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DE LA MORPHOSYNTAXE A LA SÉMANTIQUE DES PRÉSENTATIFS EN FRANÇAIS CONTEMPORAIN UNE APERCEPTION FONDÉE SUR LA PROSE ROMANESQUE DE MONGO BETI M. DASSI 2003 LINCOM EUROPA

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DE LA MORPHOSYNTAXE A LASÉMANTIQUE DES PRÉSENTATIFSEN FRANÇAIS CONTEMPORAIN

UNE APERCEPTION FONDÉE SUR LA PROSEROMANESQUE DE MONGO BETI

M. DASSI

2003LINCOM EUROPA

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IABRÉVIATIONS ET SYMBOLE 4INTRODUCTION GÉNÉRALE 60.1. Des « parties du discours » avant le français 70.2. Des « parties du discours » du français 80.2.1. La convergence 80.2.2. La divergence 90.3. De l'aperçu historique des présentatifs 110.3.1. Problème de dénomination 110.3.2. Problème de définition 140.3.2.1. De la définition d'une classe ouverte 150.3.2.1.1. Par simple restriction sémantique 150.3.2.1.2. Par enracinement dans la phrase 160.3.2.1.3. Par assimilation de paradigmes 170.3.2.1.4. Par récupération des termes résiduels 170.3.2.2. De la définition d'une classe fermée 190.4. De l'hypothèse à la problématique 200.5. De la méthodologie 28

PREMIÈRE PARTIELE CADRE OPÉRATIONNEL 36

CHAPITRE PREMIER 37DU CORPUS 371. De la pertinence des échantillons littéraires 381.1. De l'homogénéité 381.2. De l'adéquation, de la représentativité et de l'exhaustivité 392. Détail des relevés exhaustifs 402.1. Dans Ville cruelle (1954) 412.2 . Dans Le Pauvre Christ de Bomba (1956) 422.3. Dans Mission terminée (1957) 442.4. Dans Le Roi miraculé (1958) 452.5. Dans Perpétue ou l'habitude du malheur (1979) 462.6. Dans Remember Ruben (1982) 472.7. Dans les Deux mères de Guillaume Ismaël Dzewatama, futur 48camionneur (1983) 482.8. Dans l'Histoire du fou (1994) 502.9 De la répartition de C'est, présentatif le plus fréquent 512.10 Tableau synoptique des relevés exhaustifs 532.11. De la densité 54

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CHAPITRE DEUX.DESPRÉCISIONS.MORPHOSYNTAXIQUES.CIRCONSCRIPTIVES.56

.1. Sur le segment c'est 57

.1 1. L'analysabilité de c'est 57

.1.1.1. De la structure c'est engageant un auxiliaire de mode 57

.1,1.2. De la structure* c'est + à + inf» 58

.1.1.3. La construction d'un temps composé à la voix active 59

. 1.1.4. La construction d'un temps composé à la voix passive 60

.1.2. C'est, morphème partie intégrante d'une locution 61

.1.2.1. C'est inclus dans le connecteur lexicalisé c 'est-à-dire 61

.1.2.2. C'est, morphème d'un introducteur d'interjection 62

.1.2.3. C'est, morphème d'une ponctuation énonciative forclusive 64

.1.2.4. C'est, morphème d'une locution d'éventualité 64

.1.2.5. C'est, dans le support d'une proposition conditionnelle 65

.1.2.6. C'est, morphème d'une locution pronominale indéfinie 66

.1.2.7. C'est., morphème d'une locution pronominale interrogative 68

.1.2.8. De l'exclamatif Qu'est-ce que 72

.1.2.9. De la structure est-ce que 73

.1.2.10. Des cas particuliers 80

.2. Sur le segment il est 92

.2.1. Le segment il est, analysable en Sujet + Verbe 92

.2.2. Le segment il est, partie intégrante d'une locution 95-

.2.2.1. Le concessif toujours est-il + Que phrase 95

.2.2.2. De la locution en être 96

.2.2.3. La structure être de + N (+ X) 98

.2.2.4. La structure être question 100

.3. Sur le segment il y a 102

.3.1. Note historique 102

.3.2. lly a, morphème d'une locution 103

.3.3. lly a employé avec un semi-auxiliaire ou un auxiliaire de mode 103

.3.4. « II y a » analysable 104

.3.5. Des substituts de il y a 105

.4. À propos de voilà 106

.4.1. Le morphème voilà, suivi des points de suspension 107

.4.2. Leponctuatif (et) voilà 107.4.3. Un mot sur le phatique Voilà 108.4.4. L'interjectif voilà 110.4.5. Des substituts de voici-voilà 111.5. Des emplois prépositionnels 112.5.1. Le cas de il va 112.5.\.\.IIya + GH 112.5.1.2. / /yo + GN + de + GN 114.5.1.3. Il y a + GN [temporel ]+ Phrase verbale 115.5.1.4. lly a +GN [temporel] + que /où +Phrase 116.5.2. Voici / voilà, prépositionnels 118.5.2.1. Voici/Voilà, en emploi simple 118.5.2.2. Assorti d'un corrélatif 119.6. Le point sur la démarcation entre les présentatifs et les 122

autres classes syntaxiques de la langue française 1221.6.1. La démarcation entre présentatif et conjonction 122

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1.6.2. La démarcation entre présentatifet verbe 123

DEUXIÈME PARTIELE PRÉSENTATIF « C'EST » 127

CHAPITRE TROISLE TYPE SIMPLE DU PRÉSENTATIF.« C'EST » 1281. De la présentation d'un groupe nominal 1291.1. De l'absence de détermination spécifique 1291.1.1. Le nom 1301.1.1.1. Le nom propre 1301.1.1.2. Le nom commun 130a. Constructions usuelles 130b. Constructions à caractère licencieux 1311.1.2. Le cas particulier du pronom 1321.1.2.1. C'est + pronom personnel 1321.1.2.2. C'est + pronom indéfini 1341.1.2.3. C'est + pronom démonstratif 135a. Non neutre 135b. Neutre ...1351.1.2.4. C'est + pronom relatif. 1381.1.2.5. C'est + pronom possessif 1391.2. De la présence de la détermination spécifique 1391.2.1. L'exophorique « c'est» 1391.2.1.1. Le temps 139a. En pleine séquence textuelle 140b. En début de paragraphe ou de longue séquence 140c. En début de chapitre 1401.2.1.2. L'espace ou l'objet-espace 1411.2.1.3. L'événement 1411.2.2. L'endophorique « c'est » 1421.2.2.1. De l'insertion d'un élément entre le présentatif. 142et le terme présenté 142a. L'insertion d'espèces hétérogènes 143b. L'insertion d'un pronom 1431.2.2.2. La présentation directe 149a. Le représentatif « c'est » dans la phrase 149b. L'interséquentiel endophorique « c'est » 1522. De la présentation d'un groupe adjectival 1572.1. Question de typologie 1572.1.1. C'est + G.Adj qualificatif 1582.1.2. C'est + pseudo-adjectifs 1592.2. Du fonctionnement de « c'est + GAdj. » 159

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2.2.1. L'intraphrastique endophorique « c'est + G.Adj » 1592.2.1.1. C'est + G.Adj + TA 159a. Le terme antécédent est une phrase 160b. Le TA est une relative substantive , 160c. Le terme antécédent est un GN 1612.2.1.2. TA + C'est + G.Adj 163a. De la nature à la typologie du terme antécédent 163b. De la jonction entre TA et « C'est + G.Adj. » 1632.2.2. De l'interphrastique « C'est + G.Adj » : la mise en discours 165a. Du présentatif « c'est » exophorique dans « c'est + G.Adj» 165b. Du présentatif « est » endophorique dans « c'est + G.Adj. » 1652.2.3. Question de généricité 1662.2.4. De l'incise « C'est + G.Adj » 1672.2.5. De l'exophorique « C'est + G.Adj » 1673. De la présentation d'un G.Adv 1683.1. Des données statistiques 1683.2. De la typologie du G.Adv 169a. L'axiologique 170b. Le spatio-temporel 171c. Leconstatif. 1714. De la présentation d'un groupe infinitival 1724.1. Du mode de présentation d'un groupe infinitival 1724.1.1. De l'insertion d'un modalisateur 1734.1.2. De la présentation sans modalisateur 1734.2. De la connexion anaphorique 1734.2.1. De la connexion immédiate : TA + c'est + inf. 1734.2.2. De la connexion médiate : TA + X + C'est + G.Inf. 1755. De la présentation d'un groupe prépositionnel 1765.1. Des données statistiques 1765.2. Mise au point 1775.2.1. Cas du gérondif 1775.2.2. Cas particulier de la locution adjectivale 1775.3. Présentation d'un GP introduit psi pour 1785.3.1. C'est + Pour + GN 1785.3.1.1. La connexion d'un complément d'intérêt et/ou de destination 1785.3.1.2. La présentation d'un CCt 1795.3.2. C'est + pour + G.Adv 1805.3.3. C'est + pour + G.Inf. 180a. Relation Objet/Destination 180b. Relation Procès/Procès 181c. L'emphatique « c'est + groupe infinitival » 1815.4. De la présentation d'un GP introduit par « de » 1825.4.1. C'est + de + GN 182

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a. Relation d'un Procès (TA) à une origine-cause (TP) 182b. Relation d'un Procès (TA) à un intérêt-motif (TP) 183c. Relation d'un Procès (TA) à une manière (TP) 1835.4.2. C'est + de + G.Inf. 1845.5. Présentation d'un GP introduit par à 1875.6. Présentation d'un GP introduit par « dans » 1875.7. Présentation d'un GP introduit par « pendant » 1885.8. Présentation des GP introduits par des hapax legomena 1895.9. Présentation d'un GP introduit par une locution 189prépositionnelle 1895.9.1 C'est + à partir de + GN 1895.9.2. C'est + à cause de + GN 1906. De la présentation d'une phrase 1916.1. Présentation par l'entremise de pronoms relatifs 1916.1.1. Présentation des relatives introduites par la base « Que » 1926.1.1.1. C'est + ce que + phrase 192a. Du choix de l'ordre des segments de l'énoncé 192b. De la concurrence entre « c'est ce que » et un pronom de reprise 1956.1.1.2. De la comparative à la relative substantive 1996.1.2. Présentation d'une relative introduite par 200les bases « qui », « dont » et/ou « où » 2006.1.2.1. Les relatives introduites par la base « qui » 200a. La base « qui » affectée du trait [- humain] 200b. La base qui affectée du trait [+ humain] 201b2. La structure « c'est pro. qui » 2026.1.2.2. Les relatives introduites par les bases « dont » et « où » 202a. La base « dont » 202b. la base « où » 2046.1.3. De la modulation de la portée démonstrative de « c'est » 204introduisant une relative substantive 2046.1.3.1. Le terme inséré se soude au présentatif 2056.1.3.2. Le terme inséré est un complément de phrase 2076.2. Présentation d'une phrase par l'entremise d'un morphème 209conjonctif 2096.2.1. C'est + Que + Phrase 2106.2.1.1. GN +C'est + Que + phrase 2106.2.1.2. « Phrase + C'est + Que + Phrase » à valeur causale 212a. « C'est » équivalant à « parce que/puisque » 212b. « C'est » équivalant à « étant donné que », « vu que », 213« considérant que » 213c. « C'est que » précédé des deux points 214d. De certains emplois subtils 215e. « C'est que » équivalent de « et pour cause » 215

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f. « C'est + Que + Phrase » en réponse à une question 216g. « C'est que » équivalant aux deux points 2166.2.2. C'est + comme (si) + Phrase 2176.2.2.1. La conjonction « comme » 217a. C'est + comme + GN 217b. C'est + comme + GP 219c. C'est + comme + Phrase (verbale) 2206.2.2.2. Le duo « comme si » 2216.2.3. Les jalons « parce que », « pourquoi » et « pourvu que » 2216.2.3.1. La paire « c'est parce que » // « c'est pourquoi » 222a. Le segment « c'est parce que + phrase » 222b. Le segment « c'est pourquoi + phrase » 2236.2.3.2. Le segment « c'est pour que » 2236.2.4. Les bases « quand », « avant que » et « au moment où » 2246.2.5. De l'insertion d'un modulateur entre le présentatif « c'est » 225et la subordonnée conjonctive 225a. Renforcement du présentatif 226b. Adverbe et locution adverbiale d'atténuation 226c. L'insertion à valeur explétive ou exubérante 227

CHAPITRE QUATRELE TYPE « CEST...MC... » 2311. Mise au point 2321.1. Du présentatif discontinu voilé (?) 2321.1.1. De l'ellipse du morphème corrélatif (?) 2331.1.2. De l'usage du participe présent synthétique dans le TP 234a. Le participe présent précédé d'un complément déterminatif 234b. Le participe présent précédé du GN, base du terme présenté 2351.1.3. Du jeu de certains morphèmes concurrentiels 2361.1.4. De l'accord du participe passé dans le segment « Me + Y » 2371.2. Présentatif discontinu et relativisation 2381.2.1. De la relative apposée 2381.2.2. De la relative déterminative 2401.2.2.1. C'est+ TP, TA 2411.2.2.2. C'est + TP 2411.2.3. De la relative épithète 2431.3. Une préposition vide, morphème corrélatif de « c'est » 2431.3.1. C'est + GAdj + Prép + GInf 2441.3.1.1 « C'est + (GAdj + à + GInf) » ou « C'est + TP » 2441.3.1.2. C'est +GAdj + Mc(de) + GInf 2451.3.2. C'est +GP + Mc(de) + GInf 2461.3.2.1. Un pronom au centre du GP 2461.3.2.2. Un nom au centre du GP 246

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1.3.3. C'est + GN + Mc.prép + GInf 2481.3.3.1. Le corrélatif « de » 2481.3.3.2. Le corrélatif» à » 2491.4. « C'est » et les intensifs 2501.4.1. « C'est » dans un système exclamatif hypotactique 2501.4.2. De la présentation d'un système comparatif 2521.4.2.1. La présentation de la comparaison simple 2521.4.2.2. La présentation de la comparaison à valeur superlative 2522. Étude des formes canoniques 2542.1. La discontinuité au moyen d'un relatif 2542.1.1. De la discontinuité au moyen de « qui » 2552.1.1.1. L'encadrement d'un nom (assorti de ses déterminants) 255a. Le nom propre 255b. Le nom commun 256c. Du cas particulier des pronoms 2612.1.1.2. De l'exubérance dans l'insistance désignative 2652.1.2. De la discontinuité au moyen de « que » 2682.1.2.1. L'encadrement d'un nom assorti de ses déterminants 268a. Le présentatif est exophorique 268b. Le présentatif est anaphorique 2692.1.2.2. L'encadrement d'un pronom 271a. Le pronom indéfini 271b. Le pronom démonstratif. 2712.1.3. De la discontinuité au moyen de « dont/où » 2742.1.3.1. La discontinuité par « dont» 274a. L'extraction d'un complément d'objet 274b. L'extraction d'un complément du nom 2752.1.3.2. La discontinuité par « où » 277a. L'extraction du complément circonstanciel de lieu 277b. L'extraction du complément circonstanciel de temps 278c. L'extraction d'un attribut 2792.1.4. De la discontinuité par « (prép +) lequel » 2802.2. De la discontinuité au moyen d'un conjonctif 2822.2.1. X et Y différents dans « c'est + X +Mc(conj) + Y » 2832.2.1.1. L'extraction d'un GP 2832.2.1.1.1. L'extraction d'un GP introduit par « à » 285a. L'extraction d'un GP complément à valeur locative 285b. L'extraction d'un GP complément à valeur temporelle 286c. L'extraction d'un GP objet simple indirect 287d. L'extraction d'un GP objet second 2882.2.1.1.2. L'extraction d'un GP introduit par « pour » 2892.2.1.1.3. L'extraction d'un GP introduit par « de » 2932.2.1.1.4. L'extraction d'un GP introduit par « dans » 296

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2.2.1.1.5. Extraction d'un GP d'accompagnement introduit par « avec » 2982.2.1.1.6. Des cas hétérogènes 2982.2.1.1.7. Du cas particulier des pronoms personnels 3012.2.1.2. L'extraction d'un GAdv 303a. L'extraction du GAdv à valeur de manière 304b. L'extraction du GAdv à valeur de lieu 310c. Extraction du GAdv à valeur de temps 3122.2.1.3. L'extraction du groupe adjectival 313a. De la mise au point sur la nature du discontinu « c'est... que-conj » 315b. De l'usage du présentatif sans transformation 316c. De l'usage avec transformation 3172.2.1 A. L'extraction des segments irrégulièrement répartis 318a. L'encadrement du groupe nominal 318b. L'encadrement de la proposition subordonnée 319c. L'encadrement du gérondif 320d. L'encadrement du participe 321e. Le curieux encadrement de la conjonction adverbiale « donc » 3212.2.2. X et Y équivalents dans « C'est + X + Me + Y » 3212:2.2.1. C'est + X + que + Y 322

a. Le terme X est un GInf 322b. Le terme X est un GN 3232.2.2.2. « C'est + X + que de/de + GInf» 324

CHAPITRE CINQ 328DE LA FORME PSEUDO-CLIVÉE.« Mi... C'EST... » 3281. Des données statistiques 3292. Du morphème relatif introducteur 3302.1. Du passage de « c'est... Me... » à « Mi..., c'est... » 3302.2. Le discontinu « ce que..., c'est... » 3312.2.1. L'aboutissement a une base infinitivale 3322.2.2. L'aboutissement a une base propositionnelle 3332.2.3. L'aboutissement a une base nominale 3342.2.4. L'aboutissement a pour base un groupe prépositionnel 3362.3. Du discontinu « ce qui..., c'est... » 3372.3.1. L'aboutissement a une base nominale 3372.3.2. L'aboutissement a une base infinitivale 3372.3.3. L'aboutissement a une base propositionnelle 3392.3.4. Du fonctionnement du relais 340a. Mi-rel...Rl...R(l+n)..., c'est 340b. Mi-rel...,c'est...Rl...R(l+n) 3412.4. Le discontinu « ce dont..., c'est... » 3422.5. De la complexification du morphème introducteur relatif. 3432.5.1. L'aboutissement est un terme phrastique non-propositionnel 344

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2.5.2. L'aboutissement est une subordonnée complétive par Que 3453. Du morphème conjonctif 3453. 1. Le morphème introducteur-conjonctif « si » 3453.1.1. Rapport entre une phrase et un segment intraphrastique 3463.1.1.1. Le discontinu « si..., c'est... » contraignant 346a. Le prédicat a pour base un GN 346b. L'aboutissement a pour base un GAdj, un GAdv ou un gérondif. 3483.1.1.2. Le discontinu « si..., c'est... », facultatif 3493.1.2. Rapport entre deux phrases 3503.1.2.1. « Si..., c'est.. », en phrase complexe 3513.1.2.2. « Si..., c'est que... », ligature de deux phrases juxtaposées 3523.2. De la structure « si..., c'est... Me... » 3533.3. De la structure « Si..., ce que..., c'est... » 3553.4. Le morphème introducteur-conjonctif « Quand » 3563.4.1. « C'est » introduisant un segment averbal 3563.4.2. « Quant » et « c'est » introduisant des phrases verbales 357ou verbo-nominales 3573.4.2.1. « C'est » suivi du nominalisateur « que » 3573.4.2.2. « C'est » suivi d'un subordonnant 3583.5. De certains hapax particuliers 3593.5.1. À travers la mise en prédicat d'un terme phrastique 359a. Une proposition averbale 359b. Une proposition verbale 3603.5.2. A travers l'enchâssement de deux phrases initialement juxtaposées 360

TROISIÈME PARTIEDES PAIRES CONCURRENTIELLES 363DE PRÉSENTATIFS 363

CHAPITRE SIX 364DE LA PAIRE « IL Y A / IL EST » 3641.1. Du type simple « il y a + TP » 3661.1.1. Des constructions rarissimes 3671.1.1.1. « II y a » + adverbe 3671.1.1.2. « II y a » + groupe adjectival 3681.1.1.3. « II y a » + « à + GInf » 3691.1.2. Le terme présenté est un groupe nominal 3701.1.2.1. Présentation dans un cadre exprimé 3701.1.2.1.1. L'ancrage est temporel 3711.1.2.1.2. L'ancrage est mixte 371a. La condition et le temps, simultanément 371b. Le temps et le lieu, simultanément 3721.1.2.1.3. Ancrage au moyen d'un locatif. 372

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a. Le lieu circonscrit ou déterminé 373b. Le lieu approximatif. 375c. Du cas spécifique de l'adverbe « là » 3751.1.2.1.4. Ancrage dans l'universel 3761.1.2.2. De la présentation absolue du groupe nominal 3771.1.2.2.1. Le terme présenté est spécifiquement déterminé 3771.1.2.2.2. Le terme présenté n'est pas spécifiquement déterminé 381a. Le terme introduit est un nom propre 381b. Le terme introduit est un nom commun 3821.1.2.2.3. Du cas spécifique de la présentation d'un pronom 383a. Le pronom indéfini 383b. Le pronom relatif 383c. Le pronom personnel •. 3871.1.3. De l'insertion entre « il y a » et le terme présenté 3911.1.3.1. Insertion d'un adverbe modulateur 391a. À valeur de renchérissement 391b. À valeur atténuative 393c. À valeur consécutive 3941.1.3.2. Insertion d'un circonstant locatif et/ou temporel 3941.2. Du type discontinu « il y a ... Me... » 3971.2.1. Du passage du type simple au type discontinu 3971.2.1.1. De la relative apposée ou coordonnée expansion d'un déterminé 3991.2.1.1.1. De la relative coordonnée 399a. De la discontinuité envisagée comme effective 399b. De la discontinuité bloquée 4001.2.1.1.2. De la relative apposée 4011.2.1.2. De la mise en facteur commun de la racine» il y a » 4021.2.1.3. De l'intégration d'un morphème corrélatif 403d'origine prépositionnelle 4031.2.1.3.1. Du segment « à + Inf» 4031.2.1.3.2. Du segment « pour + GInf » 4041.2.1.3.3. Du segment « de + GAdj » 4051.2.1.4. Du segment « participe présent + compléments) » 4061.2.1.5. De la complétive déterminative 4061.2.2. « II y a » et ses morphèmes classiques de discontinuité 4071.2.2.1. Le binôme « il y a ... dont... » 4091.2.2.2. Le binôme « il y a... où... » 4091.2.2.3. Le binôme « il y a... que... » 4101.2.2.3.1. Le terme présenté subit une transformation 4111.2.2.3.2. Le terme présenté conserve sa forme initiale 4111.2.2.4. Le binôme « il y a ...qui... » 4131.2.3. De l'association de deux morphèmes corrélatifs 415de formes différentes 415

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1.2.4. Des structures apparentées aux clivées 416. Le type simple 418.1. La présentation d'un groupe nominal 418.1.1. L'expression du temps ou de la datation 418.1.2. L'expression d'une entité non chronologique 419.2. La présentation d'un adjectif (?) 419

2.2.2.2.2.2.2. Le type discontinu du présentatif « il est » 4212.2.1. Morphème de discontinuité d'origine prépositionnelle 4212.2.1.1. « Pour » comme morphème de discontinuité 4212.2.1.2. « De » comme morphème de discontinuité 4232.2.1.2.1. Le terme encadré est un nom 4232.2.1.2.2. Le terme encadré est un adjectif qualificatif 423a. Encadrement sans insertion d'un datif 424b. Encadrement avec insertion d'un datif 4252.2.2. Morphème de discontinuité d'origine conjonctive 4272.2.2.1. Dans la combinaison « il est + Adj. + Me + Phrase » 4272.2.2.2. De la concurrence entre « il est ...que... » et « c'est...que... » 4292.2.2.3. De la combinaison « il est + GN + Me + GV » 4312.2.2.3.1. « II est » commutable avec « il y a » 43.12.2.2.3.2. Mise en relief d'un déictique temporel 431

CHAPITRE SEPT 435DE LA PAIRE « VOICI/VOILÀ » 4351. De la forme simple de « voici/voilà » 4371.1. De la présentation du groupe nominal 4371.1.1. Le groupe nominal est exophorique 4371.1.2. Le groupe nominal est endophorique 4391.1.3. De l'équatif dans la présentation d'un groupe nominal 441a. GN — V o i l à — G N 441b. GInf—Voilà — GN 442c. Gérondif—Voilà—GN 443d. Pro —Voilà — G N 443e. Question — Voilà — GN 4441.2. De la présentation d'une relative substantive 4461.2.1. De la présentation intraphrastique 446a. De la présentation d'un régime de présentatif. 447b. De la présentation d'un attribut du sujet 448c. De la présentation d'un complément d'objet direct 448d. De la présentation d'un complément d'objet premier 449e. De la présentation d'un groupe infinitival 4501.2.2. De la présentation interphrastique 4511.2.2.1. Voici + relative substantive 4521.2.2.2. Voilà + relative substantive 453

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a. Renchérissement d'une question 453b. Renvoi au discours rapporté 453c. Présentation d'une inférence ou d'une identité 4541.2.2.3. De la combinaison « voilà qui » 455a. « Voilà qui », intraphrastique 455b. « Voilà qui », interphrastique 4571.3. « Voici-voilà » dans une structure interrogative implicite 4581.3.1. De la valeur interrogative de « voici/voilà + rel. subst. » 4581.3.2. « Voici-voilà » + élément interrogatif ((+GN)+ (Phrase)) 4591.3.2.1. Présentation 459b. La base « pourquoi » 460c. La base « prép + quoi » 461d. La base « prép + quel » + GN 4611.3.2.2. Valeurs de voici/voilà+ elt.interr(+phrase) 4631.3.2.2.1. De la valeur rétrospective 463a. La séquence revalorisée est intra-phrastique 464b. La séquence revalorisée est supraphrastique 4641.3.2.2.2. De la valeur prospective 4671.4. De la structure « voilà-voici que » 4701.4.1. De l'intraphrastique « voilà que » 4711.4.2. La structure « Énoncé — voici-voilà que + phrase » 4721.4.2.1. L'emphase sur le contraste 4721.4.2.2. L'emphase sur la caractérisation 4731.4.2.3. L'emphase sur un constat d'itération ou d'inchoatif 475a. Le constat d'inchoatif. 475b. Le constat d'itération 4761.4.2.4. L'emphase sur l'ajout (d'un élément nouveau) 4761.4.2.5. De la structure « GN[+topique] — voilà que phrase » 4781.5. Du phatique « voilà » 4821.5.1. « Voilà » suivi du point 4821.5.2. « Voilà » suivi d'une virgule 4831.5.3. « Voilà » suivi des deux points 4831.6. De « voici » et « voilà » comme présentatif pro-verbaux 4861.6.1. « Voici » et « voilà », auxiliaires ? 487a. Schéma 1 : Pro + Voilà+Gpp/GInf 487b. Schéma 2 : Voici/voilà + Gpp + GN 4881.6.2. « Voici » et « voilà », copules verbales ? 489a. Schéma 1 : Voici + GN + Attribut 490b. Schéma 2 : Pro + Voici-voilà + attribut 4901.6.3. « Voici » et « voilà », des verbes pleins ? 4921.7. De la valeur déictique des présentatifs « voici » et « voilà » 493à régime pronominal 4931.7.1. Voici-voilà + pronom indéfini 493

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1.7.2. Voici-voilà + pronom relatif 4941.7.2.1 « Voici » et « voilà », présentatifs de mise en discours 4951.7.2.2. « Voici » et « voilà », connecteurs d'enchâssement 4961.7.3. Voici-voilà + pronom personnel 4971.7.3.1. Du rapprochement affinitaire entre présentatif et pronom 4971.7.3.2. D'une sélection pragmatique du présentatif à régime pronominal 4981.7.3.2.1. Le régissant « voici » 4981.7.3.2.2. Le régissant « voilà » 4991.7.3.2.3. Des présentatifs « voici » et « voilà » associés au morphème « en »503a. Le pronom « en » comme régime de « voici-voilà » 503b. L'explétif « en » devant « voici-voilà » 5031.8. Au sujet de la présentation d'un GP par « voici-voilà » 5051.9. De la boucle de séquence narrative « voici » et « voilà » 5052. De la forme discontinue de « voici-voilà » 5072.1. Mise au point 5082.1.1. De l'infinitif prépositionnel 5082.1.2. Du groupe participial 5082.1.3. De la combinaison « pro.pers. + voilà + qui +GV » 5102.2. Des morphèmes de discontinuité de « voilà » 5122.2.1. « Voici-voilà » et les corrélatifs peu fréquents 5132.2.1.1. Voici-voilà... auquel 5132.2.1.2. Voici-voilà...dont 5142.2.1.3. Voici-voilà... où 5152.2.2. « Voici-voilà » et les corrélatifs les plus fréquents 5172.2.2.1. Voici-voilà... qui 517a. De l'absence totale de modification 517b. De l'insertion avec modification du terme encadré 518c. De la transformation des déterminants spécifiques 5182.2.2.2. Voici-voilà... que 521a. Encadrement du groupe nominal sujet 521b. Encadrement du groupe nominal objet direct 522c. Encadrement du groupe nominal objet second 522d. À propos du nom propre précédé d'un déterminant spécifique 524

QUATRIÈME PARTIEDE LA VARIATION DES.PRÉSENTATIFS 527

CHAPITRE HUITDE L'INFLUENCE DES.CATÉGORIES GRAMMATICALES 5281. De la variation en genre et en nombre 5291.1. De la variation en genre 5301.2. De la variation en nombre 5301.2.1. C'est + pronom 531

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.2.

.2.

.2.1.2..2.

.1. De la genèse du problème 531

.2. De l'accord de c 'est à régime pronominal 532

.2.1. De l'accord avec le pronom possessif. 532

.2.2 De l'accord de c'est avec le pronom personnel 534

.3. De l'accord de c 'est à régime nominal 5353.1. C'est au pluriel 535

a. Le pluriel dans la combinaison « C'est + TP » 536b. Le pluriel avec le présentatif « C'est... Me... » 537bl. Du Me d'origine conjonctive .• 538b2. Du Me d'origine relative 5381.2.1.3.2. De l'hésitation chez Mongo Beti 5391.2.1.3.3. C'est au singulier 541a. De la topicalisation 541b. De l'apposition explicative 542c. De la mise en facteur commun de C'est 542d. De la formule oratoire 543e. De la modal isation adverbiale 544f. De la combinaison simple « C'est + adj.num.card. + N » 545ou « C'est + N » 5452. De la variation en temps et en mode 5452.1. De la variation du discontinu C'est... Me. 5462.1.1. Comment et pourquoi le subjonctif avec C 'est ? 5462.1.1.1. De l'introducteur de la proposition subordonnée 5462.1.1.2. Du sémantisme de la proposition principale 5482.2. De l'emploi de C'est pour Voilà 5482.3. De la variation de il y a : l'emploi du subjonctif 5492.3.1. Le respect d'une servitude grammaticale 5502.3.2. De la concordance de temps 5502.3.3. De l'expression d'une subjectivité 5512.3.4. Du mode indicatif 5522.3.5. De l'emploi de il y a pour voilà 554

CHAPITRE NEUFDE L'INFLUENCE DES MODALITÉS.D'ÉNONCIATION 557I. De l'influence de la forme négative ancrée.dans la modalité déclarative 5581.1. Leprésentatifc'e.rfet la forme négative 5581.1.1. La négation exceptive 5581.1.2. De la réfutation 5611.1.2.1. De la forme simple « ce n'est pas (+ TP) » 5611.1.2.2. De la forme discontinue « Ce n'est pas... Me... » 5631.2. Le présentatif» il y a » et la forme négative 5661.2.1. De la négation exceptive 5661.2.1.1. De la forme simple « il n'y a que » 566

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1.2.1.2. De la forme discontinue « il n'y a que... Me... » 5681.2.1.2.1. De la construction d'un équatif. 5681.2.1.2.2. De la sélection du thème par rapport au prédicat 5691.2.1.2.3. De l'influence du présentatif sur le temps et le mode verbaux 5701.2.2. De la réfutation au moyen du présentatif d'existence 5721.2.2.1. De la remise en question de l'exceptif 5721.2.2.2. De la structure « il n'y a pas » 5731.2.2.3. De la structure « il n'y a plus » et les autres corrélatifs de « ne » 5752.1. Voilà-Voici interrogatif 5782.1.1. Du point d'interrogation comme marqueur 579de la modalité interrogative 5792.1.1.1. De la présentation d'un régime direct associé à une fonction 579non transitive 5792.1.1.2. De la présentation d'un régime direct associé à un attribut 5802.1.2. De l'inversion « (ne) voilà-t-il pas que » 5802.1.2.1 « (Ne) voilà-t-il pas que », explétif archaïsant 5802.1.2.2. « ne voilà-t-il pas que », adversatif archaïsant 5812.2. « 11 y a » interrogatif 5832.2.1. Des problèmes d'identification 583.2.2.1.1. D'un cas d'appropriation sociolectale 5832.2.1.2. De la concurrence entre modalités : l'interrogation et l'exclamation ..5842.2.2. De l'interrogation directe 5862.2.2.1. « « Y a-t-il » + TP » 5872.2.2.2. « TP + « Y a-t-il » » 5872.2.2.3. « TP + « II y a » » 5882.2.3. De l'interrogation indirecte 5892.2.3.1. De l'absence de subordonnant 5892.2.3.2. De l'emploi d'un subordonnant 590a. De l'ignorance à l'interrogation 591b. De l'interrogation dans une hypothèse 592c. De l'interrogation caténale 5922.3. Le présentatif « c'est » 5932.3.2.3.2.3.2.3.2.3.2.3.

. De l'interrogation latente 593

.1. De l'exclamation à valeur interrogative 593

.2. De la déclaration à valeur interrogative 5951.2.1. La construction indirecte 596.2.2. Le schéma direct 597

1.3. L'auto-questionnement 5972.3.2. De l'interrogation indirecte (classique) 5992.3.2.1. De la dislocation du schéma classique 5992.3.2.2. Du schéma classique de l'interrogation indirecte 6002.3.2.3. De l'interrogation pré-supposée ou sous-entendue 6012.3.3. Des schémas classiques de l'interrogation directe 602

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2.3.3.1. Du point d'interrogation 6022.3.3.1.1. L'importance du point d'interrogation 602a. De la forme simple 602b. De la forme discontinue 6032.3.3.1.2. De l'usure du point d'interrogation 6032.3.3.2. De l'inversion interrogative 6062.3.3.2.1. Le présentatif de type simple 6062.3.3.2.2. Le présentatif de type discontinu 6072.3.3.3. De l'outil « est-ce que c'est » 6082.3.3.4. De l'outil « n'est-ce pas » 6092.3.3.4.1. Forme simple 609a. N'est-ce pas + GAdj/GN 609b. Phrase + N'est-ce pas 6102.3.3.4.2. Forme discontinue 611

CONCLUSION GÉNÉRALE 615BIBLIOGRAPHIE 623TABLE DES MATIÈRES 646