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Simulations dynamiques et Commissionnement

« nos métiers évoluent » Partie 2

Benoît Maraval – ADRET

Christian Schwarzberg – BE Vivien

Jean Pascal AGARD - ATMOSPHERES

Stéphane LEMEY - OTCE

Hervé Sébastia – Atlantic Guillot

Bruno GEORGES - ITF

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On en est là !

• Introduction

• Concevoir avec la STD, typologies d’analyse

• Commissionnement & STD

• Échanges

• Six exemples d’usage STD

– Surchauffe Lycée

– Open space bureaux

– Evaluation Puissance installée 40 logements

– Salle blanche

– Chai Bordelais

– Transfert d’air

• Conclusion

• Échanges

o Bruno GEORGES

o Benoît MARAVAL

o Jean Pascal AGARD &

Stéphane LEMEY

o Exemples

– Bruno GEORGES

– Christian Schwarzberg

– B. Maraval + Hervé Sébastia

– Benoît Maraval

– Christian Schwarzberg

– Bruno GEORGES

o Bruno GEORGES

o Tout le monde !

Pause 20 minutes

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Mission de STD pour réduire les surchauffes estivales d’un lycée neuf existant

BRUNO GEORGES ITF

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Présentation du projet • Lycée construit en 2007 au Havre

– Structure bois KLH – Façades isolées par l’extérieur, bardage en CORTEN – Bâtiment récent et de bonne qualité

• Observations

– Problèmes de surchauffes dans certains locaux en période estivale

– Mesures réalisées en juillet 2012 avec températures supérieures à 31°C sans occupation

– Echangeur CTA non by passé en été – Ouverture des fenêtres non souhaité (pour éliminer le

risque de défenestration)

• Objectif(s) de l’étude numérique

– Valider des choix techniques et architecturaux pour garantir un confort thermique optimal aux occupants

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Méthodologie

• Méthodologie – Logiciel utilisé : TRNSYS (v17)

– Type 56 pour la modélisation thermique du bâtiment

– Pas d’équipement technique particulier pris en compte

– Utilisation de données météo ‘extrêmes’ du site • Reconstruites avec Meteonorm

– Choix des zones thermiques représentatives des problèmes de surchauffe

• Chaque zone thermique est étudiée indépendamment – Frontières adiabatiques

– Temps de calcul réduits

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Des écarts importants apparaissent entre les mesures réalisées et les premiers résultats des simulations

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Tem

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[°C

]

ExtérieurSalle 11 - SimulationSalle 11 - Mesures

Résultats des simulations favorables et éloignés des mesures réalisées sur site

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Les mesures vont permettre

de « durcir » et de rendre le modèle fiable

pour étayer décisions et arbitrages

sur les solutions destinées

à améliorer la conception initiale

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• Comprendre les écarts – Modèle

– Hypothèses d’entrée

• Echanges avec les usagers et technicien du site

• Mesures complémentaires sur site

• Prise en compte différente des flux à travers les parois pour mieux représenter les phénomènes de transferts thermiques entre zone

• Intégration d’un défaut du fonctionnement du système de ventilation découvert grâce aux investigations

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La recherche des solutions curatives

a pu commencer

après mise en cohérence du modèle

avec les mesures

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Etude numérique • Orientation des zones thermiques étudiées

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110

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Niveau Salles étudiées par STD

RDC 11 – 18 - 54

R+1 100-103-110-112-117

R+2 203-206

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Etude numérique

Tplafond

Ou Tsol pour les zones du RDC

Tdalle Basse Zone Faux Plafond

Zone Salle

Shading Objects

Dalle intermédiaire

Dalle intermédiaire

Faux Plafond

Ventilation Salle - Qvent [m3/h] - Tvent [°C] - HR Vent [%]

Ventilation Haut - Qvent [m3/h] - Tsalle [°C] - HR Salle [%]

Zone Salle HT

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– Conduction thermique des parois • Méthode des fonctions de transfert

– Convection thermique • Calcul automatique des coefficients de convection

intérieurs des parois en fonction de la température de l’air et des températures de surface

– Rayonnement thermique • Modèle géométrique détaillé de rayonnement en fonction

des facteurs de vue

– Température de sol • Modèle simplifié de la température du sol pour les zones

du rez de chaussée

– Aéraulique • Prise en compte simplifiée des débits d’air entrants et

sortants dans chaque zone (ventilation mécanique contrôlée)

Modèles utilisés 13

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• Cas actuel en occupation standard

• Des apports solaires élevés, responsables des risques de surchauffe

• Des apports internes importants cumulés aux apports solaires

– Densités d’occupation élevées dans les salles de classe (1pers/2m²)

– Charges internes des appareils informatiques dans les bureaux

Niveau Tmax simulée Tmax sans solaire

RDC 35°C 24°C

R+1 43°C 29.7°C

R+2 38.7°C 26.4°C

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Evaluation de différentes solutions techniques par STD

• Protections solaires extérieures – Baisse des apports solaires : Solution retenue

• Ventilation nocturne mécanique – Faible réduction des températures maximales, les surchauffes

ont lieu en journée

– Faible impact sur le nombre d’heures > 28°C, le bâtiment ayant très peu d’inertie qui peut être intéressée

– Solution non retenue

• Ajout d’inertie à la structure – Difficilement supportable par la structure du bâtiment pour

être efficace

– Coût élevé

– Solution non retenue

• Rafraichissement de l’air soufflé – Confort assuré dans l’intégralité des salles de cours

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Voies d’amélioration possibles 1) Réduction des surfaces vitrées

– Allèges opaques

– Impostes opaques

– Allèges ET impostes opaques

2) Stratégie de protection solaire efficace – Protections solaires extérieures fixes

– Protections solaires extérieures mobiles

– Protections solaires intérieures, Stores type SOLTIS de Ferraris

3) Evacuation des charges internes – Echangeur by-passé en été

– Rafraîchissement naturel nocturne • Stratégie de ventilation nocturne

• Remplacement faux plafonds par baffles acoustiques pour récupérer l’inertie des dalles

– Travail sur les équipements informatiques

– Vérification que bonne pertinence rendement et commande éclairage artificiel

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Zone de type salle de classe

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[°C

]Text OPT Actuel

Lundi Mardi Mercredi Jeudi Vendredi Samedi Dimanche

Protections solaires baissées hors occupation

=> absence d’apport solaire

Effets de la ventilation lorsque Text < Tint

Evolution de la température sous l’effet des charges internes

Cas optimal Cas actuel

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Zone de type Bureau

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0 24 48 72 96 120 144 168

Tem

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Text OPT Actuel

Lundi Mardi Mercredi Jeudi Vendredi Samedi Dimanche

Cas optimal Cas actuel

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Salle de Physique orientée SO

36973819

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36.2

33.4

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34.7

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Etat Actuel Etat Actuel -ISHADE = 0

Etat Actuel Avec BP

Etat Actuel Sans Solaire

Allèges Opaques

Etat Actuel + Stores

extérieurs

ESHADEBP +VENTIL 6h-

20h

No

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28

°C

Tem

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max

imal

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[°C

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Nb heures > 28°C TMax

Solutions proposées : Protections solaires extérieures mobiles, abaissées en dehors des plages d’occupation Echangeur By passé + plage de ventilation étendue

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Conclusions et perspectives

• Cette étude souligne l’importance de caractériser correctement les phénomènes physiques mis en jeu

• La STD permet de DIMENSIONNER des solutions concrètes et qui fonctionnent

– Protections solaires extérieures

– Rafraichissement air neuf

• La STD permet d’évaluer la portée et les résultats des améliorations

• Elle a permis aussi de mettre en évidence les défauts de commissionnement

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Synthèse • Les STD ont permis de valider les améliorations

possibles

– Protections solaires extérieures, fermées en été en dehors en dehors des plages d’occupation des locaux

– Optimisation du système de ventilation • Echangeur by-passé en dehors de la période de chauffage

• Plage de ventilation allongée pour optimiser la décharge thermique des locaux

– Solutions complémentaires possibles • Impostes ouvrants pour assurer une ventilation diurne ou

nocturne si besoin et soufflage ou extraction hors occupation pour réduire le poste de consommation à la ventilation mais maximiser la décharge thermique des locaux

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Synthèse Nord

Allèges opaques + Protections

solaires extérieures

Pro

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s so

lair

es

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Modifications techniques : Echangeur CTA By passé pendant la saison estivale Plage de fonctionnement de la ventilation allongée entre 6h et 20h

Modifications architecturales :

Protections solaires extérieures Protections solaires extérieures

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On en est là !

• Introduction

• Concevoir avec la STD, typologies d’analyse

• Commissionnement & STD

• Échanges

• Six exemples d’usage STD

– Surchauffe Lycée

– Open space bureaux

– Evaluation Puissance installée 40 logements

– Salle blanche

– Chai Bordelais

– Transfert d’air

• Conclusion

• Échanges

o Bruno GEORGES

o Benoît MARAVAL

o Jean Pascal AGARD

o Exemples

– Bruno GEORGES

– Christian Schwarzberg

– B. Maraval + Hervé Sébastia

– Benoît Maraval

– Christian Schwarzberg

– Bruno GEORGES

o Bruno GEORGES

o Tout le monde !

Pause 20 minutes

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La STD appliquée à un Open-Space

CHRISTIAN SCHWARZBERG

BE VIVIEN BORDEAUX

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Pourquoi une STD ?

Question 1 :

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Etude du confort d’été

Open-space 400 m²

Non climatisé

Brise-soleil

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Inconfort suite à l’isolation

Murs : Parpaing 20 cm; LdV 20 cm

Toiture : 20 cm de LdV

HSP : 4,15 m

HSP : 12 m

Brise-soleil

Etude du confort d’été 28

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Brises-soleil Bâtiment H=15m

Surplomb

Etude du confort d’été 29

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D’où vient l’inconfort ?

Mur ext.; 200; 1% Mur int.; -243; -1%

Plancher; 298; 1%

Plafond; 495; 2%

Occupants; 3022;

13%

Vitrage; 4550; 20%

Ventilation; 4291,5;

19%

Bureautique; 7890;

35%

Eclairage; 1884; 8%

Répartition des charge de climatisation de l'open-space (Watts) - 21 Juillet à 17 heure - Text=31,2°C

Inconfort = Bureautique

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Etude du confort d’été 31

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Free-cooling

RM

Taux de brassage : 3 Volumes / heure

Air Neuf

Air Vicié

Prise d'Air Neuf

C.T.A. Double Flux

(débit 2500 m3/h)

By Pass Free-Cooling

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Puits climatique à air

RM

Taux de brassage : 3 Volumes / heure

Air Neuf

Air Vicié

Prise d'Air Neuf

C.T.A. Double Flux

(débit 2500 m3/h)

By Pass Free-Cooling

Registre 3 voies

Regard Condensat

Prise d'Air

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Puits climatique à eau

Taux de brassage : 3 Volumes / heure

Air Neuf

Air Vicié

Prise d'Air Neuf

Module Hydraulique

Regard Répartiteur

RM

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Puits climatique sur nappe

Air Neuf

Air Vicié

Prise d'Air Neuf

Taux de brassage : 8 Volumes / heureEchangeur

Nappe PhréatiquePompe

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Quelle est la précision

de la STD?

Question 2 :

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Confronter STD & Suivi

Sonde ouest

Sonde Sud

Sonde Nord

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Confronter STD & Suivi

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Tem

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°C)

Modèle numérique / Suivi instrumenté

Modèle

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Confronter STD & Suivi

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°C)

Modèle numérique / Suivi instrumenté

Modèle Relevé - Moyenne

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Confronter STD & Suivi

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Variations bureautique

Modèle-Avant recalage Modèle-PC éteints WE Relevé - Mur Sud

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Confronter STD & Suivi

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Variations bureautique

Modèle-Avant recalage Modèle-PC éteints WE Modèle-PC allumés WE Relevé - Mur Sud

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Confronter STD & Suivi

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°C)

Variation du débit de ventilation

Modèle-0.5 vol/h Relevé - moy sondes

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°C)

Variation du débit de ventilation

Modèle-0.5 vol/h Modèle-1.5 vol/h Modèle-2.5vol/h Relevé - moy sondes

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Confronter STD & Suivi

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Calage du modèle d'état des lieuxText Modèle Relevé - Moyenne

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STD et garantie de

résultat

Question 3 :

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STD et garantie de résultat

Euros

Performance de départ

Economie attendue

Coût du plan de

M&V

Part bâti

Part humain

Part bâtiPart

humain

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Pour en savoir plus…

… Sur l’open-space: www.be-vivien.fr

Pour en savoir plus … 47

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On en est là !

• Introduction

• Concevoir avec la STD, typologies d’analyse

• Commissionnement & STD

• Échanges

• Six exemples d’usage STD

– Surchauffe Lycée

– Open space bureaux

– Evaluation Puissance installée 40 logements

– Salle blanche

– Chai Bordelais

– Transfert d’air

• Conclusion

• Échanges

o Bruno GEORGES

o Benoît MARAVAL

o Jean Pascal AGARD

o Exemples

– Bruno GEORGES

– Christian Schwarzberg

– B. Maraval + Hervé Sébastia

– Benoît Maraval

– Christian Schwarzberg

– Bruno GEORGES

o Bruno GEORGES

o Tout le monde !

Pause 20 minutes

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Détermination de la puissance chaudière

d’un bâtiment résidentiel de 42 logements

Intervenants :

Benoît MARAVAL – Bet ADRET

et

Hervé SEBASTIA – ATLANTIC GUILLOT

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014

Comment déterminer la puissance chaudière ?

Présentation du bâtiment résidentiel

42 logements en accession

Typologie = 13 T2 + 11 T3 + 14 T4 + 4T5

SHON RT = 3321 m² - Shab 2883,7 m²

Nîmes – zone H3

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Comment déterminer la puissance chaudière ?

Mode constructif : un bâti performant …

Planchers sur parking

Projection d’isolant épaisseur 150mm en une seule couche, R > 3.1 m² K/W

Toitures-terrasses

Isolation sur dalle par des panneaux isolants en polyuréthane

de 20 cm d'épaisseur R ≥ 8.3 m² K/W

Murs béton

Isolation extérieure par des panneaux de polystyrène

de 16 cm d'épaisseur R ≥ 4.2 m² K/W

Ouvrants

Menuiseries, Uw ≤ 1.60 W/m².K - Ujn ≤ 1.41 W/m².K

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Comment déterminer la puissance chaudière ?

Calculs de déperditions : surpuissance à la relance !

Surpuissance à la relance = 17,3 kW à 72 kW

Puissance chauffage ≈ 90 kW** + 20% à + 80% !!!

Faut-il prendre en compte des abaissements de nuit ?

Selon NF EN 12831 (03/2004) et NF P52-612/CN (12/2010) :

Surpuissance à la relance (W) = Frh x Shab

Tableau D 10) – Facteur de relance Frh pour bâtiments résidentiels, durée maximale du ralenti de nuit 8h

** Site modérément abrité - étanchéité moyenne avec joints normaux – VMC Hygro B / débits moyens selon NF P52-612/CN

T°amb = 20°C

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014

Comment déterminer la puissance chaudière ?

Bâtiments neufs et abaissements de nuit ?

Chute de 0,7°C en 8 heures (de nuit)

Abaissement (2 à 4°C) = surpuissance à la relance = à ne pas prendre en compte !

Simulation dynamique : chute T°ambiante / coupure chauffage de nuit = jour + froid

JC

E A

ix e

n P

rov

en

ce

2 d

éce

mb

re 2

014

Comment déterminer la puissance chaudière ?

Dimensionnement ECS : label = méthode Qualitel

Solution retenue = 101 kW / 1000 litres ≠ 114 kW puissance max. échangeurs !

Attention puissance ECS doublée / méthode standard !

JC

E A

ix e

n P

rov

en

ce

2 d

éce

mb

re 2

014

Comment déterminer la puissance chaudière ?

Dimensionnement ECS : méthode standard

Dimensionnement Standard ≠ Dimensionnement Qualitel

53 kW / 1000 litres ≠ 101 kW / 1000 Litres

JC

E A

ix e

n P

rov

en

ce

2 d

éce

mb

re 2

014

Comment déterminer la puissance chaudière ?

Besoins chauffage et ECS

Calcul des déperditions (selon NF EN 12831 et NF P52-612/CN)

Sans abaissement : 90 kW / 112 kW (+25%)

Avec abaissement : 107 kW / 134 kW (+25%)

N.B. : - abaissement 2K / relance 4h = surpuissance à la relance la plus faible

- majoration pour compenser défauts ou baisse de performance du bâti/durée de vie

Dimensionnement ECS

Qualitel : 1000 litres / 101 kW (échangeur 114 kW)

Rappel en standard : 1000 litres / 53 kW

Quelle puissance de chaudière à condensation sélectionner ?

JC

E A

ix e

n P

rov

en

ce

2 d

éce

mb

re 2

014

Comment déterminer la puissance chaudière ?

Normes/réglementation puissance chaudière ?

Constat : aucunes règlementations/normes pour déterminer la puissance chaudière !

- Sous-puissance = non acceptable

- Surpuissance : Surcoût

Augmentation des cycles M/A brûleur

Habitudes constatés sur le terrain / dimensionnement ?

JC

E A

ix e

n P

rov

en

ce

2 d

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mb

re 2

014

Comment déterminer la puissance chaudière ?

Retours terrain / sélection puissance chaudière maxi

Hypothèses : Pchaudière mini pour 2 générateurs

Ptotale = Pchauffage + Péchangeur ballon ecs = 134 + 114 = 248 kW

Erreur : Pecs = 101 kW et non Péchangeur ballon ecs !

Détermination puissance des 2 chaudières avec sécurité 75%

Pchaudière = ¾ x 248 + ¾ x 248 = 186 kW + 186 kW = 372 kW mini

Sélection des 2 chaudières condensation

Puissance ≥ 186 kW

2 modèles de 219 kW soit 438 kW installés

JC

E A

ix e

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en

ce

2 d

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mb

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014

Comment déterminer la puissance chaudière ?

Retours terrain / sélection puissance chaudière mini

Hypothèses : Pchaudière mini pour 2 générateurs

Ptotale = Pmax entre chauffage et ECS = 112 kW (90 + 25%)

Avantage = non prise en compte dimensionnement ECS Qualitel surdimensionné = 1000 L avec 101 kW contre 53 kW

Détermination puissance des 2 chaudières sans sécurité

Pchaudière = ½ x 112 + ½ x 112 = 56 kW + 56 kW = 112 kW mini

En cas de panne : - 1 chaudière de 50% assure > 80% besoins chauffage

- 1 chaudière assure besoins ECS standard (53 kW)

- 2 chaudières assurent besoins ECS Qualitel (101 kW)

Sélection des 2 chaudières condensation

Puissance ≥ 56 kW

2 modèles de 60 kW soit 120 kW installés

JC

E A

ix e

n P

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en

ce

2 d

éce

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014

Comment déterminer la puissance chaudière ?

Retours terrain / bilan

Cas extrême maxi : 2 modèles de 219 kW soit 438 kW installés

Cas extrême mini : 2 modèles de 60 kW soit 120 kW installés

Comment estimer les besoins (chauffage + ECS) maxi horaire ?

Approche par simulation dynamique

JC

E A

ix e

n P

rov

en

ce

2 d

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mb

re 2

014

Comment déterminer la puissance chaudière ?

Approche dynamique : hypothèses

Objectif : approcher des besoins de chauffage réalistes

Des hypothèses libres et qui peuvent différer des hypothèses de déperditions :

- Données météorologiques au pas de temps horaire sur un an

- Consigne à 20°C (> 19°C réglementaire)

- Prise en compte des apports internes (occupation, dégagements de chaleur,

ventilation, …) de façon statistique

0

2

4

6

8

10

12

14

16

0 6 12 18 24

Puissances

(W)

Exemple d’évolution d’appels de puissance électrique sur une journée type

Heures

- Ouverture des fenêtres, …

JC

E A

ix e

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en

ce

2 d

éce

mb

re 2

014

Comment déterminer la puissance chaudière ?

Approche dynamique : hypothèses

- Intégration des appels de puissance ECS au pas de temps horaire, selon les 2

scenarios suivants :

- dimensionnement ECS standard (25 L/p.j à 60°C soit 3420L/j)

- dimensionnement ECS double (50 L/p.j à 60°C soit 6840L/j)

> dimensionnement ECS RT 2012 = 23 L/p.j à 60°C soit 3160L/j

- Prise en compte des pertes de bouclage (4kW en moyenne annuelle)

0

100

200

300

400

500

600

700

1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24

pu

isa

ge

(li

tre

s/h

eu

re)

semaine samedi dimanche

Profils horaires de puisage ECS (source AICVF)

Heures

JC

E A

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en

ce

2 d

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014

Comment déterminer la puissance chaudière ?

Monotone : puissance maxi horaire annuelle

85 kW

106 kW

135 kW

Chauffage seul

Chauffage & ECS standard

Chauffage & ECS double

Légende :

Rappel dimensionnement cas extrême mini = 120 kW de puissance installée

60 kW

Mini = 1 chaudière

260h

Dimensionnement mini = 1 sur 2 chaudières 60 kW = 95% besoins chauffage annuel !

JC

E A

ix e

n P

rov

en

ce

2 d

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014

Comment déterminer la puissance chaudière ?

Monotones de puissances : cas extrême maxi

Besoins bâtiment < Pmini 20% (chaudière 219 kW) pendant : • 5629 - 1570 = 4059 h en chauffage seul = 72%

• 8760 - 2600 = 6160 h en chauffage + ECS standard = 70%

• 8760 - 3360 = 5400 h en chauffage + ECS double = 62%

Seuil modulation mini chaufferie

1570

2600

3360 Chauffage seul

Chauffage & ECS standard

Chauffage & ECS double

Légende :

Modulation des chaudières pratiquement inexistante !

JC

E A

ix e

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en

ce

2 d

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014

Comment déterminer la puissance chaudière ?

Monotones de puissances : cas extrême mini

Besoins bâtiment < Pmini 20% (chaudière 60 kW) pendant : • 5629 - 4385 = 1244 h en chauffage seul = 22%

• 8760 - 6110 = 2650 h en chauffage + ECS standard = 30%

• 8760 - 7245 = 1515 h en chauffage + ECS double = 17%

4385

6110

7245

Chauffage seul

Chauffage & ECS standard

Chauffage & ECS double

Légende :

12

Seuil modulation mini chaufferie

Seuil mini de modulation des chaudières exploité !

JC

E A

ix e

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en

ce

2 d

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mb

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014

Comment déterminer la puissance chaudière ?

Synthèse

Dimensionnement mini

2 x 60 kW

Economies financières / chaudières :

18000 euros PPHT

+ évacuation des fumées + hydraulique primaire + …

= gain au minimum de 500 euros / logement …

? Satisfaction à court terme

pour « Chaudièristes » !

Simulation dynamique = ajustement de la puissance des chaudières à condensation collective

= une des solutions les plus pertinentes RT2012 !

Dimensionnement maxi

2 x 219 kW

JC

E A

ix e

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en

ce

2 d

éce

mb

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014

JC

E A

ix e

n P

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en

ce

2 d

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014

On en est là !

• Introduction

• Concevoir avec la STD, typologies d’analyse

• Commissionnement & STD

• Échanges

• Six exemples d’usage STD

– Surchauffe Lycée

– Open space bureaux

– Evaluation Puissance installée 40 logements

– Salle blanche

– Chai Bordelais

– Transfert d’air

• Conclusion

• Échanges

o Bruno GEORGES

o Benoît MARAVAL

o Jean Pascal AGARD

o Exemples

– Bruno GEORGES

– Christian Schwarzberg

– B. Maraval + Hervé Sébastia

– Benoît Maraval

– Christian Schwarzberg

– Bruno GEORGES

o Bruno GEORGES

o Tout le monde !

Pause 20 minutes

70

JC

E A

ix e

n P

rov

en

ce

2 d

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mb

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014

Réduction des consommations

d’une salle blanche

Intervenant :

Benoît MARAVAL – Bet ADRET

JC

E A

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en

ce

2 d

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mb

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014

Réduction des consommations d’une salle blanche

Sommaire

Contexte: Laboratoire d’optique Conditions de température et humidité maitrisées et stables Objectif: minimiser les consommations pour réduire les charges Méthode:

Modélisation du bâti et des systèmes

Analyse des résultats

Test d’optimisations

Etudes paramétriques

JC

E A

ix e

n P

rov

en

ce

2 d

éce

mb

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014

Réduction des consommations d’une salle blanche

Modélisation fine du bâti et des systèmes

aérauliques

Exemple de modélisation du traitement d’air

JC

E A

ix e

n P

rov

en

ce

2 d

éce

mb

re 2

014

Réduction des consommations d’une salle blanche

Analyse des résultats: consommations globales

10%

16%

0%

49%

10%

15%

Répartition des besoins de la zone laboratoires

besoins chaud CTA hiver

besoins chaud CTA été

besoins de chaud terminaux

besoins de froid etdéshumidification

besoins d'électricité pourl'humidification

besoins d'électricité pour lesauxiliaires de ventilation

10%

16%

0%

49%

10%

15%

Répartition des besoins de la zone laboratoires

besoins chaud CTA hiver

besoins chaud CTA été

besoins de chaud terminaux

besoins de froid etdéshumidification

besoins d'électricité pourl'humidification

besoins d'électricité pour lesauxiliaires de ventilation

10%

16%

0%

49%

10%

15%

Répartition des besoins de la zone laboratoires

besoins chaud CTA hiver

besoins chaud CTA été

besoins de chaud terminaux

besoins de froid etdéshumidification

besoins d'électricité pourl'humidification

besoins d'électricité pour lesauxiliaires de ventilation

électrique

réseau

JC

E A

ix e

n P

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en

ce

2 d

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014

Réduction des consommations d’une salle blanche

Analyse des résultats: simultanéité chaud/ froid

0

10

20

30

40

50

60

1/7 8/7 15/7 22/7 29/7 5/8 12/8 19/8 26/8

Puis

san

ce (k

W)

Simultanéité des besoins de chaud et de froid

chaud

froid et déshumidification

Opportunité de récupération de chaleur

JC

E A

ix e

n P

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en

ce

2 d

éce

mb

re 2

014

Réduction des consommations d’une salle blanche

Etudes d’optimisations

Quantification du gain lié à une récupération de chaleur

0

50 000

100 000

150 000

200 000

250 000

300 000

350 000

400 000

TOTAL EP zone labo BESOINS CHAUD BESOINS FROID + DESHU

Etude de la récupération de chaleur au condenseur du groupe frigorifique

BASE

VARIANTE RECUP

JC

E A

ix e

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rov

en

ce

2 d

éce

mb

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014

Réduction des consommations d’une salle blanche

Etudes paramétriques

Point de consigne de température

0

20 000

40 000

60 000

80 000

100 000

120 000

140 000

160 000

chaud électricité chaud réseau chaud total froid + déshu humidification

Besoins par poste en kWh/an

base

T° consigne 22

18°C

JC

E A

ix e

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en

ce

2 d

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mb

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014

Réduction des consommations d’une salle blanche

Synthèse

Etude lourde (5 à 8 jours de travail, logiciel complexe)

A réserver à des cas complexes aux enjeux forts

Economie de plus de 40000kW.h d’électricité par an

JC

E A

ix e

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en

ce

2 d

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mb

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014

JC

E A

ix e

n P

rov

en

ce

2 d

éce

mb

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014

On en est là !

• Introduction

• Concevoir avec la STD, typologies d’analyse

• Commissionnement & STD

• Échanges

• Six exemples d’usage STD

– Surchauffe Lycée

– Open space bureaux

– Evaluation Puissance installée 40 logements

– Salle blanche

– Chai Bordelais

– Transfert d’air

• Conclusion

• Échanges

o Bruno GEORGES

o Benoît MARAVAL

o Jean Pascal AGARD

o Exemples

– Bruno GEORGES

– Christian Schwarzberg

– B. Maraval + Hervé Sébastia

– Benoît Maraval

– Christian Schwarzberg

– Bruno GEORGES

o Bruno GEORGES

o Tout le monde !

Pause 20 minutes

80

JC

E A

ix e

n P

rov

en

ce

2 d

éce

mb

re 2

014

La STD appliquée à un chai à bouteille

CHRISTIAN SCHWARZBERG

BE VIVIEN BORDEAUX

81

JC

E A

ix e

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rov

en

ce

2 d

éce

mb

re 2

014

Présentation de l’opération

JC

E A

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en

ce

2 d

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014

83

JC

E A

ix e

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en

ce

2 d

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mb

re 2

014

84

JC

E A

ix e

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rov

en

ce

2 d

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mb

re 2

014

85

JC

E A

ix e

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en

ce

2 d

éce

mb

re 2

014

86

JC

E A

ix e

n P

rov

en

ce

2 d

éce

mb

re 2

014

3 espaces

STOCKAGE 1 500 000 bouteilles

20°C

PREPARATION 24°C

EXPEDITION 24°C

71 mètres

24

mèt

res

87

JC

E A

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rov

en

ce

2 d

éce

mb

re 2

014

Murs : Parpaing creux 20 cm LdV Th38 20 cm

Toiture : 40 cm de LdV

Plancher sur TP : Dalle béton 20 cm Polyuréthane TH30 6 cm

HSP : 6,3 m

88

JC

E A

ix e

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rov

en

ce

2 d

éce

mb

re 2

014

Faut-il climatiser ?

Question 1 :

JC

E A

ix e

n P

rov

en

ce

2 d

éce

mb

re 2

014

Une modélisation complexe…

Vin

Estimer l’échange … par bouteille ?

Estimer l’échange … par rack ?

Le vin se refroidit … de manière homogène ?

Le vin se refroidit … de l’extérieur vers l’intérieur ?

90

JC

E A

ix e

n P

rov

en

ce

2 d

éce

mb

re 2

014

OUI IL FAUT CLIMATISER !

10 °C

11 °C

12 °C

13 °C

14 °C

15 °C

16 °C

17 °C

18 °C

19 °C

20 °C

21 °C

22 °C

23 °C

58

32

63

32

68

32

73

32

78

32

83

32

88

32

93

32

98

32

10

33

2

10

83

2

11

33

2

11

83

2

12

33

2

12

83

2

13

33

2

13

83

2

14

33

2

14

83

2

15

33

2

15

83

2

16

33

2

16

83

2

17

33

2

TEM

PÉR

ATU

RES

NOMBRE D'HEURES

TEMPÉRATURE DANS LE STOCKAGE

T° STOCKAGE LIMITE 20°C

91

JC

E A

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rov

en

ce

2 d

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mb

re 2

014

Quelles optimisations ?

Question 2 :

JC

E A

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rov

en

ce

2 d

éce

mb

re 2

014

Ne pas isoler le terre-plein !

15 °C

16 °C

17 °C

18 °C

19 °C

20 °C

21 °C

22 °C

23 °C

24 °C

0 200 400 600 800 1000 1200 1400 1600 1800 2000 2200 2400 2600 2800 3000 3200 3400 3600

TEM

PÉR

ATU

RE

AM

BIA

NTE

NOMBRE D'HEURES CUMULÉES

IMPACT DE L'ISOLATION DU PLANCHER SUR TERRE-PLEIN

Isolé 6 cm PSE Sans isolation LIMITE 20°C LIMITE 21°C

93

JC

E A

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en

ce

2 d

éce

mb

re 2

014

Efficacité relative du Free-cooling

15 °C

16 °C

17 °C

18 °C

19 °C

20 °C

21 °C

22 °C

23 °C

24 °C

25 °C

0 200 400 600 800 1000 1200 1400 1600 1800 2000 2200 2400 2600 2800 3000 3200 3400 3600

TEM

PÉR

ATU

RE

AM

BIA

NTE

NOMBRE D'HEURES CUMULÉES

IMPACT DU FREE-COOLING

Isolé 6 cm PSE Sans isolation SS Isol + Free-cooling

94

JC

E A

ix e

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rov

en

ce

2 d

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mb

re 2

014

Rafraichissement Adiabatique 95

JC

E A

ix e

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rov

en

ce

2 d

éce

mb

re 2

014

C’est efficace !

15 °C

16 °C

17 °C

18 °C

19 °C

20 °C

21 °C

22 °C

23 °C

24 °C

25 °C

0 200 400 600 800 1000 1200 1400 1600 1800 2000 2200 2400 2600 2800 3000 3200 3400 3600

TEM

PÉR

ATU

RE

AM

BIA

NTE

NOMBRE D'HEURES CUMULÉES

IMPACT DU RAFRAICHISSEMENT ADIABATIQUE

Sans isol + Free-cooling Rafraichissement adiabatique LIMITE 20°C LIMITE 21°C

Plancher non isoléFree-coolingDép = 2 sem

96

JC

E A

ix e

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en

ce

2 d

éce

mb

re 2

014

STD et réalité ?

Question 3 :

JC

E A

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en

ce

2 d

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mb

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014

Local stockage

T°maxi juin : 23°C – 30°C

98

JC

E A

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rov

en

ce

2 d

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mb

re 2

014

Local stockage 99

JC

E A

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en

ce

2 d

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mb

re 2

014

Pléiades ou TRNSYS ?

Question 4 :

JC

E A

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en

ce

2 d

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mb

re 2

014

Pléiades vs TRNSYS 101

JC

E A

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en

ce

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mb

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014

JC

E A

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en

ce

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014

On en est là !

• Introduction

• Concevoir avec la STD, typologies d’analyse

• Commissionnement & STD

• Échanges

• Six exemples d’usage STD

– Surchauffe Lycée

– Open space bureaux

– Evaluation Puissance installée 40 logements

– Salle blanche

– Chai Bordelais

– Transfert d’air

• Conclusion

• Échanges

o Bruno GEORGES

o Benoît MARAVAL

o Jean Pascal AGARD

o Exemples

– Bruno GEORGES

– Christian Schwarzberg

– B. Maraval + Hervé Sébastia

– Benoît Maraval

– Christian Schwarzberg

– Bruno GEORGES

o Bruno GEORGES

o Tout le monde !

Pause 20 minutes

103

JC

E A

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en

ce

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014

Transfert d’air et STD

BRUNO GEORGES ITF

104

JC

E A

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ce

2 d

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mb

re 2

014

Transferts d’air

• Evaluation des transferts d’air sous les effets conjugués

– Du vent :

• Pressions de vent sur les façades

• Vitesse et orientation du vent à proximité du projet

– Du tirage thermique

• Différence de températures entre intérieur et extérieur

• Couplages thermo aérauliques

105

JC

E A

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ce

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re 2

014

Approche de l’Aéraulique

bâtiments ou parcelles

un sujet encore délicat

106

JC

E A

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ce

2 d

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014

CFD – Les résultats potentiels

Cartographie des températures/pression dans un domaine défini, sous conditions fixes ou variables

• Maillage du domaine

• Description des écoulements internes – Confort thermique

– Eviter les zones mortes (salles blanches)

– Eviter les zones de forte turbulence

• Description des écoulements – Zones de pression/dépression

– Définition des Cp

• Résolution des équations qui régissent l’écoulement – Méthodes des volumes finis

– Résolution des équations de Navier Stokes

– Différents algorithmes de calcul de la turbulence

– RANS, LES, DNS

107

JC

E A

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en

ce

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mb

re 2

014

Exemple d’étude du comportement thermique de zones sous verrières

108

JC

E A

ix e

n P

rov

en

ce

2 d

éce

mb

re 2

014

Comportements thermiques de bureaux sur des espaces atrium

Risques de surchauffes à minimiser dans les bureaux donnant sur l’atrium et dans l’atrium

109

JC

E A

ix e

n P

rov

en

ce

2 d

éce

mb

re 2

014

Comportements thermiques de bureaux sur des espaces atrium

0

500

1000

1500

2000

2500

3000

30 m3/h En OccupationSans Protection Efficace

VNAT occupation+

Protection Efficace

30 m3/h En OccupationSans Ventilation naturelle

de l'atrium

30 m3/h En OccupationAvec ventilation naturelleAutomatique de l'atrium

No

mb

re d

'he

ure

s >

28

°C

RDC

R1

R2

Bureaux

110

JC

E A

ix e

n P

rov

en

ce

2 d

éce

mb

re 2

014

2647

322 Heures

754

145 165 Heures 30 Heures

0

500

1000

1500

2000

2500

3000

30 m3/h EnOccupation

Sans ProtectionEfficace

VNAT occupation+

ProtectionEfficace

30 m3/h EnOccupation

Sans Ventilationnaturelle de

l'atrium

30 m3/h EnOccupation

Avec ventilationnaturelle

Automatique del'atrium

45 m3/h EnOccupation

30 m3/h surSonde

No

mb

re d

'he

ure

s >

28

°C

Bureaux

111

JC

E A

ix e

n P

rov

en

ce

2 d

éce

mb

re 2

014

Evaluation des effets du vent

en extérieur évaluer le confort du piéton

comprendre les pressions sur façades

évaluer les transfert d’air dans le bâti

112

JC

E A

ix e

n P

rov

en

ce

2 d

éce

mb

re 2

014

Evaluation du vent

Evaluation des coefficients de pression sur les façades

113

JC

E A

ix e

n P

rov

en

ce

2 d

éce

mb

re 2

014

Evaluation du vent Evaluation des coefficients de pression sur les façades

114

JC

E A

ix e

n P

rov

en

ce

2 d

éce

mb

re 2

014

Evaluation du vent

Accéder à une évaluation rationnelle du potentiel de ventilation naturelle

115

JC

E A

ix e

n P

rov

en

ce

2 d

éce

mb

re 2

014

JC

E A

ix e

n P

rov

en

ce

2 d

éce

mb

re 2

014

On en est là !

• Introduction

• Concevoir avec la STD, typologies d’analyse

• Commissionnement & STD

• Échanges

• Six exemples d’usage STD

– Surchauffe Lycée

– Open space bureaux

– Evaluation Puissance installée 40 logements

– Salle blanche

– Chai Bordelais

– Transfert d’air

• Conclusion

• Échanges

o Bruno GEORGES

o Benoît MARAVAL

o Jean Pascal AGARD &

Stéphane LEMEY

o Exemples

– Bruno GEORGES

– Christian Schwarzberg

– B. Maraval + Hervé Sébastia

– Benoît Maraval

– Christian Schwarzberg

– Bruno GEORGES

o Bruno GEORGES

o Tout le monde !

Pause 20 minutes

117

JC

E A

ix e

n P

rov

en

ce

2 d

éce

mb

re 2

014

En rappel,

les calculs énergétiques ne sont pas « conventionnels »

comme la RT et ne cherchent pas à s’en rapprocher

Ils cherchent à évaluer la réalité

et permettent au concepteur un libre arbitrage

118

JC

E A

ix e

n P

rov

en

ce

2 d

éce

mb

re 2

014

La STD n’est pas dans la MOP,

le calcul réglementaire n’y est même pas

c’est aussi un Chiffre d’Affaire

potentiel à négocier

119

JC

E A

ix e

n P

rov

en

ce

2 d

éce

mb

re 2

014

Le préalable est bien de comprendre

Quelle est la question ?

120

JC

E A

ix e

n P

rov

en

ce

2 d

éce

mb

re 2

014

Nécessité de maîtriser les hypothèses

Revue d’objectif, Revue d’hypothèses

Données d’entrée (T hiver, T été, Rapport AMO, …)

Physiologie humaine, Culture des occupants,

Données météo sécurisées

Calage des heures

Intégration mobilier et autres sujétions « hors

cadre »

121

JC

E A

ix e

n P

rov

en

ce

2 d

éce

mb

re 2

014

Des modèles

adaptés

à la question posée

122

JC

E A

ix e

n P

rov

en

ce

2 d

éce

mb

re 2

014

Pas nécessairement « révolutionnaire »

en gain,

des prises de risques raisonnées et réfléchies

123

JC

E A

ix e

n P

rov

en

ce

2 d

éce

mb

re 2

014

Simulation dynamique :

des arbitrages pertinents,

sans marge de sécurité surévaluée.

S’aventurer aussi hors des sentiers battus,

là où les ratios usuels n’existent pas

124

JC

E A

ix e

n P

rov

en

ce

2 d

éce

mb

re 2

014

Mieux travailler,

grâce à une meilleure connaissance

de la physique, des physiques

de son propre « cœur de métier »

125

JC

E A

ix e

n P

rov

en

ce

2 d

éce

mb

re 2

014

En corollaire, la nécessité

de se former,

de monter en compétence, …

126

JC

E A

ix e

n P

rov

en

ce

2 d

éce

mb

re 2

014

Se rappeler que

ce n’est pas la simulation

qui amène l’idée, la bonne, …

127

JC

E A

ix e

n P

rov

en

ce

2 d

éce

mb

re 2

014

Simulation dynamique,

une sensibilité presque transversale à acquérir,

à mêler aux compétences « historiques » des BE

plus qu’une compétence « à part » ?

128

JC

E A

ix e

n P

rov

en

ce

2 d

éce

mb

re 2

014

Commissionnement efficace

une sensibilité presque transversale

nécessairement à acquérir,

plus qu’une compétence « à part » ?

129

JC

E A

ix e

n P

rov

en

ce

2 d

éce

mb

re 2

014

Concevoir innovant, engagé,

sécurisé et efficace

Simulation dynamique

Atteindre et conserver la performance

Commissionnement

JC

E A

ix e

n P

rov

en

ce

2 d

éce

mb

re 2

014

On en est là !

Échanges

131

JC

E A

ix e

n P

rov

en

ce

2 d

éce

mb

re 2

014

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