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DEUX ANS AU SERVICE D’ENFANTS DU MEKONG

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Newsletter N°3 - Octobre 2017

Les Lestap’ Saison 3, Année 2

Chers Tous,

Nous sommes de retour avec cette nouvelle Newsletter …enfin !

Pardon et encore pardon de ne pas vous rejoindre plus souvent tout au moins par nos écrits.

Septembre … sous le signe de la rentrée. Nous espérons qu’elle s’est bien passée pour chacun et que

le rythme est bien repris après un été ressourçant pour vous et vos familles !

Pour nous, la période de rentrée nous semble déjà bien loin.

Les grandes vacances ayant lieu en avril, notre rentrée a eu lieu fin juin et restera marquée dans les

annales ! Nos enfants ont vécu ce que tous les enfants du monde rêvent de vivre un jour dans leur

vie d’écolier.

scolaire a été différée de 8 jours... Bizutage du blanc ? Non, à priori, juste oublié de nous prévenir.

Nous ne connaîtrons jamais la raison de cette semaine de vacances additionnelles.

Nous aurions voulu filmer la scène : l’euphorie des enfants… et surtout la tête des parents !

Bref, cette répétition générale faite, ils sont, à présent, réunis tous au même endroit, dans une école

à 5 mn en voiture de la maison. Le choix était à la fois de simplifier l’organisation et de tenter de

trouver un enseignement un peu meilleur…

Nous ne regrettons pas notre décision même si, la qualité de l’enseignement laisse toujours à désirer.

L’ambiance y est meilleure, les garçons se sont mis au basket (sport national ici) pendant les temps

de récréation, moment qu’ils n’avaient pas l’année dernière. Rien que pour cela, le changement

valait le coup. Ils y découvrent aussi de nouvelles matières, telles que la robotique et l’informatique.

Un enseignement plus pragmatique qui suscite leur intérêt !

Récit : Fin juin, nous voilà fin prêts, après 3 mois de vacances.

Uniformes enfilés, lunch box préparées, fournitures… plus ou

moins trouvées. Bref, réveil difficile et petit-déjeuner avalé, nous

voilà tous dans la voiture, motivation et coaching des troupes,

arrivée sur le parking et là ??…nobody !!!!!! Why ? Nous nous

enquerrons auprès des gardes qui nous apprennent que la rentrée

L’amitié franco-philippine by Mayeul

Mais qui dit ancien batch dit …

nouveau batch !

Nous voilà donc avec une nouvelle équipe à Cebu, tout aussi prometteuse et à la parité parfaite : 2

garçons et 2 filles. C’est avec une grande joie que nous avons accueilli à Cebu City, Hortense et Cécile

ainsi qu’Edwin et Julien.

Bref, vous l’aurez compris si la transition ne s’est pas faite sans difficulté, c’est pour autant sous le

signe de la nouveauté et en « tenue de service », que nous sommes résolus à poursuivre cette mission.

Volonté de continuer à se laisser surprendre par ce pays et ses habitants qui parfois nous déroutent,

mais qui chaque jour nous amènent leur lot de nouveautés et de smile !

C’est avec beaucoup de tristesse que nous avons

quitté les unes après les autres nos co-bambous de la

promo 28 tout au long de l’été. Un vrai lien de

fraternité et d’amitié entre nous s’était créé. De

belles rencontres pour nos enfants et nous, ce qui

nous fait dire aujourd’hui que la jeunesse qui

s’engage est belle !!!… Eh oui, ça fait un peu vieux

de dire ça, mais nous avons réalisé que nos aînés

avaient moins d’écart d’âge avec les bambous

qu’avec nous… dure réalité, renforcée par les 40 ans

de Gonzague cet été !

Nouvelle école, nouvelle année, nouveau batch (promo) …

NOUVELLES MATIERES :

La robotique et l’informatique vu par MAYEUL.

Bonjour tout le monde, je vais vous raconter mes nouvelles matières dans ma nouvelle école. Je suis

un peu comme au collège parce que j’ai un professeur différent pour chaque matière et mon advisor

(maîtresse principale) s’appelle Teacher Flor et elle est très gentille. Ma maîtresse de computer

(ordinateur) s’appelle Teacher Silvi.

Je veux vous raconter ce que l’on fait en informatique :

on apprend à dessiner sur l’ordinateur et en ce moment

on est en train de faire un peu comme un carnet de dessin.

Il y a aussi la robotique : on a des supers grosses boîtes de

lego avec des moteurs et on doit inventer des objets

qui tournent, qui roulent. On fait aussi différentes constructions.

C’est trop cool, on se croit comme dans une salle de jeux. Pour les autres cours, c’est pas toujours

drôle car je comprends pas tout et que c’est très différent de la France, surtout les mathématiques.

NOUVELLE ECOLE

La nouvelle école vue par FAUSTINE:

Ma nouvelle école s’appelle Childlink. Tous les matins, on se réunit tous dans la cour pour chanter

l’hymne national la main sur le cœur (en filipino) et pour chanter l’hymne de l’école (en anglais).

Quand on rentre en classe, on doit dire tous en même temps à la maîtresse avant de s’asseoir : « Good

morning teacher, it’s nice to see you this morning ! »

Nous avons des cours de robotique et d’ordinateur. Mayeul va vous en parler après. Le jeudi, nous

faisons du sport (badminton et ping-pong) et le vendredi, scouting / scoutisme (mais les garçons

disent que c’est pas du vrai). A chaque fois, c’est un uniforme différent que nous devons mettre (et ils

sont très moches).

C’est difficile de se faire des amis parce que je suis la seule française.

J’ai un bureau comme les étudiants d’Enfants du Mékong avec une petite table sur le côté. C’est pas

pratique du tout. Nous avons beaucoup de fêtes. Les Philippins aiment beaucoup ça. Apprendre les

maths ici, c’est très bizarre. On n’a pas les mêmes techniques.

NOUVELLE EXPERIENCE…

pour ELOI :

Pour moi, la nouveauté est un pays : le Cambodge. Ce pays de 181 035 km2 de

superficie et d’environ 15 millions d’habitants. C’est un beau et grand pays malgré

son passé sanglant par les Khmers Rouges.

Et c’est par le centre EDM de Sisophon, petite ville dans le nord-ouest du

Cambodge, que l’aventure a commencé puisque je suis parti passer 10 jours là-bas.

Mais qu’est-ce qu’un centre EDM? Alors celui de Sisophon est un grand endroit rempli par une

dizaine de bâtiments plus ou moins gros. Ici, ce sont les jeunes de plus de 12 ans qui sont sélectionnés

(par rapport à leur niveau de pauvreté et leur niveau scolaire). Ils viennent au centre pour y vivre ou

pour recevoir des cours complémentaires le matin avant l’école et le soir après être allé en classe à

l’école du village juste à côté.

Je suis tout de suite accueilli à l’aéroport par le responsable du centre :

Martin Maindiaux , un grand homme qui se trouve depuis 17 ans dans ce

beau pays dont il a pris la nationalité. Il a une histoire digne d’un

homme de 100 ans tellement il a vécu d’aventures. Il est vraiment très

attaché au Cambodge et à ses jeunes du centre.

Sur la route, dans le gros pick-up, je regarde le paysage et commence à comparer le Cambodge aux

Philippines qui est le pays que je connais le mieux après la France. Je remarque rapidement de grandes

et de petites différences, comme par exemple dans le paysage : aux Philippines, les routes peuvent être

nombreuses et surtout on voit généralement le paysage envahit de palmiers, cocotiers et plantes en tout

genre mais au Cambodge, les palmiers sont manquants et le paysage est composé de rizières. Martin

m’explique qu’il y a eu une grande déforestation et que le problème continue de se faire sentir encore

aujourd’hui. Il me dit aussi qu’au Cambodge, c’est surtout une grande route qui traverse tout le pays et

que les autres routes sont généralement en terre battue.

L’arrivée au Centre est très sympathique et je fais la connaissance d’ autres jeunes. Je commence à

prendre le rythme de vie :

Les deux plus grandes difficultés furent les horaires, notamment des repas, qui étaient assez différents

de mes horaires habituels, c’est-à-dire beaucoup trop tôt (5h), un peu dur de s’adapter mais j’y parvins

... L’autre difficulté, fut la chaleur que je connaissais pourtant aux Philippines mais c’était surtout

difficile la nuit. Car même si la pièce était assez grande, nous étions beaucoup de jeunes à l’intérieur,

sans ventilateur, les ouvertures fermées pour ne pas faire entrer la lumière du jour. On dormait par

terre et à deux sous une moustiquaire. Cela donnait des nuits difficiles car impossible de s’endormir

avant 23 heures à cause de la chaleur et levé 5 heures du matin car les étudiants avaient leurs cours.

Une autre difficulté fut de retenir leurs noms car ils sont variés et assez difficiles à prononcer pour moi

donc je fis la technique de Martin : je leur donnais des surnoms ! Il y avait Agnan comme dans le petit

Nicolas car il voulait savoir tout sur tout, Monkey pour un autre car il bougeait partout.

Bref, un séjour pas de tout repos mais inoubliable, et à refaire avec plaisir.

.

NOUVELLE EXPERIENCE…

pour KOLBE :

La nouveauté pour moi cette année est d’avoir commencé du soutien scolaire avec les sœurs de Saint

Jean. Tous les vendredis, pendant 1 heure, j’aide un groupe de trois filles en mathématique (Eloi, lui,

s’occupe de 2 garçons). Ce sont les enfants du bario (bario = bidonville) qui habitent à côté de la

communauté. Je leur fais réciter les tables de multiplication, on fait des opérations. C’est vraiment

super, même si parfois les trois filles sont un peu coquines ; par exemple, quand j’ai le dos tourné,

elles se soufflent les réponses ou encore elles partent se cacher. La semaine dernière j’ai amené des

crêpes pour tout le monde car c’était mon anniversaire. Je crois qu’ils en mangeaient pour la

première fois. Ils ont tous commencé par lécher la confiture avant de les avaler. En tout cas, je suis

très content d’être avec les enfants et de faire ce nouveau service.

.

La phase de travaux de rénovation est à présent terminé. La bénédiction des bâtiments avec

l’inauguration du nouveau Student Developpement Center a eu lieu le 8 juillet avec l’ensemble

des amis d’Enfants du Mékong de Cebu. C’est une cérémonie importante aux Philippines qui réunit

tout le monde autour de la messe. Puis chacune des pièces est aspergée d’eau bénite tout en

allumant la lumière, la climatisation, laissant toutes portes grandes ouvertes afin de faire échapper

les esprits mauvais…

La rentrée universitaire de juin a permis d’accueillir nos étudiants dans ces nouvelles

infrastructures. La mise en place d’une part, d’une nouvelle organisation à travers un programme de

formation par année et d’autre part, l’établissement de règles de vie du centre de formation ont fait

l’objet de réflexion entre tous : équipe pédagogique, social workers, responsable de centre.

Ce travail d’équipe est, depuis début juin, le plus challengeant et le plus chronophage également. La

fine alchimie entre staff philippins composé d’une équipe d’anciens et de nouveaux, les volontaires

français avec le renouvellement de ces derniers en juillet. Bref, autant d’hétérogénéité qui met en

valeur la richesse des Hommes mais aussi la difficulté d’accepter d’évoluer et d’engager le

changement sans jamais perdre de vue que toute décision prise est pour le bien des étudiants. Le but

premier est de développer chez nos jeunes leurs compétences humaines, professionnelles,

communautaires avec pour objectif de leur permettre de devenir un « True Leader » autour des

valeurs suivantes :

Caractère, Compétence, Conviction.

Nouvel aménagement du centre… et nouveau bureau pour GONZAGUE

Espace conférences et événements

Salle informatique

Bureau du staff et des volontaires

Nouveaux enjeux…

Tout cela m’amène en cette fin d’année à assurer le renouvellement de trois de nos staffs qui avaient

en responsabilité le service des assistantes sociales et la fonction administrative et comptable des

quatre centres philippins. Nouveau défi qui, même si ces départs fragilisent l’organisation dans son

fonctionnement, sont une superbe opportunité d’insuffler une nouvelle dynamique. L’orientation

éducative que nous souhaitons apporter aux jeunes, est de les rendre responsable tout en définissant le

cadre : travailler sur un mode préventif plutôt que sur un mode répressif. Idéal éducatif, que nous

essayons aussi d’expérimenter avec nos enfants, éternel recommencement suscitant à la fois grandes

joies mais aussi déceptions.

Les rencontres de ces derniers temps nous ont confirmés que nous étions entourés de personnes

reconnaissantes de l’action d’Enfants du Mékong, avec une grande disponibilité pour nous aider à

renforcer notre action pour leur pays. De nombreuses compétences rencontrées m’ont permis de venir

suppléer certaines de mes incapacités professionnelles tant au niveau de la connaissance de la loi du

travail que de ma difficulté à comprendre la différence culturelle. Une aide par une responsable

d’association m’a été apportée pour définir la stratégie d’organisation d’EDM pour les années à venir

afin de rester en conformité avec la loi aux Philippines, spécifique aux ONG.

Cette dernière période traversée, non dépourvue de remise en question et de difficultés, m’aura montré

à quel point l’environnement dans lequel j’évolue, n’autorise pas le travail en solitaire. Les échanges

très réguliers avec les membres du Codir d’Asnières ont été un réel soutien dans les décisions à

prendre sur le terrain et dans l’ajustement des orientations structurelles. Je me suis donc approprié la

devise de Monseigneur Rey visitant les Philippines après le typhon Yolanda: « Alone you go fast,

together you go far ! » C’est tellement vrai ! C’est sur cette réflexion que ces derniers mois m’auront

montré également que le travail de mise en relation et de réseau aura permis de trouver des solutions

adaptées. Les priorités pour les prochains mois de la mission sont à présent fixées : recruter, faire

adhérer, libérer les initiatives dans le respect du cadre pédagogique fixé par EDM.

…Nouvelle casquette pour CLAIRE : Coordinateur de programme.

Davantage de terrain pour ma plus grande joie !

Je suis responsable en plus cette année de trois programmes EDM, deux aux environs de Minglanilla

(une grosse ville à environ 45 mn de Cebu) et un programme situé dans les « montagnes ».

Ces programmes ont pour responsable (« Project Leader » dans notre jargon) une sœur française : Sœur

Hélène qui est arrivée aux Philippines il y a 18 ans. Travailler avec elle est un vrai plaisir et est

l’occasion d’échanges passionnants, notamment sur la culture et l’éducation aux Philippines.

L’occasion surtout de côtoyer de plus près nos scholars (primaire et collège) et de mesurer toujours plus

l’action d’EDM sur le terrain.

Ci-dessous, un aperçu de mes programmes avec le soutien scolaire du samedi matin et la montée des

couleurs de la pré-school :

Ce dernier paragraphe resterait incomplet sans vous faire partager la joie que j’ai eu

de travailler avec Claire. Nous avons pu vivre ensemble la complémentarité du

couple et découvrir qu’elle pouvait s’exercer dans la mission tout en étant garant

l’un comme l’autre des domaines qui nous étaient confiés respectivement. La

dimension organisationnelle et managériale se mettant au service de l’orientation

pédagogique et éducative, d’où l’importance de travailler cette approche de façon

complémentaire. Il est certain que la vision et les axes de décision se sont montrés

plus faciles lorsque les points de vue s’unissent. Le travail en couple est pour cela

une belle opportunité à vivre et aussi à partager !

La mission «number 1» reste celle de coordonner la mise en place du Projet Pédagogique dans les

différents centres.

Nous travaillons depuis plusieurs mois sur le curriculum des formations. L’objectif de celui-ci est de

garantir à nos étudiants, durant leur période avec EDM, un certain nombre d'acquis et de connaissances.

La maîtrise et la qualité de ce contenu sont autant d’arguments pour leur permettre de le « revendre » en

tant que tel lors de leur intégration sur le marché du travail. Si l’inspiration a été celui du Cambodge pour gagner du temps, il nous appartient à présent de le

confronter au terrain philippin afin de l’adapter dans l’avenir au plus proche des besoins de nos propres

étudiants. L’objectif est d’uniformiser le contenu de notre formation par année et sur tous les centres,

nos étudiants étant dans nos centres pour une durée de 4 à 5 ans.

Ce curriculum est construit autour de trois piliers :

1 - Caractère « se construire soi-même » : ce pilier prend en considération

le développement personnel du jeune, à la fois physique, affectif, spirituel et

moral.

2 - Compétence « s’ouvrir au monde » : ce pilier prend en considération les

interactions entre le jeune et les personnes qui l’entourent ; comprendre le monde dans lequel il vit,

développer ses talents.

3 – Conviction « s’impliquer dans la société » : ce pilier prend en considération les rapports entre le

jeune et la société (accepter et s’adapter à ce monde, en vue de s’y impliquer).

Il s’agit donc d’une formation continue et supplémentaire à leur cursus d’étude. Ces training sont

dispensés en cours du soir ou le samedi. C’est parfois un véritable casse-tête car les emplois du temps

dans les universités philippines sont particulièrement « fantaisistes » : cours le samedi ou le dimanche

matin, tard le soir , …

Pour tout cela, j’ai la chance d’être particulièrement bien entourée et soutenue par Bérénice (Bambou)

puis Edwin (depuis cet été) mais surtout par Ravelyn qui a rejoint notre staff philippins il y a six mois

comme responsable du Training Center. Elle est passionnée de pédagogie et adhère à fond à notre projet.

Travailler avec elle est une vraie joie !

Nouveau statut : …maman de « Maïmaï » !

Ce pays qui grouille d’enfants à une relation à la vie et à l’enfant qui est absolument incroyable… et

donne vraiment à réfléchir !

… et aux Philippines c’est quelque chose, croyez moi ! Une

vraie star ! moi qui ai toujours autant de difficulté avec

l’anglais, elle est devenue mon meilleur ambassadeur. C’est

un véritable « appât » auprès de nos interlocuteurs et

partenaires, il n’est pas rare qu’ils nous demandent si Maïmaï

sera présente lors de tel ou tel événement.

D’autant qu’elle est née avec le sourire philippin. Difficile de

faire trois pas sans que les gens s’arrêtent et la prennent dans

les bras (le porte bébé est devenu un outil pour ne pas se la

faire enlever).

… la preuve en image :

… voilà tout ce qui fait le charme de notre quotidien !

Ce qui ne change pas et qui demeure !

Delly : notre chère « Yaya »

Jordan : Le copain mécano de Gonzague

Les sourires des enfants

La Foi partout …

… même dans mon omelette !

…les étrangetés ???!

Notre vendeur de légumes

???

Déjeuner dominical à St Jean

Jordan, notre voisin mécano Le sourire des enfants

Delly notre super nounou ???

…et qui dit nouvelle année dit …NOUVELLE PAGE DE COLLECTE

Pour ceux qui souhaiteraient poursuivre l’aventure et leur soutien pour notre mission:

http://bit.ly/ClaireetGonzague

Sentez-vous aussi très libre de la suspendre ou d’en faire bénéficier d’autres …le gouvernement n’ayant pas prévu, semble t-il, de baisser vos charges.

Quoi qu’il arrive, soyez infiniment remercié et que le Seigneur vous comble de ses bénédictions ! Et nous renouvelons pour chacun … anciens et nouveaux, notre soutien spirituel en la prière de

Saint Joseph.

« O glorieux Saint Joseph Chef de la Sainte famille de Nazareth Si zélé à pourvoir à tous ses besoins

Etendez sur ceux qui prient et soutiennent notre mission votre tendre sollicitude. Prenez sous votre conduite, toutes les affaires spirituelles et temporelles qui les concernent,

et faites que leurs issues soient pour la plus grande gloire de Dieu et le salut du monde. Amen

Même loin, nous n’oublions pas les soucis lourds à porter de beaucoup d’entre vous… C’est avec fidélité que nous les Lui confions quotidiennement.

En union de fidèle prière !

Avec toute notre affection

La Lestap’family