création de posters scientifiques - univ-tlse2.fr · posters scientifiques - 2017 16 marie-laure...
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Formations méthodologiques
Marie-Laure Maraval Appui à la recherche
Création de posters scientifiques
Les formations méthodologiques de l’Atelier informatique
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Marie-Laure MaravalPosters scientifiques - 2017
Qu’est ce qu’un poster scientifique ?
Un poster est à la fois un spectacle et un message
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Quelques définitions
Outils de transmission du savoir fondés sur l’image
C’est une « affiche »
Ce n’est pas un article mis en grand format
Un résumé, descriptif et illustré, mais un résumé !
Une vulgarisation scientifique* de votre sujet
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Buts et objectifs des posters
Capter l’attention du spectateur par la forme et le retenir par le fond
Informer la communauté des avancés de vos travaux
Susciter la curiosité et provoquer des échanges avec vos collègues et interlocuteurs
Représenter votre institution ou votre université
Peut être considéré comme une vrai publication
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Quelques méthodes
Le public passera en moyenne entre 3 et 5 minutes devant votre affiche
Restreindre au maximum le texte : plus il y a d’informations, moins le public s’y attardera
Mettre en relief les éléments clés
Utiliser des éléments visuels qui appuient et résument les résultats (graphiques, tableaux, photos, titres faciles à repérer)
Attention aux couleurs et effets graphiques excessifs. Le tape à l’oeil dilue le propos et désoriente le lecteur
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Qu’est ce qui est évalué par un jury ?
Consignes données par le CNRS pour des jury de posters
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Qu’est ce qui sera évalué par un jury ?
Lisibilité et intelligibilité sont essentielles
Il doit être compréhensible par toute personne de niveau bac ou équivalent
Le fond et la forme, en tenant compte de la qualité esthétique de l’ensemble
Le poster doit comprendre une démonstration claire et ferme
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Qu’est ce qui sera évalué par un jury ?
Le texte doit-être clair et efficace (titres précis, phrases courtes et directes).
Les illustrations et documents doivent être en rapport direct avec le texte et constituer des éléments à part entière du poster.
Le poster doit proposer un cheminement entre les documents. L’articulation des documents doit être claire, afin de guider le parcours du regard du spectateur.
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Qu’est ce qui sera évalué par un jury ?
Équilibre entre les images et le texte
Variété et qualité esthétique des images (cartes, photos, images satellites)
Choix judicieux des couleurs et des polices de caractère
Le fond (nouveauté et sérieux de la recherche, intérêt du terrain, etc.) n’est pas le facteur discriminant. Ce qui compte, c’est la manière dont ce fond est traité visuellement
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Le processus de réalisation
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Les consignes des organisateurs
Elles se résument souvent à des informations d’ordre pratique lieu et conditions de la présentation
dimensions
orientation
nombre de posters
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Faire le point et s’organiser
Adéquation sujet personnel / sujet colloque
Un ou plusieurs posters ?
Réunir les documents
Normaliser les documents
Vérifier la chaîne de production Outil(s) de mise en page
Possibilités d’impression
Budget
Temps…
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Les outils de réalisation
Pour la conception du Poster Logiciel de PAO (InDesign ou Express) : l’idéal, logiciel professionnel, avec difficultés (?) d’accès et de prise en main
Logiciel de dessin vectoriel (Illustrator, Inskape) : meilleur rapport qualité graphique/accès à l’outils (mais ne permet pas de faire du multipage. Même interface qu’InDesign
Logiciel de PréAO (PowerPoint, Keynotes) : depuis 2007 PPT plus orienté sur le graphisme, logiciel le plus «accessible»
Pour les illustrations Logiciel de traitement de photos
Logiciel de dessin vectoriel
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Le support
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LES FORMATS (ISO 216)
Les principaux formats de la série A A0 : 841 x 1189 mm. Format de base, correspond à une feuille d'une surface de 1 m2 A1 : 594 x 841 mm A2 : 420 x 594 mm A3 : 297 x 420 mm A4 : 210 x 297 mm (format le plus courant) etc. B5 : 250 x 176 mm
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Principe : quand on plie le papier en
deux, on obtient le format inférieur de la moitié de la surface
initiale
Le chiffre indique le nombre de fois que la feuille de base a été divisée en deux
La largueur de l'un devient la longueur
de la suivante
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Orientation des pages
Grand axe horizontal =paysage ou « à l’italienne »
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Grand axe vertical
= portrait
ou « à la française »
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LE GRAMMAGE (ISO 534)
Il s'agit du poids d'une feuille de papier ou de carton en gramme au mètre carré
II ne s’agit pas de l’épaisseur = micron
Pour un poster 170 ou 180 gr
Au delà de 220 g/m², on entre dans la catégorie des cartes et des cartons
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EXEMPLES
12 g/m2 : papier à cigarette
42 g/m2 : papier journal
65-80-90/100 g/m2 : Impression - écriture
120 g/m2 : cartonnette pour faire-part, invitations
170 g/m2 : les posters réalisés à l’atelier de l’UTM
Carte de visite (généralement) : 220-250 g/m2
Carte postale : 300-350-400 g/m2
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Conception / Création
Récupération ou Création
Les titres
Les textes
Les « images »
Les logos
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LES TEXTES
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Tailles des polices des textes
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Titre 3x la grosseur des caractères du texte courant
108 points
Sous-titre 2x la grosseur des caractères du texte courant
72 points
Texte courant Caractères normaux36
points
Texte secondaire 1/2 du texte courant18
points
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Quelques règles générales
Quantité (à titre indicatif normes CNRS) : 1500 signes
Les titres doivent être comme des « slogans » en gras et en couleurs éviter les déterminants en fin de ligne (un, une, le, la...) pas de ponctuation à la fin d’un titre Accentuation des majuscules
Les textes explicatifs : aller à l’essentiel, phrases courtes, vocabulaire clair, économie de mots Autres
les légendes pour les images coordonnées (mail, adresse, site internet...) La bibliographie
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Les variables typographiques
Pas plus de 2 polices différentes (hors illustrations)
Privilégié des polices de type « bâton » (ou «sans sérif»)
Style : normal, italique, souligné
La graissage
Justification du texte Justifié Fer à gauche Fer à droite Centré Habillé
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T T
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Règles de ponctuation
Rappel : l’espace insécable est l’espace qui « soude » deux caractères :
sur Mac : Alt + espace ; sur PC : Ctrl + Maj + Espace.
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Avant Signe Après! . espace
! , espace
! … espace
espace ; espace
espace ! espace
espace ? espace
espace : espace
espace » espace
espace « espace
espace ( !
! ) espace
! ‘ !
! - !
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Couleurs des polices
Utiliser les même couleur afin d’associer un même type d’information afin d’accentuer les différences
Introduction et la Conclusion Titres Texte courant Résultats
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Illustrations
Photos Cartes Graphiques Photos renseignées
Dessins Schémas Graphique ...
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« Parler avec les images »
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Les images - Principes
Elles doivent avoir du sens. Une image doit être une contribution à la compréhension
Elles doivent être claires et lisibles = compréhensibles
Pour qu’elles restent en mémoire , elles doivent être «belles». Regarder les images d’un poster doit être un plaisir des yeux
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Les images - Acquisition
Collectage ou création pour l’occasion
Scans (attention au moirage)
Photos numériques
Images sur le net (google « images ») pb de propriété intellectuelle
vérifier taille et résolution (poster = grand format)
Copies d’écran
Dessin vectoriels
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Les formats d’images
jpg
tiff
psd
png
gif
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Résolution et taille des images
Qu’est ce qu’un pixel
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1 pixel
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Résolution et taille des images
300 DPI
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La résolution se mesure en « DPI » Dots Per Inch (1 inch = 2,54 cm)
2,54 cm
300 pixels
36 DPI
2,54 cm
36 pixels
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Résolution et taille des images
Se calcule en «dpi» (pixel par pouce)
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Agrandissement forcé d’une image de 5 cm de
côté et de 36 DPI
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Résolution et taille des images
Une image de 5 cm de côté à différentes
définitions = une image nette même si elle est agrandie
300 DPI
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150 DPI
72 DPI36
DPI
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Détramage ou moirage
Lors du scan : l’idéal
Dans Photoshop : rajouter du « Flou » Flou ordinaire : ajoute, de manière uniforme, du flou sur toute l'image Filtre anti-poussières : supprime les pixels qui tranchent trop. Utile pour les dessins en aplat, mais attention aux contours Flou gaussien : rend l'image floue par fusion des points de la trame. Parfait pour la photo Pas de recette miracle : TESTER
Pour une image trop tramée, scanner en très haute résolution (600 dpi) et résolution optique, (surtout pas par d'interpolation) puis réduire
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C105°J90°
M75°N45°
0°
0°
45°
75°90°105°
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Détramage ou moirage
Lors du scan : l’idéal
Dans Photoshop : rajouter du « Flou » Flou ordinaire : ajoute, de manière uniforme, du flou sur toute l'image
Filtre anti-poussières : supprime les pixels qui tranchent trop. Utile pour les dessins en aplat, mais attention aux contours
Flou gaussien : rend l'image floue par fusion des points de la trame. Parfait pour la photo
Pas de recette miracle : TESTER
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Les images - Les graphiques
Les graphiques sont très efficaces sur une affiche. Ils résument bien les résultats, et leur attrait assure visibilité et lisibilité
Éviter les graphiques à effet 3D qui sont bien impressionnant mais, trop illisibles et imprécis, voire faux
Les tableaux ou graphiques trop complexes n'ont aucune efficacité sur une affiche, sauf s’il constituent les seuls résultats
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La couleur
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Les modes colorimétriques
Lumière
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Encre
Synthèse additive (lumière)
RVB
Synthèse soustractive (encre) CMJN
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La couleur
Cercle chromatique
Valeurs
Contrastes
Saturation
Luminosité
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Son utilisation
Fonction de hiérarchisation
Garder un maximum de contraste en fonds et textes
Ne pas démultiplier le nombre de couleur (2/3)
L’une doit être dominante
Les teintes et dégradés de ces mêmes couleurs peuvent servir comme fond de graphique
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Son utilisation
Les images (graphiques, photos, tableaux, schémas) peuvent comprendre plusieurs couleurs.
Un rappel des deux couleurs de base choisies est aussi conseillé
Les mots clé placés en conclusion ou dans les résultats, peuvent d'être soulignée par la couleur
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Compositionet mise en page
« Composer » consiste à ordonner les éléments, à les hiérarchiser en vue de produire une lecture déterminée
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L’agencement, la mise en page
Lorsqu’on a tous les éléments en main, il faut harmoniser l'ensemble afin d'optimiser la lecture et le confort visuel
Mais l’agencement se fait aussi en fonction des éléments que l’on a !
Il est plus important de faciliter la lecture en ciblant vos arguments que de remplir la page
Regrouper les sujets (éviter les textes qui se poursuivent en haut d’une 2e colonne sans titre ni sous-titre)
Équilibre des images et du texte (taille des images, proportions, variété de l’iconographie)
Régularités et alignement sont essentiels (avec touche d’originalité)
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Règles de composition d’une page
Règle des tiers Divise en tiers égaux la longueur et la largeur
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Règles de composition d’une page
Règle axiale (rapide) S’articule sur l’axe horizontal et vertical
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Règles de composition d’une page
En colonnes 2, 3, 4 ou 5
Solution la plus souple, laissant le plus de possibilités graphiques et originales tout en conservant les règles de régularités
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Les tendances naturelles de l’oeil
S’attarde sur les zones compliqués
Il lit Par balayage horizontal Dans le sens de l’habitude culturelle
Se dirige vers la forme la plus grande vers le centre de l’image
Toutefois le graphiste peut diriger le regard vers des chemins préférentiels par
Des points forts de l’image Des lignes prégnantes
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Les principes de la Gestalt (« Forme »)
La Gestalt s’intéresse à la façon dont ces groupes sont formés et comment ceci affecte notre perception
En connaissant ces principes le graphiste va être en mesure de créer dans ses visuels
l’unité la variété ou l’équilibre
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Principe de proximité
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Principe de similarité
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Principe de continuité ou d’alignement
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Principe de fermeture
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Principe de la prégnance
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L’impression
Imprimer (en A4) pour visualiser les proportions
Délais : (après prise de RDV) : 2 jours pour le A0
Des limites pour la découpe
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L’impression
Imprimer (en A4) pour visualiser les proportions
Délais : (après prise de RDV) : 2 jours pour le A0
Des limites pour la découpe
Faire un PDF de votre poster
Le coût de l’impression couleur d’un poster A0
Sur papier 170 gr = 25,00 € à l’atelier d’imprimerie de l’UT2J(36 € à l’extérieur, sur du 180 gr)
Plastification : encapsulage avec oeillets = 29,90 € à l’extérieur
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La présentation
Imprimer (en A4) pour visualiser les proportions
Délais : (après prise de RDV) : 2 jours pour le A0
Imprimer des A4 pour les donner à côté du poster
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Quelques exemples
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Organiser l’espace, compter les signes
Nombre de signes sans espaces : 1922 avec espaces : 2282
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Nombre de signes sans espaces : 2164 avec espaces : 2579
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Avant/Après
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Avant/Après
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Avant/Après
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!!Reformula*ons--dans-l’enseignement-supérieur-:-discours-du-professeur-et-prises-de-notes-des-étudiants.!Analyse(d’enregistrements(d’enseignants(de(Sciences(du(Langage(avec(ou(sans(supports(technologiques!
Colloque(AIPU,(9(Avril(2015((Lille(1)(--1.-Contexte-
• -Intérêt-en-ma*ère-de-pédagogie-universitaire--Objec*fs-de-l’étude-• -descrip*on-des-formes-et-fonc*ons-des-reformula*ons-comportant-des--défini*ons--et-des-exemples-dans-un-cours-magistral-de-L1-Sciences-du-Langage------------E--4-enseignants--(2-expérimentés,-2-débutants)------------E--Etudiants--(L1-Sciences-du-Langage)-• -Élabora*on-d’une-typologie-des-défini*ons-et-des-exemples---• -Place-des-défini*ons-et-des-exemples-dans--un-cours-magistral-de-L1-Sciences-du-Langage-
---2.-Méthodologie--• -corpus--d’ensemble-de-21h-d’enregistrements-• -corpus-restreint-de-9h52-mn-d’enregistrements-(8-séances-de-1h/1h15mn-chacune)-! Thème-de-la-communica*on-verbale--! -Etude-schéma-de-Jakobson-
" -fonc*on-pha*que--" -fonc*on-métalinguis*que-
-
-E---
----------!
!
!
!
-------------
Tableau (Traditionnel)
SUPPORTS PEDAGOGIQUES!
Diaporama (Technologique) SED-
Niveau Débutant [DEBZ]
[DEBZTR1] [DEBZTR2]
!
Niveau Expérimenté [EXPM]
[EXPMTR1] [EXPMTR2]
!
Niveaux--d’exper*se-
Niveau Débutant [DEBI]
[DEBITR1] [DEBITR2]
Niveau Expérimenté [EXPL]
[EXPLTR2] [EXPLTR2]
PDN Etudiants
1ère année SDL
3.-Qu’estEce-que-la-reformula*on-?-
!(# (EDD((Enoncés!Définitoires!Directs)!--E-Rela*on-de-désigna*on---E-Rela*on-de-dénomina*on---E-Rela*on-de-significa*on---E-Rela*on-introduite-par-«-c’estEàEdire-»-!!!
# !EDI!(Enoncés!Définitoires!Indirects)!!
--E-Rela*on-de-classifica*on---E-Rela*on-parenthé*que---E-Détachement-du-terme-à-définir-du-reste-de-l’énoncé---E-Reprise-du-*tre---E-Reprise-anaphorique---E-Reprise-immédiate-!
Un-énoncé-est-considéré-comme-un-exemple-à-condi*on-d’une-part-que- le- contenu-qu’il- dénote-puisse-être- tenu-pour-un-cas-par*culier-du-contenu-dénoté-dans-l’énoncé-exemplifié,- à- condi*on,- d’autre- part- que- l’énoncé-exemplifiant- luiEmême-puisse-être- tenu-pour-un-énoncé-fragmentaire- qui- laisse- en- suspens- l’énuméra*on- d’un-paradigme-»--(Col*er,-1988-:-26)---# -Proposi*on-d’une-typologie-de-l’exemple-:--
---E-Exemple-typique-de-la-classe-(Col*er,-1988)-------Individus-de-la-classe-:-- - - - - -Ex- :- les-pha*ques-sont-des_interjec*ons-telles-que-«-hein-»------E-Enuméra*on-d’exemplaires-de-la-classe-------Enuméra*on-des-individus-de-la-classe-:-- - - - - -Ex- :- les-pha*ques-sont-des_interjec*ons-telles-que-«-Hein-»,-«-n’estEce-pas-»,-«-tu-vois-»,-«-allô-»------E-Situa*on-vécue-par-l’enseignant--------Inser*on-dans-le-quo*dien-de-l’enseignant-- - - - - - - Ex- :- ben-moi- si- je- disais- à-ma- fille- qui- a- 4- ans-d’expliquer-la-fonc*on-métalinguis*que-ça-serait-drôle------E-Situa*on-de-l’étudiant--------Inser*on-dans-le-quo*dien-de-l’étudiant----------Ex-:-Imaginez-que-je-ne-parle-pas-japonais-et-je-vous-dis-saionara-------E-Enchâssement-de-récits-:--------Combinaison-possible-d’exemples---------(enchaînement-/-enchâssement)--------------!
!
4.-Résultats--Corpus-restreint--:-analyse-du-SED-(fonc*on-pha*que)-• -EstEce-que-les-énoncés-définitoires--de-fonc*on-pha*que-sont-signalés-dans-le-SED-?--$ --Dans le SED, les énoncés définitoires sont indirects et ne sont pas signalés
Corpus-restreint-:-analyse-des-énoncés-définitoires-de-fonc*on-pha*que-----------------------------------dans-le-diaporama-et-le-discours-des-enseignants-- • Est-ce que les énoncés définitoires sont indiqués par des marqueurs ? Sont-ils empruntés ? -$ --Dans le diaporama, les énoncés définitoires ne sont pas indiqués par des marqueurs chez M et Z
-$ -Dans le discours, les énoncés définitoires sont directs de désignation (EDD) chez L et I
Corpus restreint (fonction métalinguistique)
• Est-ce que les énoncés définitoires de fonction métalinguistique sont signalés dans le SED?
$ Dans le SED, les énoncés définitoires sont signalés par des marqueurs (« c’est -à-dire » « autrement dit »)
---------Corpus-restreint-:-analyse-des-énoncés-définitoires-de-fonc*on-métalinguis*que-----------------------------------dans-le-diaporama-et-le-discours-des-enseignants---• Est-ce que les énoncés définitoires sont indiqués par des marqueurs ? Sont-ils empruntés ?
$ Dans le diaporama, les énoncés définitoires de fonction métalinguistique sont indiqués par des marqueurs typographiques citationnels chez M et Z . Dans le discours,
5. Bilan et perspectives • Importance des énoncés définitoires : - Acquisition de la terminologie du domaine (point de vue des auteurs) • Importance des exemples : - Confirmer un savoir abstrait par des exemples [EXED Catég 4] - Signalés sur le diaporama, (guillemets, italique), absence d’exemple au tableau
# Mettre à l’épreuve la catégorisation des exemples à d’autres corpus de pratiques enseignantes
$ Influence des indices déclencheurs des prises de notes comme facteur de réussite ? $ Influence de la longueur des exemples ? -
Analyse!compara/ve!
Enoncés!Définitoires!
DIAPORAMA!
M-Expérimenté-
Z-Débutant-
Marqueurs!
métalinguis/ques!E- E-
Signes!typographiques!
cita/onnels!E- E-
Ajout!de!défini/ons!
nouvelles!E- " ---
Analyse!compara/ve!
Enoncés!Définitoires!
DISCOURS!
L!
Expérimenté!
I!
Débutant!
Catégorie!d’ED!
Défini/ons!orales!non!dictées!
!(RDOJ)!
[EDD!Catég!1!Désigna/on]!
Défini/ons!orales!dictées!(RDOD
+)!
[EDD!Catég!1!Désigna/on]!
Analyse-compara*ve-des-Enoncés-Définitoires-
DIAPORAMA-
M-Expérimenté-
Z-Débutant-
Marqueurs!
métalinguis/ques!J!
Désigne!
S’applique!
Signes!typographiques!
cita/onnels!
Italique!
Deux!points!
Parenthèses!
Trois!points!
Gras!
Guillemets!
Ajout!de!défini/ons!
nouvelles!J!
!
[Catég!
Désigna/on]!
!
Roquelaure-MarieEFrance-
Université-de-Toulouse-Jean-–Jaurès--CLLEEERSS-(5263)-
Analyse-compara*ve--
Enoncés-Définitoires-
DISCOURS-
L-
Expérimenté-
Z--
Débutant-
Catégorie!d’ED!
Défini/ons!orales!
dictées!(RDO+)!
[EDD!Catég!4!!
Introduit!par!!
[«!c’estJàJdire!»]!
Défini/ons!orales!
dictées!(RDOD+)!
[EDD!Catég!4]!
Présence!du!Nom!
Propre!/X!dit!Y/!
Men/on!du!terme!
[cita/on!:!/la!
cita/on!de!X/]!
!!!
Reformula*ons-dans-l’enseignement-supérieur,--une-boîte-à-ou*ls-pour-transme9re-le-savoir!Analyse!d’enregistrements!d’enseignants!de!Sciences!du!Langage!avec!ou!sans!supports!technologiques!
!
Roquelaure-Marie=France-Université-de-Toulouse-Jean-Jaurès--Laboratoire-CLLE=ERSS-(5263)-marie&france.roquelaure@univ&tlse2.fr44
!!4=-Résultat!!
Colloque'AIPU,'9'Avril'2015'(Lille'1)'
!!1=-Intérêt-en-pédagogie-universitaire!!
�Descrip*on-des-formes-et-des-fonc*ons-des-reformula*ons-dans-un-cours-magistral-----------=--4-enseignants--(2-expérimentés,-2-débutants)-- -=--120-Etudiants--(L1-Sciences-du-Langage)-
----------=--10-PDN-(prises-de-notes)-par-enseignant-
-�Élabora*on-d’une-typologie-des-défini*ons-et-des-exemples---
-�Place-des-défini*ons-et-des-exemples-
!!2=-Méthodologie!!
�-Corpus-d’ensemble-de-21h-d’enregistrements-
�-Corpus-restreint-de-9h52-mn-d’enregistrements-(8-séances-de-1h/1h15mn-chacune)-! Thème-de-la-communica*on-verbale--! -Etude-schéma-de-Jakobson-:-fonc*ons-pha;que'et-métalinguis;que'
SED-
Niveau-Débutant-[DEBZ]-
-[DEBZTR1]-[DEBZTR2]-
-Niveau-Expérimenté-
[EXPM]--
[EXPMTR1]-[EXPMTR2]-
-
Niveaux--d’exper*se-
Tableau-(Tradi*onnel)-
PDN-Etudiants--L-1-SDL-
Niveau-Débutant-[DEBI]-
-[DEBITR1]-[DEBITR2]-
Niveau-Expérimenté-[EXPL]-
-[EXPLTR2]-[EXPLTR2]-
Diaporama-(Technologique)-
SUPPORTS-PEDAGOGIQUES-
!!5=-Bilan-et-perspec*ves!!
�-Importance-des-énoncés-définitoires-:--------=-Acquisi*on-de-la-terminologie-du-domaine-(point-de-vue-des-auteurs)-------=-Nota*on-quasi-systéma*que-des-énoncés-définitoires-cita*onnels-dans-les-prises-de-
notes-�-Importance-des-exemples-:--------=-Confirmer-un-savoir-abstrait-par-des-exemples-issus-de-situa;ons'vécues'par'
l’étudiant'---------mais-non-repris-dans-les-PDN--------=--Signalement-systéma*que-dans-le-diaporama-(guillemets,-italique)-------=--Absence-d’exemple-au-tableau---------
�-Dans-le-diaporama-,-les-énoncés-définitoires-ne-sont-pas-indiqués-par-des-marqueurs-typographiques-cita*onnels-chez-les-enseignants-M-et-Z-
�Les-énoncés-définitoires-sont-indirects-(EDI)-et-non-signalés---
!!Analyse-du-SED-:-fonc*on-pha*que!Étude-sur-Corpus-retreint-
!!Analyse-dans-le-diaporama-et-le-discours-:-fonc*on-pha*que!
M!(Expérimenté)- Z!(Débutant)-
Marqueurs!métalinguisBques! C-C!-
Signes!typographiques!citaBonnels! C- C-
Ajout!de!définiBons!nouvelles! C- X!!-
�-Dans-le-discours,-les-énoncés-définitoires-sont-directs-(EDD-catégorie-1-désigna*on),-chez-les-enseignants-L-et-I-
L!(Expérimenté)- I!(Débutant)-
Catégories!!EDD!DéfiniBons!orales!non!dictées!(RDOC)!
[EDD!Catég!1!DésignaBon]!
DéfiniBons!orales!dictées!(RDOD+)![EDD!Catég!1!DésignaBon]!
-
!!Analyse-du-SED-:-fonc*on-métalinguis*que!
�Les-énoncés-définitoires-sont-direct-(EDD)-et-signalés-par-des-marqueurs-tels-que-«-c’est=à=dire-/-autrement-dit-»---
�-Dans-le-diaporama-,-les-énoncés-définitoire-de-fonc*on-métalinguis*que-ne-sont-pas-indiqués-par-des-marqueurs-typographiques-cita*onnels-chez-les-enseignants-M-et-Z-�Dans-le-discours,-les-énoncés-définitoires-sont-directs-(EDD-catégorie-1-désigna*on),-chez-les-enseignants-L-et-I-et-sont-indiqués-par-des-marqueurs-métalinguis*que-de-type-«-c’est=à=dire-ou-autrement-dit-»--
!!Analyse-dans-le-diaporama-et-le-discours-:-fonc*on-métalinguis*que!
M!(Expérimenté)- Z!(Débutant)- L!(Expérimenté)- I!(Débutant)-
Marqueurs!métalinguisBques- C-V!désigne!
V!s’applique-«!c’estCàCdire!»-
V!désigne!V!s’applique-
Signes!typographiques!citaBonnels-
Italique!:!!()!…-
Gras!!«!!!!»!-
RelaBon!introduite!par!!«!c’estCàCdire!»-RelaBon!introduite!par!«!c’estCàCdire!»!Nom!Propre,!X!dit!que!Y,!«!citaBon!»!
(DéfiniBons!orales!dictées)-
Ajout!de!définiBons!nouvelles- C- RelaBon!de!désignaBon!!- C- RelaBon!de!désignaBon-
�-Probléma*que-----------=-Quels-sont-les-catégories-d’énoncés-définitoires-u*lisés-dans-le-cours-magistral-?-- -=-Quels-sont-les-exemples-u*lisés-par-l’enseignant-pour-illustrer-la-terminologie-?-
�Par*cularités-de-l’enseignement-universitaire-(Bouchard-et-Parpe9e,-2003)------------=-CM-:-genre-discursif-complexe-- -=-Discours-oralo=graphique-(Bouchard-et-Parpe9e,-2007,-2012)-
-�3-paramètres-influent-sur-le-discours-magistral--
-----------=-Niveau-des-étudiants-
-----------=-Expérience-professionnelle-des-enseignants-
-----------=-Supports-pédagogiques-tradi*onnels-(Tableau)-ou-technologiques--
-------------(Diaporama-Powerpoint)-
!!3=-Qu’est=ce-que-la-reformula*on-?!!
Typologie-des-reformula*ons-(Gülich-et-Kotschi,-1987)-
Typologie--des-énoncés-définitoires-
(Riegel,-1990--;-Rebeyrolle-(2000)-
Typologie-de-l’exemple--
(Col*er,-1988)-
--
Enoncés-Définitoires-Directs-
(EDD)-(présence-d’un-verbe-métalinguis*que)-
--
" -Rela*on-de-désigna*on-
----[Sna-V-désigner-SNx-–-X]-
" -Rela*on-de-dénomina*on-
----[Sn-x-–-X-V-s’appeler-Sna]-
" -Rela*on-de-significa*on-
----[Sn-x-–-X-V-signifie-Sna]-
" -Rela*on-introduite-par-
«-c’est-–-à=dire-»-
----[A,-«-c’est=à=dire-»-B]-
" -Rela*on-de-
classifica*on-
----[Sna-est-un-Nx-–-X]-
" -Rela*on-
parenthé*que-
----[Sna-(SNx-–-X]-
" -Détachement-du-
terme-
" -Reprise-du-*tre-
" -Reprise-anaphorique-
" -Reprise-immédiate-
--
Enoncés-Définitoires-Indirects-(EDI)-(présence-d’un-verbe-non-métalinguis*que)-
--
Exemple-typique--de-la-classe--
(Col*er,-1988)--[Catégorie-1]-Individus-de-la-
classe-
Ex-:-les-pha*ques-sont-des-
interjec*ons-telles-que-«-hein--»-
Enuméra*on-d’exemplaires--de-la-classe--[Catégorie-2]-Enuméra*on--des-individus--de-la-classe-
Ex-:-les-pha*ques-sont-des-inter=
jec*ons-telles-que-«-Hein-»,---«-n’est=ce-pas-»,-«-tu-vois-»,-
«-allô-»-
Situa*on-vécue--par-l’enseignant--[Catégorie-3]-
-Inser*on-dans-le-quo*dien-de-l’enseignant-
Ex-:-ben-moi-si-je-disais-à-ma-fille-qui-a-4-ans-d’expliquer-
la-fonc*on-métalinguis*que-ça-serait-drôle-
Situa*on--de-l’étudiant-[Catégorie-4]!-Inser*on-dans-le-quo*dien-de-
l’étudiant--
-Ex-:-Imaginez-que-je-ne-parle-pas-japonais-et-je-vous-dis-saïonara-
Enchâssement-de-récits---
[Catégorie-5]!-Combinaison-
possible-d’exemples--
enchaînement-/-enchâssement-
ProposiBon!de!typologie!de!l’exemple!
Énoncé-Source--(ES)-
Énoncé-Reformulateur-(ER)-
Marqueur-de-Reformula*on--
(MR)-
Discours-oral-
Marie-Laure MaravalPosters scientifiques - 2017 63
Herculanum - Neptune & Amphitrite - Juillet 2017Façade Hélène Eristov & Marie-Laure Maraval
1935 2015
Parco Archeologico di Ercolano
Mar
ie-L
aure
Mar
aval
Sep
tem
bre
2017
Ce projet mobilise les technologies les plus modernes tant en matière d’analyse des techniques de décor an-tique que de reconstitutions 3D (Archéovision©). Il pré-sente une vision renouvelée et vivante de la ville antique d’Herculanum et de ses habitants.
Projet ANR VESUVIA (2014-2019)
Gli archeologi stanno lavorando alla pre-sentazione 3D della casa di Nettuno e
Anfitrite : le ricostruzioni virtuali restituiscono gli apparati
decorativi degradati o distaccati nel
XVIII secolo
Il progetto utilizza le tecnologie più moderne sia nell’anali-si delle tecniche di decorazione antiche che di ricostruzioni 3D (Archéovision©). Presenta quindi una visione rinnovata e viva dell’antica città di Ercolano e dei suoi abitanti.
This project utilises the most modern technologies both in the analysis of ancient decoration techniques and 3D reconstructions (Archeovision©). It thus presents a renewed and live vision of the ancient city of Herculaneum and its inhabitants
ANR VESUVIA è un progetto di ricerca
scientifica. Lo scopo è di proporre uno studio globale di urbanistica,
architettura e decorazione delle case di Ercolano.
Sotto la tutela del Parco Archeologico di Ercolano, è finanziato
dall’Agenzia Nazionale di Ricerca
rancese ( rancia).
L’ANR VESUVIA est un projet de recherche scientifique. Il vise à proposer une étude globale de l’urbanisme, de l’architecture et du décor des maisons d’Herculanum. Sous la tutelle du Parco Archeologico di Ercolano, il est financé par l’Agence Nationale de la
echerche ( rance).
DOMUS Dwellings and Occupants Material culture Urbanism Society
The ANR VESUVIA project aims to carry out a global analysis of the urban planning, architecture, and housing decor of Herculaneum. nder the administration of the Parco
Archeologico di Ercolano, it is financed by the rench National Research Agency.
The archeologists are currently working on the 3D reconstruction of the casa di Nettuno e Anfitrite and applying computer graphics to restore paintings destroyed or removed in the 18th century.
Les archéologues travaillent sur la pré-sentation 3D de la casa di Nettuno e Anfitrite et réalisent l’infographies restitue les peintures détruites ou prélevées au XVIIIe siècle.
Casa di Nettuno e AnfitriteHerculanum - Neptune & Amphitrite - Juillet 2017Mur Nord - Foces Espace 12Hélène Eristov & Marie-Laure Maraval
Paintings removed in the 18th c. Pitture distaccate nel XVIII s. Peintures prélevées au XVIIIe s.
Phèdre et Hippolyte
Persée et Andromède Jeune hérosHermaphrodite
Saisons, offrantes
Atlantes
1908899 113
9369 1888906
193 Perdu
Marie-Laure MaravalPosters scientifiques - 2017 64
Catherine Didier-Fèvre : Vivre et bouger dans les entre-deux. Jeunesse et mobilités dans les espaces périurbains .Thèse de géographie dirigée par Monique Poulot et Lionel Rougé, et soutenue en 2015 à l’université Paris-Ouest (France).
Marie-Laure MaravalPosters scientifiques - 2017 65
Marie-Laure MaravalPosters scientifiques - 2017 67
Marie-Laure MaravalPosters scientifiques - 2017 66