cinquième journal de l'association malezi de hasseindjé oichili

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“L’éducation est notre objectif, la solidarité est notre force” Malezi Journal associatif éducatif de Hasseindjé Première année N° 5 novembre 2013. Prix 200fc Du 2 au 3 Novembre comme du 10 au 12 de ce même mois, le port de Moroni, capitale de l’Union des Comores, a malheu- reusement reçu deux navires de la marine militaire française qui sont respectivement, Le Malin et Le Nivôse. Ceci selon nos dites autorités, entre dans le cadre de la coopération bilaté- rale en matière de sécurité et de défense entre le colon français qui détient par la force jusqu’à nos jours une partie de la terre comorienne, Maore et la colo- nie, l’Union des Comores. Lire page 2 Mains de condoléances J’ai l’angoisse, je pleure Si vous ne voyez pas mes larmes C’est parce qu’elles coulent à l’intérieur Par bleu ! Quel drame ! Prendre une décision de me mettre Au gouffre ! Pour devenir un être D’enthousiasme et de joie Ce n’est pas se faire la proie D’un amour qui enthousiasme En même temps qui consume La belle lune quelle me déprime Elle veut que je la couronne mon âme Pourtant ma confiance devant elle Est comme un oiseau aptère au ciel Mouzda Ibrahim, Amour inquiétant LMF L2 La joie triste Le ‘’ Malin’’ à Moroni, défense commune ou une recolonisation ? Trindi mbe yahala tsolisa ye mwana L’Association éducative de Hasseindjé, Malezi adresse ses mains de condoléances aux familles déplorées suite à la disparition de "Zalhata Soulé" (ex-femme de major Iliassa Mze ), décédée le 22 novembre 2013 à Hesseindjé. Sagesse comorienne Il est devenu une histoire brulante aux Comores Nos 152 frères ont souhaité nous voir ! Ils ont péri en mer, ils sont partis sans retour Le 30 juin 2009 ne sortira pas de nos cœurs Mais pourquoi tout est noir avec la boite noire ? Nos larmes coulent aujourd’hui comme des rivières ! As –tu pris décision de rester en enfer ? Toi blanc ! Saches qu’on a tout découvert Oh Dieu tout puissant ! Épargne le châtiment Envers les enfants, nos pères et nos mamans ! Que tu punisses cet ennemi à tout moment ! Et que Bahia soit la chanceuse d’un bon chan- gement ! Mohamed Abdoulhakim 5 em Lycee Moderne Crash de l’a 310 de la compagnie Yemenia

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Education


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Nous publions ce journal éducatif, ‘’MALEZI’’. Ce mot signifie la bonne éducation, il constitue à premier vue, le meilleur héritage que chaque parent doit léguer à sa descendance, pour leur assurer une bonne vie d’ici bas et l’au-delà. De ce fait, ce titre constitue la seule garantie d’un bon avenir aux générations successives, comme il marque un meilleur passé qu’ont vécu les ancêtres. Ce terme qui est souvent utilisé pour distinguer ceux qui ont eu une bonne éducation de ceux qui ne l’ont pas eue, par le terme : « KUTSINA MALEZI », pour insulter un jeune homme de mauvais comportement et lui qualifier d’une mauvaise éducation familiale. La solidarité, l’évolution sociale et économique d’une société, dépendent donc de la qualité éducative qu’elle a eue de la part de ses responsables spirituels et politiques. Sans ‘’MALEZI’’, on est près de rejoindre un monde qui n’est pas celui des êtres humains. Puisque tout dépend de l’éducation, agissons ensemble pour que vive notre Association “MALEZI’’.

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Page 1: Cinquième journal de l'Association Malezi de Hasseindjé Oichili

“L’éducation est notre objectif, la solidarité est notre force”

MaleziJournal associatif éducatif de Hasseindjé

Première année N° 5 novembre 2013. Prix 200fc

Du 2 au 3 Novembre comme du10 au 12 de ce même mois, leport de Moroni, capitale del’Union des Comores, a malheu-reusement reçu deux navires dela marine militaire française quisont respectivement, Le Malinet Le Nivôse. Ceci selon nos

dites autorités, entre dans lecadre de la coopération bilaté-rale en matière de sécurité et dedéfense entre le colon françaisqui détient par la force jusqu’ànos jours une partie de la terrecomorienne, Maore et la colo-nie, l’Union des Comores.

Lire page 2

Mains de condoléances

J’ai l’angoisse, je pleureSi vous ne voyez pas mes larmesC’est parce qu’elles coulent à l’intérieurPar bleu ! Quel drame !

Prendre une décision de me mettre Au gouffre ! Pour devenir un êtreD’enthousiasme et de joie Ce n’est pas se faire la proie

D’un amour qui enthousiasmeEn même temps qui consumeLa belle lune quelle me déprime

Elle veut que je la couronne mon âme Pourtant ma confiance devant elle Est comme un oiseau aptère au ciel

Mouzda Ibrahim,

Amour inquiétant LMF L2

La joie triste

Le ‘’ Malin’’ à Moroni, défense commune ou une recolonisation ? Trindi mbe yahala

tsolisa ye mwana

L’Association éducative de Hasseindjé, Malezi adresseses mains de condoléances aux familles déplorées suite àla disparition de "Zalhata Soulé" (ex-femme de majorIliassa Mze ), décédée le 22 novembre 2013 à Hesseindjé.

Sagesse comorienne

Il est devenu une histoire brulante auxComoresNos 152 frères ont souhaité nous voir !Ils ont péri en mer, ils sont partis sans retourLe 30 juin 2009 ne sortira pas de nos cœurs

Mais pourquoi tout est noir avec la boite noire ?Nos larmes coulent aujourd’hui comme desrivières !As –tu pris décision de rester en enfer ?Toi blanc ! Saches qu’on a tout découvert

Oh Dieu tout puissant ! Épargne le châtimentEnvers les enfants, nos pères et nos mamans !Que tu punisses cet ennemi à tout moment !Et que Bahia soit la chanceuse d’un bon chan-gement ! Mohamed Abdoulhakim

5 em Lycee Moderne

Crash de l’a 310 de lacompagnie Yemenia

Page 2: Cinquième journal de l'Association Malezi de Hasseindjé Oichili

Malezi novembre 2013

Journal associatif éducatif de HasseindjéPage 2

Le ‘’ Malin’’ à Moroni, défense commune ou une recolonisation ?

u 2 au 3 Novembre comme du 10 au 12

de ce même mois, le port de Moroni, capi-

tale de l’Union des Comores, a malheu-

reusement reçu deux navires de la marine

militaire française qui sont respective-

ment, Le Malin et Le Nivôse. Ceci selon

nos dites autorités, entre dans le cadre de

la coopération bilatérale en matière de

sécurité et de défense entre le colon fran-

çais qui détient par la force jusqu’à nos

jours une partie de la terre comorienne,

Maore et la colonie, l’Union des

Comores. L’entrée de ces deux navires

français au port de Moroni est autorisée

par un accord - que nous, futures respon-

sables des Comores, considérons comme

une demande de recolonisation militaire-

réalisé par l’ancien ministre des affaires

étrangères comorien en 2010 et un ancien

ministre de défense français de cette

époque. Pour nous enfants comoriens,

n’est pas du tout étrange, car pour rappel

Ngazidja a été colonisée en 1848 après

appel du grand père de ce ministre à la

France. Et comme dit le comorien, «letrindi mbe yahala tsolisa ye mwana ».

Comment peut-on croire que c’est une

défense commune et surtout au niveau de

la mer alors que c’est dans cette voie où

suit la France pour préparer toute déstabi-

lisation politique de notre pays ? Avons-

nous déjà oublié 1995 avec l’arrivée des

bérets rouges pour enlever le président

Djohar paix à son âme ?

Avons-nous oublié même le début de cette

année avec la tentative de renversement

illégal du président Ikililou dont selon des

sources, cette frégate ‘’Nivôse’’ était au

bord des eaux comoriennes pour secourir

les putschistes au cas de leur réussite ?

Malheureusement cela ; nos élus parle-

mentaires viennent de donner gratuite-

ment le contrôle des eaux comoriennes à

l’ennemi par une loi organique, en

oubliant le cimetière de plus d’une dizai-

ne de milliers des comoriens entre Maoré

et Ndzuwani, dont la France en est le seul

responsable de ce crime. Actuellement,

nous n’avons que de crier aux larmes,

mais une fois que la responsabilité sera à

notre tour, nous obligerons la France de

préparer ses bagages.

La rédaction

D

Une religion délaissée

Depuis que nous avons accé-

dée à l’indépendance de

1975, nos mentalités et nos

comportements ont consi-

dérablement changé à tel

point que nous avons profité cette occa-

sion d’afficher notre identité islamique.

Raison pour laquelle nous pouvons

entendre aujourd’hui que les Comores

sont considérées comme un pays a cent

pour cent musulman. Mais comme le

pays souffre de problèmes de toute sorte :

sociale, politique, et économique par

exemple, les dirigeants des Comores

indépendantes n’ont pas pu trouver la

chance d’entériner des bases solides pour

être des vrais musulmans. Bien qu’au

contraire, la politique prédomine au détri-

ment des valeurs religieuses. Par consé-

quent, on a eu une indépendance qui ne

cesse de donner naissance à la corruption,

aux crimes sexuels, aux détournements

des deniers publics, à la délinquance

juvénile (…). L’enfant comorien grandit

dans un environnement mal sain, immo-

ral et corrompu. C’est pour cette raison

que le pays n’arrive pas à se tailler une

image digne d’un pays indépendant.

Personne ne s’est rendu compte que ce

soit grâce à cette religion de vérité

(islam) qu’un pays comme le notre puis-

se vivre en paix et se libérer du gouffre

dans lequel il est sombre. En fin, le retour

à Dieu « Anza wadjalla » est le seul

moyen qui pourrait dédouaner les

Comores de cet impasse.

Oumou Mouhyiddine

l1 science Islamique

Maquette et réalisation:

Faissoil Iliassa

Page 3: Cinquième journal de l'Association Malezi de Hasseindjé Oichili

Journal associatif éducatif de HasseindjéPage 3

Malezi novembre 2013

Toute discipline n’est pas comme une autre

La spécialisation d’un domaine

disciplinaire n’est pas l’ob-

tention d’une multiplicité et

différente maitrises, les

connaissances comme celles

des penseurs et en même temps savants de

l’antiquité grec. Si aujourd’hui on rencon-

tre des études distinctes chez les profes-

seurs divers, c’est parce que tout a évolué.

L’avènement universitaire facilite l’édu-

cation et les études de classes antérieures.

Le monde contemporain prétend avoir

reparti et programmé les différentes disci-

plines sous prétexte que chaque profes-

seur d’une école n’enseigne pas plusieurs

modules que seulement celles de sa spé-

cialité à l’université. Ce pendant cela ne

s’est pas réalisé radicalement. Puisqu’on

voit des lycéens et même des collégiens

face aux professeurs qui enseignent l’his-

toire en même temps que la géographie

ou la physique avec la chimie. En réalité

l’histoire géographie, tout comme la phy-

sique chimie est considérée chacune

comme une seule matière dans plusieurs

établissements scolaires.

En faite toute discipline n’est pas comme

une autre. Sachant que ceux qui appren-

nent « les lettres modernes françaises » à

l’université ne peuvent enseigner aux élè-

ves du lycée et collège que le français.

Alors celui qui fait l’histoire doit l’ensei-

gner aux élèves du lycée et du collège.

Tout établissement scolaire devrait avoir

un professeur qui transmettra son message

relativement à sa filière spécialisée. Si ce

n’est pas le cas, alors l’histoire géographie

ou la physique chimie serait enseignée

comme une seule module parmi les autres

dans une salle de classe universitaire.

Aboubacar Issa Histoire L1

A propos de Mayotte : les autres îles sœurs feraient mieux de se ressaisir

Apropos de l’île Comorienne

de Mayotte sous occupation

illégale de la Françe, les aut-

res îles Sœurs feraient mieux

de se ressaisir. Car, il y a lieu de noter

une situation macabre et décevante qui

aille droit, à une mésaventure aux

conséquences incalculables.

Grosso modo, c’est le pays tout entier qui

souffre, alors qu’ainsi faite, nous sommes

une nation qui aspire et partage les mêmes

valeurs culturelles et linguistiques; avec

des habitudes et des traditions séculaires.

Naturellement avec les mêmes conditions

géographiques. ll ne revient d’aucun droit ;

naturel ou superficiel, pouvant justifier la

force incantatoire de la France, à occuper

délibérément et illégalement, une partie de

notre territoire. Quel que soit, nous soyons

impuissants; et demeurons aléatoires, mais

face à notre propre destin, il ne serait pas

du tout de bon goût de jeter le froc à l’or-

tie; sachant que nous avons une « apparte-

nance commune » qui m’apparait

d’ailleurs, tout à fait réaliste.

Donc il fout d’abords, un débat national

planchant, notamment sur la question

comorienne de Mayotte. Ce débat permet-

tra en effet de tracer les bases d’une poli-

tique nationale sur la question, tant au

niveau locale, c’est-à-dire, pour les gouver-

nements successifs, qu’au niveau interna-

tional.

La création d’un organe de suivi perma-

nant, tel que, un Secrétariat national chargé

de la question de Mayotte, ou simplement

un Ministère pour quoi-pas, permettra de

pérenniser notre politique suivant le modè-

le national dont l’urgence sera la censure

pur et simple et ses conditions préalables

de la partie occupante du visa de la mort

ainsi appelé le « visa Balladur ». En effet,

force est de souligner que, sous le fait de

(...) notamment les autorités politiques

locales, considérer la question de l’île

Comorienne de Mayotte, comme étant, une

aubaine de marchandage, entre l’occupant

et nos gouvernants. Cela que, nous perdons

toujours en jetant l’éponge dans les milieux

de l’opinion internationale. Et en guise de

conséquence, la question est toujours clas-

sée en second plan, si elle ne serait pas

considérée, en équivoque d’un pis-aller.

En suite la mobilisation de masse pour le

peuple sur un aventurisme dangereux liant

la traverser du bras de mer, Anjouan et

Mayotte est une des urgences ! ll est vrai

que, les morts de cette traverser sont à nos

yeux nos martyrs défiant avec courage, le

défis et les mépris de la France mais en

même temps, il faudrait noter les consé-

quences insurmontables des pertes

humaines et matérielles.

C’est pour cette raison que, j’interpelle à

travers cette petite contribution les autori-

tés à mesurer l’ampleur et l’état d’urgence

pour une période de court terme, les dispo-

sitions à prendre pour entamer d’ores et

déjà des négociations sérieuses avec la

France, sur la base par exemple de la pro-

position soumise par l’ancien président des

Comores Ahmed Abdallah sambi, à savoir

: « Deux Etats, deux administrations ». le

principe est la reconnaissance de la France

que Mayotte est Comorienne.

Omar Saïd

Histoire L1

Page 4: Cinquième journal de l'Association Malezi de Hasseindjé Oichili

Journal associatif éducatif de Hasseindjé

Est –elle une élimination du paludisme aux Comores ou une élimination de la population comorienne?

Malezi novembre 2013

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e paludisme est une maladie parmi les

maladies dangereuses qui frappent dans

tous les pays du Tiers Monde plus parti-

culièrement aux Comores . Depuis

longtemps toutes les organisations sani-

taires du monde s’engagent à nous aider

pour la lutte contre les épidémies. Si

aujourd’hui une organisation étrangère

ou un pays développé comme la Chine a

décidé de sacrifier son temps et son éco-

nomie pour nous aider à éliminer ce fléau

au Comores, nous croyons vraiment que

ce n’est pas étonnant(en ce posant de tel-

les questions). La chine et parmi les pre-

miers pays qui aident les Comores depuis

des années même avant notre indépen-

dance. Et nous n’avons pas contesté que

la chine nous accordait une mauvaise

situation ou un mauvais choix. Pourquoi

nous disons aujourd’hui que la chine

nous a donné des mauvais médicaments

pour nous tués et pourtant elle n’a jamais

essayé de nous faire du mal ? Chers amis

comoriens et comoriennes je tiens à vous

dire que nous avons plus de 300 docteurs

en médecine , des généralistes et des spé-

cialistes qui sont qualifiés dans leur

domaine.

Et ce sont eux même qu’on leur qualifie

notre santé à chaque jour dans leurs cabi-

nets médicaux. Et même notre président

son excellence Mr Ikililou Dhoinine, un

docteur en pharmacologie , ne nous a pas

interdit d’avaler ces médicaments, et la

preuve en est qu’il était le premier à en

avaler . Alors il faut suivre leurs obliga-

tions et leurs instructions car ils sont nos

responsables et nous savons qu’ils n’ose-

ront pas nous empoisonner. Et si par

conséquent il y a des effets secondaires

concernant ces médicaments dans nos

organismes, n’oubliez pas que ce sont des

médicaments très puissants qui ont

pour but d’éliminer catégoriquement une

maladie ; et donc ce ne sont pas des sim-

ples médicaments.

Mouandhu Mahamoud

L2 Aes

L

Qui a inventé la lunette astro-

nomique ? On dit souvent

que c’est l’œuvre du grand

savant Galilée.

Galilée a eu le mérite d’être le premier

à braquer vers le ciel ce nouvel instru-

ment d’optique, grâce auquel il décou-

vrit une foule des choses insoupçonnés

jusqu’à lors : les taches du soleil, les

cratères de la lune, les satellites de

Jupiter , le croissant de Venus, l’anneau

du Saturne etc. tout ca et une multitu-

de d’étoiles invisibles à l’œil nu dans la

voie lactée.

Mais à vrai dire, on ne sait pas exacte-

ment qui est l’inventeur de la lunette

astronomique. Car certains historiens

prétendent que ce sont les enfants du

lunettier hollandais Hans Lipperchey,

vers 1604 en jouant dans la boutique de

leur père avec des lentilles, ils auraient

retrouvé par hasard la combinaison

permettant de grossir des objets loin-

tains. Mais ce n’est sans doute là qu’u-

ne légende.

Plus probablement, la lunette a été

inventée par Giambattista Della Porta

verrier à la cristallerie de Murano près

de Venise en 1590, cette lunette fut

transportée peu après en Hollande. Et

elle y devint secret militaire.

Mbalia Ali Mohamed

4em E. P. six juillet

L’astronomie

La timidité est un caractère fonda-

mentale pas comme les autres

caractères. Elle peut être un

caractère fondamental une

comme elle peut être un comportement qui

vient peu à peu au fil du temps. La timidi-

té est un comportement plutôt désagréable

parce qu’ elle pousse la personne timide à

avoir un manque d’assurance en soi, ainsi

qu’un manque d’hardiesse en plusieurs

choses, et en plus cette personne a toujours

du mal à formuler ses pensées.

C’est vrai qu’elle s’exprime moins, mais

quand elle parle c’est le K.O assuré. Toutes

fois ce qu’il faut savoir c’est que, agir de la

sorte n’est pas par exprès, plutôt le fruit de

l’inhabitude de vivre en société. C’est en

ce sens que je profite pour dire à toute per-

sonne timide d’essayer de s’introduire

dans la société afin d’éradiquer ce mal.

Mais la question est de savoir : « est ce

facile de renoncer à un comportement qui

est déjà un fondement ? »

Soumayyat Mohamed

Ali Mbalia TD Epfa

Dans le cadre du développement communautaire, la jeunesse de Hasseindjé

organise un grand "Toirabe" traditionnel le dimanche 22 décembre 2013 à 21h

00mn pour soutenir le projet de l'aménagement du stade de football en cours.

Vous remerciant par avance, nous comptons sur vos aimables contribution

La timidité

Communiqué