: champagae pj-xas^ry a gre n -...

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j^l'R PROPRIÉTAIRE IMPHIMKL'R jlimcnt MAQLOiRS |jois-Vi:ii\.\ Rue Americaine, V.IÔX , NUMÉRO CENTIMES QUOTIDIEN TELEPHONE 212 i a avantageai ipauvn ,cc&l qudss' e< utanl in-- ••.' néreus i m qui*( > la 'eu ' « oûle inn Ils révi ui(|u il -.\n. itni de ""'• I ml, qu ils foui des cwleaus . ils sont émoaiseux-môniesdt leurs i. >; > <•->;»>* ne débouiseiil j:iit.;iis ne.i. inkiB ils *i 0 voient louji insu nwiiniLi l»« lu !. iv •i nient tous le* |.I;HSIIMII •-•S 11 - 1 roslléct uenépeuuveui aucun de» u».. u\«.iu«sns« ANNÉE N'5766 POUT-AUPIUNCE (HAÏTI) LIN ni •". AN LU. 1926 les Divorces l otille des élections prJ- 'lla, non* reproduisons ïklt kluiant de vérité, wecwjrére L'Arlihonitc \itdanswn édition du "}ii iernitr; une que l'infime mi- oppOMiile veut einpc- ireprendre le pouvoir elqucsjours, Mr Louis triomphera des jaeo- llnous appelons lesja- paire (|u'il emploie larmes que dédaignent Mon : la foi, le courage r iulé. tristes adversaires bien manoeuvrer en it l'injure, la calom» [ruse. Ils se Irompent. lia sont vieilles et ne ml plus aux jours lis vivons, Homo a la |an avenir meilleur pour ie, malgré les brumes izonaecidentel.il croit ueiiient à ce qu'il dit. ull proclame est simple nt. Il ne préconise pas anime chimérique et ûx, mais un système de es judicieusement peu- 10QU1S DE PARIS PAH L'N HAÏTIEN de Reines M cher Directeur, " «Score une vingtaine |ws,on ne connaissait, m'a- oi*. 4 Paris qu'une seule »rt « royauté ne durait MW: c'était la reine de la "*«*. Kn cet après-midi { populaire, on vovail pa>- f*» rues et les boulevards " «*. - ou une brune, <w. assise dans un lau- J*de quatre chevaux, et P».«w léle un diadème iJJ «'"'nants, aénéreuse- N**lépnur lu eireonstame, r'nwlre de la porte Saint- P " gentille souveraine >"">»it a quelque lavoir ou pnwiïciliaserie de la ca- ' c «r, on ne j^it mi j us(e l»°Ua fête de la Mi-Ca- kf ta " surtout la fêle des «*"«*. Chaque lavoir » reine et ces reines réu- ««aient une reine des »; l '«ail la jeune fille blon- pone, mais généralement IIUIT 1 , i ! v:iil t,r ' )it « '«n- iL.S à la ^"uuonl, aux "«bons ,|ç | a foule et au J u Président de la Ré- " on allait, en ce jour «-«-lancer jusque, flan» J*'- Le lendemain" le. rKK u,saU ' nUes,raU » * était ^ r . e P r, »«*se. Puis, P °u travail. ^«'enl,, t;lsVs| . ilfili|?0 h?ti? d,re - mon cher Di- , ndu avoir sasoove- "ne rtpVT' vu «Paraîtra SîduWts i arCU '«"*' la » e e s u mls ' la ''eine des mo- ". l , 1 ;"«-"|e de la eoilTure. ^^•edelarovauté '«-cjOiirlivc»: || y a e a i.iii'in , i. i se, immédiatement réalisable, pour la satisfaction du bien public. Tous les cabotins, les grands marchands de phrases aur il beau s'agil r cl se dé- mener pour ruiner I action na- tionale qu'il symbolise, ils se- ront confondus. Avec «les réa- lités il répond aux périodes oratoires. Aux mots qu'on lui oppose il fait sonner les faits. Borno a du courage. Il sait qu'on ne sauve pas un paya en lui cachant la vérité, en flat- tant bassement. Il a doue d t les paroles nécessaires, il a n.i ; le doigt sur notre plaie, a la grande clameur des sycophan- tes. Il a heurté les erreurs du front et des épaules. lia parlé clair, il a pensé juste, il a frap- |>é fort. Borno a la loyauté, il ai; rail pu par une politique tortueu- se ménager le chou et la chè- vre. Non! il ne s'accomode pas des nuées, il ne trompe pas. Une attitude nette et claire de- vant l'américain avec lequel il coopère dans la dignité, en considération des vrais inté- rêts nationaux. Il n'endort pas la nation avec des phrases et rouge, la reine de Grenelle. Puis, la province s'en est mêlée, et on a eu la reine de Bretagne, la reine d Anjou, la reine de Provence, la reine du Béarn. Chaque ar- rondissement, chaque chef-lieu de canton, à l'occasion d'une fête régionale, ou même sans occa- sion du tout, s'est mis à avoir sa reine. Celle-ci avait sis daines d'honneur. Et tout le cortège ne se contentait de parader dans la localité : il venait faire un tour de promenade à Paris. C'était encore un prétexte à photogra- phies, à cinéma, à visites, l'as de jour aujourd'hui les grands journaux ne reçoivent une demi- douzaine de clichés, venus de tous les points de Primée et re- produisant la figure de quelque nouvelle et charmante L' princesse de dénar- des promesses menteuses. Il demande à tous de regarder les faits avec des yeux Iroids et d'en tirer une politique qui ne se soucie que des résultats. Car depuis mie le monde est monde la politique est l'art de saisir les opportunités en vue des solutions heureuses. Le >arti qu'il a créé: c'est celui de a Patrie. C.dui des dupes c Mi- tre les coqui.is. celui des fai- bles, des opprimés, contre les profiteurs. A cet acte il a perdu quelques suffrages, mais il a gagne des {dévouements, des symp itUie*,CHlx des victimes, qui suit la nation toute en- tière. Voici quelles son! les cau- ses de son triomphe qui écla- tera au soleil du 12 Avril. Comment voulez-vous qu'il ne soit victorieux contre la poli- tique amphibie, tortueuse et vague des jacoquins. L'heure passée. Le des ©JVI.HIXDKL'RS. Il veut une politique de clarté el de sin- cérité. DISCRETO. reines de Paris ou de France ne sont point.crovcx-moi. mon cher Directeur, celles qui se font mettre leurs photos dans les journaux : ce sont plutôt celles qui tnuvailk'e** silencieusement, la ville/4U..fnjx'' cjymipsjfelles : Champagae Pj-xas^ry A Gre n Maiêon fondée en 1836. REIMS Ce Champagne ett cUtsé parmi les GRANDS VINS DK FRANCE. Ses immenses caves comportent 18 kilomètres de galeries souterraiues abritant un stock permanent de tloiillioa* de bouter les 4e grands Vins récoltés exc usivment . UtS Us tout prem'ers crus de la Cb&m a,'iie wiaicole.; La région des Vignobles qui est autorisée, par la Loi fruo- çaise à donner à son vin le nom idurieui de "Champagne"est %fr relativement peu étendue,.en comparaison de|ia plupart des régions véniru ve le nf- èbre. vénii-ù'es.C'est dans cette région r, nommée que se trou (les mensonges est pays ne veut plus C POMMERY & GRENO •5$ Coana .IHUS le monde entier. ^' --'i.lfur d'or *t le seiutil .£,"4 lement de sa mousse constituent le plus h/illaut décor d'une .j table élégante. En fentachez Simon Vieux, Lope Hivora. •Cv Bazar Métropolitain. El. Balèva A On, An. U>lié, Charles ^ Pieoulel. ^5* Pour avoir une idée des 'taldisse.-nents Pommry & Greno. ^r^. Allez à Parhiaaa voiries li ms merveilleux qui f roat passer sous ?* vos yeux la beauté et l'importance des dits établissements. *•.'-. Vlfrpd Vieux, \flenl | Pour demain HiURICE ETIENNE fils Lire dans notre numéro de demain : Mr Louis Borno, pré- sident de la République; la première partie d'une série d articles intitulée: Les Borno dans l'Histoire d'Haïti ; une lettre adressée au Matin par un ancien Abonné, à propos de notre 20e anniversaire ii les dernières nouvelles du Annie des Hue» du M:igii- ala de l'Etat ai des F roots Forte. ïiennent d'arriver Jolis clrtpeuux (|ar<iis pour daines. Audieme civile du 1S Mars 1996 JroKMKvrs HKXDIS : Entre .biles Chassanii- cl Eli- sabeth l'anie H(HMlgson. Entre Marie Marguerite Pie. 1 aul el François Hubert Lain- I ert. Entre Flora Cilles et Ucrteny SI. Léger. Entre Marie Rose Thérèse De: - tarées el Guillaume Chavhs Louis Delva Entre Marie "Ange R hi u et Meugène Dalton Myrtil .\I'|"MHI:S KMi.Mii i.s: Entre Adélaïde 'l'héiéza An- loi e et Hubert Sied. Entre Porcla Merisier et Mon* tulias i'oussaint. Entre Louis Leroy Adam et Françoise Alice Léoncil Saut, . Entre Sylvie Templier et Ho- ratius César. Entre Thérèse Rousseau et Albert Marlelly E u ma miel l'iily et Cécile RoWi? dite Méuos. l-'ixïr. : Prima p. Bigot contre Michel Bourgain. Audience CMIeitu :'."> Murs l'.K'-i .IK.IAIIMS ni:\i) S : Entre Joseph Attfustin Le- roux el DumaïKM (ielïrard. Entre Auguste St. loi t Coli i et Anne Marie (ioldin.iii. AiT.uiiKs ENTENDUES: E r.- Fernande [Marie \«leli- na iN'i»!ianie (larron et Fer» lia id Mathmin. Entre Rodolphe Nfunroct Mar ce le Marguerite Adam. La Fête du MATIN , Jeudi damier, 1er Avril«e%otr< qui font simplement et itiodes-. jour H le compte rendu <Jç.!*>.; Journal outrait, dans sa vingtié,- lement leur devoir. Leur rovauté, urande manifest ilion ivli• i.>u-' *in> aiWi^è**... j# " .. . " nos |ïiV 1 ul;; ul 1 ,,,,u '. îT, ^l« reine " U reme de Mont- de village, de ville ou Idlielit !... Est-ce manquer de galanterie, mon cher Directeur, qui de dire que c'est devenu un peu agressif f Surtout pour un bon républicain Basants moi qui n'aima pas trop les reines. J'entends d'ailleurs, depuis pas mal de jours, des gens qui se plaignent de plus en plus haut de cette profusion de royautés. Ils disent qu'on exa- gère. Ils disent aussi qu'au point de vue de la morale, laquelle ne perd jamais ses droits,.— ce n'est pas une chose fameuse que de donner des idées (le vanité, de réclame, de luxe, de plaisir .i des enfants de dix huit ans,dont la cervelle résiste mal parfois a lout )e bruit qu'on fait autour de leur nom. Ils disent eiiiiu que tout cela finit par occasionner des dépenses ai que, si on chiffrait tout l'argent qui fut dépensé de- puis sept ou huit ans en fétus et voyages de ces peines éphémè- res, on aurait pu subventionner avec cet argent quoique gran- de oeuvre philanthropique ou sociale, dont la France et, peut- être, le monde entier eussent bénéficiés. Peut-être, m m cher Direc- teur, les gens qui disent cela, font-ils figure de grincheux. Mais les grincheux n'ont pas toujours torl. Il est bon parfois de les en- tendre grineher,, Si Paris dimi- nuait ses reines, je m'y plairais davantage. Ou même s'il dimi- nuait seulement le bruit fait au- l ..;: le ses reines. Les plus jolies à celles-là, est sans doute moins sonore, mais elle est aussi moins fragile. La royauté qui appelle le respect est toujours supérieure à la royauté 'qui appelle le soc- rire... Mais de tout cela que pensent os reines port-au-princieiines ? Votre, Louis D'OR Conseil d'Etat Ce matin une foule considé- rable sciait réunie au Palais de la Bue de la Révolution pour assister à l'ouverture du Conseil d'Etat en session ordi- naire prévue par la Constitu- tion. Scpl Conseillera d'Etal seu- lement ayant répondu à l'ap- pel. \\\\ procès-wrb il a été dressé. On se réunira mercre- di aux mêmes fins. se d'hier. Les beaoi soinKs Réponse au Sooait d'Arver Rem 'rciements Madame Clément Magloire et Monsieur Clément Magloire dans l'impossibilité de repon- dre aux nombreuses marques de sympathie revues à l'occa- sion du'décès de Monsieur JEAN BnUNBL prient leurs amis de trouver ici l'expression de leurs mprciemients émus. E .-lu J»ur an kir M r'.'.t s'a i p>i I n'isavi te asiaWI 'I aSJSBf I'W sur m pas f Lie Imm' NS-ll Mil toiijiiurs If roiU|i r i-ii Ire, l.i' .iiiij.ïiji' uiiirl <|ui R |i>irlr loul bas. Si llieu I .n.nl craSS à la astai el Innlrr, li le a ihl se li<rcr ilr iluulourrui ruaibals, Il Iniir a ilmi uiaias se nnir,pA;ir le iWi-mlrr tmilre un amour si »rai qui ne se Iralnl pas. \ I salin été* y iesasasl titK-lr S< pas yunilr lerluriait ant-étri relie Br uiirallrt insensible cl ncidle a la ton. feineK-lu amirseul, nu secret lins lun .tine | trois-ani, il eslsiir lerri',.iiiii,()!us d une femme IJ.ii ij.inleNoilritulwMiitii.il atlSrtlslMsTsii A (itte*o'ecasic»i),«de nnmbreuy amis étaient veiurs présenter a noire Directeur leuiy vu-p*vc.. compKmehts. Au Champagne, noire Direc- L-ur, ému, pour une fois, leva son verre el, dans le langage élé gant qu'on lui connaît, remercia Ions les amis. Ions les eollaliora leurs qui se pressaient autour de lui, pour la chaude sympa- lliie, le concours et le dévoue- ment sais mesure qull a tou- jours, d.' t.iis vingt ans, trouvés eu eus. Puis, sa voix se fais.i.il grave, il adressa quelques ni »ls de s Hivenir é:nu aux absents e aux m >rls. Ensuite noire confrère, Hénec D.tronville, Directeur fondateur de l'Essor, adressa en son nom péri iniiel el au mini de so i lournal quelques mots de so i lt lits heureux el de bons vo?u< ai Maltn, L'on passa eiiseinhle, dans la plus franche et la belle cordialité <l i Iqucs heures charmantas au m lieu des corbeilles de roseï éclatantes, fraîches énsnouies, oll'erles par les amis du MATIN Incendie Msrsteil dernier, ver* 7 h. 1|J du soir, la Sirè.ie jelc »ou.lsin son loog et sinistre avertissement. Ls feu. en ell'et, venait d'éclater au dt'i»M de et/ Iine de la I rms Shell dont Meido.lns Otoltson Lu- cas snotleB R «pressa tan ts eu llii- ti. aitoé (ou t D rè< ds la Gare ds >e Cle NI. des Cumins de Fer d'H i . ti t-t dira Fécond dépôt aïs gizoli- se de U Texas O*' Company. Ba un clin d'.i-il tout le stock de ga- zoline «'dnllanma. Et ce fut us spectacle tra^i |iie et U rrillaat que cette grande famine rouge qui s'é levait très haut dans la nuit et q u, chaque foi«, qu'un nouveau réci- pient de g /. Ime prenait feu et st plnsiti',projet lit au oui une grands re CHOCOLAT CACAO HOLLANDAIS de Première Qualité} Danseuses russes Jeudi, sont arrivées, par le « Panama », deux danseuses russes, Gloria et (initia Tar- rassov qui font une tournée dans les An tilles. Klles débuteront Jeudi à Pa- risiana l'on pourra les ad- mirer dans les gracieuses dan- ses de leur Pavs. Klles exécu- teront aussi des danses mo- dernes. Lis 10 sis do l-ESSOR Vendredi dernier. 9 Avril riotrj Confrère l'Essor entrait dans sa dixième aimé •. Il n'est jamais trop ard pou. - bien faire; aussi, nous croyons qu'il est encore temps de renou- veler à notre conlrére nos sou- haits el nos veux les plus sin- cères de proipériM et Je lon^ae vie. lueur oui e éclairant la vil't de la plus i Itfjf clarté. Le tléau sepropagea[p'u'«M>lans la drection nord et il d^tni'»i| dans In (nnilicr de la roix dss- llo-sales de nombreupes mainon», C' ! après bien desellortsqu'oa put m Itriser ce terrible ine. adis qui dura plus de trois heures. Collision d'autos Ce midi les automobiles sus Nos IS4 *t 1102 entrèrent en col- lision i l'angle des rues d - Mua* cle-> si du Magasin de l'Etat. L'accident eut lieu à la suite d'un coup de volant à gsu -ha dosj par le No loi et malgré las avertiMementsréitérés<lu No li6| qui 6t lout pour éviter li collùdou. Celte dernière sato eut sa « dôTenus arrière » brisés. EnJ sachets de 1 livre Gdes. 2 En sachets de 1/2 livre « Vente en gros et au'détail PHARMACIE CENTRALE 1)11 AITI t. (M Noua avons l'honneur d'an- Après avoir pu applaudir n meer au public en général e es chants el la musique slaves à tiotrj clientèle en particulie n^T I avec le cliieur des Cosaques du Kouban. nous aurons d.me le plaisir de voir Mesdemoi- selles Gloria el Gracia Tarras sov dans les danses, combien originales! de la vieille Russe. quâ pirtir (L 1er de c* jour Mr IL II ehn'jr c ; >• de signer coin m procurateur de notre 111 lis m de co.iimcree éUtblk sure Mi place. IWISATCO Avis Commercial Nous avons l'honneur d'avi ser le public et le commerce en particulier que nous avons ouvert à Port-au-Prince une branche de notre maison do Santo-Domingo. Mr Geb. JEANSblfE a la direction de celle maison mu 'Occupera des affaires de toud tes les antres villes de la Hej publique d'Haïti. Port-au-Prince,ie2G.\larsl92é BHKAA O'N'I-M.L A. M. BREA General Hanaasjn L*

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j^l'R PROPRITAIRE

IMPHIMKL'R

jlimcnt MAQLOiRS |jois-Vi:ii\.\

Rue Americaine, V.IX

, NUMRO CENTIMES

QUOTIDIEN

TELEPHONE N 212

i a avantageai ipauvn ,cc&l qudss' e< utanl in-- .' nreus i m qui*( > la 'eu ' ole inn Ils rvi ui(|u il -.\n. itni de ""' I ml, qu ils foui des cwleaus . ils sont moaiseux-mniesdt leurs i.>; > ;>* ne dbouiseiil j:iit.;iis ne.i. inkiB ils *i

0 voient louji insu nwiiniLi l lu !. iv i nient tous le* |.I;HSIIMII -S11-1 rosllct uenpeuuveui aucun de u.. u\.iusns

ANNE N'5766

POUT-AUPIUNCE (HATI) LIN ni ". AN LU. 1926

les Divorces

l otille des lections prJ- 'lla, non* reproduisons

klt kluiant de vrit, wecwjrre L'Arlihonitc \itdanswn dition du "}ii iernitr;

une que l'infime mi- oppOMiile veut einpc- ireprendre le pouvoir elqucsjours, Mr Louis triomphera des jaeo- llnous appelons lesja-

paire (|u'il emploie larmes que ddaignent Mon : la foi, le courage riul. tristes adversaires bien manuvrer en it l'injure, la calom

[ruse. Ils se Irompent. lia sont vieilles et ne ml plus aux jours

lis vivons, Homo a la |an avenir meilleur pour

ie, malgr les brumes izonaecidentel.il croit ueiiient ce qu'il dit.

ull proclame est simple nt. Il ne prconise pas

anime chimrique et x, mais un systme de es judicieusement peu-

10QU1S DE PARIS

PAH L'N HATIEN

de Reines M cher Directeur,

" Score une vingtaine |ws,on ne connaissait, m'a- oi*. 4 Paris qu'une seule rt royaut ne durait MW: c'tait la reine de la "**. Kn cet aprs-midi

{populaire, on vovail pa>- f* rues et les boulevards "*. - ou une brune, fort.

Borno a la loyaut, il ai; rail pu par une politique tortueu- se mnager le chou et la ch- vre. Non! il ne s'accomode pas des nues, il ne trompe pas. Une attitude nette et claire de- vant l'amricain avec lequel il coopre dans la dignit, en considration des vrais int- rts nationaux. Il n'endort pas la nation avec des phrases et

rouge, la reine de Grenelle. Puis, la province s'en est mle, et on a eu la reine de Bretagne, la reine d Anjou, la reine de Provence, la reine du Barn. Chaque ar- rondissement, chaque chef-lieu de canton, l'occasion d'une fte rgionale, ou mme sans occa- sion du tout, s'est mis avoir sa reine. Celle-ci avait sis daines d'honneur. Et tout le cortge ne se contentait de parader dans la localit : il venait faire un tour de promenade Paris. C'tait encore un prtexte photogra- phies, cinma, visites, l'as de jour aujourd'hui o les grands journaux ne reoivent une demi- douzaine de clichs, venus de tous les points de Prime et re- produisant la figure de quelque nouvelle et charmante L' princesse

de dnar-

des promesses menteuses. Il demande tous de regarder les faits avec des yeux Iroids et d'en tirer une politique qui ne se soucie que des rsultats. Car depuis mie le monde est monde la politique est l'art de saisir les opportunits en vue des solutions heureuses. Le >arti qu'il a cr: c'est celui de a Patrie. C.dui des dupes c Mi-

tre les coqui.is. celui des fai- bles, des opprims, contre les profiteurs. A cet acte il a perdu quelques suffrages, mais il a gagne des {dvouements, des symp itUie*,CHlx des victimes, qui suit la nation toute en- tire.

Voici quelles son! les cau- ses de son triomphe qui cla- tera au soleil du 12 Avril. Comment voulez-vous qu'il ne soit victorieux contre la poli- tique amphibie, tortueuse et vague des jacoquins.

L'heure passe. Le des JVI.HIXDKL'RS. Il veut une politique de clart el de sin- crit.

DISCRETO.

reines de Paris ou de France ne sont point.crovcx-moi. mon cher Directeur, celles qui se font mettre leurs photos dans les journaux : ce sont plutt celles qui tnuvailk'e** silencieusement,

la ville/4U..fnjx''cjymipsjfelles

: Champagae Pj-xas^ry A Gre n Maion fonde en 1836.

REIMS Ce Champagne ett cUts parmi les GRANDS VINS DK

FRANCE. Ses immenses caves comportent 18 kilomtres de galeries souterraiues abritant un stock permanent de tloiillioa* de bouter les 4e grands Vins rcolts exc usivment . UtS Us tout prem'ers crus de la Cb&m a,'iie wiaicole.;

La rgion des Vignobles qui est autorise, par la Loi fruo- aise donner son vin le nom idurieui de "Champagne"est %fr relativement peu tendue,.en comparaison de|ia plupart des rgions vniru ve le nf- bre.

vnii-'es.C'est dans cette rgion r, nomme que se trou

(les mensonges est pays ne veut plus

C POMMERY & GRENO

5$ Coana .IHUS le monde entier. ^' --'i.lfur d'or *t le seiutil .,"4 lement de sa mousse constituent le plus h/illaut dcor d'une

.j table lgante. En fentachez Simon Vieux, Lope Hivora. Cv Bazar Mtropolitain. El. Balva A On, An. U>li, Charles ^ Pieoulel. ^5*

Pour avoir une ide des 'taldisse.-nents Pommry & Greno. ^r^. Allez Parhiaaa voiries li ms merveilleux qui f roat passer sous ?* vos yeux la beaut et l'importance des dits tablissements. *.'-.

Vlfrpd Vieux, \flenl |

Pour demain HiURICE ETIENNE fils Lire dans notre numro de

demain : Mr Louis Borno, pr- sident de la Rpublique; la premire partie d'une srie d articles intitule: Les Borno dans l'Histoire d'Hati ; une lettre adresse au Matin par un ancien Abonn, propos de notre 20e anniversaire ii les dernires nouvelles du

Annie des Hue du M:igii- ala de l'Etat ai des

F roots Forte. iennent d'arriver Jolis clrtpeuux (|ar Murs l'.K'-i

.IK.IAIIMS ni:\i) S : Entre Joseph Attfustin Le-

roux el DumaKM (ielrard. Entre Auguste St. loi t Coli i

et Anne Marie (ioldin.iii. AiT.uiiKs ENTENDUES:

E r.- Fernande [Marie \leli- na iN'i!ianie (larron et Fer lia id Mathmin.

Entre Rodolphe Nfunroct Mar ce le Marguerite Adam.

La Fte du MATIN , Jeudi damier, 1er Avrile%otr<

qui font simplement et itiodes-. jour H le compte rendu .; Journal outrait, dans sa vingti,- lement leur devoir. Leur rovaut, urande manifest ilion ivlii.>u-' *in> aiWi^**... j# " .. . "

nos

|iV1ul;;ul

1,,,,u'.T,^l reine

"U reme de Mont-

de village, de ville ou Idlielit !...

Est-ce manquer de galanterie, mon cher Directeur, qui de dire que c'est devenu un peu agressif f Surtout pour un bon rpublicain Basants moi qui n'aima pas trop les reines. J'entends d'ailleurs, depuis pas mal de jours, des gens qui se plaignent de plus en plus haut de cette profusion de royauts. Ils disent qu'on exa- gre. Ils disent aussi qu'au point de vue de la morale, laquelle ne perd jamais ses droits,. ce n'est pas une chose fameuse que de donner des ides (le vanit, de rclame, de luxe, de plaisir .i des enfants de dix huit ans,dont la cervelle rsiste mal parfois a lout )e bruit qu'on fait autour de leur nom. Ils disent eiiiiu que tout cela finit par occasionner des dpenses ai que, si on chiffrait tout l'argent qui fut dpens de- puis sept ou huit ans en ftus et voyages de ces peines phm- res, on aurait pu subventionner avec cet argent quoique gran- de uvre philanthropique ou sociale, dont la France et, peut- tre, le monde entier eussent bnficis.

Peut-tre, m m cher Direc- teur, les gens qui disent cela, font-ils figure de grincheux. Mais les grincheux n'ont pas toujours torl. Il est bon parfois de les en- tendre grineher,, Si Paris dimi- nuait ses reines, je m'y plairais davantage. Ou mme s'il dimi- nuait seulement le bruit fait au- l ..;: le ses reines. Les plus jolies

celles-l, est sans doute moins sonore, mais elle est aussi moins fragile. La royaut qui appelle le respect est toujours suprieure la royaut 'qui appelle le soc- rire...

Mais de tout cela que pensent os reines port-au-princieiines ?

Votre, Louis D'OR

Conseil d'Etat Ce matin une foule consid-

rable sciait runie au Palais de la Bue de la Rvolution pour assister l'ouverture du Conseil d'Etat en session ordi- naire prvue par la Constitu- tion.

Scpl Conseillera d'Etal seu- lement ayant rpondu l'ap- pel. \\\\ procs-wrb il a t dress. On se runira mercre- di aux mmes fins.

se d'hier.

Les beaoi soinKs

Rponse au Sooait d'Arver

Rem 'rciements Madame Clment Magloire

et Monsieur Clment Magloire dans l'impossibilit de repon- dre aux nombreuses marques de sympathie revues l'occa- sion du'dcs de

Monsieur JEAN BnUNBL prient leurs amis de trouver ici l'expression de leurs mprciemients mus.

E .-lu Jur an kir M r'.'.t s'a i p>i I n'isavi te asiaWI 'I aSJSBf I'W sur m pas f Lie Imm' NS-ll Mil toiijiiurs If roiU|iri-ii Ire, l.i' .iiiij.iji' uiiirl irlr loul bas.

Si llieu I .n.nl craSS la | astai el Innlrr, li le a ihl se lirls.

Ensuite noire confrre, Hnec D.tronville, Directeur fondateur de l'Essor, adressa en son nom pri iniiel el au mini de so i lournal quelques mots de so i lt lits heureux el de bons vo?u< ai Maltn,

L'on passa eiiseinhle, dans la plus franche et la belle cordialit e Cle NI. des Cumins de Fer d'H i

. ti t-t dira Fcond dpt as gizoli- se de U Texas O*' Company. Ba un clin d'.i-il tout le stock de ga- zoline 'dnllanma. Et ce fut us spectacle tra^i |iie et U rrillaat que cette grande famine rouge qui s' levait trs haut dans la nuit et q u, chaque foi, qu'un nouveau rci- pient de g /. Ime prenait feu et st plnsiti',projet lit au oui une grands

re

CHOCOLAT

CACAO HOLLANDAIS

de Premire Qualit}

Danseuses russes Jeudi, sont arrives, par le

Panama , deux danseuses russes, Gloria et (initia Tar- rassov qui font une tourne dans les An tilles.

Klles dbuteront Jeudi Pa- risiana o l'on pourra les ad- mirer dans les gracieuses dan- ses de leur Pavs. Klles excu- teront aussi des danses mo- dernes.

Lis 10 sis do l-ESSOR Vendredi dernier. 9 Avril riotrj

Confrre l'Essor entrait dans sa dixime aim .

Il n'est jamais trop ard pou.-

bien faire; aussi, nous croyons qu'il est encore temps de renou- veler notre conlrre nos sou- haits el nos veux les plus sin- cres de proipriM et Je lon^ae vie.

lueur oui e clairant la vil't de la plus i Itfjf clart.

Le tlau sepropagea[p'u'M>lans la drection nord et il d^tni'i| dans In (nnilicr de la roix dss- llo-sales de nombreupes mainon,

C' ! aprs bien desellortsqu'oa put m Itriser ce terrible ine. adis qui dura plus de trois heures.

Collision d'autos Ce midi les automobiles sus

Nos IS4 *t 1102 entrrent en col- lision i l'angle des rues d - Mua* cle-> si du Magasin de l'Etat.

L'accident eut lieu la suite d'un coup de volant gsu -ha dosj n par le No loi et malgr las avertiMementsritrs de signer coin m procurateur de notre 111 lis m de co.iimcree Utblk sure Mi place.

IWISATCO

Avis Commercial Nous avons l'honneur d'avi

ser le public et le commerce en particulier que nous avons ouvert Port-au-Prince une branche de notre maison do Santo-Domingo.

Mr Geb. JEANSblfE a la direction de celle maison mu 'Occupera des affaires de toud tes les antres villes de la Hej publique d'Hati. Port-au-Prince,ie2G.\larsl92

BHKAA O'N'I-M.L A. M. BREA

General Hanaasjn

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