que faire pour promouvoir une consommation médiatique éclairée ?

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QUE FAIRE pour promouvoir une consommation médiatique éclairée ?. PRINCIPE . - PowerPoint PPT Presentation

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QUE FAIRE pour promouvoir une consommation

médiatique éclairée ?

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PRINCIPE

Il est reconnu unanimement par la communauté médicale et scientifique ainsi que dans le monde de l’éducation que l’adoption de saines habitudes de vie et plus particulièrement la pratique régulière de l’activité physique constitue en soi une démarche incontournable pour vivre mieux, plus longtemps et en meilleure santé.

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PRINCIPE

Il est reconnu également que les écrans nuisent au sain développement physique, psychologique et social de la jeunesse.

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MOYENS À PRIVILÉGIER

La FÉÉPEQ s’est dotée d’un plan d'action qui est fondé sur des mesures en milieu préscolaire et scolaire, sur des mesures fiscales incitatives et sur des mesures sociales à l'intention de l’ensemble de la population québécoise.

Québec 2020

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MOYENS À PRIVILÉGIER (suite)

Nous nous attarderons cependant sur l’adoption de saines habitudes de vie dans le but de contrer les effets de la surdose médiatique dont les enfants, principalement, en sont les victimes.

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INFLUENCE

Les éducateurs et éducatrices physiques jouent un rôle de premier plan afin d’aider les enfants à acquérir des ressources qui leur permettront de prendre en charge leur santé et de demeurer actifs toute leur vie.

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INFLUENCE

L’adoption d’un mode de vie sain et actif tout en réduisant au maximum le temps passé devant les écrans, repose sur 3 principaux aspects :

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INFLUENCE

1. la prise de conscience des facteurs susceptibles d’affecter ses habitudes de façon positive ou négative;

2. l’engagement dans la pratique régulière d’activités physiques;

3. la capacité d’évaluer les effets de ses actions sur sa santé et de faire les choix qui s’imposent. (très difficile en bas âge donc plus on commence tôt, meilleure sera l’influence sur les comportements)

QUELQUES FAITS 9

BULLETIN DE L’ACTIVITÉ PHYSIQUE CHEZ LES JEUNES 2011

On nous a attribué un « F » quant à notre niveau d’activité physique.

On recommande 60 minutes par jour d’activités physiques modérées à vigoureuses (APMV) tandis que la moitié de nos enfants n’en font que 25 minutes par jour et l’autre moitié n’en fait à peine 15 minutes par jour.

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BULLETIN DE L’ACTIVITÉ PHYSIQUE CHEZ LES JEUNES 2011 (suite)

Où s’en vont ces si précieuses minutes d’activités physiques ? Quand on regarde la note « F » que nos enfants obtiennent également par rapport aux activités sédentaires, on s’aperçoit qu’ils passent en moyenne 6 heures par jour devant les écrans.

QUELQUES FAITS

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BULLETIN DE L’ACTIVITÉ PHYSIQUE CHEZ LES JEUNES 2011 (suite)

Et ce n’est guère mieux à l’école. En éducation physique au Québec par exemple, on obtient « C- » :

•On constate que 44% des élèves ont de 1 à 2 période(s) par semaine;

QUELQUES FAITS

•Que 25% d’entre-eux en ont entre 3 et 4 périodes par semaine;•Et que 22% n’en ont même pas !

(Ces mêmes 22% sont des enfants d’âge préscolaire en majorité. Ceux qui doivent bouger plus)

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Quand on voit ces chiffres, nous sommes en droit de se demander quelles sont nos priorités en tant que société ?

Une société qui valorise l’activité physique ne devrait-elle pas s’insurger contre le temps insuffisant qui est alloué à une éducation physique de qualité dans nos écoles ?

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SOLUTIONS

La Fédération des Éducateurs et Éducatrices physique du Québec propose :

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SOLUTIONS (suite)

1. Que l’on développe un programme de santé globale pour les jeunes de chaque CPE et service de garde afin de les sensibiliser le plus tôt possible à l’adoption de saines habitudes de vie dont la pratique régulière d’activités PHYSIQUES;

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SOLUTIONS (suite)

2. Que l’on augmente à 150 minutes d’éducation physique par semaine les cours au préscolaire;

3. Que l’on augmente à 150 minutes d’éducation physique par semaine les cours au primaire;

4.Que l’on augmente à 150 minutes d’éducation physique par semaine les cours au secondaire;

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Ce même rapport indiquait que trois enfants et ados sur quatre ne font pas suffisamment d'activités physiques quotidiennement.

Selon le rapport annuel de Jeunes en forme Canada « Les enfants

et les adolescents Canadiens obtiennent un F pour la quatrième année consécutive pour leurs niveaux d'activité physique. »

3/4

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Les chercheurs ajoutent que le temps passé devant un écran engendre des conséquences diverses : diminution des rendements scolaires (contrairement à l’augmentation lors de la

pratique d’activités physiques. C’est prouvé !) et comportements à risques, notamment la consommation de tabac et d'alcool.

En arrivant à la maison, les jeunes passent beaucoup trop de temps devant les écrans plutôt que de faire le choix de bouger. Ils deviennent absorbés par des écrans qui sont plus séduisants que l'école, les parents et la vie familiale et bien entendu, par l'activité physique. Mais par quels exemples prêchons-nous ?

Mais ça, n

ous le sa

vions déjà !

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Il faut que la société valorise plus l'activité physique et que l'école renseigne les parents sur les impacts négatifs des écrans sur la santé de leurs jeunes. Les éducateurs physiques et enseignants peuvent témoigner des signes que l’on observe chez les enfants exposés aux écrans. *

Les écrans (et la pub) stimulent les émotions et entretiennent la sédentarité, la mauvaise alimentation et l'obésité.

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Les éducateurs et éducatrices physiques sont prêts à unir leurs forces avec les parents et les commissions scolaires du Québec pour contribuer à l'atteinte de ces buts.

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EN CONCLUSION

Il faut mettre l’accent sur le développement de l’acquisition de saines habitudes de vie dont la pratique régulière d’activité physique en bas âge afin de contribuer au développement d’habiletés motrices fondamentales et ainsi améliorer la condition physique de façon significative.

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EN CONCLUSION (suite)

Nous savons tous maintenant que si nous atteignons ces cibles, nous aurons une influence inestimable sur l’amélioration de la réussite scolaire des élèves du Québec et par le fait même, nous récupèrerons les minutes perdues devant les écrans au profit de la santé de nos jeunes en leur redonnant le goût de faire de l’activité physique.

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EN CONCLUSION (suite)

Et comme le dit si bien l’organisme « Jeunes en forme Canada » :

ENSEMBLE, NOUS AVONS LE POUVOIR DE FAIRE BOUGER LES JEUNES. MC

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