concours pnl

8/14/2019 Concours PNL

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Concours

dhistoires de vie.Dont le premier prix :1000

organis par lassociationIMNLP-P dition.

http://www.imnlp-p.orgProgrammation Neuro-Linguistique

Existerions-nous sans noscroyances ?

Ne serions-nous dabord ce quenous croyons et en quoi nous

croyons ?

Nos croyances dirigent, dessinent etsculptent notre parcours de vie mais

notre vie nest-elle pas unesuccession dhistoires ?

Dans cet espace, nous vous proposonscertaines de ces histoires de vie et nousvous invitons participer cettecompilation.

En attendant nous vous invitons vouslaisser toucher par chacune de ceshistoires. Ecoutez les mots dans votrecur aussi bien que dans votre tte.
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Savourez chaque histoire. Demandez-vous ce que chacune veille en vous ?Certaines vont vous faire rire, dautres

vont vous mouvoir .

Essayez de les saisir et de lescomprendre au-del des mots car ceshistoires peuvent tre des mtaphores.Prenez votre temps pour comprendre leuressence.

Ces histoires sont l pour vousinspirer et vous motiver.

Vous tres invit revenir plus souventsur cet espace :

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et de participer cette collectiondhistoires de vie, en nous soumettantdautres histoires ; la vtre ou une autrequi vous a touchs ou mus.

Si une histoire vous meut, partagez-laavec dautres personnes, si une histoire

vous fait penser quelquun que vousconnaissez, appelez-le et racontez-lui.

De notre ct, nous esprons que vousaurez autant de plaisir lire ce livre quenous en avons eu lcrire.

Partagez avec nous. Nous aimerions

connatre vos ractions aux histoires,faites-nous savoir celles que vous
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prfrez and comment elles vous onttouchs.

Nous vous invitons nous soumettre leshistoires que vous aimeriez voir publiersur cet espace.

Peut-tre seront-elles slectionnes pourfaire partie de la version papier et duconcours organis par la maison dditionde lassociation imnlp-p.org.

De nombreux prix sont prvus dont le

premier est de : 1000 euros plus septcopies du livre.

Il tait une fois un aigle (histoireextraite de LHeure ? Cest maintenant ! AxelBourgais)

Il tait une fois un paysan, qui un jour,dcida daller chercher des herbesmdicinales dans la montagne. Pendantsa cueillette, il remarqua un uf, posentre deux pierres. Il le ramassa et deretour la ferme, il le dposa sous une poule qui couvait des ufs dans son poulailler. Quelques semaines se

passrent et les ufs clorent.


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Il y eut une bonne douzaine de petitspoussins tout jaunes et tout mignons et,parmi eux, il y en avait un qui tait pluttchtif et plutt gris. Il est vrai quil avait

quelques difficults faire comme lesautres : gratter le sol pour trouver despetits vers, chanter comme un pouletQuelque temps plus tard le paysansaperut que ctait plutt un aigle maisni les oiseaux du poulailler, ni ses frrespoulets, ni mme lui ne le savaient. Alors

il passa toute sa vie gratter le sol, chanter comme un poulet et battre desailes sans pouvoir voler.Vers la fin de sa vie, alors quil chauffaitses vieux os au soleil, il aperut un aiglequi volait dans le ciel. Il le regarda lesyeux plein dadmiration : cet oiseaumajestueux, avec ses ailes dployes etqui semblait planer dans les airs. Il taitbahi de voir un si bel oiseau et il se prit rver de pouvoir lui ressembler.Un de ses copains du poulailler venait dele rejoindre et lui dit : Quest-ce que tufais ? Je tai cherch partout ! Il lui dit : Regarde, regarde, cet oiseau magni-

fique ! . Allez viens ne reste pas ici, cest unaigle et il vaut mieux ne pas se faireremarquer. dit son ami. Viens , allonsnous-en chercher des vers.


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Illustration de Claudie Woehrl

LExtra-terrestre. (histoire extraite deLHeure ? Cest maintenant ! Axel Bourgais)

Il tait une fois un humain qui avait invitun gentil extra-terrestre qui navait jamaisvisit la Terre. Une fois arriv sur la Terrelextra-terrestre est reu par son htehumain et celui-ci le dirige vers unevoiture, ouvre la portire et lui demandede sinstaller dans le vhicule. Lextra-terrestre nayant jamais vu de voituredemande lhumain : Cest quoi cettechose ? Lhumain rpond : Cest unvhicule qui va nous servir pour aller chez

moi. Lextra-terrestre sinstalle commesuggr puis son hte entreprend deconduire la voiture.

Au cours du trajet lextra-terrestredemande : Cest un vhicule que vous, leshumains, fabriquez ? . Son hte lui

rpond : Oui, oui.


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Au cours du trajet lextra-terrestre voit desimmeubles, des gens qui sappliquent construire des maisons, dautres en trainde nettoyer la chausse pendant quedautres rparent les trottoirs. Une foisarrivs devant la maison lextra- terrestredemande si tout cela aussi est fabriqupar les humains. Oui, oui , rpondlhte.

En rentrant la maison lextra-terrestre

est reu par lpouse de son hte et ilremarque quecelle-ci est physiquement diffrente mais ilse retient de poser des questions, regardeles meubles et le dcor dans le salon dela maison et demande : Cest vous qui fabriquez tout cela ? Son hte rpond : Oui, oui, cest nous

les humains qui fabriquons tout cela. Alors comment faites-vous pour fairetout cela et quest-ce que vous tes entrain de fabriquer en ce moment ? Lhte, ralisant que lextra-terrestre necomprend pas, rectifie : Enfin, ce nestpas moi qui ai fabriqu tout cela. Ce sont

dautres humains qui lont fait pour moi. Et vous, quest-ce que vous avez faitpour eux ? Je les ai pays avec de largent. Cest quoi largent ? Oh, largent, cest un concept , rpondlhte. Un concept, que voulez-vous dire ? Eh bien, euhcest une reprsentationabstraite, mais ce qui compte, pour nous,


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les humains, cest que nous y croyons eta nous suffit. Si jai bien compris, vous, les humains,vous croyez en des choses abstraites,mais comment les autres savent-ilsfabriquer tout cela et pas vous ? Non, non, voyez-vous, nous, leshumains, nous sommes tous diffrents.Les uns sont bons faire une chosependant que dautres savent faire autrechose, alors nous profitons du savoir des

uns et des autres. Ah, je comprends dit lextra-terrestre et vous, quest-ce vous leur apportez ? Moi, je suis mdecin , rpond lhte. Et quest-ce que vous leur donnez entant que mdecin ? Je leur conseille des mdicaments unefois que je sais ce qui ne va pas bien aveceux. Pourquoi ? Il y a des humains qui ontdes choses qui ne vont pas bien aveceux ? a dpend, mais il y en a qui font deschoses dures ou qui ont un travail dur oudangereux.

Cest quoi dur, dangereux ? Dur, euh.je ne sais pas commentexpliquer, disons, cest difficile, cest lecontraire de facile. Je comprends, cest quelque chose quevous narrivez pas expliquer. Et cestquoi dangereux ?


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Dangereux, cest quelque chose quipeut dtruire notre corps ou notre faonde rflchir et de penser Alors pourquoi les autres humainsacceptent-ils de faire ce qui peut dtruireleurs corps et leur faon de rflchir, est-ce que vous les obligez le faire ? Non, non, personne noblige personne faire quoi que ce soit. Alors pourquoi acceptent-ils de faire cequils font ?

Oh, ce sont eux qui pensent quils nepeuvent pas faire autrement. Lextra-terrestre continue : En venant ici, jai vu des gens balayer, construire etdautres rparer le trottoir, cest ce quevous appelez dur ? Oui, en quelque sorte. Et vous ne voudriez pas faire a parceque cest dur ? On peut dire a comme a, mais comme je vous ai expliqu, nous sommesdiffrents et cest ce qui fait notre richesse, rpond finalement lhte, puis,inconsciemment, il prend latlcommande de la tlvision et

lallume.Cest lheure des nouvelles et lejournaliste annonce et montre des imagesde guerre. En voyant cela lextra-terrestredemande : Que font-ils ces humains, ilsont lair de faire des choses dures etdangereuses ! Et lhte rpond : a,

cest la guerre, ils se battent parce quilsne sont pas daccord.


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Pourquoi ne sont-ils pas daccord ? Ils ne sont pas daccord parce quechacun pense diffremment. Quest-ce a veut dire diffremment ? demande lextra-terrestre. Diffremment, cest comme diffrent ,rpond le mdecin. Je croyais que diffrent tait unavantage pour vous, les humains ! Oui, oui, du fait que nous sommesdiffrents, nous pensons diffremment et

chacun pense que lautre a tort Et cest pour cela que vous vousbattez ? Oui, on peut dire a comme a. Alors, pourquoi narrtez-vous pas depenser tout simplement ?

Lpicier. (histoire extraite de LHeure ? Cestmaintenant ! Axel Bourgais)

Un vieil picier dans un quartier pauvre de

la ville avait laiss un testament son fils :

Ne dors que dans des draps en soie, ne

mange que du caviar et du foie gras, ne

bois que du champagne et, entre les

repas, ne mange que des petits fours et

du chocolat raffin.

Aprs le dcs de son pre, le fils trouva

le document et partit demander un amide son pre de le lui expliquer.


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Lami de son pre lui rpondit: Ton pre

est en train de te dire dans son testament

que linformation est entre les lignes, que

si tu travailles dur et que tu restes ouvertle plus longtemps possible, en tallongeant

nimporte o tu auras limpression que tu

es dans des draps en soie, si tu pousses

la faim ses limites, tout ce que tu

mangeras te semblera et tapportera

autant de plaisir que du caviar et du foie

gras, si ta soif est telle, leau du robinet te

paratra du champagne de premire

qualit !

Le partage de lhritage.(histoire

extraite de LHeure ? Cest maintenant ! AxelBourgais)

Ce vieil arabe traversait une partie duSahara sur son chameau. Il avait soifquand il rencontra un gamin aux abords

dun campement et il lui demanda silpouvait lui offrir boire. Le gamin courutvers une tente et revint avec une gourdepleine deau frache quil tendit au vieilhomme. Ce dernier en avala dun trait lecontenu et aprs coup seulement ralisaquil avait oubli de remercier lenfant.Pour se racheter, il dit au gamin : Pourte remercier tu peux me demander tout ceque tu veux !


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Lenfant sans hsitation lui dit Vous tessr ? Tout ce que je veux ? Oui, oui , lui rpondit le vieillard, tuviens de me sauver la vie !

Sur ce, le gamin lui demande dedescendre de son chameau et de venirsous la tente. Intrigu et quelque peuinquiet, le vieillard sexcute et le suitsous la tente.

Une fois sous la tente, il trouve deux

autres enfants, le plus grand le reoit et lui

dit :

Voyez-vous notre pre vient de mouriret il nous a laiss 17 chameaux nouspartager. Nous sommes trois frres, moi,mon cadet et le petit frre celui-l. Selonson testament je dois garder la moiti des

chameaux, mon frre cadet en reoit letiers et le dernier le neuvime. Mais nousavons 17 chameaux et nous ne pouvonspas diviser selon la volont de notre presans en couper un pour le mettre enmorceaux car le nombre est impair. (Ehbien, oui !!! 17 diviss par deux, a fait 8chameaux plus la moiti dun !!!)

Le vieux bonhomme rflchit un instant etrpond: Ah, je vois que vous avez unproblme !Je viens de proposer votre frre de luidonner ce quil voulait. Est-ce que vousvoulez que je vous aide rgler ceproblme ?

Ravis, les frres sexclament Maiscomment ?


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Et bien je vais vous donner monchameau et il continue comme avous aurez 18 chameaux ! Toi lan, tu as droit la moiti, ce qui

fera 9, toi son cadet tu en auras le tierscest dire 6, et toi mon ami , ensadressant au plus petit, tu as droit auneuvime et par consquent tu aurasdeux chameaux. Mais sexclama le petit : 9 + 6 + 2 a nefait que

17 ! Et le vieux de rpondre avec un sourire et bien maintenant que mon chameaune vous sert plus rien, je peux lercuprer pour continuer mon chemin .

LHomme bicyclette. (histoire extraitede LHeure ? Cest maintenant ! Axel Bourgais)

Un ancien gardien de port, la retraite,

rencontre un jour une personne quil

connaissait quand il tait responsable de

la scurit du port et lui dit Tiens, je te

connais toi, tu travaillais au port. Mais au

fait quest-ce que tu faisais comme

travail ? Lautre le regarde dun air

amus, ricane et lui dit. Oui, oui, je tereconnais, tu me contrlais tous les soirs


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en sortant et tu avais lair de me

souponner de quelque chose.

Lex-gardien rpond : Oui, tu as raison,

quelque chose en moi me disait que tu

ntais pas trs clair, mais je ne savais

pas ce que ctait ! Lautre ricane encore

et rpond Et pourtant tu me fouillais tous

les jours et tu ne trouvais rien ! Lautre

rpond Cest vrai je ne trouvais rien

mais mon instinct me disait quil y avaitquand mme quelque chose. Alors

maintenant que tu sais que je suis la

retraite, tu peux peut-tre me dire ? Et

lautre lui dit : Tu me fouillais parce que

tu pensais que je volais des choses ?

Oui avoua lex-gardien.

Je ne volais pas des choses, je sortais

vlo. Oui, je sais, tu tais toujours

vlo !

Lhistoire continue et dit que le bonhomme

en fait volait un vlo par jour dans

lenceinte du port et sortait avec.

Croyez-vous quune telle histoire puisse

tre vraie ?

Un pre, son fils et leur ne.


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(Axel Bourgais)

Je vais vous raconter l histoire dun pre

qui voulait donner une leon son fils.

Lhistoire se passe dans un pays dAfrique

o le moyen de transport le plus utilis est

lne. Ce monsieur a demand son fils

de laccompagner au march qui se

trouvait une dizaine de kms du village

pour vendre les lgumes et les fruits de

leur production.

Ils ont vendu toute leur marchandise au

march et ont pris le chemin du retour.

Le pre a alors demand son fils de

monter sur le dos de lne.

Pendant quils traversaient les villages, ils

ont entendu les gens dire Oh regarde, il

est sur le dos de lne et il laisse sonpauvre pre marcher derrire !

Le fils, se sentant mal laise, descend de

lne et propose son pre de monter sur

lne pour continuer le voyage. Et l

dautres villageois sexclament Ohregarde, il voyage sur le dos de lne et


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laisse son pauvre fils marcher derrire !

Alors le pre descend de lne et ils

dcident de continuer le voyage pied

quand ils entendent dautres villageois

dire Oh regarde, les imbciles, ils

voyagent pied alors quils ont un ne !

Sur ce ils dcident de monter tous les

deux sur lne pour continuer le voyage.

Et l, ils entendent, en dpassant des

villageois Oh regarde, les salauds, ils

sont tous les deux sur ce pauvre animal!

La morale de cette histoire est bien sr

quon ne peut pas plaire tout le monde.

Lunion fait la force. (Sara Elghoul)

Cest lhistoire dun homme qui veut

donner un exemple ses enfants sur

lavantage de lunion.

Il ramasse des btons et appelle ses

enfants et leur demande de prendre

chacun un bton et de le casser. Chacun


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des enfants russit casser le bton

facilement.

Puis le pre ramasse ensuite plusieursbtons et en fait une gerbe. Il demande

alors ses enfants de casser la gerbe.

Lan essaie et ny arrive pas et les

autres non plus. Ils essaient lun aprs

lautre mais en vain. Cest donc ainsi queles enfant apprennent que lorsquil

sunissent ils sont plus forts.

.

Apprends crire tes blessures

dans le sable et graver tes joies

dans la pierre. (Sara Elghoul)

Cest lhistoire de deux amis qui

marchaient dans le dsert. A un moment

ils se disputrent et lun des deux donna

une gifle lautre. Ce dernier, tout

endolori mais sans rien dire, crivit dans

le sable : Aujourdhui, mon meilleur ami

ma donn une gifle


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Ils continurent marcher puis trouvrent

un oasis dans lequel ils dcidrent de se

baigner. Mais celui qui avait t gifl

manqua de se noyer et son ami le sauva.

Quand il se fut repris, il crivit sur une

pierre : Aujourdhui, mon meilleur ami

ma sauv la vie

Celui qui avait donn la gifle et avaitsauv son ami lui demanda : Quand je

tai gifl, tu as cris sur le sable et

maintenant que je tai sauv de la noyade,

tu as cris sur une pierre : Pourquoi ?

Lautre rpondit : Quand quelquun nous

blesse nous devons lcrire sur le sable o

les vents du pardon peuvent leffacer,

mais quand quelquun fait quelque chose

de bien pour nous, nous devons le graver

dans la pierre o aucun vent ne peut

leffacer

Le dsir. (Extrait de : Le Bonheur,comment ? Claudie Woehrl)


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Un tudiant Zen demanda son matre

quand il pourrait atteindre la srnit

suprme. Son matre lui rpondit . Quand

ton dsir sera le plus fort, tu latteindras.

Ltudiant frustr et qui avait pass des

annes suivre les enseignements de

son matre pensait que son dsir tait

assez fort. Son matre, sentant sa

frustration, lamena au bord dun tang

pour lui donner une leon sur le dsir.

Ils entrrent dans leau et quand celle-ci

fut au niveau de leur taille, le matre

demanda llve de sagenouiller dans

leau. Il laida mme en lui poussant les

paules et en lui maintenant la tte sous

leau.

Aprs quelques minutes llve

commena avoir du mal respirer et

voulut sortir sa tte de leau. Son matre fit

tout pour le maintenir de force sous leau.

Le matre et llve luttrent et finalement

llve put sortir sa tte de leau un

instant et reprendre son souffle. Plein de

rage, il cria son matre Vous tes en

train dessayer de me tuer !. Le matre

rpondit quand ton dsir datteindre la


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