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Chapitre I - Introduction aux SIG et à ArcGIS

Chapitre II - ArcCatalog

Chapitre III - Calage d’une image raster

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Chapitre IV Gestion des couches

dans ArcGIS

Formation au logiciel S.I.G.

ArcGIS ArcView 10.1

Ministère de l’Agriculture – C.F.P.P.A. 57 avenue Charles de Gaulle - B.P. 15 38261 La-Côte-Saint-André cedex Tél. 04 74 20 44 66 Révision avril 2013 Antoine LENOËL

Contact : [email protected]

Support de cours ArcGIS

(Extrait de 30 pages)

Cfppa La-Côte-St-André Formation ArcGIS/ArcView Chap. 4 - Gestion des couches Antoine LENOËL avril 2013

Chapitre IV - Gestion des couches dans ArcMap

1°) La reprojection « à la volée » de données vecteur ou raster

Pour commencer ce chapitre, on va utiliser la base de données Ign GEOFLA, qui décrit l'ensemble des unités administratives de France métropolitaine et DOM : frontières, régions, départements, arrondissements, cantons et communes. Depuis le 1er janvier 2012, la base de données GEOFLA est téléchargeable gratuitement sur le site de l’Ign et utilisable pour tous les usages, y compris commerciaux.

Ce téléchargement se fait, à l’adresse : http://professionnels.ign.fr/gratuit GEOFLA se décline en deux versions : - GEOFLA DEPARTEMENTS (qui s’arrête aux limites départementales) ; - GEOFLA COMMUNES

1 (qui va jusqu’aux limites cantonales et communales).

On utilisera, dans les paragraphes qui suivent, GEOFLA DEPARTEMENTS : limites départementales (France entière) en projection Lambert 93 ou en projection Lambert 2 étendu ou en coordonnées géographiques WGS84, associées à quelques renseignements attributaires : nom et position géographique de la Préfecture et région d’appartenance de chaque département.

Cette base de données GEOFLA est fournie : - soit au format « .MIF/.MID », format d’échange de données vectorielles, de Mapinfo. - soit au format « Shapefile », format de données vectorielles du logiciel ArcGIS.

Commencer un nouveau document ArcMap avec (sans rien enregistrer) ;

puis, ajouter des données GEOFLA dans ArcMap à partir du dossier : D:\ARCVIEW\GEOFLA\LAMB93\SHAPE

- choisissez bien les fichiers .shp

- possibilité de faire une sélection multiple des couches à ajouter avec Ctrl ou Shift

ArcMap nous alerte sur le fait que la référence spatiale des ces données n’est pas renseignée :

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1 GEOFLA COMMUNES est une base de données assez volumineuse, doublement compressée. Il est donc nécessaire de décompresser deux fois le fichier téléchargé (d’où l'extension .TAR.GZ).

Ministère de l’Agriculture C.F.P.P.A. – 57 av. Charles de Gaulle - 38260 La-Côte-St-André – Tél. 04 74 20 44 66

http://professionnels.ign.fr/gratuit


Malgré tout, les données s’affichent correctement à l’écran !

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Renseignement de la référence spatiale

mode donnéesmode mise en page

coordonnéesLambert 93

Fenêtre en mode "données" ou en mode "mise en page"

« Table des matières »

Les données que l’on vient d’ajouter sont correctement géoréférencées (voir les coordonnées qui s’affichent en barre d’état : on reconnaît du Lambert 932) ; Mais étant donné que la référence spatiale n’est pas renseignée, on ne pourra pas superposer ces données avec d’autres données qui seraient dans un système différent.

Par exemple, si on ajoute la source de données raster COLOMBE.TIF (géoréférencée au chapitre précédent) : et pointer sur le dossier D:\ARCVIEW\COLOMBE, puis ; on obtient :

données Geofla en lambert 93

un cas classique de non superposition de couches !

image raster COLOMBE.TIF, en Lambert III

2 On pourra consulter le géoportail, pour s’en convaincre (http://www.geoportail.fr)



Pour renseigner la référence spatiale des données Géofla, lancer ArcToolBox avec l’outil

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C’est dans la documentation qui accompagne les données GEOFLA (fichier .pdf), que l’on trouve que ces données sont en projection Lambert 93

Lancer l’outil Définir une projection puis ,

- choisir LIMITE_ADMIN_L93 (dans la liste déroulante) - lui affecter la projection RGF 1993 Lambert-93 avec le bouton Rappel : toutes les projections françaises sont situées dans

Systèmes de coordonnées projetées / Grilles nationales / France

- choisir: DEPARTEMENT_L93 (dans la liste déroulante) - lui affecter la même projection RGF 1993 Lambert-93, avec le bouton

On peut alors fermer la fenêtre ArcToolBox

Dans la table des matières, en faisant clic-droit / Propriétés onglet Sources on va pouvoir vérifier que la projection est bien renseignée pour chaque couche :

Principe de la reprojection à la volée :

Avant Définir une projection Après Définir une projection

Chaque source de données est fournie dans un système géodésique et des coordonnées (géographiques ou en projection), caractéristiques de cette donnée : se reporter à la documentation fournie par l’auteur des données. Il faut renseigner « une fois pour toutes » ce système de coordonnées en utilisant, par exemple, ArcToolBox / Définir une projection Dès lors ArcMap pourra superposer correctement des données de diverses projections : c’est la « reprojection à la volée »



A ce stade, il est possible que la superposition des données dans des systèmes de coordonnées différentes ne se fasse pas encore (lorsqu’on fait ). Si l’on fait un clic-droit / Propriétés sur le bloc de données Couches

informations de référence spatiale manquantes !

Dans cette situation, la meilleure solution consiste à commencer un nouveau document ArcMap (sans enregistrer le travail actuel)

en commençant par une couche qui va imposer son système de coordonnées à l’ensemble des autres couches. Par exemple, en ajoutant d’abord la donnée DEPARTEMENT_L93 - dont la référence spatiale a été renseignée « Lambert93» - l’ensemble du bloc de données « couches » sera en Lambert 93

Cette fois ci, l’ensemble du bloc de données (en clair, la carte !) est en projection Lambert 93

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Ajouter ensuite la couche LIMITE_ADMIN_L93 (elle aussi définie en « Lambert 93) Ajouter enfin la couche D:\ArcView\TP2Couch\COLOMBE.TIF (qui a été définie, au chapitre précédent, en « Lambert 3 Carto » - c'est-à-dire, depuis la version 10.0, NTF France III (degrees) ou NTF Lambert Zone III) un message d’avertissement nous signale que « des problèmes d’alignement peuvent apparaître ». En effet, COLOMBE.TIF est basée sur un ellipsoïde différent de celle des données précédentes. Dans ce cas, le bouton Transformations… permettra de reprojeter à la volée, avec le maximum de précision, la donnée ajoutée dans un datum différent.

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bien que géoréférencée en Lambert III Carto, le fichier raster s’affiche bien en Lambert 93

la couche Colombe.tif s’affiche correctement. on l’a « remontée » en couche supérieure par un glissement souris



Récapitulons : La première source de données ajoutée impose la projection utilisée pour le « bloc de données » (c'est-à-dire, la carte).

On peut aussi, au préalable, c'est-à-dire avant d’ajouter des données, renseigner la projection du bloc de données.

solution 1 !

solution 2 !

Pour voir cette solution, Commencer un nouveau document ArcMap avec (sans rien enregistrer) ; clic-droit / Propriétés (sur le bloc de données) onglet système de coordonnées puis choisir parmi les systèmes de coordonnées proposées dans « Prédéfini ».

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indication : vérifier, d’abord, que la projection de chaque source de données est renseignée et si nécessaire, renseignez-là !

Choisir la projection dans laquelle on veut produire la carte ici, Systèmes de coordonnées projetées Grilles nationales France

RGF 1993 Lambert-93

dès lors, les données qui vont être ajoutées avec l’outil seront « reprojetées » en Lambert 93 (à condition que les diverses références spatiales soient bien identifiées, avec )

Remarque : on peut faire un clic-droit / Propriétés sur chaque couche pour visualiser sa propre référence spatiale.

Remarque : on peut, pour gagner du temps, ajouter aux favoris les projections les plus fréquemment utilisées, avec l’outil :

Exercice : Faire une carte en projection Lambert 93 avec :

- l’image raster de Colombe : D:\ARCVIEW\TP2COUCHES\Colombe.tif (donnée en Lambert III Carto)

- le découpage communal de l’Isère : D :\ARCVIEW\ TP2COUCHES\Commune38.shp (donnée en Lambert II étendu.)

- les données GéoFla : D:\ARCVIEW\GEOFLA\LAMB93\SHAPE\Departement_L93.shp (donnée en en Lambert 93)

Changez l’ordre des couches pour avoir COLOMBE.TIF « en haut », puis COMMUNE38.SHP et enfin DEPARTEMENT_L93.SHP en bas, et faites une vue générale de la carte avec

Retenez ! on peut faire afficher, sur une carte, des données obtenues dans des projections différentes, à condition de bien identifier la projection de chaque donnée.



2°) Chemin d’accès aux sources de données

A partir de la carte précédente en Lambert 93 avec : - l’image raster de Colombe (dossier D:\ARCVIEW\COLOMBE) - le découpage communal de l’Isère (dossier D:\ArcView\BDCARTO\DONNEES_L93\DEPT38) - les données GéoFla en Lambert 93 (dossier D:\ArcView\GEOGLA\Lamb93) enregistrer un document : par exemple Carte Colombe.mxd avec

Si l’on veut ouvrir ce document sur une machine dont l’organisation des disques et des dossiers sur les disques est différente (par exemple, pas d’unité D:) on risque d’obtenir une carte « vide » car ArcMap ne retrouvera pas les chemins d’accès aux données.

Un point d’exclamation rouge signifie qu’ArcMap n’a pas pu accéder à cette source de données

Pour voir ce problème, il suffit de renommer tout le dossier ArcView en TPArcView, par exemple

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Dans ce cas de figure, un clic-droit sur la source de donnée flanquée d’un ! / Données / Définir la source de données… va permettre de redéfinir le chemin d’accès :

un clic sur le point d’exclamation rouge envoie directement vers cette boite de dialogue !

…et recommencer pour chaque source de données qui n’a pas pu être située par ArcMap.

(Parfois, le fait de redéfinir le bon chemin d’accès de la première donnée suffit pour permettre à ArcMap de retrouver toutes les données du document).

Un autre moyen pour gérer les différences de chemins d’accès aux données entre diverses machines consiste à enregistrer le document en « chemin relatif d’accès aux données ». Pour cela menu Fichier / Propriétés de la Carte…

au lieu d’enregistrer le chemin complet, passer en « chemin relatif » ArcMap retrouvera les données, de façon « relative » à l’unité (C : D : …) et au dossier en cours

Remarque : Il est possible, à partir d’ArcCatalog, de redéfinir les chemins d’accès aux sources de données utilisées par un document .mxd : clic-droit (sur ce document .mxd) / Définir les sources de données…



3°) Table des matières de la carte

La table des matières répertorie l’ensemble des couches d’une carte. Depuis la version 10.0, elle est gérée selon 4 méthodes : - Répertorier par ordre d’affichage convient pour faire afficher ou non une couche,

modifier l’ordre des couches, renommer ou supprimer des couches, créer et gérer des groupes de couches ;

par ordre d’affichage

- Répertorier par source convient pour faire afficher le chemin d’accès Windows ou la base de données dans lesquels se situe chaque donnée. C’est dans ce mode que l’on voit les données « purement tabulaires ».

- Répertorier par visibilité convient pour voir de façon synthétique quelles sont les couches

« Visibles » de la carte, et quelles sont les couches « Non visibles ». Ce mode est surtout intéressant pour les cartes comportant un grand nombre de couches. - Répertorier par sélection convient pour voir de façon synthétique quelles sont les couches

où il y a un ou plusieurs objets « Sélectionné » ; quelles sont les couches « Sélectionnables » et quelles sont les couches « Non sélectionnables ».

Cet icône permet defaire basculer une couche de « visible »vers « non visible »et inversement

Cet icône permet de rendre les objets d’une couche « sélectionnable » ou « non sélectionnable »

Cet icône permet de faire basculer une couche de « visible » vers « non visible » et inversement

Par nature, un raster fait partie des couches « non sélectionnable »

Un objet est actuellement sélectionné dans la couche COMMUNE38

Annuler la sélection d’objet(s) de la couche COMMUNE38

Rendre les objets de cette couche « sélectionnables »ou « non sélectionnables »

par visibilité

par sélection

Ajouter la donnée stats-dép.dbf qui est un tableau de données (donnée non géographique)

par source



4°) Eléments fondamentaux pour gérer les couches

1. Affichage / Non affichage des couches

2. Ordre des couches

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Remarque : on peut

renommer les couches dans la table des matières, ce qui peut être intéressant pour la légende utiliser la touche F2 ou clic-droit / Propriétés onglet « Général »

En mode « Répertorier par ordre d’affichage », glissement de souris sur la couche à déplacer

utiliser les cases à cocher ou

les icônes

Attention : sur cet exemple, la couche raster disparaîtra car située sous la couche opaque des communes !



3. Détail de la barre « Outils »

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Les outils de Zoom Avant et Zoom Arrière s’utilisent de deux façons : - soit un clic échelle agrandie (ou diminuée) et cadrage au centre de la carte - soit délimitation d’un rectangle la zone délimitée se retrouve agrandie (ou diminuée) Les outils de Zoom Avant constant et Zoom Arrière constant s’utilisent en cliquant sur l’outil (et non sur la carte !) ; l’échelle se retrouve respectivement agrandie d’un facteur 4/3 Il est possible aussi de zoomer sur une couche choisie, qui se retrouve affichée en pleine fenêtre : clic-droit / Zoom sur la couche - l’outil permet de sélectionner des entités géographiques (des départements, des

communes, des villes…) - l’outil permet de sélectionner des éléments graphiques (des textes, des annotations,

des graphismes divers, en particulier lors des opérations de mise en page).

Ne confondez pas !

Zoom ArrièreConstant

Déplacer

Vue Générale (de l’ensemble des couches)

Zoom Avant Constant

Identifier une entité géographique

Sélection d’objets (graphismes, textes)

Fiche de l’objet sélectionné

Itinéraire Aller à un emplace-ment précis, en X,Y

Sélections d’entités Mesure de distances

(à vol d’oiseau)

Recherche rapide (puis zoom sur l’entité)

Fenêtre de

Zoom Avant Revenir à la vue précédente

Aller à la vue suivante

Zoom Arrière

désélection

Hyperlien (lien vers un document, une URL…)

Fenêtre curseurtemporel

vue figée



Remarquer que le bouton de sélection d’entités n’est accessible que si l’on a au moins une couche « sélectionnable » en mode « Répertorier par sélection »

sur cet exemple, on a 2 couches sélectionnables l’outil « sélection d’entités » est actif

on ne pourra pas sélectionner d’objet « COMMUNE38 »

4. Réglage de l’échelle d’affichage de la carte

Utiliser la zone « Echelle de la carte » située en barre d’outils standards : taper la valeur d’échelle adéquate (exemple 1 : 10 000 000) ou choisir dans la liste déroulante.

Il est possible de personnaliser la liste des échelles proposées dans cette liste déroulante :



5. Utilisation de géosignets

Zoomer sur la couche COLOMBE.TIF, puis zoomer encore au 1 : 15 000 sur la plaine au sud du village de Colombe.

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Pour créer un géosignet : menu Géosignets / Créer…

Pour utiliser un géosignet : Pour en comprendre l'intérêt, repasser d'abord en vue générale avec puis, menu Géosignets / Choisir parmi le(s) géosignet(s) créés pour retrouver instantanément le cadrage et l’échelle correspondants

Pour supprimer un géosignet : menu Géosignets / Organiser…

Exercice : créer un géosignet permettant d’avoir la commune de La Côte-Saint-André au 1 : 50 000 (utiliser le bouton pour localiser cette commune… : onglet « entités » et rechercher LA COTE ; remarquer qu’on peut créer le géosignet directement suite à cette recherche : clic-droit sur LA COTE…).

6. Utilisation d’une vue figée

L’outil (de la barre « Outils ») permet de créer une petite fenêtre dans laquelle on pourra faire afficher une vue de la carte (par exemple à petite échelle afin d’avoir une vision globale).



5°) Gestion des tables attributaires et des tables de données

Depuis la version 10.0, une fenêtre unique permet d’afficher les tables attributaires ; un système d’onglets permet de choisir la table à afficher et à gérer. Pour ouvrir la table attributaire associée à une couche vectorielle, clic-droit sur la couche / Ouvrir la table attributaire Pour ouvrir une table de données Il faut être en mode Répertorier par source clic-droit sur le tableau de données / Ouvrir

Un système d’onglet permet d’afficher telle ou telle table

Pour faire afficher deux tables à la fois (l’une à côté de l’autre ou l’une au dessus de l’autre), il faut faire glisser un onglet vers l’emplacement choisi :

Sur cet exemple, la fenêtre DEPARTEMENT_L93 va se retrouver à droite de la fenêtre COMMUNE38



Une barre d’outils permet d’accéder aux opérations courantes sur des tables : Options de

la Table

Tables reliées

Sélection par attribut

Inverser la Sélection

Annuler la Sélection

Zoom sur la sélection

Supprimer les éléments sélectionnés

Le bouton « Options de la Table » réunit toutes les opérations courantes sur les tables (recherches, sélections, jointures, mise en ralation…) De même, un clic-droit sur l’intitulé d’un champ regroupe la plupart des options utiles :



6°) Gestion des blocs de données

Un bloc de données regroupe un ensemble de couches que l’on souhaite afficher ensemble.

Par défaut, un document ArcMap comprend toujours un bloc de données nommé « Couches » : Il peut être utile de créer plusieurs blocs de données, lorsque, par exemple : - on souhaite disposer de plusieurs cartes thématiques (pour une mise en page, par exemple); - on veut disposer d’une carte de situation (à petite échelle) et une autre carte, plus

détaillée, à plus grande échelle. Un seul bloc de données est actif à un moment donné il apparaît en gras dans la table des matières. Pour créer un bloc de données : menu Insérer / Bloc de données « Nouveau bloc de données » apparaît dans la table des matières Il est possible de renommer un bloc de données : cliquer 2 fois (lentement !) ou utiliser la touche F2 ; un curseur apparaît : par exemple :



Un seul bloc de données est actif à un moment donné : c’est celui dont le nom apparaît en caractères gras. Pour activer un bloc de données, clic-droit / Activer

la combinaison de touches <Ctrl> <Tabulation>

permet de passer d'un bloc de données à un autre

Activer le bloc de données « Détail sur Colombe » , puis utiliser le bouton « Ajouter des données » pour ajouter la couche : D:\ARCVIEW\TP2COUCHES\COLOMBE.TIF

Un bloc de données (et toutes les couches qu’il contient) peut être supprimé par un simple clic-droit / Supprimer L’outil Annuler permet éventuellement de revenir en arrière.

Chaque bloc de données peut avoir son propre système de coordonnées et ses propres unités : clic-droit / Propriétés ; voir les onglets Système de coordonnées et Application (pour les unités)

Exercice : on créera un troisième bloc de données, en Lambert-93, que l’on nommera France, et dans lequel on chargera les sources de données suivantes : - le contour départemental : DEPARTEMENT_L93 (dossier D:\ARCVIEW\GEOFLA…) - l’image raster : COLOMBE.TIF (dossier D:\ARCVIEW\TP2COUCHES…) - des données sur la France, fournies en Lambert II étendu (dossier d :\ARCVIEW\FRANCE_L2ET

3) le contour du territoire français : FRANCE.shp les régions : REGION.shp l’ hydrographie très généralisée : HYD1LIGN.shp (linéaire) et HYD1SURF.shp (surfacique) l’ hydrographie plus détaillée : HYD2LIGN.shp (linéaire) et HYD2SURF.shp (surfacique) les villes principales : VILLES.shp le réseau routier : ROUTES.SHP

(au message « des problèmes d’alignement risquent de survenir si aucune transformation n’est appliquée », clic sur le bouton Transformation et choisir « NTF_to_RGF1993)

Ces données sont fournies dans l’ancien système NTF / Lambert II étendu et devront être reprojetées en Lambert93

On peut ajouter plusieurs sources de données « à la fois

avec » en faisant une sélection multiple avec <Ctrl> ou <Shift>

On peut faire glisser une couche d’un bloc de données vers un autre

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3 On pourra utiliser le logiciel gratuit IgnMap pour reprojeter « définitivement » tout le dossier FRANCE_L2ET vers le dossier FRANCE_L93 ; ainsi, l’affichage de la carte sera plus rapide que par reprojection « à la volée ».



7°) Gestion des groupes de couches

Un groupe de couches permet de regrouper plusieurs sources de données géographiques dans une seule couche, pour les gérer comme une seule entrée dans la table des matières. Par exemple, regrouper toutes les données d’hydrographie dans un seul groupe de couches nommé HYDROGRAPHIE : Pour créer un groupe de couches : - faire une sélection multiple (avec <Shift> ou <Ctrl>) des couches à regrouper - clic-droit / Grouper la table des matières doit être en mode "Répertorier par ordre d’affichage"

- renommer le groupe de couche ainsi créé : « Nouveau groupe de couches » Hydrographie

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Il reste possible de rendre

« non visible » telle ou telle couche du Groupe de couches

Surtout, ne confondez pas - bloc de données et - groupe de couches !

On peut combiner dans un même groupe de couches diverses sources de données : des fichiers de formes (.shp), des rasters (.tif, .ecw…), des couvertures ArcInfo, des TIN, …

On peut ajouter ou enlever des couches à un groupe de couches ; modifier l’ordre des couches, etc. : double clic ou clic-droit/propriétés sur le groupe de couches :

Dans l’onglet « Affichage »,

on pourra, par exemple, introduire une translucidité qui s’appliquera à tous les éléments du groupe

Exercice : on créera un autre groupe de couches appelé « Occupation du sol » dans lequel on mettra les sources de données suivantes (situées dans le dossier D :\ARCVIEW\FRANCE) Contours des zones bâties: ZONEBATI.shp Contours des zones boisées: ZONEVEGE.shp



8°) Ajout de graphismes et de textes

Il est possible de superposer à la carte des graphismes (carrés, cercles, lignes…) ou des textes qui attirent l’attention sur un point particulier.

Réactiver le bloc de données « Carte de situation », puis régler l’échelle au 1 : 10 000 000. On va situer le secteur de Colombe par un cercle de couleur rouge.

Faire apparaître la barre d’outil « Dessiner »

le dernier outil de dessin est actif ; On peut aussi choisir dans la liste déroulante

Plus précisément, on pourra demander au logiciel de situer la commune de Colombe, en utilisant l’outil « Aller vers XY » : il faut d’abord choisir l’unité : « mètres » puis rentrer les coordonnées de la commune de Colombe : (892 000 ; 6 480 700) (Coordonnées Lambert 93 lues, par exemple, sur le Géoportail). Terminer par le bouton « Ajouter un point » un cercle plein permet de situer la commune de Colombe

L’outil permet, lui aussi, de dessiner un point sur la carte.



Par un double-clic sur ce point, changer sa couleur ( rouge) et sa taille ( 10)

Puis, avec l’outil dessiner une « Texte dans un rectangle ».

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Lui appliquer une couleur de remplissage jaune clair (avec l’outil ) et un contour jaune clair également avec l’outil ).

Double-clic sur cette zone de texte pour éditer le texte, et réduire les marges

Ne vous trompez pas d’outil Texte ; utilisez qui crée un texte sur un fond de rectangle.

Appliquer le style Arial 12 Gras Rouge avec les boutons : Redimensionner la zone de texte (en utilisant les poignées) et la déplacer. Le résultat devrait être :



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Ne confondez pas l’outil

l’outil permet de sélectionner un élément graphique ou un texte ; des poignées apparaissent : l’outil permet de sélectionner un élément graphique ou un texte ; des poignées apparaissent :

Avec l’outil quisert à sélectionner de entités géographiquesentités géographiques

s On peut faire une sélection multiple (avec Shift) ; dès lors, en menu contextuel (clic-droit), on a de multiples options pour Grouper plusieurs éléments graphiques, les Aligner, les Répartir (espacement régulier entre les graphismes), les changer de plan (premier plan – arrière plan), etc. :

On peut faire une sélection multiple (avec Shift) ; dès lors, en menu contextuel (clic-droit), on a de multiples options pour Grouper plusieurs éléments graphiques, les Aligner, les Répartir (espacement régulier entre les graphismes), les changer de plan (premier plan – arrière plan), etc. :

sélection de deux objets avec <Shift>

Remarque Remarque : échelle de référence : La taille des graphismes (cercle rouge, zone de texte) et des caractères a été choisie pour une certaine échelle d’affichage de la carte (ici, le 1 : 10 000 000). Si on s’éloigne trop de cette échelle ces tailles sont évidemment inadaptées ! par exemple, à très petite échelle, on ne lit plus le texte : Une solution consiste à définir l’échelle de référence : Se remettre à une échelle où les tailles sont adaptées (ici, le 1 : 10 000 000)

clic-droit (sur le bloc de données) Echelle de Référence / Définir l’échelle de référence Pour enlever cette échelle de référence : clic-droit / Echelle de référence / Annuler l’échelle de référence

en général, on choisit comme « échelle de référence » l’échelle à laquelle on prévoit d’imprimer la carte.



9°) Modification du style d'affichage d'une couche

Lorsqu’on charge une couche dans la table des matières, ArcMap lui affecte un style d’affichage de manière aléatoire : couleur, épaisseur de trait (polyligne) ou de contour (polygone), style de points ou de ligne ainsi qu’une trame de remplissage. Ces styles doivent être personnalisés. - soit on fait varier la symbologie en demandant à ArcMap de faire varier automatiquement

le style d’affichage en fonction d’un ou plusieurs champs de la table attributaire : c’est la cartographie thématique étudiée au chapitre 10.

- soit on affecte manuellement un symbole unique pour toutes les entités de la couche : c’est ce qu’on va réaliser dans ce paragraphe.

Par exemple, activer le bloc de données France et ne garder visibles que les couches VILLES, ROUTES et DEPARTEMENT_L93 :

Afficher les VILLES sous la forme de petits triangles rouges, en taille 6 Clic-droit/propriétés sur la couche Villes - onglet Symbologie

Les couleurs supplémentaires permettent , par synthèse additive, de « construire » des couleurs précises à partir des 3 couleurs fondamentales R, V B (sur l’exemple, un rouge)



styles de lignes fournis avec ArcMap dans la bibliothèque ESRI

Afficher les ROUTES en traits de 0,75 d’épaisseur, en orange (R255, V200, B0)

Afficher les DEPARTEMENTS en trame neutre et contour de 1,5 point en vert clair (R210 V255 B110)

Remarque : pour les trames de remplissage, ne pas oublier la possibilité de mettre une trame pleine, mais avec une translucidité partielle (Propriétés de la couche / Onglet Affichage / « Transparence » : mettre une valeur en % : 40%, 50%...)

choisir « Aucune couleur »

choisir couleurs supplémentaires

taille 1 point

styles de trames fournis avec ArcMap dans la bibliothèque ESRI

choisir couleurs supplémentaires

le bouton Modifier le symbole permet de changer la couleur d’arrière-plan (utile pour les trames qui ne sont pas pleines : hachurages, etc.)

taille 0,75 point

Raccourcis : clic sur le symbole de la couche (dans la table des matières) raccourci vers la symbologie clic-droit sur le symbole de la couche raccourci vers la palette de couleurs



On peut enregistrer des couleurs qui enrichiront la palette : utiliser le bouton Par exemple, sur la couche HYD1LIGN (hydrographie linéaire), créer la nuance de bleu très précise ci-dessous : Résultat : dans la palette de couleurs, de nouveaux carrés de couleurs sont apparus, avec le nom choisi lors de l’enregistrement de la couleur :

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Exercices : - symboliser la couche FRANCE avec une couleur de remplissage jaune clair (R255 V255 B235)

et un trait de contour noir épaisseur 0,40 pt. - symboliser la couche REGION avec aucune couleur de remplissage et un contour assez épais

1,40 pt) gris clair (R128 V128 B128) - symboliser l’hydrographie en utilisant la couleur personnalisée « Rivières-Lacs » créée ci-

dessus, avec une épaisseur de trait de 1 pt d’épaisseur pour l’hydrographie linéaire et pas de contour pour l’hydrographie surfacique.

- régler l'échelle au 1 : 6 000 000 - choisir l’ordre adéquat des couches

10°) Gestion des styles

1. Choix des styles (de points, de lignes, de trames…) à afficher

Le menu Personnaliser / Gestionnaire de styles / bouton Styles permet de sélectionner, parmi les styles de points, de lignes et de trames, ceux que l’on veut utiliser : Cette même boite de dialogue est

également accessible, à partir du bouton Références des styles

de la symbologie !

Sur cet exemple, on disposera des styles (de points, de lignes, de trames) liés aux dossiers de styles : - SIG (obligatoire !) (c’est lié au nom de connexion au poste de travail windows) - ENVIRONMENTAL - ESRI



2. Modification d’un style

Le menu Personnaliser / Gestionnaire de styles permet de Modifier un style / Supprimer un style / Renommer un style.

choisir parmi les dossiers de styles disponibles, c'est-à-dire ceux que l’on a choisi d’afficher (voir le paragraphe précédent) :

Par exemple SIG.styles, PERSO.styles, ESRI.styles, ENVIRONMENTAL.styles (« sig » est le nom d’utilisateur, lors de la connexion au poste de travail WINDOWS) choisir la catégorie, par un double-clic, par exemple Couleurs on retrouve Rivières, Lacs dès lors, on peut le supprimer, le renommer, le modifier…

dans sig.style catégorie Couleurs, on retrouve Rivières, Lacs

par exemple, on pourra associer une autre nuance de bleu aux « rivières et lacs »



3. Création d’un nouveau style de ligne

On souhaiterait créer un nouveau style de ligne pour symboliser les autoroutes. Menu Personnaliser / Gestionnaire de styles…

- commencer par créer un nouveau fichier de styles : bouton Styles puis Créer un nouveau style choisir le dossier : D:\ArcView\Styles et donner un nom : perso.style dans le « Gestionnaire de styles », apparaît la ligne D:\ArcView\Styles\perso.style - sélectionner ce fichier de styles et développer l’arborescence afin de pouvoir choisir le dossier

dans lequel on va créer le nouveau symbole : supposons Symboles linéaires - dans la fenêtre de droite, clic-droit / Nouveau / Symbole ligne...

Pour symboliser de façon « réaliste » les autoroutes, le nouveau symbole sera constitué de la superposition de trois traits : un trait noir épais ( largeur 3,5), sur lequel on va superposer un trait rouge moins épais (largeur 2,6) et en un troisième trait, central, noir, très fin (largeur 0,5) :

symbole constitué de la superposition de 3 « couches »

pour plus de détails, se reporter à la rubrique d’aide : création de symboles linéaires

Lorsqu’on valide, donner le nom « autoroutes » à ce nouveau style de trait.



4. Création d’un nouveau style de point

On souhaiterait créer un nouveau style de points pour symboliser des bornes Ign. Menu Personnaliser / Gestionnaire de styles… - dans la fenêtre de gauche, choisir le fichier de styles : D:\ArcView\Styles\perso.style

et développer l’arborescence afin de pouvoir choisir le dossier dans lequel on va créer le nouveau symbole : supposons Symboles ponctuels

- dans la fenêtre de droite, clic-droit / Nouveau / Symbole ponctuel... Pour symboliser nos bornes, le nouveau symbole sera constitué de la superposition de deux objets ponctuels simples : un carré blanc avec contour noir, de taille 12, sur lequel on va superposer une petite croix grecque

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de taille 8 :

Lorsqu’on valide, donner le nom « borne Ign » à ce nouveau style de point.

symbole constitué de la superposition de 2 « couches »

pour plus de détails, se reporter à la rubrique d’aide : création de symboles ponctuels



5. Création d’un nouveau style de trame

On souhaiterait créer un nouveau style de points pour symboliser les forêts de conifères Menu Personnaliser / Gestionnaire de styles… - dans la fenêtre de gauche, choisir le fichier de styles : D:\ArcView\Styles\perso.style

et développer l’arborescence afin de pouvoir choisir le dossier dans lequel on va créer le nouveau symbole : supposons Symbole de remplissage

- dans la fenêtre de droite, clic-droit / Nouveau / Symbole de remplissage... Pour symboliser nos forêts de conifères, nous allons chercher un symbole ponctuel en forme de conifère, que nous allons répartir de façon aléatoire pour constituer ce motif de remplissage. Lorsqu’on valide, donner le nom « Forêts de conifères » à ce nouveau style de point.

pour plus de détails, se reporter à la rubrique d’aide : création de symboles de remplissage

Pour disposer du symbole « Tree, Coniferous, Side » il faudra cocher la bibliothèque de symboles supplémentaires nommée « Environmental »

dans l’onglet « propriétés de remplissage », on pourra mettre un écartement des symboles un peu plus serré (11 11)



11°) Affichage d'une couche à des échelles spécifiques

Lorsqu’on travaille à petite échelle, la symbologie adoptée pour les couches ne permet plus de distinguer les différentes entités :

trop d’informations affichées à cette échelle de la carte !

Il peut alors être utile de faire afficher automatiquement telle ou telle couche lorsqu’elle est dans une plage d’échelle choisie : par exemple, uniquement les contours de la France à petite échelle, puis, au fur et à mesure que l’échelle augmente, faire apparaître les régions, puis les départements, puis les routes, puis les villes… Par exemple, pour la couche REGION, demander l’affichage à une plage d’échelle comprise en 1 : 10 000 000 et 1 : 500 000 résultat : lorsqu’on affiche la carte à petite échelle, les régions n’apparaissent pas ;

inversement , au-delà d’une échelle de 1 500 000, les régions n’apparaissent pas non plus.




On pourra, par exemple, appliquer les plages d’échelle suivantes : - pour les REGION : affichage uniquement du 1 : 10 000 000 au 1 : 500 000. - pour les DEPARTEMENT_L93 : du 1 : 6 000 000 au 1 : 100 000. - pour les ROUTE, les faire apparaître uniquement à une échelle plus grande que le 1 : 1 000 000 (=échelle min.) - pour les VILLES : les faire apparaître uniquement si l’échelle dépasse le 1 : 3 000 000 (=échelle min.)

on aura intérêt à placer la couche REGION au dessus de DEPARTEMENT_L93

- pour le groupe de couche Hydrographie, le faire apparaître uniquement si l’échelle dépasse le 1 : 2 000 000 (=échelle minimale)

Le tout sur fond jaune clair de la couche FRANCE, toujours visible (pas de plage d'échelle) On utilisera les outils « Zoom avant constant » et « Zoom arrière constant » pour voir le résultat : certaines couches apparaissent, d’autres disparaissent selon l’échelle d’affichage de la carte. Il est possible aussi de charger plusieurs fois la même couche dans la table des matières, avec des seuils d’échelle différents et des caractéristiques d’affichage différentes. Par exemple deux fois la couches Villes : Faire un « Copier / Coller des Couches » de la couche VILLE, que l’on regroupera dans un groupe de couches appelé « Groupe des Villes ». Puis appliquer les plages d’échelles suivantes : - entre 1 : 3 000 000 et le 1 : 2 000 000 : afficher les villes sous la forme de triangles

rouges taille 6 - à partir du 1 : 2 000 000 et pour toutes les échelles plus grandes, afficher les villes sous

la forme de triangles rouges taille 12

ce symbole signifie qu’on est en dehors de la plage d’échelle à l’intérieur de laquelle cette couche s’affiche

chapitre ii - arccatalog support de cours arcgis formation ... · pdf filechapitre i -...

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