité de ton. La psychologie très étudiée de ses

personnages est une de ses marques de fabrique. Dugomier manie également l’humour dans Les

Campeurs. Il s’est également spécialisé dans le travail éditorial en dirigeant la collection de prestige

Version Originale de Franquin.

• Pierre-Yves BERHIN (HAMO) et Johan PILET, Le Champ des Oiseaux

Pierre-Yves BERHIN (HAMO)

Né à Namur, le 23 août 1982.

Après avoir suivi des cours du soir de dessin à l'Académie des Beaux-Arts

de Namur, Pierre-Yves Berhin complète sa formation, de 2000 à 2003,

dans la section Illustration - Bande dessinée de l’Institut Saint-Luc à Liège.

D'abord illustrateur puis auteur d'histoires courtes pour le magazine

Spirou aux côtés de Zidrou, Hamo signe avec Antoine Maurel sa première série Noirhomme (3

tomes- Casterman). Il entame ensuite une nouvelle série avec Roger Seiter (Special Branch- Glénat)

ainsi que le deuxième cycle de L'envolée sauvage (Bamboo) avec Laurent Galandon. Sont prévues

également deux nouvelles enquêtes de la Special Branch ainsi qu'un dyptique sur la bête du

Gévaudan avec Aurélien Ducoudray.

Pour Le champ des oiseaux, il collabore avec le scénariste Johan Pilet.

Il est également musicien, accordéoniste et compositeur au sein de plusieurs groupes dont Camping

Sauvach et Ratigan trio.

Johan PILET

Né à Liège, le 29 août 1976.

Johan Pilet débute son parcours professionnel dans le design automobile. Diplômé en esthétique

industrielle, il décide néanmoins de reprendre le chemin des bancs d’école pour se consacrer à son


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premier amour : la bande dessinée.

En 2003, il rencontre Batem, dessinateur du Marsupilami, qui lui propose de rejoindre l’atelier

liégeois qu’il partage avec Stéphane Colman, Olivier Saive et Fabrizio Borrini. L’année suivante, il

fait ses premières armes dans le journal Spirou.

Parallèlement, il colorise la série Karma illustrée par Fabrizio Borrini et scénarisée par Jean-Louis

Janssens (3 tomes- Dupuis).

En 2010, il s'associe au scénariste Jean-Michel Darlot, et publie son premier album Barzoon Circus -

Le jour de la citrouille édité chez Glénat dans la collection Treize étranges. Il entame ensuite la série

Caktus scénarisée par Nicolas Pothier et reprend la série Ratafia en 2013.

• Georges VAN LINTHOUT, Le Fil rouge

©Patricia Mathieu

Né à Hermalle-sous-Argenteau, le 21 décembre 1958.

Georges Van Linthout débute sa carrière en participant au numéro spécial

45ème anniversaire de Spirou, puis pour le journal Tintin (1985). Pour les

éditions du Lombard, il crée la série Lou Smog et par la suite la série

Falkenberg avec Yves Leclercq.

Avec ce dernier, il publie La nuit du lièvre (Delcourt), Twins et Conquistador (Casterman). Avec

Rodolphe, il adapte Sur les quais (Casterman), Gene Vincent, une légende du rock'n roll (Dargaud) et

Mojo (Vents d’ouest). Enfin, avec son fils Benjamin au scénario, Georges Van Linthout

signe Braquages et bras cassés (La boîte à bulles). Ces dernières années, il réalise essentiellement des

albums one-shot en noir et blanc de type romans graphiques. Georges Van Linthout a également

réalisé l’adaptation de la série caméra café avec Didgé et Stibane (Jungle), ainsi qu'un bon nombre

d'albums en collaboration avec ces deux derniers.

• Francis CARIN et David CARYN, Bruxelles a Faim

Francis Carin et David Caryn © Patricia Mathieu 2013

Francis Carin naît à Retinne, le 24 décembre 1950.

De 1968 à 1973, il étudie les Arts Plastiques à

l’Institut Saint-Luc de Liège, section Illustration.

A partir de 1979, il collabore aux éditions Dupuis

(LES DIABLES BLEUS dans SPIROU), aux éditions

Le Lombard (VICTOR SACKVILLE- 23 tomes - 8

Intégrales - 1 Archive), aux éditions Casterman

(GUY LEFRANC - 2 tomes), aux éditions Glénat

(SYDNEY BRUCE- 2 tomes, ELLA MAHE - 1 tome), aux éditions Coccinelle FREDERIC OZANAM.

Il signe en 2014, chez Glénat, avec son fils David CARYN, le 1er tome de la série ENNEMIS DE SANG

intitulé Les Moissons Funestes.

Pour Il Etait Une Fois 1914, c’est David CARYN qui a colorisé les planches.


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4. L’exposition Il Etait Une Fois 1914

L’Abbaye de Stavelot commémore le début de la Première Guerre mondiale en collaboration avec

chacun des Musées partenaires qui occupent ses lieux. Cette exposition d’envergure est traduite en

quatre langues : français, néerlandais, anglais et allemand.

Dans les Combles et la Chapelle

Ces deux espaces sont entièrement consacrés au début du conflit, du 4 août 1914 à l’aube de l’année

1915. Les planches originales tirées de la bande dessinée Il Etait Une Fois 1914 y sont exposées et

mises en scène.

Aux côtés des planches originales de la bande dessinée, sont exposés objets du

quotidien, armes ou encore documents originaux (photographies, archives, lettres

manuscrites, etc).


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Browning 1910

Le Browning 1910 fut commercialisé par la Fabrique Nationale

Belge de Herstal (FN Herstal) de 1912 à 1978 (bien que la

production ait cessé en 1975). Cette arme de poing a été inventée

par John Browning. Le Browning 1910 fut employé comme arme de

police et/ou de guerre par de nombreux pays européens, asiatiques

et africains.

Le Browning 1910 est l’arme qui fut utilisée le 28 juin 1914 lors de

l’assassinat de l’archiduc François-Ferdinand d’Autriche à

Sarajevo, évènement déclencheur de la Première Guerre

mondiale.

Une réplique de ce célèbre révolver est exposée à l’Abbaye

de Stavelot.

Soldats allemands, casques à pointe.

Au début de la guerre, les soldats français

sont vêtus du pantalon garance (rouge)

hérité de la guerre franco-prussienne

(1870-1871). Les Belges aussi sont habillés

d’un peu toutes les couleurs. Les Anglais

et les Allemands sont quant à eux vêtus de

kaki. Les soldats n’ont même pas de

casques pour se protéger la tête.

Pourtant, ce sont les obus qui constituent

l’une des armes principales pour

neutraliser les troupes ennemies. Les

blessures à la tête se multiplient, les

pertes sont lourdes. Ce n’est qu’en 1915

que les soldats français puis belges sont munis du casque Adrian, conçu dans l’urgence pour

atténuer les pertes causées par les projectiles. Les Allemands feront de même à peu près

simultanément, abandonnant le casque à pointe en cuir. En 1915, un accessoire important se

multiplie dans les tranchées : le masque à gaz.

Costumes belges, allemands, français et anglais, casques dont les célèbres casques à

pointe, sont exposés dans les salles de l’Abbaye de Stavelot.

Chaque thématique est enrichie de textes explicatifs qui la replacent dans son contexte

historique.


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Dans le Foyer de la Chapelle

Une partie de l’exposition, intitulée Stavelot 14-18, retrace la vie à Stavelot durant la Première

Guerre mondiale. Cette exposition, a été réalisée en 2004, dans le cadre du 90ème anniversaire de

l’Armistice, par le Fonds régional de la Bibliothèque de Stavelot.

La région de Stavelot est une des premières touchées par

l’invasion allemande. De nombreux massacres de civils ont

eu lieu dans cette partie du pays, comme en témoigne le

tristement célèbre massacre de Francorchamps. La petite

ville de Stavelot a été occupée pendant quatre années,

comme le montrent les nombreux documents

d’archives et objets exposés à l’Abbaye.

Place Saint-Remacle, Stavelot, 1914.

Un hommage est également rendu au Lieutenant Général Jacques de Dixmude, né à Stavelot,

qui commanda le Régiment 12ème de Ligne durant la Première Guerre mondiale. La mise en place a

été réalisée en collaboration avec le Musée Mémorial du 12ème de Ligne-Prince Léopold de Spa.

Lieutenant Général Jacques de

Dixmude

Fidèle à sa devise, le 12ème de Ligne se trouve A l’avant-garde durant

la campagne de 1914, en participant à la défense de Liège, d’Anvers,

le long de la Dyle, et à la Bataille de l’Yser, en repoussant les

nombreux assauts allemands sur Dixmude (14-26 octobre 1914). Le

12ème de Ligne reçoit du roi Albert Ier la Croix de chevalier de l’Ordre

de Léopold, pour son comportement héroïque sous les ordres du

prestigieux colonel Jacques, Stavelotain d’origine. Suit la longue

guerre de tranchées, au cours de laquelle le colonel Jacques et le

12ème, baptisé la Division de fer, accomplissent différentes missions

sur l’Yser et s’illustrent glorieusement lors de l’offensive libératrice

sur la Lys (14-16 octobre 1918). Dès 1924, le colonel Jacques est anobli

et porte le titre de Lieutenant général Jacques de Dixmude.

Le sabre et la veste du Général Jacques sont exposés à

l’Abbaye de Stavelot.


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Dans le Musée Guillaume Apollinaire

[…] Je m’en allais portant en moi toutes ces armées qui se battaient

Je les sentais monter en moi et s’étaler les contrées où elles serpentaient

Avec les forêts les villages heureux de la Belgique

Francorchamps avec l’Eau Rouge et les pouhons

Région par où se font toujours les invasions

La petite auto est un poème de Calligrammes, commencé fin 1914 et achevé en 1917, qui évoque les

paysages qu’a connus Guillaume Apollinaire en 1899.

Le Musée Guillaume Apollinaire évoque le séjour du poète dans la région de Stavelot et plonge

les visiteurs dans l'univers artistique de l'auteur de la Chanson du Mal-Aimé. En effet, Guillaume

Apollinaire, alors âgé de 19 ans, est en vacances à Stavelot, tandis que sa mère, aristocrate

polonaise, fréquente le casino de Spa. Cet été 1899 a sensiblement influencé son œuvre.

Le Musée Guillaume Apollinaire consacre ses espaces à la vie du célèbre poète durant la Première

Guerre mondiale. En effet, Guillaume Apollinaire s’est engagé comme volontaire et a pris part à

la Grande Guerre. Cinq thématiques retracent la vie du poète, dès 1914 : les débuts de la guerre,

Apollinaire au front, après la blessure, autour des Mamelles de Tirésias et, enfin, la mort

d’Apollinaire. Lettres, poèmes, manuscrits, objets fabriqués au front ou encore éditions

originales illustrent cette tranche de vie.

Apollinaire après sa blessure,

Eau-forte d'après un dessin de

Picasso, 1916.

En novembre 1915, Apollinaire est transféré en tant que sous-

lieutenant au 96ème régiment d’infanterie. Blessé à la tempe par un

éclat d’obus le 17 mars 1916, le poète et brigadier est évacué et

trépané à Paris le 10 mai 1916.

Cette eau-forte d’après un dessin de Picasso, réalisée en 1916,

représente Apollinaire après sa blessure, en uniforme de sous-

lieutenant, 96ème d’infanterie, orné de la croix de guerre qu’il a reçu le

samedi 17 juin 1916. Ce portrait figurera sur les exemplaires de luxe de

Calligrammes, en plus du fameux profil à la tête bandée, également

de Picasso, gravé par Jaudon pour le frontispice.

Cette eau-forte est exposée dans le Musée Guillaume

Apollinaire, au premier étage de l’Abbaye de Stavelot.


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Dans le Musée du Circuit de Spa-Francorchamps

Estafettes militaires, véhicules, armes et munitions ayant servi durant la Grande Guerre sont

exposés dans le Musée du Circuit. Avec la précieuse collaboration de La fondation Ars Mechanica-

groupe Herstal, la Ville de Stavelot, la Cité de l’Automobile de Mulhouse, Le Service d'Enlèvement et

de Destruction d'Engins Explosifs (S.E.D.E.E).

Albert Ier, roi des Belges, refuse de laisser passer

les troupes allemandes sur son territoire. Vêtu de

son uniforme de général, le roi se rend au

parlement de Bruxelles le 4 août au matin et

déclare : Un pays qui se défend s’impose au respect

de tous, ce pays ne périt pas. J’ai foi en nos

destinées. La petite armée belge combat et

résiste à l’envahisseur notamment à Liège et

Anvers où, menacée d’encerclement, elle doit

toutefois battre en retraite. Retranchée derrière

La FN Torpedo qui a transporté Albert Ier.

le fleuve Yser, elle ne capitulera pas. L’attitude d’Albert Ier, physiquement sur le front, lui vaudra une

immense popularité ainsi que le surnom de roi soldat ou de roi Chevalier.

La voiture FN Torpedo 4 cylindres de 6000cc, exposée à l’Abbaye, a été achetée à la FN en 1912

par le comte de Jonghe d’Ardoye, aide de camp du roi des Belges.

Cette voiture FN Torpedo, qui a notamment véhiculé le roi Albert Ier près du front

durant la guerre, est exposée à l’Abbaye de Stavelot, dans le Musée du Circuit de Spa-

Francorchamps.

Taxi de la Marne

Depuis la victoire à Liège d’août 1914, les troupes

allemandes ont progressé en Belgique et en France. Le

4 septembre, elles sont à Reims. Lors de la Bataille de

la Marne, l’armée française parvient à repousser les

Allemands alors qu’ils s’approchent de Paris. C’est lors

de cet épisode que des taxis parisiens seront

réquisitionnés pour amener 4.000 soldats en renfort

(un chiffre pas si important que cela) sur le front.

Un des fameux Taxis de la Marne est présenté

dans le Musée du Circuit de Spa-Francorchamps,

à l’Abbaye de Stavelot.


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AUTOUR DE L’EVENEMENT

1. Séances de dédicace

L’Abbaye de Stavelot organise trois séances de dédicaces, en présence des dessinateurs et

scénaristes :

• Le samedi 29 mars de 14h00 à 18h00 :

· Didier Chardez

· Didier Courtois

· Philippe Jarbinet

· Michel Pierret

· Marco Venanzi

· Georges Van Linthout

• Le samedi 24 mai de 14h00 à 18h00 :

· Didier Chardez

· Martin Jamar

· Marco Venanzi

· Marc-Renier

• Le samedi 13 septembre de 14h00 à 18h00 :

· Mathieu Barthelemy

· Francis Carin

· Didier Chardez

· Didier Courtois

· Martin Jamar

· Philippe Jarbinet

· Michel Pierret

· Marco Venanzi

· Georges Van Linthout

· Marc-Renier

2. Cycle de conférences : La guerre au quotidien

L’Abbaye de Stavelot organise un cycle de conférence intitulé La guerre au quotidien :

• Le jeudi 8 mai à 14h00 : Le rôle des femmes pendant la Grande Guerre, Dr. Patrick

Loodts

Patrick Loodts devient docteur en médecine en 1977.Tout au long de sa carrière de médecin

généraliste puis de médecin du travail, il poursuit des recherches historiques. En 2000, ses deux

passions, la médecine et l'histoire, se rejoignent lorsqu'il découvre la correspondance de guerre de

René Glatigny : le grand oncle de son épouse relate, dans le courrier qu'il adresse à sa marraine de

guerre, comment, d'instituteur, il devint brancardier, puis officier durant la Grande Guerre.


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• Le mardi 7 octobre à 14h00 : La vie quotidienne durant la Première Guerre mondiale,

Jacques Wynants

Jacques Wynants est né à Liège (par les hasards de la guerre) le 28 juillet 1940, a toujours vécu à

Verviers. Régent langue maternelle-histoire puis licencié-agrégé en histoire. Professeur à l'institut

sainte-Claire puis directeur à SFX2. S'intéresse à l'histoire depuis toujours. Etudie la Seconde Guerre

mondiale depuis 1967 et le Première depuis 1990. A publié des articles sur les deux guerres, la

présence allemande à Verviers au 19e siècle, l'histoire sociale et culturelle de Verviers, la

problématique des Cantons de l'Est... Président de la société verviétoise d'archéologie et d'histoire.

Correspondant à Verviers du CEGES (centre d'étude des conflits du 20e siècle) depuis 1969.

3. Apéritif-concert : Tranchées wallonnes

Dans le cadre de ses apéritifs-concerts qui ont lieu tous les dimanches à 11h00 en juillet et en août,

l’Abbaye de Stavelot organise un apéritif-concert :

• Le dimanche 3 août à 11h00 : Tranchées wallonnes, textes récités par Marc Legros, avec

Pirly Zurstrassen à l’accordéon.

Apéritif-concert dans le jardin du cloître


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VISITER L’EXPOSITION EN GROUPE

L’Abbaye de Stavelot organise, pour les groupes adultes et les groupes scolaires (8-18 ans), des

visites libres et guidées de l’exposition Il Etait Une Fois 1914.

1. Groupes adultes

• Visite libre de l’exposition : 5 € / personne

• Visite guidée de l’exposition : 5 € / personne + 60 € / guide

• Groupe de minimum 20 personnes

• Renseignements et réservations :

· Philippe Minke, responsable du Service groupe

· [email protected]

· Tél. : +32(0)80/88 08 78

2. Groupes scolaires

• Visite libre de l’exposition : 3 € / élève

• Visite guidée de l’exposition : 4,5 € / élève

• Groupe de 15 à 50 élèves

• 1 accompagnant gratuit pour 10 élèves payants

• Renseignements et réservations :

· Carla Zurstrassen, responsable du Service éducatif

· [email protected]

· Tél. : +32(0)80/88 08 78


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INFORMATIONS PRATIQUES

Heures d’ouvertures L’Abbaye de Stavelot est ouverte tous les jours, de 10h00 à

18h00, sauf lors du Laetare de Stavelot (les 30 et 31 mars

2014)

Adresse Abbaye de Stavelot

1, Cour de l’Abbaye

B-4970 Stavelot

Tel +32(0)80 88 08 78

Fax +32(0)80 88 08 77

Email [email protected]

Site www.abbayedestavelot.be

Visites individuelles Expo Adulte et enfant : 5 €

All-In Adulte : 8,5 €

Enfant (0-6 ans) : gratuit

Enfant (6-18 ans) : 7 €

Groupes Adultes 5 € / personne

Visite guidée : 60 € / guide

Scolaires Visite libre : 3 €

All-In : 3,5 €

Visite guidée : 4,5 €

1 acc. gratuit / 10 élèves


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REALISATION

1. L’exposition au 2ème étage (premières semaines de guerre) et dans la

Chapelle

• Conception : Virgile GAUTHIER, ETC

• Scénographie : Murielle DENIS, ETC

• Montage et réalisation : Murielle DENIS, Michel TIXHON, Daniel MICHIELS, ETC

• Textes de l’exposition : Jacques WYNANTS (Historien), Carla ZURSTRASSEN, ETC et

Murielle DENIS, ETC

• Service éducatif : Carla ZURSTRASSEN, ETC

2. La bande dessinée

• Conception et coordination: Virgile GAUTHIER, ETC

• Les auteurs :

Didier CHARDEZ (Didgé), Le Papy de Papignac

Philippe JARBINET, L’Adieu du Cavalier

Martin JAMAR, Les Grandprez

Marco VENANZI et Mathieu BARTHELEMY, Carnet de Guerre

Michel PIERRET, Madeleine

Didier COURTOIS, Un Caporal français

MARC-RENIER et DUGOMIER, Les Anges de Mons

Pierre-Yves BERHIN (HAMO) et Johan PILET, Le Champ des Oiseaux

Georges VAN LINTHOUT, Le Fil rouge

Francis CARIN et David CARYN, Bruxelles a Faim

• Page de couverture : Marco VENANZI et Mathieu BARTHELEMY

• Page introductive et mise en page de l’album : Didier CHARDEZ

• Textes du cahier graphique: Jacques WYNANTS (Historien) et Carla ZURSTRASSEN

• Recherches iconographiques : Carla ZURSTRASSEN et Murielle DENIS


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3. Il Etait Une Fois 1914 investit d’autres lieux de l’Abbaye de Stavelot, en

collaboration avec les Musées Associés

· Dans le Musée Guillaume Apollinaire (premier étage) : évocation de la vie du célèbre

poète lorsqu’il est au front. Des documents originaux, des correspondances de guerre, des

poèmes sont présentés.

Choix des documents et textes : Madame Claude DEBON et Monsieur Gérald

PURNELLE (Association Internationale des Amis de Guillaume Apollinaire, AIAGA).

· Au Foyer de la Chapelle : la vie à Stavelot durant la première guerre mondiale. Exposition

réalisée en 2004, dans le cadre du 90ème anniversaire de l’Armistice, par le Fonds régional

de la Bibliothèque de Stavelot (Monsieur Michel VANDERSCHAEGHE)

Un hommage est rendu au Lieutenant Général Jacques de Dixmude.

Objets de collection : Serge Vandenbroeck

· Dans le Musée du Circuit de Spa-Francorchamps : Estafettes militaires, véhicules et

munitions ayant servi durant la Grande Guerre

Conception : Messieurs René BOVY, Théo GALLE, Herman MAUDOUX (Musée du

Circuit de Spa-Francorchamps)

Avec la précieuse collaboration de La fondation Ars Mechanica-groupe Herstal, la

Ville de Stavelot, la Cité de l’Automobile de Mulhouse, Le Service d'Enlèvement et

de Destruction d'Engins Explosifs (S.E.D.E.E).


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REMERCIEMENTS

L’Abbaye de Stavelot (ETC et les Musées Associés) remercie les prêteurs et les partenaires pour leur

précieuse contribution à cette exposition :

• Monsieur le Colonel Thierry BABETTE, coordinateur provincial des commémorations du

100e anniversaire

• Monsieur Michel BEDEUR, Andrimont

• Monsieur Théo BROERS, Moulan

• Madame Marie-Paule DELSEMME, Malmedy

• Monsieur Bernard DERECHAIN, Wegnez

• Monsieur Léon GREGOIRE, Stavelot

• Monsieur François GUERIN, Berlaimont (France)

• Madame Véronique LEGROS, Verviers

• Monsieur Serge VANDENBROECK, Stavelot

• Monsieur Francis WIBIN, Stavelot

• Le Musée de la Ville d’Eaux de Spa, Madame Marie-Christine SCHILS

• Le Musée du Circuit de Spa –Francorchamps

• Le Service d'Enlèvement et de Destruction d'Engins Explosifs (S.E.D.E.E), Monsieur Herman

MATTEUS

• La Cité de l’Automobile de Mulhouse, Monsieur Richard KELLER

• La fondation Ars Mechanica-Groupe Herstal, Monsieur Robert SAUVAGE

• L’AIAGA, l’Association Internationale des Amis de Guillaume Apollinaire, Madame Claude

DEBON et Monsieur Gérald PURNELLE

• Le Musée mémorial du 12ème de Ligne-Prince Léopold de Spa, Monsieur Pascal LANUIT

• La Ville, le Centre Culturel, l’Office du Tourisme et la Bibliothèque de Stavelot

• La Province de Liège Culture et Tourisme

• Musées et société en Wallonie (MSW)

• L’Institut du Patrimoine wallon(IPW)

• Wallonie-Bruxelles Tourisme (WBT)

• Le Commissariat Général au Tourisme (CGT)

• La Fédération Wallonie Bruxelles (FWB)


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CREDITS PHOTOGRAPHIQUES

©Archives du Musée de l’Armée, Bruxelles, ©Francis Wibin, Stavelot, Serge Vandenbroeck,

Stavelot, © Bernard Derechain, Wegnez, ©, Michel Bedeur, Andrimont, ©P. Loodts. Médecins de la

Grande Guerre, ©Commune de Thimister- Clermont, ©Michel Vanderschaeghe, ©Fonds régional

de la Bibliothèque de Stavelot, ©Baron de Borman, ©Jean-Claude Lebrun, Fonds d’histoire

régionale de la commune de Libin, © Bernard Janssens, © Fonds d’Histoire et de Culture régionale

de la Bibliothèque d’Auvelais, © Collection de la Ville de Mons, ©Théo Broers, ©Pierre Barré-Nicole

Close. Guy Focant ©SPW Patrimoine.


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NOS PARTENAIRES


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ESPACES TOURISME & CULTURE

Abbaye de Stavelot

Cour de l’Abbaye, 1

B-4970 Stavelot

Tél : +32 (0) 80 88 08 78

Fax : +32 (0) 80 88 08 77

[email protected]

dossier de presse · ses débuts dans le magazine spirou , en 1974, dans le cadre des cartes...

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