DOSSIER DE PRESSE

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Délégation à l’information et à la communication de la Défense Tél : 09.88.67.33.33

Mail : presse@dicod.defense.gouv.fr

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Sommaire

Présentation de l’exercice interarmées DEFNET ................................................. 3

Les nouveautés 2017 .......................................................................................... 4

Visite ouverte à la presse ................................................................................... 5

La cyberdéfense au sein des armées .................................................................. 6

Le ministère de la Défense recrute ..................................................................... 8

Les établissements d’enseignement supérieur partenaires de DEFNET .............. 9

Nos partenaires industriels .............................................................................. 12

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L’édition 2017 de l’exercice annuel interarmées de cyberdéfense DEFNET se déroule du 20 au 31 mars 2017 sur différents sites militaires en France (Paris, Rennes, Douai, Lyon, Rochefort, Mont-de-Marsan, Brest et Toulon) ainsi qu’à l’Ecole des transmissions (ETRS) de Cesson-Sévigné et au sein d’écoles et d’établissements d’enseignement supérieur à Paris.

Placé sous l’autorité du Commandement de Cyberdéfense (COMCYBER) de l’état-major des armées, l’exercice s’inscrit dans le cadre de la montée en puissance de la chaîne opérationnelle de cyberdéfense du ministère de la Défense (conformément au Livre blanc de 2013, qui fait de la cyberdéfense une des priorités nationales).

S’entraîner à la gestion de crise cyber : DEFNET

Depuis quatre années, l’ensemble du personnel spécialisé des armées françaises s’exerce au combat numérique. DEFNET met en œuvre un scénario réaliste et dynamique afin de tester la coordination entre les différents participants en cas d’attaque cyber majeure.

L’édition 2017

DEFNET 2017 mobilise près de 155 spécialistes militaires de la gestion de crise cyber pendant deux semaines pour répondre à près de 40 incidents cyber qui viseront plusieurs systèmes d’information dont 5 plateformes de simulation reproduisant des systèmes militaires d’information et des automates industriels embarqués sur des équipements opérationnels.

Compromissions, attaques, tentatives d’intrusions, bascule de réseaux… Autant d’incidents qui seront joués lors de la 4e édition de cet exercice interarmées. Dans un contexte international fictif, les spécialistes cyber des armées devront faire face à des menaces ciblées et des attaques simultanées sur les réseaux déployés en opération et sur le territoire national.

Une coopération entre acteurs militaires, institutionnels et privés

Le renforcement de l’expertise des acteurs de la cyberdéfense française passe par une coopération étroite entre militaires, institutionnels, avec la participation de l’ANSSI, et privés (3 partenaires industriels : DCI, DIATEAM, CTS). Tel est l’objectif de l’exercice : un entraînement ciblé de spécialistes et de professionnels au service des enjeux de sécurité nationale pour défendre et protéger notre sécurité collective.

Une formation en gestion de crise apportée aux étudiants

La participation de 240 étudiants de 12 écoles ou établissements d’enseignement supérieur à travers un exercice adapté permet de valoriser les savoir-faire de la cyberdéfense militaire et de diffuser au sein de la société civile les bonnes pratiques en matière de cyberdéfense qui renforceront les capacités et la résilience de la Nation.

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#DEFNET 2017 c’est : - 155 militaires - 240 étudiants - 11 sites répartis sur le TN - 12 établissements scolaires - 40 incidents - 5 plates-formes de simulation

Les nouveautés 2017 Une coordination renforcée entre les armées

La réponse aux incidents prévus dans le scénario de l’édition 2017 demande un haut niveau de coordination entre les unités de cyberdéfense des armées. Cette liaison opérationnelle est assurée par le Centre Opérationnel Cyber (CO-Cyber).

Première participation de la nouvelle unité projetable de lutte informatique défensive (LID) : la 807e compagnie de transmissions (CTRS)

La 807e compagnie de transmissions, dans son format actuel, s’entraîne à la surveillance des réseaux, la détection des attaques et la réponse aux incidents pendant DEFNET. Cette unité, créée le 1er juillet 2016, est spécifiquement dédiée à la cyberdéfense. Elle a pour mission de déployer en opération extérieure comme sur le territoire national, des modules d’appui cyberdéfense. Déjà engagée en opération, elle fournira l’essentiel des GIR TERRE à l’horizon 2019.

Basée à Rennes, la 807e CTRS, placée sous le commandement du Commandement des

Systèmes d’Informations et de communication (COMSIC) et employée par l’état-major des armées, contribue à la lutte informatique défensive des systèmes d’informations et systèmes d’armes de l’armée de Terre et des armées, sur les théâtres d’opérations extérieures comme en métropole.

Premier déploiement de la réserve de cyberdéfense (RCD) Les réservistes de la cyberdéfense seront déployés pour la première fois du 29 au 31 mars sur la base aérienne de Rochefort. Cette participation de la RCD à DEFNET permettra aux armées de valider les processus d’activations et d’emploi de la réserve de cyberdéfense dans des conditions proches de la réalité. Officiellement lancée en mai 2016, la réserve de cyberdéfense (RCD) a vocation à renforcer les capacités de l’Etat et des armées en cas de crise numérique majeure en mobilisant des professionnels ou des étudiants recrutés au préalable. Encadrée par le centre de la réserve et de la préparation opérationnelle de cyberdéfense (CRPOC), elle s’appuie sur un réseau national et régional (en cours de déploiement). A l’horizon 2019, la réserve devra être constituée de 4 400 réservistes opérationnels et citoyens.

DEFNET 2017 en bref

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Visite ouverte à la presse Date Horaires Lieu et objet de la visite Contact accréditations

30 mars 2017

13h00 15h00

École des Transmissions, Cesson-Sévigné (35) Au sein de l’École des Transmissions, se tiendra une VTC avec un intervenant des unités engagées dans l’exercice (Terre, Air, Mer et Centre des Opérations) et un étudiant d’une école participante.

CNE SEGUINEAU

Officier communication

De la zone de Défense et de sécurité Ouest

02 23 35 21 26

estelle.seguineau@intradef.gouv.fr

Suivez l’exercice sur les réseaux sociaux Durant toute la durée de l’exercice, retrouvez toutes les informations et l’actualité de #DEFNET 2017 (brèves, vidéos, photographies et webtv) sur le site Internet defense.gouv.fr et sur les réseaux sociaux : Twitter (@EtatMajorFR) et Facebook (FB.com/ArmeeFrancaise)

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La cyberdéfense au sein des armées Monsieur Jean-Yves Le Drian, ministre de la Défense, a instauré en décembre dernier la création d’un Commandement de Cyberdéfense (COMCYBER), nouvelle étape dans la montée en puissance de la cyberdéfense militaire française. Cette nouvelle composante, vise à répondre à la menace dans l’espace numérique et matérialise le besoin de concentrer nos efforts et nos moyens au sein d’une structure unique. Le COMCYBER assistera le ministre en matière de cyberdéfense et sera placé sous la responsabilité directe du chef d’état-major des armées. Il sera structuré en 4 pôles:

- un pôle protection qui reposera notamment sur les personnels des opérateurs SIC en charge de la sécurisation des réseaux ;

- un pôle défensif qui intègrera notamment le CALID et ses relais au sein du Ministère ; - un pôle d’« action numérique » et qui couvre les différentes missions de combat

contre nos adversaires ; - enfin, le quatrième pôle sera chargé de la réserve.

Une structure préfiguratrice a été mise en place depuis janvier 2017. L’armée de Terre, acteur majeur de la Cyber

Les missions confiées aux unités de cyberdéfense de l’armée de Terre concourent

directement à l’action numérique au profit des opérations mais également à l’action de

l’Etat-Major des armées dans le cadre d’une gestion de crise.

La création du Commandement des Systèmes d’Informations et de communication (COM

SIC) contribuera directement à la maîtrise de l’espace numérique et à la préparation à

l’engagement des forces.

Ainsi, de nouveaux stages ont ainsi été créés à l’Ecole des transmissions de Cesson-Sévigné

et aux écoles de Saint-Cyr Coëtquidan, renforçant les partenariats avec des établissements

de l’éducation nationale (Bacs technologiques) et de l’enseignement supérieur (IUT et

universités), ainsi qu’avec des entreprises. Une option cyberdéfense au sein du BTS Systèmes

Numériques, Informatique et Réseaux (BTS SN IR) sera également proposée à la rentrée

2017 au lycée militaire de Saint-Cyr l’Ecole, afin de répondre au besoin d’expertise du

ministère de la Défense.

Enfin, la cyberprotection est également considérée par l’armée de Terre comme une

fonction vitale de ses futurs équipements. Ainsi, un responsable SSI est désigné sur chaque

projet qui nécessite de la sécurité informatique. C’est notamment le cas du programme

SCORPION, qui a intégré la cyberprotection dès sa conception.

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La cyberdéfense au cœur des opérations de la Marine

Dans le cadre du Livre Blanc sur la défense et la sécurité nationale de 2013, le major général

de la Marine a approuvé une montée en puissance de la cyberdéfense Marine, aujourd’hui

au cœur des opérations.

Concrètement, la Marine s’entraîne régulièrement à prévenir et à déjouer des cyberattaques

dans les domaines qui lui sont spécifiques : systèmes navals embarqués ou équipements des

ports. Elle dispose ainsi de marins experts dans leur domaine, en particulier via le centre

support « cyberdéfense », opérationnel depuis septembre 2015 à Toulon et Brest, soutenu

par le Centre technique de lutte informatique défensive Marine. Ce dispositif s’inscrit dans

un ensemble plus vaste : interarmées, mais aussi interministériel, voire international puisque

des coopérations avec les alliés sont à l’étude, toujours dans un but d’optimisation des

ressources.

La chaîne opérationnelle de cyberdéfense de l’armée de l’air

Le volet opérationnel de la chaîne de cyberdéfense de l'armée de l’air est placée sous l'autorité de l’officier lutte informatique défensive (OLID) de l’armée de l’air, affecté au commandement de la défense aérienne et des opérations aériennes (CDAOA). Il dispose :

- du Centre air de conduite cyberdéfense (CACC) pour conduire les opérations cyber. Le CACC est également en charge de l'entraînement des forces dans le domaine ;

- du centre air d’expertise cyber (CAEC) pour assurer le volet technique des opérations; - d'un vivier de personnes formées à la cyberdéfense réparties dans différentes unités

de l'armée de l’air et contribuant au dispositif d’alerte.

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Le ministère recrute des combattants numériques

Au sein du ministère de la Défense, les effectifs de la cyberdéfense ont doublé en cinq ans et continueront d’augmenter. Un recrutement ambitieux de « combattants numériques » d’ici 2019 est lancé pour soutenir les missions de renseignement, de protection, de défense et d’action dans l’espace numérique. Car, plus encore que dans tout autre domaine opérationnel, la cyberdéfense a besoin de compétences techniques de haut niveau au profit de l’action. Ainsi, au terme de la montée en puissance prévue par l’actualisation de la loi de programmation militaire, ce sont 3 200 personnes qui devraient, pour la défense, participer à la mission « cyber ».

Ces postes couvrent un large spectre d’activités et des missions variées : de l’analyse à l’action, tels que le durcissement des systèmes, la recherche, la veille et l’anticipation des menaces, l’audit, les tests d’intrusion, la supervision et la protection des systèmes d’information, la détection et recherche de compromissions, l’investigation numérique et la veille sur les réseaux sociaux, la participation aux opérations.

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Les établissements d’enseignement supérieur partenaires de DEFNET

Fort du succès et de l’engouement des écoles pour s’exercer aux côté des armées durant l’édition 2016, l’exercice DEFNET réitère sa coopération avec les écoles et établissements d’enseignement supérieur pour la seconde année.

CentraleSupélec

CentraleSupélec, Établissement Public à caractère scientifique, culturel et professionnel, est né en janvier 2015 du rapprochement de l’École Centrale Paris et de Supélec. Depuis 2009, les deux Écoles n’ont cessé de renforcer leurs partenariats et collaborations dans l’objectif de couvrir la totalité de leurs activités (formation initiale, recherche et formation continue) et d’affirmer les valeurs partagées d’excellence, d’innovation, d’entrepreneuriat, d’ouverture internationale et de leadership. Aujourd’hui, CentraleSupélec se compose de 4 campus en France. Elle compte 4 700 étudiants dont 3 500 élèves-ingénieurs et regroupe 16 laboratoires ou équipes de recherche. École de l’international, CentraleSupélec compte des implantations en Chine, en Inde et au Maroc.

www.centralesupelec.fr

ESGI

L'École Supérieure de Génie Informatique (ESGI) est une école parisienne reconnue par l’Etat qui forme de Bac à Bac+5 des professionnels de l’informatique, des systèmes d’information et du numérique. Créée il y a 30 ans, elle propose dix spécialisations de haut niveau et compte aujourd’hui 1200 étudiants, dont 1000 en alternance, et plus de 1000 entreprises partenaires, ce qui en fait la plus grande école d’informatique en alternance de France.

www.esgi.fr

ENSIBS

L’Ecole Nationale Supérieure d’Ingénieurs de Bretagne Sud, en partenariat avec l’Institut des Techniques d'Ingénieur de l'Industrie et le Centre de Formation des Apprentis de l'Industrie de Bretagne, ont ouvert à la rentrée 2013 la première formation en France d’ingénieurs en cyberdéfense, par alternance et apprentissage. Cette formation, habilitée par la CTI, a été co-construite avec de nombreux partenaires industriels : Orange, Thales, Alcatel-Lucent, Airbus, Capgemini…, afin de répondre à leurs besoins de compétences en matière de maîtrise des maillons de la chaîne de confiance du numérique du composant aux systèmes d’information et systèmes industriels et de maitrise de la sécurité dynamique des infrastructures vitales dans une approche globale de gestion de crise.

www-ensibs.univ-ubs.fr

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ENSTA Bretagne

L'ENSTA Bretagne est un établissement public d'enseignement supérieur et de recherche sous tutelle de la Direction Générale de l'Armement (DGA) du ministère de la Défense. Elle partage ce statut avec 3 autres écoles : l'Ecole Polytechnique, l'ISAE-SUPAERO et l'ENSTA ParisTech. L'ENSTA Bretagne rassemble, sur son campus brestois, 930 élèves ingénieurs, master(e)s et doctorants, dont 20% d’étudiants internationaux. 20% des élèves ingénieurs sont militaires et formés pour la DGA, 80% sont civils. La concentration d’expertises en sciences et technologies marines est reconnue internationalement ; près de la moitié des diplômés ENSTA Bretagne ont suivi une des spécialités dans ce domaine.

www.ensta-bretagne.fr

EPITA

Créée il y a 33 ans, l’EPITA est l’école d’ingénieurs qui forme celles et ceux qui conçoivent, développent et font progresser les technologies de l’information et de la communication (TIC). La pédagogie de l’école apporte à la fois aux étudiants les fondamentaux du métier d’ingénieur et une très haute compétence dans les domaines de l’informatique et des TIC. L’EPITA est particulièrement présente dans le domaine de la sécurité informatique tant dans la formation de ses ingénieurs que par son centre de formation continue SecureSphere ou son laboratoire de recherche, le LSE. Impliquée dans la Réserve Citoyenne de Cyberdéfense, l’EPITA participera une nouvelle fois à l’exercice DEFNET qui sera l’occasion pour ses étudiants de se confronter à une simulation de crise telle qu’ils pourront en rencontrer dans leur vie professionnelle.

www.epita.fr

ESIEA

Fondée en 1958, habilitée par la commission des titres d'ingénieur (CTI), l'ESIEA est une école d'ingénieurs en sciences et technologies du numérique présente à Paris et Laval. L'ESIEA forme des ingénieurs adaptables à leur environnement technique et humain. Sa pédagogie s’appuie beaucoup sur la recherche organisée en plusieurs laboratoires dont celui dédié à la Cybersécurité : Confiance Numérique et Sécurité (CNS). L’ANSSI a accordé à l’ESIEA deux certifications SecNumedu, l’une concernant le parcours Sécurité de sa formation d’ingénieur, l’autre, son Mastère Spécialisé SIS.

www.esiea.fr

IMT Atlantique

IMT Atlantique est une nouvelle école qui a vu le jour le 1er janvier 2017. C'est le fruit de la fusion de l’Ecole des Mines de Nantes et Télécom Bretagne, toutes deux membres de l’IMT (Institut Mines Télécom), l’un des plus puissants réseaux de formation d’ingénieurs de l’Hexagone. Doté de trois campus, à Brest, Nantes et Rennes, ainsi que d'une antenne à Toulouse, IMT Atlantique est à la fois une grande école d'ingénieurs et un centre de recherche international dans le domaine des sciences et technologies de l'information et de la communication. Partenaire du Pôle d'Excellence Cyber, elle figure au nombre des acteurs majeurs de la formation et de la recherche en cybersécurité.

www.imt-atlantique.fr

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Porteur de la chaire de recherche IMT sur la cybersécurité des infrastructures critiques, IMT Atlantique est également impliquée dans celle concernant la cyber-défense des systèmes navals en partenariat avec l'École Navale.

INSA Rennes

Créé en 1966, l'Institut National des Sciences Appliquées (INSA) de Rennes est la plus grande école d'ingénieurs en Bretagne. Adossé à 6 laboratoires de recherche, l'INSA de Rennes dispense une formation scientifique de haut niveau dans 7 spécialités d'ingénieur (grade Master), 7 Masters Recherche et 2 écoles doctorales.

www.insa-rennes.fr

IUT de Saint-Malo

L’IUT de Saint-Malo propose une réponse pertinente aux évolutions de la société régionale actuelle. Soucieux de l’avenir de ses étudiants, il met un point d’honneur à dispenser des formations hautement professionnalisantes. Interventions issues du monde professionnel (20 à 30%), formation en alternance, formation continue, construction de projet personnel et professionnel, préparation à l’entretien d’embauche.

iut-stmalo.univ-rennes1.fr

IUT de Lannion

Le département Réseaux & Télécommunications de l'IUT de Lannion forme des techniciens supérieurs sur les réseaux informatiques et de télécommunications correspondant au label de "Neticien". Les diplômés Neticiens sont aptes à comprendre, installer, administrer et maintenir les réseaux informatiques et de télécommunication multimédia fixes ou mobiles.

www.iut-lannion.fr

Université Rennes 1

L’Université de Rennes, établissement public à caractère scientifique, culturel et professionnel, compte 11 sites en Bretagne et 3 campus à Rennes. Ses missions relèvent du service public de l’enseignement supérieur, définies à l’article L123-3 du Code de l’éducation.

www.univ-rennes1.fr

UPMC

L’université Pierre et Marie Curie (UPMC) est le premier pôle de formation et de recherche scientifique et médicale en France. Le master informatique de l’UPMC, adossé à l’ensemble des départements de recherche du LIP6, est classé parmi les meilleures formations d’informatique de niveau master en France. Il propose une formation de pointe en sécurité informatique au sein de la spécialité sécurité fiabilité et performance du numérique (SFPN).

www.upmc.fr

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Les partenaires industriels

Défense Conseil International

Assurer le transfert du savoir-faire militaire français au profit des forces armées des pays amis de la France est la mission de Défense Conseil International, l’opérateur de référence du ministère de la Défense. Depuis plus de 40 ans, il agit sur tout le spectre de la défense et de la sécurité nationale en proposant des prestations de Conseil, de Formation et d’Assistance technique. Grâce à son approche capacitaire, DCI offre aux pays amis de la France des solutions sur mesure pour qu’ils disposent d’un personnel formé et entraîné ainsi que de matériels maintenus en condition opérationnelle. DCI peut se prévaloir du label «Armées françaises». Créée en 2014, l’activité cyber de DCI est progressivement montée en puissance. Par ses conventions avec l’EMA (aujourd’hui Commandement cyber) et le ministère de la Défense dans le cadre du Pôle d’Excellence Cyberdéfense (PEC), DCI est associé aux réflexions et actions étatiques dans le domaine du développement des capacités cyber de la France. Par son positionnement, DCI est un acteur-clé dans la promotion de solutions cyber françaises à l’export. DCI offre désormais 40 formations de types – académiques et techniques, des exercices opérationnels - à destination de clients étatiques étrangers, en Asie et au Moyen-Orient notamment. En s’appuyant sur le PEC, l’objectif de DCI est d’offrir des solutions sur mesure pour concevoir plus facilement des architectures opérationnelles. DCI a son siège à Paris et dispose de plusieurs sites d’implantations sur tout le territoire national. Il est également implanté à l’étranger, notamment au Moyen-Orient avec le Qatar, le Koweït, les Emirats arabes unis et l’Arabie saoudite et en Asie avec la Malaisie et Singapour. DCI poursuit son déploiement à l’international avec des prestations innovantes à haute valeur ajoutée en développant de nouvelles coopérations. Fort de ses 986 salariés, DCI a réalisé en 2015, un chiffre d’affaires de 227,5 millions d’euros.

www.groupedci.fr ׀ @GroupeDCI

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La société DIATEAM, créée à Brest en 2002, développe depuis plus de 10 ans des outils et des contenus pour l’entraînement en cyberdéfense.

Société technologique de 25 personnes, DIATEAM conçoit, réalise et distribue ses plateformes de formation et de simulation d’environnements informatiques et industriels au profit de nombreux acteurs étatiques et industriels privés (HYNESIM/HNS-PLATFORM). Si les solutions que nous développons peuvent être qualifiées de « flight simulator » pour les cyberdéfenseurs, le cœur d’activité de DIATEAM se situe aujourd’hui sur deux axes principaux :

Le développement et la commercialisation d’outils et d’équipements logiciels et

matériels pour une meilleure prise en compte de la sécurité du numérique

(HYNESIM/HNS-PLATFORM, SCADAvirt, …) ;

La fourniture de contenus d’entraînement en cyberdéfense (formations,

entraînements et exercices de gestion de crise, …) et la réalisation de prestations

« ad-hoc » en cybersécurité (analyse de sécurité d’équipements, audits et tests

d’intrusion, accompagnement en intégration sécurisée de composants logiciels, …).

En 2017, dans la continuité de son développement, DIATEAM s’est associé avec CEIS (http://www.ceis.eu/) pour créer le GIE « BLUECYFORCE » (https://www.bluecyforce.com/), premier organisme de formation professionnelle et d’entraînement à la cyberdéfense de France. BLUECYFORCE opère ses deux centres d'excellence de formation et d'entraînement en cybersécurité, à Vannes au Cyber Security Center de l'Université de Bretagne Sud et à Paris au 45ème étage de la tour Montparnasse.

Cyber Test Systems, fondée en 2014 par Laurent CHABENET et Gregory FRESNAIS, deux experts de l’industrie du test de performance et de sécurité réseau fournit une gamme de 10 générateurs de

trafic 100% fabriqués en France. Les Network Traffic Generator CTS-NTG sont capables de générer de 1 Gbps à 400 Gbps de trafic réseau et applicatif légitime et malveillant. Cyber Test Systems réalise aussi la construction de Cyber Range - Centre d'entrainement à la cyberdéfense (Green Team - Yellow Team - Red Team - Blue Team – White Team) permettant de valider la performance, la sécurité, la stabilité, la disponibilité d'un équipement ou d’une chaine d’équipements réseaux gérée par des personnes afin d’en mesurer les capacités actuelles de cyberdétection et cyberdéfense pour pouvoir identifier les possibilités d'amélioration matérielles et humaines d'un NoC, SoC et CIRT. Cyber Test Systems offre la possibilité dans son Cyber Range de générer les cyberattaques suivantes : DoS/DDoS/RDoS/DRDoS, vulnérabilités et exploits serveurs, vulnérabilités et exploits clients, web exploit kits, domaines malveillants, sites malveillants, sites malveillants de phishing, malwares APT, réseaux de botnets. Le personnel de Cyber Test Systems possède une expertise militaire internationale avec les participations à Combined Endeavor 2003, 2004, 2005, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014 et Pacific Endeavor 2012, 2013, 2014, 2015 et 2016. Pour la première année, la société Cyber Test Systems est fière d’apporter son expertise à l’exercice DEFNET 2017 en mettant à disposition deux Cyber Range - Centre d'entrainement à la cyberdéfense pour l'Armée de Terre sur le site militaire de Douai.

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