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Présentation au Forum des politiques publiques
Attirer des investissements internationaux plus importants
Russell Williams, présidentLes compagnies de recherche pharmaceutique du Canada (Rx&D)Le 30 novembre 2009
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Rx&D – Notre identité
• Rx&D emploie plus de 18 000 hommes et femmes qui travaillent dans l’industrie pharmaceutique, une industrie innovatrice et fortement axée sur les connaissances. Nos membres contribuent à l'investissement de plus d’un milliard de dollars par année dans la R et D en santé.
• Les compagnies membres de Rx&D sont le principal bailleur de fonds et maître d’œuvre en matière de recherche sur les produits thérapeutiques, en plus d’être la source la plus importante de R et D sur la santé de tout le secteur industriel canadien*.
• En 2006, plus de 40 % des investissements en R et D (RS&DE admissibles et non admissibles) des compagnies membres étaient dans la recherche fondamentale**.
• Chaque année, environ 20 % de l’argent investi dans la recherche l’est dans les hôpitaux et les universités***.
* SOURCE : Statistique Canada. Statistique des sciences, Estimations des dépenses totales au titre de la recherche et du développement dans le secteur de la santé au Canada, 1989-2006, 30 mars 2007.
** Sondage 2007 des compagnies membres de Rx&D par Deloitte.
*** Rapports annuels du CEPMB.
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Enjeu : l’environnement d’affaires
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Menaces et possibilités
• L’investissement des multinationales au Canada plafonne.• Amenuisement des pipelines de recherche, compétition menée par les
fournisseurs à faible coût.• La Chine s’impose comme une mine de découvertes en R et D. • L’Europe de l’Est est en concurrence avec le Canada sur le plan de la recherche
clinique.• L’Ontario et le Québec peuvent être plus concurrentiels en travaillant en
équipe.• Profiter des ressources abondantes du corridor biopharmaceutique.• Simplification et harmonisation des politiques qui favorisent l’innovation et
l’investissement. • D’autres régions ont réussi à adopter cette approche.
• Par ex., la Bio-Valley dans le Haut-Rhin unit la France, l’Allemagne et la Suisse.• Les principaux ingrédients nécessaires à la réussite sont en place, mais
doivent être optimisés. • Des entreprises de toutes les tailles, de bonnes recherches publiques, d’excellents
hôpitaux, des investissements.
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Bâtir sur une fondation considérable
• L’Ontario et le Québec sont le siège d’environ 90 % de l’industrie biopharmaceutique canadienne.
• Les entreprises biopharmaceutiques emploient directement 30 000 personnes.• De ce nombre, 18 000 personnes sont employées directement par les entreprises
pharmaceutiques multinationales.• Les compagnies investissent 1 milliard de dollars en R et D chaque année.
• Les provinces comptent 30 000 chercheurs en sciences de la vie dans les universités et les hôpitaux.
• L’investissement en R et D est essentiellement équivalent à celui des grandes entreprises pharmaceutiques.
• L’Ontario et le Québec offrent des soins de santé à 20,5 millions de personnes.• Dépenses de 91,8 milliards de dollars en santé en 2006.• Plus important que les plus grandes organisations de soins de santé intégrés des É.-
U.• Les principaux hôpitaux de recherche et d’enseignement sont idéaux pour mener des
recherches cliniques.
• Une excellente occasion de tirer parti de l’innovation découlant des dépenses en santé.
Consulter l’annexe pour plus de détails
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Nous pouvons faire fructifier une industrie de la santé d’envergure• Les gouvernements : de grandes organisations de soins de santé intégrés.
• Le Québec prend en charge 7,7 millions de patients1
• Le Québec a dépensé 31,6 milliards de dollars en santé en 20062.
• L’Ontario prend en charge 12,8 millions de patients1 et a dépensé 60,2 milliards de dollars2.
• Les dépenses et le nombre de patients sont plus élevés que ceux des plus grandes organisations de soins de santé intégrés des É.-U.
• Par ex., Wellpoint, United Health, Aetna.
• L’Ontario et le Québec décernent des diplômes à 1 650 médecins par année3.
• C’est plus que les regroupements de biotechnologie des É.-U. que sont le Massachusetts (600) et la Californie (1 100)4.
1. Statistique Canada, CANSIM, tableau 051-0001.2. Institut canadien d'information sur la santé.3. Association des facultés de médecine du Canada, novembre 2007.4. AAMC : entrepôt de données : dossiers d’élèves ayant leur « matriculation » au 2007/09/25.
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Création de richesse grâce à l’élimination des barrières commerciales
• L’Ontario et le Québec collaborent afin de promouvoir la croissance économique.
• Recherche de l’harmonisation de la réglementation et de l’augmentation de la mobilité de la main-d’œuvre.
• Résultats probables : une augmentation de l’efficacité économique, une résistance aux chocs économiques et une augmentation de la productivité et de la croissance.
• L’Ontario et le Québec possèdent des industries biopharmaceutiques d’envergure.
• Elles sont situées dans un corridor géographique allant de London à la ville de Québec.• Attirent des investissements considérables des multinationales.• Bien appuyées par du personnel hautement qualifié, des programmes de recherche
publics et des crédits d’impôt. • Mélange d’entreprises pharmaceutiques et de compagnies de biotechnologie
multinationales.
• La collaboration peut-elle être approfondie afin de développer ce secteur? • N’oublions pas que les deux provinces :
• se sont engagées à favoriser la croissance économique par l’innovation industrielle;• constituent essentiellement de grandes organisations de soins de santé intégrés.
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Notre suggestion : un corridor biopharmaceutique entre le Québec et l’Ontario
De la ville de Québec à London
• Les régions du Grand Montréal et du Grand Toronto sont, et de loin, les centres principaux.
Industrie et recherche publique
Recherche publique/école de médecine
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Notre suggestion : le corridor biopharmaceutique entre le Québec et l’Ontario
• Le concept de corridor pourrait bien nous servir.• Définir une zone où l’innovation et la commercialisation pourraient
fructifier.
• Tirer parti des ressources très abondantes déjà en place.
• Attirer les investissements des grandes entreprises pharmaceutiques.
• Encourager les nouvelles entreprises de biotechnologie.
• Le corridor…• Une zone où la politique publique encourage le secteur
biopharmaceutique.
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En quoi le Québec et l’Ontario profiteraient-ils du corridor?• Le Québec reçoit une part importante des investissements dans le domaine
pharmaceutique au Canada.• Grâce à des politiques publiques qui encouragent les investissements dans le domaine
pharmaceutique.• La règle des 15 ans, les crédits d'impôt en R et D, la stratégie biopharmaceutique.• Cependant, une seule province ne peut tout faire seule.• L’industrie du Québec croîtra si la région est plus accueillante.
• L’Ontario peut élargir ses recherches biopharmaceutiques :• en suscitant davantage d’investissement en R et D par les entreprises pharmaceutiques
multinationales;• en tirant parti des ressources de l’Université de Toronto et de ses hôpitaux affiliés.
• Les deux provinces peuvent s’attendre à profiter de la collaboration.• Davantage d’investissement en R et D de la part des grandes entreprises pharmaceutiques. • Davantage de recherche clinique, une amélioration des résultats cliniques.• Une augmentation du développement des entreprises de biotechnologie grâce à des
alliances stratégiques.• Une augmentation des flux de capital-risque pour le développement des entreprises.
• Le concept de corridor cristalliserait l’attrait de la région.
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Où pouvons-nous commencer à bâtir?
• Formation d’un comité mixte afin de planifier le corridor.• Le comité mixte sur le corridor biopharmaceutique (CCCB).
• Point de mire : l’innovation dans le domaine des sciences de la vie.
• Certaines victoires faciles que le CCCB pourrait explorer :• une campagne de marketing mondiale;
• une amélioration des procédures pour l’accélération des essais cliniques;
• une amélioration de la collaboration entre les hôpitaux en matière de recherche portant sur les résultats cliniques.
• Objectifs à plus long terme que le CCCB pourrait envisager :• les avantages de la mobilité de la main-d’œuvre;
• une optimisation de la médecine factuelle, un déploiement de dossiers de santé électroniques.
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Notre solution : découvrir, développer et matérialiser en partenariat
Research Development Preclinical Clinical New Drug
Major Pharmaceutical Firm
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et PHQ R et D
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Thank you – Merci!
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