: champagae pj-xas^ry a gre n -...

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j^l'R PROPRITAIRE

IMPHIMKL'R

jlimcnt MAQLOiRS |jois-Vi:ii\.\

Rue Americaine, V.IX

, NUMRO CENTIMES

QUOTIDIEN

TELEPHONE N 212

i a avantageai ipauvn ,cc&l qudss' e< utanl in-- .' nreus i m qui*( > la 'eu ' ole inn Ils rvi ui(|u il -.\n. itni de ""' I ml, qu ils foui des cwleaus . ils sont moaiseux-mniesdt leurs i.>; > ;>* ne dbouiseiil j:iit.;iis ne.i. inkiB ils *i

0 voient louji insu nwiiniLi l lu !. iv i nient tous le* |.I;HSIIMII -S11-1 rosllct uenpeuuveui aucun de u.. u\.iusns

ANNE N'5766

POUT-AUPIUNCE (HATI) LIN ni ". AN LU. 1926

les Divorces

l otille des lections prJ- 'lla, non* reproduisons

klt kluiant de vrit, wecwjrre L'Arlihonitc \itdanswn dition du "}ii iernitr;

une que l'infime mi- oppOMiile veut einpc- ireprendre le pouvoir elqucsjours, Mr Louis triomphera des jaeo- llnous appelons lesja-

paire (|u'il emploie larmes que ddaignent Mon : la foi, le courage riul. tristes adversaires bien manuvrer en it l'injure, la calom

[ruse. Ils se Irompent. lia sont vieilles et ne ml plus aux jours

lis vivons, Homo a la |an avenir meilleur pour

ie, malgr les brumes izonaecidentel.il croit ueiiient ce qu'il dit.

ull proclame est simple nt. Il ne prconise pas

anime chimrique et x, mais un systme de es judicieusement peu-

10QU1S DE PARIS

PAH L'N HATIEN

de Reines M cher Directeur,

" Score une vingtaine |ws,on ne connaissait, m'a- oi*. 4 Paris qu'une seule rt royaut ne durait MW: c'tait la reine de la "**. Kn cet aprs-midi

{populaire, on vovail pa>- f* rues et les boulevards "*. - ou une brune, fort.

Borno a la loyaut, il ai; rail pu par une politique tortueu- se mnager le chou et la ch- vre. Non! il ne s'accomode pas des nues, il ne trompe pas. Une attitude nette et claire de- vant l'amricain avec lequel il coopre dans la dignit, en considration des vrais int- rts nationaux. Il n'endort pas la nation avec des phrases et

rouge, la reine de Grenelle. Puis, la province s'en est mle, et on a eu la reine de Bretagne, la reine d Anjou, la reine de Provence, la reine du Barn. Chaque ar- rondissement, chaque chef-lieu de canton, l'occasion d'une fte rgionale, ou mme sans occa- sion du tout, s'est mis avoir sa reine. Celle-ci avait sis daines d'honneur. Et tout le cortge ne se contentait de parader dans la localit : il venait faire un tour de promenade Paris. C'tait encore un prtexte photogra- phies, cinma, visites, l'as de jour aujourd'hui o les grands journaux ne reoivent une demi- douzaine de clichs, venus de tous les points de Prime et re- produisant la figure de quelque nouvelle et charmante L' princesse

de dnar-

des promesses menteuses. Il demande tous de regarder les faits avec des yeux Iroids et d'en tirer une politique qui ne se soucie que des rsultats. Car depuis mie le monde est monde la politique est l'art de saisir les opportunits en vue des solutions heureuses. Le >arti qu'il a cr: c'est celui de a Patrie. C.dui des dupes c Mi-

tre les coqui.is. celui des fai- bles, des opprims, contre les profiteurs. A cet acte il a perdu quelques suffrages, mais il a gagne des {dvouements, des symp itUie*,CHlx des victimes, qui suit la nation toute en- tire.

Voici quelles son! les cau- ses de son triomphe qui cla- tera au soleil du 12 Avril. Comment voulez-vous qu'il ne soit victorieux contre la poli- tique amphibie, tortueuse et vague des jacoquins.

L'heure passe. Le des JVI.HIXDKL'RS. Il veut une politique de clart el de sin- crit.

DISCRETO.

reines de Paris ou de France ne sont point.crovcx-moi. mon cher Directeur, celles qui se font mettre leurs photos dans les journaux : ce sont plutt celles qui tnuvailk'e** silencieusement,

la ville/4U..fnjx''cjymipsjfelles

: Champagae Pj-xas^ry A Gre n Maion fonde en 1836.

REIMS Ce Champagne ett cUts parmi les GRANDS VINS DK

FRANCE. Ses immenses caves comportent 18 kilomtres de galeries souterraiues abritant un stock permanent de tloiillioa* de bouter les 4e grands Vins rcolts exc usivment . UtS Us tout prem'ers crus de la Cb&m a,'iie wiaicole.;

La rgion des Vignobles qui est autorise, par la Loi fruo- aise donner son vin le nom idurieui de "Champagne"est %fr relativement peu tendue,.en comparaison de|ia plupart des rgions vniru ve le nf- bre.

vnii-'es.C'est dans cette rgion r, nomme que se trou

(les mensonges est pays ne veut plus

C POMMERY & GRENO

5$ Coana .IHUS le monde entier. ^' --'i.lfur d'or *t le seiutil .,"4 lement de sa mousse constituent le plus h/illaut dcor d'une

.j table lgante. En fentachez Simon Vieux, Lope Hivora. Cv Bazar Mtropolitain. El. Balva A On, An. U>li, Charles ^ Pieoulel. ^5*

Pour avoir une ide des 'taldisse.-nents Pommry & Greno. ^r^. Allez Parhiaaa voiries li ms merveilleux qui f roat passer sous ?* vos yeux la beaut et l'importance des dits tablissements. *.'-.

Vlfrpd Vieux, \flenl |

Pour demain HiURICE ETIENNE fils Lire dans notre numro de

demain : Mr Louis Borno, pr- sident de la Rpublique; la premire partie d'une srie d articles intitule: Les Borno dans l'Histoire d'Hati ; une lettre adresse au Matin par un ancien Abonn, propos de notre 20e anniversaire ii les dernires nouvelles du

Annie des Hue du M:igii- ala de l'Etat ai des

F roots Forte. iennent d'arriver Jolis clrtpeuux (|ar Murs l'.K'-i

.IK.IAIIMS ni:\i) S : Entre Joseph Attfustin Le-

roux el DumaKM (ielrard. Entre Auguste St. loi t Coli i

et Anne Marie (ioldin.iii. AiT.uiiKs ENTENDUES:

E r.- Fernande [Marie \leli- na iN'i!ianie (larron et Fer lia id Mathmin.

Entre Rodolphe Nfunroct Mar ce le Marguerite Adam.

La Fte du MATIN , Jeudi damier, 1er Avrile%otr<

qui font simplement et itiodes-. jour H le compte rendu .; Journal outrait, dans sa vingti,- lement leur devoir. Leur rovaut, urande manifest ilion ivlii.>u-' *in> aiWi^**... j# " .. . "

nos

|iV1ul;;ul

1,,,,u'.T,^l reine

"U reme de Mont-

de village, de ville ou Idlielit !...

Est-ce manquer de galanterie, mon cher Directeur, qui de dire que c'est devenu un peu agressif f Surtout pour un bon rpublicain Basants moi qui n'aima pas trop les reines. J'entends d'ailleurs, depuis pas mal de jours, des gens qui se plaignent de plus en plus haut de cette profusion de royauts. Ils disent qu'on exa- gre. Ils disent aussi qu'au point de vue de la morale, laquelle ne perd jamais ses droits,. ce n'est pas une chose fameuse que de donner des ides (le vanit, de rclame, de luxe, de plaisir .i des enfants de dix huit ans,dont la cervelle rsiste mal parfois a lout )e bruit qu'on fait autour de leur nom. Ils disent eiiiiu que tout cela finit par occasionner des dpenses ai que, si on chiffrait tout l'argent qui fut dpens de- puis sept ou huit ans en ftus et voyages de ces peines phm- res, on aurait pu subventionner avec cet argent quoique gran- de uvre philanthropique ou sociale, dont la France et, peut- tre, le monde entier eussent bnficis.

Peut-tre, m m cher Direc- teur, les gens qui disent cela, font-ils figure de grincheux. Mais les grincheux n'ont pas toujours torl. Il est bon parfois de les en- tendre grineher,, Si Paris dimi- nuait ses reines, je m'y plairais davantage. Ou mme s'il dimi- nuait seulement le bruit fait au- l ..;: le ses reines. Les plus jolies

celles-l, est sans doute moins sonore, mais elle est aussi moins fragile. La royaut qui appelle le respect est toujours suprieure la royaut 'qui appelle le soc- rire...

Mais de tout cela que pensent os reines port-au-princieiines ?

Votre, Louis D'OR

Conseil d'Etat Ce matin une foule consid-

rable sciait runie au Palais de la Bue de la Rvolution pour assister l'ouverture du Conseil d'Etat en session ordi- naire prvue par la Constitu- tion.

Scpl Conseillera d'Etal seu- lement ayant rpondu l'ap- pel. \\\\ procs-wrb il a t dress. On se runira mercre- di aux mmes fins.

se d'hier.

Les beaoi soinKs

Rponse au Sooait d'Arver

Rem 'rciements Madame Clment Magloire

et Monsieur Clment Magloire dans l'impossibilit de repon- dre aux nombreuses marques de sympathie revues l'occa- sion du'dcs de

Monsieur JEAN BnUNBL prient leurs amis de trouver ici l'expression de leurs mprciemients mus.

E .-lu Jur an kir M r'.'.t s'a i p>i I n'isavi te asiaWI 'I aSJSBf I'W sur m pas f Lie Imm' NS-ll Mil toiijiiurs If roiU|iri-ii Ire, l.i' .iiiij.iji' uiiirl irlr loul bas.

Si llieu I .n.nl craSS la | astai el Innlrr, li le a ihl se lirls.

Ensuite noire confrre, Hnec D.tronville, Directeur fondateur de l'Essor, adressa en son nom pri iniiel el au mini de so i lournal quelques mots de so i lt lits heureux el de bons vo?u< ai Maltn,

L'on passa eiiseinhle, dans la plus franche et la belle cordialit e Cle NI. des Cumins de Fer d'H i

. ti t-t dira Fcond dpt as gizoli- se de U Texas O*' Company. Ba un clin d'.i-il tout le stock de ga- zoline 'dnllanma. Et ce fut us spectacle tra^i |iie et U rrillaat que cette grande famine rouge qui s' levait trs haut dans la nuit et q u, chaque foi, qu'un nouveau rci- pient de g /. Ime prenait feu et st plnsiti',projet lit au oui une grands

re

CHOCOLAT

CACAO HOLLANDAIS

de Premire Qualit}

Danseuses russes Jeudi, sont arrives, par le

Panama , deux danseuses russes, Gloria et (initia Tar- rassov qui font une tourne dans les An tilles.

Klles dbuteront Jeudi Pa- risiana o l'on pourra les ad- mirer dans les gracieuses dan- ses de leur Pavs. Klles excu- teront aussi des danses mo- dernes.

Lis 10 sis do l-ESSOR Vendredi dernier. 9 Avril riotrj

Confrre l'Essor entrait dans sa dixime aim .

Il n'est jamais trop ard pou.-

bien faire; aussi, nous croyons qu'il est encore temps de renou- veler notre conlrre nos sou- haits el nos veux les plus sin- cres de proipriM et Je lon^ae vie.

lueur oui e clairant la vil't de la plus i Itfjf clart.

Le tlau sepropagea[p'u'M>lans la drection nord et il d^tni'i| dans In (nnilicr de la roix dss- llo-sales de nombreupes mainon,

C' ! aprs bien desellortsqu'oa put m Itriser ce terrible ine. adis qui dura plus de trois heures.

Collision d'autos Ce midi les automobiles sus

Nos IS4 *t 1102 entrrent en col- lision i l'angle des rues d - Mua* cle-> si du Magasin de l'Etat.

L'accident eut lieu la suite d'un coup de volant gsu -ha dosj n par le No loi et malgr las avertiMementsritrs de signer coin m procurateur de notre 111 lis m de co.iimcree Utblk sure Mi place.

IWISATCO

Avis Commercial Nous avons l'honneur d'avi

ser le public et le commerce en particulier que nous avons ouvert Port-au-Prince une branche de notre maison do Santo-Domingo.

Mr Geb. JEANSblfE a la direction de celle maison mu 'Occupera des affaires de toud tes les antres villes de la Hej publique d'Hati. Port-au-Prince,ie2G.\larsl92

BHKAA O'N'I-M.L A. M. BREA

General Hanaasjn

L*

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