DOSSIER DE PRESSE

ENTREE GRATUITE

www.nuitdeschercheurs-france.eu

La Nuit Européenne des Chercheur.e.s est soutenue par la Commission Européenne dans le cadre du programme HORIZON 2020.

CoordinateurUniversité de Bourgogne Franche-Comté

OganisateursAix-Marseille Université (Marseille)Cap Sciences (Bordeaux)Espace des Sciences Pierre-Gilles de Gennes (Paris)Fondation Partenariale de l’Université de Limoges (Limoges)Océanopolis (Brest)Terre des Sciences (Angers)Université de Bourgogne Franche-Comté (Dijon)Université Fédérale Toulouse Midi-Pyrénées (Toulouse/Albi)Université de Franche-Comté (Besançon)Université de Lyon (Lyon)Université du Maine (Le Mans)

Contact PressePour tout complément d’information ou mise en relation avec un chercheur, veuillez contacter : John Bandelier - KIMIYOCoordinateur Communication nationale de la Nuit Européenne des Chercheur.e.s06 82 91 12 49communication@nuitdeschercheurs-france.eu

Photos à télécharger sur le site : http://www.nuitdeschercheurs-france.eu/RelationsPresse

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Marseille

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EDITOChez les chercheurs, les idées fusent !Elles se nourrissent des idées des autres et impulsent la créativité.Il faut parfois des millions d’astuces et des dizaines d’années pour confirmer une «grande idée».

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Sommaire 1. La Nuit Européenne des Chercheur.e.s et sa thématique 2016 « IDÉES ».... p. 3

2. Cédric Villani, parrain de prestige de l’édition 2016........................................ p. 4

3. ZOOM sur le métier de chercheur...............................................................

.... p. 5

4. Des animations inédites, « cuvée » 2016 ! .................................................... p. 9

5. Des animations incontournables de la Nuit Européenne des Chercheur.e.s.. p.10

6. Les villes participantes et les organisateurs................................................... p.11

7. Bilan national de l’édition 2015 (extraits)........................................................ p.13

Chez les onze partenaires organisateurs de la Nuit Européenne des Chercheur.e.s, en France, les méninges se sont aussi remuées pour confirmer notre idée commune de la « Nuit » : celle-ci doit susciter des rencontres directes, insolites et conviviales avec les chercheurs.

Ainsi, dans 12 villes de France, grâce à des Speed-dating scientifiques, des expériences participatives, des démonstrations, des jeux ou encore des ateliers de créativité collective, le public et les chercheurs pourront se découvrir mutuellement. Nul doute que les idées, à foison, circuleront.

Le public pourra aussi repérer comment les idées naissent, comment elles s’échangent, comment certaines meurent, parfois renaissent et… proposer ses idées pour la science actuelle.

Les éditions 2016 et 2017 sont regroupées sous le slogan bisannuel « La créativité générale ». Rendez-vous donc le 30 septembre pour démarrer le premier volet de cette aventure !

Lionel Maillot Coordinateur de la Nuit Européenne des Chercheur.e.s

Directeur du Réseau des ExperimentariumUniversité de Bourgogne

Jérémy QuerenetCo-coordinateur de la Nuit Européenne des Chercheur.e.s

Chargé de projets Actu des labos et événementsUniversité de Franche-Comté

1. La Nuit Européenne des Chercheur.e.s et sa thématique 2016 : «IDÉES»

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Une nouvelle Nuit Européenne des Chercheur.e.s s’annonce dans une centaine de villes en Europe dont 12 villes en France : Angers, Besançon, Bordeaux, Brest, Dijon, Le Mans, Limoges, Lyon, Marseille, Paris et Toulouse/Albi.

Vendredi 30 septembre, cet événement nocturne va, à nouveau, favoriser les rencontres en direct entre visiteurs et chercheur.e.s de toutes disciplines, au cœur d’espaces insolites et scénographiés. Une soirée pour «toucher du doigt» la recherche en train de se faire. Le thème 2016 ? «IDÉES» avec, pour la première fois, un parrain hors pair, le mathématicien français Cédric Villani, qui a reçu la prestigieuse Médaille Fields en 2010.

L’an passé, en France, ce sont 25000 visiteurs qui ont déambulé au gré de leur curiosité à travers des espaces scénographiés. Les lieux illuminés et l’ambiance décontractée et conviviale ont ainsi généré des rencontres simples, sans barrière de connaissances, ainsi que des échanges de savoir avec près de 1000 chercheurs.

En 2016, les visiteurs pourront assister, ou même participer, aux mini-conférences, expériences et animations pétillantes comme La boîte à idées, Rencontre dans le noir ou encore le Speed-searching, inspiré du Speed-dating... mais avec des chercheurs !

En lien avec la thématique «IDÉES»Des animations inédites seront également mises en scène telles que Le mur des idées, Le bouche-à-oreille, L’idée du siècle ! et même la visite d’un Cimetière d’idées. Toutes ces nouveautés contribueront au plaisir du visiteur, qui pourra ainsi s’immerger dans l’univers fascinant et énigmatique des chercheurs. Chacun aura la possibilité d’observer que, chez les chercheurs, les idées fusent, les idées se partagent et s’échangent... Il faut parfois des millions d’astuces et des dizaines d’années pour confirmer une « grande idée » comme par exemple la découverte de cette particule que l’on appelle le Boson de Higgs.

Comment les chercheurs partagent-ils leurs idées ? Existe-t-il des idées évidentes, dans l’air du temps ? Les idées farfelues le sont-elles pour tout le monde ? Comment générer des idées et de la créativité ? Quel est le rôle de la pause-café dans cette histoire ?!

A l’occasion de cet évènement, chacun découvrira différentes facettes de la relation entre les chercheurs et les idées : la naissance, la circulation ou encore la mort des idées.

Tous les chercheurs ont besoin d’idées et certains en ont même fait leurs sujets d’études. On compte ainsi les historiens qui étudient l’évolution des idées mais aussi les sociologues et psychologues qui s’attachent à comprendre les croyances ou les « idées reçues ». Les neurologues, pour leur part, enquêtent sur notre capacité à inventer, à créer… Ils seront aussi présents, cette nuit, pour partager avec le public leurs investigations actuelles.

Cédric Villani, parrain de prestige de l’édition 2016

Cédric Villani est actuellement directeur de l’Institut Henri Poincaré. Parmi ses nombreux prix et distinctions, il reçoit la Médaille Fields en 2010, la médaille de Chevalier de la Légion d’honneur en 2011 ainsi que le Prix François-Mauriac 2013 de l’Académie française. Il est également Professeur des universités à l’Université Claude Bernard Lyon 1.

Cédric Villani s’implique régulièrement dans des actions de culture scientifique au travers de conférences, festivals, émissions... Plus récemment, il contribue en 2014, au lancement du ciné-club «Univers Convergents : Sciences, Fictions, Société». Il compte deux co-publications en 2015 : «Les Rêveurs lunaires» et «Les coulisses de la création». Pour lui, « la naissance d’une idée est une aventure, que l’on poursuit selon un chemin tortueux, avec des rebonds, des hauts et des bas. Les périodes de travail intenses sont faites d’illumination et de déception jusqu’au jour de l’éclosion de l’idée. »

2.

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Les visiteurs pourront rencontrer Cédric VILLANI à DIJON

Cédric Villani allie l’excellence scientifique et la fantaisie jubilatoire. Et ceci n’est pas un grand écart ! Impulsée par la créativité et l’envie de partager, cette posture est celle des chercheurs qui s’engagent dans la Nuit. Vendredi 30 septembre, ils seront plus de mille et un à conter leurs investigations, dévoiler leurs idées et échanger avec le public.

Cette année, Cédric Villani visitera la Nuit Européenne des Chercheurs de Dijon. Il participera aux animations et partagera ses idées avec le public au cours d’une rencontre intitulée C’est beau un Villani la Nuit !

«La naissance d’une idée est une aventure, que l’on poursuit selon un chemin tortueux, avec des rebonds, des hauts et des bas.»

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ZOOM sur le métier de chercheur3.La Nuit Européenne des Chercheur.e.s ouvre le dialogue entre chercheurs et visiteurs dans un climat festif et convivial. La proximité du public avec des hommes et femmes de sciences dévoile divers aspects du quotidien du métier de chercheur, comme les dimensions scientifiques, humaines, émotionnelles...

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Sur quoi portent vos recherches ?J’étudie la manière de modifier des surfaces de matériaux pour les rendre aptes à reconnaître des molécules chimiques ou biologiques. Ces travaux ont des applications dans les domaines de la recherche biomédicale, ou des technologies de l’information (électronique, photonique…). Plus fondamentalement, j’étudie la façon dont se comportent les molécules à l’interface entre un solide et un liquide. (...)

Quel est pour vous le sens des actions que vous menez envers le public ? Discuter avec des citoyens pour comprendre comment ils vivent la science me paraît important. Pas simplement pour expliquer nos recherches, mais aussi pour bien comprendre comment les gens les perçoivent, les envisagent. Idéalement, il faut que ces rencontres soient l’occasion d’un réel échange. (...)

Les publics sont-ils conscients des incidences de la recherche sur leur vie quotidienne et les changements dans la société ? Oui absolument, ils en sont très conscients. Même si les gens qui viennent dans ces rencontres se sentent déjà concernés par la thématique. Mais nous sommes là aussi pour écouter les questions qui sont nombreuses ! Celles-ci portent en partie sur les nanotechnologies, mais très vite elles deviennent plus générales sur la recherche. (...)

Jean-Pierre Cloarec, chimiste à l’Ecole Centrale Lyon« Les actions envers le grand public permettent de s’élever au-dessus d’un débat d’opinions, de prendre du recul.»Extraits de l'interview «A la rencontre de Jean-Pierre Cloraec» - Propos recueillis par Isabelle Forestier, chargée de communication du service Science et Société de l’Université de Lyon

LYON

Chimiste, maître de conférences à l’Ecole Centrale Lyon, dans l’équipe de « Chimie et nanobiotechnologies » de l’Institut des Nanotechnologies de Lyon, Jean-Pierre Cloarec est un chercheur qui se préoccupe des liens entre les sciences et la société. C’est aussi un médiateur dans l’âme qui ne refuse jamais de débattre des sciences.

On nous demande : « Comment travaillez-vous ? Quel est votre rapport aux financements ? Comment la science se fait-elle dans un laboratoire ? ». On ne peut pas donner de réponse universelle, mais on parle de notre expérience.

Sarah Meunier, sociologue à l’Université de Toulouse Jean Jaurès « J’ai envie de faire connaître davantage les sciences sociales (...) peu représentées dans les évènements de médiation scientifique. »

« Il me semble que tout chercheur peut jouer un rôle pour faire découvrir au grand public, ses travaux. Ceux-ci risquent sinon de rester cantonnés dans les murs des universités et de ne jamais être partagés, alors qu’ils peuvent intéresser un public très varié.»

Sarah Meunier est doctorante en sociologie au Centre d’études des rationalités et des savoirs (CERS), au sein du Laboratoire Interdisciplinaire, Solidarités, Sociétés, Territoires (LISST). Elle est également encadrée à l’Université du Québec à Montréal, au laboratoire du Centre interuniversitaire de recherche sur science et technologie. Portrait d’une doctorante à l’enthousiasme communicatif !

Pourquoi j’ai choisi le métier de chercheure...Après un parcours en sciences de l’éducation et plusieurs années professionnelles dans ce domaine, j’ai repris mes études il y a deux ans pour réaliser un doctorat, grandement motivée par l’idée de chercher etd’enseigner à l’université. J’y suis retournée avec grand plaisir et une curiosité encore plus accrue !

Mes recherches en sociologie concernent les savoirsJe cherche à comprendre comment des connaissances peuvent circuler entre les gens, même lorsqu’ils évoluent dans des milieux professionnels et personnels différents. Je me concentre uniquement sur les savoirs qui concernent les jeux vidéo, thématique qui me passionne.

Les raisons de ma participation à la Nuit Européenne des Chercheur.e.s...J’ai envie de faire connaître davantage les sciences sociales, que je trouve peu représentées lors des événements de médiation scientifique. On oublie qu’elles sont aussi réalisées par des chercheurs, avec des méthodes et des expériences très variées ! Nous n’utilisons pas les instruments impressionnants des astrophysiciens ou minutieux des biologistes moléculaires mais nos observations sur les sociétés humaines sont aussi précises et fiables, tout comme les débats sont animés !

TOULOUSE

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« La Nuit des Chercheur.e.s est une occasion de faire partager notre quotidien au grand public. Cette démarche peu courante dans nos métiers est ici une opportunité pour le faire. » Chercheur au département TREFLE (Fluides et Transferts) de l’Institut de mécanique et ingénierie de Bordeaux, Christophe Pradère développe des compétences pluridisciplinaires dans le domaine de la thermique, de l’optique, de la microfluidique et des matériaux. Son travail consiste, entre autres, à développer une instrumentation de mesure du champ de température, aux microéchelles spatiales et temporelles. Christophe Pradère a obtenu, en 2012, le prix Biot-Fourier du congrès de la Société Française de Thermique. En fin de soirée, Christophe Pradère présentera une performance Art et sciences L’IRréalité avec l’artiste Véronique Lamare.

Christophe Pradère, chercheurà l’Institut de mécanique et ingénierie de Bordeaux

La recherche est un processus de création qui fait appel à de nouvelles idées, tout comme le processus artistique. Donc les idées sont au cœur de notre quotidien.

BORDEAUX

Stéphane Viollet, chercheur en biorobotique à Aix-Marseille Université

MARSEILLE

Notre démarche Biorobotique vise à élucider le fonctionnement de mécanismes naturels liés aux fonctions sensorielles et motrices, puis nous les mettons en œuvre à bord de robots aériens. Une fois confrontés à un environnement réel, ces robots sont capables de confirmer ou bien d’infirmer ce que nous prétendons avoir compris chez l’animal. Ainsi, nous faisons à la fois avancer notre compréhension de ces mécanismes sensori-moteurs et nous dotons nos robots de capacités de vol de plus en plus élaborées. Par exemple, nous avons développé un œil composé artificiel permettant à des robots de percevoir leur environnement comme un mouche !

Notre recherche est très concrète et peut être racontée au grand public de manière ludique et visuelle avec notamment des lunettes pour voir comme une abeille, des robots en vol... C’est ce que nous proposerons au public de la Nuit Européenne des Chercheur.e.s.

Stéphane Viollet est responsable de l’équipe Biorobotique de l’Institut des Sciences du Mouvement à Aix-Marseille Université. Ses travaux de recherche s’inspirent notamment de la vision de l’abeille pour équiper des robots. Stéphane Viollet nous parle ici de son travail.

«En biorobotique, nous trouvons nos idées de recherche et développons de nouvelles technologies en nous inspirant directement du monde vivant.»

Christophe Dagot, chercheur spécialisé dans l’Eau à l’Université de LimogesProfesseur à l’Université de Limoges, Christophe Dagot est Directeur adjoint à l’Ecole Nationale Supérieure des Ingénieurs de Limoges et responsable du département Eau & Environnement. Il a en charge des cours portant sur le traitement des eaux usées. Il effectue des recherches sur la dissémination dans l’environnement, des gènes résistants aux antibiotiques. Cette dissémination est notamment liée aux activités médicales et vétérinaires. Il encadre également des masters, doctorants et post-doctorants sur des thématiques d’amélioration des procédés de traitement des eaux.

LIMOGES

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L’analyse multi-isotopique du soufre nous a permis de démontrer qu’il y a 2,7 milliards d’années, les océans et l’atmosphère terrestre ont vu leurs concentrations en oxygène augmenter et leurs concentrations en méthane diminuer significativement et de manière irréversible. Une cascade de rétroactions impliquant le fer, l’azote, le carbone et le soufre, et modifiant profondément les cycles biogéochimiques s’en est suivi.

Cet évènement majeur dans l’histoire de la terre a été décrit dans des sédiments anciens provenant d’Australie, du Zimbabwe et du Canada établissant ainsi son caractère global.

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Sur quoi travaillez-vous ?Mon activité scientifique s’intéresse de manière générale à l’étude des cycles biogéochimiques actuels et passés. Nos travaux récents ont montré que la quantité d’oxygène dans l’océan et dans l’atmosphère terrestre influence largement les cycles biogéochimiques de l’azote, du carbone et du soufre.

On imagine qu’un géologue étudie les roches avec une approche physique et chimique. Mais vous intéressez-vous au vivant, et à son évolution ? Nous cherchons pour différentes périodes de l’histoire de la Terre, à mieux caractériser les impacts de fortes variations de la concentration en oxygène des océans sur ces cycles biogéochimiques. Cela permet de mieux comprendre les relations qui existent entre les cycles biogéochimiques et, en effet, de mieux saisir l’évolution de la biodiversité.

Les recherches géologiques sont anciennes. Quelles sont les nouvelles questions que peut se poser un géologue au XXIème siècle ?Plus spécifiquement, nous tentons de poser de nouvelles contraintes sur des problématiques comme par exemple « Quand et comment l’oxygénation de la Terre a-t-elle influencé les cycles biogéochimiques du carbone, de l’azote et du soufre ? » ou encore « Comment la productivité et le cycle du carbone réagissent-ils à un manque d’oxygène en milieu océanique ? ».

Christophe Thomazo, géologue à l’Université de Bourgogne« Mieux comprendre comment se forment et se préservent les traces primitives de la vie sur Terre.

DIJON

Christophe Thomazo, géologue à l’Université de Bourgogne, s’intéresse à la Terre primitive et aux premières traces de vie sur terre, avec des remises en cause récentes de la chronologie de certains événements majeurs.

et

Des animations inédites, « cuvée » 2016 !4.

Grâce à des démonstrations, des jeux, des ateliers de créativité collective, les visiteurs pourront découvrir comment naissent les idées, comment elles s’échangent, comment certaines meurent et parfois renaissent. Voici quelques exemples...

Le jeu de sérendipité Besançon En groupe, avec quelques consignes amusantes et stimulantes, c’est au visiteur de jouer et de produire une idée (qui peut être folle), un concept (qui peut être drôle), une innovation (qui pourrait avoir de l’avenir). Animation sur la naissance des idées, en partenariat avec Pépite BFC.

Le bouche-à-oreilleAlbi - Angers - Besançon - Bordeaux - Brest - Limoges - Lyon - Marseille - Paris - ToulouseLe public expérimentera le voyage d’une idée. Isolé à l’abri des oreilles indiscrètes, un chercheur expose une idée (ou présente sa discipline), à un visiteur qui, à son tour, la fait passer au visiteur suivant, et ainsi de suite... Le dernier participant raconte ensuite aux autres ce qui lui a été transmis. A la fin du voyage que restera-t-il de l’idée originale ? Est-ce que le discours se déforme, se simplifie ?

Les rencontres dans le noirAngers - Brest - Lyon - MarseilleQuelques minutes dans le noir avec pour seul repère la voix d’un chercheur... Il s’agit pour les visiteurs d’écouter une mini-conférence, une expérience de recherche ou une anecdote racontée par un chercheur puis d’échanger avec lui, le tout dans le noir ! Une expérience à vivre avec les oreilles... sur le transfert d’idées, sans stéréotype.

Le cimetière des idées Besançon - Dijon - ParisLa Terre est plate ! Les crèmes radioactives sont bonnes pour la peau !... Des chercheurs amèneront le public en visites guidées dans un drôle de cimetière. Mais attention, les visiteurs pourraient croiser dans les allées quelques idées mortes-vivantes. A Paris, La forêt des idées propose un parcours au coeur d’une forêt d’hypothèses... folles, impossibles, vérifiées, réfutées.

L'Idée du Siècle !LimogesControverse, Idée du Siècle : quand les chercheurs nous en parlent et nous font réfléchir sur les idées reçues. Des chercheurs défendront l’idée qui a révolutionné leur discipline scientifique mais aussi la Science ! Quelle sera l’idée du siècle ?

Le big bang des idéesParisChaque visiteur est invité à recopier une forme en y ajoutant sa part de changement. Le résultat deviendra une fresque où les idées individuelles enrichiront l’œuvre collective.

programme complet

surwww.nuitdeschercheurs-france.eu

entrée libre

et gratuite

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Thématique 2016«IDÉES»

et

Le Speed-searchingAlbi - Angers - Bordeaux - Brest - Dijon - Lyon - Marseille - Paris - ToulouseCette animation sera à nouveau présente cette année. Inspiré du Speed-dating … mais avec des chercheurs, le Speed-searching propose aux visiteurs de rencontrer les chercheurs de manière insolite. Immergé dans une ambiance originale, le public s’invite à la table d’un chercheur pour découvrir son métier, ses passions, sa personnalité… tous les sujets sont permis ! Un objet personnel apporté par le chercheur sert de point de départ à la discussion. Puis un « gong » met fin à ce plaisir partagé.Volontairement inachevés et multiples, ces échanges s’avèrent à la fois stimulants et générateurs de curiosité. Ils constituent l’un des éléments fondateurs de la Nuit Européenne des Chercheur.e.s.

Le Coin des chercheur.e.sAlbi - Angers - Besançon - Bordeaux - Brest - Dijon - Le Mans - Limoges - Lyon - Marseille - Paris - ToulouseDes espaces conviviaux répartis par thématique de recherche ou par laboratoire dans lesquels les chercheur.e.s présentent des expériences, des objets, des jeux, des documents à voir, à manipuler, à observer suscitant la curiosité du public, la rencontre et l’échange.

Top Chrono pour ma thèseAlbi - Bordeaux - ToulouseTrois minutes pour expliquer leur sujet de thèse... Un défi pour les doctorants !

Des animations incontournables de la Nuit Européenne des Chercheur.e.s5.

Lumières intrigantes, univers scénographiés, révélations de découvertes récentes, participation à de véritables expériences de recherches… les idées et animations étonnantes ne manqueront pas pour entrer, entre public et chercheurs, en « créativité générale » ! En voici quelques-unes...

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Les villes participantes et les organisateurs 6.

AngersTerre des Sciences est un centre de culture scientifique, technique et industrielle. Son objectif est de permettre au plus grand nombre de s’approprier des concepts scientifiques afin de mieux appréhender les débats de sciences qui traversent notre société actuelle. Contact : angers@nuitdeschercheurs-france.eu - 02 41 36 28 26

BesançonUniversité pluridisciplinaire, l’Université de Franche-Comté mène une politique très volontariste pour partager les savoirs et mettre en débat les sciences. Expositions, ateliers, comptes-rendus d’expéditions, productions de films... Tout au long de l’année, le Service Sciences, arts et culture multiplie les approches pour expliquer les recherches menées dans les laboratoires de l’université. Depuis 2012, un espace de découvertes est dédié à ces activités au cœur du campus : la Fabrikà sciences.Contact : besancon@nuitdeschercheurs-france.eu - 03 81 66 20 96

BordeauxCap Sciences est un centre de culture scientifique, technique et industrielle (CCSTI) qui propose des animations et des expositions ouvertes à tous les publics pour la découverte et la compréhension des phénomènes scientifiques, des principes technologiques, des applications et savoir-faire industriels.Contact : bordeaux@nuitdeschercheurs-france.eu - 07 82 29 39 55

BrestOcéanopolis, centre de culture scientifique et technique dédié à la mer, situé à la pointe de la Bretagne, raconte au grand public l’histoire naturelle des océans vue par les scientifiques, en mêlant approche scientifique et aquariums spectaculaires au travers des trois pavillons thématiques (polaire, tropical et tempéré).Contact : brest@nuitdeschercheurs-france.eu - 02 98 34 40 40

DijonL’Université de Bourgogne : au cœur d’une université pluridisciplinaire, la Mission Culture Scientifique met en culture les recherches et valorise le patrimoine scientifique en impliquant directement les chercheurs. Depuis 2001, elle a mis en place l’Experimentarium (initiative unique en Europe), le microscope et la blouse (interview de chercheurs depuis 2003), des soirées de rencontres chercheurs-public, une quinzaine d’expositions sur le patrimoine scientifique et les recherches de l’Université de Bourgogne.Contact : dijon@nuitdeschercheurs-france.eu - 03 80 39 90 97

Le MansL’Université du Maine, établissement d’enseignement supérieur pluridisciplinaire créé en 1977, compte environ 11 000 étudiants répartis sur les campus du Mans et de Laval. En tant qu’établissement culturel et intégré dans la vie locale, l’Université du Maine développe et pilote des actions de culture scientifique au niveau local et régional.Contact : lemans@nuitdeschercheurs-france.eu - 02 44 02 21 27

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LimogesLe département « Culture, Sciences et Société » de la Fondation partenariale de l’Université de Limoges a vocation à donner l’ampleur et la résonance publique aux activités de recherche et de formation, à promouvoir l’excellence scientifique de la région du Limousin et à développer le goût des plus jeunes pour la découverte et pour les sciences. Contact : limoges@nuitdeschercheurs-france.eu - 05 55 35 88 60

LyonL’Université de Lyon est une communauté d’universités et établissements qui regroupe 29 établissements d’enseignement supérieur et de recherche sur Lyon et Saint-Etienne. Elle a à cœur de créer des liens entre les chercheurs et le public lors d’événements culturels comme la Nuit Européenne des Chercheur.e.s. Contact : lyon@nuitdeschercheurs-france.eu - 04 37 37 26 81

MarseilleAix-Marseille Université est une jeune université aux succès scientifiques déjà nombreux. C’est aussi la plus grande université francophone avec 76 000 étudiants, 8000 personnels, plus de 130 structures de recherche, 1 Idex pérennisé et tous les champs disciplinaires d’enseignement et de recherche représentés. L’Université s’est dotée d’une Vice-Présidence déléguée Culture et Patrimoine Scientifiques et d’une cellule de culture scientifique rattachée à la Direction de la Recherche et de la Valorisation. Ses nombreuses actions locales (scolaires et grand public) en font un acteur majeur de la diffusion scientifique sur son territoire et dans les réseaux européens et nationaux.Contact : marseille@nuitdeschercheurs-france.eu - 04 13 55 10 92

ParisEspace grand public de l’ESPCI Paris et établissement PSL, l’Espace des Sciences Pierre-Gilles de Gennes navigue à l’interface entre science, culture, art et société. Entre espace d’animations et laboratoire d’innovation pour la médiation et la communication des sciences, il constitue un lieu ouvert pour favoriser des échanges, des rencontres et des réflexions communes entre chercheurs, enseignants, journalistes, artistes, narrateurs, curieux des sciences et des cultures.Contact : paris@nuitdeschercheurs-france.eu - 01 40 79 58 13

Toulouse/AlbiL’Université Fédérale Toulouse Midi-Pyrénées est une structure fédérative dont l’un des objectifs est d’inscrire le site universitaire au meilleur niveau international. Ses missions couvrent tous les domaines de la vie universitaire : formation, relations internationales, recherche et doctorat, valorisation, vie étudiante, réseau des bibliothèques, diffusion de la culture des sciences et des techniques, services numériques, accueil des étudiants et chercheurs français et étrangers en un lieu unique situé au 41 des allées Jules Guesde à Toulouse. Contact : toulouse@nuitdeschercheurs-france.eu - 06 80 96 83 72

7. Bilan national de l’édition 2015 (extraits)

Nos publics

soit 1 chercheur

pour 25 visiteurs en moyenne

Angers Besançon

Bordeaux

Brest

Dijon

Le Mans

Limoges Lyon

MetzParis

Toulouse

/ Albi

Nombre de participants sur les 12 villes en France

chercheurs

24569 visiteurs

986

Pourquoi sont-ils venus ?

36%attiré par

le monde de la recherche

31%

par goût pour les

activités culturelles

39%é

?!16%

éditions

précédentes

appréciées

par simple curiosité

45% de bac+3 à bac+5

9 % bac+6 et plus

25 % de bac+1

à bac+2

4 % au collège

14

% au lycée

2% en primaire

Niveau d’études

43 %d’hommes

57 %de femmes

Données démographiques

âge moyen=

30 ans

Comment ont-ils été informés ?

26%

par la famille ou des amis

20%

par des affiches

/ tracts dans ma ville

34%

par le milieu

professionnel

11% par les réseaux sociaux

- 13 -

utile

72%

sympathique

81%

efficace pour découvrir la recherche

69%

enrichissante

70%

Le public trouve que cette édition est une initiative tout à fait...

Le public a trouvé la soirée...

enrichissanteintéressante

ludiqueinstructivecuriosité

sympathiqueagréable

culturelle

convivialepassionnante

riche en découvertes

enrichissanteintéressante

ludiqueinstructivecuriosité

sympathiqueagréable

culturelle

convivialepassionnante

riche en découvertes

Temps moyen de visite

02:34

participation des visiteurs :

3 activités

par personne

Note globale

Rencontre avec les chercheurs

En moyenne, un visiteur a

approché et écouté

4 chercheurs

Au plus, 15 chercheurs ont été écoutés par les visiteurs

En moyenne, un visiteur a

échangé et discuté avec

3 à 4 chercheurs

Un visiteur a échangé et discuté

avec 20 chercheurs

Evaluation de la soirée

L’évènement au fil des éditions

Le format d’une nuit est trop court. J’aurai préféré passer plus de temps et

voir plus de stands.

Nous sommes là par hasard et comme c’est sympa, nous sommes

restés.

Merci pour votre énergie communicative. Je vous

conseille de recommencer plus souvent car j’ai

adoré !

8,2/10

37 % 84 %Taux de participation

des visiteurs ont déjà participé aux éditions précédentes

des visiteurs souhaitent revenir à la prochaine édition

Note globale

- 14 -

Conc

eptio

n &

Info

grap

hie

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72 1

6 67

05

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tem

bre

2016

La Nuit Européenne des Chercheur.e.s est soutenue par la Commission Européenne dans le cadre

du programme HORIZON 2020 Action Marie Curie Sklodowska - Grant Agreement N°722266

Nuit Européenne des Chercheur.e.sCoordinateur Communication nationale John Bandelier - KIMIYO06 82 91 12 49communication@nuitdeschercheurs-france.eu