dossier pedagogique · 2017-03-22 · rufus, tomi ungerer, l’ecole des loisirs, 2009 a partir de...

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Service des relations avec le public +33 450 43 24 27 Secrétaire Générale, Responsable relations avec le public et du jeune public Edwige Nuellec _ edwige.nuellec@chateau-rouge.net Attachée aux relations avec le public Violaine Séguy _ [email protected] chauve souris Cie Les Escargots ailés Cirque aérien Représentations scolaires : mardi 11, jeudi 13, vendredi 14 à 9h30 et 14h30 mercredi 12 à 9h30 représentations tout public mercredi 12 avril à 14h30 samedi 25 mars à 17h00 Château Rouge – Pete Salle Durée :45 mn conseillé dès 4 ans PT 12 € / TR 10 € / - 20 ans 7 € chateau rouge scène conventionnée scène régionale DOSSIER PEDAGOGIQUE

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Service des relations avec le public +33 450 43 24 27Secrétaire Générale, Responsable relations avec le public et du jeune public Edwige Nuellec _ [email protected]ée aux relations avec le public Violaine Séguy _ [email protected]

chauve sourisCie Les Escargots ailés

Cirque aérien

Représentations scolaires :mardi 11, jeudi 13, vendredi 14 à 9h30 et 14h30 mercredi 12 à 9h30représentations tout publicmercredi 12 avril à 14h30samedi 25 mars à 17h00

Château Rouge – Petite SalleDurée :45 mnconseillé dès 4 ans

PT 12 € / TR 10 € / - 20 ans 7 €

chateau rougescène conventionnéescène régionale

DOSSIER PEDAGOGIQUE

L’équipe

Un spectacle présenté par la compagnie Les Escargots Ailés

écriture et mise en scène de André Mandarino

Interprètes Amélie Kourim et Jérôme Galan

Chorégraphe Sibille Planques

Scénographe Sophia Boudou

Création musicale Christine Moreau Zef

Création lumière Elie Romero

Création vidéo Élise Boual

Création costumes Florinda Donga

Régisseur général Paul Galeron

Photos Isabelle Bruyère

Coproduction : CIRCa, Auch, Gers, Midi-Pyrénées, Pôle National des Arts du cirque / Association Nova Villa -Méli Môme à Reims / Le Manège - Scène nationale de ReimsSoutien en résidence : CIRCa, Auch / MJC Intercommunale d’Ay / Salle Sabine Sani / La Filature à Bazancourt / Le Manège - Scène nationale de Reims

Spectacle accueilli avec le soutien du Sou des écoles d’Annemasse

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La compagnie

Les escargots ailés

Fondée en 2000 par André Mandarino, la Compagnie Les Escargots Ailés développe une pratique des arts du cirque, associant le cirque aérien aux formes chorégraphiques, musicales et théâtrales.Issu d’une double formation à l’École Nationale du Cirque de Rio de Janeiro et au Centre National des Arts du Cirque de Châlons-en-Champagne, André Mandarino, spécialisé dans l’acrobatie aérienne, trouve la matière de sa création à travers la confrontation et la rencontre de ces formes artistiques.«Suspendu» entre ses deux cultures, son travail de recherche se fonde sur un subtil mélange des genres, entre fluidité du mouvement, poésie et technique.

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le spectacle

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L’histoireUn chauve-souriceau petit, malingre et espiègle vit la nuit. Alors qu’il chasse, il rencontre une chauve-souris grande, forte et qui elle, vit le jour. Ces différences les rapprochent et attisent la curiosité du chauvesouriceaude voir le jour.Ils sont surpris par une chouette. La curiosité du chauve-souriceau va les obliger à un départ précipité.Ensemble, ils vont affronter bien des dangers et partager des aventures qui vont les pousser, au-delà de leurs différences, à vivre ensemble. C’est un parcours initiatique dont ils ressortiront forts et grandis.

Notes du metteur en scènePlacer l’enfant au centre de l’écriture circassienne est pour moi une manière de revenir à l’un des fondements du cirque : l’enfance.Je développe et approfondis un travail autour de l’acrobatie aérienne. Ce travail de recherche constant nourrit mes créations.Pour créer le mouvement acrobatique je puise sa force et son originalité dans une énergie organique, animale et dans le geste simple et intuitif. De la relation entre l’agrès circassien, la scénographie et l’acrobate, le mouvement crée des instants aériens poétiques et suspendus.Cela me mène à un travail de recherche autour de l’agrès circassien et à ce qu’il véhicule dans l’imaginaire collectif.En 2004 j’ai découvert l’existence de la voile de spinnaker (ou spi). Une voile d’avant légère et creuse, hissée aux allures portantes. Depuis, détournée de sa fonction première, je l’utilise comme agrès circassien, j’approfondis sa pratique et la fais évoluer. Le «spi-aérien» est un agrès qui me suit dans toutes mes créations sous diverses formes et avec les contraintes qu’il m’offre.Toutes mes réflexions sur les arts du cirque m’incitent à me focaliser, dans mes créations, sur la pratique de l’acrobatie aérienne, en approfondissant cette discipline et en la déclinant aux vues de mon exploration d’un cirque aérien.Debout ou suspendu, à l’endroit ou à l’envers, désorienté il faut trouver de nouveaux repères. Ce corps en mouvement établit un lien entre ciel et terre, il utilise l’agrès comme support et la technique comme danse. Il nous amène à nous redécouvrir et à toucher l’inimaginable. (...)Etudiant les faits et gestes des chauves-souris à travers vidéos, photos et témoignages scientifiques, je m’inspire de leur comportement et de leur mode de vie. Le but n’étant évidemment pas d’imiter ces animaux, mais de s’approprier leurs gestes et leurs postures qui ressemblent parfois aux nôtres. Les observer me conforte dans le fait qu’il existe entre chauvesouris et homme des attitudes communes : croiser les bras, remonter les épaules et s’étirer (avoir froid, peur et être inquiets, en introspection).Nous constituons un répertoire gestuel que nous utilisons comme base d’écriture.

La chauve-souris dans la culture populaire est souvent perçue comme un être à part, tout comme l’homme, qui dans ses différences physiques et culturelles peut se sentir exclu. Faire ce rapprochement nous guide dans notre travail de composition des «personnages». La différence physique entre les deux interprètes est amplifiée par le choix de les associer chacun à une espèce de chauve-souris, le Rhinolophe pour Solange et la Roussette pour Jérôme. Je m’interroge sur la notion de différence afin de complémenter le travail corporel.L’enfant entre 4 et 6 ans s’ouvre au monde. Il interroge ses origines, le mystère de sa naissance et la différence. Comment perçoit-il et vit-il la différence ?La chauve-souris et l’acrobate aérien ont cette capacité en commun de maîtriser les airs. Elle est pour moi le point de départ et une source inépuisable d’inspiration et d’imagination. La chauve-souris relie le ciel à la terre, souvent suspendue la tête en bas, elle défie les lois de la pesanteur. Cet animal qui perçoit le monde à l’envers nous révèle l’envers du décor. Il rampe autant qu’il vole et appréhende le monde sous divers angles. Les chauves-souris sont acrobates de la nuit, d’où l’évidence de travailler avec deux acrobates aériens.Outre leur discipline principale (la corde et les sangles), leur aisance aérienne permet de réinventer

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l’interprétation de l’animal par l’homme.Le spectacle met en scène ce lien existant entre ces deux êtres volants et témoigne de l’univers fantastique de ces animaux insaisissables.Il puise dans cet univers et transpose sur scène leur mode de vie et leurs comportements : le vol, la chasse, le toilettage, la reproduction, la migration et l’hibernation. J’utilise comme trame de fond leur environnement : le rapport au temps - passage du crépuscule à la nuit et de l’aube au jour – les intempéries, la cohabitation avec d’autres espèces comme la chouette effraie, mais également le souterrain avec ses surprenantes « lumières » et ses mystères.La mise en scène dans toute sa dimension circassienne, chorégraphique et poétique, transportera le spectateur dans l’univers des chauves-souris. Un voyage initiatique qui laissera libre cours à l’imagination de chacun.

André Mandarino

La scénographieLa réflexion sur la scénographique aérienne est au centre de la recherche et des créations de la compagnie.André Mandarino s’entoure de scénographes et d’architectes dans l’objectif de croiser les regards, les réflexions, les savoir-faire et de travailler l’espace scénique comme un tout afin d’y intégrer les agrès circassiens et de les faire évoluer.Le dispositif se compose de trois éléments scénographiques : une structure en acier, un filet en corde et une voile de spi.Différents et complémentaires, ils sont posés sur un sol réfléchissant (miroir) qui symbolise le vide et l’eau.Ils illustrent ce monde, imaginé suspendu et à l’envers pour ces deux chauves-souris. Ces éléments scénographiques enrichissent l’atmosphère et l’écriture du spectacle et donnent aux spectateurs des clés pour s’approprier cet univers. Cette structure est un support aux corps, elle leur permet de se mouvoir et de s’exprimer différemment, dans tous les sens, à l’envers comme à l’endroit.La recherche technique consiste en un travail d’exploration des agrès circassiens : corde, sangles, spi-aérien, et de la scénographie qui devient un agrès à part entière. L’agrès est une brèche dans l’espace, une inversion des références préétablies, l’union de ce qui est au-dessus et en-dessous. Suspendu dans le vide, il est un contrepoids au corps, explorant à la fois ses forces et ses faiblesses.

La musiqueLes chauves-souris utilisent les ultrasons qu’elles produisent pour s’orienter dans l’espace. On appelle ce phénomène l’écholocation. Elles émettent des ondes sonores très rapides et directionnelles qui vont rebondir sur les objets environnants et revenir sous forme d’échos à leurs oreilles. Elles se construisent ainsi une image sonore de l’environnement en fonction du nombre, de l’intensité et de la rapidité des échos perçus. Elles se repèrent grâce aux échos et ont ainsi une vision acoustique du monde. Ces images sonores sont comme des éclairs de lumière dans l’obscurité.Il arrive que les chauves-souris émettent des cris audibles par l’homme, il ne s’agit alors pas d’ultrasons, mais de cris que l’on qualifie de « cris sociaux », des cris qui sont utilisés par les chauves-souris pour communiquer entre elles : territorialité, agressivité, parade nuptiale, cri d’appel d’un jeune à sa mère.La musique portera l’énergie des corps tout en accompagnant la mise en scène. Utilisant les mêmes attributs sonores que les chauves-souris, elle permettra au regard du spectateur d’évoluer dans un univers où le son devient image.

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pour aller plus loin

La Chauve SourisLes chiroptères, communément appelés chauves-souris sont des mammifères volants uniques.Ils ne se contentent pas de planer mais sont capables d’un vol actif, soutenu et puissant. Ils se suspendent par leurs orteils crochus, la tête en bas pour dormir ou somnoler.La femelle donne naissance à son petit et le nourrit tête en bas, le petit chauve-

souriceau doit s’accrocher de lui-même à sa mère : première prise de risque d’un acrobate né.La chauve-souris utilise les ultrasons qu’elle produit pour s’orienter dans l’espace et pour chasser, il s’agit de l’écholocation : la localisation par l’écho.Les caractéristiques de cet animal sont ambigües : poilu et ailé, ni tout à fait diurne, ni tout à fait nocturne, il devient symbole du crépuscule, entre ombre et lumière. La chauve-souris incarne le temps de l’entre-deux. Sa présence annonce le basculement dans une temporalité nouvelle, la

nuit marquant le début des activités féeriques et fantastiques. Dans la culture populaire, elle nourrit les fantasmes d’un ordre «inversé», à la fois mythique et mystérieuse, objet de peur ou signe de bonheur.Son vol fascinant inspira les Hommes dans la construction de machines aériennes : GOYA dans Modo de Volar (1819-1823) représente des hommes, en plein vol, accrochés à d’immenses ailes de chauves-souris. ClémentADER, comme Léonard DE VINCI avant lui, s’inspire de l’anatomie des chiroptères pour construire son premier avion, Eole, en 1890.

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Bibliographie

Rufus, Tomi Ungerer, L’Ecole des Loisirs, 2009A partir de 5 ansRufus est une chauve-souris pas comme les autres. Depuis qu’il a vu, un soir, un film en Technicolor au cinéma en plein air, puis, au petit matin, le lever du soleil orange et rose, il a décidé de changer d’existence.Vivre le jour, peindre ses ailes noires aux couleurs des papillons !Pris de peur en voyant tourbillonner ce volatile bizarre, des gens lui tirent dessus à coups de fusil.Rufus tombe, mais, par chance, c’est dans le jardin d’un homme formidable…

Mademoiselle tout-à-l’envers, Philippe Corentin, L’Ecole des Loisirs, 1988A partir de 5 ansQui est-elle cette cousine d’Amérique qui arrive dans la famille de Trotinette et Totoche, les souris? Elle est bizarre la cousine. Elle n’est pas chauve mais elle a un drôle de museau chiffonné, de grandes oreilles d’âne et deux horribles ailes!

Trois petits morceaux de nuit, Rose-Marie Vassollo et Godeleine de Rosamel, Albin Michel, 2006A partir de 4 ansUn soir de printemps, trois petits morceaux de nuit (trois chauve-souris) se détachent du ciel et tombent sur Terre. Une maman Souris, qui passait par là, décide de les recueillir. Mais, ce n’est pas si facile...Ces petits ne mangent pas ce qu’elle leur donne, ne se réveillent que la nuit et demeurent immobiles quand l’hiver point son nez... Avec son amie l’hirondelle et beaucoup d’amour, maman Souris élève ces petits morceaux de nuit...

Sauve-Souris ! , Gnimdéwa Atakpama et Nicolas Hubesch, L’Ecole des Loisirs, 2011A partir de 4 ansCette souris possédait la plus belle plantation de bananes du monde. Ça aurait pu la rendreheureuse et généreuse. Mais non. Ça la rendait égoïste et méchante.Quand une malheureuse chauve-souris très polie vint lui demander la permission de manger un peu de ses milliers de bananes, elle la chassa. Alors la chauve-souris, qui était très maligne, trouva un stratagème pour convaincre la souris, qui était trop radine, de partager un peu mieux ses jolies bananes…

VidéoVisionner un extrait du spectacleVous trouverez plusieurs extraits du spectacle sur le site internet de Château Rouge :http://www.chateau-rouge.net/spectacle/chauve-souris/

guide du spectacle à l’usage de l’enseignant

Vous allez bientôt emmener vos élèves découvrir un spectacle à Château Rouge. Pour certains d’entre eux, ce sera peut-être la première fois qu’ils découvriront l’univers du spectacle vivant. Et comme toutes les premières fois, ce moment particulier mérite qu’on lui porte toute son attention.

Dans tous les cas, il s’agit d’une démarche d’ouverture culturelle nécessitant d’être préparée. Préparation au contenu de la représentation qu’ils vont voir, mais également sensibilisation au monde du spec-tacle, ses règles, ses codes. En effet, être spectateur n’est pas inné, c’est un apprentissage qui se fait aussi dans le cadre de l’école.

Avant le spectacle...

En classe avec mes élèves

• Je leur explique ce qu’est le «spectacle vivant» si cela n’a jamais été fait auparavant : les artistes sont présents physiquement sur scène, face au public. Bien que la salle soit plongée dans le noir, les artistes «voient» les spectateurs dans le sens où ils ressentent leurs attitudes, leurs réactions, leurs émotions. Il y a une véritable interaction entre les artistes et le public. En cela, le spectacle vivant diffère du cinéma ou de la télévision, qui demandent notamment moins de concentration et d’attention.

• J’informe mes élèves sur le spectacle qu’ils vont voir : * Le titre du spectacle * Le genre : cirque, théâtre, marionnettes, danse, théâtre d’objets, concert, conte, etc. * Le nombre d’artistes sur scène, le nom de la Compagnie

• Je collecte et étudie avec eux différents documents liés au spectacle afin de susciter leur curiosité sur le spec-tacle qu’ils verront bientôt. Pour cela, plusieurs documents sont disponibles auprès de Château Rouge ou dans le dossier pédagogique (dis-ponible en ligne sur le site internet de Château Rouge) : * une affiche (sur demande) ou une photo du spectacle * le résumé du spectacle (dans le dossier pédagogique) * des extraits vidéos sur le site internet de Château Rouge

Ces éléments doivent permettre aux élèves de se faire une première idée du spectacle et laisser aller leur imagi-naire sur ce qu’ils vont voir sans pour autant dévoiler la totalité du spectacle.

• Je leur explique les codes et rituels du spectacle : * L’attente avant l’entrée en salle * L’installation en silence * Le «noir» avant et pendant le spectacle * L’espace de l’artiste – la scène – et l’espace du public – le gradin * Les applaudissements à la fin de la représentation

• Je leur présente les règles de comportement à avoir dès leur entrée dans la salle de spectacle et pendant toute la durée du spectacle : * Ne pas parler avec son voisin, ne pas commenter le spectacle : cela gêne les autres spectateurs et surtout les artistes sur scène. * Garder en tête ses commentaires, ses impressions pour en discuter à la fin du spectacle avec les autres élèves (sur le chemin du retour par exemple), puis en classe avec l’enseignant(e). 8

* Ne pas manger ou boire : expliquer par exemple la différence avec ce qui est permis au cinéma : un film continuera à se dérouler quoi qu’il se passe dans la salle alors qu’au théâtre, tout se joue en direct, tout est donc plus fragile.

Il est important d’expliquer ces interdits aux élèves afin qu’ils comprennent qu’il ne s’agit pas d’une punition, mais bien d’une question de respect pour les artistes, pour les autres spectateurs et avant tout pour eux-mêmes.

Avec les parents-accompagnateursJe les informe de leur rôle pour cette sortie culturelle : ils encadrent le déplacement des élèves de l’école à Châ-teau Rouge, mais aussi sur place, pendant le spectacle.

Pendant le spectacle...- Je laisse les enfants vivre et expérimenter différentes émotions : s’émerveiller, rire, sursauter, etc.- J’ai le droit d’intervenir auprès des élèves pendant la représentation, par exemple si un élève est trop agité ou parle pendant la représentation.- Je n’hésite pas à sortir de la salle avec un élève si celui-ci pleure, a très peur ou ne se sent pas bien, et ce pour ne pas déranger le bon déroulement du spectacle.

Après le spectacle...Il est important qu’un retour sur le spectacle soit fait en classe avec vos élèves afin qu’ils puissent exprimer leur point de vue et leurs sentiments sur l’expérience esthétique qu’ils viennent de vivre. Cela peut prendre plusieurs formes, voici quelques pistes :

- rassembler et lister les différents éléments du spectacle : les personnages : quel costume, quelle voix les couleurs dominantes du spectacle les éclairages, les lumières : leur rôle, fort/faible, qu’apportent-ils au spectacle le décor, les accessoires la musique, la bande-son

- exprimer son point de vue : par la parole : cela peut prendre la forme d’un débat par le dessin : demander aux élèves de dessiner leur moment préféré par le jeu, par exemple à l’aide du portrait chinois (Si le spectacle était un animal/un parfum / etc.)

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www.chateau-rouge.net