cmbv saison 2009-2010

centre de musique baroque de versaillessaison 2009-2010

Valoriser le patrimoine musical français baroque et classique. Cette mission nationale, confiée au Centre de Musique Baroque de Versailles, se décline dans les champs de la recherche, de la documentation, de l’édition, de la formation d’interprètes et de la production de concerts sur instruments d’époque, au château de Versailles.

Le Centre de Musique Baroque de Versailles, organisme associé à l’Établissement public du musée et du domaine national de Versailles, est subventionné par :• le Ministère de la culture et de la communicationdirection de la musique, de la danse, du théâtre et des spectacles• l’Établissement public du musée et du domaine national de Versailles• le Sénat• le Conseil Régional d’Ile-de-France• le Conseil Général des Yvelines• la Ville de Versailles

Son département Recherche est une Unité Mixte du CNRS

Lieu de mémoire et de patrimoine, le château de Versailles se doit égale-ment de témoigner de la création et de la diversité des cultures. C’est bien le sens des initiatives que j’ai prises, qu’il s’agisse de la présentation des œuvres de Jeff Koons ou de la programmation musicale mise en œuvre dorénavant par « château de Versailles Spectacles » de janvier à juin, en complément du projet artistique déployé à l’automne, depuis plus de vingt ans, par le Centre de Musique Baroque de Versailles autour du répertoi-re baroque français. N’est-il cependant pas vain d’opposer systématiquement patri-moine et création ! Versailles témoigne de ce que fut en son temps la créa-tion conduite à son point d’excellence. C’est pour les créateurs d’aujourd’hui un enjeu extraordinaire que de pouvoir confronter leurs projets et leurs propositions à ce formidable patrimoine. Le visiteur trou-vera de son côté de très stimulantes sensations dans cette rencontre des œuvres, par-delà l’abîme des siècles qui les séparent, ainsi que l’occasion d’utiles réflexions sur le caractère intemporel de l’art. Chacune des com-posantes de la constellation culturelle de Versailles prend sa part à ce dialogue. Le cmbv le fait de façon exemplaire, nous invitant, saison après saison, à la découverte de nouveaux rivages. Cet automne, c’est l’art musical français de la fin du xviiie siècle que le Centre nous propose d’aborder tout au long des concerts et des spectacles des Grandes Journées Grétry, en hommage au musicien de Marie-Antoinette. Que d’a priori – souvent défavorables – sur cette période de notre histoire musicale ! Que de talents pourtant, et de richesses insoupçonnées, dans ces œuvres à la fois imprégnées du siècle des lumières, inspirées du baroque finissant et annonciatrices, par des audaces inouïes, du romantisme français. Mais c’est dans la démarche de programmation elle-même que sont définitivement réunis patrimoine et création à travers les recréations d’œuvres jamais rejouées depuis leur première présentation au public ; les restitutions de partitions, dans leur forme originelle ; la commande d’une création chorégraphique sur des musiques d’opéras ; la restitution de toiles peintes faisant revivre la magie du théâtre à machines… Cette diversité d’appro-che, dans le souci constant du respect des œuvres, menée avec la complicité des plus grands musiciens, chorégraphes, metteurs en scène et décorateurs, est, en quelque sorte, la « marque de fabrique » de notre Centre. Je ne serais pas complet si j’omettais de souligner l’importance qu’occupent ces Grandes Journées Grétry dans les festivités de réouver-ture de l’Opéra royal. Les représentations scéniques de L’Amant Jaloux seront l’occasion d’enrichir ce théâtre d’un nouveau fonds de décors. La présen-tation en concert de l’intégralité de la musique du ballet de Céphale & Procris, créé à l’Opéra royal en 1773, ajoutera encore à l’éclat de cette initiative. Tout cela annonce un excellent automne musical au château de Versailles. Je m’en réjouis.

Jean-Jacques AillagonAncien Ministre, Président de l’Établissement public du musée et du domaine national de Versailles

Le Centre de Musique Baroque de Versailles, organisme associé à l’Établissement public du musée et du domaine national de Versailles, est subventionné par :• le Ministère de la culture et de la communicationdirection de la musique, de la danse, du théâtre et des spectacles• l’Établissement public du musée et du domaine national de Versailles• le Sénat• le Conseil Régional d’Ile-de-France• le Conseil Général des Yvelines• la Ville de Versailles

Son département Recherche est une Unité Mixte du CNRS

Lieu de mémoire et de patrimoine, le château de Versailles se doit égale-ment de témoigner de la création et de la diversité des cultures. C’est bien le sens des initiatives que j’ai prises, qu’il s’agisse de la présentation des œuvres de Jeff Koons ou de la programmation musicale mise en œuvre dorénavant par « château de Versailles Spectacles » de janvier à juin, en complément du projet artistique déployé à l’automne, depuis plus de vingt ans, par le Centre de Musique Baroque de Versailles autour du répertoi-re baroque français. N’est-il cependant pas vain d’opposer systématiquement patri-moine et création ! Versailles témoigne de ce que fut en son temps la créa-tion conduite à son point d’excellence. C’est pour les créateurs d’aujourd’hui un enjeu extraordinaire que de pouvoir confronter leurs projets et leurs propositions à ce formidable patrimoine. Le visiteur trou-vera de son côté de très stimulantes sensations dans cette rencontre des œuvres, par-delà l’abîme des siècles qui les séparent, ainsi que l’occasion d’utiles réflexions sur le caractère intemporel de l’art. Chacune des com-posantes de la constellation culturelle de Versailles prend sa part à ce dialogue. Le cmbv le fait de façon exemplaire, nous invitant, saison après saison, à la découverte de nouveaux rivages. Cet automne, c’est l’art musical français de la fin du xviiie siècle que le Centre nous propose d’aborder tout au long des concerts et des spectacles des Grandes Journées Grétry, en hommage au musicien de Marie-Antoinette. Que d’a priori – souvent défavorables – sur cette période de notre histoire musicale ! Que de talents pourtant, et de richesses insoupçonnées, dans ces œuvres à la fois imprégnées du siècle des lumières, inspirées du baroque finissant et annonciatrices, par des audaces inouïes, du romantisme français. Mais c’est dans la démarche de programmation elle-même que sont définitivement réunis patrimoine et création à travers les recréations d’œuvres jamais rejouées depuis leur première présentation au public ; les restitutions de partitions, dans leur forme originelle ; la commande d’une création chorégraphique sur des musiques d’opéras ; la restitution de toiles peintes faisant revivre la magie du théâtre à machines… Cette diversité d’appro-che, dans le souci constant du respect des œuvres, menée avec la complicité des plus grands musiciens, chorégraphes, metteurs en scène et décorateurs, est, en quelque sorte, la « marque de fabrique » de notre Centre. Je ne serais pas complet si j’omettais de souligner l’importance qu’occupent ces Grandes Journées Grétry dans les festivités de réouver-ture de l’Opéra royal. Les représentations scéniques de L’Amant Jaloux seront l’occasion d’enrichir ce théâtre d’un nouveau fonds de décors. La présen-tation en concert de l’intégralité de la musique du ballet de Céphale & Procris, créé à l’Opéra royal en 1773, ajoutera encore à l’éclat de cette initiative. Tout cela annonce un excellent automne musical au château de Versailles. Je m’en réjouis.

Jean-Jacques AillagonAncien Ministre, Président de l’Établissement public du musée et du domaine national de Versailles

Pour la première fois, le Centre de Musique Baroque de Versailles consa-cre ses Grandes Journées à André Ernest Modeste Grétry (1741 - 1813), l’un des compositeurs majeurs de la fin du xviiie siècle français. Grétry serait considéré aujourd’hui comme un citoyen de l’Europe : originaire de la principauté de Liège, accueilli à Paris où il devient, avec Gluck, l’un des musiciens favoris de Marie-Antoinette, ses œuvres furent jouées, plus que tout autre compositeur, dans tous les pays d’Europe, jusqu’en Russie. Composant essentiellement pour la scène, Grétry écrivit plus d’une vingtaine d’opéras comiques et près de dix musiques de ballet, accompagnant ainsi, et avec quel talent, l’émergence des genres nouveaux, caractéristiques de cette fin du xviiie siècle : l’opéra comique et le ballet pantomime, mais aussi le quatuor à cordes et la symphonie. C’est à la redécouverte de l’œuvre de ce compositeur aujourd’hui injustement méconnu que vous convie le Centre de Musique Baroque de Versailles tout au long de ces Grandes Journées Grétry, musicien de Marie-Antoinette. De part et d’autre des Grandes Journées, les Fêtes Baroques sont consacrées cette saison aux grands compositeurs du siècle de Louis xiv avec une série de concerts événements qui resteront, à n’en pas douter, dans les mémoires. Enfin, la saison 2009-2010 sera rythmée, de novembre à juin, par les Jeudis Musicaux de la Chapelle Royale – auditions hebdomadaires des Pages & des Chantres du Centre de Musique Baroque de Versailles et des organistes du Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris – et les Rencontres de Menus Plaisirs, conférences et débats animés deux mardis par mois par des musicologues et des interprètes. Les artistes, français et étrangers, qui participent à cette saison sont si nombreux qu’il nous est impossible de tous les nommer ici. Qu’ils soient sincèrement remerciés pour leur investissement dans la construction de la programmation de cette saison. Le Centre de Musique Baroque de Versailles se réjouit du nom-bre et de la qualité des partenaires professionnels, réunis autour de lui pour cette nouvelle saison. Depuis maintenant 2005, château de Versailles Spectacles coréalise l’ensemble des concerts et spectacles programmés à Versailles lors de notre saison d’automne. Au-delà de cet accord général de coréalisation, de nombreux projets n’ont pu voir le jour qu’en association avec d’autres coproducteurs ou coréalisateurs. La recréation d’Amadis de Lully, dans le cadre des Fêtes Baroques, a été rendue possible grâce à la coproduction mise en œuvre avec les opé-ras d’Avignon et de Massy. Le spectacle pantomime, La Belle et la Bête, a été coproduit avec le Festival Via Stellae de Saint-Jacques de Compostelle et le Shlemil Théâtre. La recréation de l’ambitieuse tragédie lyrique de Grétry, Andromaque, a réuni autour du Centre le Palais des Beaux-Arts de Bruxelles, le Palazzetto Bru Zane - Centre de musique romantique fran-çaise, le Concert Spirituel et le Théâtre des Champs-Élysées. Celle de

Céphale & Procris a été possible grâce à la coproduction du Centre d’Art Vocal et de Musique Ancienne de Namur et de la Salle Philharmonique de Liège. Après l’immense succès de Cadmus & Hermione de Lully en 2008-2009, le Centre de Musique Baroque de Versailles et le Théâtre National de l’Opé-ra Comique ont reconduit leur collaboration à l’occasion des représen-tations scéniques de L’Amant Jaloux de Grétry, auxquelles s’est associé un troi-sième coproducteur, l’Opéra Royal de Wallonie à Liège. Nous prolongeons ainsi, avec cette nouvelle production, la démarche patrimoniale de restitu-tion de décors de toiles peintes initiée en 2006 avec le ballet Les Petits Riens de Mozart. Pour l’ensemble des Journées Grétry, le Centre a bénéficié du sou-tien amical de la Délégation Générale Wallonie-Bruxelles à Paris. Saluons aussi la collaboration de deux institutions versaillaises qui acceptent régulièrement depuis plusieurs années maintenant de met-tre leur lieu à notre disposition : l’Académie du Spectacle Équestre pour le Manège de la Grande Écurie et le Théâtre Montansier. Qu’il nous soit permis, en ces temps de difficultés économi-ques, d’attirer votre attention sur les conditions tarifaires de notre saison, restées inchangées par rapport à la saison précédente. Gardez en tête les avantages de l’adhésion au Centre qui, pour une somme unique de 50 euros, vous permet de bénéficier de tarifs réduits pour l’ensemble des programmes et d’une priorité de réservation. Enfin, on ignore trop sou-vent que le cmbv propose, pour tous ses concerts et spectacles, un tarif de 10 euros pour les moins de 26 ans et de 4 euros pour les moins de 16 ans ! Jeunes et familles, profitez-en ! Nous tenons à rendre hommage à ceux qui, autour du Ministère de la Culture et de la Communication, contribuent activement au finan-cement du Centre et particulièrement de sa saison : le château de Versailles présidé par Jean-Jacques Aillagon, le Sénat, le Conseil Régional d’Ile-de-France, le Conseil Général des Yvelines, la Ville de Versailles, le cnrs et l’ensemble des entreprises et mécènes qui nous renouvellent leur confiance.

Bertrand DufourcqAmbassadeur de France, Président du Conseild’Administration

Hervé Burckel de TellDirecteur Général

Pour la première fois, le Centre de Musique Baroque de Versailles consa-cre ses Grandes Journées à André Ernest Modeste Grétry (1741 - 1813), l’un des compositeurs majeurs de la fin du xviiie siècle français. Grétry serait considéré aujourd’hui comme un citoyen de l’Europe : originaire de la principauté de Liège, accueilli à Paris où il devient, avec Gluck, l’un des musiciens favoris de Marie-Antoinette, ses œuvres furent jouées, plus que tout autre compositeur, dans tous les pays d’Europe, jusqu’en Russie. Composant essentiellement pour la scène, Grétry écrivit plus d’une vingtaine d’opéras comiques et près de dix musiques de ballet, accompagnant ainsi, et avec quel talent, l’émergence des genres nouveaux, caractéristiques de cette fin du xviiie siècle : l’opéra comique et le ballet pantomime, mais aussi le quatuor à cordes et la symphonie. C’est à la redécouverte de l’œuvre de ce compositeur aujourd’hui injustement méconnu que vous convie le Centre de Musique Baroque de Versailles tout au long de ces Grandes Journées Grétry, musicien de Marie-Antoinette. De part et d’autre des Grandes Journées, les Fêtes Baroques sont consacrées cette saison aux grands compositeurs du siècle de Louis xiv avec une série de concerts événements qui resteront, à n’en pas douter, dans les mémoires. Enfin, la saison 2009-2010 sera rythmée, de novembre à juin, par les Jeudis Musicaux de la Chapelle Royale – auditions hebdomadaires des Pages & des Chantres du Centre de Musique Baroque de Versailles et des organistes du Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris – et les Rencontres de Menus Plaisirs, conférences et débats animés deux mardis par mois par des musicologues et des interprètes. Les artistes, français et étrangers, qui participent à cette saison sont si nombreux qu’il nous est impossible de tous les nommer ici. Qu’ils soient sincèrement remerciés pour leur investissement dans la construction de la programmation de cette saison. Le Centre de Musique Baroque de Versailles se réjouit du nom-bre et de la qualité des partenaires professionnels, réunis autour de lui pour cette nouvelle saison. Depuis maintenant 2005, château de Versailles Spectacles coréalise l’ensemble des concerts et spectacles programmés à Versailles lors de notre saison d’automne. Au-delà de cet accord général de coréalisation, de nombreux projets n’ont pu voir le jour qu’en association avec d’autres coproducteurs ou coréalisateurs. La recréation d’Amadis de Lully, dans le cadre des Fêtes Baroques, a été rendue possible grâce à la coproduction mise en œuvre avec les opé-ras d’Avignon et de Massy. Le spectacle pantomime, La Belle et la Bête, a été coproduit avec le Festival Via Stellae de Saint-Jacques de Compostelle et le Shlemil Théâtre. La recréation de l’ambitieuse tragédie lyrique de Grétry, Andromaque, a réuni autour du Centre le Palais des Beaux-Arts de Bruxelles, le Palazzetto Bru Zane - Centre de musique romantique fran-çaise, le Concert Spirituel et le Théâtre des Champs-Élysées. Celle de

Céphale & Procris a été possible grâce à la coproduction du Centre d’Art Vocal et de Musique Ancienne de Namur et de la Salle Philharmonique de Liège. Après l’immense succès de Cadmus & Hermione de Lully en 2008-2009, le Centre de Musique Baroque de Versailles et le Théâtre National de l’Opé-ra Comique ont reconduit leur collaboration à l’occasion des représen-tations scéniques de L’Amant Jaloux de Grétry, auxquelles s’est associé un troi-sième coproducteur, l’Opéra Royal de Wallonie à Liège. Nous prolongeons ainsi, avec cette nouvelle production, la démarche patrimoniale de restitu-tion de décors de toiles peintes initiée en 2006 avec le ballet Les Petits Riens de Mozart. Pour l’ensemble des Journées Grétry, le Centre a bénéficié du sou-tien amical de la Délégation Générale Wallonie-Bruxelles à Paris. Saluons aussi la collaboration de deux institutions versaillaises qui acceptent régulièrement depuis plusieurs années maintenant de met-tre leur lieu à notre disposition : l’Académie du Spectacle Équestre pour le Manège de la Grande Écurie et le Théâtre Montansier. Qu’il nous soit permis, en ces temps de difficultés économi-ques, d’attirer votre attention sur les conditions tarifaires de notre saison, restées inchangées par rapport à la saison précédente. Gardez en tête les avantages de l’adhésion au Centre qui, pour une somme unique de 50 euros, vous permet de bénéficier de tarifs réduits pour l’ensemble des programmes et d’une priorité de réservation. Enfin, on ignore trop sou-vent que le cmbv propose, pour tous ses concerts et spectacles, un tarif de 10 euros pour les moins de 26 ans et de 4 euros pour les moins de 16 ans ! Jeunes et familles, profitez-en ! Nous tenons à rendre hommage à ceux qui, autour du Ministère de la Culture et de la Communication, contribuent activement au finan-cement du Centre et particulièrement de sa saison : le château de Versailles présidé par Jean-Jacques Aillagon, le Sénat, le Conseil Régional d’Ile-de-France, le Conseil Général des Yvelines, la Ville de Versailles, le cnrs et l’ensemble des entreprises et mécènes qui nous renouvellent leur confiance.

Bertrand DufourcqAmbassadeur de France, Président du Conseild’Administration

Hervé Burckel de TellDirecteur Général

fêtes baroques Instituées en 2006, les Fêtes Baroques sont l’occasion de faire entendre les grandes pages des compositeurs français de l’époque baroque. Le pro-gramme de l’édition 2009 est placé sous le regard de Louis xiv. Le Manège de la grande Écurie, la Chapelle royale, le Salon d’Hercule et la Galerie des Glaces résonneront des musiques des compositeurs favoris du Roi Soleil – Lully, Charpentier, Lalande, Couperin – mais aussi de celles de leurs contemporains et de leurs successeurs. Cette thématique générale des Fêtes Baroques a été choisie pour accompagner l’exposition exceptionnelle consacrée par le château de Versailles à « Louis XIV : l’homme et le Roi » (19 octobre 2009 - 7 février 2010).

Cette série de grands concerts aura de quoi surprendre avec une succession d’événements marquants tels que l’accueil, pour la première fois en Europe, de l’Orchestre du Festival de musique ancienne de Boston (Boston Early Music Festival Orchestra) dirigé par Paul O’Dette et Stephen Stubbs, le concert du trentième anniversaire des Arts Florissants avec William Christie, et le premier récital de clavecin d’Andreas Staier à Versailles. Pour clore la saison en majesté, le Centre de Musique Baroque de Versailles vous invite à la recréation des Symphonies pour le Souper du Roi de Lalande dans la Galerie des Glaces, avec les Talens Lyriques dirigés par Christophe Rousset.

Enfin, pour la première fois, Olivier Schneebeli, directeur musi-cal de la maîtrise du cmbv, conduira un ouvrage lyrique dans son intégralité : Amadis de Jean-Baptiste Lully. Préparée à Versailles, cette production sera créée les 24 et 26 janvier 2010 à l’Opéra-Théâtre d’Avignon et des Pays de Vaucluse et reprise les 6 et 7 février à l’Opéra de Massy.

les 25 et 26 septembre puis du 24 novembre au 3 décembre 2009Amadis : 6 et 7 février 2010 à Massy

grandes journées grétry, Musicien de Marie-Antoinette

Né à Liège en 1741, Grétry est l’une des figures les plus emblématiques de la fin du xviiie siècle. Formé à l’école d’Italie, il s’installe définitivement à Paris en 1767. Décrire la carrière de ce compositeur, c’est écrire l’histoire de France des dernières années du règne de Louis xv à l’apothéose du Premier Empire.

Lorsque Grétry signe son premier ouvrage d’importance, Le Huron, en 1768, Rameau, Leclair et Madame de Pompadour se sont éteints depuis quatre ans et, avec eux, les grandes heures du règne de Louis xv. Les années du Barry (1769-1774) seront celles des premiers succès. Mais c’est l’arrivée de la jeune dauphine Marie-Antoinette (1770) qui consacrera le triomphe du compositeur.

Grétry vit naître l’opéra-comique et concourut à en faire le genre emblématique de cette fin de siècle. Il hérita des genres de la tra-gédie lyrique et de l’opéra-ballet mais, au contact de Gluck, leur donna une physionomie nouvelle. Il assista au nouvel essor de la pantomime et signa lui-même de nombreux ballets. Sous la Révolution et l’Empire, il n’hésita pas à remettre en cause ses acquis et participa à la naissance d’un nouveau style où l’héroïsme et la pompe côtoyaient les sentiments les plus déchirants : Grétry ouvrait alors, sans le savoir, les portes du Romantisme.

En son temps, sa renommée franchit allègrement les frontières du royaume : traduits en italien, en anglais, en allemand, en suédois, en russe, ses ouvrages furent donnés pendant près d’un siècle sur tous les théâtres d’Europe. Il fut même, à bien considérer les choses, le compo-siteur français du xviiie siècle le plus joué à travers le monde.

Ce sont naturellement les ouvrages lyriques qui ont été privilégiés tout au long de ces Grandes Journées, avec le souci d’éclairer successive-ment chacune des facettes du style théâtral de Grétry : le comique bourgeois de demi-caractère (avec l’opéra-comique L’Amant jaloux), le pathétique déchirant et monumental d’un drame séculaire (avec la tragédie lyrique Andromaque), la luxuriance orchestrale et chorale d’un ouvrage de circons-tance (avec le ballet héroïque Céphale & Procris), ainsi que le nouvel essor de l’expression corporelle (avec La Belle et la Bête, spectacle pantomime librement adapté de l’opéra-comique Zémire & Azor). Autour de ces redécouvertes et de ces inédits, plusieurs programmes de musique de chambre et de musique sacrée donneront à Grétry et à ses contemporains une nouvelle occasion de « mettre en musique » le château de Versailles.

du 4 octobre au 21 novembre 2009

fêtes baroques Instituées en 2006, les Fêtes Baroques sont l’occasion de faire entendre les grandes pages des compositeurs français de l’époque baroque. Le pro-gramme de l’édition 2009 est placé sous le regard de Louis xiv. Le Manège de la grande Écurie, la Chapelle royale, le Salon d’Hercule et la Galerie des Glaces résonneront des musiques des compositeurs favoris du Roi Soleil – Lully, Charpentier, Lalande, Couperin – mais aussi de celles de leurs contemporains et de leurs successeurs. Cette thématique générale des Fêtes Baroques a été choisie pour accompagner l’exposition exceptionnelle consacrée par le château de Versailles à « Louis XIV : l’homme et le Roi » (19 octobre 2009 - 7 février 2010).

Cette série de grands concerts aura de quoi surprendre avec une succession d’événements marquants tels que l’accueil, pour la première fois en Europe, de l’Orchestre du Festival de musique ancienne de Boston (Boston Early Music Festival Orchestra) dirigé par Paul O’Dette et Stephen Stubbs, le concert du trentième anniversaire des Arts Florissants avec William Christie, et le premier récital de clavecin d’Andreas Staier à Versailles. Pour clore la saison en majesté, le Centre de Musique Baroque de Versailles vous invite à la recréation des Symphonies pour le Souper du Roi de Lalande dans la Galerie des Glaces, avec les Talens Lyriques dirigés par Christophe Rousset.

Enfin, pour la première fois, Olivier Schneebeli, directeur musi-cal de la maîtrise du cmbv, conduira un ouvrage lyrique dans son intégralité : Amadis de Jean-Baptiste Lully. Préparée à Versailles, cette production sera créée les 24 et 26 janvier 2010 à l’Opéra-Théâtre d’Avignon et des Pays de Vaucluse et reprise les 6 et 7 février à l’Opéra de Massy.

les 25 et 26 septembre puis du 24 novembre au 3 décembre 2009Amadis : 6 et 7 février 2010 à Massy

grandes journées grétry, Musicien de Marie-Antoinette

Né à Liège en 1741, Grétry est l’une des figures les plus emblématiques de la fin du xviiie siècle. Formé à l’école d’Italie, il s’installe définitivement à Paris en 1767. Décrire la carrière de ce compositeur, c’est écrire l’histoire de France des dernières années du règne de Louis xv à l’apothéose du Premier Empire.

Lorsque Grétry signe son premier ouvrage d’importance, Le Huron, en 1768, Rameau, Leclair et Madame de Pompadour se sont éteints depuis quatre ans et, avec eux, les grandes heures du règne de Louis xv. Les années du Barry (1769-1774) seront celles des premiers succès. Mais c’est l’arrivée de la jeune dauphine Marie-Antoinette (1770) qui consacrera le triomphe du compositeur.

Grétry vit naître l’opéra-comique et concourut à en faire le genre emblématique de cette fin de siècle. Il hérita des genres de la tra-gédie lyrique et de l’opéra-ballet mais, au contact de Gluck, leur donna une physionomie nouvelle. Il assista au nouvel essor de la pantomime et signa lui-même de nombreux ballets. Sous la Révolution et l’Empire, il n’hésita pas à remettre en cause ses acquis et participa à la naissance d’un nouveau style où l’héroïsme et la pompe côtoyaient les sentiments les plus déchirants : Grétry ouvrait alors, sans le savoir, les portes du Romantisme.

En son temps, sa renommée franchit allègrement les frontières du royaume : traduits en italien, en anglais, en allemand, en suédois, en russe, ses ouvrages furent donnés pendant près d’un siècle sur tous les théâtres d’Europe. Il fut même, à bien considérer les choses, le compo-siteur français du xviiie siècle le plus joué à travers le monde.

Ce sont naturellement les ouvrages lyriques qui ont été privilégiés tout au long de ces Grandes Journées, avec le souci d’éclairer successive-ment chacune des facettes du style théâtral de Grétry : le comique bourgeois de demi-caractère (avec l’opéra-comique L’Amant jaloux), le pathétique déchirant et monumental d’un drame séculaire (avec la tragédie lyrique Andromaque), la luxuriance orchestrale et chorale d’un ouvrage de circons-tance (avec le ballet héroïque Céphale & Procris), ainsi que le nouvel essor de l’expression corporelle (avec La Belle et la Bête, spectacle pantomime librement adapté de l’opéra-comique Zémire & Azor). Autour de ces redécouvertes et de ces inédits, plusieurs programmes de musique de chambre et de musique sacrée donneront à Grétry et à ses contemporains une nouvelle occasion de « mettre en musique » le château de Versailles.

du 4 octobre au 21 novembre 2009

programmessplendeur de l’opéra français de lully à rameau

motets de charpentier et lorenzani un dimanche à trianon

pianoforte - alain planès les favoris de marie-antoinette

la belle et la bête andromaque

l’amant jaloux musiques pour les couvents

céphale & procris grands motets pour la chapelle du roi

orgue - michel bouvard clavecin - andreas staier

symphonies pour les soupers du roi amadis

rencontres des menus plaisirsjeudis musicaux

informations pratiquesIndex

Compositeurs, interprètes, lieux de concerts

Le Centre de Musique Baroque de Versailles et ses partenaires

Plans, calendrier, tarifs

12162026303438424650545862 6670

Le Centre de Musique Baroque de Versailleset Château Versailles Spectaclescoréalisent les Fêtes Baroques et les Grandes Journées Grétry

programmessplendeur de l’opéra français de lully à rameau

motets de charpentier et lorenzani un dimanche à trianon

pianoforte - alain planès les favoris de marie-antoinette

la belle et la bête andromaque

l’amant jaloux musiques pour les couvents

céphale & procris grands motets pour la chapelle du roi

orgue - michel bouvard clavecin - andreas staier

symphonies pour les soupers du roi amadis

rencontres des menus plaisirsjeudis musicaux

informations pratiquesIndex

Compositeurs, interprètes, lieux de concerts

Le Centre de Musique Baroque de Versailles et ses partenaires

12162026303438424650545862 6670

Le Centre de Musique Baroque de Versailleset Château Versailles Spectaclescoréalisent les Fêtes Baroques et les Grandes Journées Grétry

Programmes

25 septembre

En créant l’opéra français, Lully imagine une musique capable de soutenir la poésie et le mot avec sobriété et efficacité. S’il reste le modèle des générations ultérieures, ses successeurs immédiats s’emploient pourtant à introduire dans le « spectacle d’opéra » des plages de musique pure pour le plus grand plaisir des spectateurs : ouvertures développées, ballets chatoyants, airs virtuoses sont autant d’éléments qui firent la gloire de Marais, Campra, Destouches et surtout Rameau, tout au long du règne de Louis XV.

splendeur de l’opéra

français

25 septembre

En créant l’opéra français, Lully imagine une musique capable de soutenir la poésie et le mot avec sobriété et efficacité. S’il reste le modèle des générations ultérieures, ses successeurs immédiats s’emploient pourtant à introduire dans le « spectacle d’opéra » des plages de musique pure pour le plus grand plaisir des spectateurs : ouvertures développées, ballets chatoyants, airs virtuoses sont autant d’éléments qui firent la gloire de Marais, Campra, Destouches et surtout Rameau, tout au long du règne de Louis XV.

splendeur de l’opéra

français

14 fêtes baroques | splendeur de l’opéra français 15

Depuis des années, le festival de musique ancienne de Boston a acquis une notoriété internationale, notamment pour ses recréations d’opéras baroques (dont Psyché de Lully en 2007). L’orchestre du festival, sous la direction de Paul O’Dette et Stephen Stubbs, s’est déjà fait entendre dans un large répertoire. Pour la première fois depuis sa création, il franchit l’Atlantique et vient se produire en Europe, à l’invitation du Centre de Musique Baroque de Versailles. Un concert exceptionnel !

Rencontres des Menus Plaisirs 19 jan 17h30 Raphaël Masson image et place du roi dans les fêtes versaillaises

vendredi 25 septembre à 21hdurée du concert : 1 heure 10 sans entracte

Manège de la Grande Écurieavenue Rockefeller parking dans la ville

tarif A placement numéroté

splendeur de l’opéra français de lully à rameau Jean-Baptiste LullyJean-Philippe RameauSuites d’opéras

Carolyn Sampson, dessus

Boston Early Music Festival OrchestraPaul O’Dette et Stephen Stubbs, direction artistique

Les débuts du Boston Early Music Festival Orchestra à Versailles sont soutenus par la Fondation Florence Gouldavec la collaboration de l’ Academie du Spectacle ÉquestreConcert enregistré par France Musique

14 fêtes baroques | splendeur de l’opéra français 15

Depuis des années, le festival de musique ancienne de Boston a acquis une notoriété internationale, notamment pour ses recréations d’opéras baroques (dont Psyché de Lully en 2007). L’orchestre du festival, sous la direction de Paul O’Dette et Stephen Stubbs, s’est déjà fait entendre dans un large répertoire. Pour la première fois depuis sa création, il franchit l’Atlantique et vient se produire en Europe, à l’invitation du Centre de Musique Baroque de Versailles. Un concert exceptionnel !

Rencontres des Menus Plaisirs 19 jan 17h30 Raphaël Masson image et place du roi dans les fêtes versaillaises

vendredi 25 septembre à 21hdurée du concert : 1 heure 10 sans entracte

Manège de la Grande Écurieavenue Rockefeller parking dans la ville

splendeur de l’opéra français de lully à rameau Jean-Baptiste LullyJean-Philippe RameauSuites d’opéras

Carolyn Sampson, dessus

Boston Early Music Festival OrchestraPaul O’Dette et Stephen Stubbs, direction artistique

Les débuts du Boston Early Music Festival Orchestra à Versailles sont soutenus par la Fondation Florence Gouldavec la collaboration de l’ Academie du Spectacle ÉquestreConcert enregistré par France Musique

26 septembre

Compositeur emblématique du règne de Louis XIV, Marc-Antoine Charpentier fut pourtant un génie incompris de son temps. L’échec de son opéra Médée à l’Académie royale de musique, tout comme son éloignement de la Cour (dont Lully prit grand soin de le tenir écarté) sont quelques exemples de cette défiance que lui témoignèrent la plupart de ses contemporains. Tout imprégné de l’Italie où il séjourna dans son jeune âge, Charpentier signa des motets dont l’audace était sans égale à son époque et que seuls quelques Italiens installés en France – comme Lorenzani, Gatti ou Bembo – pouvaient comprendre dans toute leur subtilité harmonique, mélodique et contrapuntique. C’est ce « cas » Charpentier que le programme imaginé par Gérard Lesne et son ensemble met une nouvelle fois en valeur.

motets de charpentier et

lorenzani

26 septembre

Compositeur emblématique du règne de Louis XIV, Marc-Antoine Charpentier fut pourtant un génie incompris de son temps. L’échec de son opéra Médée à l’Académie royale de musique, tout comme son éloignement de la Cour (dont Lully prit grand soin de le tenir écarté) sont quelques exemples de cette défiance que lui témoignèrent la plupart de ses contemporains. Tout imprégné de l’Italie où il séjourna dans son jeune âge, Charpentier signa des motets dont l’audace était sans égale à son époque et que seuls quelques Italiens installés en France – comme Lorenzani, Gatti ou Bembo – pouvaient comprendre dans toute leur subtilité harmonique, mélodique et contrapuntique. C’est ce « cas » Charpentier que le programme imaginé par Gérard Lesne et son ensemble met une nouvelle fois en valeur.

motets de charpentier et

lorenzani

18 fêtes baroques | motets de charpentier et lorenzani 19

Depuis de nombreuses années, Gérard Lesne s’emploie à faire revivre l’œuvre de Marc-Antoine Charpentier au concert et au disque. Il livre aujourd’hui son interprétation de motets peu connus, entouré des musiciens de l’ensemble Il Seminario musicale. Un nouvel hommage à l’un des compositeurs les plus géniaux du Grand Siècle français.

Rencontres des Menus Plaisirs 2 fév 17h30 Barbara Nestola « cet air italien que le roy ne pouvoit se

lasser d’entendre » : louis xiv et les concerts de musique italienne à la cour.

samedi 26 septembre à 21hdurée du concert : 1 heure sans entracte

Chapelle royaleaccès par le Pavillon Gabriel parking Cour d’honneur

motets de charpentier et lorenzani Marc-Antoine CharpentierPaolo LorenzaniMotets

Il Seminario MusicaleGérard Lesne, direction

Concert enregistré par France Musique

18 fêtes baroques | motets de charpentier et lorenzani 19

Depuis de nombreuses années, Gérard Lesne s’emploie à faire revivre l’œuvre de Marc-Antoine Charpentier au concert et au disque. Il livre aujourd’hui son interprétation de motets peu connus, entouré des musiciens de l’ensemble Il Seminario musicale. Un nouvel hommage à l’un des compositeurs les plus géniaux du Grand Siècle français.

Rencontres des Menus Plaisirs 2 fév 17h30 Barbara Nestola « cet air italien que le roy ne pouvoit se

lasser d’entendre » : louis xiv et les concerts de musique italienne à la cour.

samedi 26 septembre à 21hdurée du concert : 1 heure sans entracte

motets de charpentier et lorenzani Marc-Antoine CharpentierPaolo LorenzaniMotets

Il Seminario MusicaleGérard Lesne, direction

4 octobre

Une journée de musique à Trianon, au temps de Marie-Antoinette, faisait entendre des œuvres aux formats et aux styles très contrastés, tant la musique de chambre de la fin du XVIIIe siècle s’était ouverte à des genres nouveaux, appelés à connaître un avenir brillant à l’heure du romantisme. Dévolu jusqu’alors aux genres légers du divertissement et de la sérénade, le trio à cordes acquiert à l’époque un nouveau statut : les amateurs comme les professionnels y trouvent de quoi briller en société. Le quatuor quant à lui se hisse parmi les genres musicaux les plus populaires, aux côtés de l’opéra et de la symphonie. La romance, préfigurant la mélodie, s’y épanouit avec aisance, combinant une poésie raffinée et une musique toute en nuances et en demi-teintes.

4 concerts et buffet Quatre concerts dans la Galerie des Cotelle, de 60 minutes cha-cun et un buffet pour le déjeuner, devant l’Orangerie de Jussieu.Passer un dimanche complet de musique à Trianon ou goûter les plaisirs d’un seul concert. Au public de choisir.

11h quatuors Œuvres de Cambini, Jadin, Grétry

12h30 trios Œuvres de Haydn, Jadin, Boëly

13h30 buffet

15h30 romances et musiques de salon

Œuvres de Dauvergne, Boieldieu, Hérold, Saint-George, Dalayrac et Grétry

17h symphonies à la chambre du roi

Mondonville, Saint-George, Rigel, Dauvergne

dimancheà trianon

4 octobre

Une journée de musique à Trianon, au temps de Marie-Antoinette, faisait entendre des œuvres aux formats et aux styles très contrastés, tant la musique de chambre de la fin du XVIIIe siècle s’était ouverte à des genres nouveaux, appelés à connaître un avenir brillant à l’heure du romantisme. Dévolu jusqu’alors aux genres légers du divertissement et de la sérénade, le trio à cordes acquiert à l’époque un nouveau statut : les amateurs comme les professionnels y trouvent de quoi briller en société. Le quatuor quant à lui se hisse parmi les genres musicaux les plus populaires, aux côtés de l’opéra et de la symphonie. La romance, préfigurant la mélodie, s’y épanouit avec aisance, combinant une poésie raffinée et une musique toute en nuances et en demi-teintes.

4 concerts et buffet Quatre concerts dans la Galerie des Cotelle, de 60 minutes cha-cun et un buffet pour le déjeuner, devant l’Orangerie de Jussieu.Passer un dimanche complet de musique à Trianon ou goûter les plaisirs d’un seul concert. Au public de choisir.

11h quatuors Œuvres de Cambini, Jadin, Grétry

12h30 trios Œuvres de Haydn, Jadin, Boëly

13h30 buffet

15h30 romances et musiques de salon

Œuvres de Dauvergne, Boieldieu, Hérold, Saint-George, Dalayrac et Grétry

17h symphonies à la chambre du roi

Mondonville, Saint-George, Rigel, Dauvergne

dimancheà trianon

22 grandes journées grétry | dimanche à trianon 23

quatuors Giuseppe Maria CambiniQuatuor en sol mineur (Livre 18 n°2)Hyacinthe JadinQuatuor en fa mineur (op. 1 n°1)André Ernest Modeste GrétryQuatuor en ut mineur (op. 3 n°6)

Quatuor Cambini Julien Chauvin, violonKarine Crocquenoy, violonCécile Brossard, altoAtsushi Sakaï, violoncelle

dimanche 4 octobre à 11hdurée du concert : 1 heure sans entracte

Galerie des Cotelleentrée du parc par la grille de la Reine • entrée gratuite sur présentation du billet de concert • parking place d’Armes du Grand Trianon

tarif B2 placement numéroté

Rencontres des Menus Plaisirs 29 sept 17h30 Benoît Dratwicki conférence inaugurale :

grétry au cœur des « révolutions » musicales

6 oct 17h30 Michelle Garnier-Panafieu regards sur la musique de chambre en france à l’époque de grétry

dimanche 4 octobre à 12h30durée du concert : 1 heure sans entracte

trios Joseph HaydnTrio n°3 (transcription de la sonate en ré majeur pour piano Hob XVI : 42)Hyacinthe JadinTrio en fa majeur n°3 Alexandre-Pierre-François BoëlyTrio en ut majeur (op. 5 n°2)

Trio AnPaPiéAlice Piérot, violonFanny Paccoud, altoElena Andreyev, violoncelle

quatuors Giuseppe Maria CambiniQuatuor en sol mineur (Livre 18 n°2)Hyacinthe JadinQuatuor en fa mineur (op. 1 n°1)André Ernest Modeste GrétryQuatuor en ut mineur (op. 3 n°6)

Quatuor Cambini Julien Chauvin, violonKarine Crocquenoy, violonCécile Brossard, altoAtsushi Sakaï, violoncelle

dimanche 4 octobre à 11hdurée du concert : 1 heure sans entracte

trios Joseph HaydnTrio n°3 (transcription de la sonate en ré majeur pour piano Hob XVI : 42)Hyacinthe JadinTrio en fa majeur n°3 Alexandre-Pierre-François BoëlyTrio en ut majeur (op. 5 n°2)

Trio AnPaPiéAlice Piérot, violonFanny Paccoud, altoElena Andreyev, violoncelle

romances et musiques de salon Antoine Dauvergne François-Adrien Boieldieu Ferdinand HéroldRomancesJoseph Bologne de Saint-GeorgeSonate pour violon et pianoNicolas-Marie DalayracSuite de Nina ou la Folle par amourAndré Ernest Modeste GrétrySuite du Jugement de Midas Jean-Paul Fouchécourt, ténorFlorence Malgoire, violonOlivier Baumont, pianoforte Concert enregistré par France Musique

dimanche 4 octobre à 17hdurée du concert : 1 heure 20 sans entracte

symphonies à la chambre du roi Jean-Joseph Cassanéa de MondonvilleSonate en Symphonie n°1 en sol mineurJoseph Bologne de Saint-GeorgeConcerto en ré majeurHenri-Joseph RigelConcerto en ré majeur pour violon et clavecinAntoine DauvergneConcert n°4 en la majeur

Le Concert d’Astrée(Emmanuelle Haïm, direction artistique)Stéphanie-Marie Degand, violon et direction Violaine Cochard, clavecin Concert enregistré par France Musique

romances et musiques de salon Antoine Dauvergne François-Adrien Boieldieu Ferdinand HéroldRomancesJoseph Bologne de Saint-GeorgeSonate pour violon et pianoNicolas-Marie DalayracSuite de Nina ou la Folle par amourAndré Ernest Modeste GrétrySuite du Jugement de Midas Jean-Paul Fouchécourt, ténorFlorence Malgoire, violonOlivier Baumont, pianoforte Concert enregistré par France Musique

dimanche 4 octobre à 17hdurée du concert : 1 heure 20 sans entracte

symphonies à la chambre du roi Jean-Joseph Cassanéa de MondonvilleSonate en Symphonie n°1 en sol mineurJoseph Bologne de Saint-GeorgeConcerto en ré majeurHenri-Joseph RigelConcerto en ré majeur pour violon et clavecinAntoine DauvergneConcert n°4 en la majeur

Le Concert d’Astrée(Emmanuelle Haïm, direction artistique)Stéphanie-Marie Degand, violon et direction Violaine Cochard, clavecin Concert enregistré par France Musique

10 octobre

À l’heure où Grétry triomphe sur les scènes parisiennes, les salons résonnent de nouvelles sonorités, celles d’instruments étonnants que Paris découvre sous le règne de Louis XVI : la harpe et le pianoforte. Tout un répertoire fleurit sous la plume d’auteurs français mais aussi d’étrangers séjournant dans la capitale. La mode des leçons particulières fait alors toute la fortune de profes-seurs venus de contrées diverses. Une décennie plus tard, le Conservatoire de Musique cristallisera cet engouement et deviendra l’un des premiers lieux de formation d’Europe. Créé en 1795, il réunit les plus célèbres virtuoses du règne de Louis XVI, souvent compositeurs et pédagogues de premier plan. C’est là que se côtoient Adam, Jadin ou Hélène de Montgeroult qui, après avoir brillé en interprétant leurs propres ouvrages dans les salons de l’Ancien Régime, se voient confier chacun une classe de piano. Ils s’emploient à former la jeune génération des premiers virtuoses du romantisme naissant, repoussant les limites de l’ancienne technique de clavecin pour « inventer » le jeu pianistique.

pianoforte alain planès

10 octobre

À l’heure où Grétry triomphe sur les scènes parisiennes, les salons résonnent de nouvelles sonorités, celles d’instruments étonnants que Paris découvre sous le règne de Louis XVI : la harpe et le pianoforte. Tout un répertoire fleurit sous la plume d’auteurs français mais aussi d’étrangers séjournant dans la capitale. La mode des leçons particulières fait alors toute la fortune de profes-seurs venus de contrées diverses. Une décennie plus tard, le Conservatoire de Musique cristallisera cet engouement et deviendra l’un des premiers lieux de formation d’Europe. Créé en 1795, il réunit les plus célèbres virtuoses du règne de Louis XVI, souvent compositeurs et pédagogues de premier plan. C’est là que se côtoient Adam, Jadin ou Hélène de Montgeroult qui, après avoir brillé en interprétant leurs propres ouvrages dans les salons de l’Ancien Régime, se voient confier chacun une classe de piano. Ils s’emploient à former la jeune génération des premiers virtuoses du romantisme naissant, repoussant les limites de l’ancienne technique de clavecin pour « inventer » le jeu pianistique.

pianoforte alain planès

28 grandes journées grétry | récital de pianoforte 29

Grand spécialiste de la musique française des premières heures du pianoforte au début du XXe siècle, Alain Planès est un interprète reconnu doublé d’un pédagogue recherché. Enseignant au Conservatoire de Paris, il a tenu à faire entendre des pages choisies du répertoire de ses devanciers, Adam, Jadin et Montgeroult, premiers professeurs d’une longue lignée de maîtres et de disciples.

samedi 10 octobre à 18hdurée du concert : 1 heure sans entracte

Grand Couvert du Roiaccès par le Pavillon Gabriel parking dans la ville

tarif B2placement numéroté

récital de pianoforteJean-Frédéric EdelmannSonate en mi majeur (op. 10 n°4)Jean-Louis AdamSonate en sol mineur (op. 7 n°2)Hyacinthe JadinSonate en ut dièse mineur (op. 4 n°3)Wolfgang Amadeus MozartVariations sur un thème des Mariages samnites de Grétry (k. 352)Hélène de MontgeroultÉtudes

Alain Planès, pianoforte

20 oct 17h30 Pascal Valois grétry et la « guitaromanie » : les transcriptions d’œuvres vocales en france entre 1780 et 1830.

ric La

28 grandes journées grétry | récital de pianoforte 29

Grand spécialiste de la musique française des premières heures du pianoforte au début du XXe siècle, Alain Planès est un interprète reconnu doublé d’un pédagogue recherché. Enseignant au Conservatoire de Paris, il a tenu à faire entendre des pages choisies du répertoire de ses devanciers, Adam, Jadin et Montgeroult, premiers professeurs d’une longue lignée de maîtres et de disciples.

samedi 10 octobre à 18hdurée du concert : 1 heure sans entracte

Grand Couvert du Roiaccès par le Pavillon Gabriel parking dans la ville

récital de pianoforteJean-Frédéric EdelmannSonate en mi majeur (op. 10 n°4)Jean-Louis AdamSonate en sol mineur (op. 7 n°2)Hyacinthe JadinSonate en ut dièse mineur (op. 4 n°3)Wolfgang Amadeus MozartVariations sur un thème des Mariages samnites de Grétry (k. 352)Hélène de MontgeroultÉtudes

Alain Planès, pianoforte

20 oct 17h30 Pascal Valois grétry et la « guitaromanie » : les transcriptions d’œuvres vocales en france entre 1780 et 1830.

ric La

10 octobre

Dès son arrivée en France (1770), Marie-Antoinette se prend de passion pour l’art lyrique français. Elle fera et défera les carrières au gré de ses envies, guidée par un instinct sûr que la postérité validera. Gluck et Grétry représentent les deux grandes facettes du goût de la Reine : le premier, avec ses imposantes tragédies lyriques néoclassiques en est le versant monumental et sévère ; le second, avec ses opéras-comiques tantôt larmoyants, tantôt espiègles, met en relief l’insouciance d’un règne pourtant menacé. À leur suite, d’autres auteurs – majoritairement italiens – s’installeront à Paris et recevront la protection de la Reine : Piccinni, Sacchini, Salieri et Cherubini. Tous eurent en commun de réfléchir aux nouvelles orientations du théâtre lyrique et d’imaginer un style musical « moderne » où pointent déjà les premiers accents du romantisme.

les favoris de marie-

antoinette

10 octobre

Dès son arrivée en France (1770), Marie-Antoinette se prend de passion pour l’art lyrique français. Elle fera et défera les carrières au gré de ses envies, guidée par un instinct sûr que la postérité validera. Gluck et Grétry représentent les deux grandes facettes du goût de la Reine : le premier, avec ses imposantes tragédies lyriques néoclassiques en est le versant monumental et sévère ; le second, avec ses opéras-comiques tantôt larmoyants, tantôt espiègles, met en relief l’insouciance d’un règne pourtant menacé. À leur suite, d’autres auteurs – majoritairement italiens – s’installeront à Paris et recevront la protection de la Reine : Piccinni, Sacchini, Salieri et Cherubini. Tous eurent en commun de réfléchir aux nouvelles orientations du théâtre lyrique et d’imaginer un style musical « moderne » où pointent déjà les premiers accents du romantisme.

les favoris de marie-

antoinette

32 grandes journées grétry | les favoris de marie-antoinette 33

Après avoir été révélés au public versaillais dans le cadre des Grandes Journées Anniversaire (2007) avec la recréation d’Égine de Colin de Blamont, Les Nouveaux Caractères posent une autre pierre à la redécouverte du théâtre lyrique français en rassemblant les musiciens favoris de Marie-Antoinette pour un programme tout entier dévolu à la passion et au drame.

samedi 10 octobre à 21h durée du concert : 2 heures avec entracte

Galerie des Bataillesaccès par la cour des Princes parking Cour d’honneur

tarif Aplacement numéroté

les favoris de marie-antoinette Antonio SalieriSuite des DanaïdesAntonio SacchiniSuite de Chimène ou Le CidChristoph Willibald GluckSuite d’Iphigénie en TaurideAndré Ernest Modeste GrétrySuite de Guillaume Tell

Caroline Mutel, soprano Florian Laconi, ténor Jean-Sébastien Bou, baryton

Les Nouveaux CaractèresSébastien d’Hérin, pianoforte et direction

32 grandes journées grétry | les favoris de marie-antoinette 33

Après avoir été révélés au public versaillais dans le cadre des Grandes Journées Anniversaire (2007) avec la recréation d’Égine de Colin de Blamont, Les Nouveaux Caractères posent une autre pierre à la redécouverte du théâtre lyrique français en rassemblant les musiciens favoris de Marie-Antoinette pour un programme tout entier dévolu à la passion et au drame.

samedi 10 octobre à 21h durée du concert : 2 heures avec entracte

Galerie des Bataillesaccès par la cour des Princes parking Cour d’honneur

les favoris de marie-antoinette Antonio SalieriSuite des DanaïdesAntonio SacchiniSuite de Chimène ou Le CidChristoph Willibald GluckSuite d’Iphigénie en TaurideAndré Ernest Modeste GrétrySuite de Guillaume Tell

Caroline Mutel, soprano Florian Laconi, ténor Jean-Sébastien Bou, baryton

Les Nouveaux CaractèresSébastien d’Hérin, pianoforte et direction

17 octobre

La modernité du XVIIIe siècle finissant s’exprime dans tous les domaines de l’art musical et scénique : du quatuor à la symphonie, en passant par la sonate et le concerto, elle gagne aussi les genres lyriques et la danse. Le ballet d’agrément disparaît au profit d’une nouvelle conception du mouvement portée par le chorégraphe français Noverre : la pantomime, érigée au rang d’expression noble, libère la danse du décoratif pour lui donner toute son autonomie. Le ballet d’action, préfiguration du grand ballet romantique, devient alors l’un des spectacles les plus prisés, dans lequel brillent les étoiles montantes du corps de ballet. Le succès est toujours au rendez-vous lorsque les chorégraphes choisissent d’adapter des opéras-comiques célèbres de Monsigny, Philidor ou Grétry. Deux siècles plus tard, c’est la même démarche que Cécile Roussat et Julien Lubek ont choisi de faire revivre, en imaginant une libre fantaisie sur le thème de « la Belle et la Bête » qui fit le sujet du plus connu des opéras de Grétry, Zémire & Azor. La modernité et l’histoire réunies sous l’égide d’un des plus beaux contes promettent aux spectateurs de tous âges un passionnant voyage dans l’imaginaire exotique que le règne de Louis XVI et Marie-Antoinette aimait tant.

la belle et la bête

17 octobre

La modernité du XVIIIe siècle finissant s’exprime dans tous les domaines de l’art musical et scénique : du quatuor à la symphonie, en passant par la sonate et le concerto, elle gagne aussi les genres lyriques et la danse. Le ballet d’agrément disparaît au profit d’une nouvelle conception du mouvement portée par le chorégraphe français Noverre : la pantomime, érigée au rang d’expression noble, libère la danse du décoratif pour lui donner toute son autonomie. Le ballet d’action, préfiguration du grand ballet romantique, devient alors l’un des spectacles les plus prisés, dans lequel brillent les étoiles montantes du corps de ballet. Le succès est toujours au rendez-vous lorsque les chorégraphes choisissent d’adapter des opéras-comiques célèbres de Monsigny, Philidor ou Grétry. Deux siècles plus tard, c’est la même démarche que Cécile Roussat et Julien Lubek ont choisi de faire revivre, en imaginant une libre fantaisie sur le thème de « la Belle et la Bête » qui fit le sujet du plus connu des opéras de Grétry, Zémire & Azor. La modernité et l’histoire réunies sous l’égide d’un des plus beaux contes promettent aux spectateurs de tous âges un passionnant voyage dans l’imaginaire exotique que le règne de Louis XVI et Marie-Antoinette aimait tant.

la belle et la bête

36 grandes journées grétry | la belle et la bête 37

Après leurs récentes collaborations avec Vincent Dumestre, Jean-Claude Malgoire et John Eliot Gardiner, Cécile Roussat et Julien Lubek ont créé leur propre compagnie avec le projet, original, de mêler toutes les formes d’expression corporelle mises au service de la poésie, du rêve et du comique : la danse, les arts du cirque, la pantomime… Leur rencontre avec l’ensemble Ausonia, invité régulier du Centre de Musique Baroque de Versailles depuis 2006, offrira une lecture inattendue des musiques de Grétry, servies par des interprètes engagés aux côtés du violon de Mira Glodeanu et du pianoforte de Frédérick Haas.

samedi 17 octobre à 21h durée de la représentation : 1 heure 20 sans entracte

Théâtre Montansier13, rue des Réservoirs parking dans la ville

la belle et la bête Spectacle pantomime d’après Zémire & Azor d’André Ernest Modeste Grétry, opéra-comique sur un livret de Marmontel, 1771 Musiques de Grétry, Haydn et Mozart (La Flûte enchantée)

Le Shlemil ThéâtreCécile Roussat et Julien Lubek, mise en scène et direction artistique 5 comédiens, danseurs et marionnettistesDavid Messinger, costumesÉlodie Monet, décors

AusoniaMira Glodeanu et Tami Troman, violons Bénédicte Pernet, alto Benjamin Glorieux, violoncelle James Munro, contrebasse Georges Barthel, flûte NN, clarinette Frédérick Haas, pianoforte et direction

Coproduction CMBV/ Festival Via Stellae (Saint-Jacques de Compostelle) / Le Shlemil ThéâtreAvec la collaboration du Théâtre Montansier

36 grandes journées grétry | la belle et la bête 37

Après leurs récentes collaborations avec Vincent Dumestre, Jean-Claude Malgoire et John Eliot Gardiner, Cécile Roussat et Julien Lubek ont créé leur propre compagnie avec le projet, original, de mêler toutes les formes d’expression corporelle mises au service de la poésie, du rêve et du comique : la danse, les arts du cirque, la pantomime… Leur rencontre avec l’ensemble Ausonia, invité régulier du Centre de Musique Baroque de Versailles depuis 2006, offrira une lecture inattendue des musiques de Grétry, servies par des interprètes engagés aux côtés du violon de Mira Glodeanu et du pianoforte de Frédérick Haas.

samedi 17 octobre à 21h durée de la représentation : 1 heure 20 sans entracte

Théâtre Montansier13, rue des Réservoirs parking dans la ville

la belle et la bête Spectacle pantomime d’après Zémire & Azor d’André Ernest Modeste Grétry, opéra-comique sur un livret de Marmontel, 1771 Musiques de Grétry, Haydn et Mozart (La Flûte enchantée)

Le Shlemil ThéâtreCécile Roussat et Julien Lubek, mise en scène et direction artistique 5 comédiens, danseurs et marionnettistesDavid Messinger, costumesÉlodie Monet, décors

AusoniaMira Glodeanu et Tami Troman, violons Bénédicte Pernet, alto Benjamin Glorieux, violoncelle James Munro, contrebasse Georges Barthel, flûte NN, clarinette Frédérick Haas, pianoforte et direction

Coproduction CMBV/ Festival Via Stellae (Saint-Jacques de Compostelle) / Le Shlemil ThéâtreAvec la collaboration du Théâtre Montansier

18 octobre

Connu surtout par ses opéras-comiques légers, Grétry s’orienta à la fin de sa carrière vers un style plus héroïque dans la veine de Méhul et Cherubini (Guillaume Tell, Denys le Tyran, Pierre le Grand…). Dès 1778, il signa une ambitieuse tragédie lyrique pour l’Académie royale de musique, Andromaque, au style fort éloigné de ses ouvrages contemporains destinés à la salle Favart. Créée deux ans plus tard (1780), alors que Gluck quittait définitivement la France après y avoir fait représenter cinq opéras français à succès, l’œuvre témoigne de la sensibilité d’une époque de changements tiraillée entre la nostalgie des grandes heures du règne de Louis XIV et le culte de la modernité et du progrès. L’ouvrage de Grétry superpose ainsi au texte à peine retouché de l’Andromaque de Racine (1667), une musique aux ambitions déjà « préromantiques », dont les accents proprement inouïs habillent les passions de l’ancien âge classique d’un nouveau relief. Jamais redonnée depuis sa création, Andromaque révèle aujourd’hui toute la modernité de l’école française à la veille de la Révolution, dont Grétry fut sans doute l’un des chantres les plus célèbres.

andromaque

18 octobre

Connu surtout par ses opéras-comiques légers, Grétry s’orienta à la fin de sa carrière vers un style plus héroïque dans la veine de Méhul et Cherubini (Guillaume Tell, Denys le Tyran, Pierre le Grand…). Dès 1778, il signa une ambitieuse tragédie lyrique pour l’Académie royale de musique, Andromaque, au style fort éloigné de ses ouvrages contemporains destinés à la salle Favart. Créée deux ans plus tard (1780), alors que Gluck quittait définitivement la France après y avoir fait représenter cinq opéras français à succès, l’œuvre témoigne de la sensibilité d’une époque de changements tiraillée entre la nostalgie des grandes heures du règne de Louis XIV et le culte de la modernité et du progrès. L’ouvrage de Grétry superpose ainsi au texte à peine retouché de l’Andromaque de Racine (1667), une musique aux ambitions déjà « préromantiques », dont les accents proprement inouïs habillent les passions de l’ancien âge classique d’un nouveau relief. Jamais redonnée depuis sa création, Andromaque révèle aujourd’hui toute la modernité de l’école française à la veille de la Révolution, dont Grétry fut sans doute l’un des chantres les plus célèbres.

andromaque

40 grandes journées grétry | andromaque 41

Aux côtés du Centre de Musique Baroque de Versailles, Hervé Niquet et le Concert Spirituel poursuivent la redécouverte d’ouvrages lyriques oubliés en se mesurant cette fois à la musique de la fin du Siècle des Lumières, après avoir donné de nombreux opéras des règnes de Louis XIV et Louis XV (Le Triomphe d’Iris de Clérambault en 1998, Daphnis & Chloé de Boismortier en 2002, Médée de Charpentier en 2004, Callirhoé de Destouches en 2005, Sémélé de Marais et Proserpine de Lully en 2006…). Un enregistrement couronnera la tournée de concerts et permettra de garder la trace de cette passionnante entreprise.

13 oct 17h30 Buford Norman andromaque, de racine à grétry

dimanche 18 octobre à 17h durée du concert : 2 heures avec entracte

Théâtre des Champs-Élysées 15, avenue Montaigne 75008 Paris parking Alma-George V entrée angle avenues George V/Montaigne

tarif TCEplacement numéroté

andromaque André Ernest Modeste GrétryTragédie lyrique sur un livret de Racine et Pitra, 1780

Judith van Wanroij, Andromaque Maria Riccarda Wesseling, Hermione Sébastien Guèze, Pyrrhus Tassis Christoyannis, Oreste

Les Chantres du CMBVOlivier Schneebeli, direction artistique

Chœur et Orchestre du Concert SpirituelHervé Niquet, direction

Partitions réalisées par le CMBVCoproduction CMBV / Palais des Beaux-Arts de Bruxelles / Palazzetto Bru Zane – Centre de musique romantique française / Le Concert SpirituelCoréalisation CMBV / Théâtre des Champs-ÉlyséesEnregistrement pour le label Glossa

40 grandes journées grétry | andromaque 41

Aux côtés du Centre de Musique Baroque de Versailles, Hervé Niquet et le Concert Spirituel poursuivent la redécouverte d’ouvrages lyriques oubliés en se mesurant cette fois à la musique de la fin du Siècle des Lumières, après avoir donné de nombreux opéras des règnes de Louis XIV et Louis XV (Le Triomphe d’Iris de Clérambault en 1998, Daphnis & Chloé de Boismortier en 2002, Médée de Charpentier en 2004, Callirhoé de Destouches en 2005, Sémélé de Marais et Proserpine de Lully en 2006…). Un enregistrement couronnera la tournée de concerts et permettra de garder la trace de cette passionnante entreprise.

13 oct 17h30 Buford Norman andromaque, de racine à grétry

dimanche 18 octobre à 17h durée du concert : 2 heures avec entracte

Théâtre des Champs-Élysées 15, avenue Montaigne 75008 Paris parking Alma-George V entrée angle avenues George V/Montaigne

tarif TCEplacement numéroté

andromaque André Ernest Modeste GrétryTragédie lyrique sur un livret de Racine et Pitra, 1780

Judith van Wanroij, Andromaque Maria Riccarda Wesseling, Hermione Sébastien Guèze, Pyrrhus Tassis Christoyannis, Oreste

Les Chantres du CMBVOlivier Schneebeli, direction artistique

Chœur et Orchestre du Concert SpirituelHervé Niquet, direction

Partitions réalisées par le CMBVCoproduction CMBV / Palais des Beaux-Arts de Bruxelles / Palazzetto Bru Zane – Centre de musique romantique française / Le Concert SpirituelCoréalisation CMBV / Théâtre des Champs-ÉlyséesEnregistrement pour le label Glossa

10, 13 et 15 novembre

Après le ballet-pantomime (Les Petits Riens/Don Juan, 2006) et la tragédie lyrique (Cadmus & Hermione, 2008), le Centre de Musique Baroque de Versailles a choisi de mettre en valeur un autre des genres scéniques emblématiques du XVIIIe siècle : l’opéra-comique. Avec L’Amant jaloux de Grétry, c’est toute l’esthétique de la France des Lumières qui prendra corps sous les ors de l’Opéra royal ré-ouvert après deux ans de travaux. Un livret digne de Beaumarchais, une musique aux accents mozartiens, le tout fusionné en un spectacle de demi-caractère typiquement français : Grétry signe ici l’un de ses chefs-d’œuvre. Comme Zémire & Azor ou Richard Cœur de Lion, L’Amant jaloux restera pour longtemps au répertoire de tous les théâtres d’Europe. L’ouvrage peut même s’enorgueillir d’avoir été l’un des plus souvent représentés à la Cour de France, toutes époques confondues. Ce spectacle est une nouvelle occasion pour le Centre de Musique Baroque de Versailles d’enrichir le fonds de décors de l’Opéra royal en faisant réaliser de nouveaux tableaux restituant l’esthétique et les techniques du théâtre à machines du XVIIIe siècle.

l’amantjaloux

10, 13 et 15 novembre

Après le ballet-pantomime (Les Petits Riens/Don Juan, 2006) et la tragédie lyrique (Cadmus & Hermione, 2008), le Centre de Musique Baroque de Versailles a choisi de mettre en valeur un autre des genres scéniques emblématiques du XVIIIe siècle : l’opéra-comique. Avec L’Amant jaloux de Grétry, c’est toute l’esthétique de la France des Lumières qui prendra corps sous les ors de l’Opéra royal ré-ouvert après deux ans de travaux. Un livret digne de Beaumarchais, une musique aux accents mozartiens, le tout fusionné en un spectacle de demi-caractère typiquement français : Grétry signe ici l’un de ses chefs-d’œuvre. Comme Zémire & Azor ou Richard Cœur de Lion, L’Amant jaloux restera pour longtemps au répertoire de tous les théâtres d’Europe. L’ouvrage peut même s’enorgueillir d’avoir été l’un des plus souvent représentés à la Cour de France, toutes époques confondues. Ce spectacle est une nouvelle occasion pour le Centre de Musique Baroque de Versailles d’enrichir le fonds de décors de l’Opéra royal en faisant réaliser de nouveaux tableaux restituant l’esthétique et les techniques du théâtre à machines du XVIIIe siècle.

l’amantjaloux

44 grandes journées grétry | l’amant jaloux 45

Passionnés par le style musical des années 1770-1830, Jérémie Rhorer et son orchestre se sont donnés pour mission de relire le répertoire de cette époque charnière menant du baroque au romantisme avec un œil neuf dégagé de tout a priori. Aux côtés de Haydn, Mozart et Gluck, Grétry – et plus largement toute l’école française du règne de Louis XVI, de la Révolution et du Premier Empire – trouve toute sa place dans cette démarche. Chaque concert est l’occasion de faire revivre des pages à la modernité insoupçonnée.

10 nov 17h30 Patrick Taïeb l’amant jaloux ou les fausses apparences : le second degré dans l’opéra-comique

mardi 10 novembre vendredi 13 novembre à 21h dimanche 15 novembre à 15h30durée de la représentation : 2 heures avec entracte

Opéra royalaccès par le Pavillon Gabriel parking Cour d’honneur pour les concerts en soirée parking dans la ville le dimanche

tarif Opéraplacement numéroté

l’amant jaloux ou les fausses apparences André Ernest Modeste GrétryOpéra-comique sur un livret de Thomas d’Hèle, 1778

Magali Léger, Léonore Claire Debono, Isabelle Maryline Fallot, Jacinte Frédéric Antoun, Florival NN, Don Alonze Vincent Billier, Lopez

Le Cercle de l’HarmonieJérémie Rhorer, direction Pierre-Emmanuel Rousseau, mise en scène Thibaut Welchlin, décors Pierre-Emmanuel Rousseau et Claudine Crauland, costumes Gilles Gentner, lumières Valérie Dubuis, création maquillages et coiffures Anne-Charlotte Rousseau, assistante à la mise en scène Antoine Fontaine, réalisation des toiles peintes

Coproduction CMBV / Opéra Comique / Opéra Royal de Wallonie, Liège Répresentations à l’Opéra Comique lundi 15, mercredi 17, vendredi 19 mars 2010 à 20h et dimanche 21 mars 2010 à 16h

lix La

44 grandes journées grétry | l’amant jaloux 45

Passionnés par le style musical des années 1770-1830, Jérémie Rhorer et son orchestre se sont donnés pour mission de relire le répertoire de cette époque charnière menant du baroque au romantisme avec un œil neuf dégagé de tout a priori. Aux côtés de Haydn, Mozart et Gluck, Grétry – et plus largement toute l’école française du règne de Louis XVI, de la Révolution et du Premier Empire – trouve toute sa place dans cette démarche. Chaque concert est l’occasion de faire revivre des pages à la modernité insoupçonnée.

10 nov 17h30 Patrick Taïeb l’amant jaloux ou les fausses apparences : le second degré dans l’opéra-comique

mardi 10 novembre vendredi 13 novembre à 21h dimanche 15 novembre à 15h30durée de la représentation : 2 heures avec entracte

Opéra royalaccès par le Pavillon Gabriel parking Cour d’honneur pour les concerts en soirée parking dans la ville le dimanche

tarif Opéraplacement numéroté

l’amant jaloux ou les fausses apparences André Ernest Modeste GrétryOpéra-comique sur un livret de Thomas d’Hèle, 1778

Magali Léger, Léonore Claire Debono, Isabelle Maryline Fallot, Jacinte Frédéric Antoun, Florival NN, Don Alonze Vincent Billier, Lopez

Le Cercle de l’HarmonieJérémie Rhorer, direction Pierre-Emmanuel Rousseau, mise en scène Thibaut Welchlin, décors Pierre-Emmanuel Rousseau et Claudine Crauland, costumes Gilles Gentner, lumières Valérie Dubuis, création maquillages et coiffures Anne-Charlotte Rousseau, assistante à la mise en scène Antoine Fontaine, réalisation des toiles peintes

Coproduction CMBV / Opéra Comique / Opéra Royal de Wallonie, Liège Répresentations à l’Opéra Comique lundi 15, mercredi 17, vendredi 19 mars 2010 à 20h et dimanche 21 mars 2010 à 16h

lix La

21 novembre

Chanter Dieu, à la fin du XVIIIe siècle, prend des accents d’une modernité frappante : le riche contrepoint pratiqué depuis plus de deux cents ans s’efface devant une nouvelle conception de la musique, plus simple, plus caricaturale et plus immédiate. Loin d’être le fruit d’une décadence artistique, comme on a parfois pu l’écrire, elle résulte d’une approche moins distanciée de la foi, plus à l’écoute de l’homme et de ses attentes. Théâtralisé, mis en scène même, le sentiment du sacré s’apparente désormais aux sentiments immédiats – et pourtant profonds – véhiculés par l’opéra-comique et le drame bourgeois. À sa manière, la musique de Lefroid de Méreaux reflète cette nouvelle place de la foi dans une société qui cherche d’autres repères et d’autres langages que ceux de ses ancêtres. Inspirée tout autant par l’art mélodique d’un Pergolèse que par les effets harmoniques de l’école allemande, cette messe préfigure le nouveau style sacré appelé à fleurir sous la plume de Martini, Cherubini et Lesueur sous le Directoire et l’Empire.

musiques pour les couvents

21 novembre

Chanter Dieu, à la fin du XVIIIe siècle, prend des accents d’une modernité frappante : le riche contrepoint pratiqué depuis plus de deux cents ans s’efface devant une nouvelle conception de la musique, plus simple, plus caricaturale et plus immédiate. Loin d’être le fruit d’une décadence artistique, comme on a parfois pu l’écrire, elle résulte d’une approche moins distanciée de la foi, plus à l’écoute de l’homme et de ses attentes. Théâtralisé, mis en scène même, le sentiment du sacré s’apparente désormais aux sentiments immédiats – et pourtant profonds – véhiculés par l’opéra-comique et le drame bourgeois. À sa manière, la musique de Lefroid de Méreaux reflète cette nouvelle place de la foi dans une société qui cherche d’autres repères et d’autres langages que ceux de ses ancêtres. Inspirée tout autant par l’art mélodique d’un Pergolèse que par les effets harmoniques de l’école allemande, cette messe préfigure le nouveau style sacré appelé à fleurir sous la plume de Martini, Cherubini et Lesueur sous le Directoire et l’Empire.

musiques pour les couvents

48 grandes journées grétry | musiques pour les couvents 49

Les Pages & les Chantres du Centre de Musique Baroque de Versailles explorent, saison après saison, les terres encore vierges du répertoire sacré de l’Ancien Régime. C’est grâce au travail acharné d’Olivier Schneebeli que ce chœur unique – qui restitue les effectifs et les couleurs typiques du baroque français – a pu faire revivre des grands motets oubliés de Lalande (2001), Lully (2002), Charpentier (2004), Bernier (2007), Robert (2008) mais aussi des musiques du temps de Louis XIII (Boesset, Moulinié, Formé…) et des oratorios de la fin du XVIIIe siècle (Rigel).

17 nov 17h30 Thierry Favier musique religieuse et modernité musicale sous le règne de Louis xvi

samedi 21 novembre à 18h durée du concert : 1 heure sans entracte

Chapelle royaleaccès par le Pavillon Gabriel parking dans la ville

tarif Bplacement numéroté

musiques pour les couvents Nicolas-Jean Lefroid de MéreauxMesse en musiqueLes organistes de Louis XVI Michel Corrette, Claude Balbastre, Guillaume Lasceux et Jean-Jacques Beauvarlet-Charpentier

Frédéric Desenclos, orgue

Les Pages et les Symphonistes du Centre de Musique Baroque de VersaillesOlivier Schneebeli, directionFabien Armengaud, clavecinMark Davies, orgueMargot Cache, contrebasseMélanie Flahaut, basson

Partition de Lefroid de Méreaux réalisée par le CMBV Concert enregistré par France Musique

48 grandes journées grétry | musiques pour les couvents 49

Les Pages & les Chantres du Centre de Musique Baroque de Versailles explorent, saison après saison, les terres encore vierges du répertoire sacré de l’Ancien Régime. C’est grâce au travail acharné d’Olivier Schneebeli que ce chœur unique – qui restitue les effectifs et les couleurs typiques du baroque français – a pu faire revivre des grands motets oubliés de Lalande (2001), Lully (2002), Charpentier (2004), Bernier (2007), Robert (2008) mais aussi des musiques du temps de Louis XIII (Boesset, Moulinié, Formé…) et des oratorios de la fin du XVIIIe siècle (Rigel).

17 nov 17h30 Thierry Favier musique religieuse et modernité musicale sous le règne de Louis xvi

tarif Bplacement numéroté

musiques pour les couvents Nicolas-Jean Lefroid de MéreauxMesse en musiqueLes organistes de Louis XVI Michel Corrette, Claude Balbastre, Guillaume Lasceux et Jean-Jacques Beauvarlet-Charpentier

Frédéric Desenclos, orgue

Les Pages et les Symphonistes du Centre de Musique Baroque de VersaillesOlivier Schneebeli, directionFabien Armengaud, clavecinMark Davies, orgueMargot Cache, contrebasseMélanie Flahaut, basson

Partition de Lefroid de Méreaux réalisée par le CMBV Concert enregistré par France Musique

21 novembre

Composé en 1773 à l’occasion du mariage du comte d’Artois, Céphale & Procris fut créé à l’Opéra royal, inauguré seulement trois ans auparavant pour les noces du dauphin et de l’archiduchesse Marie-Antoinette. Avec Sabinus de Gossec ou Ernelinde de Philidor, l’œuvre fait donc véritablement partie du patrimoine musical de ce théâtre et illustre la modernité musicale du temps. Bien qu’il s’agisse d’une commande officielle de la Cour, Céphale & Procris n’a rien d’une pièce de circonstance, sinon son genre – le ballet héroïque – qui évoque le souvenir de Rameau. Une intrigue dont l’intensité dramatique annonce déjà l’Orphée de Gluck, des effets musicaux d’une audace inouïe, une grandeur de ton soulignée par des chœurs ambitieux, des ballets brillants et des pages symphoniques développées sont autant d’éléments qui valurent à l’œuvre un grand succès et une reprise à l’Académie royale de musique quelques mois plus tard. Céphale & Procris offre à n’en pas douter un visage tout à fait inconnu de Grétry, le replaçant dans la grande tradition française de Rameau, Mondonville et Leclair, encore vivace au début des années 1770 avant que l’arrivée de Gluck à Paris (1774) ne balaie définitivement l’ancienne esthétique nationale.

céphale & procris

21 novembre

Composé en 1773 à l’occasion du mariage du comte d’Artois, Céphale & Procris fut créé à l’Opéra royal, inauguré seulement trois ans auparavant pour les noces du dauphin et de l’archiduchesse Marie-Antoinette. Avec Sabinus de Gossec ou Ernelinde de Philidor, l’œuvre fait donc véritablement partie du patrimoine musical de ce théâtre et illustre la modernité musicale du temps. Bien qu’il s’agisse d’une commande officielle de la Cour, Céphale & Procris n’a rien d’une pièce de circonstance, sinon son genre – le ballet héroïque – qui évoque le souvenir de Rameau. Une intrigue dont l’intensité dramatique annonce déjà l’Orphée de Gluck, des effets musicaux d’une audace inouïe, une grandeur de ton soulignée par des chœurs ambitieux, des ballets brillants et des pages symphoniques développées sont autant d’éléments qui valurent à l’œuvre un grand succès et une reprise à l’Académie royale de musique quelques mois plus tard. Céphale & Procris offre à n’en pas douter un visage tout à fait inconnu de Grétry, le replaçant dans la grande tradition française de Rameau, Mondonville et Leclair, encore vivace au début des années 1770 avant que l’arrivée de Gluck à Paris (1774) ne balaie définitivement l’ancienne esthétique nationale.

céphale & procris

52 grandes journées grétry | céphale & procris 53

Les Agrémens et le Chœur de chambre de Namur, partenaires fidèles du Centre de Musique Baroque de Versailles (en 2002, 2005 et 2007), s’emploient à faire revivre le patrimoine musical commun à la France et à la Belgique que représentent les œuvres de Gossec et Grétry, compositeurs emblématiques du règne de Louis XVI, l’un dans le domaine de la symphonie, l’autre dans celui du théâtre lyrique. Pour la première fois depuis la fin du XVIIIe siècle, ils font entendre l’intégralité de Céphale & Procris, enregistrée au disque à l’occasion de cette tournée de concerts.

samedi 21 novembre à 20h30 durée du concert : 2 heures 30 avec entracte

Opéra royalaccès par le Pavillon Gabriel parking Cour d’honneur

tarif Prestigeplacement numéroté

céphale & procris André Ernest Modeste GrétryBallet héroïque sur un livret de Marmontel, 1773

Pierre-Yves Pruvot, Céphale Katia Vellétaz, Procris Bénédicte Tauran, L’Aurore Isabelle Cals, Palès – La Jalousie Aurélie Franck, Flore Caroline Weynants, L’Amour

Chœur de chambre de Namur

Les AgrémensGuy van Waas, direction

Partitions réalisées par le CMBVCoproduction CMBV / Centre d’Art Vocal et de Musique Ancienne de Namur / Salle Philharmonique de Liège Enregistrement par le label Ricercar

52 grandes journées grétry | céphale & procris 53

Les Agrémens et le Chœur de chambre de Namur, partenaires fidèles du Centre de Musique Baroque de Versailles (en 2002, 2005 et 2007), s’emploient à faire revivre le patrimoine musical commun à la France et à la Belgique que représentent les œuvres de Gossec et Grétry, compositeurs emblématiques du règne de Louis XVI, l’un dans le domaine de la symphonie, l’autre dans celui du théâtre lyrique. Pour la première fois depuis la fin du XVIIIe siècle, ils font entendre l’intégralité de Céphale & Procris, enregistrée au disque à l’occasion de cette tournée de concerts.

samedi 21 novembre à 20h30 durée du concert : 2 heures 30 avec entracte

Opéra royalaccès par le Pavillon Gabriel parking Cour d’honneur

céphale & procris André Ernest Modeste GrétryBallet héroïque sur un livret de Marmontel, 1773

Pierre-Yves Pruvot, Céphale Katia Vellétaz, Procris Bénédicte Tauran, L’Aurore Isabelle Cals, Palès – La Jalousie Aurélie Franck, Flore Caroline Weynants, L’Amour

Chœur de chambre de Namur

Les AgrémensGuy van Waas, direction

Partitions réalisées par le CMBVCoproduction CMBV / Centre d’Art Vocal et de Musique Ancienne de Namur / Salle Philharmonique de Liège Enregistrement par le label Ricercar

24 novembre

Dès l’installation de Louis XIV à Versailles, en 1682, la musique des messes du Roi change de physionomie. Le nouveau genre du « grand motet versaillais », dont Lully peut être considéré comme le créateur, ne se transformera alors plus guère qu’en surface, dans les détails et les ornements. Les générations successives de Sous-maîtres de la Chapelle (Lalande, Campra, Mondonville, Blanchard, Giroust) respecteront une tradition musicale imposée par la figure du monarque et, surtout, par le somptueux écrin de musique que représente la Chapelle royale d’Hardouin-Mansart et Robert de Cotte, achevée en 1710. Chacun à leur manière, les compositeurs des XVIIe et XVIIIe siècles offriront une lecture personnelle des textes saints : c’est ce dont témoigne le programme de ce concert.

grands motets pour la

chapelle du roi

24 novembre

Dès l’installation de Louis XIV à Versailles, en 1682, la musique des messes du Roi change de physionomie. Le nouveau genre du « grand motet versaillais », dont Lully peut être considéré comme le créateur, ne se transformera alors plus guère qu’en surface, dans les détails et les ornements. Les générations successives de Sous-maîtres de la Chapelle (Lalande, Campra, Mondonville, Blanchard, Giroust) respecteront une tradition musicale imposée par la figure du monarque et, surtout, par le somptueux écrin de musique que représente la Chapelle royale d’Hardouin-Mansart et Robert de Cotte, achevée en 1710. Chacun à leur manière, les compositeurs des XVIIe et XVIIIe siècles offriront une lecture personnelle des textes saints : c’est ce dont témoigne le programme de ce concert.

grands motets pour la

chapelle du roi

56 fêtes baroques | grands motets pour la chapelle du roi 57

Depuis la création du Centre, William Christie et Les Arts Florissants comptent parmi les invités privilégiés des saisons d’automne au Château de Versailles. À l’occasion du trentième anniversaire de la naissance de l’ensemble, ils font entendre à la Chapelle royale quelques-unes des plus belles pièces du répertoire sacré versaillais. Les Arts Florissants fêtent leurs 30 ans.

Rencontres des Menus Plaisirs 24 nov 17h30 Thomas Leconte aspects de la dévotion royale :

le grand motet, de lully à mondonville

1er déc 17h30 Jean Duron le prince et la musique

5 jan 17h30 Alexandre Maral louis xiv et la chapelle royale

mardi 24 novembre à 21h durée du concert : 2 heures avec entracte

grands motets pour la chapelle du roi Jean-Baptiste LullyTe DeumHenry DesmarestUsquequo DomineJean-Philippe RameauDeus Noster refugiumAndré CampraExaudiat te Dominus

Patricia Petibon, dessus Emmanuelle de Negri, dessus Toby Spence, taille et haute-contre Cyril Auvity, taille et haute-contre Marc Mauillon, basse-taille Alain Buet, basse

Les Arts FlorissantsWilliam Christie, direction

Partitions de Desmarest et de Rameau réalisées par le CMBV Concert enregistré par France Musique

l Gél

56 fêtes baroques | grands motets pour la chapelle du roi 57

Depuis la création du Centre, William Christie et Les Arts Florissants comptent parmi les invités privilégiés des saisons d’automne au Château de Versailles. À l’occasion du trentième anniversaire de la naissance de l’ensemble, ils font entendre à la Chapelle royale quelques-unes des plus belles pièces du répertoire sacré versaillais. Les Arts Florissants fêtent leurs 30 ans.

Rencontres des Menus Plaisirs 24 nov 17h30 Thomas Leconte aspects de la dévotion royale :

le grand motet, de lully à mondonville

1er déc 17h30 Jean Duron le prince et la musique

mardi 24 novembre à 21h durée du concert : 2 heures avec entracte

grands motets pour la chapelle du roi Jean-Baptiste LullyTe DeumHenry DesmarestUsquequo DomineJean-Philippe RameauDeus Noster refugiumAndré CampraExaudiat te Dominus

Patricia Petibon, dessus Emmanuelle de Negri, dessus Toby Spence, taille et haute-contre Cyril Auvity, taille et haute-contre Marc Mauillon, basse-taille Alain Buet, basse

Les Arts FlorissantsWilliam Christie, direction

Partitions de Desmarest et de Rameau réalisées par le CMBV Concert enregistré par France Musique

l Gél

28 novembre

Instrument-roi de la chapelle, l’orgue tenait une place importante dans la liturgie de la Cour. Les organistes du Roi qui se succédèrent à ce poste composèrent des pages aux sonorités étonnantes, propres à mettre en valeur tous les registres du superbe orgue construit par Clicquot qui trônait, face à la tribune royale, au milieu des instrumen-tistes et des chanteurs.

orgue michel bouvard

28 novembre

Instrument-roi de la chapelle, l’orgue tenait une place importante dans la liturgie de la Cour. Les organistes du Roi qui se succédèrent à ce poste composèrent des pages aux sonorités étonnantes, propres à mettre en valeur tous les registres du superbe orgue construit par Clicquot qui trônait, face à la tribune royale, au milieu des instrumen-tistes et des chanteurs.

orgue michel bouvard

60 fêtes baroques | récital d’orgue 61

Organiste de renommée internationale, Michel Bouvard est un interprète doublé d’un pédagogue de premier plan. Il enseigne à ce titre au Conservatoire de Paris depuis des années. Sur l’orgue Clicquot de la Chapelle, il fait entendre les grands maîtres du règne de Louis XIV, qui inspirèrent l’Europe entière – et même Jean-Sébastien Bach – jusqu’au milieu du XVIIIe siècle.

Rencontres des Menus Plaisirs 1er déc 17h30 Jean Duron le prince et la musique

tarif Cplacement numéroté

récital d’orgue les organistes de louis xiv Nicolas Lebègue, Guillaume-Gabriel Nivers, Henry Dumont, François Couperin, Louis Marchand et Louis-Claude Daquin

Michel Bouvard, orgue

60 fêtes baroques | récital d’orgue 61

Organiste de renommée internationale, Michel Bouvard est un interprète doublé d’un pédagogue de premier plan. Il enseigne à ce titre au Conservatoire de Paris depuis des années. Sur l’orgue Clicquot de la Chapelle, il fait entendre les grands maîtres du règne de Louis XIV, qui inspirèrent l’Europe entière – et même Jean-Sébastien Bach – jusqu’au milieu du XVIIIe siècle.

tarif Cplacement numéroté

récital d’orgue les organistes de louis xiv Nicolas Lebègue, Guillaume-Gabriel Nivers, Henry Dumont, François Couperin, Louis Marchand et Louis-Claude Daquin

Michel Bouvard, orgue

28 novembre

C’est sous le règne de Louis XIV que l’école française de clavecin connaît son véritable essor. À la suite des pionniers – Louis Couperin et Jacques Champion de Chambonnières – toute une génération de virtuoses exceptionnels composent pour l’instrument des suites d’un nouveau genre : Lebègue, Clérambault, d’Anglebert, François Couperin imaginent une virtuosité moderne caractérisée par une ornementation luxuriante et un contrepoint dense. Un art dont le raffinement fait alors l’admiration de toute l’Europe et qui perdurera tout au long du XVIIIe siècle presque inchangé dans les œuvres de Rameau, Bury, Royer et Duphly.

clavecinandreas staier

28 novembre

C’est sous le règne de Louis XIV que l’école française de clavecin connaît son véritable essor. À la suite des pionniers – Louis Couperin et Jacques Champion de Chambonnières – toute une génération de virtuoses exceptionnels composent pour l’instrument des suites d’un nouveau genre : Lebègue, Clérambault, d’Anglebert, François Couperin imaginent une virtuosité moderne caractérisée par une ornementation luxuriante et un contrepoint dense. Un art dont le raffinement fait alors l’admiration de toute l’Europe et qui perdurera tout au long du XVIIIe siècle presque inchangé dans les œuvres de Rameau, Bury, Royer et Duphly.

clavecinandreas staier

64 fêtes baroques | récital de clavecin 65

Artiste d’exception, Andreas Staier s’exprime avec autant d’aisance au piano et au pianoforte qu’au clavecin, dans des répertoires allant du XVIIe au XXe siècle. Pour la première fois, il propose à Versailles sa lecture des grands maîtres du règne de Louis XIV.

samedi 28 novembre à 21h durée du concert : 1 heure 15 sans entracte

Salon d’Herculeaccès par le Pavillon Gabriel parking Cour d’honneur

récital de clavecin Louis CouperinSuite en ré mineurNicolas LebègueSuite en fa majeurNicolas ClérambaultSuite en ut mineurJean-Henry d’AnglebertSuite en sol majeurFrançois CouperinTroisième Ordre

Andreas Staier, clavecin

64 fêtes baroques | récital de clavecin 65

Artiste d’exception, Andreas Staier s’exprime avec autant d’aisance au piano et au pianoforte qu’au clavecin, dans des répertoires allant du XVIIe au XXe siècle. Pour la première fois, il propose à Versailles sa lecture des grands maîtres du règne de Louis XIV.

samedi 28 novembre à 21h durée du concert : 1 heure 15 sans entracte

Salon d’Herculeaccès par le Pavillon Gabriel parking Cour d’honneur

récital de clavecin Louis CouperinSuite en ré mineurNicolas LebègueSuite en fa majeurNicolas ClérambaultSuite en ut mineurJean-Henry d’AnglebertSuite en sol majeurFrançois CouperinTroisième Ordre

Andreas Staier, clavecin

3 décembre

Orchestre d’apparat et de cérémonie, les Vingt-quatre Violons du Roi magnifièrent la politique artistique de Louis XIV et de ses descendants. À leur tête se succédèrent les Surintendants de la Musique de la Chambre qui donnèrent à entendre pour les concerts, soupers et bals, des pièces de leur composition. Si Lully privilégia des extraits de ses opéras, Lalande écrivit plusieurs séries d’ambitieuses suites de Symphonies pour les Soupers du Roi que Louis XIV admira à leur juste valeur. Il les faisait rejouer dès que l’occasion se présentait, dans ses concerts privés notamment, y mêlant des airs français et italiens à la mode. C’est tout à la fois l’éclectisme de ces concerts et l’apparat d’un orchestre mythique que le présent programme met en valeur, faisant résonner la Galerie des glaces d’œuvres parmi les plus représentatives du goût du Roi. Conservées sous formes lacunaires, les Symphonies pour les Soupers du Roi sont aujourd’hui restituées par le Centre sous leur forme originelle.

symphonies pour les

soupers du roi

3 décembre

Orchestre d’apparat et de cérémonie, les Vingt-quatre Violons du Roi magnifièrent la politique artistique de Louis XIV et de ses descendants. À leur tête se succédèrent les Surintendants de la Musique de la Chambre qui donnèrent à entendre pour les concerts, soupers et bals, des pièces de leur composition. Si Lully privilégia des extraits de ses opéras, Lalande écrivit plusieurs séries d’ambitieuses suites de Symphonies pour les Soupers du Roi que Louis XIV admira à leur juste valeur. Il les faisait rejouer dès que l’occasion se présentait, dans ses concerts privés notamment, y mêlant des airs français et italiens à la mode. C’est tout à la fois l’éclectisme de ces concerts et l’apparat d’un orchestre mythique que le présent programme met en valeur, faisant résonner la Galerie des glaces d’œuvres parmi les plus représentatives du goût du Roi. Conservées sous formes lacunaires, les Symphonies pour les Soupers du Roi sont aujourd’hui restituées par le Centre sous leur forme originelle.

symphonies pour les

soupers du roi

68 fêtes baroques | symphonies pour les soupers du roi 69

Déchiffreur et lecteur invétéré, Christophe Rousset s’empare des suites de Lalande comme il l’a fait de Didon de Desmarest (1999), de Toinon & Toinette de Gossec (2002), du De profundis de Blanchard (2003) ou de Scylla & Glaucus de Leclair (2005) : avec curiosité et enthousiasme. Une culture impressionnante de l’Ancien Régime, une parfaite connaissance du style français, un goût pour l’orchestre et la danse sont autant d’atouts pour le chef, qui livrera à n’en pas douter une lecture engagée et passionnante.

19 jan 17h30 Raphaël Masson image et place du roi dans les fêtes versaillaises

jeudi 3 décembre à 21h durée du concert : 2 heures avec entracte

Galerie des Glacesaccès par le Pavillon Gabriel parking Cour d’honneur

symphonies pour les soupers du roi Michel-Richard de Lalande

André CampraMarc-Antoine CharpentierAirs italiens

Céline Scheen, dessus

Les Talens Lyriques Christophe Rousset, direction

Partitions de Lalande réalisées par le CMBV

ric La

68 fêtes baroques | symphonies pour les soupers du roi 69

Déchiffreur et lecteur invétéré, Christophe Rousset s’empare des suites de Lalande comme il l’a fait de Didon de Desmarest (1999), de Toinon & Toinette de Gossec (2002), du De profundis de Blanchard (2003) ou de Scylla & Glaucus de Leclair (2005) : avec curiosité et enthousiasme. Une culture impressionnante de l’Ancien Régime, une parfaite connaissance du style français, un goût pour l’orchestre et la danse sont autant d’atouts pour le chef, qui livrera à n’en pas douter une lecture engagée et passionnante.

19 jan 17h30 Raphaël Masson image et place du roi dans les fêtes versaillaises

jeudi 3 décembre à 21h durée du concert : 2 heures avec entracte

Galerie des Glacesaccès par le Pavillon Gabriel parking Cour d’honneur

symphonies pour les soupers du roi Michel-Richard de Lalande

André CampraMarc-Antoine CharpentierAirs italiens

Céline Scheen, dessus

Les Talens Lyriques Christophe Rousset, direction

Partitions de Lalande réalisées par le CMBV

ric La

6 et 7 février

Créée en 1684, Amadis est l’une des dernières tragédies lyriques de Quinault et Lully. Comme dans Roland et Armide, on y perçoit la pleine maturité du compositeur, parvenu au faîte de sa gloire et à une parfaite maîtrise de son langage. Si la musique d’Amadis est si riche et si variée, c’est que le livret rassemble des univers contrastés propres à l’enchantement du spectateur : roman de chevalerie et merveilleux baroque sont réunis pour faire de l’ouvrage l’une des épopées les plus féériques de l’histoire de l’opéra français.

amadis

6 et 7 février

Créée en 1684, Amadis est l’une des dernières tragédies lyriques de Quinault et Lully. Comme dans Roland et Armide, on y perçoit la pleine maturité du compositeur, parvenu au faîte de sa gloire et à une parfaite maîtrise de son langage. Si la musique d’Amadis est si riche et si variée, c’est que le livret rassemble des univers contrastés propres à l’enchantement du spectateur : roman de chevalerie et merveilleux baroque sont réunis pour faire de l’ouvrage l’une des épopées les plus féériques de l’histoire de l’opéra français.

amadis

72 fêtes baroques | amadis 73

À la tête du tout jeune Orchestre des musiques anciennes et à venir créé par Dominique Serve et Alice Piérot, Olivier Schneebeli poursuit sa relecture des ouvrages lyriques de Lully, après le Voyage au cœur des opéras de Lully (2006) et un récital consacré à des extraits d’Amadis avec Véronique Gens (2007). Pour ses premiers pas dans l’univers du théâtre, il est accompagné d’Olivier Bénézech qui signera la mise en scène de cette première reprise de l’ouvrage, jamais remonté depuis 1771. Ce spectacle créé, les 24 et 26 janvier 2010 à l’Opéra-Théâtre d’Avignon et des Pays de Vaucluse, est ici proposé en exclusivité en Ile-en France

samedi 6 février à 20hdimanche 7 févrierà 16h durée de la représentation : 3 heures 30 avec entracte

Opéra de Massy1, place de France 91300 Massyréservations et conditions de vente 01 60 13 13 13 www.opera-massy.com

tarif Massy * le tarif réduit est accordé, sur présentation du justificatif, aux Massicois et aux Adhérents du cmbv

amadis Jean-Baptiste LullyTragédie lyrique sur un livret de Quinault, 1684 Cyril Auvity, Amadis Katia Vellétaz, Oriane Alain Buet, Arcalaüs Isabelle Druet, Arcabonne Edwin Crossley-Mercer, Florestan Dagmar Saskova, Corisande Hjördis Thébault, Urgande Arnaud Richard, Alquif / Ardan-Canile

Les Chantres du Centre de Musique Baroque de Versailles

Orchestre des Musiques Anciennes et à VenirDominique Serve, direction artistique

Ballet de l’Opéra-Théâtre d’Avignon et des Pays de VaucluseÉric Belaud, directeur de la danse

Olivier Schneebeli, directionOlivier Bénézech, mise en scèneGilles Papain et Olivier Bénézech, scénographie et imagesAvec la collaboration artistique de Marie Jumelin Françoise Denieau, chorégraphie Marc Delamézière, lumières Frédéric Olivier, costumes

Partitions réalisées par le CMBVCoproduction CMBV / Opéra-Théâtre d’Avignon et des Pays de Vaucluse /Opéra de MassyCoréalisation Loueur d’Étoiles

cat. normal réduit*

1 46 37

2 42 34

72 fêtes baroques | amadis 73

À la tête du tout jeune Orchestre des musiques anciennes et à venir créé par Dominique Serve et Alice Piérot, Olivier Schneebeli poursuit sa relecture des ouvrages lyriques de Lully, après le Voyage au cœur des opéras de Lully (2006) et un récital consacré à des extraits d’Amadis avec Véronique Gens (2007). Pour ses premiers pas dans l’univers du théâtre, il est accompagné d’Olivier Bénézech qui signera la mise en scène de cette première reprise de l’ouvrage, jamais remonté depuis 1771. Ce spectacle créé, les 24 et 26 janvier 2010 à l’Opéra-Théâtre d’Avignon et des Pays de Vaucluse, est ici proposé en exclusivité en Ile-en France

samedi 6 février à 20hdimanche 7 févrierà 16h durée de la représentation : 3 heures 30 avec entracte

Opéra de Massy1, place de France 91300 Massyréservations et conditions de vente 01 60 13 13 13 www.opera-massy.com

tarif Massy * le tarif réduit est accordé, sur présentation du justificatif, aux Massicois et aux Adhérents du cmbv

amadis Jean-Baptiste LullyTragédie lyrique sur un livret de Quinault, 1684 Cyril Auvity, Amadis Katia Vellétaz, Oriane Alain Buet, Arcalaüs Isabelle Druet, Arcabonne Edwin Crossley-Mercer, Florestan Dagmar Saskova, Corisande Hjördis Thébault, Urgande Arnaud Richard, Alquif / Ardan-Canile

Les Chantres du Centre de Musique Baroque de Versailles

Orchestre des Musiques Anciennes et à VenirDominique Serve, direction artistique

Ballet de l’Opéra-Théâtre d’Avignon et des Pays de VaucluseÉric Belaud, directeur de la danse

Olivier Schneebeli, directionOlivier Bénézech, mise en scèneGilles Papain et Olivier Bénézech, scénographie et imagesAvec la collaboration artistique de Marie Jumelin Françoise Denieau, chorégraphie Marc Delamézière, lumières Frédéric Olivier, costumes

Partitions réalisées par le CMBVCoproduction CMBV / Opéra-Théâtre d’Avignon et des Pays de Vaucluse /Opéra de MassyCoréalisation Loueur d’Étoiles

cat. normal réduit*

1 46 37

2 42 34

du 25 septembre au 22 juin

Afin que l’Hôtel des Menus Plaisirs soit aussi un lieu de transmission du savoir, d’échanges et de débats, le Centre accueille ceux qui, aujourd’hui, « font » la musique baroque, musicologues et interprètes spécialistes de ce répertoire. Les Rencontres des Menus Plaisirs éclairent certains pans de l’histoire de la musique en France aux XVIIe et XVIIIe siècles, et font le point sur l’actualité des spectacles, des concerts et des enregistrements discographiques parus ou à paraître.

rencontresdes menus

plaisirs

du 25 septembre au 22 juin

Afin que l’Hôtel des Menus Plaisirs soit aussi un lieu de transmission du savoir, d’échanges et de débats, le Centre accueille ceux qui, aujourd’hui, « font » la musique baroque, musicologues et interprètes spécialistes de ce répertoire. Les Rencontres des Menus Plaisirs éclairent certains pans de l’histoire de la musique en France aux XVIIe et XVIIIe siècles, et font le point sur l’actualité des spectacles, des concerts et des enregistrements discographiques parus ou à paraître.

rencontresdes menus

plaisirs

76 rencontres des menus plaisirs 77

Les premierset troisièmes mardisde chaque moisde septembre 2009 à juin 2010à 17h30séance de 60 minutes

29 septembre6, 13 et 20 octobre10, 17 et 24 novembre1er décembre5 et 19 janvier2 et 16 février16 mars6 avril4 et 8 mai1er, 8, 15 et 22 juin mois Molière

Hôtel des Menus Plaisirs22 avenue de Paris78 000 Versailles

entrée libresur réservation

dans le cadre des grandes journées grétry

Pour vous guider tout au long des Grandes Journées Grétry, des conférences sont proposées par les chercheurs et chercheurs- associés du cmbv:

29 sept Benoît Dratwicki conférence inaugurale : grétry au cœur des « révolutions » musicales

6 oct Michelle Garnier-Panafieu regards sur la musique de chambre en france à l’époque de grétry

13 oct Buford Norman andromaque, de racine à grétry

20 oct Pascal Valois grétry et la « guitaromanie » : les transcriptions d’œuvres vocales en france entre 1780 et 1830

10 nov Patrick Taïeb l’amant jaloux ou les fausses apparences : le second degré dans l’opéra-comique

17 nov Thierry Favier musique religieuse et modernité musicale sous le règne de Louis xvi

rencontres des menus plaisirs

24 nov Thomas Leconte aspects de la dévotion royale : le grand motet, de lully à mondonville

1er déc Jean Duron le prince et la musique

5 jan Alexandre Maral louis xiv et la chapelle royale

19 jan Raphaël Masson image et place du roi dans les fêtes versaillaises

2 fév Barbara Nestola « cet air italien que le roy ne pouvoit se lasser d’entendre » : louis xiv et les concerts de musique italienne à la cour

dans le cadre de l’exposition louis xiv : l’homme et le roi

Pour accompagner l’exposition Louis XIV : l’homme et le Roi, organisée par le château de Versailles, le Centre de Musique Baroque de Versailles programme cinq conférences dédiées à la musique française au temps de Louis XIV.

Programmation complète disponible à partir de septembre 2009 sur www.cmbv.fr

76 rencontres des menus plaisirs 77

Les premierset troisièmes mardisde chaque moisde septembre 2009 à juin 2010à 17h30séance de 60 minutes

29 septembre6, 13 et 20 octobre10, 17 et 24 novembre1er décembre5 et 19 janvier2 et 16 février16 mars6 avril4 et 8 mai1er, 8, 15 et 22 juin mois Molière

Hôtel des Menus Plaisirs22 avenue de Paris78 000 Versailles

entrée libresur réservation

dans le cadre des grandes journées grétry

Pour vous guider tout au long des Grandes Journées Grétry, des conférences sont proposées par les chercheurs et chercheurs- associés du cmbv:

29 sept Benoît Dratwicki conférence inaugurale : grétry au cœur des « révolutions » musicales

6 oct Michelle Garnier-Panafieu regards sur la musique de chambre en france à l’époque de grétry

13 oct Buford Norman andromaque, de racine à grétry

20 oct Pascal Valois grétry et la « guitaromanie » : les transcriptions d’œuvres vocales en france entre 1780 et 1830

10 nov Patrick Taïeb l’amant jaloux ou les fausses apparences : le second degré dans l’opéra-comique

17 nov Thierry Favier musique religieuse et modernité musicale sous le règne de Louis xvi

rencontres des menus plaisirs

24 nov Thomas Leconte aspects de la dévotion royale : le grand motet, de lully à mondonville

1er déc Jean Duron le prince et la musique

5 jan Alexandre Maral louis xiv et la chapelle royale

19 jan Raphaël Masson image et place du roi dans les fêtes versaillaises

2 fév Barbara Nestola « cet air italien que le roy ne pouvoit se lasser d’entendre » : louis xiv et les concerts de musique italienne à la cour

dans le cadre de l’exposition louis xiv : l’homme et le roi

Pour accompagner l’exposition Louis XIV : l’homme et le Roi, organisée par le château de Versailles, le Centre de Musique Baroque de Versailles programme cinq conférences dédiées à la musique française au temps de Louis XIV.

Programmation complète disponible à partir de septembre 2009 sur www.cmbv.fr

du 5 novembre au 3 juin

Jusqu’à la Révolution, la Chapelle royale résonnait de musique tout au long de l’année. Près d’une dizaine de messes y étaient données chaque jour, auxquelles s’ajoutaient d’autres offices et moments de prière. Au milieu des voix, des flûtes et des trompettes, le grand orgue de la tribune était l’instrument roi, inauguré en 1711, remanié tout au long du XIXe siècle et restauré par Cattiaux et Boisseau en 1995. Les Jeudis Musicaux de la Chapelle royale font revivre pleinement, tout au long de l’année, ces circonstances musicales prestigieuses. Ainsi, les Pages & les Chantres du Centre de Musique Baroque de Versailles, dirigés par Olivier Schneebeli (accompagnement : Fabien Armengaud), regroupant une vingtaine d’enfants (enfants maîtrisiens scolarisés au collège Rameau en classes à horaires aménagés) et autant d’adultes (chanteurs adultes en formation professionnelle supérieure), restitueront cette structure originelle du chœur « à la françoise » (cinq voix réparties en dessus, hautes-contre, tailles, basses-tailles et basses) qui lui confère une couleur sonore unique en Europe. Ils feront redécouvrir au public les trésors du répertoire musical français et européen des XVIIe et XVIIIe siècles, celui de la Cour de France, mais aussi celui des grandes cathédrales et des collèges.

jeudis musicaux

de la chapelle

du 5 novembre au 3 juin

Jusqu’à la Révolution, la Chapelle royale résonnait de musique tout au long de l’année. Près d’une dizaine de messes y étaient données chaque jour, auxquelles s’ajoutaient d’autres offices et moments de prière. Au milieu des voix, des flûtes et des trompettes, le grand orgue de la tribune était l’instrument roi, inauguré en 1711, remanié tout au long du XIXe siècle et restauré par Cattiaux et Boisseau en 1995. Les Jeudis Musicaux de la Chapelle royale font revivre pleinement, tout au long de l’année, ces circonstances musicales prestigieuses. Ainsi, les Pages & les Chantres du Centre de Musique Baroque de Versailles, dirigés par Olivier Schneebeli (accompagnement : Fabien Armengaud), regroupant une vingtaine d’enfants (enfants maîtrisiens scolarisés au collège Rameau en classes à horaires aménagés) et autant d’adultes (chanteurs adultes en formation professionnelle supérieure), restitueront cette structure originelle du chœur « à la françoise » (cinq voix réparties en dessus, hautes-contre, tailles, basses-tailles et basses) qui lui confère une couleur sonore unique en Europe. Ils feront redécouvrir au public les trésors du répertoire musical français et européen des XVIIe et XVIIIe siècles, celui de la Cour de France, mais aussi celui des grandes cathédrales et des collèges.

jeudis musicaux

de la chapelle

80 jeudis musicaux de la chapelle 81

Ces rendez-vous permettent aux Pages et aux Chantres de présenter leur travail en musique de chambre, en formation réduite ou en chœur tutti, avec la collabo-ration des départements de musique ancienne du crr de Versailles et du crd de la Vallée de Chevreuse. À plusieurs reprises au cours de la saison, la Maîtrise invite également de jeunes ensembles constitués par ses anciens Chantres ou par les étudiants des plus grands conservatoires, afin de faire connaître au public leur nouvelle carrière artistique. D’autre part, le grand orgue Cliquot résonne sous les doigts des étudiants de la classe d’orgue de Michel Bouvard et d’Olivier Latry, du Conservatoire de Paris (cnsmdp). Depuis le XVIIIe siècle en effet, les plus grands organistes se relayent pour y jouer le répertoire légué par Grigny, Lebègue, Marchand, Couperin, Clérambault et leurs successeurs. Parallèlement aux récitals donnés par Michel Chapuis, organiste principal, le Centre a souhaité multiplier les occasions de faire entendre aux visiteurs du château et aux mélomanes, ce plus bel exemple d’orgue français d’esthétique baroque. Cette préoccupation a croisé la volonté du cnsmdp de donner à l’enseignement du répertoire d’orgue baroque français un instrument et un cadre adaptés à ses étudiants et de permettre au public d’entendre dès aujourd’hui les grands solistes de demain.

les jeudisdu 5 novembre au 3 juinhors vacances scolaires

à 15h et 15h30auditions d’orguepour les visiteurs du château

à 17h30récital d’orgue et auditiondu chœur (1h15 environ)

5, 12, 19 et 26 novembre10 et 17 décembre7, 14, 21 et 28 janvier4, 11 et 18 février11, 18 et 25 mars1, 8 et 15 avril6, 20 et 27 mai3 juin

Chapelle royaleaccès par la porte B parking dans la ville

tarif Versailles Musique - Jeudi Musical visite du château + Jeudi Musicalou Jeudi Musical placement libre

jeudis musicaux de la chapelle royaleAuditions hebdomadaires Programmation disponible à partir d’octobre 2009 sur www.cmbv.fr

Les Pages & les Chantres du Centre de Musique Baroque de VersaillesOlivier Schneebeli, direction

Les étudiants de la classe d’orgue du cnsmd de ParisCoralie Amedjkane, Cindy Castillo, Ami Hoyano, Gaëtan Jarry, Yeon-Ju Kim, Shin-Young Lee, Gilles Oltz, Thomas Ospital, Yoann Tardivel…

Les Pages du CMBV sont habillés par Agnès BYokogawa France soutient les Jeudis Musicaux de la Chapelle royale.

80 jeudis musicaux de la chapelle 81

Ces rendez-vous permettent aux Pages et aux Chantres de présenter leur travail en musique de chambre, en formation réduite ou en chœur tutti, avec la collabo-ration des départements de musique ancienne du crr de Versailles et du crd de la Vallée de Chevreuse. À plusieurs reprises au cours de la saison, la Maîtrise invite également de jeunes ensembles constitués par ses anciens Chantres ou par les étudiants des plus grands conservatoires, afin de faire connaître au public leur nouvelle carrière artistique. D’autre part, le grand orgue Cliquot résonne sous les doigts des étudiants de la classe d’orgue de Michel Bouvard et d’Olivier Latry, du Conservatoire de Paris (cnsmdp). Depuis le XVIIIe siècle en effet, les plus grands organistes se relayent pour y jouer le répertoire légué par Grigny, Lebègue, Marchand, Couperin, Clérambault et leurs successeurs. Parallèlement aux récitals donnés par Michel Chapuis, organiste principal, le Centre a souhaité multiplier les occasions de faire entendre aux visiteurs du château et aux mélomanes, ce plus bel exemple d’orgue français d’esthétique baroque. Cette préoccupation a croisé la volonté du cnsmdp de donner à l’enseignement du répertoire d’orgue baroque français un instrument et un cadre adaptés à ses étudiants et de permettre au public d’entendre dès aujourd’hui les grands solistes de demain.

les jeudisdu 5 novembre au 3 juinhors vacances scolaires

à 15h et 15h30auditions d’orguepour les visiteurs du château

à 17h30récital d’orgue et auditiondu chœur (1h15 environ)

5, 12, 19 et 26 novembre10 et 17 décembre7, 14, 21 et 28 janvier4, 11 et 18 février11, 18 et 25 mars1, 8 et 15 avril6, 20 et 27 mai3 juin

Chapelle royaleaccès par la porte B parking dans la ville

tarif Versailles Musique - Jeudi Musical visite du château + Jeudi Musicalou Jeudi Musical placement libre

jeudis musicaux de la chapelle royaleAuditions hebdomadaires Programmation disponible à partir d’octobre 2009 sur www.cmbv.fr

Les Pages & les Chantres du Centre de Musique Baroque de VersaillesOlivier Schneebeli, direction

Les étudiants de la classe d’orgue du cnsmd de ParisCoralie Amedjkane, Cindy Castillo, Ami Hoyano, Gaëtan Jarry, Yeon-Ju Kim, Shin-Young Lee, Gilles Oltz, Thomas Ospital, Yoann Tardivel…

Les Pages du CMBV sont habillés par Agnès BYokogawa France soutient les Jeudis Musicaux de la Chapelle royale.

Informations pratiques

84 Index 85

jean-louis adam 29(1758-1848)

jean-henry d’anglebert 65(1628-1691)

claude balbastre 49(1724-1799)

jean-jacques beauvarlet-charpentier 49(1734-1794)

alexandre pierre françois boëly 23(1785-1858)

françois-adrien boieldieu 24(1775-1834)

giuseppe maria cambini 22(1746-1825)

andré campra 57, 69(1660-1744)

marc-antoine charpentier 19, 69(1643-1704)

louis-nicolas clérambault 65(1676-1749)

michel corrette 49(1707-1785)

françois couperin 61, 65 (1668-1733)

louis couperin 65(1626-1661)

nicolas-marie dalayrac 24(1753-1809)

louis-claude daquin 61(1694-1772)

antoine dauvergne 24, 25(1713-1797)

henry desmarest 57(1661-1741)

henry dumont 61(1610-1684)

jean-frédéric edelmann 29(1749-1794)

christoph willibald gluck 33(1714-1787)

andré ernest modeste grétry 22, 24, 33,(1741-1813) 37, 41, 45, 53

franz joseph haydn 23, 37(1732-1809)

ferdinand hérold 24(1791-1833)

hyacinthe jadin 22, 23, 29(1776-1800)

michel-richard de lalande 69(1657-1726)

guillaume lasceux 49(1740-1831)

nicolas lebègue 61, 65(1631-1702)

nicolas-jean lefroid de méreaux 49(1745-1797)

paolo lorenzani 19(1640-1713)

jean-baptiste lully 15, 57, 73 (1632-1687)

louis marchand 61(1669-1732)

jean-joseph cassanéa 25 de mondonville (1711-1772)

hélène de montgeroult 29(1764-1836)

wolfgang amadeus mozart 29, 37(1756-1791)

guillaume-gabriel nivers 61(1632-1714)

jean-philippe rameau 15, 57(1683-1764)

henri-joseph rigel 25(1741-1799)

antonio sacchini 33(1730-1786)

joseph bologne de saint-george 24, 25(1739-1799)

antonio salieri 33(1750-1825)

Compositeurs

84 Index 85

jean-louis adam 29(1758-1848)

jean-henry d’anglebert 65(1628-1691)

claude balbastre 49(1724-1799)

jean-jacques beauvarlet-charpentier 49(1734-1794)

alexandre pierre françois boëly 23(1785-1858)

françois-adrien boieldieu 24(1775-1834)

giuseppe maria cambini 22(1746-1825)

andré campra 57, 69(1660-1744)

marc-antoine charpentier 19, 69(1643-1704)

louis-nicolas clérambault 65(1676-1749)

michel corrette 49(1707-1785)

françois couperin 61, 65 (1668-1733)

louis couperin 65(1626-1661)

nicolas-marie dalayrac 24(1753-1809)

louis-claude daquin 61(1694-1772)

antoine dauvergne 24, 25(1713-1797)

henry desmarest 57(1661-1741)

henry dumont 61(1610-1684)

jean-frédéric edelmann 29(1749-1794)

christoph willibald gluck 33(1714-1787)

andré ernest modeste grétry 22, 24, 33,(1741-1813) 37, 41, 45, 53

franz joseph haydn 23, 37(1732-1809)

ferdinand hérold 24(1791-1833)

hyacinthe jadin 22, 23, 29(1776-1800)

michel-richard de lalande 69(1657-1726)

guillaume lasceux 49(1740-1831)

nicolas lebègue 61, 65(1631-1702)

nicolas-jean lefroid de méreaux 49(1745-1797)

paolo lorenzani 19(1640-1713)

jean-baptiste lully 15, 57, 73 (1632-1687)

louis marchand 61(1669-1732)

jean-joseph cassanéa 25 de mondonville (1711-1772)

hélène de montgeroult 29(1764-1836)

wolfgang amadeus mozart 29, 37(1756-1791)

guillaume-gabriel nivers 61(1632-1714)

jean-philippe rameau 15, 57(1683-1764)

henri-joseph rigel 25(1741-1799)

antonio sacchini 33(1730-1786)

joseph bologne de saint-george 24, 25(1739-1799)

antonio salieri 33(1750-1825)

Compositeurs

86 Index 87

Solistes chanteurs

Frédéric Antoun 45

Cyril Auvity 57, 73

Vincent Billier 45

Jean-Sébastien Bou 33

Alain Buet 57, 73

Isabelle Cals 53

Tassis Christoyannis 41

Edwin Crossley-Mercer 73

Claire Debono 45

Isabelle Druet 73

Maryline Fallot 45

Jean-Paul Fouchécourt 24

Aurélie Franck 53

Sébastien Guèze 41

Florian Laconi 33

Magali Léger 45

Marc Mauillon 57

Caroline Mutel 33

Emmanuelle de Negri 57

Patricia Petibon 57

Pierre-Yves Pruvot 53

Arnaud Richard 73

Caroline Sampson 15

Dagmar Saskova 73

Céline Scheen 69

Toby Spence 57

Bénédicte Tauran 53

Hjördis Thébault 73

Katia Vellétaz 53, 73

Judith van Wanroij 41

Maria Riccarda Wesseling 41

Caroline Weynants 53

Solistes instrumentaux

Elena Andreyev 23

Fabien Armengaud 49

Georges Barthel 37

Olivier Baumont 24

Michel Bouvard 61

Cécile Brossard 22

Margot Cache 49

Julien Chauvin 22

Violaine Cochard 25

Karine Crocquenoy 22

Mark Davies 49

Stéphanie-Marie Degand 25

Frédéric Desenclos 49

Mira Glodeanu 37

Benjamin Glorieux 37

Frédérick Haas 37

Sébastien d’Hérin 33

Florence Malgoire 24

James Munro 37

Fanny Paccoud 23

Bénédicte Pernet 37

Alice Piérot 23

Alain Planès 29

Atsushi Sakaï 22

Andreas Staier 65

Tami Troman 37

Interprètes

Orchestres et ensembles instrumentaux

Agrémens (les) 53

Arts Florissants (les) 57

Ausonia 37

Boston Early Music Festival Orchestra 15

Cercle de l’Harmonie (le) 45

Concert d’Astrée (le) 25

Concert Spirituel (le) 41

Nouveaux Caractères (les) 33Orchestre des musiques anciennes 73 et à venir (l’)

Quatuor Cambini 22

Seminario Musicale (il) 19

Symphonistes du CMBV (les) 49

Talens lyriques (les) 69

Trio AnPaPié 23

Chœurs

Chantres du CMBV (les) 41, 73

Chœur de chambre de Namur (le) 53

Chœur du Concert Spirituel (le) 41

Pages du CMBV (les) 49

William Christie 57

Sébastien D’Hérin 33

Frédérick Haas 37

Gérard Lesne 19

Hervé Niquet 41

Jérémie Rhorer 45

Christophe Rousset 69

Olivier Schneebeli 41, 49, 73

Stephen Stubbs 15

Paul O’Dette 15

Guy van Waas 53

Metteurs en scène et scénographe

Olivier Bénézech 73

Julien Lubek 37

Gilles Papain 73

Cécile Roussat 37

Pierre-Emmanuel Rousseau 45

Chorégraphes, Danseurs et Acrobates

Éric Belaud 73

Françoise Denieau 73

Julien Lubek 37

Cécile Roussat 37

Compagnie de danse et troupeBallet de l’Opéra-Théâtre d’Avignon 73 et des Pays de Vaucluse (le)

Shlemil Théâtre (le) 37

86 Index 87

Solistes chanteurs

Frédéric Antoun 45

Cyril Auvity 57, 73

Vincent Billier 45

Jean-Sébastien Bou 33

Alain Buet 57, 73

Isabelle Cals 53

Tassis Christoyannis 41

Edwin Crossley-Mercer 73

Claire Debono 45

Isabelle Druet 73

Maryline Fallot 45

Jean-Paul Fouchécourt 24

Aurélie Franck 53

Sébastien Guèze 41

Florian Laconi 33

Magali Léger 45

Marc Mauillon 57

Caroline Mutel 33

Emmanuelle de Negri 57

Patricia Petibon 57

Pierre-Yves Pruvot 53

Arnaud Richard 73

Caroline Sampson 15

Dagmar Saskova 73

Céline Scheen 69

Toby Spence 57

Bénédicte Tauran 53

Hjördis Thébault 73

Katia Vellétaz 53, 73

Judith van Wanroij 41

Maria Riccarda Wesseling 41

Caroline Weynants 53

Solistes instrumentaux

Elena Andreyev 23

Fabien Armengaud 49

Georges Barthel 37

Olivier Baumont 24

Michel Bouvard 61

Cécile Brossard 22

Margot Cache 49

Julien Chauvin 22

Violaine Cochard 25

Karine Crocquenoy 22

Mark Davies 49

Frédéric Desenclos 49

Mira Glodeanu 37

Benjamin Glorieux 37

Frédérick Haas 37

Sébastien d’Hérin 33

Florence Malgoire 24

James Munro 37

Fanny Paccoud 23

Bénédicte Pernet 37

Alice Piérot 23

Alain Planès 29

Atsushi Sakaï 22

Andreas Staier 65

Tami Troman 37

Interprètes

Orchestres et ensembles instrumentaux

Agrémens (les) 53

Arts Florissants (les) 57

Ausonia 37

Boston Early Music Festival Orchestra 15

Cercle de l’Harmonie (le) 45

Concert d’Astrée (le) 25

Concert Spirituel (le) 41

Nouveaux Caractères (les) 33Orchestre des musiques anciennes 73 et à venir (l’)

Quatuor Cambini 22

Seminario Musicale (il) 19

Symphonistes du CMBV (les) 49

Talens lyriques (les) 69

Trio AnPaPié 23

Chœurs

Chantres du CMBV (les) 41, 73

Chœur de chambre de Namur (le) 53

Chœur du Concert Spirituel (le) 41

Pages du CMBV (les) 49

William Christie 57

Sébastien D’Hérin 33

Frédérick Haas 37

Gérard Lesne 19

Hervé Niquet 41

Jérémie Rhorer 45

Christophe Rousset 69

Olivier Schneebeli 41, 49, 73

Stephen Stubbs 15

Paul O’Dette 15

Guy van Waas 53

Metteurs en scène et scénographe

Olivier Bénézech 73

Julien Lubek 37

Gilles Papain 73

Cécile Roussat 37

Pierre-Emmanuel Rousseau 45

Chorégraphes, Danseurs et Acrobates

Éric Belaud 73

Françoise Denieau 73

Julien Lubek 37

Cécile Roussat 37

Compagnie de danse et troupeBallet de l’Opéra-Théâtre d’Avignon 73 et des Pays de Vaucluse (le)

Shlemil Théâtre (le) 37

88 les lieux de concert 89

Lieux de concerts

Chapelle royale (544 ou 560 places) 19, 49, 57, 61, 81

Achevée en 1710, la Chapelle royale présente des as-pects à la fois gothiques (hauteur, verrières, toit pentu, gargouilles) et baroques (colonnes et balus-trades, piliers sculptés, voûtes peintes et dallage de marbre de couleurs). Robert de Cotte dirigea les tra-vaux de décoration, parmi lesquels la voûte peinte, représentative de l’école française. Une tribune si-tuée au même étage que les appartements royaux accueillait les monarques. C’est de là que Louis XIV, Louis XV et Louis XVI assistaient à la messe quoti-dienne. Face à eux, la Musique de la Chapelle gar-nissait les gradins autour de l’orgue.

Galerie des Batailles (504 places) 33

Longue de 120 mètres, la Galerie des Batailles oc-cupe toute la longueur du premier étage de l’aile du Midi et date de l’ouverture du Musée en 1837, sous le règne de Louis-Philippe. Elle abrite une col-lection impressionnante de tableaux représentant les événements militaires majeurs de l’histoire de France, depuis la bataille de Tolbiac livrée par Clovis en 496 jusqu’à celle de Wagram remportée par Napoléon en 1809.

Galerie des Cotelle (306 places) 22, 23, 24, 25

La Galerie des Cotelle occupe tout l’aile droite du Grand Trianon. Décorée vers 1690, elle porte le nom de l’auteur de la plupart des tableaux qui y figurent représentant des vues de certains bosquets de Versailles et de Trianon agrémentés de figures Mythologiques.

Galerie des Glaces (540 places) 69

Construite par Jules Hardouin-Mansart entre 1678-1684, la Galerie des Glaces occupe l’espace de l’an-cienne terrasse à l’italienne qui séparait les appar-tements du Roi de ceux de la Reine. 357 miroirs reflètent la lumière des nombreuses fenêtres don-nant sur le parc et la grande perspective. Lieu de passage, de réception, de bal et de musique, la « Grande Galerie » fut symboliquement choisie pour souligner la solennité de certains événements (ambassades, mariages, réceptions, traités…).

Manège de la Grande Écurie (700 places) 15

Conçues par Jules Hardouin-Mansart, les Écuries furent construites entre 1679 et 1682 pour abriter les quelques 600 chevaux du Roi, mais aussi les écuyers, les palefreniers, les musiciens et les pages. Le vaste Manège des Grandes Écuries fut utilisé comme salle de spectacle dès le règne de Louis XIV (on y créa des ouvrages de Lully) et jusqu’en 1745 et 1747 pour les deux mariages du Dauphin, fils de Louis XV.

Opéra royal (652 places) 45, 53

Construit par Gabriel entre 1768 et 1770, l’Opéra royal fut inauguré par les festivités du mariage du futur Louis XVI et de l’archiduchesse Marie-Antoinette. On y donna notamment Persée de Lully, Athalie de Racine, et Castor et Pollux de Rameau. Jusqu’en 1789, moins d’une vingtaine de soirées prestigieuses s’y déroulèrent car les coûts d’exploi-tation étaient faramineux. La magnificence de la salle et la complexité des machineries en font pour-tant l’un des théâtres historiques d’Europe les plus spectaculaires.

Salon du Grand Couvert du Roi (130 places) 29

Deuxième salon des appartements du Roi, le Grand Couvert accueillait les dîners et les soupers royaux auxquels assistaient les plus privilégiés de la Cour. Pour les grandes circonstances, des Symphonies pour le Souper du Roy étaient jouées par les vingt-quatre violons, placés sous la direction du Surintendant de la musique.

Le Salon d’Hercule (260 places) 65

Construit dans la partie haute de la quatrième cha-pelle (en usage de 1682 à 1710), le Salon d’Hercule fut conçu à la fin du règne de Louis XIV. Commencés en 1712 et interrompus à la mort du Roi, les travaux ne seront repris qu’en 1725 et achevés vers 1736 avec la réalisation du magnifique plafond de Lemoine représentant l’apothéose d’Hercule. Au XVIIIe siè-cle, le Salon d’Hercule était fréquemment utilisé pour des concerts, des bals et des soirées d’appartement.

88 les lieux de concert 89

Lieux de concerts

Chapelle royale (544 ou 560 places) 19, 49, 57, 61, 81

Achevée en 1710, la Chapelle royale présente des as-pects à la fois gothiques (hauteur, verrières, toit pentu, gargouilles) et baroques (colonnes et balus-trades, piliers sculptés, voûtes peintes et dallage de marbre de couleurs). Robert de Cotte dirigea les tra-vaux de décoration, parmi lesquels la voûte peinte, représentative de l’école française. Une tribune si-tuée au même étage que les appartements royaux accueillait les monarques. C’est de là que Louis XIV, Louis XV et Louis XVI assistaient à la messe quoti-dienne. Face à eux, la Musique de la Chapelle gar-nissait les gradins autour de l’orgue.

Galerie des Batailles (504 places) 33

Longue de 120 mètres, la Galerie des Batailles oc-cupe toute la longueur du premier étage de l’aile du Midi et date de l’ouverture du Musée en 1837, sous le règne de Louis-Philippe. Elle abrite une col-lection impressionnante de tableaux représentant les événements militaires majeurs de l’histoire de France, depuis la bataille de Tolbiac livrée par Clovis en 496 jusqu’à celle de Wagram remportée par Napoléon en 1809.

Galerie des Cotelle (306 places) 22, 23, 24, 25

La Galerie des Cotelle occupe tout l’aile droite du Grand Trianon. Décorée vers 1690, elle porte le nom de l’auteur de la plupart des tableaux qui y figurent représentant des vues de certains bosquets de Versailles et de Trianon agrémentés de figures Mythologiques.

Galerie des Glaces (540 places) 69

Construite par Jules Hardouin-Mansart entre 1678-1684, la Galerie des Glaces occupe l’espace de l’an-cienne terrasse à l’italienne qui séparait les appar-tements du Roi de ceux de la Reine. 357 miroirs reflètent la lumière des nombreuses fenêtres don-nant sur le parc et la grande perspective. Lieu de passage, de réception, de bal et de musique, la « Grande Galerie » fut symboliquement choisie pour souligner la solennité de certains événements (ambassades, mariages, réceptions, traités…).

Manège de la Grande Écurie (700 places) 15

Conçues par Jules Hardouin-Mansart, les Écuries furent construites entre 1679 et 1682 pour abriter les quelques 600 chevaux du Roi, mais aussi les écuyers, les palefreniers, les musiciens et les pages. Le vaste Manège des Grandes Écuries fut utilisé comme salle de spectacle dès le règne de Louis XIV (on y créa des ouvrages de Lully) et jusqu’en 1745 et 1747 pour les deux mariages du Dauphin, fils de Louis XV.

Opéra royal (652 places) 45, 53

Construit par Gabriel entre 1768 et 1770, l’Opéra royal fut inauguré par les festivités du mariage du futur Louis XVI et de l’archiduchesse Marie-Antoinette. On y donna notamment Persée de Lully, Athalie de Racine, et Castor et Pollux de Rameau. Jusqu’en 1789, moins d’une vingtaine de soirées prestigieuses s’y déroulèrent car les coûts d’exploi-tation étaient faramineux. La magnificence de la salle et la complexité des machineries en font pour-tant l’un des théâtres historiques d’Europe les plus spectaculaires.

Salon du Grand Couvert du Roi (130 places) 29

Deuxième salon des appartements du Roi, le Grand Couvert accueillait les dîners et les soupers royaux auxquels assistaient les plus privilégiés de la Cour. Pour les grandes circonstances, des Symphonies pour le Souper du Roy étaient jouées par les vingt-quatre violons, placés sous la direction du Surintendant de la musique.

Le Salon d’Hercule (260 places) 65

Construit dans la partie haute de la quatrième cha-pelle (en usage de 1682 à 1710), le Salon d’Hercule fut conçu à la fin du règne de Louis XIV. Commencés en 1712 et interrompus à la mort du Roi, les travaux ne seront repris qu’en 1725 et achevés vers 1736 avec la réalisation du magnifique plafond de Lemoine représentant l’apothéose d’Hercule. Au XVIIIe siè-cle, le Salon d’Hercule était fréquemment utilisé pour des concerts, des bals et des soirées d’appartement.

Opéra de Massy (739 places) 73

L’Opéra de Massy est un ensemble architectural agréable et moderne fondé et dirigé en 1993 par Jack-Henri Soumère. Première structure à être la-bellisée « scène conventionnée lyrique », l’Opéra de Massy s’affirme aujourd’hui comme un lieu de pro-duction artistique de référence et participe à une action de développement culturel à l’échelle régio-nale. Salle résolument moderne, elle s’intègre au centre d’un centre culturel de 14 200 m2 en réunis-sant les règles traditionnelles de construction des grandes scènes et l’application des techniques de pointe tant au niveau architectural qu’acoustique.

Théâtre des Champs-Élysées (1905 places) 41

Le Théâtre des Champs-Élysées est un bâtiment construit en 1913 et inauguré le 2 avril 1913 ; de style mixte art déco et classique, il abrite trois salles de spectacle dont la fameuse grande salle à l’italienne. Il marque une date clé dans l’histoire de l’architec-ture. Construit par Auguste Perret, avec la collabo-ration du sculpteur Antoine Bourdelle, du peintre nabi Maurice Denis, d’Édouard Vuillard et de Kerr-Xavier Roussel, il est le premier théâtre parisien à avoir été entièrement construit en béton armé, seule la façade ayant un plaquage de marbre blanc. Il a été classé monument historique en 1957. C’est l’un des hauts lieux de la musique à Paris.

Théâtre Montansier (561 places) 37

Inauguré en novembre 1777, le théâtre Montansier doit son existence et son nom à Marguerite Brunet, alias Mademoiselle Montansier, femme de tête qui sut faire du spectacle une véritable entreprise natio-nale. Premier théâtre de France par sa fréquentation, le théâtre Montansier présenta toutes les oeuvres à la mode, et le public parisien s’y bousculait. Restauré en 1993, il est encore aujourd’hui très actif.

Le Centre de Musique Baroque

de Versailleset ses partenaires

Opéra de Massy (739 places) 73

L’Opéra de Massy est un ensemble architectural agréable et moderne fondé et dirigé en 1993 par Jack-Henri Soumère. Première structure à être la-bellisée « scène conventionnée lyrique », l’Opéra de Massy s’affirme aujourd’hui comme un lieu de pro-duction artistique de référence et participe à une action de développement culturel à l’échelle régio-nale. Salle résolument moderne, elle s’intègre au centre d’un centre culturel de 14 200 m2 en réunis-sant les règles traditionnelles de construction des grandes scènes et l’application des techniques de pointe tant au niveau architectural qu’acoustique.

Théâtre des Champs-Élysées (1905 places) 41

Le Théâtre des Champs-Élysées est un bâtiment construit en 1913 et inauguré le 2 avril 1913 ; de style mixte art déco et classique, il abrite trois salles de spectacle dont la fameuse grande salle à l’italienne. Il marque une date clé dans l’histoire de l’architec-ture. Construit par Auguste Perret, avec la collabo-ration du sculpteur Antoine Bourdelle, du peintre nabi Maurice Denis, d’Édouard Vuillard et de Kerr-Xavier Roussel, il est le premier théâtre parisien à avoir été entièrement construit en béton armé, seule la façade ayant un plaquage de marbre blanc. Il a été classé monument historique en 1957. C’est l’un des hauts lieux de la musique à Paris.

Théâtre Montansier (561 places) 37

Inauguré en novembre 1777, le théâtre Montansier doit son existence et son nom à Marguerite Brunet, alias Mademoiselle Montansier, femme de tête qui sut faire du spectacle une véritable entreprise natio-nale. Premier théâtre de France par sa fréquentation, le théâtre Montansier présenta toutes les oeuvres à la mode, et le public parisien s’y bousculait. Restauré en 1993, il est encore aujourd’hui très actif.

Le Centre de Musique Baroque

de Versailleset ses partenaires

92 Le Centre de Musique Baroque de Versailles et ses partenaires 93

Suite à un premier soutien au VillageBaroque devant le château de Versaillespendant les Grandes Journées Anniversaires du Centre en 2007, l’entreprise JCB Signalisation poursuit son action de mécénat en 2009-2010 avec une grande passion musicale.

Pour la quatrième année consécutive,Yokogawa France est mécène des JeudisMusicaux de la Chapelle royale.

Ernst & Young apporte son soutien au Centre de Musique Baroque de Versailles et contribue à la réalisation de ses missions.

La Fondation Edmond J. Safra a apporté son soutien au CMBV pour la restitution des Vingt-quatre Violons du Roi

Les vins de Graves et de Pessac Léognanoffrent une dégustation de leurs meilleurscrus à l’occasion du buffet au grand Trianon du château de Versailles.

Pour les manifestations organisées par le Cercle des Amis du CMBV, Château Clinet met à disposition son grand cru bordelais.

Les mécènes de la saison Le Club d’entreprises

Le Club d’entreprises du Centre de Musique Baroque de Versailles a été créé en 2005.Il réunit des entreprises soucieuses d’aider le Centre à réaliser tous les projets innovants qui s’ajoutent à sa mission de redécouverte et de promotion de la musique française des XVIIe et XVIIIe siècles.Nous les en remercions très sincèrement :

AtemationMonsieur Bernard Hagège, Président

Cabinet Espace ImmobilierMonsieur Jean Rouvière, Directeur

Cabinet MoutardMonsieur Arnaud de Saint Palais, Président

Centre Régional de Formation Professionnelle des Avocats de Versailles Maître Dominique Marceau, président

Club des CréateursMadame Jeanine Meurin, Présidente

Groupe ISIPCAMadame Isabelle Dufour, directrice

IBM FranceMonsieur Daniel Chaffraix, Président

JCB SignalisationMadame Joëlle Broguet, Directrice

Lappara Orfèvre ArgentierMonsieur Olivier Gaube du Gers, Directeur

Pierre Patrimoine ConseilMme Anne Rivrain, Présidente

Restaurant La Petite Venise, Parc du château de VersaillesMonsieur Tony Mellili, Directeur

Yokogawa FranceMonsieur Olivier Deslangle, Directeur général

Nous tenons également à remercier les réseaux partenaires du Club d’entreprises :

Agence Française des Investissements Internationaux

Chambre de Commerce et d’Industrie de Versailles Val d’Oise Yvelines

Chambre de Commerce et d’Industrie Franco-Britannique

Chambre de Commerce et d’Industrie Corée - France

Fédération des Toutes Petites Entreprises des Yvelines

MEDEF Yvelines Sud

Maison de l’Entreprise de Saint-Quentin-en-Yvelines

Suite à un premier soutien au VillageBaroque devant le château de Versaillespendant les Grandes Journées Anniversaires du Centre en 2007, l’entreprise JCB Signalisation poursuit son action de mécénat en 2009-2010 avec une grande passion musicale.

Pour la quatrième année consécutive,Yokogawa France est mécène des JeudisMusicaux de la Chapelle royale.

Ernst & Young apporte son soutien au Centre de Musique Baroque de Versailles et contribue à la réalisation de ses missions.

La Fondation Edmond J. Safra a apporté son soutien au CMBV pour la restitution des Vingt-quatre Violons du Roi

Les vins de Graves et de Pessac Léognanoffrent une dégustation de leurs meilleurscrus à l’occasion du buffet au grand Trianon du château de Versailles.

Pour les manifestations organisées par le Cercle des Amis du CMBV, Château Clinet met à disposition son grand cru bordelais.

Les mécènes de la saison Le Club d’entreprises

Le Club d’entreprises du Centre de Musique Baroque de Versailles a été créé en 2005.Il réunit des entreprises soucieuses d’aider le Centre à réaliser tous les projets innovants qui s’ajoutent à sa mission de redécouverte et de promotion de la musique française des XVIIe et XVIIIe siècles.Nous les en remercions très sincèrement :

AtemationMonsieur Bernard Hagège, Président

Cabinet Espace ImmobilierMonsieur Jean Rouvière, Directeur

Cabinet MoutardMonsieur Arnaud de Saint Palais, Président

Centre Régional de Formation Professionnelle des Avocats de Versailles Maître Dominique Marceau, président

Club des CréateursMadame Jeanine Meurin, Présidente

Groupe ISIPCAMadame Isabelle Dufour, directrice

IBM FranceMonsieur Daniel Chaffraix, Président

JCB SignalisationMadame Joëlle Broguet, Directrice

Lappara Orfèvre ArgentierMonsieur Olivier Gaube du Gers, Directeur

Pierre Patrimoine ConseilMme Anne Rivrain, Présidente

Restaurant La Petite Venise, Parc du château de VersaillesMonsieur Tony Mellili, Directeur

Yokogawa FranceMonsieur Olivier Deslangle, Directeur général

Nous tenons également à remercier les réseaux partenaires du Club d’entreprises :

Agence Française des Investissements Internationaux

Chambre de Commerce et d’Industrie de Versailles Val d’Oise Yvelines

Chambre de Commerce et d’Industrie Franco-Britannique

Chambre de Commerce et d’Industrie Corée - France

Fédération des Toutes Petites Entreprises des Yvelines

MEDEF Yvelines Sud

Maison de l’Entreprise de Saint-Quentin-en-Yvelines

Le Cercle des Amis(créé par Alain Guillon en 2004)

Les membres du Cercle des Amis, par leurs dons généreux, réalisent un mécénat collectif qui contribue directement au développement et au rayonnement des activités du Centre de Musique Baroque de Versailles :

Madame Françoise Lafuge †Présidente d’honneur

Comtesse Marie-Josette de MontgelasPrésidente

M. Aurélien AlexisM. et Mme Bernard Arandel-ColinM. et Mme Bernard AubineauDocteur Laurence BaucherelM. François BauduM. Bruno BedarideM. Juan BeisteguiM. et Mme Yves BlondetMme Arlette BocenoMme Marie-Thérèse BonnardMme Patricia Bottin-WeinbergM. Elward BresettM. Stéphane BreyerM. Olivier BricardMme Marisa Bruni TedeschiM. Nicolas Cafay-KauffmannMme Monique Caralli-Lefevre - BBM NewsM. et Mme Jacques CaumartinMme Françoise ChibretM. Fréderic ChoisseletM. Pierre-Yves ChupinM. et Mme Léon CligmanM. Henri CondéM. Daniel CorbinMme Nicole DassaultMme Sylvie DaubervillePrincesse Laure de BeauvauM. Patrick de Brou de Laurièreet Professeur Jean-Jacques GiraudM. et Mme René de Crevoisier d’HurbacheMme Laurence de La Grange SuryM. et Mme Baudoin de La VilléonComtesse Martine de Lesetenc de KerouaraM. Claude DebuireM. Alain Delcamp

M. et Mme Alain DelozM. Bastien DenisMme Jeannine DepontMme Isabelle DjeddahM. Pierre du BourgM. l’Ambassadeur de France et Mme Bertrand DufourcqM. Philippe DumontMme Bernadette DupontM. Romain DurandM. Philippe-Henri DutheilMme Maha El-Khalil ChalabiMme Edith EngelbrechtM. Ahmad Hamideh KhavanM. et Mme Florence FahlbuschM. et Mme Jacques FargesM. Vincent FavaudonM. Richard Steeve GiraudM. et Mme Michel GiraudMme Lise GrafM. Serge GuittardM. et Mme Gérald HarlinMaître Daniel HeckM. Daniel HemardDocteur Jean-Claude Houdretet Mme Jacqueline Bete-FoëMaître Dominique HugotDocteur Guy HuréMme Anne JaginMme Monique JaladyM. et Mme Gérard JamaultM. et Mme Didier JardinaudM. et Mme Gustave JohanetM. et Mme Matthieu JoulieM. et Mme Gérard JusseaumeMaître Thierry LacosteMme Claude LalanneM. Pierre Le RouxM. Jean-Pierre LécuyerDocteur Francis LemueMme Marie LéonettiM. Alan LewisM. Göran LindqvistM. Paul MaletrasM. et Mme François MalglaiveM. et Mme Jean Marcelis

M. Christian MathiasM. Jacques MetivierM. Jean-Louis MilinMme Françoise Morechand-Nagataki (Tokyo – Japon)Mme Nicole MuffatM. et Mme Louis OllivierMme Monique ParmentierMaître Jean-François PelfresneMme Monique PérichonM. André PetitM. Jean PierrrelleMme Claudie PierrelleMaître Eric PillonM. et Mme Michel PingetMme Nicole Poisson-GenainM. François PoliMme Nicole PotezM. Fabrice ProvinM. et Mme Gérard PouzoullicM. Daniel ReniévilleM. Xavier Robert-MondinM. Serge RobinM. Christian RocheteauM. et Mme Joachim RoyMme Colette SchlogelM. Louis ScottoM. et Mme Roger SerreM. et Mme Jean-Luc Sez-PontieuxM. Pierre StrumzaDocteur Jean-Claude SwimbergeDocteur Danielle TallecMme Lucette TassierM. et Mme François ThorisM. et Mme Dominique TourlièreM. et Mme Jean-Christophe TresselM. et Mme Jean TricartMme Gabrielle VénotM. Benoît VercherinBaron Jean-Charles Veyron La CroixMme Paule Viteaux (Assophie)M. Gérald-Henri Vuillienet M. Christophe Pilaire

ContactAlain Guillon Délégué du Cercle des [email protected] 01 39 20 78 10

Le Cercle des Amis(créé par Alain Guillon en 2004)

Les membres du Cercle des Amis, par leurs dons généreux, réalisent un mécénat collectif qui contribue directement au développement et au rayonnement des activités du Centre de Musique Baroque de Versailles :

Madame Françoise Lafuge †Présidente d’honneur

Comtesse Marie-Josette de MontgelasPrésidente

M. Aurélien AlexisM. et Mme Bernard Arandel-ColinM. et Mme Bernard AubineauDocteur Laurence BaucherelM. François BauduM. Bruno BedarideM. Juan BeisteguiM. et Mme Yves BlondetMme Arlette BocenoMme Marie-Thérèse BonnardMme Patricia Bottin-WeinbergM. Elward BresettM. Stéphane BreyerM. Olivier BricardMme Marisa Bruni TedeschiM. Nicolas Cafay-KauffmannMme Monique Caralli-Lefevre - BBM NewsM. et Mme Jacques CaumartinMme Françoise ChibretM. Fréderic ChoisseletM. Pierre-Yves ChupinM. et Mme Léon CligmanM. Henri CondéM. Daniel CorbinMme Nicole DassaultMme Sylvie DaubervillePrincesse Laure de BeauvauM. Patrick de Brou de Laurièreet Professeur Jean-Jacques GiraudM. et Mme René de Crevoisier d’HurbacheMme Laurence de La Grange SuryM. et Mme Baudoin de La VilléonComtesse Martine de Lesetenc de KerouaraM. Claude DebuireM. Alain Delcamp

M. et Mme Alain DelozM. Bastien DenisMme Jeannine DepontMme Isabelle DjeddahM. Pierre du BourgM. l’Ambassadeur de France et Mme Bertrand DufourcqM. Philippe DumontMme Bernadette DupontM. Romain DurandM. Philippe-Henri DutheilMme Maha El-Khalil ChalabiMme Edith EngelbrechtM. Ahmad Hamideh KhavanM. et Mme Florence FahlbuschM. et Mme Jacques FargesM. Vincent FavaudonM. Richard Steeve GiraudM. et Mme Michel GiraudMme Lise GrafM. Serge GuittardM. et Mme Gérald HarlinMaître Daniel HeckM. Daniel HemardDocteur Jean-Claude Houdretet Mme Jacqueline Bete-FoëMaître Dominique HugotDocteur Guy HuréMme Anne JaginMme Monique JaladyM. et Mme Gérard JamaultM. et Mme Didier JardinaudM. et Mme Gustave JohanetM. et Mme Matthieu JoulieM. et Mme Gérard JusseaumeMaître Thierry LacosteMme Claude LalanneM. Pierre Le RouxM. Jean-Pierre LécuyerDocteur Francis LemueMme Marie LéonettiM. Alan LewisM. Göran LindqvistM. Paul MaletrasM. et Mme François MalglaiveM. et Mme Jean Marcelis

M. Christian MathiasM. Jacques MetivierM. Jean-Louis MilinMme Françoise Morechand-Nagataki (Tokyo – Japon)Mme Nicole MuffatM. et Mme Louis OllivierMme Monique ParmentierMaître Jean-François PelfresneMme Monique PérichonM. André PetitM. Jean PierrrelleMme Claudie PierrelleMaître Eric PillonM. et Mme Michel PingetMme Nicole Poisson-GenainM. François PoliMme Nicole PotezM. Fabrice ProvinM. et Mme Gérard PouzoullicM. Daniel ReniévilleM. Xavier Robert-MondinM. Serge RobinM. Christian RocheteauM. et Mme Joachim RoyMme Colette SchlogelM. Louis ScottoM. et Mme Roger SerreM. et Mme Jean-Luc Sez-PontieuxM. Pierre StrumzaDocteur Jean-Claude SwimbergeDocteur Danielle TallecMme Lucette TassierM. et Mme François ThorisM. et Mme Dominique TourlièreM. et Mme Jean-Christophe TresselM. et Mme Jean TricartMme Gabrielle VénotM. Benoît VercherinBaron Jean-Charles Veyron La CroixMme Paule Viteaux (Assophie)M. Gérald-Henri Vuillienet M. Christophe Pilaire

ContactAlain Guillon Délégué du Cercle des [email protected] 01 39 20 78 10

Devenir partenaire

Les raisons du mécénat d’entrepriseAssocier votre image à une institutionculturelle française dynamique, de notoriété internationale.

Réussir l’identification de votre action de mécénat en l’adaptant à vos objectifs de communication.

Faire participer votre personnel et vos partenaires en les invitant aux concerts et aux spectacles.

Être acteur de la redécouverte et de la promotion du patrimoine musical français des XVIIe et XVIIIe siècles en soutenant les actions de recherche, d’édition, de formation et de diffusion de concerts.

Les différentes possibilités de soutienLe mécénat peut bénéficier à chacune de ces actions :

L’aménagement de l’Hôtel des Menus-Plaisirs : création d’un auditorium pour les activités pédagogiques et pour la production de concerts ; enrichissement du parc instrumental par l’acquisition d’un clavecin, d’un orgue...

Les actions de recherche : dotation de bourses pour l’accueil de jeunes chercheurs et d’étudiants français et étrangers ; accompagnement de colloques au château de Versailles ; développement de la base de données numérique.

La bibliothèque : enrichissement du fonds de la bibliothèque spécialisée dans la musique française des XVIIe et XVIIIe siècles ; mise en place d’un pôle multimédia.

L’activité éditoriale : soutien à l’édition de partitions et de livres spécialisés ou destinés au grand public ; acquisition de collections des éditions du CMBV pour le compte d’une institution musicale française ou étrangère.

L’école maîtrisienne et les actions de formation : dotation de bourses d’études pour les jeunes adultes en formation professionnelle, aide à la création de costumes de scène, développement de la formation d’instrumentistes, danseurs, acteurs…

La production de spectacles : partenariat autour des saisons du Centre de Musique Baroque de Versailles ; association aux projets de tournées des Pages & des Chantres en France et à l’étranger ; participation à la production de disques.

Les contrepartiesPrésence sur les supports de communication : affiches de la saison, bannières, brochures, livres programmes, dossier de presse et site Internet.

Places réservées aux concerts et spectacles.

Mise à disposition d’un lieu de cocktail au château de Versailles, à l’occasion du mécénat d’un concert de la saison.

Mise à disposition des salles de l’Hôtel des Menus-Plaisirs pour l’organisation de réunions, séminaires ou cocktails.

Possibilité d’assister aux auditions des Pages & des Chantres du Centre de Musique Baroque de Versailles à la Chapelle royale du château de Versailles.

Mention de l’entreprise sur un tableau calligraphié des noms des donateurs.

Réductions fiscales au titre du mécénatEntreprises : la loi du 1er août 2003 en faveur du mécénat, des associations et des fondations, prévoit pour les entreprises une réduction de l’impôt sur les sociétés de 60 %, pour tous les dons affectés à des causes d’intérêt général. Cette réduction est plafonnée à 0,5 % du chiffre d’affaires, avec la possibilité de verser au-delà de ce seuil par report de l’excédent sur les 5 années suivantes et la possibilité de bénéficier de contreparties dans les limites prévues par la loi.

Particuliers : les particuliers bénéficient d’une réduction de l’impôt sur le revenu de 66 %. Cette réduction est plafonnée à 20 % du revenu imposable, avec la possibilité de verser au-delà de ce seuil par report de l’excédent sur les 5 années suivantes. Dans les limites prévues par la loi, les mécènes individuels ont également accès à des contreparties : invitation pour deux personnes à un concert du Centre de Musique Baroque de Versailles, priorité pour la réservation des places de concerts, visite privilégiée de l’Hôtel des Menus Plaisirs et informations régulières sur les activités du Centre.

Voici un exemple qui illustre les avantages de la loi sur le mécénat :

Entreprises -60%

Particuliers-66%

Montant de votre don

10 000 € 300 €

Réduction fiscale

6 000 € 198 €

Dépense réelle

4 000 € 102 €

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Vous êtes un particulier ?Rejoignez notre Cercle des amis.

ContactChristophe DoînelResponsable du développement et de la diffusion [email protected] 01 39 20 78 12