clair de lune,clair de lune, votre âme est un paysage choisi que vont charmant masques et...

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  • CLAIR DE LUNE,

    Votre âme est un paysage choisi

    Que vont charmant masques et bergamasques

    Jouant du luth et dansant et quasi

    Tristes sous leurs déguisements fantasques.

    Tout en chantant sur le mode mineur

    L’amour vainqueur et la vie opportune

    Ils n’ont pas l’air de croire à leur bonheur

    Et leur chanson se mêle au clair de lune,

    Au calme clair de lune triste et beau,

    Qui fait rêver les oiseaux dans les arbres

    Et sangloter d’extase les jets d’eau,

    Les grands jets d’eau sveltes parmi les marbres.

    Paul VERLAINE

    ‘’Masques et Bergamasques’’, superbes mots de Paul Verlaine, décalés, toujours porteurs de rêves, m’ont incité à réunir un ensemble d’oeuvres où le masque est présent.

    Gilbert Laloux

  • Préparer une exposition, sélectionner des œuvres parmi des centaines de créations et cinquante deux ans de travail et de passion, de rêves aussi, voilà

    qui est pour le moins cornélien.

    C’est demander à un père de famille nombreuse quel enfant il préfère…

    Cette exposition importante qui survole mon parcours, telle est ma volonté de communiquer. Non par plaisir de m’étaler, mais tout simplement pour

    tendre une main à ceux qui depuis tant de décennies, ou simplement depuis hier me font le grand plaisir de s’intéresser à mon travail.

    « Masques et Bergamasques », superbes mots, décalés, toujours porteurs de rêves de Paul Verlaine, m’ont incité à réunir un ensemble de travaux où le

    masque est présent.

    Ce masque parfois discret, quelquefois plus présent, devient la note, le point de départ de ce qu’il me plaît d’appeler motet, sonate ou… symphonie…

    Gilbert Laloux

  • 52 ans de créationsUn aUthentiqUe art de vivre

    Connaissances techniques et rigueur lui seront prodiguées par Luc Perot sur les chevalets des Beaux-arts de Namur où plus tard, il enseignera la peinture. La discipline et la volonté du travail abouti ainsi que le plaisir de la poésie décalée, c’est le maître sculpteur Albin Courtois qui les lui apportera.De ces savoirs de l’art et d’une profonde inspiration imperméable à la « mode », naîtra un talent pluridisciplinaire qui lui ouvrira un regard aiguisé et reconnu au fil des ans par amateurs et professionnels de l’art.Ses sculptures en bronze, argent et vermeil inspireront un diamantaire anversois de renom. Simon Bolmut, lui confiera ainsi de nombreuses conceptions dans l’art de la joaillerie. La minutie de cet art lui apportera davantage souci du détail, volonté de peaufiner toiles, dessins et aquarelles.Son sens aigu d’une peinture dépouillée et très dense en symboles retiendra l’œil averti d’un grand marchand d’art, Isy Brachot. Une collaboration de plusieurs années permettra à l’art de Gilbert Laloux d’être reconnu au-delà des frontières.Un travail acharné de cinquante années ouvrira les chemins de nombreuses expositions à travers le monde. Ces dix dernières années, l’artiste a privilégié un retrait tant personnel que public. Introspections et réflexions ne l’ont pas privé du besoin de créer de nombreux ouvrages dans le secret de son atelier.Ainsi, quelques opéras symboles du compositeur Mozart, différentes légendes mythiques et œuvres thématiques inspireront largement l’artiste dans cette phase de repli. S’en traduisent bon nombre de travaux dont douze chevaux de légende présentés à la galerie « Centre Rops » à Bruxelles.

    Bernard Levêque

  • Gilbert laloUxpetit cv d’Un immense artiste

    Gilbert Laloux est né à Houx le 24 novembre 1945.De 1962 à 1966, il étudie à l’Ecole des Beaux-arts

    de Namur (Belgique) où Luc Perot lui enseigne la peinture et la décoration.

    De 1966 à1969, il se perfectionne à l’Institut Supérieur des Beaux-arts de Saint-Luc à Liège où notamment le sculpteur Albin Courtois lui enseigne la sculpture.

    Premières expositions personnelles à partir de 1967 à la Discothèque Nationale de Belgique, au Centre Culturel de Bruxelles, à la Maison de la Culture, ainsi qu’à la Galerie Isy Brachot de Bruxelles.

    Dans les années 70 à 90, nombreuses expositions personnelles en Belgique (à Anvers, Liège, Knokke-le-Zoute, Charleroi, Namur, Bruxelles), ainsi qu’à l’étranger (Luxembourg, Venlo, Amsterdam, Lafayette, Dallas, Houston).

    Professeur de peinture à l’Académie des Beaux-arts de Namur.Professeur d’Arts dans diverses Institutions jusqu’en 1985 où il abandonne ces postes pour se consacrer pleinement à son œuvre.Responsable de rubriques culturelles à la radio.Ses expositions sont répercutées partout dans le monde au travers de nombreux articles ainsi que de multiples émissions de

    radio et de télévision.Il crée et édite des collections de joaillerie et bijoux uniques ou à tirage limité depuis une trentaine d’années.

    ŒUvres dans les collections privées : Belgique, France, Luxembourg, Pays-Bas, Italie, Monaco, Espagne, Angleterre, Etats-Unis, Canada, Venezuela.

    ŒUvres dans les collections pUbliqUes : Belgique : Etat Fédéral, Région Wallonne, Province de Namur, Ville de Namur.Japon : collections de l’EtatEtats Unis : Art Center University of Lafayette Louisiana.

    préfacier des cataloGUes d’exposition : Centre Culturel de Bruxelles : Albin Courtois, sculpteur.Galerie de l’Angle Aigu, Bruxelles : Alain Viray, critique d’art.Galerie Isy Brachot, Bruxelles : Joan Marti, artiste peintre, Jacques Collard, critique d’art.Différents « Ateliers ouverts» : Bernard Levêque.International Rops Center, Malines : Jacques Collard, critique d’art.Centre Rops Bruxelles : Hommage à La Callas Hommage à Che Gevara : Wim Toebosch, critique d’art.Galeries Régency, Namur-Luxembourg : Pierre Herman, José Mespouille, Jacques Collard.Monographie éditée en 1989 : José Mespouille.50 peintres de Belgique - tome 1 et 2 : Jacques Collard.Catalogues : Bruxelles, Bâle et Dusseldorf : Galerie Isy Brachot.

  • dUrbUy - la bresseUne coUrte histoire pleine de promesses

    Gilbert Laloux vit à Durbuy. Depuis quatre ans, les villes de La Bresse et Durbuy se sont liées d’amitié. Si au début, il s’agissait d’un rapprochement entre le Festival de sculpture Camille Claudel de La Bresse et le Symposium de sculpture monumentale de Durbuy, les liens, au fil des années, ont dépassé ce cadre : des rencontres amicales ou de travail sont organisées avec les élus et les associations locales, des rapprochements entre les écoles et les jeunes sont réfléchies, des produits touristiques sont échangés.Après qu’un artiste bressaud, Olivier Claudon, a été invité d’honneur du Symposium de Durbuy en 2015, Gilbert Laloux a choisi d’honorer la proposition de La Bresse d’être l’artiste exceptionnel de l’été 2016.

  • chemins de traverse - dU 2 aU 31 jUilletexposition de sam*

    Samuel Laloux, alias sam*, est le fils de Gilbert Laloux. S’il a suivi la destinée de l’art, comme son père, il en a emprunté un chemin différent. C’est dans le street art qu’il trace le sien.

    Laissons Gilbert Laloux le présenter : « Lorsque d’autres gamins se faisaient entendre dans les jardins du voisinage, sam*, lui, matérialisait ses rêves dans le silence du garage familial transformé en studio de montage. Image après image, patience, habilité et esprit créatif faisaient naître sur la pellicule décors et personnages issus d’un monde fantastique.Un art qu’il adopte instinctivement avec une technique que sa jeunesse ne peut qu’apprivoiser en dessinant et en sculptant inlassablement son propre univers. Un peu plus tard, ses études de l’art plastique lui permettront de devenir l’acteur de ses propres créations.

    rencontre père-fils :sam* et Gilbert Laloux

    seront réunis pour un temps d’échange en public

    dimanche 31 juillet, à 16 h

    peintUre en live :sam* sera à la Maison de La Bresse pour peindre

    devant le public

    la journée de dimanche 31 juillet

    Son Monde imaginaire précoce poussera les portes de sa curiosité mais aussi celles des musées, des expositions, en somme, de tous les modes d’expression artistique avec une prédilection pour le septième art.Découvrir que le monde est vaste, que les civilisations anciennes sont riches d’enseignements, que les grands créateurs sont le plus souvent modestes et sans cesse à l’écoute de leur époque, le confortera dans ses démarches.Ce qui l’interpelle ? Graffitis, tags, murs, les individus qui peuplent les villes. La découverte de grandes villes telles que Bruxelles, Paris, Lisbonne, Barcelone, New-York l’interpelle.Il entrevoit avec l’objectif de son numérique les traces, les graffitis, les vestiges et les stigmates de notre civilisation qui se fait et défait sans cesse. Ces murs, ses murs, vivent au rythme des hommes et des citées. Moisson faite d’images, il compose, transforme, réorganise ses compositions.Être à la mode ne l’intéresse pas, et le « street art » n’est pas une fin en soi.

    Si la démarche est dans l’air du temps, c’est aussi et surtout pour sam* un moyen de créer des « images » choc qui deviennent miroir de leur temps.Loin des concepts, il souhaite fixer ce qui l’entoure et le suggère. Il nous le restitue avec ses mots et met à profit son regard et sa sensibilité. Il scrute, brasse et exprime en recréant un monde pur et dur. Visages et écritures sauvages crient les désarrois d’un monde parfois violent.Graphiste de formation, les techniques actuelles lui permettent de trouver exactement le, les langages adaptés à ce qu’il veut partager...Il aime les grands formats mais les projets de petites dimensions vivent aussi à cette échelle monumentale.Par le biais d’images virtuelles, il participe à des concerts live : l’image vit au rythme des sons.Composer de grands tableaux non virtuels lui permet aussi de peindre face à un public qui peut ainsi découvrir les arcanes d’une création.Une œuvre en mouvance, séduisante et qui nous prend par la main pour regarder notre temps… »

  • chemins de traverse - dU 3 aU 21 aoûtle carnaval vénitien de remiremontVenise est mythique. Nulle autre ville au monde ne fait rêver, n’entretient le mystère, ne crée autant de fantasmes que Venise. L’atmosphère de cette ville est entièrement imprégnée d’histoire et d’art.

    Le carnaval se fond dans ce décor comme si la ville avait été créée pour lui.

    À Remiremont, les arcades, les fontaines et le palais abbatial posent un décor favorable à une réplique, toutes proportions gardées, de ce carnaval vénitien. Depuis plus de 20 ans que ce carnaval a été créé, il est devenu une référence en son domaine.

    À La Bresse, le Carnaval de Remiremont propose une exposition de masques et costumes vénitiens. Ils s’intègreront à merveille à côté de l’exposition de Gilbert Laloux, par la richesse des couleurs et des matériaux.

    Une rencontre avec Yves Chrétien, président fondateur du Carnaval vénitien de Remiremont, sera l’occasion de découvrir, en images et en mots, la longue histoire de cette aventure vénitio-vosgienne !

    présentation :La grande comédie d’un

    Carnaval vénitien

    par Yves Chrétien, président du Carnaval vénitien de Remiremont

    mardi 9 août, à 18 h

  • chemins de traverse - dU 23 août aU 11 septembreexposition de masqUes africains

    Les masques existent dans toutes les cultures, avec des fonctions variées : du masque funéraire égyptien au masque vénitien, chaque masque a un sens profond, parfois spirituel.

    En Afrique subsaharienne, les masques font partie de la vie des communautés. Parmi les plus réputés, impossible de ne pas citer les masques punu (prononcer « pounou »), une ethnie située au Sud du Gabon et en République du Congo.

    Deux types de masques existent dans ces sociétés : les masques blancs, des masques funéraires connectent le monde du vivant et le monde des morts, telle une passerelle. Lors d’une cérémonie, le Masque, monté sur des échasses, entre dans une danse. Ce sont des masques de résilience.

    Les masques noirs sont judiciaires ou policiers. Ils représentent le monde des esprits dans une société organisée sans police des hommes.

    Ces masques ne poursuivent nulle quête d’esthétisme. Ils sont purement utilitaires et sont détruits ou laissés à leur dégradation naturelle après utilisation, c’est pourquoi ils sont si rares.

    Ce sont pourtant des masques punus, une quinzaine, qui sont proposés aux visiteurs pour cette dernière période d’exposition. Une collection exceptionnelle réunie spécialement pour la Maison de La Bresse par Chyc Polhit Mamfoumbi, conteur punu, et Paul de Zardain, grand reporter.

    table ronde

    masqUes africain et

    arts primitifs dimanche 11 septembre,

    à 16 h

  • chemins de traverse concert et rencontres artistiqUesLes masques et bergamasques de Verlaine et de Gilbert Laloux se déclinent sous diverses formes : au-delà des peintures, sculptures et œuvres sur papier, ils s’ouvrent sur la poésie, le théâtre, la musique, et bien plus encore.

    CONCERTJulie Richard (piano) et Delphine Ribemont-Lambert (chant) jouent un récital d’œuvres classiques : Clair de lune de Debussy, extraits de la Suite bergamasque de Debussy, extrait de l’Amour masqué de Messager, le Bal masqué de Poulenc, extraits du Carnaval de Schumann, extrait de Cosi fan Tutte de Mozart...

    Un concert à l’image de l’exposition : exceptionnel !

    Mercredi 3 août, 20 h. Entrée libre.

    SOIRÉE POÉTIQUE : À VOS MASQUES, PRÊTS... PARLEZ !Une soirée autour des masques et des mots, proposée par la Compagnie Cent Scènes. Une rencontre interactive où le public pourra tour à tour s’émerveiller, découvrir, participer.

    Un concept tout nouveau, à découvrir !

    Mercredi 20 juillet, 20 h. Entrée libre.

    RENCONTRE AVEC GILBERT LALOUX : 52 ANS DE CRÉATIONSL’artiste auquel la Maison de La Bresse dédie l’été, Gilbert Laloux, crée et expose depuis 52 ans. Une vie à rêver, imaginer, créer... et surtout travailler, se lever tôt le matin et travailler sans relâche. Comment en est-il arrivé là ? D’où lui viennent inspiration et technique ? Qu’a-t-on encore à offrir quand on a tant donné depuis plus d’un demi-siècle ? Quel message la vie a-t-elle forgé durant ces années ?

    Découvrir ses œuvres, c’est magnifique... découvrir le maître, c’est merveilleux !

    Dimanche 3 juillet, 16 h. Entrée libre.

    RENCONTRE PÈRE - FILS : SAM* ET GILBERT LALOUX ÉCHANGENTQuand le père et le fils sont tous dans l’art, mais pas dans le même cadre...

    sam* et Gilbert Laloux se retrouvent pour un temps d’échange en public sur leur vision de l’art, leurs techniques, leur expérience et l’influence du père sur le fils et vice-versa. Un regard croisé du père et du fils sur l’art aujourd’hui et la transmission, avec les questions bienvenues du public.

    Dimanche 31 juillet, 16 h. Entrée libre.

  • chemins de traverse rencontres artistiqUes

    PEINTURE EN PUBLIC : SAM*On ne voit souvent que l’œuvre finie. Mais que fait l’artiste dans le secret de son atelier, ou, pour le street-artiste qu’est sam*, dans la discrétion de la rue ?

    L’artiste se découvre et propose de travailler sans se cacher, devant le public.

    Dimanche 31 juillet, de 10 h à 13 h et de 15 h à16 h. Entrée libre.

    PRÉSENTATION : LA GRANDE COMÉDIE D’UN CARNAVAL VÉNITIENYves Chrétien, président et fondateur du Carnaval Vénitien de Remiremont, revient sur cette énigme : pourquoi Venise s’est-elle invitée à Remiremont, pourquoi un carnaval vénitien dans la cité des chanoinesses ?

    Quel sens donner au carnaval, que signifie cette diversité de masques ?

    Une plongée dans les secrets et les origines du Carnaval de Venise, puis de Remiremont, par le meilleur guide qu’on puit trouver dans les Vosges !

    Mardi 9 août, 18 h. Entrée libre.

    TABLE RONDE : L’ART DÉMASQUÉLe masque a mille sens. Il cache et montre en même temps. L’artiste se cache-t-il derrière sa toile ? A-t-il un message caché ? Et si les artistes tombaient le masque, s’ils démasquaient leur art ?

    Tel est le défi du Quatrième Tiers, un collectif d’artistes vosgiens talentueux, exigeants, curieux, et surtout partageurs : Annie Tremsal-Garillon, Gilles Laporte, René Vincent-Viry, Olivier Claudon, Francis Cuny, Philippe Collignon... Table ronde animée par Xavier Battistella.

    Vendredi 2 septembre, 20 h. Entrée libre.

    TABLE RONDE : MASQUES AFRICAINS ET ARTS PRIMITIFSLes masques africains et les arts primitifs connaissent un succès croissant, en témoigne par exemple l’attrait du Musée du quai Branly. Pourtant, les arts primitifs sont encore très mal connus, et beaucoup ne voient dans les masques africains qu’un folklore dépassé.

    Cette table ronde réunit des spécialistes éminents du sujet : Chyc Polhit Mamfoumbi, conteur, Paul de Zardain, grand reporter, Myriam Schott, plasticienne en cinéma d’animation, une ethnologue, et Gilbert Laloux. Table ronde animée par Xavier Battistella.

    Dimanche 11 septembre, 16 h. Entrée libre.

  • masterclass d’aqUarelleavec Gilbert laloUx

    DATE ET HORAIRESMardi 2 août, 15h-18h, sur inscription

    NIVEAU REQUISGilbert Laloux propose aux peintres, professionnels ou amateurs, quel que soit leur niveau, une masterclass d’aquarelle. En véritable spécialiste de cette technique, en professeur qu’il est, il saura s’adapter à chacun et apporter les éléments qui permettront au stagiaire de progresser.

    Cette masterclass est gratuite pour les participants qui devront toutefois se munir de leur matériel

    CONDITIONS Cette masterclass est gratuite pour les participants qui devront toutefois se munir de leur matériel.

    MATÉRIELChaque stagiaire vient avec son propre matériel : papier, pinceaux, aquarelles, éponge, gobelet à eau, chiffon.

    Les recommandations suivantes sont indicatives, les participants ne sont pas tenus d’investir dans du matériel coûteux pour ce stage.

    papier aqUarelle : grain ou adouci, idéalement blanc naturel, 224 g/m2, format 29,7x42 cm, Canson. ou grain torchon 100% pur coton, 300 g/m2, 46x61 cm, Aquarelle Arches.

    aqUarelles : Rowney Artists Water Colour, ou bonnes marques d’étude.

    pinceaUx : pinceaux “aquarelle” martre, petit gris ou pinceaux japonais, ou pinceaux “synthétique” Tailles à choisir suivant les sujets de prédilection de chacun. Les pinceaux plats en soie de porc permettent de travailler largement les fonds.

  • Une exposition en famillel’art à la portée des enfants

    La Bresse est engagée dans une démarche d’accueil des familles, reconnue par le Label Famille Plus.Dans le cadre de l’exposition, cela se traduit par des parcours permanents spécialement conçus pour les enfants (plusieurs tranches d’âge). Ainsi, les parents peuvent admirer l’exposition pendant que les enfants se lancent dans des jeux de piste à la recherche d’indice picturaux dans les oeuvres, assemblent des puzzles, colorient des ébauches, fabriquent des masques, etc.

    LES RENDEZ-VOUS DES ENFANTS

    Mercredi 13 juillet, de 16 h à 18 h : atelier « Ballons messagers »Les enfants, dans l’esprit de la bouteille jetée à la mer, écrivent un court message personnel à partir d’un « magasin des mots » sur le thème de la fête, puis gonflent et décorent un ballon de baudruche avec un visage.Les ballons sont ensuite attachés sur la passerelle devant la Maison de La Bresse comme un véhicule non pas aquatique mais aérien du message des enfants.Durée : 30 à 60 minutesCapacité : 8 enfants maximum (pas de préinscription)

    Mercredi 10 août : atelier « L’arbre aux sourires »Des masques blancs sont décorés et illustrés par les enfants, puis disposés sur un arbre à l’intérieur de l’exposition. Durée : 20 à 40 minutesCapacité : 10 enfants maximum (pas de préinscription)

    Mercredi 17 août : atelier « La boca della verita »Un masque, percé au niveau de la bouche, laisse entrevoir des mots, choisis ou inventés par les enfants. En s’approchant, en ouvrant le masque, on peut découvrir l’entièreté du message : les masques nous parlent.

    Quelques exemplaires seront attachés autour de la Maison de La Bresse et pourront être lus par les passants.

  • infos pratiqUes

    LA MAISON DE LA BRESSEOuverte en décembre 2013, la Maison de La Bresse est un lieu d’exposition et de rendez-vous culturels variés et de qualité. Six expositions majeures (artistiques ou patrimoniales) s’y succèdent dans l’année, ainsi que des rendez-vous incontournables comme le Festival international de sculpture Camille Claudel. Des expositions plus courtes (une vingtaine par an) et des événements (conférences, tables rondes, rencontres littéraires, artistiques, culinaires, philosophiques, ateliers et animations : une cinquantaine par an) complètent la programmation de ce véritable poumon culturel situé en plein cœur de la ville.

    Elle a, à ce jour, accueilli près de 50 000 visiteurs en 2 ans et demi de fonctionnement.

    5 000 visiteurs sont attendus pour cette exposition Masques et Bergamasques, de Gilbert Laloux

    Maison de La Bresse - 7A rue de la Clairie - 88250 La BresseTéléphone : 03 29 62 65 95 - Mail : [email protected] : site web : www.maisondelabresse.fr (à partir de début juillet)

    HORAIRES D’OUVERTUREExposition ouverte tous les jours, du 2 juillet au 11 septembre, de 10 h à 13 h et de 15 h à 19 h.

    Entrée libre

    CONTACTS PRESSEGilbert [email protected]

    Xavier Battistella, directeur de l’action culturelle et de la communicationMairie de La Bresse - 12 Place du Champtel - 88250 La [email protected] 29 25 71 77 - 06 70 55 92 12