convoy - unilever : un pas de géant vers l'avenir du transport
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Convoy - Unilever : un pas de géant vers l'avenir du transport.
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1er novembre 2016 : la nouvelle du partenariat entre Convoy, startup américaine voulant révolu!onner le transport rou!er de marchandises et Unilever, géant de l’agroalimentaire (4ème mondial), reten!t sur la planète transport.
C’est la première fois qu’un groupe d’aussi grande taille s’engage aux côtés d’une startup pour améliorer sa performance en ma!ère de transport.
Nous me"ons un point d’honneur à revenir sur cet évènement majeur qui confirme le poten!el du modèle FretLink.
Un message fort au secteur du transport rou!er.
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L’avènement d’une idée à grande échelle.
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Unilever voit manifestement dans ce nouvel accord avec Convoy, l’espoir d’insuffler une plus grande souplesse à l’ensemble de sa Supply Chain - celle d'un très grand groupe - avec toute la complexité que cela implique.
Il y a là avant tout une opportunité d’expédier des lots en s’affranchissant de la sous-traitance, qui obscurcit et rend plus chère la presta!on de transport.
Mais pour une en!té comme Unilever, il s’agit aussi d’effectuer des économies d’échelle au niveau na!onal sur le territoire américain. Les capacités de groupement offertes par la solu!on sont en effet colossales si on ose les considérer pour ce qu’elles sont - à savoir une toute nouvelle approche du pilotage de toute l’ac!vité logis!que de l’entreprise.
Plusieurs millions de dollars d’économies.
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Rappelons aux grandes entreprises de quoi il s’agit réellement ici. Unilever n’ambi!onne pas d’arrondir ses fins de mois, mais bien de confier à Convoy « des dizaines de milliers d’expédi!ons » !
Les réduc!ons de coûts qu’espère le groupe avec ce%e opéra!on - tant sur les commissions, et donc le coût direct d’une expédi!on, que sur les capacités d’op!misa!on permises par le groupement d’envoi - sont considérables, et sont probablement issues de réflexions menées en haut lieu.
Un coup d’avance que les autres mul!na!onales ne tarderont pas à vouloir ra%raper - en espérant que ce retard ne leur soit pas trop coûteux.
Derrière les op!misa!ons financières, on observe une profonde transforma!on de la fonc!on logis!que - pour qui l'automa!sa!on de l’ac!vité permet de retrouver un véritable rôle de pilotage stratégique.
Le temps alloué au traitement de tâches lourdes et chronophages peut ainsi être employé plus intelligemment, pour opérer une supervision plus globale de ses plans de transport et pour analyser son ac!vité au quo!dien. La solu!on cons!tue par ailleurs une véritable arme contre l’imprévu - notamment les li!ges, qui sont légion dans le secteur et pourront finalement être traités grâce à des données tangibles et formalisées numériquement.
A la clef, une belle revalorisa!on de la fonc!on qui implique cependant la prise en main des nouveaux ou!ls numériques : le facteur humain sera donc à intégrer et à surveiller de près à chaque étape de l’installa!on de la solu!on.
Retour à un pilotage plus stratégique.
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Unilever et Convoy ne sont pas les seuls à se féliciter du deal. Les transporteurs américains y trouvent un intérêt tout aussi fort car Convoy leur garan!t un accès plus direct aux demandes de transport, et ce%e fois dans des volumes suffisants pour pérenniser la croissance de leur ac!vité sur un nouveau canal.
Ce%e dernière promet d’ailleurs de s’accélérer : le cabinet Frost & Sullivan es!me que 16% du transport mondial de marchandises pourrait passer par ces plateformes web à l’horizon 2025.
La ques!on qui doit aujourd’hui agiter transporteurs et chargeurs français est celle de la poten!elle transposi!on de tels accords en France.
Une avancée considérable pour les transporteurs.
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Bien que les États-Unis soient systéma!quement en avance en ma!ère d’innova!ons économiques, les pays européens - et a for!ori la France - ne manquent jamais de ra%raper leur retard, et ce de plus en plus rapidement. Ce qui s’est passé avec Unilever et Convoy est appelé à se reproduire en France, mais avec des spécificités locales qu’il faudra prendre en compte, telles que l’indépendance des chauffeurs, moins répandue qu’aux Etats-Unis.
Le groupement par le biais de plateformes web comme FretLink peut révolu!onner un marché du transport rou!er évalué à 300 milliards d’euros en Europe.
De grands groupes comme Chanel ou Berry Plas!cs font d’ailleurs déjà confiance à FretLink pour op!miser leurs flux de transport. Par ailleurs, ce sont plus de 300 PME dans des secteurs très diversifiés qui sont aujourd’hui inscrites pour avoir recours à son offre SPOT.
Comment aborder le transport rou!er français ?
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Paul Guillemin
CEO et fondateur de FretLink
01 86 26 07 17
Parlons-en.
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