Carnaval d’articles sur le thème « Apprendre en s’amusant »

6 super articles pour faire

le plein d’idées pour

apprendre en s’amusant

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CARNAVAL D’ARTICLES SUR LE THEME « APPRENDRE EN S’AMUSANT »

Sommaire

Introduction Page 2

Article 1 Pages 3 – 5

Jeux de langues entre amis ou en famille !

Par Emy du blog « Les Anim’aginables »

Article 2 Pages 6 – 13

Le cinéma : apprendre l’italien en s’amusant (pièges à éviter et films à voir)

Par Sandrine du blog « Plaisir d’apprendre l’Italien »

Article 3 Pages 14 – 17

Apprendre l’anglais en s’amusant

Par Oum du blog « Le blog des mamans »

Article 4 Pages 18 – 22

Combien ça coûte ?! Une idée fun pour apprendre les maths (mais pas que)

Par Sarah du Blog « Ma maison de mes mains »

Article 5 Pages 23 – 27

Comment progresser ET garder sa motivation en musique ? En s’amusant !

Par Sarah du Blog « Ma voix dans la musique »

Article 6 Pages 28 – 30

Les jeux d’aventures pédagogiques ou comment apprendre en s’amusant

Par Caroline du Blog « Happy Kid Safari »

Remerciements Page 31

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CARNAVAL D’ARTICLES SUR LE THEME « APPRENDRE EN S’AMUSANT »

Introduction

Cet ebook est le résultat du premier carnaval d’articles Happy Kid Safari sur le thème

«Apprendre en s’amusant».

L’objectif d’un carnaval d’articles est de proposer à des blogueurs de différents domaines de

rédiger un article sur une thématique commune. Ici « Apprendre en s’amusant ». Afin de vous

proposer un contenu riche et différent de ce que vous avez l’habitude de lire sur Happy Kid

Safari.

Happy Kid Safari vous partage dans cet ebook un concentré de 6 articles rédigés par des

blogueurs spécialisés dans les apprentissages ludiques. Les blogueurs qui ont rédigé ces

articles ont donc chacun leurs passions, leurs expériences, leurs points de vue… sur le sujet.

Vous verrez ainsi en lisant cet ebook que l’on peut aborder des tas de sujets en s'amusant : les

langues étrangères, les mathématiques, les expressions de la langue française, la musique, …

Je suis persuadée que tous ces articles vous plairont.

Je vous souhaite une bonne lecture.

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Article 1 : Par Emy du blog « Les Anim’aginables »

Jeux de langues entre amis ou en famille !

Les expressions de la langue française sont bien souvent très imagées. La transcription de ces

expressions dans d’autres langues est également souvent amusante. Les Anim’aginables vous

proposent aujourd’hui une idée de jeu à faire en famille ou entre amis au cœur de nos expressions

françaises et de leurs synonymes tout aussi surprenants en Anglais et en Espagnol

Principe du jeu :

Ce jeu est composé de 15 cartes. Chaque carte contient une expression de la langue française à faire

deviner. Pour cela, un exemple de l’expression anglaise et espagnol qui ont la même signification que

l’expression française. Plus le joueur reçoit d’indice, moins il marquera de points !

Le gagnant est le joueur qui aura recueilli le plus de points !

Déroulement du jeu :

Le premier joueur pioche une carte et essaie de faire deviner au joueur situé sur sa gauche l’expression

identifiée en haut de la carte. Pour cela, il va lire les expressions similaires en espagnol et en anglais

ainsi que leur traduction française. Si l’expression est trouvée par le joueur, ce dernier marque 2 points.

Si l’expression n’est pas trouvée, un indice, l’origine de l’expression française est également disponible

sur la carte. Si le joueur trouve l’expression française à l’aide de l’indice, il marque 1 point. Si

l’expression n’est pas trouvée, aucun point n’est marqué.

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Intérêt du jeu :

Ce jeu a de multiples bénéfices :

- Il peut être réalisé entre amis ou en famille. Les expressions étrangères amusantes

permettront d’animer facilement un apéritif entre amis mais pourront également un jeu

challengeant en famille avec une compétition parents/enfants

- Les expressions sont souvent composées de mots simples qui pourront améliorer le

vocabulaire des joueurs

- L’indication de l’origine des expressions Françaises vous surprendra à coup sûre ! Qui ?

Aujourd’hui peux expliquer facilement la signification de toutes ces expressions qui datent

parfois de plusieurs centaines d’années ?

- Il incite les joueurs à lire et à s’exprimer dans plusieurs langues différentes. Même si l’accent

n’est pas parfait, entendre différentes sonorités permet de faciliter la mémorisation. Qui ?

d’ailleurs n’a pas en tête un mot étranger extrêmement mal prononcé d’une connaissance qui

vous fait encore rire. (Personnellement j’ai en tête le fameux « Fashion capture » au lieu de

« FastStone capture® » de mon boss en ce qui concerne un logiciel et l’indétrônable

« Flasgatte » de mon beau père en parlant de la ville de « Flagstaff »

Préparation du jeu :

Ce jeu a été réalisé à l’aide des informations trouvées sur le site Expressio qui liste les expressions

françaises, leur origine et leur traduction dans plusieurs pays du monde. Vous trouverez ci-dessous

plusieurs exemples de cartes que vous pouvez créer facilement chez vous !

Préparez une quinzaine de cartes de ce type.

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Nous vous conseillons les expressions suivantes qui fonctionneront très bien avec ce jeu :

- Les doigts dans le nez

- A dormir debout

- A l’œil

- Poser un lapin

- Tête de linotte

- Froid de canard

- Anguille sous roche

- Les carottes sont cuites

- Avaler des couleuvres

- Avoir le cœur sur la main

- Rire jaune

- Dormir sur ces deux oreilles

- Connu comme le loup blanc

- Découvrir le pot aux roses

- Monter sur ses grands chevaux

Nos astuces Les Anim’aginables :

Si vous jouez entre adultes, vous pouvez choisir de donner uniquement l’expression anglaise (pour 3

points), puis l’expression espagnole (pour 2 points) puis l’indice (pour un seul point).

Nous espérons que vous avez aimé cet article, si c’est le cas n’hésitez pas le partager et à cliquer sur

le bouton « j’aime » ci-dessous.

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Article 2 : Par Sandrine du blog « Plaisir d’apprendre l’Italien »

Le cinéma : apprendre l’italien en s’amusant (pièges à éviter et films à voir)

La seule idée d’apprendre de façon amusante vous paraît étrange ? Plus encore apprendre une langue

comme l’italien… Si vous interrogez votre intuition, elle vous dira probablement qu’apprendre est

amusant. Tout du moins c’est ce que cela devrait être, n’est pas ?

Vous souvenez-vous de la dernière fois durant laquelle vous vous êtes assis pour apprendre quelque

chose de nouveau pour votre travail ou tout simplement par curiosité ? Même si l’idée de devenir

meilleur vous enthousiasme sans doute, le processus pour acquérir les compétences est généralement

long et peu engageant. Il y a beaucoup de tâches ennuyantes ou difficiles par lesquelles il faut bien

souvent passer avant de profiter des douces récompenses qu’offre la connaissance.

Winston Churchill disait : “Personnellement, je suis toujours prêt à apprendre mais je n’aime pas

toujours que l’on m’enseigne.” Malheureusement c’est la façon dont la plupart d’entre nous voient

l’apprentissage… En tout cas par la voie classique de l’apprentissage. Car aujourd’hui je vous propose

de voir ensemble comment le cinéma va vous aider à apprendre l’italien en vous amusant.

La science prouve qu’apprendre de façon fun est plus efficace

Le plaisir a un effet positif sur le niveau de motivation dans l’apprentissage, ce que nous apprenons et notre capacité à mémoriser les notions vues. Vous le savez apprendre demande de la répétition et de l’engagement pour s’encrer dans la durée. Aussi si cela est fun, les apprenants resteront curieux dans l’acquisition des connaissances et continueront l’apprentissage.

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Au contraire si l’apprentissage est rasoir, les apprenants laisseront rapidement tomber. Ce sont des faits montrés par des études scientifiques sur le sujet :

• Une étude dans le journal College teaching a montré que les étudiants se remémorez les statistiques vu lors d’un cours de mathématiques plus facilement si l’enseignant utilise des blagues à propos des sujets les plus pertinents.

• Dans son livre ( Research-based strategies to ignite student learning) Judy Willis, neurologue, prouve par des expériences à quel point le fun augmente les niveaux de dopamine, sérotonine et d’oxygène qui aide l’apprentissage.

• Dans son étude Michael Tews a prouvé que les employés sont plus susceptibles d’apprendre de nouvelles choses dans un environnement bienveillant et amusant.

Utiliser les films pour apprendre l’italien : bonne idée

L’idée est intéressante n’est-ce pas ? C’est d’ailleurs ainsi que j’ai fait un bond de géant dans mon

apprentissage de l’anglais pour ne rien vous cacher. 😉 J’aimerais cependant vous donner les neuf conseils pour utiliser les films de façon efficace dans votre apprentissage de l’italien en vous amusant. Si les films sont l’un des meilleurs moyens pour apprendre une langue, c’est bien parce qu’ils sont disponibles dans la plupart des langues. Du français, à l’arabe en passant par l’italien ou le néerlandais, il existe forcément des films que vous aimerez dans la langue que vous apprenez.

L’idée d’utiliser les films pour apprendre l’italien est bonne pour trois raisons :

• Les films vous permettent de vous familiariser avec la culture et la façon d’utiliser la langue au mieux. En effet, les films en italien sont faits pour les Italiens par des Italiens. Ainsi, en les regardant vous aurez un aperçu de la culture et de la langue en tant que telle. En écoutant attentivement, vous aurez plus de facilité à comprendre les Italiens en fonction du contexte dans lequel vous êtes.

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• Les films vous permettront de comprendre le vocabulaire dans leur contexte. Ainsi vous n’aurez pas qu’à vous fier à un mot pour en retenir le sens. Si toutefois vous ne comprenez pas un mot, vous pourrez toujours deviner sa signification en comprenant ce qu’il se passe entre les personnages.

• C’est addictif et amusant. Lorsqu’un film vous intéresse dans la langue que vous voulez apprendre, il retient votre attention et vous souhaitez donc aller jusqu’au bout. En faisant ainsi, vous ferez des pas de géant en langue.

Mais attention cependant !

Pour apprendre grâce aux films, il vous faudra éviter ces neuf pièges :

• Regarder un film sans soutien d’aucune sorte

Si vous venez de commencer à apprendre l’italien, il est trop tôt pour un film complet comme “La vita è bella” ou la vie est belle qui fait prêt de 2 heures. En effet, la longueur du film pourra vous décourager rapidement même si vous utilisez les sous-titres. Je vous conseille donc si vous êtes débutant de commencer par de courtes vidéos sur YouTube. Préférez les vidéos avec sous-titres pour pouvoir suivre le flot des paroles et choisir la langue. L’autre avantage de YouTube est que vous pouvez varier la vitesse du débit de paroles. Astucieux quand on sait que les Italiens parlent très très vite.

Par ailleurs lorsque vous avancerez dans votre apprentissage de l’italien et que vous regarderez des vidéos de plus en plus longues, pensez à utiliser l’application mobile Itranslate translator qui traduira directement via l’audio. Disponible sur l’App Store et Google Play.

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• Utiliser le mauvais film

Il est parfois tentant de regarder le dernier blockbuster dans la langue que l’on veut étudier. Or le problème est que bien souvent l’on choisit un film par ce que l’on a envie de voir et non un film qui nous apportera en termes de vocabulaire qui correspond à notre niveau d’apprentissage. Bien sûr il faudra choisir un film qui vous tente. Cependant, veuillez à vérifier ces critères avant d’appuyer sur play :

o Le niveau de difficulté du film : Ce dernier se déduit rapidement par le type du film. La plupart des films d’animation pour enfants sont généralement simples. Cependant les films plus profonds de ceux qui font gagner des Oscars aux acteurs seront plus challengeant à comprendre sans sous-titres.

o Le vocabulaire cible que vous voulez apprendre : En fonction de l’histoire, le vocabulaire utilisé durant le film variera. Par exemple, un film policier et un film comique n’utiliseront pas les mêmes mots car ils ne parlent pas de la même histoire.

o N’oubliez pas de vous amuser 🙂 Vous apprenez une langue oui mais plus vous apprécierez votre apprentissage et plus ce sera facile de retenir des notions que vous verrez dans le film.

• Regarder un film en italien comme vous le feriez dans votre langue maternelle

Ce que j’entends par cela est : sans préparation ou juste celle de préparer du popcorn… En effet, si vous ne connaissez pas l’histoire du film, il vous sera plus difficile de le suivre. La meilleure chose à faire donc est de faire quelques recherches sur le film avant de le voir. Quels sont les acteurs ? De quoi parle le film ? Quel type de contexte s’agit-il ? Vous pouvez retrouver la plupart de ces informations en visitant allociné. • Se laisser submerger

Les films ça peut être long… très long… Pour apprendre l’italien, vous aurez sans doute envie de voir des films phares du type “la dolce vita” de Federico Fellini qui fait presque 3 heures… Si bien sûr vous pouvez vous lancer dans l’aventure, un si long moment vous demandera beaucoup d’énergie pour vous concentrer sur ce qui est dit dans le film. Cela pourra vous paraître difficile et épuisant au bout d’un

moment. Et c’est normal. 🙂 L’on ne demande pas à un enfant de 6 ans de lire du Victor Hugo, n’est-

ce pas ? Mais alors comment faire ? SEGMENTER 🙂

N’en déplaise aux amoureux du cinéma, c’est la meilleure solution pour vous qui souhaitait apprendre l’italien. En effet, si vous regardez le film une scène après l’autre vous serez à 100% frais et présent

pour apprendre l’italien. Petit à petit vous verrez tout le film. 🙂

• S’attendre à tout comprendre tout de suite

J’avoue être tombée dans le piège 🙂 Au début de mon apprentissage de l’italien, je voulais TOUT comprendre TOUT de suite. Impatiente, je m’agaçais rapidement car bien sûr ce n’était pas le cas. Et c’est normal. Pour ne pas tomber dans le piège, ne vous mettez pas une pression trop importante. Ayez confiance ! Vous comprendrez au moins une partie du film. Si ce n’est pas l’intégralité ça ne fait

rien. Vous êtes dans un process d’amélioration. Qui dit amélioration dit étapes à franchir 🙂

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• Regarder passivement le film ne vous aidera pas à apprendre l’italien

La plupart du temps lorsque vous regardez un film vous n’interagissez sans doute pas avec. Autrement il y a de grandes chances que les gens avec lesquels vous regardez un film ne veuillent plus le faire avec vous :O …

Cependant quand vous apprenez une nouvelle langue, vous devez être plus actif que les fans de cinéma. Si regarder un film vous aide dans votre compréhension orale, il est bon d’en faire un peu plus pour maximiser votre apprentissage. Pour cela interagissez oralement en devinant ce que les personnages vont dire. Améliorez votre compétence à l’écrit en gardant un carnet avec vous dans lequel vous pouvez noter les phrases et mots que vous n’avez pas compris ou qui vous ont plu.

• Regarder à tous les mots qui vous sont inconnus pour être sûr d’apprendre l’italien parfaitement

Lorsque vous voulez apprendre l’italien, vous vous direz sans doute : “Mince, je ne connais pas ce mot… et ce mot non plus… oh zut et celui-là il veut dire quoi ?” Si vous améliorez grandement votre vocabulaire, vous risquez au contraire de ne pas profiter pleinement des dialogues pour travailler votre compréhension orale. La solution ici est donc de ne pas se concentrer sur chaque mot individuellement MAIS plutôt sur le sens général. Si vous ne comprenez pas un mot, devinez le sens de ce dernier en réfléchissant au contexte de la scène.

• Avoir les yeux rivés sur les sous-titres pendant tout le film

Les sous-titres c’est magique. 🙂 Si vous ne comprenez pas une langue vous pouvez toujours lire les sous-titres et savoir de quoi parle le film. Cependant, pour les apprenants de l’italien ne faire que lire les sous-titres c’est dangereux car vous lirez plus que vous ne chercherez à comprendre oralement ce

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qu’il se passe. La solution est donc de regarder une scène avec les sous-titres puis la même scène sans. Autre solution, vous pouvez lire très rapidement les sous-titres pour avoir une idée de ce qu’il va se passer puis vous concentrer sur l’action en cours. Ainsi vous ne perdrez pas l’essentiel : regarder le

film. 🙂

• Apprendre l’italien seul

Si regarder un film est à première vue une activité solitaire, apprendre une langue comme l’italien a au contraire un but opposé. Vous voulez pouvoir interagir avec des natifs, n’est-ce pas ? Pourquoi ne pas rejoindre des groupes sur le net via des forums ou des groupes Facebook ? Une autre solution est d’organiser un évènement autour du visionnage d’un film avec des natifs et d’autres personnes qui

souhaitent apprendre l’italien. Ainsi vous travaillerez aussi votre expression orale 🙂

La liste des 30 films à voir pour vous aider à apprendre l’italien

Je vous propose à présent de voir la liste des meilleurs films en italien. Je les ai classés par type de public et par genre pour faciliter votre recherche. En cliquant sur chaque nom, vous serez directement redirigé vers movieplayer qui vous apportera des informations en italien sur les films listés ET la

possibilité de voir en streaming le film. 🙂

Apprendre l’italien pour les enfants et les adultes au niveau débutant

Voici une liste de 15 films qui vous permettront de commencer en douceur à apprendre l’italien grâce à des films accessibles avec du vocabulaire facile fait pour les enfants.

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• Film d’animation pour enfant

o Fantasia 125 minutes o Porco Rosso 94 minutes o Alice nel paese delle meraviglie 75 minutes o Robin Hood 83 minutes o Biancaneve e i sette nani 83 minutes o Bambi 70 minutes o Cenerentola 74 minutes o La carica dei 101 79 mintes o Pinocchio 88 minutes o Dumbo 64 minutes o Le 12 fatiche di Asterix 82 minutes

• Fantastique :

o Il mago d’Oz 101 minutes o E.T L’extraterrestre 115 minutes o Ritorno al futuro 118 minutes

• Film d’aventure

o Piramide di paura 109 minutes

Pour un public avec un niveau intermédiaire à plus avancé

Pour ceux qui souhaitent voir des films avec un vocabulaire plus riche, je vous propose une liste de 15 autres films classés par genre. Vous pouvez cliquer sur chaque titre pour être redirigé vers mediaplayer

afin d’avoir des informations sur le film en italien et accéder au streaming 🙂

• Drame :

o La dolce vita 174 minutes o Nuovo cinema paradiso 155 minutes o La vita è bella 116 minutes o La grande Bellezza 142 minutes o Umberto D. 89 minutes o Rimetti a noi i nostri debiti : NETFLIX création originale en italien

• Comédie :

o Profumo di donna 103 minutes o C’eravamo tanto amati 124 minutes o Matrimonio all’italiana 102 minutes o Lo chiamavanò Trinità… 115 minutes

• Western :

o Il buono, il brutto e il cattivo 161 minutes o Per un pugno di dollari 99 minutes o Il grande silenzio 105 minutes

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• Horreur :

o Suspiria 99 minutes o La maschera del demonio 87 minutes

L’article vous a plu ?

J’espère qu’au travers de cet article j’ai réussi à vous motiver à apprendre l’italien en vous amusant grâce aux films. Quels sont les films que vous avez vus en italien ? Avez-vous d’autres trucs à partager avec nous pour apprendre l’italien grâce aux films ?

En complément, je vous encourage à lire cet article sur l’un des moments préférés des Italiens : l’aperitivo. J’y partage avec vous toute l’histoire de ce moment magique ainsi que 5 recettes d’antipasti

et de cocktail dont le fameux spritz. 😉 À très bientôt les amoureux de l’Italie.

Sandrine

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Article 3 : Par Oum du blog « Le blog des mamans »

Apprendre l’anglais en s’amusant

J’ai décidé de vous partager différents jeux qui pourront aider nos enfants à

apprendre l ’anglais ou une autre langue en s’amusant ! Pour par ler une langue, i l

faut bien sûr apprendre le vocabulaire . Mais r ien de plus barbant que de mémoriser

une feuil le remplie de mots de vocabulaire. A travers certains jeux ludiques cette

étape primordiale pour l ’acquis it ion d’une langue pourra être franchie aisément par

nos chérubins, et tout cela de manière naturelle dans la jo ie et la bonne humeur.

Jeu « Touch your body »

Ce jeu a pour but d’enseigner et de fa ire mémoriser les parties du visage ou du corps. Vous avez 2 versions.

1. Pointez du doigt une partie de votre visage ou de votre corps , et demandez- lui « What’s this, qu’est -ce c’est ? ». Pour les premières fois , donnez vous -même les réponses à l ’enfant af in qu’ i l les ass imile . Après plusieurs sessions, i l commencera à mémoriser et à répondre de lui -même.

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1. Demandez en anglais ou dans la langue voulue à l ’enfant de toucher une part ie de son visage ou de son corps. “Touch your…eyes, f ingers, hand, nose, eyes, eyebrows, hair , mouth, teeth, tongue, ears, shoulder, foot , arm, leg, etc.”.

Jeu « Trouve l’objet »

Nommez en anglais (ou dans la langue chois ie) u n objet qui se trouve dans la pièce . L’enfant doit deviner de quel objet i l s ’agit .

Jeu de couleurs

Montrez-lui un objet en nommant sa couleur . Puis demandez- lui de vous montrer d’autres objets de la même couleur en anglais (ou dans la langue choisie) à chaque fois qu’i l en trouve un.

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Les livres bilingues

Cette méthode est destinée aux tout pet it car avant de savoir l ire , les enfants aiment quand on leur l it des l ivres et i ls apprécient également les imagiers . C’est le moment le leur faire ré péter les mots en anglais.

« Dessiner c’est gagner »

L’enfant doit deviner en anglais (ou dans la langue choisie) ce que vous avez dessiné et doit le dire ; s ’ i l ne le connait pas, i l enr ichira son vocabulaire d’un nouveau mot.

Si l ’enfant sait l ire, vo us pouvez écrire le mot et lui enseigner comme ce mot s’épelle et quel le est sa bonne prononciation.

A son tour, l ’enfant pourra aussi dessiner à CONDITION de connaître le mot en anglais .

I l n’y a pas besoin d’être un artiste ( la preuve) :

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Les jeux de rôle

Jouer à la marchande, au docteur, au cuisinier, au ménage, à la maman, bref tout ce que vous voulez mais en anglais (ou dans la langue choisie) .

La marionnette

Prendre une poupée ou une peluche et jouer à la marionnette en fa isant une conversation en anglais. Vous prof iterez alors pour enseigner des actions “walk ing, running, laying down, sleeping, eating, dr inking, etc.”

Si vous souhaitez connaître tous les avantages à parler une seconde langue à votre enfant, vous pouvez consulter mon artic le Parler une seconde langue à son enfant .

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Article 4 : Par Sarah du Blog « Ma maison de mes mains »

Combien ça coûte ?! Une idée fun pour apprendre les maths (mais pas que)

Apprendre, surtout de manière scolaire, ça peut vite devenir chiant. Alors qu’il existe pleins de manières, dans la vie de tous les jours, d’apprendre en partant de ce que l’enfant aime, de trucs concrets. D’apprendre par plaisir quoi ! Dans cet article je vais justement vous partager une idée pour

favoriser cela 😉

“Maman, je veux ça !”

Tout a commencé avec ce catalogue :

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Oui, j’adore prendre ce genre de catalogue parce que ça me fait rêver

(Je tiens à préciser que cet article n’est pas du tout sponsorisé par Playmobil, c’est juste pour illustrer

ce que j’ai fait avec les enfants 😉😁)

Mon fils, qui le feuilletait depuis plusieurs jours est arrivé en me disant qu’il voulait ça :

La totale, hein, évidemment

Moi, dans ces cas-là mon premier réflexe c’est de lui dire que c’est trop cher, pas écolo, etc… En bref, je lui dis non.

Et puis ce jour-là, je me suis dit : “Génial, en voilà une bonne idée !!“

Idée !

Mais quelle idée me direz-vous ?

Eh bien, tout simplement de chercher avec lui

• Le prix de chacun des éléments (sur internet) • Les écrire sur une feuille • Et puis de les additionner pour savoir combien coûte l’ensemble !

Et finalement compter dans ses tirelires s’il a assez d’argent pour se l’acheter. Je précise que je leur donne de l’argent de poche.

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J’ai trouvé ça top parce que c’est un truc qui le motive vraiment et que ça va le faire travailler pleins

de compétences différentes ! Sans même s’en rendre compte 😉

Réalisation !

Bon, j’avoue que ça a été un peu long parce qu’il y

avait beaucoup d’éléments. 😅 Du coup, on l’a fait en 2 fois.

1ère étape :

J’ai cherché les prix sur internet et lui écrivait le nom de l’élément + son prix à côté. Je l’ai laissé écrire tout seul au maximum, en l’aidant juste pour les sons qu’il ne savait pas écrire.

Voilà le résultat :

Là, j’ai clairement hésité à noter les centimes ou à

arrondir. Et puis finalement j’ai décidé de les garder,

à vous de voir ce que vous préférez.

2ème étape :

On a additionné, élément par élément pour avoir le prix total.

C’est cool parce que ça nous a permis de voir les additions en colonne et le principe de le retenue (même si je vois bien qu’il n’a pas encore compris. N’empêche qu’il l’a vu et que ça va sûrement l’aider à intégrer)

C’est là qu’il a lâché et on a fait une pause. 👍

Et c’est lui qui m’a demandé de continuer pour finir !

😄

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Voilà donc tout notre calcul avec le résultat final (approximatif en fait, parce que le prix variait d’un

site internet à l’autre 😕😅)

3ème étape :

Nous avons compté combien il avait déjà d’argent dans ses tirelires.

Et comme moi j’aime les maths (!) et qu’il avait déjà bien travaillé (il est dans son année de CP pour préciser donc il est en train d’apprendre tout ça) j’ai calculé combien il lui manquait et dans combien de temps il aurait la somme complète (et je lui ai expliqué rapidement comment je faisais, introduisant

ainsi la soustraction et la division 😉)

Je vous aurais bien mis le résultat final mais je ne sais pas où j’ai mis la feuille où je l’ai noté 😅

Points positifs +++

Ce qui est absolument génial avec cet “exercice” c’est qu’il a été vachement motivé du début à la fin. D’ailleurs il tient beaucoup à sa feuille avec ses notes, il la range bien dans un coin, pour être sûr de la retrouver.

Il a écrit et calculé avec plaisir alors que d’habitude, ce n’est pas si easy.

Et ça développe pas mal de compétences, liées à son niveau (CP donc) mais pas que :

• Découverte de la recherche sur internet • Ecriture des lettres en majuscules • S’entraîner à écrire des mots tout seul en écoutant les sons qui le compose • Lecture (un peu) pour relire ce qu’il a écrit • Découverte des centimes • Addition en colonne • Utilisation des retenues • Passage à la centaine • Voir l’intérêt des maths dans la vie de tous les jours • Voir l’intérêt de l’écriture aussi • Découverte de la division • Apprendre à compter l’argent – comprendre les pièces, les billets, les centimes • Comprendre l’intérêt d’économiser • …

Alors je ne dis pas qu’il maîtrise tout ça, on est bien d’accord !

N’empêche que c’est un super exercice pour développer au moins toutes ces compétences, tout en s’amusant et en faisant un truc qui motive vraiment l’enfant (puisque c’est lui qui veut ces jouets).

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Et puis c’est un exercice top pour différents âges. Parce que je vous ai parlé de mon fils en CP, mais ma fille a voulu le faire aussi !

Avec elle (MS) ça a été beaucoup plus rapide parce qu’elle ne voulait que 2 trucs. Mais ça a été chouette parce qu’elle s’est aussi entraînée à écrire les lettres et les chiffres et c’est déjà top pour son niveau ! D’ailleurs elle les maîtrise bien depuis et a un peu plus envie d’écrire.

Et j’ai une amie qui fait ça régulièrement avec son fils de 8/9 ans !

Comme quoi, ça marche à tous âges 😄👍

Reconnaissons que pour développer les maths en particulier, c’est top ! Au moins on voit l’utilité

d’apprendre à calculer 😉

C’est d’ailleurs cette amie qui m’a donnée l’idée de cet exercice à faire. Elle a de supers bonnes idées pour rendre les apprentissages amusants. Si vous voulez en savoir plus sur comment elle s’organise en IEF, vous pouvez (re)voir l’interview que j’avais fait d’elle dans cette vidéo.

Donc voilà, je trouve que c’est un exercice assez simple à mettre en place et qui intéresse tout de suite l’enfant et le motive. Perso j’ai beaucoup aimé faire ça avec lui/avec eux deux.

C’était cool et on était tous très contents !

Je vous invite à le reproduire chez vous si ça vous parle 😄. Et amusez-vous bien !

Bonus écologie !

Et j’ai fait cet exercice parce que j’étais ok pour qu’il achète tout ça (évidemment). Mais je ne suis quand même pas trop fan de l’achat en neuf, on est d’accord que ce n’est pas top pour la planète.

Du coup j’en ai profité pour chercher de temps en temps ces éléments sur Le Bon Coin. Je viens d’ailleurs de trouver le commissariat à 30€ au lieu de 60.

Je trouve que c’est aussi un bon moyen d’introduire le fait d’acheter d’occasion auprès de mon fils, en lui expliquant que c’est mieux pour la planète, que le jouet est en aussi bon état que le neuf. Et qu’en

plus ça lui permet d’économiser de l’argent 😄👍 Et des nouveaux apprentissages !! 😉🌞🥳

Je vous l’avais dit, c’est vraiment complet comme exercice !

(Il faut juste avoir encore de la place dans la maison pour accueillir de nouveaux jouets si on va jusque-

là… 🤔. Remarquez, c’est aussi l’occasion de leur apprendre à trier leurs jouets, ranger et se

débarrasser de ceux qu’ils n’utilisent plus – pour faire de la place pour les nouveaux 😄👍)

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Article 5 : Par Sarah du Blog « Ma voix dans la musique »

Comment progresser ET garder sa motivation en musique ? En s’amusant !

J’ai déjà observé, dans bien des domaines de ma vie, que lorsque je me lance dans un domaine

Depuis que j’ai décidé de développer le chant et la musique dans ma vie, je me suis très souvent heurtée à ce problème : pour m’améliorer et gagner en niveau (ce qui est indispensable, on est d’accord !) j’ai besoin de travailler, m’entraîner, faire des exercices, apprendre le solfège (un minimum), faire des gammes, etc… Bah oui, je ne vais pas devenir pro sans rien faire ! Sauf que ça, moi ça me fait chier ! Même si ce sont des étapes indispensables pour progresser.

Cela rentre en compétition avec le fait de me faire plaisir. Parce qu’il est nécessaire de ne pas oublier mon objectif là-dedans et surtout pourquoi je fais tout ça : parce que ça me fait plaisir ! Parce que je kiffe faire de la musique et pouvoir chanter des morceaux tout en m’accompagnant avec un instrument ! Parce que je me sens à ma place quand je fais de la

musique (bon, pas toutes quand même 😉) Et je trouve donc que pour vraiment avancer sans se dégoûter (je parle d’expérience) c’est vital de savoir équilibrer les phases de travail (plus chiantes) avec les phases de fun ! Et je vais te partager comment je fais dans cet article !

. Quand je dois “travailler”…

(Pour apprendre une technique, apprendre un nouveau morceau, réussir à chanter cette notre, avoir un bon son, etc…)

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Oui, il y a donc des parties plus chiantes que d’autres dans l’apprentissage de la musique mais c’est possible de les rendre plus fun, ou tout du moins de ne plus les voir uniquement comme des trucs

chiants 😉

Mon objectif et le plaisir que j’éprouverai de l’avoir atteint

L’important ici c’est de se connecter à mon objectif et à quel point il est important pour moi.

Quand je galère à apprendre un nouveau morceau, ou à retenir des accords, reconnaître c’est quelle note sur la partition, etc… je me rappelle que c’est pour un objectif plus grand. Je me connecte à mon envie profonde de faire de la musique. Et forcément, faire de la musique ça passe par avoir quelques

notions de solfège 😉😜🤣

Mes victoires passées !

Je me connecte aussi au plaisir que j’éprouve maintenant à savoir jouer/chanter certains morceaux.

Certains de ces morceaux, j’ai galéré à les apprendre. Je me suis arrachée les cheveux. J’ai déprimé parce que je ne comprenais rien à la technique vocale et/ou je n’arrivais pas à la reproduire (j’y arrivais 1 fois sur 4). J’avais beau jouer 50 fois la même chose, je n’arrivais pas à enchaîner les notes à

l’accordéon. Etc. 😅😉 Mais j’ai réussi ! Et aujourd’hui je suis super fière de moi de jouer ces morceaux. Je suis super contente quand je comprends des nouveaux trucs en chant/technique vocale, parce que ça y est, après 2 ans de cours, je viens de comprendre un truc qui jusque-là m’échappait.

Je suis ravie quand je vois que j’enchaîne des notes à l’accordéon, dans des nouveaux morceaux, presque sans réfléchir.

Je jubile quand j’arrive à transformer des accords (pour diminuer la tonalité d’un morceau) et que j’arrive à les jouer presque sans réfléchir maintenant. Je connais plusieurs accords par cœur au piano maintenant, tu te rends compte ??! (Même en les jouant en renversé, alors que franchement, le jour où ma prof m’a expliqué ça, je l’ai regardé comme si elle me parlait chinois !!)

… 😃🤩

Donc, pour mettre du fun dans les phases ennuyantes :

▪ Me reconnecter à mon objectif/ma vision finale et voir que j’ai besoin de faire ça pour l’atteindre. Ça va déjà être plus cool ! Et puis surtout, quand je fais ça je me rappelle à quel point la musique c’est important pour moi (oui, oui, on peut l’oublier !!)

▪ Me rappeler toutes mes victoires passées ! Voir que j’y suis déjà arrivée (parce que si j’ai déjà réussi, ça augmente ma confiance que je peux le refaire…. Et je le refais plus vite

souvent 😄👍💛). Franchement ça fait du bien et ça rebooste.

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Du fun dans mon apprentissage !!

Bon maintenant je t’avoue quand même que ces parties de “travail” ne sont pas mes préférés, même

avec les astuces que je viens de te donner ! 😉

Pour vraiment garder intacte ma motivation et avoir envie de continuer à avancer, à progresser, je ramène beaucoup de fun dans mes apprentissages. De 2 manières :

1. Des moments de plaisir pur

Là c’est très simple, je t’invite à te programmer des moments où tu vas juste kiffer ce que tu fais !

Par exemple :

▪ Jouer un morceau que tu maîtrise déjà (c’est à dire sans te demander comment améliorer tel ou

tel truc 😜). Tu peux même le jouer plus fort, chanter plus fort, moins fort, tester des variations qui te font plaisir…

▪ Ecouter une chanson qui te plait, monter le son et chanter à tue-tête par dessus (sans te blesser

quand même, attention à ta voix ! 😉😁). Tu sais, chanter pour le plaisir quoi, sans te poser de question !

▪ Mettre une chanson que je ne chanterais jamais dans mon répertoire mais que j’aime quand même en chanter dessus !

▪ Pourquoi pas même utiliser ton micro 😉 (chanter dans un micro c’est vraiment fun !) ▪ Danser en chantant ! ▪ Je teste de faire des variations que je n’ose pas faire autrement (tester de l’impro quoi, on s’en

fout ici puisqu’il n’y a pas d’enjeu) ▪ Chanter dans la voiture, sur un cd ou la radio

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▪ Prendre une chanson que tu connais et la chanter en essayant pleins de voix différentes (voix pleine, de tête…), tester des variations vocales, etc… qui n’ont rien à voir avec la chanson, on s’en fout, juste pour tester et t’amuser

▪ Etc…

En fait, t’accorder tous ces moments où tu te reconnectes à ton plaisir profond de chanter et de faire de la musique. Des moments où tu ne te prends pas du tout la tête et où tu te fiches bien du résultat

que ça donne (pour ceux qui écoute 😉). Où tu n’es pas là pour progresser mais bien pour kiffer à 1000%. L’important ici c’est de de lâcher à fond et de faire ce qui te fait pleinement plaisir. Même si tu joues trop fort ; ou tout doux. Même si tu hurles et que c’est moche. Même si tu fais un son de voix qui ne va pas du tout avec la chanson. Même si ce n’est pas une chanson de ton répertoire/style musical habituel. On s’en bas-les-flancs !!! Tu fais ça pour reprendre contact avec ton plaisir pur, et te rappeler que la musique… tu kiffes ça ! Si tu fais ça régulièrement, tu risqueras moins de vivre ce que j’ai vécu il y a 6/8 mois : te demander pourquoi tu fais de la musique déjà ?! Sans parler du gros ras-le-bol et de la démotivation qui va avec.

2. Travailler des morceaux que tu adores

Et bien sûr, je tiens à te dire que c’est possible de combiner les 2 : travail + kiffe. Et c’est d’ailleurs ce que je te conseille de faire vivement dès maintenant ! Ce que j’entends par là, c’est que je vais travailler mais pour apprendre des chansons et des morceaux

qui me font vraiment plaisir, que j’aime ❤❤❤. Donc le travail est dur et me fais chier, mais comme ce sont des morceaux qui me plaisent vraiment je suis vachement plus motivée ! J’ai envie d’y arriver. Et plus j’avance plus je suis heureuse de voir que je maîtrise ces morceaux !

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Là c’est important d’être au clair avec toi-même, ce que tu veux et prendre ta responsabilité. Il y a de grandes chances pour que les morceaux qui te plaisent ne soient pas les plus faciles qui existent. Et donc que ton prof te dise que vous les verrez plus tard. Moi perso je te conseille de les faire quand même. Trouve un moyen. Demande à ton prof, cherche sur internet, etc…

Parce que moi j’ai déjà testé :

▪ Un morceau simple mais que je n’aime pas, je n’ai pas envie de le travailler ! (J’utilise alors les

techniques vues en 1 mais franchement, je fais vraiment le minimum 😉) ▪ Un morceau compliqué mais qui me fait vraiment vibrer, je vais tout donner pour y arriver

!! Parce que je sens le plaisir et la joie dès que je joue seulement les premiers accords. Parce que plus je le maîtrise plus je suis heureuse. Et parce que je sais que ce morceau je vais le rejouer encore et encore et encore, et qu’il rejoindra même ce que je fais par pur kiffe (point précédent) –

et certainement mon répertoire pro 😉😍🤩.

En gros un morceau que je n’aime pas, même simple, il y a peu de chances pour que je le rejoue un jour, et certainement pas dans ma carrière. Je le prends pour ce que c’est : un entraînement.

Ce qui n’est pas le cas d’un morceau qui me fait kiffer. Même si je galère pour l’apprendre parce que

c’est vrai qu’il est un peu dur pour mon niveau actuel 😅. Mais je suis tellement motivée que ça

compense largement 😁 C’était le cas de ce morceau : (début de la chanson à 1’15) Il est vraiment dur, il m’a bien fallut 3-4 semaines pour pouvoir le jouer sans fautes – et encore, j’en fais encore régulièrement ! Mais je n’ai rien lâché parce que je l’aime vraiment et je le joue régulièrement pour le maîtriser parfaitement. D’ailleurs ça vient de plus en plus et je suis très contente

!! 😃🌞🌼

Pour résumer : remets du fun dans tes apprentissages !!

Pour avancer dans la musique je divise mon temps en 3 parties :

▪ Du travail pur : je réfléchis, j’apprends, je m’entraîne ▪ Du plaisir/kif pur : là je me lâche, sans réfléchir, sans chercher à faire bien, sans même penser à

mon objectif. ▪ Du travail pour maîtriser un morceau qui me fait kiffer : je mets le travail au service de ce que

j’aime

Pas forcément en trois parties égales hein. Le travail, j’en fais tous les jours, avec une très grande dominance pour le point 3. Et le point 2, le kiff pur, je dois plutôt le faire 1 fois par semaine en moyenne je dirais, pas plus. Et donc voilà, je te conseille très fortement de (re)mettre plus de fun dans tes apprentissages, ça va

être tellement plus agréable pour avancer 😉

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Article 6 : Par Caroline du Blog « Happy Kid Safari »

Les jeux d’aventures pédagogiques ou comment apprendre en s’amusant

Chez Happy Kid Safari on découvre comment apprendre en s’amusant à l’aide de jeux d’aventures

pédagogiques. Car c’est quand un enfant s’amuse et joue qu’il développe son imagination, sa

créativité, sa réflexion et donc son langage. Jusqu’à environ 6 ans, jouer est l’activité la plus importante

pour l’aider à se développer et apprendre.

Si vous souhaitez savoir comment une chasse au trésor ou un escape game aide votre enfant à

apprendre mieux et plus vite, lisez cet article. Car nous allons voir ensemble comment chacune des

quatre étapes d’un jeu d’aventures développe différents niveaux d’apprentissages.

Etape 1 : le lancement du jeu d’aventures

Une fois que la chasse au trésor est prête (indices et trésor cachés), les adultes organisateurs doivent

lancer le jeu d’aventures. Et donc lire l’intrigue puis en expliquer les objectifs et la finalité aux enfants.

C’est ici le démarrage de l’apprentissage. Car les enfants doivent se concentrer, écouter et intégrer.

Ils sont excités à l’idée de démarrer la chasse au trésor rapidement, et donc tout est propice à ce que

leur cerveau cogite vite et bien.

Lors du lancement du jeu, on explique aussi les règles qu’il va falloir respecter tout au long du safari

pédagogique.

Dès le lancement du jeu d’aventures, les enfants apprennent l’écoute, la concentration et le respect

des règles, tout en s’amusant.

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Etape 2 : La recherche des indices

La première chose que les enfants doivent faire dès

que le jeu d’aventures lancé, c’est de chercher les

premiers indices. Ils doivent alors apprendre le travail

d’équipe et voient comment s’organiser pour

s’entraider. Et aussi, ils découvrent comment être le

plus efficace ensemble pour trouver les indices le plus

rapidement possible. Ils se rendent de ce fait à

l’évidence que ce n’est pas la compétition mais la

cohésion qui va les aider.

Pendant la recherche des indices, les enfants

apprennent l’entraide et l’efficacité en s’amusant.

Etape 3 : La résolution des énigmes pédagogiques

En résolvant des énigmes, l’enfant va faire des

expériences et trouver des solutions à des problèmes. Il

va mettre en place sa réflexion. Il va inconsciemment

apprendre à cogiter rapidement et à s’armer de

patience. Car toutes les énigmes ne sont pas simples à résoudre. Elles peuvent même parfois s’avérer

être de vrais casse-têtes. Et elles s’enchainent.

Dans un safari Happy Kid par exemple, on peut avoir jusque 10 énigmes à résoudre. Alors sans

persévérance, l’enfant ne pourra pas déficeler l’intrigue.

Par ailleurs, de nombreuses énigmes demandent à l’enfant de faire fonctionner son esprit logique.

Trouver un code secret en décelant une suite logique de chiffres. Repérer le meilleur chemin pour

arriver à l’indice en évitant des obstacles. Déduire un coupable suite à plusieurs descriptions qui

s’enchainent…

Dans un jeu d’aventures, lorsque l’enfant résout des énigmes, sa réflexion, sa patience et son esprit

logique se mettent en marche.

Etape 4 : Le recoupement des réponses pour trouver l’information finale

La dernière grande étape avant d’accéder au trésor est bien sûr de résoudre l’intrigue initiale à l’aide

des différents indices récoltés tout au long du jeu d’aventures. Il faut alors regrouper les indices, les

analyser et en faire une synthèse logique pour trouver la solution finale.

La dernière étape avant la quête du trésor aide l’enfant à développer son esprit logique et sa

capacité d’analyse et de synthèse.

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Etape 5 : La recherche et le partage du trésor

L’ultime étape d’un jeu d’aventures, et nous pouvons le

dire, la plus attendue, est bien le TRESOR. Car ce qui

motive le plus l’enfant à résoudre toutes les énigmes en

un temps record, et à ainsi faire tourner son cerveau

plus vite que jamais, c’est bien ce trésor.

Nous en avons parlé plusieurs fois sur ce blog, l’enfant n’a

pas besoin d’avoir des bonbons et d’autres sucreries pour

être heureux de recevoir ce trésor. Vous pouvez d’ailleurs

jeter un œil aux 10 idées de trésor utiles pour vos jeux

d’aventures qu’Happy Kid Safari vous propose.

Rechercher un trésor amène l’enfant à un état de

stimulation immense. Toute la « pression » qu’il a

éprouvée (positivement) pendant le jeu d’aventures

retombe peu à peu. Il doit donc gérer ses émotions pour

trouver le trésor rapidement.

Une fois ce trésor dans les mains, il doit le répartir avec sa fratrie ou ses amis. Et encore une fois, ce

n’est pas toujours une mince affaire. Car il veut forcément le même cadeau que son voisin. Il faut alors

apprendre le partage. Et être content de rendre quelqu’un d’autre heureux. Même si soi-même on n’a

pas forcément reçu le cadeau que l’on préférait initialement.

A la fin d’un jeu d’aventures va donc devoir gérer ses émotions et partager le trésor.

Pour conclure…

Vous l’aurez compris : une chasse au trésor ou un escape game est une mine d’or pédagogique. Car

un enfant va s’amuser et

- Apprendre l’écoute, la concentration, le respect des règles

- Apprendre l’entraide et l’efficacité

- Faire fonctionner sa réflexion, sa patience et son esprit logique

- Développer sa capacité d’analyse et de synthèse

- Gérer ses émotions et apprendre le partage

Enfin, lorsqu’un enfant s’amuse, il se sent bien et joyeux, ce qui rend les apprentissages plus faciles.

Jouer lui permet donc de développer une attitude positive par rapport à l’environnement qui l’entoure.

C’est d’ailleurs pour toutes ces raisons que le jeu révolutionne depuis quelques années maintenant

l’apprentissage scolaire.

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Remerciements

Je remercie chaleureusement Emeline, Sandrine, Oum, Sarah et Sarah d’avoir

participé à ce premier carnaval d’articles. Je les remercie également pour la

richesse de leurs articles, et le contenu de cet ebook qui est une vraie mine d’or.

Je suis persuadée que ce condensé d’idées et conseils vous sera utile pour aider

vos enfants à apprendre en s’amusant, comme nous le faisons dans les jeux

d’aventures Happy Kid Safari.

Je terminerai cet ebook par un proverbe persan qui me parle beaucoup :

« Qui est joyeux d’apprendre deviendra maître un jour ».

Caroline