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J’ai choisi une image avec deux artisans qui travaillent pour construire un escalier en bois. Pour parler de la
vie de l’un d’eux, je m’imaginerai quelques choses sur l’homme à gauche de la page (de l’image).
Il (Pierre) est né le 13 mars 1910, dans une famille modeste, avec encore deux frères aînés et une petite sœur,
dans un village au sud de la France. Ses parents travaillaient toute la journée pour soutenir leur famille. Sa mère
était couturière et son père travaillait comme artisan pour les familles riches. Pierre n’avait pas eu une enfance
heureuse comme les autres enfants de son âge car il devait travailler pour aider sa famille, comme faisaient ses
frères. Ainsi, il n’est pas allé à l’école, mais à dix ans, il a commencé assister son père et donner un coup de
main. De cette manière, il a pu acquérir quelques compétences dans les domaines suivants: le tissage de
boutons, la poterie, la tapisserie, la confection de chapeaux, la ciselure de plateaux d’argent, la peinture de vases
et ainsi de suite... mais ce qu’il aimait beaucoup était la construction des échelles en bois. Il croyait que
l’escalier pouvait te mener plus près de Dieu, sans tenir compte de son utilisation. C’est pourquoi, quand il a
grandi, il a consacré son temps à cette occupation. Il était le seul enfant qui travaillait volontiers tandis que ses
frères tentaient d’échapper du travail et sa sœur soignait leur mère. Quand il a dix-neuf ans accomplis, donc en
1929, il a réalisé son première œuvre: un escalier en bois massif avec 38 marches. Depuis sa carrière a pris essor
vraiment, son nom a commencé d’être connu autour de la ville et de plus en plus beaucoup d’hommes ont fait
appel à son maîtrise. Ainsi, il faisait des efforts toute la journée parce qu’il voulait une vie plus bonne.
En 1939, après la mort de sa mère, il n’a pas travaillé six mois. Entre temps, il a essayé de peindre parce qu’il
sentait une douleur profonde, mais ensuite il a renoncé, en revenant à la construction d’escaliers. Ce métier avait
devenu pour lui non seulement un art, mais aussi une manière de recueillement et réfléchissement. Même s’il
faisait un travail assez difficile, il ne tenait pas compte de cela.
En 1943, il s’est marié avec la plus belle femme du village qui avait été impressionnée par son adresse. Ils ont
eu deux enfants, un garçon et une fille qui étaient leurs trésors.
En 1947, il commençait travailler avec son beau-fils qui était menuisier, donc ils partageaient la même passion.
L’influence de lui qui savait réaliser des portes, des fenêtres, des parquets, des sièges, des tables, était visible.
Pierre avait beaucoup de choses d’apprendre de son gendre et c’est pourquoi il aimait le temps passé avec lui.
Pour Pierre chaque jour était surprenant et jamais fatigant. Un jour, ils ont décidé d’ouvrir une boutique afin
qu’ils puissent atteindre le plus grand nombre d’objets en bois et qu’ils puissent développer une belle affaire.
Dans trois mois, le rêve de Pierre avait devenu réalité car ils ont pu construire un atelier assez doté avec des
outils nécessaires: les outils de traçage (le mètre, le compas, l’équerre), les outils de sciage (la scie), les outils de
frappe (le marteau) ou d’autres outils comme la tenaille, le rabot, les clous, le ciseau et ainsi de suite. Ils étaient
très contents et heureux parce qu’ils ont pu accomplir leur projet. Tout les paysans étaient fiers d’eux et voilà
pourquoi, grâce à leur désir et à leur ambition (et puissance de travail certainement), ils ont devenus des
modèles pour les autres.
2. Les principaux diplômes qui sont offerts aux élèves en France peuvent être énumérer de cette façon: le brevet
(accordé aux élèves dans l’enseignement général), le BEP/ le CAP (accordé aux élèves qui ont suivi un lycée
professionnel), le BAC (accordé aux élèves qui ont suivi un lycée général). Pour les étudiants (on parle de
l’enseignement supérieur) il y a les suivants diplômes: DEUG (Diplôme d’études universitaires générales),
DESS (Diplôme d’études supérieures spécialisées), DEA (Diplôme d’études approfondies), DUT (Diplôme
universitaire de technologie).
4. En Roumanie, le baccalauréat (la peur des élèves) représente un examen ni trop facile ni trop difficile qui
devrait mettre en évidence la maturité d’élèves et leur capacité aussi d’utiliser les connaissances acquises
jusqu’à ce moment-là. Le baccalauréat a été transformé dans un événement national parce qu’il marque une
étape très importante dans la vie de chaque élève et, de cette manière, tous se préparent pour un bon
commencement. Ainsi, le BAC signifie tout le travail qu’un élève doit faire pour cueillir des lauriers à la fin.