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COMMENT AMÉLIORER LA
PERFORMANCE GLOBALE DE MON
ENTREPRISE AGRO-ALIMENTAIRE ?RENCONTRE SOBR’IAA
JEUDI 11 FÉVRIER 2016 – ENSCBP, BORDEAUX
1RENCONTRE SOBR’IAA – 11 FÉVRIER 2016 – BORDEAUX
ORGANISÉ PAR : AVEC L’INTERVENTION DE :SOUTIENS FINANCIERS
DU PROGRAMME :
PROGRAMME DE L’APRÈS -MIDI
Introduction
14h00 - 14h45
Présentation des intervenants
Présentation de l'opération SOBR'IAA
Les outils et démarches de la performance d'une entreprise de l'IAA
14H45 - 16h15
Les outils et démarches en performance industrielle
Sylvie PONCET-VERDIER, Chef de Projet Performance Industrielle – AGROTEC
Les outils et démarches en qualité sanitaire
Frédéric CHEVALLIER, Conseiller Technologique - CRITT Agro-Alimentaire
Les outils et démarches en performance environnementale
Fabrice BOSQUE, Responsable Environnement et Eco-conception - ITERG
Le Diagnostic Performance Opérationnelle Globale
16h15 - 16h45
Contenu et déroulé
Antoine BESNIER, Chargé de Missions Environnement - ITERG
Témoignage industriel
Olivier TARDIEU, Directeur - Huilerie GID
2RENCONTRE SOBR’IAA – 11 FÉVRIER 2016 – BORDEAUX
3RENCONTRE SOBR’IAA – 11 FÉVRIER 2016 – BORDEAUX
PRÉSENTATION DES ORGANISATEURS
ARDIA
4RENCONTRE SOBR’IAA – 11 FÉVRIER 2016 – BORDEAUX
Missions :
Représenter et défendre les intérêts des industries alimentaires
d’Aquitaine
Faciliter l’accès à la mise en marché des entreprises
Accompagner les IAA dans leur développement
Promouvoir les métiers et les formations
Valérie SEBBAN
Chef de projet
Tél. : 05 40 00 25 56 / 06 80 34 21 55 www.ardia-aquitaine.com
Recherche . Innovation . Qualité
11 rue Monge - Parc Industriel Bersol 2
33600 PESSAC
Tél : 05.56.36.00.44
www.iterg.com
Une synergie de compétences à votre service
Qualité et Sécurité
des produitsEnvironnement et
Eco-Industries
Nutrition, Métabolisme
et Santé
Procédés
technologiques
Plateformes
Chimie verte
• Contrôle analytique
• Production, Raffinage à façon
• Recherche et Développement
• Projets d’Innovation
• Audit
• Veille
• Formation
Activités et compétences
Association Loi 1901 à but non lucratif - Budget de 1,2 M€
Centre Technique Agro-Alimentaire labellisé CRT – plus de 24 ans d’expérience
Objectif : Répondre aux besoins techniques des industriels agro-alimentaires de
la « grande » région Aquitaine Limousin Poitou-Charentes
- Equipe de 13 personnes (1 Docteur, 2 Doctorants, 5 Ingénieurs et 5 Techniciens)
- Plateforme Technologique de 600 m2
- Salles de formation
- Laboratoires
• Analyses sensorielles certifié
• Analyses physico-chimiques ACCREDITATION
N°1-1414
PORTEE DISPONIBLE SUR www.cofrac.fr
LES MOYENS
Le CRT au cœur de la Technopole AGROPOLE d’Agen
Les compétences du centre technique
Formulation produit
Mise au point process
Formation Technique
Démarche Qualité
Caractérisation/EDV
Organisation Durable
Accompagner l’entreprise de l’idée…
Analyse Sensorielle
…à sa validation par le consommateur
• a
Présentation
CRITT Agro-Alimentaire 11 Février 2015
Soutien aux projets d’Innovation
Conseil en Développement Technologique
Nutrition-Santé
Journées Aliments & Santé
ACTIVITÉS DU CRITT Agro-Alimentaire
235 entreprises adhérentes (2015), + 3 à 5% par an, 95% de fidélité
Un domaine d’intervention multi-filières :
2010
CDT 2010Le métier du CRITT au service des entreprises
VISITES
• Echanger avec les entreprises sur leurs projets
• Identifier leurs besoins
• Mettre en relation avec les bonnes compétences• Sensibiliser sur les enjeux / thématique
Info
• Réponses à des questions ciblées : Recherche fournisseurs ingrédients et matériels, règlementation, qualité, prestataires spécialisés, sous-traitance ...
Diag.
• Appui méthodologique / compétence : Analyse détaillée du projet ou du problème, structuration des étapes, estimation délais et coûts, recherche d’experts extérieurs …
Diagnostic
Infos
Visite
Conception, coordination de projets d’innovation
et de développement technologique propre à
chaque entreprise (confidentiels)
Qualité Alimentaire
Usine Sobre
Innovation Produits / Nutrition-SantéProcédés / Technologies
CHAMPS D’INTERVENTION DU CRITT
15RENCONTRE SOBR’IAA – 11 FÉVRIER 2016 – BORDEAUX
PRÉSENTATION DE L’OPÉRATION
FABRICE BOSQUE
Responsable Environnement et Éco-industries – ITERG
SOBR’IAA – LE CONTEXTE
CONTRAT DE FILIERE AGRO-ALIMENTAIRE
juin 2013
16RENCONTRE SOBR’IAA – 11 FÉVRIER 2016 – BORDEAUX
PROGRAMME NATIONAL
AXE STRATÉGIQUE « DÉFI VERT »
Relever le défi vert en associant compétitivité
économique, performance écologique et énergétique
Fiche action n° 1 : projet « usine sobre »
SOBR’IAA – LE CONTEXTE
17RENCONTRE SOBR’IAA – 11 FÉVRIER 2016 – BORDEAUX
POUR CHAQUE ENTREPRISE DE L’IAA
DES ENJEUX ENVIRONNEMENTAUX, SANITAIRES ET ECONOMIQUES
o Marges industrielles faibles peu propices à l’investissement ou à l’innovation
o Volatilité des coûts de matières premières
o Évolution des marchés
o Hausse du coût de l’énergie
o Hausse du coût de la main d’œuvre o Limitation de l’utilisation
de l’eau, de l’énergie, etc.
o Limitation de l’impact
sur le milieu environnant
o Image, attentes consommateurs
o Exigences clients de plus en plus poussées
o Impact des crises sanitaires
o Multiplicités des référentiels
o Différenciation concurrentielle
SOBR’IAA – LE CONTEXTE
18RENCONTRE SOBR’IAA – 11 FÉVRIER 2016 – BORDEAUX
NÉCESSITÉ D’UNE VISION GÉNÉRALISTE DE L’ENTREPRISE
EXEMPLE DU NETTOYAGE
Qualité : opération indispensable
Performance industrielle : opération non productive
Environnement : opération consommatrice de fluides et polluantes
Construction de la BOITE A OUTIL
Tests dans 8 entreprises
Intégration des 3
thématiques et des
synergies
9 experts des CENTRES
ACTIA
Dont ITERG, CRITT PC, …
SOBR’IAA – LE CONTEXTE
19RENCONTRE SOBR’IAA – 11 FÉVRIER 2016 – BORDEAUX
Programme SOBR’IAA
Diagnostic Performance
Opérationnelle Globale
Accompagnement Expert
Accompagnement Plan
d’Actions
2
1
3
DÉPLOIEMENT DE SOBR’IAA
20RENCONTRE SOBR’IAA – 11 FÉVRIER 2016 – BORDEAUX
L’ITERG coordonne le
déploiement en Aquitaine
Les experts SOBR’IAA pour la région
Aquitaine :
A. BESNIER – ITERG
F. BOSQUE – ITERG
S. PONCET-VERDIER – AGROTEC
Le CRITT Agro-Alimentaire La
Rochelle coordonne le déploiement
en Poitou-Charentes
Le programme SOBR’IAA peut aussi être appliqué pour des entreprises basées
dans d’autres régions
Réseau des Instituts Techniques de l’Agro-alimentaire
L’ACTIA coordonne le déploiement national
LE PROGRAMME SOBR’IAA
21RENCONTRE SOBR’IAA – 11 FÉVRIER 2016 – BORDEAUX
Diagnostic Performance Opérationnelle Globale1
Objectif :
Livrer des recommandations d’actions à mettre en place à court
terme pour initier des améliorations
Organisation :
1,5 jours de diagnostic sur site + ½ jour de restitution
Accompagnement Expert2
Objectif :
Accompagnement dans le déploiement d’actions, en fonction des
préconisations du diagnostic et des priorités de l’entreprise
SOBR’IAA – LE CONTEXTE
Diagnostic Performance Opérationnelle Globale1
9 thématiques abordées – 110 questions :
1. Organisation générale
2. Qualité et sécurité des aliments
3. Management environnemental
4. Gestion de la production
5. Utilités
6. Maintenance
7. Achats et logistique
8. R & D
9. Ressources Humaines
22RENCONTRE SOBR’IAA – 11 FÉVRIER 2016 – BORDEAUX
LE PROGRAMME SOBR’IAA
23RENCONTRE SOBR’IAA – 11 FÉVRIER 2016 – BORDEAUX
En qualité sanitaire- hygiène, microbiologie, conception hygiénique des lignes, opérations de nettoyage / désinfection
- optimisation des barèmes de température, métrologie, IFS, BRC, durée de vie des aliments
- produit (formulation), traçabilité et gestion de crise
- …
En performance industrielle- mise en place du SMED, de la méthode 5S, maintenance, amélioration continue, sécurité au travail
- robotisation, analyse de la valeur, systèmes d'information, analyse des capacités et cadrage investissement
- mise en place indicateurs et tableaux de bords, diagnostic MFCA (coût complet des déchets)
- …
En performance environnementale- énergie, émissions dans l’air (COV, odeurs), gestion de l’eau ou des déchets
- éco-conception, management environnemental, emballage, risques technologiques
- Bilan Carbone, Responsabilité Sociétale des Entreprises (RSE)
- …
Accompagnement Expert - EXEMPLES2
FINANCEMENT DES DIAGNOSTICS
Performance
Opérationnelle Globale
Accompagnement
Expert
Coût global estimé 3 300 € 7 150 €
Aides publiques 65 à 75 % 50 à 70 %
Petites entreprises 800 €
2 145 € à 3 575 €Moyennes entreprises 1 000 €
Grandes entreprises 1 200 €
24RENCONTRE SOBR’IAA – 11 FÉVRIER 2016 – BORDEAUX
SOBR’IAA – LE CONTEXTE
25RENCONTRE SOBR’IAA – 11 FÉVRIER 2016 – BORDEAUX
Les outils et démarches de la performance d'une entreprise de l'IAA14H45 - 16h15
Les outils et démarches en performance industrielle
Sylvie PONCET-VERDIER, Chef de Projet Performance Industrielle – AGROTEC
Les outils et démarches en qualité sanitaire
Frédéric CHEVALLIER, Conseiller Technologique - CRITT Agro-Alimentaire
Les outils et démarches en performance environnementale
Fabrice BOSQUE, Responsable Environnement et Eco-conception - ITERG
À suivre :
Le Diagnostic Performance Opérationnelle Globale16h15 - 16h45
Contenu et déroulé
Antoine BESNIER, Chargé de Missions Environnement - ITERG
Témoignage industriel
Olivier TARDIEU, Directeur - Huilerie GID
26RENCONTRE SOBR’IAA – 11 FÉVRIER 2016 – BORDEAUX
QUALITÉ ET SÉCURITÉ
SANITAIRE
LES OUTILS ET DÉMARCHES
FRÉDÉRIC CHEVALLIER
Conseiller Technologique, CRITT Agro-Alimentaire
27RENCONTRE SOBR’IAA – 11 FÉVRIER 2016 – BORDEAUX
PERFORMANCE
INDUSTRIELLE
LES OUTILS ET DÉMARCHES
SYLVIE PONCET-VERDIER
Chef de projet Performance Industrielle – AGROTEC
SOMMAIRE DE LA PRESENTATION
OBJECTIFS DE SOBR’IAA en matière de performance industrielle
LES CLES DE LA REUSSITE d’un projet performance industrielle
QUELQUES EXEMPLES DE METHODES :
5S_Organisation d’un poste de travail
SMED_Optimiser les temps de changement de format
TRS_Indicateur de performance d’une ligne de production
EXEMPLES TERRAIN vu sous l’angle de la performance industrielle sur les thèmes de :
L’eau
Les emballages
28RENCONTRE SOBR’IAA – 11 FÉVRIER 2016 – BORDEAUX
OBJECTIFS SOBR’IAA
S’assurer que les entreprises ont une démarche dynamique en matière de sécurité
sanitaire des aliments et d’environnement tout en alliant les enjeux en matière de
performance industrielle :
- améliorer la productivité :
* lutter contre la gaspillage, réduire les opérations sans valeur ajoutée
* maitriser les process, tendre vers une production en « juste à temps »
* optimiser le système d’informations
- être compétitif :
* suivi des coûts : production et revient
* adapter et développer les compétences : implication, amélioration conditions de
travail, autonomie et employabilité
* développement produit/process innovant
- s’adapter aux exigences du marché :
* délais,
* réactivité,
* satisfaction client : qualité produits et services
29RENCONTRE SOBR’IAA – 11 FÉVRIER 2016 – BORDEAUX
LES CLES DE LA REUSSITE
30RENCONTRE SOBR’IAA – 11 FÉVRIER 2016 – BORDEAUX
La réussite d’une démarche performance industrielle suppose :
- Une forte implication et motivation de la direction
Mettre les moyens humains et financiers nécessaires
- De le faire au bon moment
Climat social, millefeuille démarches QSE existantes, …
- De faire appel à des ressources extérieures pour avoir un regard
« neutre », apporter la méthode, les outils et piloter le projet
- Un engagement/participation de l’ensemble des collaborateurs ;
- Une communication adaptée, tout au long du projet
Indicateurs, tableaux de bords, compte-rendu, affichage ludique
- Une valorisation des résultats
Suivi d’un plan de progrès, vérification de l’efficacité des actions sur le terrain,
calcul des ROI
LA PERFORMANCE INDUSTRIELLE
Il existe de multiples méthodes et des outils d’analyse
Ci-dessous une liste non-exhaustive des outils à votre disposition :
Pour cadrer le pilotage d’un projet :
6 SIGMA = DMAIC (Définir, Mesurer, Analyser, Implanter et Contrôler)
TAGUCHI = méthode d’optimisation des expérimentations (essais d’industrialisation service R&D)
Pour optimiser/sécuriser un process
5S = optimisation d’un poste de travail
AMDEC = Analyse de défaillance, de leurs effets et de leur criticité) / c’est l’HACCP de la PI
GANTT = détermine le meilleur positionnement des taches à effectuer dans un projet
KAISEN = lutte contre le gaspillage
KANBAN = gestion de production en flux tiré (commande client qui déclenche la production)
JUSTE A TEMPS = produire seulement ce que l’on a besoin quand on en a besoin
CHARGES/CAPACITES : adéquation entre ce que je dois faire et ce que je peux faire
SMED = optimisation temps de changement de séries
TPM : responsabiliser les acteurs de la production et de la maintenance (maintenance prédictive)
TRS = indicateurs de marge de productivité et de qualité produits
Pour rechercher les causes et qualifier leurs impacts
PARETO/Classement ABC = loi des 20-80 (20% de la production représente 80% du CA)
31RENCONTRE SOBR’IAA – 11 FÉVRIER 2016 – BORDEAUX
EXEMPLES DE METHODE : 5S
« Une place pour chaque chose et chaque chose à
sa place ».
Le 5S est un outil japonais qui permet de gagner en
productivité car la zone est rangée, propre et
l’ergonomie du poste de travail a été optimisé pour le
bien être des opérateurs
Un S à la fois :
Seiri : débarrasser
Seiton : ranger
Seiso : nettoyer
Seiketsu : ordonner
Shitsuke : respecter
Adaptée pour les IAA à forte pénibilité et main d ‘œuvre
(4ème gamme, découpe, charcuterie, plats cuisiner, ..)
Lors du diagnostic Performance Opérationnelle
Globale, l’expert étudiera notamment le niveau
d’application de cette méthode sur le terrain sur les
postes critiques (maintenance, stocks, …)
32RENCONTRE SOBR’IAA – 11 FÉVRIER 2016 – BORDEAUX
EXEMPLES DE METHODES : SMED (SINGLE MINUTE EXCHANGE OF DIE)
« Un changement de format doit se compter en minutes »
Pour que la flexibilité et la réactivité des entreprises soient optimales, le SMED permet d’optimiser
les temps de changement de format entre 2 petites/moyennes et/ou grandes séries.
Pour cela il faut anticiper, être organiser et optimiser l’ergonomie au poste de travail
Adaptée pour les IAA à forte réactivité ou saisonnalité (produits frais, conserverie, ..)
Lors du diagnostic Performance Opérationnelle Globale, l’expert étudiera notamment lors
des changements de formats/produits votre organisation et votre productivité
33RENCONTRE SOBR’IAA – 11 FÉVRIER 2016 – BORDEAUX
Exemple : un
arrêt au stand
d’une formule 1
pendant une
course de
grand prix
EXEMPLES DE METHODES : TRS (TAUX DE RENDEMENT SYNTHÉTIQUE)
L’objectif du TRS est de déterminer les marges de productivité et de qualitépotentielles en réalisant l’inventaire des causes de perte de rendement sur uneligne de production :
Pertes organisationnelles : changements de format, formations dupersonnel, déplacements, disponibilités des ressources et des matières,excès de contrôles
Pertes liées aux procédés : temps de chauffe et de stabilité deséquipements au démarrage, micro-arrêts, fonctionnement en sous-régime,pannes, réglages à faire en cours de process, …
Arrêts programmés : maintenance préventive, nettoyage
Indicateur de performance TRS = temps de fonctionnement réel (= tempsd’ouverture – temps de pertes) d’une machine ou d’une ligne par rapport à sontemps de fonctionnement théorique
34RENCONTRE SOBR’IAA – 11 FÉVRIER 2016 – BORDEAUX
L’EAUSOUS L’ANGLE PERFORMANCE INDUSTRIELLE
35RENCONTRE SOBR’IAA – 11 FÉVRIER 2016 – BORDEAUX
L’EAU SOUS L’ANGLE DE PERFORMANCE INDUSTRIELLE
Quels sont les actions en matière de performance industrielle
quant à l’utilisation de l’eau en IAA ?
L’eau est utilisée comme :
Ingrédient pour certaines recettes
Agent nettoyant
36RENCONTRE SOBR’IAA – 11 FÉVRIER 2016 – BORDEAUX
L’EAU SOUS L’ANGLE DE PERFORMANCE INDUSTRIELLE
Lorsque l’eau est utilisée comme :
Ingrédient pour certaines recettes (exemple : le pain)
Lors du diagnostic Performance Opérationnelle Globale, l’expert étudiera notamment :
Le respect des recettes : poids/volumes
Les contrôles quantitatifs (poids/volumes) : fréquence/méthodologie/vérifications
Le suivi métrologique : étalonnage/ajustement/vérification appareils de mesure et de surveillance des poids/volumes
Les coûts engendrés par le surdosage réalisé, résultats des cartes de contrôles
37RENCONTRE SOBR’IAA – 11 FÉVRIER 2016 – BORDEAUX
L’EAU SOUS L’ANGLE DE PERFORMANCE INDUSTRIELLE
Lorsque l’eau est utilisée comme :
Agent nettoyant
Lors du diagnostic Performance Opérationnelle
Globale, l’expert étudiera notamment :
Le respect de l’application du plan de
nettoyage, avec quelle technologie (centrale
nettoyage, canon à mousse ou centrale
vapeur) ?
Le contrôle des temps de rinçage et donc
des consommations d’eau associées
L’efficacité de l’organisation des opérations
de nettoyage (combien de personnes ?, qui
fait quoi ?, en combien de temps ?, les
prélèvements sont-ils satisfaisants ??? les
lignes/machines sont-ils prêts en temps et en
heure lors des redémarrages de ligne
(SMED) ?, …)
Quels sont les TRS obtenus ?
38RENCONTRE SOBR’IAA – 11 FÉVRIER 2016 – BORDEAUX
LES EMBALLAGESSOUS L’ANGLE PERFORMANCE INDUSTRIELLE
39RENCONTRE SOBR’IAA – 11 FÉVRIER 2016 – BORDEAUX
LES EMBALLAGES SOUS L’ANGLE PERFORMANCE INDUSTRIELLE
Quels sont les actions en matière de performance industrielle
quant à l’utilisation des emballages en IAA?
40RENCONTRE SOBR’IAA – 11 FÉVRIER 2016 – BORDEAUX
Lorsque l’emballage est utilisée comme :
Emballage primaire (exemple : barquette plats cuisiner ou plaque de saumon fumé sous vide)
Lors du diagnostic Performance Opérationnelle Globale, l’expert étudiera notamment :
L’application de la méthode SMED et du suivi de TRS pour limiter les pertes de film lors du réglage de démarrage de la conditionneuse ou lors des pannes
La notion de « bon du 1er coup » lors du conditionnement et la gestion des re-pass pour les produits non-conformes
Le suivi des coûts de production lors du choix des emballages par les services R&D et achats
41
LES EMBALLAGES SOUS L’ANGLE PERFORMANCE INDUSTRIELLE
RENCONTRE SOBR’IAA – 11 FÉVRIER 2016 – BORDEAUX
42RENCONTRE SOBR’IAA – 11 FÉVRIER 2016 – BORDEAUX
PERFORMANCE
INDUSTRIELLE
ÉCHANGE ET QUESTION(S)
SYLVIE PONCET-VERDIER
Chef de projet Performance Industrielle – AGROTEC
43RENCONTRE SOBR’IAA – 11 FÉVRIER 2016 – BORDEAUX
FABRICE BOSQUE
Responsable Environnement et Éco-industries – ITERG
PERFORMANCE
ENVIRONNEMENTALE
LES OUTILS ET DÉMARCHES
L’industrie agro-alimentaire : transformation de matières premières
agricoles en produits alimentaires
44RENCONTRE SOBR’IAA – 11 FÉVRIER 2016 – BORDEAUX
Le site agro-industriel en fonctionnement normal(non altéré)
45RENCONTRE SOBR’IAA – 11 FÉVRIER 2016 – BORDEAUX
Flux intrants
matières premières
auxiliaires de fabrication
énergie
eau
...
Flux sortants
produits finis
déchets
eaux usées
bruit
rejets gazeux
l’image
...process + utilités + stockage + transports
cibles impactées
LE SITE AGRO-INDUSTRIEL EN SITUATION ACCIDENTELLE
46
Flux
Thermique
Ondes de chocs (pression)
Missiles
Flux toxiques (solides, liquides, gazeux)
cibles impactées
RENCONTRE SOBR’IAA – 11 FÉVRIER 2016 – BORDEAUX
LA SPÉCIFICITÉ DES IAA
volumes importants de matières mis en œuvre volumes
importants de rejets à traiter
certaines activités saisonnières (périodes d’activités intenses
suivies de périodes de quasi-inactivités) handicap pour la
gestion des unités de traitement des rejets et le stockage de ces
derniers
la matière rejetée, issues d’organismes vivants, ne génère pas de
produits toxiques en concentrations élevées, mais est très
facilement fermentescible, et nécessite le plus souvent un
traitement rapide
47RENCONTRE SOBR’IAA – 11 FÉVRIER 2016 – BORDEAUX
LA SPÉCIFICITÉ DES IAA
beaucoup de petites unités contraintes particulières :
humaines (disponibilité de ressources ; compétence interne)
techniques (adaptation des capacités des moyens de traitement)
financières (capacité d’investissement)
l’utilisation de procédés thermiques, de déstructuration de la matière
agricoles, de restructuration (formulation)
consommations énergétiques, rejets (thermiques, de
molécules dans l’atmosphère)
48RENCONTRE SOBR’IAA – 11 FÉVRIER 2016 – BORDEAUX
LES USAGES DE L’EAU EN IAA
Ingrédient de fabrication
Fluide thermique :
vapeur
liquide : eau brute ou glycolée
Fluide mécanique
Solvant
Lavage, nettoyage, désinfection
Etc
49RENCONTRE SOBR’IAA – 11 FÉVRIER 2016 – BORDEAUX
LES CONSOMMATIONS D’EAU EN IAA
50RENCONTRE SOBR’IAA – 11 FÉVRIER 2016 – BORDEAUX
ActivitésConsommation
spécifique (litre)
Laiterie 2
Produits laitiers frais 4
sucrerie 2
conserverie 20
Abattoir sans transformation 5
Abattoir avec transformation 10
vin 1
Boissons gazeuses 3
brasserie 5
Consommations moyennes (par kg ou litre de produit fini)
Moletta, Tec & doc, 2002
LA CONTRAINTE RÉGLEMENTAIRE
Les IAA sont réglementées pour :
le prélèvement d’eau
l’utilisation de l’eau dans l’entreprise
les rejets d’effluents et la gestion des boues
51RENCONTRE SOBR’IAA – 11 FÉVRIER 2016 – BORDEAUX
DES EXEMPLES DE BONNES PRATIQUES DE RÉDUCTION DES
CONSOMMATIONS
52RENCONTRE SOBR’IAA – 11 FÉVRIER 2016 – BORDEAUX
connaître et surveiller les consommations
réduire les fuites
limiter les consommations par l’analyse des opérations
sensibiliser le personnel
mettre en place du matériel hydro-économe
éviter les pousses à l’eau
mettre en place des pistolets « moyenne pression »
mettre en place une centrale à mousse
optimiser les temps de lavage
recycler les eaux de rinçage en prélavage
recycler les eaux souillées, les eaux issues de la stérilisation
etc
LA LIMITATION DES REJETS (EXEMPLE)
53RENCONTRE SOBR’IAA – 11 FÉVRIER 2016 – BORDEAUX
valeurs cible
paramètres mg/l kg/j kg/j
MEST 100 120 70
DBO5 100 120 70
DCO 267 320 190
Phosphore 15 12
azote total 20 24
hydrocarbures 1 1,2
méthanol 5 6
valeurs limites (moyenne 24h)
débit horaire (moyenne journalière) : < 50 m3/h
débit journalier (moyenne 24 heures) : < 1 200 m3/j
débit horaire maximal : < 80 m3/h
5,5 < pH < 8,5
température < 30 °C
MISE EN PLACE DE TRAITEMENTS
54RENCONTRE SOBR’IAA – 11 FÉVRIER 2016 – BORDEAUX
physiques
physico-chimiques
biologiques
LA MÉTHANISATION
55RENCONTRE SOBR’IAA – 11 FÉVRIER 2016 – BORDEAUX
Lisier, ordures
ménagères,
déchets
industriels,
effluents aqueux
Biogaz
CH4, CO2 (H2S)
Fraction
liquide
Epandage
Fraction
solide
Compostage
UN INTÉRÊT DE LA MÉTHANISATION : PRODUCTION D’ÉNERGIE
56RENCONTRE SOBR’IAA – 11 FÉVRIER 2016 – BORDEAUX
Méthane (50 à 80 % du biogaz produit)
LA QUESTION DE L’EAU DANS SOBR’IAA
D'où provient l'eau utilisée ?
Pourquoi est-elle utilisée ?
Suivi de la qualité des effluents rejetés : analyses, traitement, valorisation
(épandage, méthanisation …) ?
Y a-t-il un système de refroidissement ? Récupération des eaux de
refroidissement ?
Existe-t-il un plan du réseau d'eau ? Est-il mis à jour régulièrement ?
Les économies d'eau sont-elles une priorité ?
Ce site est-il soumis au suivi RSDE (Recherche de Substances Dangereuses
dans l'Eau) ?
57RENCONTRE SOBR’IAA – 11 FÉVRIER 2016 – BORDEAUX
L’APPROCHE CYCLE DE VIE
58RENCONTRE SOBR’IAA – 11 FÉVRIER 2016 – BORDEAUX
Matériaux entrants
fabrication initialeTransport fret
amontTransport fret aval
Déchets
fin de vie
Transport
personnes Transport
fret interne
Produits finis
utilisation
Le process IAA
L’EAU DANS L’APPROCHE CYCLE DE VIE
59RENCONTRE SOBR’IAA – 11 FÉVRIER 2016 – BORDEAUX
BILAN CARBONE ® GLOBAL DE LESIEUR BORDEAUX
(RAFFINAGE ET CONDITIONNEMENT)
60RENCONTRE SOBR’IAA – 11 FÉVRIER 2016 – BORDEAUX
6 3181 161
9 186
398 779
6 572
567 343
67 765
1 676
10 998
79 280 2 249 70
10 000
20 000
30 000
40 000
50 000
60 000
70 000
cons
omm
atio
n de
gaz
cons
omm
atio
n d’éle
ctric
ité
group
es fro
ids
fret d
es m
atiè
res
prem
ière
s en
trant
es
fret d
es co
nsom
mab
les
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es hui
les ra
ffinée
s (p
rodu
its fi
nis)
fret d
es so
us-p
rodui
ts
déplace
men
ts d
e per
sonn
es
mat
ière
pre
miè
re (h
uile
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cons
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ge
cons
omm
ables
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ition
nem
ent
serv
ice
fin d
e vie
des
déche
ts
fin d
e vie
des
embal
lage
s
amor
tisse
ment
s
Total : 108 378 t éq CO2
MP = 63 % du
Bilan !!
BILAN CARBONE ® GLOBAL DE LESIEUR BORDEAUX
(RAFFINAGE ET CONDITIONNEMENT)
61RENCONTRE SOBR’IAA – 11 FÉVRIER 2016 – BORDEAUX
Total : 40 613 t éq CO2
BILAN CARBONE ® GLOBAL D’UNE USINE D’ASSEMBLAGE ET
DE CONDITIONNEMENT D’HUILES
62RENCONTRE SOBR’IAA – 11 FÉVRIER 2016 – BORDEAUX
Prise en compte du verre :
Production des bouteilles en verre : 36 % du bilan global – 2ème poste après la production de la matière première (47 %)
Fret routier des bouteilles en verre : 1,7 % du bilan global
Fin de vie des bouteilles en verre : 0,4 % du bilan
autre type de conditionnement ?
verre à + fort taux de matériaux recyclés ?
fret ferroviaire, fluvial pour l’approvisionnement en bouteilles ?
fournisseurs locaux ?
L’usage du PET en remplacement du verre peut permettre une réduction du tiers du bilan global !
BILAN CARBONE ® GLOBAL D’UNE USINE D’ASSEMBLAGE ET
DE CONDITIONNEMENT D’HUILES
63RENCONTRE SOBR’IAA – 11 FÉVRIER 2016 – BORDEAUX
Prise en compte du carton :
Production des emballages en carton : 3,2 % du bilan global
Fret du carton : 0,1 % du bilan global
Fin de vie des cartons : 0,3 % du bilan global
augmenter les surfaces de fenêtres dans les cartons ?
limiter l’usage des intercalaires ?
privilégier le réemploi ?
utiliser du carton recyclé à 100 % ? (70 % actuellement)
BILAN CARBONE ® : LES PISTES D’ACTIONS DE RÉDUCTION DES
ÉMISSIONS DE GES EN BOULANGERIE / PÂTISSERIE INDUSTRIELLE
64RENCONTRE SOBR’IAA – 11 FÉVRIER 2016 – BORDEAUX
Emballage des produits finis (4 % du bilan en moyenne)
Cible/ activité Objectif Actions Acteurs
Emballages des produits finis
Réduire le poids des emballages Optimiser le poids des emballages en fonction des produits transportés, optimiser la hauteur des rabats et de leur résistance mécanique.
Service achats / packaging
Emballages des produits finis
Réduire le nombre de cartons d’emballage
Augmenter le nombre de pièces par carton Service achats / packaging
Emballages des produits finis
Réduire l’impact des emballages
Réaliser un diagnostic emballage
Service achats / packaging
Systématiser les démarches d’éco-conception lors de développement de nouveaux emballages
Choisir des emballages incorporant des matériaux recyclés
Emballages de service
Réduire la consommation de papier kraft
Inciter les clients à utiliser des emballages réutilisables : opération promotionnelle avec fourniture de sacs à pain
Service Marketing / Commercial
L’IMPACT DES EMBALLAGES DANS L’ACV D’UNE MARGARINE
65RENCONTRE SOBR’IAA – 11 FÉVRIER 2016 – BORDEAUX
L’IMPACT DES EMBALLAGES DANS L’ACV D’UNE MARGARINE
66RENCONTRE SOBR’IAA – 11 FÉVRIER 2016 – BORDEAUX
LES QUESTIONS DE L’EMBALLAGE DANS SOBR’IAA
Avez-vous déjà travaillé sur la réduction des emballages (matières
premières ou produits finis) : dimensions, épaisseur des matériaux… ?
Les produits sont-ils commercialisés dans des emballages consignés ou
réutilisables ?
Les emballages contiennent-ils des matières premières renouvelables,
des matériaux recyclés (papier, carton, plastiques biosourcés…) ?
Est-il possible de diminuer la quantité d'encre ou de substances
dangereuses / toxiques utilisées ?
Au niveau de l'utilisateur final, est-ce que les emballages usagés
disposent d’une collecte existante et d’une filière industrielle de recyclage
?
Etc
67RENCONTRE SOBR’IAA – 11 FÉVRIER 2016 – BORDEAUX
LA PERFORMANCE ENVIRONNEMENTALE DE L’ENTREPRISE
68RENCONTRE SOBR’IAA – 11 FÉVRIER 2016 – BORDEAUX
D’une conformité réglementaire
vers une opportunité d’innovation
en passant par une réduction des coûts de production
69RENCONTRE SOBR’IAA – 11 FÉVRIER 2016 – BORDEAUX
FABRICE BOSQUE
Responsable Environnement et Éco-industries – ITERG
PERFORMANCE
ENVIRONNEMENTALE
ÉCHANGE ET QUESTIONS
70RENCONTRE SOBR’IAA – 11 FÉVRIER 2016 – BORDEAUX
QUALITÉ ET SÉCURITÉ
SANITAIRE
LES OUTILS ET DÉMARCHES
FRÉDÉRIC CHEVALLIER
Conseiller Technologique, CRITT Agro-Alimentaire
LES ENJEUX DE LA QUALITÉ SANITAIRE
Economique
Commercial
Juridique
Réglementaire
Social / Managérial
Performance
71RENCONTRE SOBR’IAA – 11 FÉVRIER 2016 – BORDEAUX
LE CONTEXTE ACTUEL
Exigences des clients de plus en plus poussées
(impact des crises sanitaires)
Multiplicité des référentiels
Différenciation concurrentielle
72RENCONTRE SOBR’IAA – 11 FÉVRIER 2016 – BORDEAUX
OBJECTIFS SOBR’IAA
Aller vers la performance industrielle /
environnementale en garantissant :
– le respect de la règlementation (à minima)
– les engagements liés aux certifications
– le respect des exigences clients
73RENCONTRE SOBR’IAA – 11 FÉVRIER 2016 – BORDEAUX
L’EAUSOUS L’ANGLE QUALITÉ SANITAIRE
74RENCONTRE SOBR’IAA – 11 FÉVRIER 2016 – BORDEAUX
LA GESTION DE L’EAU
Pour quelles opérations, l’entreprise utilise-t-elle de l’eau ?
préparation des denrées alimentaires (lavage / ingrédient)
nettoyage et désinfection des locaux
refroidissement des installations
hygiène du personnel
sécurité incendie
Autres ?....
75RENCONTRE SOBR’IAA – 11 FÉVRIER 2016 – BORDEAUX
LA QUALITÉ DE L’EAU
Les obligations des IAA vis-à-vis de la qualité sanitaire de
l’eau sont explicitées dans le règlement 852/2004
La qualité de l’eau potable est définie dans le Code de la
Santé Publique, la directive 98/83 et l’arrêté du 11 janvier
2007 :
pour les eaux brutes (lieu de captage)
pour les eaux au point de distribution
76RENCONTRE SOBR’IAA – 11 FÉVRIER 2016 – BORDEAUX
LA GESTION DE L’EAU
En fonction de son utilisation, l’eau doit avoir une
qualité sanitaire différente :
Eau potable = eau destinée à la consommation
humaine
Eau non potable
Eau propre
Eau recyclée
77RENCONTRE SOBR’IAA – 11 FÉVRIER 2016 – BORDEAUX
EAU POTABLE
L'utilisation d'eau impropre à la consommation pour la
préparation et la conservation de toutes denrées et
marchandises destinées à l'alimentation humaine est
interdite (Code de la santé publique, titre II, livre III, article
L1321-1).
Toutes les eaux utilisées dans les entreprises alimentaires
pour la fabrication, la transformation, la conservation ou
la commercialisation de produits ou de substances, destinés
à la consommation humaine, qui peuvent affecter la
salubrité de la denrée alimentaire finale, y compris la glace
alimentaire d'origine hydrique (Code de la santé publique,
titre II, livre III, article R1321-1).
78RENCONTRE SOBR’IAA – 11 FÉVRIER 2016 – BORDEAUX
EAU PROPRE
Que cette eau propre soit produite à partir d’une ressource d’eau
privée ou à partir d’eau recyclée dans l’entreprise alimentaire,
l’exploitant doit alors apporter la preuve au préfet, que :
l’utilisation de cette eau n’affecte pas la salubrité de la denrée
finale, à l’exception d’usages particuliers de cette eau sans
rapport avec les denrées alimentaires (par exemple,
refroidissement des machines, production de vapeur n’entrant
pas en contact avec les aliments, lutte contre les incendies).
L’absence d’impact d’un usage d’une eau qui ne répondrait pas
à tous ces critères de potabilité doit être scientifiquement
justifiée.
79RENCONTRE SOBR’IAA – 11 FÉVRIER 2016 – BORDEAUX
EAU RECYCLÉE
Doit être d’une qualité adaptée à l’étape de transformation et ne doit pasaffecter la salubrité du produit final, elle peut être traitée si nécessaire. Letraitement fait l'objet d'une surveillance.
L'eau recyclée circule dans des canalisations distinctes, facilementidentifiables.
Exemple d’utilisation = refroidissement des récipients qui ont été soumis àun traitement par la chaleur
L’eau recyclée doit alors être traitée. L’objectif de ce traitement est que l’eaurecyclée ne puisse pas contaminer les produits.
Afin de maintenir le circuit d’eau de refroidissement en état sanitairesatisfaisant et afin de protéger les matériels, il convient généralement d’ajouterà l’eau de refroidissement recyclée des substances autorisées (additifs,antitartres, anticorrosion et biocides) pour lutter contre la corrosion oul'entartrage des boîtes de conserve et des stérilisateurs, par exemple.
L’eau utilisée comme appoint pour compléter le niveau dans les circuits d’eaude refroidissement doit être potable.
80RENCONTRE SOBR’IAA – 11 FÉVRIER 2016 – BORDEAUX
SURVEILLANCE DE LA QUALITÉ DE L’EAU
Examen régulier des installations, réseau intérieur de distributiond’eau et des éventuels dispositifs de traitement mis en œuvre ;
Programme de tests ou d’analyses effectués sur des pointsdéterminés en fonction des dangers identifiés que peuventprésenter les installations :
qualité des matériaux du réseau intérieur,
existence de parties stagnantes dans le réseau
état d’entretien des canalisations
température de l’eau (> 55°C si canalisations en acier)
Tenue d’un fichier recueillant notamment le plan de surveillance dela qualité de l’eau aux points d’utilisation répondant aux exigencesréglementaires.
81RENCONTRE SOBR’IAA – 11 FÉVRIER 2016 – BORDEAUX
LE PLAN DES RÉSEAUX D’EAU
Afin d’expliciter simplement des réseaux d’eau de
l’entreprise, un plan des réseaux peut être tenu à jour.
Qui se charge de cette mise à jour ?
Est-il réellement à jour ?
Est-il compréhensible par un non spécialiste ?
82RENCONTRE SOBR’IAA – 11 FÉVRIER 2016 – BORDEAUX
LE PLAN DES RÉSEAUX D’EAU
Comporte-t-il :
Les circuits d’eau potable ?
Les circuits d’eau adoucie ?
Les circuits d’eau non potable ?
Les circuits d’eau recyclée ?
Mais aussi
les points d’injection des intrants (additifs, A.T.) ?
les appoints en eau neuve ?
les sorties et effluents ?
les points de contrôles de paramètres chimiques et physiques ?
83RENCONTRE SOBR’IAA – 11 FÉVRIER 2016 – BORDEAUX
DIAGNOSTIC SOBR’IAA
84RENCONTRE SOBR’IAA – 11 FÉVRIER 2016 – BORDEAUX
85RENCONTRE SOBR’IAA – 11 FÉVRIER 2016 – BORDEAUX
DIAGNOSTIC SOBR’IAA
86RENCONTRE SOBR’IAA – 11 FÉVRIER 2016 – BORDEAUX
DIAGNOSTIC SOBR’IAA
87RENCONTRE SOBR’IAA – 11 FÉVRIER 2016 – BORDEAUX
DIAGNOSTIC SOBR’IAA
88RENCONTRE SOBR’IAA – 11 FÉVRIER 2016 – BORDEAUX
DIAGNOSTIC SOBR’IAA
LES EMBALLAGESSOUS L’ANGLE QUALITÉ SANITAIRE
89RENCONTRE SOBR’IAA – 11 FÉVRIER 2016 – BORDEAUX
Ne pas présenter de danger pour la santé humaine
Ne pas altérer la composition des aliments
Ne pas modifier les caractéristiques organoleptiques des aliments
3 PRINCIPES À RESPECTER POUR L’EMBALLAGE
90RENCONTRE SOBR’IAA – 11 FÉVRIER 2016 – BORDEAUX
RÈGLEMENT 852/2004
« Les matériaux constitutifs du conditionnement et de
l’emballage ne doivent pas être une source de
contamination »
Aptitude au contact alimentaire des emballages
Cela comprend l’emballage primaire et secondaire
« L’intégrité des emballages doit être assurée jusqu’à leur
utilisation »
Quelles sont les conditions de stockage ?
91RENCONTRE SOBR’IAA – 11 FÉVRIER 2016 – BORDEAUX
APTITUDE AU CONTACT ALIMENTAIRE
Fiches techniques des emballages
Déclaration de conformité
Tests de migration globale et spécifique
92RENCONTRE SOBR’IAA – 11 FÉVRIER 2016 – BORDEAUX
CRITÈRES DE SÉLECTION DES FOURNISSEURS
Auditez-vous vos fournisseurs d’emballage ?
Avez-vous des critères de sélection des fournisseurs ?
Certifications ?
Mise en place HACCP ?
BRC Iop ?
IFS PAC secure ?
ISO 22 000 ?
Norme NF 15593 ?
93RENCONTRE SOBR’IAA – 11 FÉVRIER 2016 – BORDEAUX
94RENCONTRE SOBR’IAA – 11 FÉVRIER 2016 – BORDEAUX
DIAGNOSTIC SOBR’IAA
95RENCONTRE SOBR’IAA – 11 FÉVRIER 2016 – BORDEAUX
DIAGNOSTIC SOBR’IAA
LA MAÎTRISE DES COÛTSSOUS L’ANGLE QUALITÉ SANITAIRE
96RENCONTRE SOBR’IAA – 11 FÉVRIER 2016 – BORDEAUX
Pour qu’un client soit satisfait, encore faut-il avoir identifier ce dont il a besoin
Quels sont les besoins de vos clients?
LES BASES DE LA QUALITÉ
97RENCONTRE SOBR’IAA – 11 FÉVRIER 2016 – BORDEAUX
LES BASES DE LA QUALITÉ
Besoins IMPLICITES des clients
+
Besoins EXPLICITES des clients
=
EXIGENCES DES CLIENTS
Elles sont formalisées dans un cahier des charges, ces exigences sont traduites en spécifications, fiches
recettes sur le terrain.
98RENCONTRE SOBR’IAA – 11 FÉVRIER 2016 – BORDEAUX
LES BESOINS EXPLICITES
Qualité du produit
Délais de livraison
Tarifs
Respect des cahiers des charges
Fiabilité des autocontrôles
Certification…..etc.
99RENCONTRE SOBR’IAA – 11 FÉVRIER 2016 – BORDEAUX
Tout ce qui paraît évident au client mais qu’il n’exprime
pas
Exemples :
Compétence du personnel
Respect de la réglementation
Respect des bonnes pratiques de fabrication
LES BESOINS IMPLICITES
100RENCONTRE SOBR’IAA – 11 FÉVRIER 2016 – BORDEAUX
Comment l’entreprise
l’a compris
Comment l’entreprise
l’a planifié
Ce que l’entreprise a
produit
Ce que le contrat a
stipulé
101RENCONTRE SOBR’IAA – 11 FÉVRIER 2016 – BORDEAUX
Qualité
souhaitée
Exigences
Qualité
visée
Spécifications
Qualité
obtenue
RéalisationNon conformité
Conception Production
Défaut de
conception
LES ECARTS QUALITE
LES BASES DE LA QUALITÉ
102RENCONTRE SOBR’IAA – 11 FÉVRIER 2016 – BORDEAUX
Qualité
souhaitée
Exigences
Qualité
visée
Spécifications
Qualité
obtenue
Réalisation
SOUS
QUALITE
Conception Production
SUR
QUALITE
LES ECARTS QUALITE
LES BASES DE LA QUALITÉ
103RENCONTRE SOBR’IAA – 11 FÉVRIER 2016 – BORDEAUX
LES BASES DE LA QUALITÉ
pas moins : NON QUALITE
ce que le client attend et qu’il ne reçoit pas
le client n ’est pas satisfait
pas plus : SUR QUALITE
ce que nous fournissons au client mais dont il n ’a pas besoin.
le client est satisfait mais le « plus » peut coûter très cher !
104RENCONTRE SOBR’IAA – 11 FÉVRIER 2016 – BORDEAUX
LA SATISFACTION CLIENT
1 réclamation client reçue :
. c ’est 6 qui n’ont pas réclamé,
. c ’est 7 qui en parlent à 6 autres,
. c ’est 42 personnes insatisfaites
et donc potentiellement, c’est 42 CLIENTS PERDUS…
105RENCONTRE SOBR’IAA – 11 FÉVRIER 2016 – BORDEAUX
LES BASES DE LA QUALITÉ
Les coûts de non-qualité sont des coûts engendrés par
les non-conformités.
Ils représentent environ 10 % du chiffre d'affaire des
entreprises.
106RENCONTRE SOBR’IAA – 11 FÉVRIER 2016 – BORDEAUX
COUTS DE DEFAILLANCES EXTERNES :
COUTS DE DEFAILLANCES INTERNES :
LES BASES DE LA QUALITÉ
Retards
Avoirs
Retours
Pertes de clientèle
Retrait/rappelTris
RéparationsDéclassements
107RENCONTRE SOBR’IAA – 11 FÉVRIER 2016 – BORDEAUX
COUTS D'EVALUATION
COUTS DE PREVENTION
LES BASES DE LA QUALITÉ
Contrôles Analyses
Qualité
Formation
Evaluation des fournisseurs
108RENCONTRE SOBR’IAA – 11 FÉVRIER 2016 – BORDEAUX
MERCI pour votre
attention
109RENCONTRE SOBR’IAA – 11 FÉVRIER 2016 – BORDEAUX
110RENCONTRE SOBR’IAA – 11 FÉVRIER 2016 – BORDEAUX
LE DIAGNOSTIC
PERFORMANCE
OPÉRATIONNELLE GLOBALECONTENU ET DÉROULÉ
ANTOINE BESNIER
Chargé de missions Environnement - ITERG
DIAGNOSTIC PERFORMANCE OPÉRATIONNELLE GLOBALE
111RENCONTRE SOBR’IAA – 11 FÉVRIER 2016 – BORDEAUX
Objectif :
Livrer des recommandations d’actions à mettre en place à court
terme pour initier des améliorations
Organisation :
1,5 jours de diagnostic sur site + ½ jour de restitution
9 thématiques abordées – 110 questions :
1. Organisation générale
2. Qualité et sécurité des aliments
3. Management environnemental
4. Gestion de la production
5. Utilités
6. Maintenance
7. Achats et logistique
8. R & D
9. Ressources Humaines
DIAGNOSTIC PERFORMANCE OPÉRATIONNELLE GLOBALE
112RENCONTRE SOBR’IAA – 11 FÉVRIER 2016 – BORDEAUX
Le planning du diagnostic comprend :
Interview de la Direction
Séquences de visite du site avec le chef de projet
Interview des responsables des différents services
Débriefing immédiat à l’issu de l’intervention à la
Direction
Planning souple, adaptation à l’entreprise
EXEMPLE DE QUESTION
113RENCONTRE SOBR’IAA – 11 FÉVRIER 2016 – BORDEAUX
Non audité
Performant
Pénalisant
Optimisable
A compléter
Une grille de notation simple : Un outil sur tablette :
Simplification de la prise de notes sur
le terrain
Possibilité de prendre des photos
Rapidité dans l’édition du rapport
Sous chaque question, des « sous-questions » pour pouvoir rapidement
creuser chaque sujet
EXEMPLE DE QUESTION
114RENCONTRE SOBR’IAA – 11 FÉVRIER 2016 – BORDEAUX
Exemple de constats : Le manque d’organisation lors des changements de format (outils non disponibles,
préparation des palettes) pénalise le rendement de la ligne. D’importantes marges de
progrès semblent envisageable
Proposition d’amélioration : Préparer le matériel avant le changement de format
RESTITUTION DU DIAGNOSTIC PERFORMANCE
OPÉRATIONNELLE GLOBALE
115RENCONTRE SOBR’IAA – 11 FÉVRIER 2016 – BORDEAUX
Restitution :
• Un rapport completDocument de 50 pages environ
Plusieurs niveaux de lecture
Illustré par des photos
• Une restitution en entrepriseRestitution orale sur principaux constats et
axes de progrès
Propositions d’actions à
court terme
Conclusion Diagnostic
Performance Opérationnelle
Globale
Accompagnement
Expert
2
1
Fin programme
SOBR’IAA
116RENCONTRE SOBR’IAA – 11 FÉVRIER 2016 – BORDEAUX
LE DIAGNOSTIC
PERFORMANCE
OPÉRATIONNELLE GLOBALETÉMOIGNAGE INDUSTRIEL
OLIVIER TARDIEU
Directeur – Huilerie GID
117RENCONTRE SOBR’IAA – 11 FÉVRIER 2016 – BORDEAUX
118RENCONTRE SOBR’IAA – 11 FÉVRIER 2016 – BORDEAUX
HUILE CUISINOR
LA RÉFÉRENCE EN RESTAURATION
DEPUIS PLUS DE 40 ANS
Produit Multi-usage :
→ Friture / Cuisson / Assaisonnement
Bon équilibre nutritionnel Ω3 / Ω6 :
→ Mélange de 4 Huiles
(Tournesol/Colza/Pépins de Raisin/ Tournesol oléique/DMPS)
Haute résistance à la chauffe
Format 20 L ou 5 L : Ergonomique et Recyclable
SANS ARACHIDE, SANS PALME, SANS OGM
119RENCONTRE SOBR’IAA – 11 FÉVRIER 2016 – BORDEAUX
HUILE GID
COLZA & OLIVE
HUILE POUR ASSAISONNEMENT ET CUISSON
Bon équilibre nutritionnel : 20 % d’Huile d’Olive Vierge
Extra 80 % d’Huile de Colza
Le goût Fruité de l’Olive et les bienfaits du Colza
(oméga 3)
Produit Multi-usage :
→ Cuisson (plancha…)
→ Assaisonnement (vinaigrette, carpaccio…)
Moins couteux que de l’Huile d’Olive
L’ENTREPRISE
Métier : assemblage et conditionnement d’huiles
végétales pour l’alimentation humaine, négoce d’huiles
Effectif : 12 personnes
CA : 26 M€
Volume d’huile traité : 25 M de L/an
Localisation : Saint-Médard-de-Guizières (Gironde, proche Libourne)
120RENCONTRE SOBR’IAA – 11 FÉVRIER 2016 – BORDEAUX
L’ENTREPRISE
Création en 1942 de l’huilerie GID (Graisses Industrielles et Dérivés) ;
fabrication d’huile brute à partir de pépins de raisin
Création en 1975 d’un atelier de conditionnement
121RENCONTRE SOBR’IAA – 11 FÉVRIER 2016 – BORDEAUX
1981 : arrêt de l’activité du moulin,
transformation en centrale hydro-
électrique
Depuis 1985, développement
progressif de l’activité de
conditionnement
DÉROULÉ DU DIAGNOSTIC
Les Experts SOBR’IAA :
o Frédéric CHEVALLIER – CRITT Agro-Alimentaire la Rochelle
o Antoine BESNIER – ITERG
Les 7 - 8 juillet 2015 (1,5 jours sur site)
Les principaux interlocuteurs des experts :
o Le responsable qualité
o Un collaborateur de l’équipe de production
o moi-même
122RENCONTRE SOBR’IAA – 11 FÉVRIER 2016 – BORDEAUX
LES LIVRABLES ET RENDUS
Déroulé du diagnostic :
plusieurs séquences d’échanges avec les principaux interlocuteurs
plusieurs séquences de visite (rapides interviews des opérateurs de
production)
Périodes de compilation de l’information
Séquences de validation des informations collectées
123RENCONTRE SOBR’IAA – 11 FÉVRIER 2016 – BORDEAUX
LES LIVRABLES ET RENDUS
124RENCONTRE SOBR’IAA – 11 FÉVRIER 2016 – BORDEAUX
Les 3 rendus :
1er retour à chaud à la fin du diagnostic
Rapport complet du diagnostic
Restitution orale du diagnostic
LE RAPPORT COMPLET
125RENCONTRE SOBR’IAA – 11 FÉVRIER 2016 – BORDEAUX
Un document dense, traitant une grande variété de sujets
Plusieurs niveaux de lecture :
1. Le 1er élément visuel
LE RAPPORT COMPLET
126RENCONTRE SOBR’IAA – 11 FÉVRIER 2016 – BORDEAUX
2. Le focus sur les éléments pénalisants et optimisables
3. Les réponses et analyses complètes à chacune des questions
RESTITUTION ORALE DU DIAGNOSTIC
127RENCONTRE SOBR’IAA – 11 FÉVRIER 2016 – BORDEAUX
Revue de l’ensemble des thématiques abordées lors du diagnostic
Intérêt :
Permet d’échanger à froid avec les experts sur les principaux constats et
pistes de progrès
Eventuellement permet de revenir sur certains passages du diagnostic
1. Organisation générale2. Qualité et sécurité des aliments3. Management environnemental4. Gestion de la production5. Utilités
6. Maintenance7. Achats et logistique8. R&D – Ecoconception9. Ressources humaines
EXEMPLE : LA MAINTENANCE
128RENCONTRE SOBR’IAA – 11 FÉVRIER 2016 – BORDEAUX
CONSTATS Pas de suivi de l’efficacité de la maintenance
Équipe de production impliquée dans les opérations de maintenance
PISTES DE PROGRÈS La maintenance doit être mieux structurée
Mettre en place des suppléances sur l’ensemble des opérations de maintenance
EXEMPLE : GESTION DE LA PRODUCTION
129RENCONTRE SOBR’IAA – 11 FÉVRIER 2016 – BORDEAUX
CONSTATS Capacités de production supérieures à la
production
La faible capacité de stockage a un impact fort sur la productivité de l’entreprise
PISTES DE PROGRÈS Solutionner le manque d’espace au sein de l’atelier
de production
Améliorer les temps de changement de format
Définir des indicateurs de la performance
EXEMPLE : UTILITÉS
130RENCONTRE SOBR’IAA – 11 FÉVRIER 2016 – BORDEAUX
CONSTATS 3 utilités : eau, air comprimé, électricité
De manière générale, bonne gestion des utilités
PISTE DE PROGRÈS N/A
EXEMPLE : QUALITÉ ET SÉCURITÉ DES ALIMENTS
131RENCONTRE SOBR’IAA – 11 FÉVRIER 2016 – BORDEAUX
CONSTATS Politique QSDA engagée en 2008
Plan de nettoyage formalisé
Travail actuel sur la réécriture de la démarche HACCP
PISTES DE PROGRÈS Améliorer le suivi du plan de nettoyage (plan pas
assez performant)
Améliorer la gestion des déchets et du circuit de purge
132RENCONTRE SOBR’IAA – 11 FÉVRIER 2016 – BORDEAUX
CONCLUSION DE LA
RENCONTRE SOBR’IAA
FABRICE BOSQUE
Responsable Environnement et Éco-industries – ITERG
L’ACCOMPAGNEMENT PERSONNALISÉ PROPOSÉ
PAR SOBR’IAA
Identifier des problématiques et
proposer des actions
133RENCONTRE SOBR’IAA – 11 FÉVRIER 2016 – BORDEAUX
Une solution souple, par étapes
Trouver des compromis entre les
différentes exigences sanitaires,
environnementales et de
performance industrielle
En résumé :
L’ACCOMPAGNEMENT PERSONNALISÉ PROPOSÉ
PAR SOBR’IAA DANS LA GRANDE RÉGION ALPC
134RENCONTRE SOBR’IAA – 11 FÉVRIER 2016 – BORDEAUX
Les experts SOBR’IAA :
Antoine BESNIER
Chargé de Missions Environnement – ITERG
Frédéric CHEVALLIER
Conseiller Technologique – CRITT Agro-Alimentaire
Sylvie PONCET-VERDIER
Chef de Projet Performance Industrielle – AGROTEC
Fabrice BOSQUE
Responsable Environnement et Eco-conception – ITERG