cadeaux de - maxifootogcn.maxifoot.com/journal22.pdf · michael gross, la longévité des plus...
TRANSCRIPT
2
Rega’de, un hélicopte’e
CADEAUX DE NOËL
PAR ERIC MORENA
Oyez, oyez, LE BARON va vous parler!
PAR ERIC MORENA
envahissante et un logis où la peinture
manquait, pour rejoindre Anne – Sophie et
partager un appartement dont un des
placards recelait la sainte relique. Charmé
par la bonne chair, son choix se serait,
semble-t-il t arrêté à la disparition de sa
propre cocotte dans le dynamitage du
bureau de poste d‟Ajaccio orchestré par
Julien, son frère, et ses amis de la Cúncolta
à savoir Mangione, gardien de but à l‟OGC
Nice et portier au MACAMA.
On pouvait lire le lendemain de l‟attentat
sur les murs de l‟appartement rue de
Maubeuge : “ e statutu puliticu ” signature
éloquente d‟un étudiant en droit ayant raté
sa vocation de traducteur.
Lionel BUSSON a de son coté,
progressivement sauté le pas car les intérêts
de plusieurs de ses emprunts l‟empêchaient
de se permettre l‟achat tant espéré de cet
outil.
C‟est en hypothéquant les fameux slips
kangourous, qu‟il revêt uniquement lors
des matchs en première, auprès d‟une
association fétichiste du cours de
Vincennes, qu‟il arriva au bout d‟un an, à
s‟en approprier une. Tous les éléments sont
donc réunis pour que le mâle fertile qu‟il
représente assure la pérennité de son sang
bleu d‟irlandais et de sa chevelure de blond
vénitien.
Enfin Bruno NABET, dans sa retraite
rhodanienne a depuis longtemps dépassé ce
stade en choisissant de se repaître 14 fois
par semaines dans les bouchons
Lyonnais.La conclusion voudra que la
liesse de ces fêtes passées ne soit pas sans
lendemain, pensez aux attardés dans le
besoin et faîtes un bon geste, offrez une
cocotte à Jean-Marc.
La plupart des gens qui s‟installent dans
leur propre chez soi, ne ressentent pas
vraiment cette indépendance gagnée à la
sueur de leur front et stigmatisée par une
joie parentale. Dans les premiers temps, ils
se sentent encore dépendants et ce n‟est
souvent qu‟après le premier NOËL que
cette rupture est réellement consommée.
La cocotte minute, symbole de la matrone
italienne, offerte pour leurs étrennes les
responsabilise en tant que futur chef de
famille. Monique HOSPITAL soulignait
ainsi le fait que cet ustensile de cuisine soit
primordial pour pouvoir cuisiner, mijoter et
apprécier de faire la tambouille et, en mère
accomplie, à offert cet outil à son plus
grand fils.
Ce dernier d‟ailleurs, n‟ayant pas
interrompu sa vie dissolue avec le
réfrigérateur continue à vivre dans le péché
en partageant un appartement avec une
femme âgée, prénommée Valérie.
L‟exemple de Nicolas HOSSARD est tout
aussi probant car il a lui aussi avoué
posséder une cocotte depuis qu‟il réside
dans son six pièces du boulevard St
Germain, auparavant occupé par Alain
Juppé. Nicolas appartient à ce type de
personnage, tel Meursault (pas le vin de
bourgogne), œuvrant dans l‟irrésolution et
l‟oisiveté. Paradoxalement il a décidé de
vivre dans l‟union mais est incapable de
choisir sa douce entre Eva, Anita, Muriel,
Anne, Eléonore, Milène, Ruth, Anne
Catherine, Charlotte, Christelle, Igor,
Ursula, Elodie et Rita. La cocotte qu‟il
possède, tel un viatique, conforte cet
attentisme et son rejet de l‟immédiat et en
fait un parfait copain chez qui on peut
vomir.
Pour sa part, Thomas SCHWARTZ a
sacrifié son quotidien dévoué à une famille
Telle celle d‟Émile Zatopek ou de
Michael GROSS, la longévité des
plus grandes carrières ne repose que
sur la maîtrise parfaite de l‟hygiène
de vie, un talent indiscutable et la
prise raisonnée de substances
inscrites au registre des produits dits
dopants.
Pour ceux qui n‟ont ni le talent,
aucune saine maîtrise de leur corps et
aucun accès aux réseaux de
distribution de substances prohibées,
une légitime interrogation subsiste.
C‟est auprès de Philippe Dufaure de
Citres appartenant à cette catégorie
de phénomènes que nous avons
enquêté.
Ce stratège nous dévoile les biais
nécessaires à sa continuelle présence
au firmament des équipes du SCUF.
-Il précise qu‟il est primordial de
connaître le langage des avants pour
discuter avec “ un avant qui bave ”
et lui proposer d‟être son ami, en lui
révélant l‟identité de l‟ignoble
méchant l‟ayant traité de brute sans
cou s‟exprimant, en supplément,
dans de péremptoires affirmations à
propos de sa chère et tendre mère.
- Il est convaincu que la phase la plus
délicate consiste à être suffisamment
obséquieux avec l‟entraîneur pour
masquer ses principaux défauts
techniques, sans pour autant
augmenter le taux d‟humidité relative
aux alentours de l‟anus de ce dernier.
En lui proposant par exemple de
porter son sac, il peut assister à la
rédaction de la liste des joueurs de la
première.
Ainsi présent et sans aucune
hésitation, il jouera de son influence
pour placer un joueur concurrent à un
poste qui n‟est pas le sien. Le
mauvais match de ce joueur
l‟empêchera de nuire pour 3 mois et
avec chance, entraînera son départ du
club.
Au contraire de la majeure partie des
gens âgés, ce héros reste ouvert aux
autres par soif de connaître toute
nouvelle méthode dissimulable aux
yeux du staff technique. Quel
exemple passionnant pour la jeunesse
montante du club !
LE COIN DES SENIORS
PAR ERIC MORENA
SCUF – LE CHESNAY
Victoire : Beaucoup à peu
Le match s‟est joué à domicile et
paradoxalement sur le terrain de Noisy–le-
Grand. Le Chesnay avait amené 17 joueurs
pour deux équipes et le match de la réserve
fut gagné par forfait. Durant l„heure qui
suivi, l‟effectif adverse se renforça par
l„arrivée de très anciens joueurs venus par
solidarité et altruisme. Le jeu fut presque à
sens unique. Ainsi Sam marqua 3 essais. Le
score atteint les 45 points et les adversaires
profitèrent d‟une passe mal assurée et d‟un
relâchement coupable de l‟équipe pour
nous marquer un essai. Ce genre de match
n‟a pas d‟intérêt et confirme la nullité d‟un
championnat ou seules 4 à 5 équipes
produisent un peu de jeu.
(suite en page 3)
Pascal Augé a confié, pour son malheur, une ébauche de CV, à des « amis » pour en constituer une version définitive. La rédac-
tion a choisi de résumer les plus grands points y figurant afin de l‟aider dans sa recherche.
Formation : BTS Force de vente – Expérience : Apprécie les caravanes – Prétentions : Espère atteindre 22 cm cette année
La célébration du passage à l‟EURO fut appréciée différemment selon le profil de chacun. Ainsi Sébastien CHOURAQUI, mes-
sie ventripotent, qui durant toute la soirée du nouvel an 1999, a pu, sans discontinuer, mettre à profit ses talents d‟analyste finan-
cier pour convertir tout le liquide ingéré, en cash-flow grumeleux.
La rédaction félicite son talent créatif, comparable à celui du peintre Pimpon.
Jeudi 7 janvier, Jacques SANS, notre vénérable et oh combien informé entraîneur, a cru déceler une blague de potaches en aper-
cevant un Louis Dreyfus inscrit sur sa liste des joueurs prévus pour dimanche. Corrigeant de lui même en Dreyfus, il fut immé-
diatement rappelé à l‟ordre par un Edouard luttant une fois encore contre la calomnie touchant sa famille. Il le répètera assez sou-
vent, non il n‟a pas plus d‟informations sur le départ de Dugarry à la Juventus de Turin, enfin pour cette année!
LANGUE DE PUTES
ont préféré le célibat. Assurément pour mieux donner libre cours
à leur perversité.
Tel est le cas de leur chef, duquel partent toutes les nouveautés :
Chr. UGELET. Surpris ? Non, scrutez les rictus sadiques qui le
trahissent. Vous pensiez que, le dimanche soir, il rentrait regarder
“ Public ”. En fait, il inonde les e-mail de ses sbires. Martial LA-
MY est de ceux là. Il excelle dans l‟art d‟envoyer une image sur
la page de garde d‟une prude collègue, comme une comptable
par exemple.
A ce jour, 5 jeunes filles sont en dépression nerveuse. Une autre
s‟est suicidée avec un concombre branché sur 300 volts. Ph. DU-
FAURE a eu beaucoup de succès, parmi ses amis, avec l‟envoi
de la photo d‟un cheval des steppes soulagé par sa cavalière pré
pubère. Navrant !
Pêle-Mêle, on retrouve également dans cet aréopage dégénéré,
Fr. BREHARD (juste marié), L. FERMELI (juste papa),P.
LOUSTONEAU (juste capt.), Th. SCHWARTZ (juste, euh…,
blessé… !) et Th. DETWILLER. L‟un des plus pervers est Ph.
JABRE, spécialisé dans les reportages photos dans les écoles.
Ne leur donnez jamais votre adresse Internet, n‟allumez plus vos
écrans !
Ils sont là, tapis dans l‟ombre, discrets, trop discrets. Nous
avons eu du mal à savoir, dans un premier temps, puis à per-
cer à jour la sordide réalité de leur passe-temps dégradant.
En quoi consiste ce reproche, me direz-vous, agacés par cette
introduction moralisante ? Ces individus inondent nos écrans
d‟ordinateurs de photos numériques glanées sur Internet, ce
moyen de communication qui sape les fondements de notre
civilisation occidentale. Des photos ignobles de nus dégra-
dants, avilissants. Leurs grands classiques ? “ Ma boulangère
aime son chihuahua ” et “ Gériatrie et laxité mammaire ”.
Nous avons également eu vent de leur penchant malsain pour
les images combinant jeunes teutonnes et salaisons ou protu-
bérances biologiques (courgettes…).
Il a été très délicat de mettre à jour la sordide complicité qui
lie ces anormaux. Seuls de simples clins d‟œil ou des sourires
voilés trahissent leur véritable nature. Un détail leur est com-
mun : à l‟évocation de leurs dégradantes découvertes, un filet
d‟écume baveuse ourle à la commissure de leurs lèvres. Ob-
servez-les ! Oh ! Vous serez surpris. Ce sont tous d‟honnêtes
pères de famille, ou en passe de le devenir, de bons maris,
d‟honorables amants, à ce que l‟on dit. D‟autres, au contraire,
SCANDALE SUR INTERNET PAR TINO ROSSI
Noisy Le Sec – SCUF
Défaite : 11 – 3
L‟équipe a été nulle à tous les niveaux. Le jeu voulait que l‟on
utilise notre pied pour jouer sur leurs faibles arrières. Cela ne
fut tenté que trop rarement. Une fébrilité coupable s‟empara de
nos avants commettant de nombreuses fautes. Pour qu‟une
équipe gagne, il faut que 15 gars aient envie de jouer ensemble
et de se battre. Les vacances de Noël et l‟absence de deux
joueurs ont permis qu‟un manque de confiance et d‟envie de
jouer s‟installe au sein du SCUF. Cette défaite est impardonna-
ble.
SCUF – PARIS XV
Victoire : 17 – 12
Le match fut mal géré et l‟équipe adverse nous inquiéta durant
la quasi-totalité du match. A noter la blessure de Thomas
SCHWARTZ, victime d‟un plaquage à retardement lui occa-
sionnant une fracture d‟une phalange. Cette sortie compromet
notre pourcentage de réussite sur les coups de pieds.
SCUF – PONTAULT COMBAUT
Match reporté
SCUF – Neuilly Sur Marne
Défaite 19 à 3
C‟est dingue de ne pas jouer durant les premières trente minutes
à partir de la seconde mi-temps! Encore une fois, la rédaction
est convaincue que toute l‟équipe est déçue de ne pas avoir li-
béré son esprit pour battre une équipe accessible. Le jeu adver-
se se résume à des charges dans l‟axe avec soutien proche puis
exploitation des hors jeux ou du jeu ... (suite en page 6)
LE COIN DES SENIORS (Suite I) PAR ERIC MORENA
4
HISTOIRE VÉCUE - RECETTE DE LA DINDE AU WHISKY
PAR JEAN LUC ET DANIEL
ED IS BACK PAR TINO ROSSI
Acheter une bonne dinde de 5 kilos pour 6 personne, une bou-
teille de whisky, du sel, du poivre, de l‟huile d‟olives, des bar-
des de lard.
La barder de lard, la ficeler, la saler, la poivrer et ajouter un
filet d‟huile d‟olives.
Faire préchauffer votre four le four thermostat 7 pendant 10
minutes
Se verser un verre de whisky pendant ce temps la.
Mettre la dinde au four dans un plat à cuisson.
Se verser ensuite 2 verres de whisky et les boire.
Mettre le therpostat à 8 après 20 binutes pour la saisir.
Se bercer 3 verres de whis&ky.
Après un debi beurre, fourrer l‟ouvrir et surveiller la buisson
de la pinde.
Brendre la vouteille de biscuit et s‟enfiler une bonne rasade
derrière la bravatte – non – la gravatte.
Après une demi vure ou blus, tituber jusqu‟au bour. Oubrir la
putain de borte du bour et reburner – non revourner – non –
recourner – non – enfin mettre la guinde dans l‟autre sens.
Se prule la main avec la putain de borte du bour en la refer-
mant, bordel de merde.
Essayer de s‟asseoir sur une putain de chaise et se reverdir cinq
ou six visky de werres ou le gontraire. Je sais blus.
Buire – non – luire – non cuire – non – ah ben si cuire la bringue
bandant 4 heures.
Et hop, cinq berres de blus. Retir la four du binde.
Se bercer une bonne goulée de visky.
Essayer de sortir le bour de la saloperie de pinde de nouveau
parce que ça à raté la bremière bois.
Rabasser la pinde qui est tombée par terre. L‟étuyer avec une
saleté de chiffon et la foutre sur un blat – ou un clat – ou sur une
assiette – enfin on s‟en fout.
Se péter la gueule à cause du gras sur le barrelage – non – le gra-
lage de la busine – bar terre, et essayer de se relever.
Décider que l‟on est aussi bien par terre et binir la mouteille de
rhisky. Dorbir.
Manger la dinde froide avec de la mayonnaise le lendemain ma-
tin et nettoyer le bordel que tu as mis dans la cuisine la veille.
Edouard LOUIS-DREYFUS est de retour. Il ne faut pas l‟ap-
peler Edouard-Louis DREYFUS. Il ne répondra pas non plus
si vous l‟interpellez pas un tonitruant : “ Eh ! Louis, tu
viens ? ”. Edouard est son prénom. C‟est joli Edouard, j‟aime
bien. Pour ceux qui ne le connaissaient pas, ED, son diminutif
préféré avec celui de Gatsby, est arrivé au club il y a 4 ou 5
ans de cela. Beau gosse, allant naturel, assez bon joueur (il est
un énorme plaqueur…, non, ça c‟est une bague), ED s‟est tout
naturellement adapté au SCUF. Malheureusement, une vilaine
blessure (un grand classique de l‟époque, une rupture des
LCA) mit prématurément fin à sa collaboration avec l‟équipe
fanion, qu‟il venait d‟intégrer.
Parti à Rouen poursuivre ses études, initialement juridiques, en
Ecole de Commerce, ED s‟adonna alors à son penchant natu-
rel : la conquête des filles de sa promotion. Il faut dire que la
Normande, de surcroît commerçante, est fille facile. Au terme
d‟une quinzaine d‟IVG financées par ses soins, tout de même,
ED se résolut …à ne rien changer et à demeurer très généreux
de son corps.
La rapide croissance du taux de naissance rouennais contrai-
gnit notre ami à revenir sur Paris, afin de suivre un stage de cou-
turier chez ADIDAS.
Ce retour très attendu par ses nombreux amis a permis la recons-
titution, au club, du trio magique formé par Olivier
“ Wonderful ” BEJANIN, Jean-Marc “ Obélisque ” HANNA, et
“ Titanesque ” ED, ou TED. Tous trois firent en effet les beaux
jours des cabarets parisiens dans leur fameux numéro des
“ Three ED ”. De mauvaises langues estiment que le séjour iodé
d‟ED aurait raccourci sa virilité. ED s‟en moque ; pour lui, ce
n‟est pas la taille qui compte, c‟est la douceur des mollets.
Certains esprits chagrins persiflent allègrement sur sa rapide
sélection en équipe 1. Et alors, le SCUF n‟aurait-il pas le droit de
changer d‟équipementier ?
ED est de retour, et nous en sommes ravis.
Steph.TOULALAN a aussi connu cette réorientation, mais dans
une école beaucoup plus difficile, à Nice. En effet, le sable de
plage n‟était pas d‟aussi bonne qualité.
Depuis peu, la rédaction du SCUF est heureuse de vous proposer des prix préférentiels sur toute la marque Adidas et surtout sur
la boutique de l‟OM. Commander vos articles par Internet sur http:\\[email protected]
La rédaction du SCUF MAG souhaiterait collecter
tous les vieux cartons disponibles. Regardez dans
vos caves ou vos débarras pour , afin éviter à Lio-
nel et Séverine la frayeur du clochard qui est la
honte de révéler sa situation à ses proches.
Avec l‟hiver et l‟intarissable chute des flocons
blancs, munissez-les d‟un abris digne de ce nom,
pour lutter contre les loups et les cambrioleurs, ils
le méritent.
La ruine du fameux docteur GIRIAT se profile-t-elle à l‟horizon ?
C‟est en effet la question que l‟on peut se poser au regard de la nette
diminution de la fréquentation de l‟infirmerie.
Heureusement pour les revenus du bon docteur, malheureusement
pour nos coéquipier, des blessés demeurent.
Pour leur sécurité, qu‟ils prennent leur temps, d‟autres joueurs les
remplacent, beaucoup plus talentueux…
Un grand classique du genre : S. LACAZE (épaule récalcitrante)
Une rediffusion d‟un modèle du genre : J.M. HANNA (pareil)
Th. SCHWARTZ (fracture ouverte d„un métacarpe), probablement
perdu pour le reste de la saison…mais pas
pour Anne–So.
O. VERNIER (fracture au moral) doit ou dit
qu‟il mettrait un terme à sa carrière.
O. BARON (Heureux papa et LCA+LI)
M. LAMY (en attente de l‟accord de Giriat).
Bon rétablissement à eux.
LANGUE DE PUTES
Les voisins observent chaque dimanche titubant
Des gaillards baraqués qui sortent du Morland
Ils s‟en vont retrouver les leurs penauds et fiers
La tête pleine d‟exploits et le ventre plein de bière
Les vitres de bistro tremblent encore des victoires
Que chacun a chanté accoudé au comptoir
Dans les toilettes, l‟un d‟eux dans une humble posture
A cru bon au mur d‟apposer sa signature
Tandis qu‟à l‟autre bout de la salle les anciens
Nous parlent d‟un temps où les filles étaient dociles
Les arbitres moins cons et les victoires faciles
Bien que la bravoure se montre sur le terrain
L‟après match au bar est une épreuve, c‟est ici
Que se forgent les victoires d‟un club de rugby.
UN PETIT POÈME
PAR LUIS MARIANO
Certaines rumeurs laisseraient croire que Sébastien Mer, travaillant au Morland, aurait été surpris en compagnie de sociétai-
res de la WERMACHT. Sa nouvelle coupe de cheveux témoigne des sévices encore pratiqués par les FFI.
Vous aussi, adoptez un petit fidjiens. Envoyez vos dons à Bernard Lambert 3615 SCUF et http:\\www.nanar.com
Toutes nos félicitations à Pierre Olivier Buisson (dit POB) qui aurait profité de la perte du pouce d‟Arnaud de France, surve-
nue lors d‟une partie de chasse, pour s‟accaparer le fauteuil de président des vieux cochons, bravo !
Pour éviter de voir Kiki, dont le pseudo est docteur GIRIAT, Martial LAMY à pris l‟habitude de perdre ses radios sur le péri-
phérique. Bien évidemment, Martial rappelle le lendemain pour reporter le rendez-vous d‟une semaine, temps nécessaire à ce
qu‟il puisse les retrouver sur les 25 Km du tronçon.
Drame de Noël, Monique HOSPITAL, plus communément appelée Madame la Présidente, en compagnie de son époux aurait
surpris la lie dans laquelle évolue Lionel B. et Séverine D. Le couple incriminé dément avec véhémence.
Deux intrus se sont glissé parmi ces super – héros :
Starsky et Hutch
Pif et Gadget
Fox Mulder et Dana Scully
Jacques Schwartz et Bernard Lambert
Jacob et Delafon
Placid et Muzo
Réponse : : :
ET PENDANT CE TEMPS LÀ À LA CLINIQUE DU DOCTEUR GIRIAT
PAR TINO ROSSI
On devrait dire pérapéticiennes, cela serait moins populaire
Jacob et Delafone sont les saints patrons de la Jacob et Delafone sont les saints patrons de la Jacob et Delafone sont les saints patrons de la
AUTO TESTEZ – VOUS
PAR LUIS MARIANO
SCUF AID
PAR ERIC MORENA
6
Appelée à de sages tâches de Noël, au Printemps Nation, Monique et
Michel ,dans le cadre du possible, auraient pu rencontrer Lionel B. et
sa future épouse dans les parages sachant que tous deux partagent un
appartement sise rue Lucien et SACHA Guitry, intégré au fameux
quartier Thessalonique du cours de Vincennes.
Garant leur voiture à 400 mètres du fameux magasin, le couple prési-
dentiel entendit du bruit à l‟orée d‟une cours miteuse dont l‟aspect et
l‟odeur leur remémora les steaks frites nucléaire une époque servis au
Scuf Dream.
Curieux plus que de coutume, Monique attira Michel vers la source
du désagrément. Quelle ne fut pas leur surprise que de reconnaître le
couple Lionel et Séverine dans une situation compromettante. Lionel
avocat au barreau de Paris et Séverine future épouse adepte de la par-
turition, le premier juché sur une poubelle alors que la seconde la
maintenant pour éviter la chute de son étalon.
Avec une délicatesse hors normes à ,la vue du drame en cours, le cou-
ple choisi de les interpeller de la façon la plus agréable : « Alors les
jeunes, on fait les poubelles? ».
Le trouble étreignant les deux jeunes délinquants fut sans pareil et
pour dissimuler son émoi, Lionel se confondit en explications biai-
sées, traduisant sa manœuvre par la nécessité « d‟enfoncer ce qui dé-
passe » .
Évidemment, plus par pudeur que par sincérité, Michel et Monique
préférèrent s‟éclipser dans le charme cossu du Printemps où ils pou-
vaient retrouver réconfort et chaleur. Tenter d‟oublier le sordide en
dépensant quelques francs ne leur épargna nullement le besoin de
rapporter à vos fiers journalistes la vérité et de se faire l‟écho de la
déchéance d‟une profession vouant ses ouailles, quels qu‟ils furent, à
la honte de faire les poubelles pour trouver un peu de nourriture et des
cartons d‟emballage pour meubles IKEA.
Carnet ROSE
J.M. HANNA vient d‟annoncer ses fiançailles avec la tendre Suzanne HAIR, ressortissante britannique. Le mariage
devrait avoir lieu en été 2000 à Manchester.
Toutes nos félicitation au couple, et tous nos encouragements à Suzanne dont le nouveau patronyme – Suzanne HAN-
NA – prend une coloration très tropicale.
D‟après Monique HOSPITAL, la grossesse de sa future belle-fille, Valérie, se poursuit sans problème. Bravo Jérôme.
D‟après des sources bien informées, Nicolas HOSSARD et Maxime HOSPITAL feraient partie des couples autorisés
à adopter le PACS avant l‟heure. Tout cela nous a en effet été confirmé par le fils de la source bien informée, serveur
jovial au Morland.
Histoire d‟amour entre Romain et l‟armée française : Malgré un bras en écharpe et un échec total au tests psychotech-
nique ainsi qu‟à l‟entretien avec un psychiatre, Romain Vivant a été jugé apte à servir la nation en endossant le rôle de
chauffeur de généraux. Encore une preuve de la responsabilité des médecins dans l‟augmentation des décès par acci-
dent de la route.
Drame de Noël
PAR ERIC MORENA
LE COIN DES SENIORS II
PAR LUIS MARIANO
SCUF – Neuilly sur Marne (suite)
… au pied pour séjourner, durant de courtes périodes,
dans notre camp et s‟offrir une occasion d‟accroître
le score, soit par les avant, soit par leur botteur.
Ce jeu simple, fut radical car il leur permit de cons-
tamment être en position de marquer ou de déplacer le
jeu vers notre propre camp. De plus, en regardant le
match des tribunes, on ne pouvait que constater les
nombreuses fautes de mains commises par le SCUF
ainsi que le ballons perdus en conquête : sur nos pro-
pres lancers en touche mais aussi en mêlée fermée.
Jérôme put prendre 3 ballons tout en s‟en faisant
prendre un au talonnage. Le pire se situa sur les im-
pacts où de nombreux ballons furent donnés à l‟équi-
pe de Neuilly par des percussions : « ballons en
avant » ou des libérations au sol avec un soutien trop
distant du partenaire et porteur de balle.
La solution de jeu adoptée par Neuilly nous est acces-
sible et lorsque l‟on voit leur résultat dans le cham-
pionnat, on comprend l‟intérêt de posséder une troi-
sième ligne capable d‟épauler chaque action.
Un dernier mot sur nos 3/4 qui n‟ont eu que très peu
de ballons à se mettre sous la dent, et qui au comble
de la frustration avaient parfaitement compris que la
ligne adverse était prenable. Encore un match pour
notre collection d‟actes manqués.
Il est dorénavant primordial d‟entrer sur un terrain
avec la soif de vaincre et l‟envie de mener chaque ac-
tion à son terme le plus lointain. De conserver
confiance en son partenaire en lui offrant le soutien
que mérite ses initiatives. En jouant ensemble et en
augmentant le rythme des matchs par l‟apport de dy-
namisme, nous oseront gagner avec un jeu simple et
sans fautes.