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Château de Bouthéon ‐ Rue Mathieu de Bourbon ‐42160 Andrézieux‐Bouthéon ‐ 04 77 55 78 00 ‐ www.chateau‐boutheon.com

D O S S I E R D E P R E S S E

Comme un poisson dans l’art

RELATIONS PRESSE Géraldine Barou ‐ Chargée des Expositions

04 77 55 78 09 ‐ gbarou@andrezieux‐boutheon.com

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Sommaire

Communiqué de presse Page 5

Georges Bellut Page 6‐11

Jacqueline Blanchet Page 12‐17

Pascal Vallet Page 18‐24

Le Château de Bouthéon Page 25‐26

Informations pratiques Page 27

Rencontres Page 28

Visuels presse Page 29‐31

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Communiqué de presse

Comme un poisson dans l ’art Du 18 janvier au 4 mai 2014

Des poissons, des poissons, des poissons, des petits et des gros, des rigolos, des grincheux, des colorés,

des en bois, en métal, en céramique ou bien peints. Echappés sans doute des aquariums du Château, les

coquins se sont réfugiés dans les combles pour le plus grand plaisir des visiteurs.

Georges Bellut ‐ Sculpture

A l’origine de chaque pièce de Georges Bellut, il y a souvent une balade en forêt. Un regard qui balaye le

paysage et s’attarde, soudain, sur une forme. Un morceau de bois dans lequel l’œil de l’artiste a su capter,

l’espace d’un instant, une forme animale. Jusque là à peine esquissée, elle se couvrira dans son atelier,

d’un masque de métal révélant alors au spectateur le visage d’un hôte des grandes profondeurs.

Jacqueline Blanchet ‐ Peinture et techniques mixtes

Jacqueline Blanchet décline le thème en galerie de portraits aux couleurs vives... Fusain, encre, aquarelle,

peinture, collage… autant de techniques qui lui servent à créer des fonds dont les motifs décoratifs sont un

clin d’œil assumé au design des boites de sardines ou à celui des papiers d’emballage asiatiques.

Pascal Vallet ‐ Céramique

Pascal Vallet apprécie les poissons aux couleurs si extraordinaires et aux formes si étranges que l'on a du

mal à croire en leur réalité. Il joue avec tout cela, cherche à insuffler à chacun d’eux une vie et une

personnalité à part entière.

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Georges Bel lut ‐ PARCOURS

Installé dans les monts du Lyonnais, à Genilac, Georges Bellut, jardinier de

profession, est un artiste autodidacte qui façonne depuis trente ans divers

matériaux. Il a d’abord modelé l’argile, tout en travaillant aussi sur divers

supports, tel que la pierre, le métal et le pastel gras.

Aujourd’hui, sa préférence va au bois, notamment le châtaignier, qui

donne la forme primaire de ses œuvres. Il utilise du bois trouvé en forêt

dans d’immenses arbres morts. Il crée ainsi, au gré des caprices que la

nature veut bien lui céder, des poissons de toute tailles et formes

principalement inspirés des hôtes des grandes profondeurs, avec des

formes très agressives et presque squelettiques. Georges Bellut chine aussi dans les vide‐greniers pour

trouver les rudes carapaces métalliques qui pareront ces guerriers océaniques.

C’est le choc de deux matériaux antinomique : ce bois complètement brut, directement prélevé à la

source, ni taillé, ni transformé contre le métal, forgé par l’homme, formé à son service, utilisé puis

délaissé, jeté, offert en pâture à la rouille. Ce dernier est récupéré par l’artiste, qui à nouveau le déforme

afin de lui offrir une seconde vie et non des moindres, celle d’une œuvre d’art.

© Georges Bellut

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Georges Bel lut DEMARCHE ARTISTIQUE A la question qui nous brûle les lèvres, « pourquoi des poissons ? » l’artiste répond :

J'ai toujours fortement aimé les hôtes des abysses et les habitants d'entre‐deux eaux... A regarder évoluer

toutes ces créatures marines, je me sens entraîné dans leurs ballets fluides et scintillants... Lorsque l'on me

demande « pourquoi des poissons » ? Je réponds que certains artistes font des paysages, des portraits,

d'autres du moderne, d'autres du pastel...

Et à la question récurrente : « faites‐vous autre chose que des poissons et continuerez‐vous ce thème

longtemps ? ». Je réponds « oui ».

Pour le moment, je fais des poissons même si depuis quelques temps, de curieux petits êtres, les Cardinals

(mi‐hippocampe mi‐serpent) viennent se glisser dans mon travail…

Pour répondre à la première question, je parle de l'eau. Tout ce qui palpite vient des mers, des océans,

toutes les vies sont issues de ce monde‐là. Mais ce n'est pas suffisant.

J'explique que lorsque j’étais enfant, notre voisin péchait et nous amenait, parfois déposées sur une

assiette, de petites ablettes brillantes et argentées. Je restais des heures à les contempler. Lorsque j'ai pu

aller au bord de l'eau et pêcher, j'ai ressenti un immense plaisir à chercher des yeux les traits sombres des

eaux profondes. Avec le temps, j'ai décidé de ne plus pêcher. Quel plaisir étrange de piquer la vie pour son

propre plaisir !

Il y a une douzaine d'années, la forêt m'a offert un cadeau qui allait étrangement me porter dans l'univers

aquatique. Un éclat d'arbre dont la forme obsédante me conviait à créer tout à coup la vie d'un monde

abyssal. J'ai donc laissé en jachère mes travaux de modelage, de pastel, et toutes mes petites créations

artisanales. Où peut‐être les ai‐je volontairement, tout simplement, oubliés... Pour moi, la boucle était

bouclée.

Je pouvais parcourir les forêts de châtaigniers. Puiser dans le bois pétrifié la substance de mes créations,

afin de pouvoir créer ma vision des mondes profonds. Il me fallait façonner le bois, lui donner forme, le

déchirer, le poncer, l'affiner, le revêtir, le coudre...

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Là où la nature abonde, où le bois est fécond de formes aquatiques, je traine mes recherches. Je trouve ces

masses de durs châtaigniers que j'habille de métaux divers pour confectionner des armures primitives et

sauvages à quelques‐unes de mes créations. C'est ainsi que sont nés tous les êtres que je fais vivre en

osant les habiller d'armure afin de les rendre puissants et redoutables. Ils sont tantôt enchainés par

l'homme, mécanisées pour se défendre contre ce long anéantissement qui parcourt leurs éléments.

D'autres, plus sereins et plus libres, nous font un clin d'œil rapide venu de leur repère coloré et exigu.

Aujourd’hui, leur structure accepte les couleurs que j'intègre. Parfois cuivrées parfois violentes ou douces,

elles apportent une autre dimension à mon univers onirique.

Georges BELLUT

En savoir + : g e o r g e s b e l l u t . o v e r ‐ b l o g . f r

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Jacque l i ne B lanchet DEMARCHE ART IST IQUE

Une attirance pour le textile et le dessin, et l'alibi de l’art pour créer à

"mon goût"... Artiste plasticienne professionnelle depuis 6 ans, une

maîtrise d’Arts Plastiques obtenue en 1994 à Saint‐Etienne, une attirance

depuis toujours pour le dessin et le besoin de créer entre deux cours de

peinture et de dessin.

Mon sujet de prédilection depuis quelques années après le nu : le

bestiaire... Ici un poisson, là une poule, en d'autres lieux éléphant,

rhinocéros, caïman et bien d'autres bestioles... qui nécessitent à chaque

fois de m'adapter à eux. Des portraits en somme...

Fusain, encre, aquarelle, peinture, collage, s'impose à moi suivant la singularité épidermique de mon

singulier « modèle ». Un sujet à part entière, à poil, à plume, à cuirasse, toujours décoratif, qui peut

côtoyer parfois le surréalisme, morcelé, détourné, paré, il pose et je suis aux anges… Une galerie de

portraits... infinie... qui me laisse matière à créer.


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Jacque l i ne B lanchet ‐ PARCOURS QUELLES ETUDES AVEZ‐VOUS FAITES ?

Maîtrise d’arts plastiques à l’université Jean Monnet de Saint‐Etienne en 1994.

COMMENT ETES‐VOUS DEVENU UNE ARTISTE ?

Après mes études d’art. Depuis toute petite, j’ai toujours aimé dessiner. J’interviens dans les

écoles, en parallèle, sur des projets artistiques.

COMMENT A COMMENCE VOTRE CARRIERE?

Mes premières expos ont eu lieu pendant mes études, je n’ai ensuite jamais arrêté.

VOS PRECEDENTES EXPOSITIONS :

Ephéméride, expo collective, 2012,2013, galerie du Babet Saint‐Etienne.

Expo personnelle, galerie de la Mirondela, Pézenas, aout 2013.

Expo collective, consulat de Lettonie, Saint‐Etienne, juillet‐septembre 2013.

Expo collective, 4ème biennale d’Arts Singulier, CHPL Saint‐Etienne, février‐mars 2013.

Expo personnelle, Restaurant Encas en Co, Saint‐Etienne, février 2013.

Expo collective, Base Art de Noel, les Moyen du Bord, Saint‐Etienne, décembre2011, 2012,2013.

Expo personnelle, Galerie Artis’anne, Saint‐Etienne, novembre 2012.

Expo collective « Tête à chapeau », Musée du Chapeau, Chazelles‐sur‐Lyon, février 2012.

Expo personnelle, Galerie Mine d’Arts, Saint‐Etienne, janvier 2012.

Exposition collective, Nouveau Théâtre de Beaulieu, Saint‐Etienne, novembre‐décembre 2011.

Marché d’art, Place Jean Cocteau, Saint‐Etienne, 2011‐ 2012.


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J a c q u e l i n e B l a n c h e t ‐ I N T ERV I EW

QUELLES TECHNIQUE UTILISEZ‐VOUS ET PREFEREZ‐VOUS ?

Technique mixte, avec une préférence pour le fusain et le collage.

LE GESTE DANS VOS TRAVAUX EST‐IL TRES IMPORTANT?

J’aime la précision du trait de dessin.

EN MOYENNE COMBIEN DE TEMPS PASSEZ‐VOUS SUR UNE ŒUVRE ?

Cela dépend, je peux en commencer plusieurs, et je me laisse la possibilité de revenir dessus.

QUELS SONT VOS THEMES DE PREDILECTION ?

En ce moment les animaux, pour le dessin, et leur grande diversité qui permet de changer d’outils et de techniques suivant leur singularité.

TRAVAILLEZ‐VOUS PAR SERIES ?

Oui, un tableau ne me suffit pas à approfondir le sujet et des idées me viennent au fur et à mesure si bien que je ne peux pas tout mettre sur une seule œuvre.

OU ET COMMENT TROUVEZ‐VOUS VOTRE INSPIRATION ?

Une photo, des matériaux, une association de couleurs, une expo… tout peut être prétexte à démarrer une toile.

LORSQUE VOUS COMMENCEZ UNE TOILE, AVEZ‐VOUS UNE IDEE PRECISE DE L’ABOUTISSEMENT SOUHAITE?

Une vague idée au début, mais les routes sont sinueuses !!

LORS DE VOS CREATIONS, ESSAYEZ‐VOUS DE FAIRE « PASSER » DES MESSAGES ?

Du ressenti plus qu’un message, j’aimerais arriver à davantage d’émotion par le côté pictural mais aussi que les gens éprouvent du plaisir dans le détail.

QU’AIMERIEZ VOUS QUE LES GENS RESSENTENT EN REGARDANT VOS ŒUVRES?

Du plaisir essentiellement.

QUELS SONT LES ARTISTES QUI VOUS INSPIRENT? QUELS SONT LES PEINTRES QUE VOUS ADMIREZ ?

J’aime admirer les dessins de Michel Ange, Delacroix, Favier, et les vibrations de la couleur chez Sean Scully. Dans l’idéal, j’aimerais pouvoir mélanger les deux !

En savoir + :

j a c q u e l i n e . b l a n c h e t . o v e r ‐ b l o g . c om

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Pascal Val let ‐ PARCOURS

Depuis mon enfance, j'ai toujours été très curieux, surtout pour la nature qui

m’émerveillait. Je trouvais en elle un vivier intarissable de sujets qui pouvaient

raviver cette curiosité. J'avais aussi un grand intérêt pour la création et l'art en

général. Cela me vient très probablement de mon grand‐père, qui peignait.

D’ailleurs, les seuls souvenirs qui me rattachent à lui sont ses pinceaux posés dans

des pots devant la fenêtre et cette odeur de peinture si particulière.

Voici plusieurs années que je parcours différents ateliers avec un bref passage à

l'école des Beaux Arts de Saint‐Etienne, à l’âge de l'école primaire, pour revenir

plus de 20 ans après dans un atelier de sculpture sur bois, puis de peinture et de

dessin où j'ai beaucoup appris sur les différentes techniques graphiques et de

couleurs, pour ensuite me retrouver quelques années plus tard les mains dans la

terre dans un atelier du Forez. Enfin, j'ai eu l'occasion de participer à différents

stages de formation au CNIFOP (Centre international de formation aux métiers

d’art et de la céramique).

Aujourd’hui, avec les années, j’ai appris que le plus difficile dans l’art était d'en extraire et de transmettre

l’essentiel car en finalité c'est cette racine qui touche notre corde sensible.

Les peintures rupestres des premiers artistes dites primaires, avaient cette

force de l’essentiel, en n’ayant pour principale influence que la nature.

D'ailleurs, certains peintres du XVIIIème et XIXème siècles, que j’affectionne

particulièrement, comme Van Gogh, Gauguin, Bernard… ont cherché à

retrouver cette force, au travers de leurs peintures épurées et colorées. Ce

sont, à mes yeux, des peintres qui ont su extraire l'huile essentielle de la

peinture. C'est donc riche de toutes ces influences que je suis venu

naturellement dans ce monde fascinant de la création, avec pour premier

chemin de recherche et d'expression ce monde sous‐marin qui a inspiré tant

d'artistes et d’écrivains. Il y a, sous ce grand miroir d'horizon, encore tant de

Moby Dick et d’épaves au trésor qui attendent nos rêves. Alors, je me laisse porter par les vagues qui me

ramènent souvent à la réflexion et à la méditation. Car l'art nous amène souvent à chercher au‐delà du

visible. Après une longue période d’incubation, il fallait que quelque chose sorte de cet œuf, et depuis trois

années, sortent de mer ou plutôt de terre, ces poissons colorés.

© Pascal Vallet

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Pascal Val let DEMARCHE ARTISTIQUE

Je suis fasciné, par les couleurs et les formes des poissons. Ils sont pour moi une source d'inspiration

infinie. Leur raffinement et leur beauté leur confèrent une place toute particulière dans le monde animal

et artistique. Leurs armures de couleur donnent parfois l'impression qu'ils sont de verre, remplis

de lumière, ou bien de métal polis comme des miroirs dans lesquels se reflète le soleil...

D'autres ont une beauté froide et métallique tout comme le milieu dans lequel ils vivent, comme si leur

beauté était adaptée à leur environnement hostile.

Je joue avec tout cela, en cherchant à donner à chacun une expression singulière et sensible. La terre de

faïence chamottée que j'utilise s'y prête très bien. Ces réalisations restent très techniques, méthodiques et

longues, mais la passion a fait jusqu'à présent bon ménage avec la patience, et m'a permis jusque‐là

d’aboutir mes créations.

Quant aux couleurs, elles sont le fruit de recherches personnelles permanentes, car c'est aussi une des

nombreuses facettes du céramiste, d'inventer de nouvelles couleurs d'engobe, de colorant et d'émail. A

plus de 1000 °C, il y a parfois des surprises, pas toujours bonnes, car à cette température, il y a des

mariages ''qui ne font pas toujours bonne couleur '', mais c'est le tribut à payer à la recherche de la beauté,

et au hasard.

Mes réalisations sont des modelages en terre de faïence. Je pars d'un bloc de terre que je façonne en

plusieurs étapes, que j'évide pour des problèmes de casse à la cuisson. Après une décoration par engobe

(terre liquide avec des oxydes ou colorants appliqués au pinceau) je réalise une première cuisson à 1020°C.

Puis une couche de couverte est passée (émail transparent brillant, comme une couche de verre qui

recouvre la pièce) et cuite de nouveau entre 980 et 1000 °C.

Voila en ce qui concerne l'aspect technique, et pour celui de l'inspiration je dirais qu'elle est permanente et

trouve sa source dans mes rêves d'enfant. Je me souviens d'un écrit dans lequel j'avais pu lire, que

"l'enfance est certainement plus grande que la réalité". J'en ai déduit que pour vivre dans un monde plus

grand, il fallait garder ses rêves de gosse, et regarder avec contemplation et émerveillement les choses

merveilleuses de la vie et de la nature qui nous entourent. C'est elle qui m'inspire et me surprend. Je ne fais

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que lui rendre hommage au travers de ce que je fais, avec une faiblesse toute évidente pour le monde

marin que nous ne connaissons que si peu.

Certains poissons ont des couleurs si extraordinaires et des formes si étranges que l'on a du mal à croire en

leur réalité. Je joue avec tout cela, j'essaie de leurs donner vie, une personnalité, de leur faire dire quelque

chose.

C'est aussi le fruit d'un engagement plus personnel. Celui de faire prendre conscience aux visiteurs de la

vie qui se cache derrière ce grand miroir horizontal, dans lequel nous ne voyons que trop souvent le reflet

du ciel bleu ou gris.

On me demande souvent s'ils existent réellement ces poissons ! Nous avons tous encore beaucoup à

regarder et à comprendre pour peut‐être un jour faire autrement afin de respecter ce que nous détruisons

chaque jour sans même en avoir conscience.

Pascal

En savoir + :

a t e l i e r d e s p omme s b l e u e s . b l o g s p o t . f r

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Le Château de Bouthéon

La commune d’Andrézieux‐Bouthéon s’est fixée pour mission de valoriser le patrimoine naturel, culturel et humain du Forez et de la Loire en mettant en œuvre une politique innovante d’aménagement et de développement économique, social et culturel. Surplombant la plaine de la Loire, entre Vallée du Rhône et Massif Central, à deux pas de Saint‐Étienne (Loire‐42), le Château de Bouthéon, témoin de l’histoire du Forez, retrouve un second souffle fondé sur la valorisation du patrimoine ainsi que sur le développement économique et culturel du territoire. Simple maison forte au XIIème siècle, les propriétaires successifs du Château de Bouthéon ont progressivement façonnés cette majestueuse demeure. Ancienne résidence des familles Bourbon (XVème siècle) et Gadagne (XVI‐XVIIIème siècles), remanié au XIXème siècle par le rubanier Claude Coignet, le site s’est vu offrir une nouvelle jeunesse après son achat en 1995 par la commune d’Andrézieux‐Bouthéon. Après 10 ans de travaux, le Domaine du Château de Bouthéon a ouvert ses portes au public en 2006 pour la partie parc et en 2007 pour la partie château. Au programme : centres d’interprétation du Forez et du Fleuve Loire (aquariums), espace d’expositions temporaires, parc animalier et botanique dédié à la biodiversité domestique, visites guidées du château, animations et manifestations tout au long de l’année ainsi qu’un espace séminaires et réceptions à destination des entreprises. L’espace d’exposition temporaire Installé depuis 2010 dans les combles de l’aile nord, sous la toiture en ardoise, cet espace accueille toute l’année, sur près de trois cent mètre carrés, trois ou quatre expositions. Chacune d’elle s’étend sur plusieurs mois et complète la visite du Château sans coût supplémentaire pour le visiteur. Les expositions artistiques, qu’il s’agisse de peinture, photographie, sculptures… regroupent généralement plusieurs artistes autour d’une thématique commune. Chacune d’elle, se doit d’entrer dans le cadre du projet culturel et scientifique du domaine centré sur la valorisation du patrimoine ligérien, de la culture forézienne et de la biodiversité domestique. Les expositions dossiers sont souvent le moyen d’approfondir un thème déjà partiellement évoqué dans la visite du domaine.

Informations prat iques CHATEAU DE BOUTHEON Rue Mathieu de Bourbon 42160 Andrézieux‐Bouthéon Tel 04 77 55 78 00 Fax 04 77 55 78 01 www.chateau‐boutheon.com

ACCES Andrézieux‐Bouthéon A 15 km de St Etienne en direction de Clermont‐Ferrand A 72 sortie n° 8b en direction de Clermont‐Ferrand & n°8 en direction de St Etienne / ou par la RN 82 Coordonnées GPS : 4°15’52’’/45°32’37’’

HORAIRES D’OUVERTURE L’exposition est ouverte 7j/7 De 14h à 18h (Fermeture billetterie 1h avant)

TARIFS CHATEAU ‐ Plein tarif : 5.80 € ‐ Tarif réduit : 4.10 € ‐ Gratuité : Enfants de moins de 7 ans – enseignants (avec justificatif) Tarif réduit sur justificatif : Etudiants , jeunes de 7 à 17 ans, plus de 65 ans, titulaires de la carte famille nombreuse, demandeurs d’emploi, titulaires de la carte invalidité, passeport patrimoine, groupes de plus de 10 personnes, habitants d’Andrézieux–Bouthéon. Cette tarification comprend l’accès aux centres d’interprétation du Forez et du Fleuve Loire, à la tour panoramique ainsi qu’à l’espace d’exposition temporaire (1h à 1h30 de visite).

+D’INFO SUR : www.chateau‐boutheon.com

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Rencontres

Durant toute la durée de l’exposition, les artistes seront présents sur place à tour de rôle afin que le public

puisse les rencontrer et échanger avec eux autour de leur travail.

Georges Bellut : dates non définies. Jacqueline Blanchet : Les dimanches 26 janvier et 30 mars de 14h à 18h. Pascal Vallet : Les dimanches 2 mars et 6 avril de 15h à 18h.



Visuels presse Merci d’adresser vos demandes de visuels à gbarou@andrezieux‐boutheon.com Ces visuels sont également téléchargeables sur www.chateau‐boutheon.com

Geo r g e s Be l l u t Mention obligatoire : Crédit photo Georges Bellut

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Jacquel ine Blanchet Mention obligatoire : Crédit photo Jacqueline Blanchet

Pascal Val let Mention obligatoire : Crédit photo Pascal Vallet

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