création 2013/2014 qui perd gagne · de groupes de chanson française et accompagne dans leur ......

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Philippe Sizaire Création 2013/2014 Qui perd gagne Peut-être parce que je viens de passer le tournant des 50, et que je me rends mieux compte qu’on ne gagne jamais qu’à la mesure de ce qu’on est disposé à perdre … et que de toutes façons, on n’a pas le choix ! Peut-être parce que j’aime l’instant dans les histoires où l’air de rien tout bascule, se renverse, s'évanouit, se transforme, meurt et renaît autrement. Peut-être parce que j’aime la cruauté dans les contes. Peut-être parce que j’ai une tendresse dans les histoires autant pour les personnages mal partis qui arrivent bien, que pour ceux dont la fortune connaîtra son revers. Peut-être parce que la vie est affaire de trésors perdus, une histoire perdue d’avance mais que l’on gagne à ne pas perdre tout à fait. Je vous offre cette dizaine de nouvelles histoires, ce « Qui Perd Gagne » qui, j’espère, vous fera rire, vous posera quelques questions et, surtout, laissera une trace dans votre mémoire. Durée : 1h15 / Public : adultes et plus de 8 ans. Programme des autres spectacles dans cette plaquette. MERCI A ELODIE RETIERE POUR REGARD AMICAL, STIMULANT ET EXIGEANT SUR MON TRAVAIL DEPUIS 10 ANS MAINTENANT.

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Philippe Sizaire

Création 2013/2014Qui perd gagne

Peut-être parce que je viens de passer le tournant des 50, et que je me rends mieux compte qu’on ne gagne jamais qu’à la mesure de ce qu’on est disposé à perdre … et que de toutes façons, on n’a pas le choix !

Peut-être parce que j’aime l’instant dans les histoires où l’air de rien tout bascule, se renverse, s'évanouit, se transforme, meurt et renaît autrement.

Peut-être parce que j’aime la cruauté dans les contes.

Peut-être parce que j’ai une tendresse dans les histoires autant pour les personnages mal partis qui arrivent bien, que pour ceux dont la fortune connaîtra son revers.

Peut-être parce que la vie est affaire de trésors perdus, une histoire perdue d’avance mais que l’on gagne à ne pas perdre tout à fait.

Je vous offre cette dizaine de nouvelles histoires, ce « Qui Perd Gagne » qui, j’espère, vous fera rire, vous posera quelques questions et, surtout, laissera une trace dans votre mémoire.

Durée : 1h15 / Public : adultes et plus de 8 ans.

Programme des autres spectacles dans cette plaquette.MERCI A ELODIE RETIERE POUR REGARD AMICAL, STIMULANT ET EXIGEANT

SUR MON TRAVAIL DEPUIS 10 ANS MAINTENANT.

Résumé biographique :

Parolier de chansons (entre autres pour Serge Reggiani), journaliste littéraire (pour les revues Le Matricule des Anges, Prétexte, Le Nouveau Recueil), Philippe Sizaire crée en 2002 la compagnie nantaise aiMe les mots dits (conte, théâtre, chanson), qui sera accompagnée et soutenue dans ses projets par la Ville de Nantes, le Conseil Général, la Maison de la Culture de Loire-Atlantique, le CROUS, et les Services Culturels de l’Université.Depuis 2006 il est itinérant, entre Toulouse, Bruxelles, Nantes, Paris, Lorraine, Québec.La Ville de Toulouse le soutient dans sa création 2012 pour le festival Rio Loco.

Depuis 2002, il a écrit une dizaine de spectacles pour lui et pour les autres, en conte, théâtre et chanson. Il anime des chantiers de paroles interculturels, lance en France, en Suisse, en Belgique et au Québec avec le duo Zmala les projets « Contes en bal » (mêlant contes, chanson, et bal dans la tradition du mouvement de renouveau folk des années 1970) et développe chez l’habitant ses « Contes Sans Domicile Fixe » (soirées souvent participatives qui ramènent le conte dans la maison), il signe la mise en scène de groupes de chanson française et accompagne dans leur mise en jeu et leur projet artistique plusieurs conteurs et conteuses émergents.

Formateur, il développe au fil des années une méthode de pédagogie du conte originale, qui met l'accent sur la mise en jeu/je de l'apprenti-conteur dans son art.Il anime actuellement chaque année une quinzaine de formations courtes ou àplus long terme, en partenariat avec des structures publiques (formateurauprès de Centres Culturels Français à l’étranger, de BibliothèquesDépartementales de Prêt, de la Maison de la Culture de Loire-Atlantique, duCROUS et de l’Alliance Française), de théâtres, d’associations, de particuliers.Il organise ses propres stages ainsi que des « chantiers de paroles », et des ateliers « Le français par le conte » destinés à des publics en apprentissage de la langue française, ou en quête d'un rapport plus confiant avec la langue dite « maternelle » …

Il développe sa pratique artistique en s'initiant au Jinen Butoh avec le chorégraphe japonais Atsushi Takenouchi, et en travaillant le langage du corps sous la direction de la danseuse et chorégraphe Alphéa Pouget.

Entre 2002 et 2013 ses spectacles sont joués plus de 700 fois en festivals, théâtres, cafés, salles diverses, écoles, bibliothèques, maisons, appartements, en France, Belgique, Suisse, Allemagne, Roumanie, Pologne, au Mexique, ainsi qu'au Québec, au Danemark et au Montenegro.

Philippe Sizaire conte en français, en anglais et en espagnol.

« Philippe Sizaire est la sensibilité même. Ce jeune homme intelligent donne à ses idées l’émotion des mots qui sortent droit du cœur.

S’il a longtemps tardé à exprimer son très grand talent dans une dimension scénique, sa timidité en était seule responsable ...

Il est heureux pour lui - et surtout pour vous - qu’il soit parvenu à la dépasser et qu’il puisse produire désormais en public toutes les facettes

de sa personnalité si attachante et ses incontestables qualités d’auteur. »

Claude Lemesle, parolier de Serge Reggiani, Gilbert Bécaud, Michel Fugain ...

Spectacles

Création 2012, reprise 2013/2014(jeune public à partir de 5 ans ; 1h15)

Création en 2012 en résidence dans le cadre du festival Rio Loco à Toulouse, avec le soutien de la Ville de Toulouse.

Kimiduna, la Fille-PapillonKimiduna est une petite fille qui vit en bordure de la forêt amazonienne. La forêt l'attire, mais lui fait peur, on raconte tant d'histoires à son sujet : c'est là que vivent les esprits, le terrible Curupira et les bêtes sauvages.

Un jour qu'elle rêve à ce monde interdit, un papillon l'invite à passer de l'autre côté du miroir, là où les animaux parlent et où l'homme apprend à n’être qu'une toute petite partie de la nature face au Grand Serpent ou à l’Oiseau au plumage de feu qui renaît toujours de ses cendres. Un conte initiatique en musique, inspiré de plusieurs contes traditionnels de la lusophonie.

Ce spectacle a été initialement créé avec Daniela Rezende à la guitare et au chant, il sera repris en 2013/2014 dans une nouvelle formule musicale.

Soirée « Cabaret contes en accordéon»

Philippe Sizaire aux histoires et selon les soirs Dalle ou Laurent au chant et à l’accordéon vous concoctent une soirée à la carte mêlant contes et chansons de répertoire et de création.Dalele a tout d’une grande dame de la chanson, et la chanson est en train de s’en apercevoir. Sa voix emprunte au fado, aux chants tsiganes et à tout ce qui chante en elle, entre humour et frisson. Elle est chaque fois juste, vraie, et c’est juste un vrai bonheur que de l’entendre !

Chanteur, accordéoniste, animateur et présentateur de galas, fêtes et festivals, Laurent accompagne son diatonique jusqu’aux petits matins. Il interprète des chansons injustement méconnues du siècle dernier. Son répertoire musical s'arrête en gros à l'essor du vinyle et sa garde-robe à la naissance du CD ! Depuis 2002, Philippe Sizaire est son conteur.L’assurance de passer une bonne soirée, joyeuse, où les mots danseront dans les oreilles etles pieds valseront sur le plancher ou dans l’herbe …

Histoires qu’on sème (tout public et adultes, à partir de 8 ans ; 1h15)

Il y a Dalele, une accordéoniste sensible au caractère explosif.Il y a Philippe et ses histoires nourries au grain de la tolérance, du désir, de l’amour, de l’imagination, histoire qu’on s’aime. Il y a une horloge au sourire bloqué sur 10h10 ... Un arbre qui balaie les étoiles sous le tapis des nuages … Une armoire d’hiver pleine de robes de printemps ...Un gars de n’importe où amoureux d’une fille de quelque part ...Il y a des retours qui s’ignorent en nouveaux départs.Il y a le parfum de la rose mais aussi ses épines.Il y a les graines que vous emporterez en vos jardins… mais ça, c’est déjà une autre histoire !

Ce spectacle, créé avec Karine Germaix à l’accordéon chromatique, a été repris par Dalele en 2010. Il a déjà été joué une centaine de fois en France et à l’étranger.

La Femme Oiseau – Paroles d’EsclavesContes des Noirs aux Amériques - deux versions : 1ère version pour enfants de + 7 ans ; et seconde version pour adultes et ados de +10 ans

Création en 2006 en partenariat avec la Ville de Nantes, résidence lumières au Théâtre de la Gobinière à Orvault. Agrément inspection académique.

Un spectacle inspiré des contes des esclaves en Amérique, traduits et adaptés par Philippe Sizaire, mis en musique par Cédric Cartier (guitare, percussions, cymbalum, chant). Une preuve vivante, si besoin était, que l’humour est l’une des meilleures armes de résistance à l’oppression. On croisera dans ce spectacle des animaux aux caractéristiques humaines et des humains qui refusent d’être réduits à l’état de bêtes.

Unis par une grande complicité scénique, proches du public, les deux artistes passent de l’intime au démonstratif, de la parole rythmée ou du chant au langage corporel, de l’exagération clownesque à des histoires plus profondes qui rappellent ce qu’affirmait Armand Gatti : « ceux qu’on enchaîne par le bas se libèrent par le haut ».Options : Animation en milieu scolaire

Le spectacle peut-être suivi (ou précédé) d’interventions en écoles, collèges, lycées, d’un débat sur l’histoire des Noirs en Amérique et les formes culturelles afro-américaines (du spiritual au gospel, du langage codé des esclaves à l’idiome afro-américain d’aujourd’hui ; des dozens et des toasts au rap). Philippe Sizaire était maître de conférences en études afro-américaines à l’Université de Tours de 1997 à 2003.

Les Petits Plaisirs(adultes et plus de 10 ans – 1h15)

Les petits plaisirs des uns ne sont pas toujours les petits plaisirs des autres. Mais ce spectacle, c’est avant tout le plaisir de la rencontre, celle d’un conteur et d’une accordéoniste, le plaisir de créer ensemble un univers à la fois réaliste et surréaliste (quelque part entre Jacques Prévert, Tim Burton et Boris Vian), et de découvrir chaque soir quels sont les «petits plaisirs» du public qui à son tour les découvrira partie intégrante d’une histoire !

On rencontrera un vieux cheval qui rêve de la révolution, un préleveur et vérificateur de mise aux normes européennes des confettis de couleurs, un Wolfgang Amadeus Misère qui se rend au B.D.A.C.Q.O.P. (le Bureau d’Aide à Ceux qui Ont la Poisse), des airs de musique venus de loin et qui vous y emmèneront. Détonnant, notre duo dit au monde ses quatre vérités – et aussi conteur oblige, quelques mensonges.

Ce spectacle créé en 2006/2007 a été joué plus d’une centaine de fois en France, au Québec et en Suisse.

La Fourmi qui par amour essayait de déplacer la montagne…(Spectacle jeune public et tous publics à partir de 5 ans - 1h ; une version adaptée de 35 minutes existe pour les 3/4 ans)

Philippe Sizaire et sa complice Dalele à l’accordéon nous entraînent en deux pirouettes et trois chansons vers des histoires d’amours étonnantes, merveilleuses, impossibles, incongrues – entre un roi dégoûtant dont même les poux ont la gale et sa femme dégoûtée, un homme entre deux âges et deux femmes, un petit homme pas plus grand qu’un acarien et une géante. Drôle, savoureux, parfois même muet, le tandem se partage les rôles, et ponctue son spectacle de chansons qu’enfants et adultes reprennent en chœur.

Ce spectacle a déjà été joué une centaine de fois en écoles, bibliothèques, festivals dans toute la France.

La souris dans le gant de boxe (spectacle jeune public et tous publics à partir de 5 ans – 50 minutes)

Un sourire aux enfants, un clin d'œil aux adultes … et voici que déboule dans la cour des contes un spectacle tonique, où l’on rira beaucoup, et où l’on apprendra pourquoi nous avons tous des morceaux d’imagination dans la tête. Il y a Philippe, un conteur éveillé. Laurent, un musicien et ses instruments qui dorment encore. Et ça commence ainsi : « C’était un jour creux sur la terre. Un jour tellement creux qu’il s’est mis à pleuvoir dedans… »La magie opère : la joie de vivre communicative des deux artistes, leur sens de l’interactivité et du rythme, la poésie et la fantaisie de leurs textes gagnent les enfants. Ils suggèrent des idées, complètent des listes inachevées, reprennent en chœur...

Le premier spectacle créé en 2002 … Il est encore demandé, alors nous le jouons encore, avec le même plaisir partagé.

« Contes en Bal »Né en 2008 à l’initiative de Philippe Sizaire et du duo Zmala, le projet Contes en Bal a pour vocation de réunir artistes conteurs et musiciens pour une gourmandise de plaisirs : l'écoute et la fête, la confidence des mots et l’abandon des notes et de la danse.

Le public est invité à être acteur à part entière, tant par son écoute dynamique et imaginative que par sa participation dansée.

Un pique-nique gourmand ou repas participatif, permettant la rencontre entre artistes et public, est proposé.

Formule adaptable au budget et aux envies de chacun

L’équipe (selon disponibilités)Philippe Sizaire aux histoiresDalele à l'accordéon et au chant Rolland Martinez à la contrebasse et à la clarinetteFrançois Grimaud au violon, banjo et à la guitare Laurent Peuzé au diatoniqueCédric Cartier à la guitareMarie Constant au diatonique+ (en option) conteurs et musiciens invités parmi : Michel Hindenoch, Christian Pierron, et bien d’autres !

Durée : si en soirée de 19h à 24h ; si en après-midi de 15h à 18h30

Philippe Sizaire a joué depuis 2002 plus de 600 fois dans toute la France, en Belgique, en Suisse, au Québec (plusieurs tournées) ainsi que dans plusieurs pays d’Europe... Quelques lieux où il a conté :

Festivals de contes :Festivals Contes en Jardin 2x (La Valette du Var) ; Les Franche-Conteries 2x, invité d’honneur 2013 (Lure, Haute-Saône) ; Paroles en Festival x4 (Lyon et Ardèche) ; Spirale à Histoires x3 (Arblade, Gers) ; Bouche à Oreilles, A Contre-Courant, D’une rive à l’autre (Pays de Nied, Moselle) ; Lire en Fête (Moselle) ; Colporteurs d’histoires, Scènes et territoires (Lorraine) ; L’Eperluette (Chantonnay) ; L’Ivresse des Mots (Marcq-en-Baroeul) ; Contes d’Automne, le Printemps des Conteurs (Aisne) ; Conte et compagnies (Belfort) ; Les Quand Dira-t-On (Picardie) ; Passeur d’Histoires à Baden x2, Au Coin du feu, La Grande Marée , Pêcheur d’Histoires, Caf’Contes, « Scènes Découvertes » et « Off » du festival Mythos, Rendez-Vous Conte, des Mots des Mômes (Bretagne) ; Alors raconte (Montauban) ; Le Jardin des Contes (Cannes) ; La Couleur des Mots (Pyrénées Atlantiques) ; Contes d’Hiver (Hautes-Pyrénées) ; Soit Dit en Passant, invité d’honneur (Vosges) ; Les Contes de la Chézine x2, Les Contradictions (Nantes) ; Festi’Contes, Déments Songes, Paroles de Partout x2 (Loire-Atlantique) ; Quand on Conte (Poitiers) ; Contes en jardins (Toulouse) ; Festival du Conte en Uzège (Gard) ; Festivals de Mirepoix, de Saurat x3, Act’en Scène (Ariège) ; L’Echo des mots (Champsaur) ; Légendes Automnales (Meurthe-et-Moselle) ; Nouvelles du Conte en Pays de Bourdeaux ; Les Conteurs réveillent le patrimoine (Drôme) ; Marche des Conteurs x2.

Tournée Foyers Ruraux de Lorraine, de la Lozère, de la Haute-Marne – et prochainement de la Sarthe.

Festivals pluridisciplinaires :Festam, création 2012 au Festival Rio Loco, Festival du Livre Jeunesse, Taul’Art (Toulouse) ; Off d’Avignon ; Les Chemins de l’Oasis, Bizz’art Nomade (Drôme) ; La Louche d’or, Fest’art (Lille et région) ; Festival Portée-Sud, Graines d’Automne, Festi’Ville, Festival Bars-Bars, Les Arts Domestiques, Lézards dans la rue (Loire-Atlantique) ; Les Arts Entremêlés, Les Scripturales, Festival de l’été, les Rencontres du Fleuve, La Caravane à Léon (Nantes) ; Rrom Fest (Aude) ; Fête du livre de Bron (Rhône-Alpes) ; Couleurs Sépia (Hautes-Alpes) ; Festupic (Compiègne) ; Actor’s café (Metz) ; Festival du Nombril (en collectif, Pougne-Hérisson) ; Les Petits Pois (Dinan) ; Festival de la Source (Dampierre) ; L’éveil des sens (Colmar) ; 1001 Facettes (Aisne) ; Les Pieds dans l’Herbe (Orne).

Théâtres, salles :Théâtre Romain Rolland (Villejuif) ; Centre Pompidou, Le Limonaire (Paris) ; Grand auditorium de France Culture (avec Paco Ibañez à la guitare) ; Grand Théâtre de l’Ecole Polytechnique (Palaiseau) ; Théâtre Molière (Compiègne) ; Théâtre du Biplan, Cinéma l’Univers (Lille) ; Théâtre du Saulcy (Metz) ; MJC Pichon (Nancy) ; Foyer Rural de Bouxières-aux-Dames x2 (Lorraine) ; Salle de l’Espée (Vosges) ; M3Q (Poitiers) ; Le Lieu Unique, Théâtre Universitaire,

Théâtre de la Gobinière, Terrain Neutre Théâtre, Théâtre du Cyclope, La P’tite Yourte, Espace Cosmopolis, Le Quai Vert (Nantes et Loire-Atlantique) ; Le Bijou, La Cave Poésie, Théâtre du Grand Rond, Samba Résille, Grand Auditorium de la Médiathèque Cabanis, Université du Mirail, Beaux-Arts, Centre Culturel Alban-Minville, Espace Bonnefoy (Toulouse) ; L’Aubarge (Ariège) ; Théâtre Na Loba, Salle communale de Saint-Denis (Aude) ; Théâtre des Trois pilats (Avignon) ; la Maison Fermat (Tarn) ; Salle du Tambour (Rennes) ; Théâtre de l’Agora (Tarn) ; Chapiteau Autre Direction (Strasbourg) ; La Tisanerie (Saint-Nazaire), La Colandière (Lyon).

Bibliothèques, et écoles, collèges, lycées :Festival des BDP de Saône et Loire, de l’Aisne, de l’Oise (2006 et 2007), de la Manche x2, de la Côte d’Or, du Tarn et Garonne, de l’Orne. Et plus de deux cents représentations depuis 2002 dans toute la France et en Suisse, en Belgique, au Québec.

Bars, cafés-concerts :Le Limonaire, Living B’art, Espace Tango Negro, Le Petit Ney, Villa Mais D’Ici (Paris) ; Le Coquelicot (Fougères) ; La Loupiote, Le Bâton à palabres, le Cherche-Ardeur (Toulouse) ; Le Poussin Vert, la Cervoise (Alsace) ; Live Bar, Violon Dingue, Le Masque, l’Art-Scène, le Briord, Mon Soleil, la Gargouille, la Trêve, les Fées Maison, chez Madame Java, Mas Thélème (Nantes et région) ; la Bernique Hurlante, L’Atelier de l’Artiste (Rennes) ; le Bon Barde (Rostrenen) ; Le Brocéliande (Paimpon) ; l’Oignon Givré, le Baloard (Montpellier) ; Le Plan B (Poitiers).

Et aussi(en français et en anglais) Festivals de Parchowo, de Barlinek, de Łeba et de Varsovie (Pologne) ; semaine française à Aiud, Delta du Danube (Roumanie) ; semaine française du Centre Culturel du Montenegro ; Université de Bamberg (Allemagne).Suisse :Bibliothèque de Genève, Bistr’ok, Château-Carton, Buvette des Cropettes (Genève) ; La Ferme-Asile, le Carnotset des Artistes (Sion), La Maison des Contes de Dorénaz (Valais) Belgique : L’Estivale de Surice ; Journée professionnelle de Chiny ; Festival Kap’Contes (Louvain-la-Neuve) ; Bibliothèque d’Anderlecht, de Malmedy, de Tubize ; La Roseraie, Café de la Rue, Centre Culturel d’Evère (Bruxelles) ; Les Grands Feux (Ittre).Canada :Festivals de Sherbrooke, du Saguenay-Lac Saint-Jean, de Val d’Or, Jos Violon, Festilou (au Québec) ; Sergent Recruteur, La Petite Gaule, le Bilboquet, Maison Chénier, Touski, La Barberie, Café Lézard, Au Rendez-Vous du Thé, Collège Stanislas, la Caravane, la Belle Chapelle (Montréal, Sherbrooke, Québec etc.) ; Alliance Française de Toronto, Centre de Service Guigues à Ottawa.

et une multitude de soirées et spectacles (contes et cabaret contes et chansons) organisées par nos soins (Contes Sans Domi-cile Fixe) en granges, jardins, appartements, maisons...

La Presse a dit...

« Parti sans grand enthousiasme aux Trois-Pilats pour écouter des contes, ce qui n’est pas ma tasse de thé, je me suis régalé avec le travail de la compagnie aiMe les mots dits. Quelle jolie soirée que celle passée à écouter Philippe Sizaire et Karine Germaix ! Les trois histoires sont belles et nourries au grain de la tolérance, du désir, de l’amour, de l’imagination, histoire qu’on s’aime. Voilà des saltimbanques qui savent vous embarquer sur le radeau rafistolé de leurs rêves colorés. Je suis resté scotché sur mon siège, les yeux brillants et les oreilles grandes ouvertes d’enfant émerveillé. Avec ces deux-là, je suis parti à la pêche aux étoiles, même s’ils me disaient que les roses ont un parfum, mais aussi des épines. Je n’ai trouvé aucune scorie gnangnan, aucune poussière cucul, aucune escarbille niaise dans la poésie de Philippe Sizaire, embecquée par sa bouche chaude et généreuse. Dans le mets proposé par la compagnie aiMe les mots dits, pas de nourriture frelatée enfouie. Karine Germaix, partenaire à part entière, joue des morceaux à ouvrir le cœur des pierres. Quand je suis parti, cigarette et doux sourire aux lèvres, je me sentais meilleur. C’est dire à quel point ces artistes-là sont indispensables. »

V. Cambier, Les Trois Coups (mars 2005) « Dès les premières intonations de sa voix, le public captif est plongé dans son monde. Un monde connu de tous, tout près d’ici.La poésie de ses mots simples dessine des personnages tour à tour attendrissants, insatisfaits, drôles ou déroutants, et les accords (superbes) de l’accordéon chromatique de Karine Germaix enveloppent le tout d’une atmosphère mélancolique ou dansante.On en ressort à contrecœur, sous le charme, comme d’un beau film au cinéma.Petit à petit on refait surface, puis on y repense. »

Festival Paroles de Partout, 2005

« Philippe est de ces rares conteurs qui vous font passer une soirée entière avec le sourire collé aux lèvres, indélogeable, et l’envie que ça ne se termine jamais. Il faut vraiment l’entendre ! »

Julie Turconi, Productions Cormoran, Québec.

« Le monde de Philippe Sizaire, c’est celui des gens tout simples et tout rêveurs. Le souci du détail, du goût qu’ont les mots, les situations, la création suave de petits mondes pailletés, voilà les objectifs du conteur. (…) Pas de jugement, beaucoup de poésie et toujours un sourire enfantin sur les lèvres. Un spectacle à durer une semaine complète, vraiment !»

Lucien-Christophe Hernandez, Le Clou dans la planche (juin 2009)

« Ne réalise-t-il pas là un exploit, tel un cascadeur de mots, par un débit impressionnant d’une heure presque et demie, sans qu’il ne se mêle les crayons, mais plutôt les récits - imbriqués les uns dans les autres. Emmenant avec lui une assemblée tout ouïe et qui boira ses paroles jusqu’à la lie. Incroyablement vrai, cet artiste aux yeux moqueurs qui vont de droite et de gauche, défiant la vie en la prenant à rebours.

Philippe Sizaire [...] a été très bon, vraiment, tant de par son interprétation scénique que dans le choix des histoires qui ont fait des spectateurs des acteurs à part entière. Son spectacle de haute volée a maintenu de bout en bout les spectateurs dans une frénésie difficilement maîtrisable.

L’attachant Philippe Sizaire jongle entre le monde d’aujourd’hui et ses travers cachés et un monde imaginaire ô combien proche de la réalité [...] et ce, sans ambiguïté sur le sens qu’il donne à la vie. »

Le Républicain Lorrain, février 2008

« Les histoires, c’est comme les hommes et les femmes, ça voyage à pied, mais par cœurs d’enfants. Et quand ils étaient là, Philippe et Dalele, je les ai entendu se taire , dans la salle, tous ces cœurs d’enfant… Les yeux fermés ils écoutaient les images… Les personnages ont tous marché et dansé là dans nos têtes, à croire qu’ils y étaient chez eux, d’ailleurs c’est un peu comme si on les connaissait déjà, ou que c’était nous, ou que ça pourrait bien. Parce que ces histoires, ces mots bien dits, ça laisse des traces dans la mémoire. On ne sait pas trop où ça va, mais on sent que c’est bien là, et que ça ne s’en ira pas comme ça… Voili, voilà, allez les entendre les yeux fermés. »

Oekoumène (février 2007) « Philippe Sizaire, qui fut parolier de Serge Reggiani, a été à l’école du théâtre, du clown et du mime. C’est à partir d’histoires traditionnelles qu’il tricote des contes à son image, toute d’humanité, d’espoir, de lien avec l’autre. »

Ouest France (21 novembre 2004)

« Bien installé dans son époque, le conteur ne se prive pas pourtant d’explorer tous les répertoires. Philippe Sizaire a cette étrange facilité à allier poésie et humour, musique, chants et contes. S’adaptant à son public comme un bateau adapte sa voilure au vent, il sait capter l’attention, le moindre souffle, pour rebondir et captiver de nouveau un regard qui se serait enfui. »

Le Télégramme (juillet 2007)

« Quand le public reprend en choeur l’hymne des supporters de l’équipe de football de Villar-de-l’Aisne, ‘Marquez ! Marquez ! Pour qu’on va gagner ...’, cela veut dire que le conteur a réussi son affaire. Car Philippe Sizaire est un magicien des mots. Un homme capable de créer des images par sa seule parole. Lorsqu’il évoque les personnages de ses contes, voilà que son verbe prend chair et chacun peut voir distinctement le protagoniste devant son nez. Comme le glisse à l’oreille Eric Clérino, patron de La Cervoise : ‘Tu vois ça, ça n’a pas de prix, c’est authentique !’. Et cela faisait bien longtemps qu’on n’en avait plus vu. »

Jean-Frédéric Tuefferd, Les Dernières Nouvelles d’Alsace, 28 février 2007.

« Philippe Sizaire, c’est une bouille toute en sourire, les cheveux en bataille et les lunettes au vent, qui peut jaillir d’une boîte de pandore pour nous toucher, nous entraîner derrière lui dans ses contes. ... Ses thèmes, il les prend dans la poésie du quotidien, des situations apparemment banales. Il aime ce genre de spectacle où le public est obligé de s’impliquer, ne serait-ce qu’en créant le décor, l’image des personnages et le voyage du récit. Il fait évoluer le conte vers une forme de théâtre de rue pour mieux pouvoir offrir ses histoires à tout le monde. Un conteur merveilleux accompagné à la guitare par Cédric Cartier et par d’autres musiciens selon les soirées, il a un talent fou. » Jean-Michel Gautier, La Marseillaise (18 juillet 2006)

« Un spectacle tonique, poétique et interactif... La magie opère : la joie de vivre communicative des deux compères, leur sens de l’interactivité et du rythme, la poésie et la fantaisie de leurs textes gagnent les enfants. Ils suggèrent des idées, complètent des listes inachevées, reprennent en chœur... Les adultes, à chaque fois plus nombreux, venus de toute la ville au pied du grand arbre, sourient aux clins d’œil des auteurs... »

Ouest France (Contes de la Chézine, Août 2002)

« L’émotion guette au détour de chaque histoire, de chaque phrase, de chaque silence. Prenant le public à témoin, le conteur frissonne d’émoi, tricote l’humour, conjugue la poésie en quête d’un ailleurs pour ses personnages. Son théâtre qui n’a pas fini d’étonner sent bon celui de Pagnol, la sensibilité d’un Boujenah ...»

Presse Océan, (novembre 2003)

« Depuis deux ans, le duo Philippe Sizaire et Laurent Peuzé, promène ses accordéons, sa bonne humeur et sa poésie au gré des festivals. ... Laurent donne la note, Philippe brode une galerie de personnages attachants avec des mots simples où se mêlent des écheveaux de poésie et d’humour. »

Presse Océan, (novembre 2005)

« Hier, devant 300 spectateurs, Philippe Sizaire a évoqué dans ses histoires l’esclavage en Amérique, entre merveilleux et réalisme. Un spectacle atypique, ludique et profond, qui a touché les spectateurs par sa sensibilité et son rythme. »

Ouest France, (7 juillet 2005)

« Des petits plaisirs ? Dalele Muller et Philippe Sizaire en ont plein la besace. Chez elle, ils jaillissent de son piano à bretelles qui sous ses doigts agiles peut résonner du tempo d’une valse ou d’un rap endiablé. Chez lui, auteur et conteur, ils surgissent au détour du quotidien. ... À l’époque du SMS et des textos qui privent les mots de trace et de mémoire, Les Petits plaisirs de Philippe Sizaire et Dalele Muller déposent l’écrit comme autant de petits cailloux sur le chemin tendre et chaotique de la vie. »

La Dépêche du Midi (18 janvier 2006)

« La guinguette à Sizaire.Cela faisait un moment que Philippe Sizaire, raconteur de petites vies, comme il aime à se définir, n’avait pas remis les pieds au théâtre du Grand Rond où il avait pourtant fait un tabac (ce n’était pas encore autant interdit qu’aujourd’hui – le tabac, veux-je dire). Depuis un an –et-demi, pour être précis, et il était temps qu’il revienne. Mais revenir seul… bof. Notre conteur a donc décidé d’y organiser des soirées 'contes en guinguette', en invitant quelques amis à l’accompagner dans l’affaire. Pas toujours les mêmes, d’ailleurs, selon les jours.Que dire ? /.../ Que c’était bien ? Indéniablement. Que le public, nombreux, fut conquis s’il ne l’était par avance ? C’est peu de le dire. Bien sûr, pour le bal, il manquait un peu de place. /.../ Ce fut donc l’ambiance des grands soirs, de ceux où l’on ne refuse personne tant que les murs ne plient pas sous la pression, où les artistes se régalent manifestement de s’amuser ensemble et avec la salle, où paroles et musiques flattent l’oreille autant que le zygomatique dans une chaleur un peu excessive pour la saison mais bon, mieux vaut ça qu’une salle froide et vide. /.../Ce qui promet bien des goguettes dans la guinguette à Sizaire – et du bonheur enperspective. »

Jacques-Olivier Badia, Le Clou dans les Planches, Toulouse, mars 2008

Philippe Sizaire est à retrouver sur

www.philippesizaire.com

06 76 31 65 44

[email protected]