accompagnement de la culture d’entreprise pour le
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UNIVERSITE ABDERRAHMANE MIRA DE BEJAIA
FACULTE DES SCIENCES HUMAINES ET SOCIALES
DEPARTEMENT DES SCIENCES SOCIALES
Mémoire de fin de cycle
En vue de l’obtention du diplôme du master en sociologie
Option : Sociologie du travail et gestion des ressources humaines
Thème
Année universitaire 2015/2016
Accompagnement de la culture d’entreprise
pour le déploiement des nouveaux
changements stratégiques dans l’entreprise
Cas pratique : trans-bois (Bejaïa)
Préparé par :
- BENYAHIA Aimad
- BETTACHE Mourad
Encadré par :
Mr : CHALAL Mokhtar
Remerciement
Nous remercions le bon dieu pour le courage, la patience et qui nous
ont été utiles tout au long de notre parcours.
Nous tenons à formuler l’expression de notre profonde reconnaissance
à notre promoteur Mr CHALLAL MOKHETAR pour ses pertinents
conseils et ses orientations ainsi que sa disponibilité au long de ce
travail.
Nous remercions également Mr AMOUR MUSTAPHA et tout le
personnel de l’usine « TRANSBOIS ».
Enfin, nous remercions tous ceux qui ont contribué de prés ou de loin
afin que notre travail puisse voir le jour.
Dédicaces
Je dédie ce modeste travail à :
Les être les plus chers à moi, mes parents qui m’ont soutenu durant
toutes mes études, que Dieu les protège et les gardes.
A tout ma famille en générale et ma petite famille en particulier
A mes frères, à mes amis ,rabeh ,manel,meriem. et à toi mourad
A tous ceux qui, de prés ou de loin ont été avec moi dans le moment
difficile et m’ont toujours soutenu
Aimad
Dédicaces
Je dédie ce modeste travail à :
Les être les plus chers à moi, mes parents qui m’ont soutenu durant
toutes mes études, que Dieu les protège et les gardes.
A tout ma famille en générale et ma petite famille en particulier
A mes frères, à mes amis samir, massi, soufiane et à toi aimad
A tous ceux qui, de prés ou de loin ont été avec moi dans le moment
difficile et m’ont toujours soutenu
mourad
Liste des abréviations
ENL : Entreprise Nationale de liège
ENATB: Entreprise Nationale d’Achat et Transformation des Bois
EPE : Entreprise Public Economique
TRANSBOIS : Transformation de Bois
GRH : Gestion des Ressources Humaines
PDG : Président Directeur Générale
RH : Ressources Humaines
SRH : Service des Ressources Humaines
SNLB : Société Nationale des Lièges et du Bois
W.M : Wood Manufacture
SPA : Société Par Action
Liste des tableaux :
Titre du tableau page
01 La répartition de la population d’étude selon le genre 56
02 La répartition des enquêter selon la catégorie professionnel 57
03 La répartition des enquêter selon le niveau d’instruction 57
SOMMAIRE
Introduction
Chapitre I : cadre méthodologique de la recherche
.Préambule
1. Les raisons du choix de thème……………………………………………………………………………..3
2. Les objectifs de la recherche………………………………………………………...3
3. Problématique……………………………………………………………………………………………………..5
4. Hypothèses…………………………………………………………………………………………………………..8
5. Définition des concepts clés………………………………………………………………………………….8
6. Méthodes et technique utilisées dans la recherche………………………………………………..9
7. L’échantillonnage…………………………………………………………………………………………………10
PARTIE THEORIQUE
Chapitre II : La stratégie de l’entreprise et le changement organisationnel
.Préambule
Section 1 : La stratégie d’entreprise
1. Origine de la stratégie …………………………………………………………………........................13
2. Définition de la stratégie d’entreprise…………………………………………………………………….13
3. Les objectifs de la stratégie d’entreprise………………………………………………………………..13
4. La relation entre la stratégie d’entreprise et structure…………………………………………….14
Section 2 : La gestion de changement
1. Qu’est ce que le changement organisationnel…………………………………………………………15
2. Les facteurs de changement organisationnel…………………………………………………………..16
3. La mise en œuvre du changement organisationnel…………..……………………………………….16
4. Les trois phases du changement organisationnel………………………………………………………19
5. Les objectifs de la conduite du changement organisationnel…………………………………….19
6. L’impact de changement sur l’organisation……………………………………………………………..21
7. la théorie de l’engagement : des nouvelles perspectives pour le changement
organisationnel……………………………………………………………………………………………………….23
8. la théorie de l’intervention en gestion des ressources humaines……………………………….25
. Résumé
Chapitre III : La culture d’entreprise
.Préambule
1. Définition de la culture d’entreprise…………………………………………………………………………29
2. Typologie des cultures d’entreprise………………………………………………………………………….30
3. Les caractéristiques de la culture d’entreprise………………………………………………………….30
4. Fonctionnement de la culture d’entreprise……………………………………………………………….31
5. Le rôle interne et externe de la culture de l’entreprise …………………………………………….32
6. De l’audite au projet d’entreprise…………………………………………………………………………….33
7. Les enjeux de la culture d’entreprise ……………………………………………………………………...34
8. Les enjeux de la culture d’entreprise ……………………………………………………………………….38
9. Les modes de transmission de la culture d’entreprise ……………………………………………...40
10. La notion d’intégration ……………………………………………………………………………………………41
11. L’importance de la culture d’entreprise……………………………………………………………………41
12. impact positif de concept de la culture d’entreprise …………………………………………………42
13. Une culture forte……………………………………………………………………………………………………..43
14. Quand le management s’intéresse à la culture d’entreprise………………………...…44
. Résumé
PARTIE PRATIQUE
Chapitre IV : Présentation de l’organisme d’accueil de TRANS-BOIS.
.Préambule
1. La présentation de l’entreprise TRANS-BOIS…………………………………………………….48
1.1.Historique de TRANS-BOIS
1.2. Situation géographique …………………………………………………………………….49
1.3. Rôle de l’entreprise TRANS-BOIS…………………………………………………….49
1.4. Missions et objectifs principaux de l’entreprise………………………...........50
1.5. Moyen matériel de l’entreprise TRANS-BOIS……………………………….…50
1.6. Nature d’activité de l’entreprise……………………………………………………….50
2. Organisme de l’entreprise TRANS-BOIS…………………………………………………….…..50
2.1. La direction générale……………………………………………………………………….50
2.2. Département administration et moyens…………………………………………….51
2.3. Direction de maintenances……………………………………………………………….52
2.4. Direction de production……………………………………………………………………52
3. Les procédures d’ajustements de SRH au sein d’entreprise TRANS-BOIS..
.Résumé
Chapitre V : Analyse de donnée et interprétation des résultats de l’enquête
.Préambule
1. Caractéristique personnel des enquêter…………………………………………………….……………56
2. Analyse et interprétation des résultats ……………………………………………………………..………58
3. Vérification des hypothèses …………………………………………………………………………….………67
Résumé
Conclusion…………………………………………………………………………………………………………..70
Liste bibliographique
Annexes
Introduction
Introduction
Introduction
Les entreprises connaissant des formes très divers, certaines se développent très
rapidement, d’autre disparaissent, certaine font l’expérience de retournement quelque fois
l’amère expérience d’une gloire sans lendemain. Les entreprise retenus pour illustrer les
stratégies a succès s’effondrent par fois dans les années qui suivent, ou sont rachetés
Toutes les entreprises se ressemble ; des ateliers, des entrepôts, des bureaux, des
mouvements incessants d’homme et de marchandises, pourtant un examen approfondi montre
que aucune entreprise n’est comparable à une autre, chacune a sa personnalité, possède une
identité et une image propre.
La culture d’entreprise a cette étrange qualité d’être la chose la plus partagée et la
moins formalisée. À cette effet, l’une des définitions les plus courant de culture d’entreprise
c’est : « la manière dont les entreprise se présentent son environnement, son métier, individu
et la Relation interindividuelles dites spécifique » (CHERAIET Mohiédine, 1998, p4)
Toute entreprise a une culture spécifique, élaborée au long de son histoire. Matériel et
niveau culturel, la culture d'entreprise de l'environnement de travail, est-ce de l'extérieur de la
manière de promouvoir la formation de la concurrence qui est aussi l'esprit de la culture
d'entreprise, culture d'entreprise que la concurrence institutionnelle.
A cette effet Toute entreprises, quelle que soit sa taille, forme un sous-groupe social composé
d’individus appartenant à une ou plusieurs cultures nationales, régionales et professionnelles. .
La culture d'entreprise principalement au niveau spirituel et culturel, les dimensions
institutionnelles et culturelles, niveau matériel et culturel des trois composantes. Pour assurer
la cohérence de cette mosaïque l’entreprise a besoin de créer une identité collective, qui
deviendra le point de repère de tous ses membres.
De notre côté, notre étude s’articule sur le rôle de la culture d’entreprise dans le déploiement
des nouveaux changements stratégique.
Par conséquent, nous avons consacré trois CHAPITRE, l’une est théorique contenant deux
chapitres et la deuxièmes et pratique contenant deux chapitres.
-la partie théorique, contient trois chapitres qui se résument comme sui
Le premier chapitre concerne le cadre méthodologique de notre recherche, il contient ;
l’hypothèse, la définition des concepts, la méthode et technique utilisé.
Le deuxième chapitre partager en deux sections la première sera porté sur la stratégie
d’entreprise la seconde section sur la gestion de changement stratégique dans l’entreprise, en
suite par le troisième chapitre qui porte sur la notion de la culture de l’entreprise
- La partie pratique ; contient le quatrième et le cinquième chapitre :
- Le quatrième chapitre consiste de présenter l’organisme d’accueil transe-bois, est
constitué de trois sections dont la première porte sur la présentation de direction de la
Introduction
transe-bois, la seconde sure la présentation de la direction régionale de Bejaia, et enfin
la dernière section porte sur la présentation du département ressource humaines et
communication.
- Et pour le cinquième chapitre il consiste à présenter l’analyse de données et
interprétation des résultats ainsi que la vérification des deux hypothèses pour arriver à
infirmer ou confirmer notre hypothèse centrale.
- Et en fin avec une conclusion générale.
CHAPITRE I
Cadre méthodologique de
la recherche
Chapitre I Cadre Méthodologique de la recherche
3
Préambule
La recherche scientifique regroupe toutes un ensemble de procédures
aidons touts chercheure a réponde aux questions qu’il se pose, c’est une
démarche rationnelle qui vas luis permettre d’examinée le problème à
résoudre, d’obtenir les réponses et d’acquérir des nouvelles connaissances. Il
est important que le chercheure ait recoure a certain études méthodologique a
fin de finir son phénomène a l’étude, de formulé ses hypothèses et d’apporter
des solutions au problèmes étudie. En vas abordant ce sujet pour comprendre
comment la culture de l’entreprise et très importante dan le déploiement des
nouveaux changements stratégique au sein de l’entreprise.
1. Les raison de choix de thème :
Vu l’importance du phénomène« de la culture d’entreprise » dans le domaine de la
gestion des ressources humain, on voulut savoir l’importance accordée par les entreprise
aux facteurs culturels
Découvrir le degré d’importance donner à la culture d’entreprise.
L’importance donnée au phénomène « culture d’entreprise » donne la décision
de changement stratégique dans les entreprise algériennes notamment l’entreprise transe
bois de Bejaia.
Une autre raison résidé dans l’intérêt apporte au changement stratégique et son
influence sur le contenu de la formation en ressource humain.
2. les objectifs de la recherche :
A travers notre présente étude, nous voulons atteindre certains objectifs en se
rapportant aux rôles de la gestion de la ressource humaine dans la réussite de projet de
changement de la stratégie d’entreprise. Ces objectifs sont :
Chapitre I Cadre Méthodologique de la recherche
4
Faire connaitre la façon dont l’entreprise gère sa ressource humain afin que
cette dernière soi a la hauteur de réalise le changement décrire et faire comprendre
l’influence de la culture de l’entreprise sur le projet stratégique de cette entreprise.
Acquérir des connaissance sur les mesures prise par les responsables en vue
d’atteindre les objectifs de l’entreprise et ceux des ressource humain en déterminant
les facteurs qui peuvent stimuler les salaries au sein de l’entreprise.
Chapitre I Cadre Méthodologique de la recherche
5
Problématique :
La sociologie des organisations a pour objet l’étude des règles, et de la logique de
fonctionnement de l’action collective en sein des groupements organisés tels que, les
entreprises ou les administrations. Elle dispose d’un champ de recherche relativement
autonome, et spécifique vis-à-vis de la sociologie de travail qui privilégie l’étude de
l’évolution de l’organisation de travail, et de l’activité productive, principalement
attacher a l’étude de mouvement ouvriers et des conflits de travail.
(BETONE.A, DOLLO.C, et autres, 2002, p363)
Le développement de toute entreprise repose sur plusieurs éléments stratégiques, la
question liée à la gestion des ressources humains, est parmi les aspects difficiles à
traiter et a mettre en ordre par les gestionnaires. Elle fait l’objet d’un encadrement
stratégique pour les entreprise, son objectif est d’assure non seulement un climat de
travail motivant et stimulant, mais aussi elle mobilise le personnel de la réalisation des
objectifs de l’organisation, elle maximise l’engagement des employés et assure
l’adhésion a la mission.
Le phénomène des transformations organisationnelles auxquelles doivent faire face
les entreprises n’est pas nouveau, puisque le changement semble être une constante dans
la vie de l’entreprise.
Chaque stabilisation s’inscrit dans une temporalité relative. Elle est perturbée par des
remises en cause structurelles plus ou moins massives, accompagnées de processus de
transformation. Et cette crise se résout peu à peu dans l’équilibre d’une nouvelle
configuration.
En ce sens, les changements structurels peuvent être interprétés comme un processus
de réadaptation à cause ou en dépit d’inerties organisationnelles, de pressions
environnementales ou de jeux d’acteurs. Chaque situation organisationnelle s’explique
par des causalités partielles dont les effets provoquent tantôt des ajustements, tantôt des
emballements ou des blocages.
Les projets de réorganisation constituent un exercice délicat, au service des
objectifs stratégiques de l’entreprise. Parce qu’ils concilient des enjeux de natures
différentes
Chapitre I Cadre Méthodologique de la recherche
6
« Business » et RH, de court et long termes – et doivent coordonner des expertises
complémentaires, ils nécessitent un accompagnement spécifique des Directions des
Ressources Humaines.
Le changement est une rupture entre un existant obsolète et un futur synonyme de
progrès. Cet état transitoire demande une remise en cause des acquis, des habitudes et
des sentiments de sécurité de celles et ceux qui en sont impactés. Au sein d’une
organisation, le changement peut intervenir à plus ou moins long terme, en touchant des
sphères individuelles et/ou collectives. Il concerne aussi bien l’évolution des métiers,
des activités, de la structure et des modes de gestion ; que la transformation des
dimensions culturelles, humaines et sociales de l’entreprise. (David .A et Jean-Michel
M, 2013, p221).
Il existe autant de culture d’entreprises que d’entreprises elles-mêmes. En fait, La
culture d’une entreprise a cette étrange qualité d’être la chose la plus partagée et la
formalisées. A la fois le bien le plus commun à tous et celui qui n’est décrit nulle part.
De plus, ce qui en est parfois écrit n’es constitué qu’une toute petite partie et représente
souvent plus un désir de la direction générale ou de la direction de la communication
qu’un vrai reflet de la réalité. (DANIELE, P.M. 1997, P39.)
Cette pression de l’environnement collectif sur l’individu qui en fait partie est
particulièrement puissante lorsqu’elle s’exerce dans le quotidien. En fait, plus que la
culture générale d’un groupe ethnique ou la culture organisationnelle d’une entreprise,
ce sont les interactions quotidiennes qui s’exercent au sein de son équipe qui dégageront
les influences les plus fortes sur le comportement professionnel de l’individu.
Au sein de nos organisations les plus avancées d’aujourd’hui sur le plan
technologique, l’unité de travail fondamentale. Partout à travers le monde, c’est dans le
cadre d’unité de 5 à 12 participants que l’équipe procure à ses membres la structure
minimale de base qui leur permettra d’atteindre leurs objectifs individuels et collectifs’.
D’où la nécessité d’étudier et de comprendre les critères et processus culturels des
équipes.
Dans cette logique, l’entreprise algérienne a compris qu’il fallait prendre au sérieux
toutes ces transformations, afin d’éviter toute sorte de crise et de déséquilibre, d ou a la
Chapitre I Cadre Méthodologique de la recherche
7
nécessite d’actualiser les savoir des salariées et les expériences des travailleurs dans le
but de s’adapter à cet environnement complexe.
. Enfin La notion de la culture d’entreprise est un éliment très important dans
l’intégration de ses employés, ainsi le travail collectif.
Notre travail focalise sur le degré de l’accompagnement de la culture d’entreprise
pour le déploiement des nouveaux changements stratégiques au sien d’entreprise et pour
éclairer notre recherche on tient donc à choisir comme objet de recherche les questions
suivantes :
Est-ce que la culture de l’entreprise transe bois permettre de concrétisé facilement un
changement organisationnel définir par la stratégie de cette entreprise ?
Chapitre I Cadre Méthodologique de la recherche
8
4. hypothèses :
Toute recherche est structurée autour d’un ou plusieurs hypothèses et cette dernière
est une proposition qui demande d’être vérifiée, à cet effet on propose ses deux
hypothèses :
.La culture de l’entreprise transe bois permettre de concrétiser facilement un
changement organisationnel définir par la stratégie de cette entreprise.
a) Toute réalisation et réussite d’une stratégie mis en œuvre au sein d’entreprise et
dépond de respect des valeurs et des traditions de l’entreprise qui est sa culture.
b) La bonne réalisation des taches au sein d’entreprise et dépond de sa culture, et
sa stratégie
5. La définition des concepts :
pour l’élaboration de notre thème de recherche, nous devrons d’abord donner
quelque définition pour chacun des concepts qui ont été fait par des différents auteurs
des science humaines et des science économiques sur lesquels nous sommes appuis afin
de choisir la définition la plus adéquate a notre travail de recherche, en commençant par
la définition de :
5.1. La culture de l’entreprise :
La culture d’entreprise est une notion foncièrement historique caractéristique par une
construction permanente et à la fois un outil de pilotage et de diagnostic.
« La culture d’entreprise est le produit de rencontre de ce que les groupes sociaux
importent sur le lieu de production et qui varie selon des générations des salarié. »
(Cheraiet Mohiédine, 1998, p123.)
D’autre part c’est l’ensemble des règles d’une organisation (entreprise prive,
public), des valeurs partagées doivent être véhiculées, elles doivent être inscrites dans
son apparence et surtout, dans ses façons réagir aux situations traiter avec le marcher,
définir son standard d’efficacité ou traiter les problèmes de personnel. (Maurice
Thévenet, 1993, p36.)
Chapitre I Cadre Méthodologique de la recherche
9
C’est aussi un model invente de développe en apprenant à faire face aux problèmes
d’adaptation externe et intégration interne, qui ont suffisamment éprouve pour être
considérés comme valides et donc être enseigniez aux nouveaux membres comme étant
la manière juste de percevoir, de penser en relation à ces problèmes.
En fin, la culture d’entreprise est l’ensemble de règles explicatif et implicite, système
de cohésion et cohérence.
5.2. La stratégie d’entreprise :
Définition théorique
« Une stratégie de l’entreprise est considérée comme essentielle par n’importe quelle
organisation, parce que elles possèdent des actions spécifiques qui devant permettre
d’atteindre les buts et les objectifs en s’inscrivent dans le cadre de mission el la
politique générale de l’entreprise ». (Alain. D. 1992, p06).
. Définition opérationnelle
Une stratégie est dictée par le haut de la hiérarchie de spa transe bois, elle est tracer
par les actionnaires, discutée aux conseils d’administration, elle dépond du chiffre
d’affaire, elle aide à tracer des projets à l’avenir, une vision de PDG et du groupe sur
cette stratégie afin d’atteindre les objectifs visées.
6. La méthode et la technique utilisée dans la recherche :
6.1. La méthode :
Il nécessaire de signaler que la méthode de recherche est déterminée en fonction de
l’objet d’étude, comme notre cas on opte de travailler avec la méthode qualitative par
rapport à notre sujet afin de recueillir un nombre important des données qui nous
permettrons de concrétiser notre étude.
Selon Maurice Angers la méthode qualitative ce vise à mesurer le phénomène a
l’étude, les mesures peuvent être ordinales du genre (plus petit) ou numérique avec
l’usage de calcul. (Angers Maurice, 1997, p60).
6.2. La technique utilisée :
Chapitre I Cadre Méthodologique de la recherche
10
« Les techniques de recherches sont les moyens qui permettent d’aller recueillir des
données dans la réalité, ces techniques représentent les principaux moyens
d’investigations de la réalité sociale » (Alain. D. 1992, p.66).
Les techniques sont, en ce sens, des moyens dont on se sert pour couvrir des étapes
d’opérations limitées, ce sont des outils momentanés conjoncturels et limités dans le
processus de recherche : sondage, interview, sociogramme, jeu de rôle, testes... etc.
Concernant notre recherche, on a choisi une technique adéquate pour assurer un
recueillement important d’informations sur le terrain, qui se rapportent avec notre thème
de recherche, nous avons utilisé l’usage de la technique d’entretien semi directif
6.2.1. L’entretien :
La nature de notre thème de recherche exige une méthode qualitative qui vise
essentiellement à décrire, analyser et comprendre le phénomène à l’étude.
Pour mener notre recherche, nous avons opté pour l’entretien semi-directif d’un côté
ce type d’entretien car dans ce type d’entretien d’enquêteur reste a maitre de jeu et
conduit l’interaction en s’appuyant sur un guide d’entretien méthodologique mise au
point préalable
Et d’un autre côté, un outil méthodologique qui permet de recueillir un matériel
conforme à notre problématique et faciliter la comparaison entre les entretiens
En effet, dans une période de deux mois nous avons réalisé un guide d’entretien
composé d’un ensemble de questions qui nous ont servi dans la collecte d’informations.
6.2.2. La pré-enquête :
Afin de mesurer les aspects à prendre en compte durant la période de deux mois
passés lors notre recherche, nous avons utilisé des entretiens libres auprès 03 Managers
installés au département des ressources humaines ; dont le but est de collecter des
informations nécessaires pour confirmer la variabilité de nos questions déjà préparés
fixer les objectifs et la méthode de notre recherche d’délabrer notre problématique et de
formuler nos hypothèses.
7. L’échantillonnage
Selon CLAUDE Javeau : l’échantillonnage veut dire la définition d’étude qui
dépend de l’objet d’étude de l’enquête, des hypothèses de travail choisies et le type
d’échantillonnage adopté. (JAVEAU Claude, p112)
Chapitre I Cadre Méthodologique de la recherche
11
Dans notre échantillon nous avons focalisé sur tous les catégories socioprofessionnel
cadre, agent d’exécution, agent de maitrise, afin avoir la variété de notre terrain de
recherche.
Alor on a opté pour un échantillonnage non probabiliste et le type de notre échantillonnage
c’est le type échantillonnage accidentel on a interrogé 08 salaries.
Résumé :
Dans ce chapitre on a montré le cadre méthodologique de la recherche ainsi que
les raisons de choix de thème et les objectifs de la recherche, la problématique,
les hypothèses…etc.
Partie théorique
CHAPITRE II
LE CHANGEMENT
ORGANISATIONNEL ET LA
STRATEGIE D’ENTREPRISE
CHAPITRE II : Le changement organisationnel et la stratégie d’entreprise
13
CHAPITRE II : Le changement organisationnel et la stratégie
d’entreprise
Préambule
La stratégie de l'entreprise est l'ensemble des engagements à long terme pris pour atteindre
des objectifs explicites face à ses concurrents. Nous examinerons comment une entreprise se
positionne dans le marché et dans un environnement concurrentiel mouvant pour se
développer de manière rentable et durable. Dans ce chapitre, nous allons illustrer certains
points assenties dans la gestion stratégique des entreprises.
Section 1 : la stratégie d’entreprise
1. Origine de la stratégie :
Le concept de la stratégie est d’origine militaire .il vient du grec stategos c’est-à-dire
générale et désigne l’art de commander l’armée en présence de l’ennemi .Dans les domaines
militaires, politiques et philosophique la notion de stratégie a inspiré de nombreux grand
acteurs, de Shakespeare à Tolstoï, en passant par Montesquieu, Kant, Hegel ou Clausewitz
2. Définition de la stratégie d’entreprise :
La stratégie d’entreprise est le pilotage des modifications de relations du système
entreprise avec son environnement et la frontière de ce système de gestion humaine. . (ANNE
Marie B, , année non cité p27)
3. Les objectifs de la stratégie d’entreprise
3.1 : La gestion de la compétitivité :
Le rôle le plus évident de la stratégie est d’assurer la compétitivité de l’entreprise par
compétitivité, il faut ici entendre la capacité a supporter la concurrence et a même notre
caractère potentiel de celle-ci. En d’autre terme, il n’est même pas nécessaire d’avoir des
concurrents pour être compétitifs ou chercher a l’être. Fidéliser ses clients ou conquérir de
nouveaux marchés o encore réduire son prix de revient en préservent la qualité sont autant de
manifestations de compétitifs d’une entreprise .Derrière une définition très large, la
compétitivité recouvre donc des réalités très différentes. Deux buts distincts peuvent être
CHAPITRE II : Le changement organisationnel et la stratégie d’entreprise
14
identifiés dans le cadre de la recherche de compétitivité : l’efficacité et l’efficience.
L’efficacité consiste à chercher à atteindre un objectif donné en minimisant les ressources
engagées.
Les entreprises cherchent souvent l’efficience mais se contentent parfois de souhaiter
l’efficacité. ANNE Marie B, , année non cité p47 ,49)
3.2 : La gestion de la sécurité de l’organisation :
La sécurité de l’entreprise est le second but des stratégies .Il s’agit d’assurer
l’existence même de l’organisation à court terme ,moyen et long terme et faire face aux risque
à l’activité économique et aux décisions stratégique .Cet objectif de sécurité ne doit pas être
négligé même si l’entreprise qui cherche la compétitivité peut être conduite a remettre en
cause sa sécurité en de nombreuses circonstances. Par exemple, les entreprises en phase de
forte croissance (c’est-à-dire en situation d’accoisement important du chiffre d’affaire)
rencontrent souvent des difficultés de gestion de trésorerie dues à une augmentation de leur
besoin en fond de roulement. Le dirigeant a pour but stratégique la sécurité de son entreprise,
se doit de porter attention à ce type de conséquences de la compétitivité. La sécurité des
personnels, des installations et des clients est également une source importante de pérennité
des firmes, Dans certains types d’organisation, La sécurité relève même de la mission de
l’entité.
3.3 : La gestion de légitimité de l’organisation :
Le troisième but des dirigeants d’une organisation est la recherche de légitimité
auprès des acteurs interne (salarié, actionnaire) et externes (fournisseur, client, grand public,
ct.). Ces acteurs évaluant en effet les actions des organisations. Une entité est légitime si ses
actions sont perçues comme étant appropriées dans le cadre d’un système de norme ou de
valeur. La gestion de la légitimité est stratégique car si une organisation est légitime auprès
des acteurs de son environnement, alors elle bénéficie d’un accès privilégié à des ressources :
candidats à des emplois, soutiens des investisseurs, clients plus nombreux, délais de paiement
accordés par les fournisseurs, motivation des salariés, ct.
4 : La relation entre stratégie d’entreprise et structure
CHAPITRE II : Le changement organisationnel et la stratégie d’entreprise
15
A. Chandler considère que le changement de stratégie et le changement
organisationnel sont liés. Ainsi, selon cet auteur, La structure d'une organisation découle et
résulte des décisions stratégiques prises en fonction de l'environnement, lesquelles entraînent
de nouveaux besoins d'organisation modifiant les structures et a chaque étape de leur
évolution, marquée par un changement important de stratégie, les entreprises mettent en place
des modifications de leurs structures. C’est pourquoi, selon l’auteur, la stratégie détermine la
structure mais, pour autant, ce lien n’a rien d’automatique car un changement de stratégie
n’entraîne un changement de structure que si celle-ci se révèle inadaptée à la mise en œuvre
de la nouvelle stratégie. De même, la structure peut conduire à un changement de la stratégie
car cette dernière repose sur une analyse de l’environnement. la structure influence la
perception de l’environnement car elle conditionne la façon dont les informations circulent
dans l’entreprise.
Les transformations sociales, économiques, technologiques… mais surtout la vitesse
à laquelle ces transformations surviennent exigent des entreprises qu’elles soient en
réorganisation constante pour répondre à ce besoin de flexibilité et de réactivité qui leur
permettra de « survivre » dans la compétition mondiale. Car, comme le souligne P. Drucker «
Le plus grand danger, dans les moments de turbulence, ce n’est pas la turbulence, c’est d’agir
avec la logique d’hier » (Devillard olivier et Rey Dominique, 2008, p125)
Section 2 : la gestion de changement stratégique dans l’entreprise
1- Qu’est-ce que le changement organisationnel :
Le changement est une modification durable apportée à l’environnement, la structure,
la technologie ou au personnel d’une organisation en vue d’une amélioration significative de
son fonctionnement et de sa performance. Sans celui-ci, le travail de manager s’en trouverait
simplifiée, tout comme la planification, dans le contexte d’un lendemain identique au présent.
La structuration se ferait sans peine grâce à un environnement dénué d’incertitude et
n’exigeant pas d’adaptation particulière. Et rien ne serait plus simple que de prendre des
décisions car tout résultat serait prévisible avec une grande exactitude. Ainsi, la vie du
manager serait détendue si seulement les concurrents ne commercialisaient pas de nouveaux
produits ou services, si les clients n’exprimaient pas de nouveaux besoins, si les lois
demeuraient inchangées, s’il n’y avait plus de progrès technologiques ou si les besoins du
personnel n’évoluaient pas… » (Stephen ROBBINS, 2008, p190)
CHAPITRE II : Le changement organisationnel et la stratégie d’entreprise
16
2- Les facteurs du changement organisationnel :
Le changement s’explique soit par des facteurs internes soit par des facteurs externes.
2-1-Les facteurs internes :
Sont associés a l’organisation elle-même, ils peuvent apparaitre dans l’ensemble de
l’organisation soit dans une partie de l’organisation (finale, division, unité), ils sont
généralement reliées aux facteurs externe qui agissent alors comme déclencheurs de
changement.
Grouard et Miston(1998) ont identifié deux facteurs internes, appelés aussi mobiles de
changement : le développement de l’entreprise et sa croissance, la division du dirigeant. Il au
bien identifier les deux catégories de facteurs si nous voulons comprendre le changement
organisationnel et ce qui conduit les organisations à changer. L’analyse que l’on peut en faire
donne une vision globale du changement organisationnel et permet de mieux le juger et le
gérer.
Ils sont généralement associés à l’environnement dans le quel se trouve l’organisation ou à
des éléments externe qui changent
2-2-Les facteurs externes :
Grouard et Miston(1998) ont identifié six facteurs externe principaux : le marché, la
concurrence, les innovations technologique, l’évolution de la législation et de la
réglementation, la modification de l’actionnariat et enfin l’évolution de la société, des modes
de vie et des modes de penser. (Gilles TENEAU, ,2005,p29)
3 : La mise en œuvre du changement organisationnel
3-1- La résistance au changement organisationnel
Une entreprise est composée de trois strates qu’il est plus ou moins facile de faire évoluer.
La strate 1 concerne les techniques et les technologies. Il s’agit de l’ensemble des
procédures formalisées de l’entreprise et cette strate est relativement aisée à faire évoluer. La
strate 2 concerne les fonctions de régulations et elle est plus difficile à changer. La strate 3
concerne la culture d’entreprise et son éthique. Elle touche au système de valeurs des
individus et, par conséquent, elle est la plus difficile à faire évoluer. L’importance de la
CHAPITRE II : Le changement organisationnel et la stratégie d’entreprise
17
culture d’entreprise, insuffisamment prise en compte, est souvent la cause de nombreux
échecs de processus de changement car la culture ne se décrète pas, elle évolue lentement et
ce, plus sous l’effet d’actions quotidiennes que sous celui d’actions de formation ou de
décisions des dirigeants. Ainsi, selon M. Thévenet, « La culture d’entreprise s’est imposée
comme le ciment entre tous les systèmes de l’organisation, elle devrait conduire chaque
salarié à avoir le sentiment que son succès personnel passe par celui de son établissement ».
Un changement n’est jamais neutre pour le personnel et il se décompose en trois phases : la
phase de mobilisation, la phase de transformation et la phase de consolidation. Chaque phase
peut faire l’objet de résistances dont les causes sont multiples : les causes individuelles
s’expliquent par le fait que le changement est anxiogène pour les individus dans la mesure où
il est synonyme de rupture, de remise en cause, de perte de points de repères et de nombreux
questionnements sur son devenir. Les causes collectives s’expliquent par le fait que les
normes, les rites, les croyances partagés par l’ensemble des salariés et qui contribuent à créer
un sentiment d’appartenance au groupe sont menacés de disparaître. Les causes structurelles
et conjoncturelles, quant à elles, sont liées aux conditions de travail, au fonctionnement
organisationnel de l’entreprise ou bien encore au climat de l’entreprise.
Les changements sont toujours sources de conflits car ils entraînent une déstabilisation des
acteurs sociaux, une remise en cause des situations de pouvoirs et du rôle des cadres dans
l’entreprise (M. Crozier et E. Friedberg). Ces conflits sont inévitables et ils doivent être gérés
dans la transe_ Afin d’expliquer le taux d’échec important constaté lors de la mise en place de
changements (par exemple, une nouvelle organisation du travail ou un réaménagement des
horaires), leurs promoteurs évoquent le plus souvent la résistance des salariés au changement.
_ Toutefois, faire de cette résistance un invariant naturel, irrationnel et irréductible du
salarié est trop simpliste. Ce n’est pas tant le changement qui inquiète, que la trop forte
incertitude qui résulte de la majorité des démarches de changement : s’il ne peut correctement
comparer les avantages et inconvénients des différentes situations (ante et post-changement),
le choix du statu quo par un salarié apparait comme une décision rationnelle.
_ Pour dépasser ces résistances , la RH doit adopter une démarche aussi consensuelle que
possible, permettant aux salarié d’avoir une vision partagée, d’une part de la situation
existante et, d’autre part, de la situation à venir. Ce type de démarche, fortement participative,
se traduit souvent par des logiques de type « projet » et requiert un temps et une énergie non
négligeables. Le niveau d’implication et d’exemplarité des managers est primordial pour la
réussite d’un processus de changement, puisque d’eux dépendra en partie l’adhérence des
CHAPITRE II : Le changement organisationnel et la stratégie d’entreprise
18
salariés au changement proposées. Apparence par de multiples négociations. ( Serger
PANZUK, mai2006, p112)
3-2- L’acceptation progressive du changement
La capacité pour l’entreprise à lutter contre les résistances, à désamorcer les conflits et à
faire accepter le changement repose en partie sur le leadership de ses dirigeants. Pour qu’un
leadership soit efficace le dirigeant doit être visionnaire, il doit savoir communiquer, il doit
savoir déléguer et il doit bien se connaître lui-même, c’est-à-dire, connaître ses forces et ses
faiblesses. Le leadership repose sur des compétences intellectuelles, techniques et
relationnelles (Ecole sociotechnique E. Triste et F. Emery).
La construction d’une vision partagée, la modification des comportements, l’acceptation de
l’incertitude, la suppression des freins et des résistances au changement reposent également
sur la confiance que le dirigeant inspire aux salariés.
Le dirigeant peut choisir entre deux méthodes permettant de mener le processus de
changement. Le processus par rupture consiste à changer les structures et les responsabilités
formelles puis à changer les relations et processus interpersonnels et enfin, à changer les
attitudes et les mentalités individuelles. Le processus par émergence consiste à changer en
premier les attitudes et mentalités individuelles puis à changer les relations et processus
interpersonnels et enfin à changer les structures et responsabilités formelles.
Le pilotage du changement, quelle que soit la méthode retenue, doit permettre de guider
efficacement l’entreprise tout au long du processus de changement. Il s’agit de réfléchir à la
flexibilité nécessaire aux utilisateurs pour leur permettre d’enrichir leur implication.
La planification, à la fois stratégique et opérationnelle du changement, doit prendre en
compte L’aspect temporel, élément essentiel de la démarche.
Le pilotage dure jusqu’à ce que les nouvelles habitudes soient parfaitement intégrées et
acceptées par tous. La surveillance du bon déroulement du processus de changement au
quotidien est essentiellement assurée par l’équipe de facilitation. Celle-ci a pour mission de
déjouer les résistances, de dénouer les nœuds éventuels qui pourraient bloquer le processus et
de faciliter le dialogue et les échanges à tous les niveaux hiérarchiques. Il lui appartient, en
effet, d’accompagner le changement, d’en faciliter l’appropriation par tous les acteurs, la
CHAPITRE II : Le changement organisationnel et la stratégie d’entreprise
19
presque totalité des ressources de l’entreprise devant être mobilisée dans ce sens. (Ibid.
p113 ,114)
4-Les trois phases du changement organisationnel
Parmi les nombreuses tentatives de modélisation des processus de changement, celle,
pionnière, du psychosociologue K.Lewin, établie en 1951, fait toujours figure de référence.
Cette auteure distingue trois phases :
_ Le dégel : cette première phase consiste en un état des lieux de l’entreprise et la mise en
place des conditions nécessaires au changement. La RH et les managers doivent d’identifier
les forces motrices et les forces résistantes au changement ;
_ Le changement : la faisabilité du changement dépend de la diminution des forces
résistantes .Les promoteurs du changement doivent pour cela éclairer l’avenir et permettre une
réelle implication de l’ensemble des salariés concernés dans cette réorganisation ;
Le regel : dans cette dernière phase, l’entreprise cherche à faire en sorte que les
changements obtenus soient durables. Au cours de cette phase, les nouveaux comportements
du changement consécutifs au changement se mettent en place et remplacent les anciens. Les
promoteurs du changement veillent tout particulièrement pendant cette période à
accompagner cette évolution, tout en restant ouverts aux critiques afin de désamorcer une
éventuelle remise en cause tardive
Le nombre des changements agréé est parfois si important que certains spécialistes
estiment que ces mutations sont devenues l’état stable des organisations. (DAVID
DUCHAMP, Loris GUERY, 2014, P122)
5- : Les objectifs de la conduite du changement organisationnel
5-1- L’adhésion des principaux acteurs d’un projet
Sans transformer cette action en Endoctrinement, il s’agit de comprendre les attentes des
différents partenaires Du projet et de leur proposer des actions de communication, de
formation et D’accompagnement pour qu’ils réalisent au mieux le projet proposé. Quelles
Sont leurs attentes ? Leurs besoins, leurs envies ? Leur fait peur ? Un projet sans adhésion
est obligatoirement voué à l’échec.
CHAPITRE II : Le changement organisationnel et la stratégie d’entreprise
20
Ce travail de recherche d’adhésion est une forme de marketing interne. Faire adhérer
devient le maître mot dans un environnement où il y aune inflation de projets et donc de
sollicitations mais également dans un contexte sociologique où de plus en plus de personnes
ne veulent plus obéir à un ordre mais s’inscrire dans des dynamiques de Co-construction. Pour
celai est nécessaire d’aller vers ces acteurs, d’échanger avec eux, de comprendre leurs attentes
et de mettre en place des dispositifs de concertation
5-2- La transformation.
Lorsque les individus adhèrent à un projet, ils se mettent en situation de production. Ils
bâtissent des diagnostics de l’existant, envisagent des solutions et mettent en place des
pratiques innovantes. Cela se matérialise par des modifications des processus, des structures,
des pratiques et des compétences. Ce travail de transformation se matérialise par des chantiers
au cours desquels les acteurs vont porter une action en l’expliquant, la réalisation et en
s’assurant de sa mise en œuvre. Cette phase est indispensable au changement sinon celui-ci se
limitera à quelques discours et bonnes intentions. Le moment de mise en action opérationnelle
est probablement le plus difficile car il oblige chacun à s’interroger sur son existant, sur son
futur et à s’investir dans des actions qui l’obligeront à se positionner et défendre des positions.
5-3-Le objectif de l’évolution
N’est pas sur le même laps de temps que les deux précédents. L’évolution est une
conséquence à moyen et long terme de la phase de transformation. Les acteurs mettent en
œuvre des transformations et celles-ci construisent une nouvelle manière de travailler et
parfois de penser. Dans les objectifs d’un projet de changement on a en général plusieurs
niveaux de résultats attendus. On a en général des résultats opérationnels (remplacer
l’application informatique x, avoir une nouvelle organisation du service comptable), des
résultats projet (tenir les budgets et le planning), des résultats business (diminuer le coût de
traitement de la facture de 15 %) et des résultats que nous qualifions de culturels (augmenter
l’autonomie des salariés, développer une culture de résultats).L’évolution porte plus
particulièrement sur ce dernier type de résultat. Le projet de changement n’est qu’un prétexte
à l’évolution de l’entreprise et c’est un moyen de la mettre dans une boucle d’expérimentation
qui lui permettra de se doter de nouveaux comportements et compétences. Nous sommes
souvent interrogés en tant qu’expert en conduite du changement sur le temps nécessaire à des
changements de culture. Notre réponse est de dire qu’il est très difficile de faire évoluer une
CHAPITRE II : Le changement organisationnel et la stratégie d’entreprise
21
culture d’entreprise et que le seul moyen d’y parvenir est de lancer différents projets
concernant les outils, l’organisation et la stratégie et que la réalisation de ces derniers
orientera les salariés vers de nouvelles valeurs culturelles. Mais cela peut prendre plusieurs
années alors qu’un projet se quantifie en mois.
6- L’impact du changement sur l’organisation
Le changement représente, à court terme, un coût pour l’entreprise dès lors qu’elle
supporte des dépenses de formation du personnel, de restructuration, d’acquisitions en
équipements et matériels. Mais l’entreprise doit le considérer, non comme une charge mais
comme un investissement puisqu’il est destiné, à moyen terme, à accroître ses performances.
Ainsi, le retour sur investissement est le ratio financier qui va déterminer le rendement du
capital investi. Il devient ensuite un outil de suivi des résultats et doit conforter l’entreprise
dans le bien fondé du changement opéré.
L’élaboration d’un questionnaire destiné à collecter des informations sur le ressenti des
collaborateurs face au changement permet à la direction d’identifier au quotidien les sources
de 16 Satisfaction ou, au contraire, les sources d’insatisfaction, de dysfonctionnement ou de
non qualité. Dès lors que le changement sera perçu comme bénéfique par les collaborateurs,
l’adhésion et l’implication de ces derniers aura des répercussions positives sur les
performances économiques et sociales de l’organisation.
On peut citer l’exemple d’IBM, présent dans le secteur de l’informatique depuis
plusieurs années et qui a réussi un changement organisationnel majeur, celui de l’introduction
des tics dans l’entreprise à partir des années 90. Pour ce faire, L. Gerstner, dirigeant
charismatique et visionnaire appelé pour redresser l’entreprise en difficulté, a adopté la
démarche suivante destinée à faire d’IBM une e-entreprise en cohérence avec la stratégie
générale d’effectuer du e-business : imbrication et complémentarité des technologies et de la
stratégie et suppression d’un certain nombre d’éléments présents dans l’organisation
précédente (réduction du personnel, restructuration, modification des processus….) qui ainsi
n’ont pas constitué des obstacles à la mise en œuvre de la nouvelle stratégie. En matière de
gestion des ressources humaines, les réfractaires à l’utilisation des tics ont mis en avant le fait
que l’utilisation systématique des outils pour toute communication (mail ou visioconférence)
entraînait pour eux le sentiment d’être plus des «robots » que des collaborateurs. Ils
déploraient un manque de relation « vraie » au profit d’une relation « virtuelle » et
ressentaient un sentiment d’envahissement dû au fait que la possibilité technique de travailler
CHAPITRE II : Le changement organisationnel et la stratégie d’entreprise
22
à tout endroit et à tout moment modifiait la frontière vie privée/vie professionnelle. La
direction d’IMB a résolu ces problèmes en adoptant une politique de gestion du changement
efficace : diffuser l’information et communiquer afin de faire évoluer les mentalités, diffuser
la vision du dirigeant en expliquant le bien-fondé de cette nouvelle stratégie, faire relayer les
informations par les adhérents au changement avec l’objectif de convaincre les réfractaires au
changement… Pour ce faire, IBM a privilégié l’intranet mais a également dispensé des
formations et fourni des explications sur l’évolution des métiers. Progressivement, la nouvelle
stratégie s’est imposée à tous et a remporté l’adhésion de tous. Aujourd’hui, IBM continue
son ascension dans le domaine de l’informatique et, bien qu’évoluant dans un environnement
concurrentiel, elle se situe parmi les premières entreprises dans son secteur d’activité
occupant même la première place dans l’offre de certains services tels que des services de
gestion d’applications ou bien encore des services d’externalisation de processus métiers.
En conclusion et en réponse à la problématique posée en introduction : « Pourquoi le
changement s’impose-t-il à l’entreprise et comment peut-elle le gérer efficacement ? » on peut
dire que la restructuration d’une entreprise entraîne des changements organisationnels qu’il lui
appartient de gérer au mieux car, de leur réussite, dépend son devenir. La mise en place de la
gestion du changement au sein de l’entreprise a pour but d’accroître sa flexibilité, sa souplesse
et sa réactivité afin de faire face le mieux possible aux fluctuations de son environnement.
Pour mener à bien le changement, le responsable du pilotage du changement doit maîtriser des
principes de base tels que la maîtrise de la démarche de conduite du changement qui implique
la perception de ce qu’est une organisation et des raisons qui l’obligent à évoluer, la
connaissance des principaux facteurs qui peuvent susciter un changement, la typologie des
causes de résistances au changement, les différents degrés et leviers de changement, les
facteurs facilitant la réussite du changement ainsi que les outils et indicateurs d’évaluation à
utiliser.
Et si, pour M. Thévenet, le changement doit faire partie intégrante de la culture
d’entreprise, pour autant, selon la théorie de l’engagement de R.V. Joule et J.L. Beauvoir, il
n’apparaît pas nécessaire de rechercher une adhésion préalable au changement par une
stratégie de communication puisque « C’est en amenant les salariés à réaliser des actes
engageants que l’on parviendra à mettre en œuvre le changement souhaité »
CHAPITRE II : Le changement organisationnel et la stratégie d’entreprise
23
Quant à J. Fellows, industriel américain, Président d'IBM de 1985 à 1993, il s’exprimait de
la façon suivante : « Ne réorganisez jamais sauf pour une bonne raison. Mais si cela fait un
moment que vous ne l'avez pas fait, c'est une bonne raison »
7- la théorie de l’engagement : des nouvelle perspective pour le changent
organisationnelle
Depuis quelques années, la psychologie sociale des organisations un certain renouveau
dans ses travaux sur le changement organisationnel. L’émergence de la théorie de
l’engagement apparait comme une piste prometteuse de recherche tant les premiers résultats
produits semblent significatifs. En d’autres termes, les recherches montrent que l’engagement
organisationnel. Mais qu’est-ce que l’engagement ? Quels sont les fondements et les limites
de cette approche ?
7_1- la théorie de la désannonce cognitive de Festinger
Pour comprendre les fondements de la théorie de l’engagement il convient de
s’intéresser à sa filiation première constituée par la théorie de la dissonance cognitive.
Elaborée en 1962 par L. Festinger, la dissonance cognitive stipule que lorsqu’une personne se
trouve en présence d’idées contradictoires, elle ressent des tensions psychologiques
désagréables qu’elle va s’efforcer de réduire par son comportement. La dissonance cognitive
caractérise le malaise et l’action qui vise à réduire ce malaise lorsqu’un individu prend
conscience de la contradiction qu’il y a entre certaines de ses idées. Cette incohérence ou ce
conflit entre deux idées conduit à un changement d’attitude et de comportement. Finalement,
la dissonance cognitive peut ainsi constituer une force incitant une personne à passer à l’acte.
Cette force motive une volonté de réduction des contradictions identifiées, dans la mesure où
l’homme cherchera à rationaliser sa pensée et ses actions. (Jean-Michel PLANE, 2003, p93)
7-2 _ la théorie d’engagement
La théorie de l’engagement conceptualisée plus récemment par Kiesler, et développée par
Joule et Beauvois, s’inscrit dans le prolongement de la dissonance cognitive.
L’engagement part d’une idée assez simple : l’homme est rationalisant. Dans cette
perspective, il adapte ses idées pour les mettre en conformité avec ses actions. L’action
CHAPITRE II : Le changement organisationnel et la stratégie d’entreprise
24
précède la rationalisation des opinions d’une personne qui cherche à donner un sens positif à
ses décisions.
Suivant Joule et Beauvois, il est possible de conduire les hommes à changer en
provoquant des situations qui une fois vécues, feront évoluer les opinions par une
rationalisation a posteriori. En d’autres termes, il s’agit d’une adhésion après l’action. Le
passage à l’acte et à l’engagement est déterminant suivant cette approche, puisque les actes
mis en œuvre sont appréhendés comme étant moteur de la dynamique cognitive et
comportementale. Dans ses travaux, louche précise que l’engagement est le produit de
conditions situationnelles, à la différence de l’implication qui reposent sur des variables
personnelles. L’engagement dépend donc bien de conditions externes à la personne que l’on
peut dissocier en deux catégories. En premier lieu, la taille de l’acte qui correspond à sa
visibilité, comme son caractère public ou son importance pour la personne que l’on pourra
apprécier en termes de cout. Au total, l’apport de la théorie de l’engagement au management
est de montrer que la créativité et surtout « la mise en œuvre d’idées nouvelle débutent par des
actes, c'est-à-dire des mise en situations plutôt que par des discours »
La problématique de changement organisationnel est centrale en management des
organisations. De nombreux travaux sur le sujet visent à chercher à montrer la condition de
mise en œuvre du changement. Les recherches sur l’engagement apportent des éclairages
novateurs et significatifs à la question de changement organisationnel. Joule et Beauvois ont
montré que l’homme agit et pense en fonction de ses actes antérieurs. Dans cette optique, les
recherches n’envisagent plus la stratégie du changement par la persuasion, ce qui revient à
chercher à convaincre des salariés de l’intérêt du changement .A contrario, Louche démontre
que c’est en amenant les salariés à réaliser des actes engageant que l’on parviendra à mettre
en œuvre le changement souhaité. Ces travaux indiquent que les effets à long terme de
l’engagement librement consenti sont supérieurs à la stratégie de la persuasion. Dans la
perspective du management des organisations, Jarosse identifie trois perspectives d’action. En
premier lieu, les stratégies de créativité provoquent un engagement favorable au changement.
En deuxième lieu, il n’est pas souhaitable de rechercher une adhésion préalable au
changement par une stratégie de communication. Enfin, il est capital de susciter la
participation par la créativité dans un contexte de liberté, contexte particulièrement favorable
à l’engagement. En définitive, les apports potentiels de l’engagement au changement
organisationnel et au management des organisations semblent considérables, même s’il
convient d’approfondir les recherches dans ce domaine et utiliser, pour l’heure, cette
CHAPITRE II : Le changement organisationnel et la stratégie d’entreprise
25
conception du changement avec beaucoup de précaution. (Jean-Michel PLANE, 2003,
p93,94,95).
8. la théorie de l’intervention en gestion des ressources humaines
Le processus d’intervention dans les organisations est souvent difficile car le diagnostic et
le changement y sont complexes. Les travaux de recherche de Pierre Louart montrent qu’en
GRH on ne peut intervenir qu’en comprenant ce qui se passe vraiment, c’est-à-dire en
étudiant les acteurs influents, leurs stratégies de pouvoir, leurs objectifs ainsi que l’ensemble
des pratiques qui en résultent. L’intervention en GRH requiert donc les compétences
multiples, d’ordre technique, politique et relationnel. L’intervenant peut contribuer activement
au développement organisationnel de l’entreprise à partir de relations de travail. Celles-ci se
caractérisent par des fortes interactions qui produisent des transformations, sources de
développement du potentiel humain. Ils peuvent aussi se heurtera des paradoxes ou à des
mythes organisationnels comme le mythe taylorien, encore responsable de la stat cité des
compétences et des comportements.
8-1 _l’intervention en gestion des ressource humain
L’intervention en gestion des ressources humaines suppose des compétences d’expert en
management, mais aussi et surtout de facilitateur et de catalyseur. Néanmoins, le simple fait
de demander de l’aide induit dès le départ une situation sociale déséquilibrée dans notre
société ou l’autonomie est particulièrement importante. En effet, dans la mesure où le
demandeur de prestations se place, dans l’échange social, en position de dépendance vis-à-vis
de celui qui va l’aider, cela crée un déséquilibre et une vulnérabilité. Cette situation nécessite
que l’intervenant opère rapidement un rééquilibrage, sous peine de se faire rejeter. C’est
pourquoi les prestataires de services en GRH essaient autant que possible de ne pas donner un
caractère trop directif à l’aide qu’ils apportent à l’entreprise. L’intervenant se voit confier un
rôle social dans l’entreprise, mais il peut aussi apparaitre aux salariés comme l’envoyé et donc
l’agent de la direction. Ces représentation impliquent qu’il n’est pas pensable pour les acteurs
de confier toutes leurs opinions sur le fonctionnement de leur organisation a un intervenant. .
(Jean-Michel PLANE, 2003, p95,96).
CHAPITRE II : Le changement organisationnel et la stratégie d’entreprise
26
8-2 stratégies de développement du potentiel humain des organisations
Dans le cadre d’une intervention en gestion des ressources humaines, on assiste
progressivement à la production d’actes de gestion innovants dans l’entreprise. L’évolution du
métier de directeur des ressources humaines se fait dans le sens du conseil à la hiérarchie
chargée de l’animation d’équipes de travail. Cette mission cherche à développer la fonction
pédagogique de l’encadrement et les capacités d’apprentissage des hommes qui est essentiel
dès lors que l’on s’intéresse aux innovations en matière de management des hommes. L’idée
fondamentale est de permettre aux salariés de se projeter davantage dans l’avenir :
l’organisation doit diffuser les objectifs à atteindre, favoriser la réactualisation des
compétences et contribuer à utiliser au mieux les savoir-faire acquis dans la résolution
quotidienne du dysfonctionnement. La finalité d’une intervention en GRH porte ainsi sur les
processus de création et de transfert de connaissances .Il s’agit d’être progressivement capable
de créer, d’acquérir et de transférer de la connaissance par l’évolution des principes
organisationnels et du comportement professionnel des salariés.
Le pouvoir des cadres supérieurs provient non seulement de leur position, mais aussi et
surtout de leurs connaissances, de leurs compétences et de leur capacité à s’interroger sur la
portée de leurs propres pratiques professionnelles. Cette capacité d’introspection est
généralement peu développée dans les organisations. Elle peut être appréhendée à partir
d’actions qui conduisent les acteurs à s’interroger sur les actes qu’ils produisent et leurs effets
sur la performance économique et sociale de l’entreprise. Les prestations de nature
immatérielle des spécialistes de la GRH peuvent concourir au développement de
l’introspection. La mise en place de groupes de projet d’amélioration favorisent notamment
l’introspection organisationnelle. Les instruments de GRH conduisent simultanément à une
analyse approfondie de l’utilisation du temps de travail au sein des différents services ou
ateliers de production, ainsi qu’à une étude rigoureuse de la répartition des compétences. En
effet, le développement de l’introspection contribue à l’accroissement du niveau de visibilité
et de lisibilité dans l’organisation. (Jean-Michel PLANE, 2003, p98)
Résumé :
La stratégie qu’ils avaient mise en place était qu’à chaque fois qu’on leur proposait un
outil, ils trouvaient toujours le moyen de dire que cet outil ne correspondait pas complètement
CHAPITRE II : Le changement organisationnel et la stratégie d’entreprise
27
à leurs besoins. Il a fallu un gros travail de conduite du changement pour faire évoluer une
population d’un système routinier bureautique à un système plus dynamique.
Une des voies de progrès choisie a été de les associer au départ du projet pour le choix du
progiciel pour ne pas qu’ils disent que ce dernier ne correspondait pas à leurs besoins.
On s’est aperçu, qu’il fallait des forces au service de cette conduite du changement,
forces de formation, de communication, d’accompagnement.
CHAPITRE III
LA CULTURE D’ENTREPRISE
Chapitre III La culture d’entreprise
28
Préambule
Ensemble des façons de penser et d’agir, ensemble de normes, de règles explicites ou
implicites, système de cohésion et de cohérence, la culture est la partie immatérielle du
capital ; c’est le capital immatériel de l’entreprise au même titre que la marque. Au-delà de
la valorisation des actifs et des technologies, c’est elle qui constitue la valeur active réelle
de l’entreprise. Dans ce chapitre, nous allons parlés sur certains points essentielles y’a
compris ses caractéristique, son rôle, et ses limites.
1. Définition de la culture d’entreprise :
La culture d’entreprise désigne les connaissances, les idées et les information dent
disposent les salariés de l’entreprise. C’est l’ensemble des normes et valeurs partagées
dans un groupe et agissant sur les comportements, les attitudes, les modes d’organisation.
Du point de vue managérial, ce sont les normes et principes qui comme une règle du jeu,
régissent les rapports de travail. (Cheminade benjamin, 2005, p 33).
Les entreprise voient alors dans leurs culture, génératrice de cohésion a travers le
partage de valeurs, un nouveau mode de coordination plus souple que les anciens. (Morin
pierre et Delavallée Eric, 2000, p 42).
SCEIN EDGAR donne une définition a la culture d’entreprise « la culture
d’entreprise est un ensemble d’idées, d’hypothèses et de conventions, partagées de miniers
consciente ou non, qui touchent aux réalités revêtant une impotence pour l’entreprise. A
juste titre, il considère que la culture d’entreprise est a l’origine d’un processus
apprentissage qui sert a orienter les employés face au travail, a l’organisation comme au
type de relations entretenues avec par exemple, les clients, fournisseurs et les collègues.
(Herbert k. Rampersad, 2005, P 272.)
La culture d’entreprise dans son acception la plus large, peut être définie comme
l’ensemble cohérent des attitudes communes à tous les salaries dans un contexte de travail.
Est notamment valorise le registre de l’entreprise. (GILLES Ferréol et autre, , 2004.)
On entend par culture d’entreprise, l’ensemble des manières de penser, de sentir et
d’agir qui sont commun aux membres d’une même organisation.
Chapitre III La culture d’entreprise
29
La culture d’entreprise correspond donc à un cadre de pensée, a un système de valeurs
et de règles, relativement organises qui sont partagées par l’ensemble des acteurs de
l’entreprise.
2. typologie des cultures d’entreprise
Différentes d’une entreprise à une autre, les cultures d’entreprise peuvent néanmoins
être classées en deux grands types :
2-1-La culture d’entreprise fondée sur l’individu :
Elle vise l’accomplissement individuel et passe notamment par une forte politique de
formation continue. Une grande autonomie est accordée aux individus ;
2-2-La culture d’entreprise fondée sur la répartition des tâches :
l’objectif principal de l’entreprise est la recherche de l’efficacité optimal, d’où
l’importance accordée à l’autorité, à l’exercice du pouvoir étau respect des règlements et
normes internes L’autonomie individuelle y est fortement restreinte.
3 : Les caractéristiques de la culture d’entreprise :
La notion de culture qui est applique sur plusieurs champs d’actions des hommes est
considère dans le domaine organisationnel et managériale ainsi l’entreprise est un corps
social, disposant d’un patrimoine culturel façonné par son histoire ses valeurs, ses
méthodes de management.
On peut citer les caractéristiques suivantes :(Meier Olivier, 2013, p 10-13).
3.1. La culture d’entreprise comme phénomène collectifs :
Qui associe les individus au sein d’un même groupe social, la culture d’entreprise est
donc des univers ou les acteurs d’entreprise peuvent communiquer et repérer ce qui les
unit.
3.2. La culture d’entreprise procédée d’une activité symbolique
omniprésente : (ibid. P11).
Chapitre III La culture d’entreprise
30
Elle permet aux individus d’un même groupe d’échange des informations au-delà des
règles formelles à travers un ensemble des présentations plus au moins compréhensible par
des personnes extérieurs a l’organisation.
3.3. La culture d’entreprise est également associe aux notions
d’apprentissage et de transmission :
C’est à travers la culture que s’organise la continuité du groupe qui va converger vers
les mêmes postulas, et transmettre ces suppositions aux membres. (ibid. .P12) .
3.4. La culture d’entreprise est caractérisée par sa cohérence interne :
Elle se présente comme un system de valeurs et des règles relativement structure.
3.5. La culture d’entreprise est avant tout une construction sociale qui
évolue avec le temps :
Elle résulte d’un processus de décision et de réactions à ses évènement et actions
menées par la firme de son histoire, la culture d’entreprise va donc évoluer en fonctions
des situations rencontrées durant son cycle de croissance.
3.6. La culture d’entreprise constitue un «dedans» par rapport à un
«dehors» :
En créant un univers qui permet de fédérer des acteurs autour d’une même structure et
de distinguer des autres salariées. (Ibid. P13)
4. Fonctionnement de la culture d’entreprise
La culture d’entreprise est un ensemble de références partagées par les membres
d’une même entreprise. Elle s’élabore autour de divers éléments :
. Les codes qui facilitent la communication et la compréhension entre les salariés,
comme par exemple le port obligatoire dans l’entreprise du costume-cravate sombre ou, à
l’inverse, de tenues décontractées (jean, polo, etc..).
Chapitre III La culture d’entreprise
31
. Les rites qui, en structurant le temps, contribuent à l’organisation du travail : le
discours de rentrée du président, le déjeuner en équipe du lundi, etc.
. Les histoires qui entretiennent les valeurs fondamentales l’entreprise : par exemple,
la construction du mythe de la création de Microsoft par Bill Gates dans le garage de sa
maison
. La culture d’entreprise est créée par les membres de l’entreprise et est transmise aux
nouveaux arrivants. En évolution constante, elle s’avère difficile à modifier rapidement.
5. Le rôle interne et externe de la culture de l’entreprise :
Selon E. Echein (1985), la culture d’entreprise se forme en forme en partie pour
répondre à deux série de problèmes essentiels a résoudre pour assurer le développement de
l’entreprise.
Le premier est celui de l’adoption de l’entreprise a son environnement et pose donc la
question de la survie de l’organisation.
Le second, est d’ordre interne et pose sur l’instauration et le maintien de relations au
travail efficace entre les membres de l’entreprise.
5.1. Le rôle interne de la culture d’entreprise :
La culture d’entreprise permet a des acteurs d’origine des former au sein d’une
formations et intérêts personnels différents,de cohabiter et Cooper au sein d’une même
organisation, en renforçant les point de convergence et en réduisant les éléments de
divergence, la culture d’entreprise doit être par conséquent comme un facture interne
d’intégration qui vise a fédérer et mobiliser des individus a priori différents autour
d’objectifs communs généralement de performance sociale ou économique .tout groupe
social quelle que soient ses caractéristiques elle a besoin d’un minimum de cohésion et
cohérence pour fonctionner optimal , la culture d’entreprise contribue a cette mission ,en
loure donnant les fonctions tels que un système de pensée, croyance, habitude, qui vont
leur permettre de travailler ensemble malgré leur différences.
Chapitre III La culture d’entreprise
32
La culture d’entreprise s’avère aussi très utile lors de l’intégration des salaires venant
d’horizon différent. Elle leur permet d’acquérir rapidement les réflexes et pratique de
l’entreprise et ainsi de travailler efficacement avec des autre membres de l’organisation.
Elle permet aussi de mettre en place des mécanismes de contrôle (élément de
régulation) et de coordination (règle, procédures), en vue de crée les conditions d’une
coopération efficace à travers l’élaboration des méthodes communes unanimement
acceptées.
La culture c’est un moyen de fédération, en impliquent cognitivement et
émotionnellement les acteurs par instauration de normes de conduit de et des System
d’organisation appropries. (Meier o, 2006, p10-13.)
5.2. Le rôle externe de la culture de l’entreprise :
la culture de l’entreprisedélimite les frontières d’une organisation et permet de lui
donner une propre a lui qui la distingue des autres firmes de lenvirennement.la culture
d’entreprise se prisent par conséquent comme un facture d’identification et différenciation
par rapport à l’environnement elle permet d’établir un certain nombre de principe, de règle
et de référence sur lesquels les individus vont s’identifier et se de marque en tant que
collective particulière elle est ce qui les unit et les distinguer des autre acteurs de
l’environnement. La culture d’entreprise se présente aussi comme un moyen de faire
converger des individus dans la même direction, en leur permettant de lutter efficacement
contre l’incertitude et la complexité de l’environnement.
Elle permet de créer un socle sur lequel les individus peuvent s’appuyer et se retrouver
pour répondre ensemble aux contraintes de l’environnement .la culture contribue de ce
occuper, pour permettre a un groupe social donnée de vivre et se développer au sein de
l’environnement. (Op-cite, p14)
Par conséquence, une culture d’entreprise forte et bien gérer peut donc améliorer la
qualité du travail des salariées et leurs adhésion a l’organisation elle s’avère essentielle
pour faciliter les choix de mise en œuvre des décisions stratégiques la culture d’entreprise
soulève cependant des difficultés pratique liées aux phénomènes d’ancrage culturel. Elle
peut en effet constitue un obstacle au changement (préservation de la stabilité interne) et a
la diversité, en rejetant de son organisation les personnes qui présentent des opinions ou
Chapitre III La culture d’entreprise
33
des positions différentes de celle de la culture dominante celle qui relie la majorité des
salariées.
6. De l’audite au projet d’entreprise
Pour transmettre aux différents partenaires les principes de sa politique générale et
favoriser l’acculturation des salariés, l’entreprise peut communiquer sur sa culture par le
biais de la DRH. L’étape préalable et la réalisation d’un audit de culture, afin d’avoir une
bonne connaissance de cette culture. Celui-ci peut, selon M Thévenet, s’appuyer sur :
_ La personnalité et les valeurs fondamentales des fondateurs de l’entreprise ;
_ L’historique de l’entreprise et l’évolution de son environnement ;
_ Les différents métiers de l’entreprise ;
_ Les différentes signent, symboles et histoires.
_ Les conclusions de l’audit servent ensuit à concevoir un projet d’entreprise
(déclaration d’entreprise….). Mais l’étude de ces pratique ne permet pas de trouvé un lien
de causalité direct entre la culture d’une entreprise et sa performance économique. (David
DUCHAMP, Loris GUERY, 2014, P26)
7.Les enjeux de la culture d’entreprise :7.1. Impacts positifs du
concept de culture d’entreprise
L’entreprise est naturellement un lieu de conflits car des individus, des groupes aux
aspirations différentes, aux intérêts divergents doivent travailler ensemble.
Ces conflits se résolvent par la négociation, voire la confrontation mais aussi par
l’organisation, notamment à travers une planification stricte du travail. Même le patronat a
toujours souhaité développer un « esprit maison » pour assurer une bonne entente dans
l’entreprise et réduire les tensions conflictuelles. Les analyses en termes de culture
d’entreprise sont relativement récentes, puisqu’elles ne sont apparues qu’à partir des
années 80.
Le concept de culture d’entreprise, s’est notamment développé aux
Etats-Unis pour assurer la cohérence du fonctionnement de l’entreprise et pour gérer
les changements organisationnels. Le système de prévision et de planification ne permet
plus d’assurer une cohérence satisfaisante de l’entreprise quand :
Chapitre III La culture d’entreprise
34
.L’environnement est de plus en plus marqué par la complexité et surtout
L’incertitude qui exige de la flexibilité ;
. La qualité devient prépondérante sur la quantité (nécessité d’intégrer le
Contrôle de chaque poste de travail et non pas de le rejeter en fin de
Processus).
La cohérence des actions doit alors être assurée par une vision commune de l’avenir
Partagée par tous les acteurs de l’organisation. La culture d’entreprise forme cette
vision commune qui assure la pertinence des initiatives prises par chacun des acteurs
Face à l’environnement.
.La culture d’entreprise peut également être considérée comme un outil de
Management.
Selon l’Ecole des Relations humaines, le salarié est le « cœur » et l’entreprise doit
savoir écouter ses attentes. La stratégie des Ressources humaines doit être attentive Aux
aspirations des salariés, favoriser leur environnement, veiller à leur sécurité, prendre en
compte les aspects collectifs du travail (favoriser l’intégration des nouveaux salariés).
Théoriquement, le développement d’un esprit maison va développer cette stratégie.
Selon MASLOW, les salariés doivent satisfaire les différents stades de la pyramide
des besoins dont celui d’appartenance à un groupe. Or, en appartenant à une organisation à
forte culture d’entreprise, les salariés vont se sentir plus intégrés, protégés, entourés que
dans une structure plus classique.
La culture d’entreprise permet, en outre, au manager d’ :
.Assurer la cohérence du groupe en améliorant notamment la communication
(Accent sur le partage des valeurs communes au lieu d’insister sur les divergences
d’intérêts)
Chapitre III La culture d’entreprise
35
. Améliorer l’adaptation à l’environnement pour assurer la survie du groupe,
notamment en constituant un groupe plus soudé et en réagissant plus vite aux aléas grâce à
une vision commune de l’avenir.
. Lorsque tous les membres de l’entreprise adoptent des valeurs communes, ils
s’identifient à leur entreprise. Cela permet une meilleure motivation dans la mesure où les
salariés intègrent les objectifs de l’entreprise. L’existence d’une culture d’entreprise est
d’autant plus nécessaire que les contrôles internes sont difficiles et que l’autocontrôle est
important (les objectifs de qualité priment les objectifs quantitatifs). L’idée clef de la
culture d’entreprise est que le personnel défendra d’autant mieux l’entreprise qu’il la
considérera comme une collectivité à laquelle il appartient.
. D’autre part, la culture d’entreprise permet une augmentation de la compétitivité et
de la performance des entreprises. En effet, une forte culture d’entreprise renforce la
Performance économique d’une société en réduisant ses coûts. Les convictions, pratiques,
et mythes communs qui définissent la culture d’entreprise constituent un mécanisme de
contrôle informel coordonnant les efforts des salariés. Les nouveaux employés s’alignent
plus rapidement sur les employés déjà en place parce qu’ils entendent moins de versions
différentes sur les objectifs et les pratiques de l’entreprise. De plus, cette culture n’est pas
tant imposée aux salariés que construite socialement par eux. Par conséquent, leur
motivation et leur moral sont meilleurs que lorsque les contrôles sont exercés par un
supérieur selon la voie de l’autorité hiérarchique. Le coût du travail est aussi moins élevé.
Les économies ainsi réalisées grâce à une forte culture d’entreprise peuvent donc permettre
à cette firme d’espérer de meilleures performances financières, un phénomène baptisé
« L’effet culture ».Après avoir souligné les effets positifs de la culture d’entreprise,
nous allons montrer que mal gérée, elle peut être un handicap pour les entreprises.
7.2. Freins à la culture
De nombreux facteurs peuvent mettre un frein aux aspects positifs de la culture
d’entreprise.
. Tout d’abord, il faut souligner que certains individus ne s’identifient pas à la culture
de leur entreprise. De toute évidence, ils seront marginalisés par le groupe et pourront en
être exclus (promotions limitées, postes de voie de garage…). A l’inverse, il se peut qu’un
Chapitre III La culture d’entreprise
36
individu refusant les valeurs de l’organisation décide d’y rester exclusivement pour son
épanouissement financier. Dans ce cas, il ne sera jamais mobilisé par les discours de
l’entreprise.
. Ensuite, les conflits entre les personnes à l’intérieur d’une structure peuvent
amoindrir l’efficacité de la culture d’entreprise. En effet, si le climat social de l’entreprise
est mauvais, que l’information n’est pas diffusée et la communication bloquée, la culture
d’entreprise ne pourra pas assurer à elle seule la cohésion du groupe.
. Une culture d’entreprise trop forte peut aussi avoir l’effet inverse de celui escompté.
En effet, une culture trop forte, presque totalitaire peut provoquer des réactions fortes chez
les salariés, qui peuvent y voire une tentative de manipulation psychologique. Ceci peut
tout d’abord diviser l’équipe de travail et entraîner des conflits ou, au contraire,
marginaliser les salariés non adhérents.
7.2.1. Les freins liés aux évolutions structurelles de l’entreprise.
Un changement de mode de production peut avoir des effets négatifs sur la culture
d’entreprise. On peut citer en exemple la société Marquet qui fabrique et commercialise
des pantoufles. Les dirigeants ont voulu imposer un management à flux tendus. Le climat
social à l’intérieur de l’entreprise s’est vite détérioré. Les salariés ont reconnu les
avantages de ce mode de fonctionnement, mais ils n’ont pas accepté qu’on leur impose le
progrès.
_ Un autre contexte dans lequel la gestion de la culture d’entreprise doit être prise en
considération, par la suite, à la fusion de deux entreprises. On constate que les dirigeants
ont tendance à minimiser le choc des cultures lors de tels événements. Dans ce sens, on
peut citer l’exemple du rapprochement des groupes Alliant et Via. Les salariés des deux
entreprises rejettent systématiquement tout changement des méthodes de travail
préconisées par l’autre. C’est encore une fois un choc des cultures qui est néfaste au bon
fonctionnement de l’entreprise.
En règle générale, les difficultés de post-acquisition liées au personnel résultent
principalement des différences culturelles qui existent entre les deux entreprises et des
attentes des employés de la société acquise. La culture d’entreprise, qui évolue au fil du
temps, est souvent profondément enracinée dans l’organisation. La modifier peut être
Chapitre III La culture d’entreprise
37
difficile et long et entraîner des coûts supplémentaires ou la prise d’initiatives syndicales
de la part des employés de l’entreprise.
_ On peut également noter que la culture d’entreprise, aussi forte soit-elle, n’est pas
éternelle. En effet, on peut citer l’exemple des réductions d’effectifs imposées au personnel
d’IBM. Ces dernières ont provoqué une remise en cause brutale de la culture d’entreprise.
Marquée depuis son origine par un paternalisme moderniste, IBM assurait un emploi à vie
et un salaire élevé. Quant à ceux qui refusaient de se plier aux normes de l’entreprise, il ne
leur restait qu’à partir. Le nouveau PDG symboliquement rompu avec la tradition en
déclarant officiellement que l’uniforme de l’IBM er n’était plus requis. Les salariés, quant
à eux s’étaient déjà aperçus de la disparition de l’emploi à vie.
7.2.2. Enfin, la culture d’entreprise entraîne un phénomène de « repli
sur soi » de l’organisation.
Par exemple, lors de recrutements, de plus en plus d’entreprises cherchent des
candidats ayant des valeurs et des aspirations correspondant à la culture en place, (exemple
de l’entreprise Samsung qui recrute en faisant une sévère sélection des candidats, ces
derniers devant se conformer à la culture maison). Si cette procédure favorise l’intégration
de l’individu, elle freine néanmoins l’évolution de la culture interne dans la mesure où
celle-ci n’est pas contestée et ne peut s’enrichir par un rapport externe. Le regard critique
d’un nouveau salarié peut contribuer à la remise en cause de certaines pratiques. Par
conséquent, en refusant de s’ouvrir au monde extérieur et en limitant les contacts avec des
salariés aux idées nouvelles, l’entreprise refuse de remettre en question ses méthodes de
travail donc compromet ses chances d’évolution.(MELESE Jacques, 1990, p93.94).
8- Les enjeux de la culture d’entreprise
8-1- la culture nationale
Gert van hifsted a montré dans quelle mesure les cultures nationales sont une des
sources de la culture d’une entreprise. Il définit en effet cinq dimensions majores qui vont
servir de critère de différenciation : [HOFSTED Geert Tan, 1994, p280]
Chapitre III La culture d’entreprise
38
8-1-1-la distance au pouvoir :
La distance au pouvoir fait référence au degré suivant lequel les membres d’une
société acceptent une réparation inégale du pouvoir. Dans les cultures à faible distance au
pouvoir comme les cultures scandinaves et germanique par exemple, les relations de travail
sont relativement égalitaire et les supérieurs hiérarchique facilement accessibles.
A l’inverse, dans les pays marque par une forte distance au pouvoir, les employés sont
à l’autorité de leurs supérieurs et les relations sont fortement hiérarchisées.
8-1-2-- l’évitement de l’incertitude :
Revêtement de l’incertitude traduit la mesure dans laquelle les membres d’une culture
acceptent ou au contraire ressentent de l’anxiété face aux situations incertaines et
ambiguës. Les cultures qui cherchent à réduire l’incertitude tendent à multiplier les règles
et règlement, à valoriser le conformisme et la sécurité et à travailler dur. En revanche les
cultures tolérantes a l’incertitude, tels que les pays scandinaves au anglo-saxons, contrôlent
moins les comportements et sont plus ouverts à l’initiative personnelle et aux idées
nouvelles.
8-1-3- la masculinité et la féminité :
Cette dimension appréhende la différenciation des rôles entre sexes dans la société.
Les coutures masculines établissent une distance claire entre les rôles masculine et
féminins admettent la prédominance des rôles masculins, plus orientes vers la performance
économique.
Dans les cultures plus féminines, hommes et femmes sont davantage sur un prêt
d’égalité et, par conséquent, les valeurs féminines centrées sur la qualité de vie sont plus
accentuées.
8-1-4- l’individualisme et le collectivisme :
L’individualisme et le collectivisme traduit la primauté accordée a l’individu par
rapport à la collectivité. Les sociétés fortement individualiste s’encouragent
l’indépendance de l’individu, l’initiative privée, la liberté d’action et l’épanouissement
personnel tandis que les sociétés collectives privilégient l’interdépendance, la loyauté au
clan et à la famille, l’intérêt collectif avant l’intérêt individuel. Cette étude est débutant
Chapitre III La culture d’entreprise
39
plus intéressante quelle a été complétée en 1990 par une enquête menée au sein de vingt
unités issues de dix entreprises hollandaises danoises. Elle a permis de mieux préciser ce
qui dans la culture d’une entreprise, est détermine par l’environnement culturel national et
ce qui émane de l’entreprise elle-même. Il apparait que les valeurs des employés sont
essentiellement fonction des critères de nationalité, dag et d’éducation. A l’inverse, les
pratiques quotidiennes qui correspondent aux normes, comportements et aux artefacts
culturels, sont détermines avant tout par l’organisation l’appartenance. Les valeurs
différencieraient essentiellement les cultures nationales tandis que les pratiques
constitueraient principal élément distinctif des cultures organisationnelles. Hofstede en
conclue donc les valeurs sont essentielle acquises au moment de la socialisation primaire
alors que les pratiques sont apprises lors du processus de socialisation organisationnelle.
8.2. La culture de métier
Une culture d’entreprise est également dépendante de la culture du métier de
l’entreprise. Ainsi une entreprise spécialisée dans la sidérurgie aura des caractéristiques
culturelles différentes qu’une banque ou qu’un laboratoire pharmaceutique. (Ohavy. D,
1990, p 162).
8.3. la culture organisationnelle
La culture organisationnelle regroupe les deux précédentes sources complétées par
histoire de l’entreprise, les habitudes acquise et les comportements. Il s’agit de la
dimension la plus personnelle de l’entreprise.
Cette culture se forme avec le temps, elle est le résultat de l’expérience de l’entreprise,
de ses difficulté, elle est le produit de son histoire, elle est née des diverses interaction
humaines et elle a pu être orientée par des leaders marquants.
9. Les modes de transmission de la culture d’entreprise
Il convient maintenant d’examiner les devers processus de transmission de la culture,
processus qui produiront la socialisation des individus au sein de l’entreprise. Renaud sain
Saulieu processus de socialisation :(sain Saulieu Renaud, 1997, p 39)
Chapitre III La culture d’entreprise
40
9.1. La transmission par l’enceins :
Au sein de l’entreprise, cette transmission peut se faire au moment des sessions de
formation mais également pendant les séminaires d’accueil. Les séminaires sont en effet un
lieu privilégié de transmission d’une culture. Ils sont de plus en plus courants et deviennent
toute les catégories de salaire. Ils permettent de faire se rencontre des gens issus des divers
pôles de l’entreprise mais également des individus de toutes nationalités. On cherche
également à faire se rencontrer et interagirez la génération. En effet, la culture d’entreprise
se répond et s’affirme que chaque individu peut construire. Une fois le candidat embouche,
celui-ci va donc participer à des séminaires d’intégration qui vont lui permettre de
découvrir le groupe, son organisation, sa culture mais aussi de rencontrer ses paires et de
commencer à se constitue un réseau. En effet le rôle des anciens dans la transmission de la
culture d’entreprise est fondamental et c’est essentiellement par contact qu’une culture
perdure.
9-2-l’apprentissage issue de l’expérience professionnelle :
Ce mode de transmission est davantage efficace dans la mesure où il repose sur un
phénomène de coercition. L’individu, pour s’intégrer, doit se conformer aux attitudes qu’il
va lui-même observer.
9-3-la prescription idéologique :
La culture intégrer également la vision que les dirigeants cherchent à donner à
l’avenir. Cette transmission s’effectue par l’intermédiaire des chartes, projet, plant, tracts et
brochures destines a promulgues des recommandations sécrètes et des ordres a l’ensemble
de l’entreprise. Mais cette prescription idéologique peut également s’exprimer à travers
d’autre biais.
10. La notion d’intégration
L’entreprise évolue en fonction du marché et de son environnement, les managers
doivent donc créer un climat et un mode de communication plus intégrateur pour le
personnel. La culture d’entreprise doit permettre à chaque salarié d’avoir le sentiment que
son succès personnel passe par celui de son entreprise. Il est donc primordial que les
salaires soient bien intègres dans l’organisation. (Reitter Roland, 1991, p 119)
Chapitre III La culture d’entreprise
41
10.1. Les outils d’intégration :
10.1.1. L’écrit
C’est le premier vecteur de communication interne, les documents écrits sont la
mémoire de l’entreprise (tableaux d’affichages, lettre au personnel, boites a idées…). De
plus, le dirigeant peut faire circuler dans l’entreprise les documents qui la représentent a
l’extérieur, car cela permet aux salariés de se sentir concernes et intègres, d ou un climat
interne favorise.
10.1.2. Loral
C’est un élément non négligeable dans l’intégration du salarié. Dans cette catégorie, on
compte les outils traditionnels comme les réunions, mais aussi les vidéoconférences, les cercle de
qualités qui sont des outils intéressants, car ils permettent aux salariés de participer aux projets. Le
but principal est que les salariés puissent échanger entre eux.
10-1-3 -Les technologies de l’intégration et la communication
Ce sont des outils très pertinents pour l’intégration du personnel. Parmi les tics, on
retrouve la messagerie (électronique, instantanée, forum), les blogs, et l’Intranet.
11. L’importance de la culture d’entreprise
11-1-La culture d’entreprise et un guide pour le personnel :
La culture d’entreprise permet d’économiser beaucoup en rapidité et en facilite dans le
processus d’adaptation et d’intégration de la personne.
La culture d’entreprise offre aux salarie un cadre et un appui dont l’impotence pour la
construction de leur propre identité professionnelle.
La culture d’entreprise offre a chacun de ses salarie, notamment dans leur première
expérience professionnelle a la fois des modes de traitement pratique de toutes les petites
actions quotidiennes, et des modèles de comportement : l’ensemble définissant une
manière d’être personnellement dans le cadre nécessairement contraignant de ses
fonctions, de l’entreprise elle-même et de la vie collective qu’on y mène .(breneux
Philipe, 2004, p 141)
Chapitre III La culture d’entreprise
42
Le climat du travail est un indicateur du degré de satisfaction des attentes de
l’ambiance qui règne sur le lieu de travail et sur leur satisfaction en ce qui concerne celle-
ci, la confrontation des résultats permet de cerner les types de problèmes.
Les employés de l’entreprise a culture fore savent ce qu’on attend deux : la culture de
leur entreprise leur donne l’assurance dont ils ont besoin pour prendre des décisions
lorsque chacun sait qu’il est et ce qui lui convient, les décisions se prennent facilement et
sans doute. En revanche ce qui est en enthousiasme lorsque des employés donnent un sens
a leur travail, ils s’intéressent de façon exceptionnelle dans les objectifs de l’entreprise,
BOTER montre que « les employés ne sont plus considéré uniquement comme des
ressources humaines mais aussi comme des richesses ou des actifs ».(bernache jean
Claude, 2003, p 22)
La culture d’entreprise exerce également une fonction d’intégration sociale et facilite
l’assimilation des nouveaux venus. Ces derniers doivent faire connaissance de la culture
d’entreprise, faire la leur, vivre en conformité avec elle et ils seront intègres dans
l’entreprise, et accepter Pa tous. La culture d’entreprise crée un sens et un objet
d’identification pour chaque personne qui y est employé, elle assure, en tant point de
repère l’unité d’action de son membre.
12. impact positif de concept de la culture d’entreprise
L’entreprise est naturellement un lieu de conflits car des individus, des groupes aux
aspirations différentes, et aux intérêts divergent doivent travailler ensemble, ces conflits se
résolvent par la négociation aussi par l’organisation, notamment a travers dune
planification stricte de travail. Même le patronat a toujours souhaite développer un « esprit
maison » pour assurer une bonne entente dans l’entreprise et réduire les tentions
conflictuelles.
Le concept de culture d’entreprise s’est notamment développé aux Etats-Unis pour
assurer les changements organisationnels. Le système de prévision et de planification ne
permet plus d’assurer une cohérence satisfaisante de l’entreprise quand :
_L’environnement est plus en plus marque par la complexité surtout l’incertitude qui
exige de la flexibilité.
Chapitre III La culture d’entreprise
43
_ La qualité devient prépondérante sur la quantité (nécessite d’intégrer le contrôle de
chaque poste de travail et non pas de la rejeter en fin de processus).
La cohérence des actions doit alors être assurée par une vision commune qui assure la
pertinence des initiatives prise par chacun des acteurs face a l’environnement, pour
Thévenet Maurice « la culture aide à comprendre la collectivité, elle considère que toute
collectivité se crée un patrimoine de références qui sont a la fois le résultat de son
expérience et la référence pour traiter des futurs situations »
La culture d’entreprise peut également assurer la cohérence de groupe en améliorant
notamment la communication (accent sur le partage des valeurs communes au lieu
d’insister sur les divergences intérêts).
Améliorer l’adaptation a l’environnement pour assurer la survie du groupe.
Lorsque tous les membres de l’entreprise adoptent des valeurs communes, ils
s’identifient a leur entreprise. Cela permet une meilleur motivation dans la mesure où les
salarie intègrent les objectifs de l’entreprise.
L’existence d’une culture d’entreprise est d’autant plus nécessaire que les contrôles
internes sont difficiles et que l’autocontrôle est important.
D’autre part, la culture d’entreprise permet une augmentation de la compétitivité et de
la performance de l’entreprise.
De plus, cette culture n’est pas tant imposée aux salaries que construite socialement
par eux. Par conséquent, leurs motivations et leurs morales sont meilleurs que lorsque les
contrôles sont exerces par un supérieur selon la voie de l’autorité hiérarchique.
13. Une culture forte
Les Anglos saxon attribuent trois avantages à une culture forte :
13.1. L’adhésion générale au principe, valeur et normes constituant la culture
d’entreprise facilite un contrôle collectif fort repesant sur la pression conformité
L’uniformisation plus grand de conduite et de micro pratique accélère d’ailleurs
l’intégration des nouveaux entrants et facilite le repérage de comportement.
Cette uniformisation repose un contrôle social mutuel qui est plus efficace et évité les
couts de système de contrôle plus formalise ou de l’intervention de la hiérarchie.
Chapitre III La culture d’entreprise
44
13.2. Un alignement plus facile sur les objectifs des qu’ils sont fixe d’une mentalité et
une vision formation par la culture d’entreprise et corrélativement une réduction des débats
sur la meilleure manière pour faire avancé les intérêts de l’entreprise.
Une meilleure motivation des collaborateurs qui ont le sentiment que les actions qu’ils
mettent en ouvrent sont en accord avec leur propre choix. (Devillard olivier et Rey
Dominique, 2008, p 64.)
14. Quand le management s’intéresse à la culture d’entreprise
C. Barnard fait référence à la notion de la culture d’entreprise dans les années 1930. Il
confère a l’entreprise une personnalité propre et fait des dirigeants les dispositions de ses
valeurs. Apre quoi a quelque exception pris la notion de la culture d’entreprise est tombée
dans les oubliettes de littérature managériale pendant environ cinquante ans. Elle repairait
avec force au début des années quatre vingt(80).
T.J.PETER et R.H.WATERMAN montrent que si la notion de la culture entré dans
le mode de management seulement au début des années quatre vingt.
N’est pas par ce que auparavant les entreprise n’avaient pas la culture mais parce que
compte tenu de l’évolution des règles du jeu concurrentiel, la culture devient a ce moment
la pertinent pour le management.
14-1-les quatre niveaux d’actions :
14-1-1-l’audit de culture :
Selon Candau « l’audit peut définit selon deux éléments : c’est un constat dont les
résultats doivent conduire a des améliorations. L’audit de culture est le constat de la réalité
d’une culture a un moment donnée, orienté vers des actions qu’il doit servir a améliorer le
fonctionnement de l’entreprise dans le sens de performance ».
Il existe deux produits de l’audit : la mise en évidence des traits de culture et
l’apprentissage de l’organisation qui prend en compte la culture. Ainsi, conduire un audit
de manière participative représente un enrichissement des compétences organisationnelles
à un cout modéré. Travailler sur la culture permet de mieux comprendre l’organisation et
permet a chacun de voir les racines de ses références partagées et leur confrontation aux
problèmes.
Chapitre III La culture d’entreprise
45
L’accompagnement de l’audit consiste à voir comment ces traits de culture sont une
aide pour traiter les problèmes d’entreprises.
Mais c’est un changement en ce sens que les membres de l’organisation ont renforcé
leur capacité de compréhension de l’entreprise et leur partage de visions et de
représentation. Ce n’est pas un changement évolutionnaire, mais il a aidé a faire mieux
fonctionner la ligne hiérarchique, surtout quand de nouvelles de travail sont sur le point
d’être mises en œuvre.
14-2-Maintenance des procédures :
Toute entreprise est une bureaucratie qui dispose de règles, structures ou procédure
censée garantir son efficacité et génère des effets pervers comme celui de perpétuer ses
modes de fonctionnement. Pourtant les règles et les procédures ont besoin de maintenance
comme une machine dont on s’assure qu’elle replis sa fonction et continuera de le faire.
Cette démarche est nécessaire poursuivre l’évolution de système comme le contrôle de
gestion, l’administration des ventes ou l’appréciation du personnel.
Cette démarche peut être testée sur les problèmes d’ordre mineur qui permettent
d’acquérir cette compétence pour mieux aborder par la suite des problèmes de plus grand
ampleur et cela pallie le risque de surrégime des situations de changement.
Dans cette catégorie d’action, on peut évoquer le problème des fusions ou acquisitions.
Stratégiques de l’entreprise. Par contre la gestion de la fusion est culturelle : il faut faire
fonctionner les gens ensemble autour de système de gestion, d’organigramme, et ce dans
des situations génératrices d’anxiété par nature.
14.3. Le développement de concept :
C’est le développement dans l’entreprise de concepts destiné a irriguer les différentes
fonctions : la qualité, le service de consommation, la communication, la flexibilité ou le
management participatif. Le développement de ses concepts est censé résoudre de vrai
problème : compétitivité, adaptation a l’environnement ou survie de l’entreprise. Ils
représentent une référence susceptible de modifier les modalités habituelles de travail.
Ainsi, les démarche de qualité totale visent tous les comportement et mode de
fonctionnement dans l’entreprise en cherchant a constituer une référence commune pour la
prise en charge de ses problèmes.
Chapitre III La culture d’entreprise
46
Les démarches de développement de concepts se heurtent souvent a la difficulté
d’adaptation au terrain, care elles proposent une démanche rationnelle et cohérent de
traitement des problèmes qui ne s’adapte pas toujours a la cohérence de l’organisation et de
ses référence. Ainsi, il est important de décrire précisément les problèmes en jeu et les
traits de culture pertinents à renforcer face aux problèmes.
14.4. Le projet d’entreprise :
C’est la clarification par l’entreprise de ce qu’elle est en veut devenir.
Le projet n’est pas important en soi et l’on ne peut espérer de quelques affirmations
sur papier glacé qu’elles transforment, comportement et représentations. C’est le processus
qui compte, avant et après le document-projet.
Cette brève description du processus de projet montre la place clé de la culture : c’est
la base de démarche par la prise en compte des références existantes qu’il s’agit de
confronter a l’avenir, a la vision des dirigeants et la discussion des membres de
l’entreprise. (Delavallée Eric et autres, 2002, p22).
.Résumé
La culture d’entreprise est un ensemble complexe, peu tangible, qui permet à chaque
individu de s’identifier à son organisation. Face à un environnement instable et de plus en
plus complexe, les firmes cherchent à dynamiser leur potentiel humain, consciente de la
richesse de celui-ci.
Bien qu’elle rencontre des réticences de certains acteurs, la culture d’entreprise semble
être une des réponses au développement de ce potentiel. Or, on peut tout de même
s’interroger sur le devenir de ces préoccupations dans un contexte où la modernisation est
largement fondée sur la précarité de l’emploi et la demande de flexibilité accrue des
entreprises envers leurs salariés
CHAPITRE IV
Présentation de l’organisme d’accueil
Chapitre IV présentation de l’organisme d’accueil
48
Préambule.
Apre avoir toute une partie théorique qui nous permet de cerner mieux les théories et les
notions de base une relations direct avec notre travail de recherche nous présente
également l’historique de l’entreprise transe bois, sa situation géographique, rôle,
mission objectif et matérielle de l’entreprise.
Pui nous Métrons en lumière l’organisation de l’entreprise et les procédures
d’ajustement de SRH au sein de l’entreprise.
1-1.Présentation de l’entreprise TRANSBOIS :
C’est une société de transformation de bois de bejaia par abréviation (transbois), et
aussi c’est une entreprise publique économique, transbois a pour objet de fabrication de
plusieurs produits qui concerne le bois comme : contre plaqué, les panneaux particule
ou agglomérer, de latté et en fin le placage tranché. Elle a été ouverte au public pour la
première fois le 24 novembre 1972 par le président de la république houari Boumediene
et mit en service en 1973,elle compare trois chaines de production principal de
transformation de bois par l’utilisation de machines, et de l’équipement mécanique
notamment, dans l’opération de sciage, écorchage, pansage, etc.
L’unité est située dans la zone pré-portuaire (arrière port) en bordure de la route
nationale n 12 sur une surface totale de 14,8 hectares.
1-2 Historique de TRANSBOIS
Afin de subvenir aux besoins de l’Algérie en BOIS et ces dérivés, les autorités
nationales ont créé la société nationale des lièges (SNL), le 22 février 1968 est née la
société nationale des industries du BOIS « SNIB » quatre années après, suite à
l’ordonnance du 03-10-1972, ces deux société se sont regroupées dans le cadre d’une
stratégie de développement et d’expansion de l’industrie lièges, est née alors la société
nationale des lièges et de bois (SNLB).
Depuis sa création la maitrise de sa gestion et son contrôle sont devenus un problème
majeur pour les responsable qui ont pensé par la suite à une spécialisation des fonctions,
la société et ainsi prise en charge par des structures distinctes de la production et de la
commercialisation.
C’est dans cette optique que la « SNLB ». a été restructurée suivants différents secteurs
d’activité, le30-06-1983 pour donner naissance aux entreprise suivant :
Chapitre IV présentation de l’organisme d’accueil
49
-Entreprise Nationale de Liège (ANL)
-Entreprise Nationale d’Achat et Transformation des bois (ENATB)
-Entreprise Nationale des Article Quincailleries Serrurier (ENAQSA)
-Entreprise Nationale de Menuiserie Générale et Préfabriqué (ANMGP)
La réalisation de la majorité de ces entreprises, a été effectuée par des société étrangères
en l’occurrence des sociétés belge.
La « SNLB » s’approvisionnait à partir de la SONACOB, le 01-06-1998 l’entreprise
TRANSBOIS-SPA a été filialisé a l’issu de la structuration de l’ENATB passant aussi à
l’autonomie. Les 10 juin 1998 selon les termes de la note du 28 mars 1998 de monsieur
le directeur général de l’ENATB (l’entreprise nationale de transformation de bois).
Actuellement devenue le groupe WOOD MANUFACTURE (W.M)
L’ancienne unité de production. Après transformation juridique, devient société
commerciale de forme société par action (SPA), est filial de groupe W.M sous le nom
Entreprise Publique Economique (EPE-TRANSBOIS), l’entreprise de transformation de
bois de bejaia dont le capital et de 284 250 000 00DA entièrement détenu par le groupe
W.M. et dont le siège est situé à bejaia. Donc au plan juridique définitivement
constituée après son inscription au registre de commerce, l’ouverture d’un compte
bancaire et la et la libération en numéraire du premier apport de capitale.
1-3.Situation géographique
L’unité TRANSBOIS de bejaia bénéficie d’un emplacement géographique dans
l’exercice de son activité car elle n’est qu’a deux kilomètre du centre ville. Et ce situé
dans une zone portuaire proximité des routes nationales N˚19, N˚21, et le chemin de fer
ce qui diminue très sensiblement les couts de transport car la matière première
provienne essentiellement par voie navale des pays Européens et Africain
Elle s’étend sur une superficie de 14,8 hectares dont une partie est occupé par le parc de
réception du bois, les parcs de première transformation des agrumes et
L’autre partie est constitués de l’atelier de production de maintenance les locaux
administratifs les magasins de stockage (produit finis) et deux hangars pour les
chaudières.
1.4. Rôle de l’entreprise TRANSBOIS
E.N.A.T.B a pour rôle de satisfaire les besoins nationaux en matière produit des
industries de bois, elle participe à la construction de logement à leur équipement par le
billet de son secteur meuble.
Chapitre IV présentation de l’organisme d’accueil
50
Tout au cours de son évolution la SNLB a bénéficie hors des plan de développement des
crédits lui permettant de renouvèlement de son équipement de production.
La réalisation de nouvelle unité de production est élargie ainsi que son champ d’action.
1.5 missions et objectifs principaux de l’entreprise
Transboi –spa est la plus grand important société de transformation de bio en Algérie,
sa mission s’inscrire essentiellement dan le cadre de développent de secteur de l
‘industrie. cette entreprise a dac pour objectif :
-production et commercialisation de bois et dérivé
-satisfaire le marcher locale et besoins de l’entreprise menuiserie générale et
d’ameublement (produis fini et semi fini)
-création de poste de travail
1.6 Moyen matérielle de l’entrepris:
Transe- bois est une grande entreprise de Bejaia a par abréviation transe bois –spa et le
principale société en Algérie ; ayant cumulé indéniable savoir fairedan le demain de
transformation de bois des sens locale ; exotique et européen notamment la fabrication
et commercialisation des panneaux 100 bois, panneaux partielle ou aggloméré, lattée,
contre plaquée et placage de roule grasse a son expérience acquise 42 ans. Durons ses
année trans bois a capitalisé un e maitrise réale de son métier dan le strique métier de
bon pratique de fabrication, autrement dit, ou temps d’atout qui répond au attente de ses
client a trévère l’entreprise pour satisfera les besoin de la clientèle
1.6 nature d’activité de l’entreprise
Transbois est spécialisé dan la fabrication des pano industrielle placage sciage
2. organisation de l’entreprise transe bois : elle s’organise comme
suite :
1.1 la direction générale :
a- le présidant directeur générale
Le PDG et le responsable de bon fonctionnement stratégique de l’entreprise, et en cas
d’, et en cas d’absence, le cadre dirigeant assure l’intérim
b- cadre dirigeant :
Et le bras droits de PDG et son assistant permanant il assure la suivi et la gestion de
touts les directions de l’entreprise, son contrat pour la charge de d’érecteur administratif
et finance un contrat de duré déterminé
Chapitre IV présentation de l’organisme d’accueil
51
Contentieux : ayant pour mission :
Assure le conseil, la vaille juridiques, la prévention de risque et la défonce de 96
l’entreprise dan le Domain de droit ;
-respecter la législation et la réglementation et les adapté au besoin de l’entreprise par
l’étude et interprétation de texte juridique et value les risque d’opération muni et
l’imaginer le montage juridique les avantages pour l’entreprise
d-le secrétaire
Ces travaux son lies à la direction générale
e- marketing : ayan pour mission :
- d’élaboré et propos a la direction générale la stratégie et la politique commerciale de
l’entreprise
- déterminé l’orientation stratégique, les objectif à attendre st le moyen a métrée place,
après analyse et évaluation des défirent composant de marcher
- animé, cordoneé et contrôler avec les collaborateur, les activité de conception mis en
œuvre nécessaire au développement sur le marcher des ou des service proposé par
l’entreprise.
f- audite : ayant pour mission
-d’observer et analysé a fin dé dentifié et dévalué les risque par le biais
D’un ensemble de règle et de procédure
-diagnostiquée et effectuent une saintaise des informations reculé et identifie l’origine
des anomale éventuel
-assurer aussi de la bonne circulation de l’information entre les déférant service
d’entreprise
g la direction administrative et moyenne
A comprend deux département :
Département administrative et département comptabilité et finance :
1.2 département administratif et moyen
Le chef de département administration et moyen occupe un poste très sensible et sa
principale tache et d’assure le suivi de la carrière de son personnel et il vaille
application de la réglementation et les procédures en figure et la décision précise au sein
de son département qui comparons les servis suivant
Chapitre IV présentation de l’organisme d’accueil
52
-service ressource humain
-généraux service moyen
-service formation
a- département de comptabilité : iles charger de
il élabore le budget suivant t des investissement, le budget des charge, la gestion des
trésorerie, la Tunus des inventaire, et budget exploitation finance et comptabilité
Le département de comptabilité comprend le service suivant :
Service comptabilité général
-service finance
Service analytique
b- départements commerciale
latache de cette direction consiste en approvisionnement en métier première come for
miment au besoin de la production .elle est charger aussi d’organisé la distribution, ainsi
que la satisfaction des besoins, la mis en place de produit a travers tout le pies. La
direction commerciale comprend les services suivant :
-service de ventre et recouvrement
-service d’approvisionnement
-service de gestion des stocke
1.3 direction de la maintenance :
1.4 elle intervient dan touts les entreprises préventives, de mec
anique générale en ca de pans, prendre en charge les étude de conception et
aménagement
Le rôle de direction à travers ses départements et service est :
-instruis de meilleures méthode de travaille
-se rendre conte a tous moment de l’état et de modification de machines
-arrivé a minimisé l’importation de la pie ce s de rechange par la recherche des moyen
de loure réalisation
2.4 Direction de la production
-cette direction et d’ériger par u directeur qui assure le contrôle et le suivi des défirent
chaine de fabrication
3. les procédures d’ajustement de SRH au sein de l’entreprise transe bois
Chapitre IV présentation de l’organisme d’accueil
53
-le service de ressource humain au sein de transe bois et aussi a contribution dan la prévention
soi en se tannent le super viseur dan loure effort de formation soi en mitan en pie de program de
sécurité stimulent par exemple, la cardant de affiches sur les quelle en peu lire les slogans
3.1. Recrutement :
La fonction de recrutement à la transe bois jeux un rôle primordial dan le SRH en
cherchant les candidats susceptible de satisfaire les besoin exprimé et répondant au
exigences demandé
3.2 formation
-il existe deux types de formation au sein de transe bois
- formation interne
-formation externe
3.3 La rémunération :
La rémunération au sein de transe bois et fonder sur une grille de salaire
La grille de salaire de transe bois et une grille indiciaire exclusivement verticale.
Chaque post a un valeur indiciaire. les poste ayant une même valeur indiciaire se
regroupé à un grade. le directeur ne été pas concernée par cette grille de salaire ni par
les des position de rémunération d’un contrat de performance.
Présentation de l’indice socioprofessionnelle
-agent exécution de l’indice 01 a l’indice 09
-agent de maitrise de l’indice 10 à 13
Cadre de l’indice 14 à l’indice 25
3.4. Promotion
La promotion sanction, le développement des connaissances des qualifications
professionnelle par la nouvelle affectation a un poste de travail qui lui confère en grade
supérieure a se lui qui été le sien.
Le travailleur a promouvoir a compiler sure le poste a occupé un période Dessié destiné
A ‘apprécie ses qualité et capacité professionnelle et mieux le préparer pour
accomplissement des nouveaux poste de travail
Chapitre IV présentation de l’organisme d’accueil
54
Aussi d’errant la période d’essai le travailleur en Fai l’objet d’un suivi ou dune
évaluation par la er archer sur la base de travaux qui la réalisé cette période d’essai ne
peut excéder :
-04 mois pour le groupe excusions 06 moi pour le groupe maitrisent 12 pour les cadrant
Dan le cas de travailleur ne pas bien assimilé pondant son période d’essai son
responsable lui rajouter 04 moi de plus selon le résultat obtenant soi confirmé dan le
poste soi réintégrer dan son poste d’origine
Résumé
Ce chapitre ne permet de présenter l’entreprise publique transe bois et de mètre lumière
ses principale mission objectif ……etc.
Chapitre V
Présentation et discussion des
résultats
Chapitre V Analyse des données et interprétationdes résultats de l’enquête
56
Préambule :
Dan ce chapitre en vas illustrée pour la parte pratique l’analyse des donnée et interprétation des
résultats et la détermination de caractéristique des membres de notre échantillons d’étude au sein
de l’entreprise de trans bois. Ces caractéristique constituent l’ensemble des informations sur les
enquêter.
1. Les caractéristiques personnelle des enquêtés :
Tableau 01 : la répartition d’échantillon d’étude selon le
genre :
Genre fréquence
Masculin 6
Féminin 2
Total 8
D’âpres ce tableau le genre masculin et reprisent avec 06 Person contre 02 Person de genre
féminin qui ce explique par la nature de travail de l’entreprise
Chapitre V Analyse des données et interprétationdes résultats de l’enquête
57
Tableau 02 : répartition des enquêtes selon la catégorie
professionnelle.
Catégorie professionnel Fréquences
Cadre 4
Agent maitrise 2
Agents d’exécution 2
Total 8
D’après les donnée mentionnée nous informes que 04 e deux d’enquêter son des cadre et deux
des agents de maitrise et deux agent d’exécution.
Tableau 03 : répartition des enquêter selon le niveau
d’instruction.
Niveau d’instruction fréquence
Primaire 2
Moyen 1
Secondaire 3
Universitaire 2
Total 08
D’après ce tableaux le niveau d’instruction des enquêté est divisé en quatre niveau 2 primaire, 1
moyen, 3 secondaire, 2 universitaire.
1. Analyse et interprétation des résultats :
Première Hypothèse
« Toute réalisation et réussite d’une stratégie mis en œuvre au sein d’entreprise et dépond
de respect des valeurs et des traditions de l’entreprise qui est sa culture »
Chapitre V Analyse des données et interprétationdes résultats de l’enquête
58
Conséquences d’un changement stratégique dans votre
organisation
A propos de la première question concernant le changement de la stratégie au sein de
l’entreprise transe-bois, nous relevons le résultats que la majorité de nos enquêtés au sein de
TRANS-BOIS concédèrent que le changement de la stratégie et comme un obstacle pour la
réalisation de leurs tache cette constatation et confirmer par la majorité de nous enquêtés avec
une simple expression‘’…on a rien bénéficie de ce changement’’ alors ils sont contre ce
changement qui demande plus d’effort et plus de taches et beaucoup de pression sur les
travailleurs . Plus de ca le salaire est fixe c'est-à-dire il ne y a pas de l’augmentation des salaires
autrement dit le changement des habitudes et tradition de travail qui constitué la culture
d’entreprise provoque une certain perturbation alors ce changement de stratégie il ne motive pas
les travailleurs et la réaction des travailleurs ces exprimé par une résistance au changement.
Acceptée l’augmentation de la productivité, la réactivité … Peut être que simplement quant
en respecte leurs situation, culture relève de la dimension stratégique. La culture d’une entreprise
est constitutive de sa structure, de son fonctionnement, elle n’est peut-être pas réductible à un
levier opérationnel disponible pour réaliser un objectif, entre autre la motivation des personnels.
Et selon nos enquêtés pour le bon déroulement d’un changement stratégique et
organisationnel il faut d’abord respecter l’augmentation des salaires et l’amélioration des
conditions de travail, et l’encadrement dans le travail et la nouveauté de matériel.
-Le changement de la stratégiqueorganisationnel et ses conséquence
08-le changement n’a pas vraimentréussi la stratégie adapté n’a pas unevision claire et des objectifs quidépasse notre situation dans tous lescoté, et l’entreprise a connu unerésistance sévère.
Chapitre V Analyse des données et interprétationdes résultats de l’enquête
59
2. La réaction sur le changement
3. -La réaction au changement 06- l’enceinté des machine et le
matérielle de production à l’ origine
de toute mauvaise réaction au
changement.
02- resté attaché au système habitué.
la réaction en vers tous changements au sein de l’entreprise et le point le plus important dans
le processus de réalisation d’une stratégie l’acceptation de changement ne put être que dans le
cas de la satisfaction des travailleur enfin au sein de l’entreprise trans bois le changement et très
difficile nous affirme un cadre en ressource humain d’après notre enquêteur infra structure elle-
même dans l’entreprise possède une résistance pour toute changement a venir l’enceinte de la
chaîne de production les machines resté toujours le problème majore de toute d’érecteur qui Vien
avec une nouvelle stratégie puis l’ouvrier qui se trouve face à une nouveau mode de travail dans
ce cas des exécuteur a la chaine ne explique que le rendement ne peut être ni de qualité ni
quantité l’ennui et la démotivation des ouvrier et la réaction la plus marquer et ou une autre
résistance a paraitre de côté des dirigent
Une réalité vécu à l’entreprise transe-bois dan Person ni gagnant de cette situation mais un
projet d’accompagnement de ce changement doit être nécessaire pour sortir de ce genre de
conflit et de désigné la de marche qui accompagne le changement et étudie les demain de
changement économique, juridique, social, technologique, écologique, culturelle, stratégique est
caractéristique globale et partiel et ici la gestion de changement doit être une démarches qui vas
de la perception d’un problème d’organisation, le choix et mise en place d’une solution dans des
condition optimales de réussite évidement pour mettre un changement qui doit développer et
administré une stratégie de changement efficace qui intègre a la foi la culture d’entreprise et le
processus.
Chapitre V Analyse des données et interprétationdes résultats de l’enquête
60
4. l’impact de changement sur les traditions de travail au sein de
l’entreprise
-l’impact de changement sur les
traditions de travail au sein de
l’entreprise
05- a détruit l’esprit de l’équipe et
il a créé des conflits et le
régionalisme.
03- question d’adaptation avec le
temps.
Tous nous enquêter assume que un nouveaux changement crie une résistance peu import
commet mais la perturbation de climat de travail se produise. mai ici nous explique un dirigent
de GRH que tous changement au mode de travail doit être très vigilent et sa à cause de
l’enceintée de la majorité des travailleurs de l’entreprise trans -bois
Selon nos salaries ce changement stratégique et organisationnel il a /touché leur tradition au
sien de trans-bois parce que il a détruit l’esprit de l’équipe et il a créé des conflits et de
régionalisme au sien de trans-bois.
Nous posons ainsi une circularité fondatrice de l'adaptation : elle opère entre des
problématiques humaines communes, des situations particulières contradictoires et des stratégies
(acquises et à inventer) qui y répondent par un ajustement complémentariste entre les directions
d'action opposées, L'être humain n'est pas enfermé dans sa culture. Il garde les caractéristiques
d'un fonctionnement humain lui permettant justement d'être, si nécessaire, en accord ou en
conflit avec sa propre culture et tradition, et, par là même, de la maintenir, de la modifier ou de la
faire largement évoluer.
Chapitre V Analyse des données et interprétationdes résultats de l’enquête
61
4. l’influence d’un changement stratégique ou organisationnel sur
votre tradition au sein de votre entreprise
-la culture d’entreprise et
l’acceptation de changement au
travail
08-
-le respect de leur culture
-le bénéfice de ce changement qui
se résulte par l’augmentation du
salaire.
Les facteurs qui pousse les ouvrier au sein de l’entreprise a accepter le changement son très
divers d’après nous enquêter au sein de trans-bois les changement put être accepter quand en le
poursuit avec des condition qui motivons les acteur cibler nous enquête nous explique que la
culture de l’entreprise trans- bois et fonder dès la naissance de l’entreprise sur l’esprit de travaille
de compétition et de travaille en équipe et que il ont eu qu’un problème en vers la main d’œuvre
de l’entreprise mais aussi leurs culture fonder sur l’appartenance a cette entreprise ne les
permettre pas d’acceptes un changement que quand il se sentir qu’il Von profiter
personnellement de ce changement et que l’organisation et l’ensemble des participants bénéficies
du changement et qui ne sont pas utilisé d’une manier au d’une autre
Chapitre V Analyse des données et interprétationdes résultats de l’enquête
62
Deuxième Hypothèse :
« La bonne réalisation des taches au sein d’entreprise et dépond de sa culture, et
sa stratégie »
1. la signification de la culture d’entreprise
- La culture d’entreprise
01- la culture d’entreprise et
considère comme le frein de
toutes les entreprises.
07-c’est le système d’entreprise.
Dévoile l’écart entre le discours des décideurs et la réalité sociale de leurs organisations. La
culture d’entreprise au point de vue de nous enquête a la chaine de production et le système de
l’entreprise et sa mentalité existe depuis la naissance de l’entreprise et le chemin a suivre par ce
qui il viennent plus tard une définition pour eau qui représente une créance contrairement au
cadre qui nous a définir la culture comme une personnalité spécifique de l’entreprise mais tôt ou
tard va disparaitre face à la mondialisation et ces nouvelle technologie qui communique souvent
sur le besoin d’accroître les responsabilités, l’autonomie et l’autodétermination des employés
dans le choix et l’atteinte des différents objectifs professionnels, comme conséquences des
modifications nécessaires pour demeurer compétitif face aux autres organisations. Et que la
culture d’entreprise et considère come le frein de toutes les entreprises.
Elle doit être apporte aussi une contribution primordiale aux fonctionnements techniques, à
travers les multiples occasions de bien -ou de mal- à assurer la coordination des activités au sein
de l'organisation. La culture d'entreprise, en spécifiant, ne serait-ce qu'implicitement, certains
comportements et références communs, contribue considérablement à standardiser ces
comportements et le traitement des interfaces.
Chapitre V Analyse des données et interprétationdes résultats de l’enquête
63
2. Ce que partagez avec les membres de groupe de travail
-Ce qui est partagée entre les
membres d’équipe au travail
08- les valeurs, traditions, et rit,
travail en équipe,
Ce sont les représentations systématiques et les activités programmées de l’entreprise. Elles
ont pour fonction de développer le sentiment d’appartenance, d’accorder de l’importance aux
événements qui véhiculent les valeurs charnières et de fixer la culture pour éviter qu’elle
n’évolue au gré des modes.
Dans le coté de l’entreprise transe bois le sentiment d’appartenance physique et moral en
vers l’ensemble de la communauté de l’entreprise et l’entreprise physique elle mêmes se trouve
depuis la naissance de l’entreprise Les rites se manifestent dans les attitudes verbales et
gestuelles qui s’expriment au travers de célébrations, à l’occasion de repas festifs, de départs à la
retraite, de promotions ou d’anniversaires
Si l’on établit un rapport entre le rendement et la notion de groupe, avec tout ce que cela
comporte, son rapport avec la notion de culture n’y apparaît pas encore sous une forme
conceptuelle. Les valeurs et les perceptions propres à l’entreprise ne sont pas encore reconnues
comme relevant de ce que l’on entend ordinairement par culture. Cependant, une innovation dans
la manière de considérer l’entreprise s’amorce.
3. les facteurs essentiels pour le développement d’une entreprise
-Les facteurs essentiels pour le
développement d’une entreprise
01- esprits de travail et
concurrentiel de l’ensemble des
travailleurs.
07- satisfaire les travailleurs.
Chapitre V Analyse des données et interprétationdes résultats de l’enquête
64
D’après nous enquêter « un bon changement organisationnelle fondé sur une bon
stratégie et un accompagnement stratégique qui attire sa stratégie de la culture
d’entreprise pour éviter de pré et de loin les résistances qui suit les changements et
estiment avantageux d’harmoniser l’univers des relations sociales de l’organisation ».
S’intéressent et accordent à une plus large place aux forces sociales. L’intégration des facteurs
culturels, comme les valeurs et les perceptions relatives à l’organisation, autant dans les modes
opératoires des organisations que dans les travaux théoriques, prennent de l’ampleur. Comme
beaucoup d’industriels nous l’ont fait remarquer, la motivation est une notion complexe. Tenir
compte, intervenir sur la culture d’entreprise relève du long terme, en conséquence, l’utiliser aux
fins de motivation ne peut donner de résultat que diffus et étalés dans le temps. On l’emploiera
donc pour asseoir un climat de motivation ou le développer.
4. règlement interne de entreprise transe bois
-ce que représente le règlement
interne de entreprise transe bois à
ces travailleur
08- un code qui se manifeste dans
les cas de punitions
Toute nous enquêteur se mis d’accord à l’entreprise trans- bois que le règlement interne de
entreprise reprisent le code de punition et ce manifeste dans les cas où un travailleur mérite une
punition.
Une situation qui nous explique que le sérieux au sein de l’entreprise trans-bois est une
question majeure, et effectivement es a la base de tous activité humaine.
Chapitre V Analyse des données et interprétationdes résultats de l’enquête
65
5. La communication ou seine de l’entreprise
-La communication ou seine de
l’entreprise
08- une bonne communication
grâce à la relation fondée sur le
principe de respect
D’après toute nous enquêté la communication au sein de l’entreprise marche a merveille
grâce au bon relation fonde depuis longtemps et qui devenu une culture de l’entreprise à cause
des valeurs et sentiment et la situation presque équilibre entre la majorité des ouvriers même ci il
y a des fois un abondement de la direction Enver les ouvrier les travailleur mais le fondement
d’un front syndicale au sein de l’entreprise a donné beaucoup des solutions aux problèmes lie au
travail entre l’administration et le membre des travailleur et qui es l’une des plus gagne de
l’entreprise trans- bois de Bejaia
Et cette communication se préoccupe de la cohésion sociale de son organisation, et elle a
donné la vocation d’accompagner dans ces cas la résistance au changement,
6. Le climat de travail au sein de l’entreprise
-le climat de travail au sein de
l’entreprise
08- un climat qui es marqué par le
sérieux au travail, gras a la
discipline au travail.
Le climat de travail et l’un des choses les plus marquants a cette entreprise nous explique un
travailleur de la chaine grâces a la conscience de tous les membres que la discipline avant tous et
Chapitre V Analyse des données et interprétationdes résultats de l’enquête
66
le sentiment que l’entreprise et la maison que assure leur pain et la maison doit être protégé avec
ses membre d’abord avant tout
Une pensée qui est devenu une culture propre de l’entreprise, Afin d'être en mesure de former
une entreprise vraiment unique et la culture d'entreprise compétitive. Une stratégie d'affaires
grâce à des systèmes de culture d'entreprise, la gestion de l'entreprise de la culture, la culture
d'entreprise de l'innovation, la diffusion de la culture d'entreprise et les services du système de
planification de l'image d'entreprise pour aider les clients à créer une des caractéristiques de
l'entreprise et la culture d'entreprise compétitive, être en mesure de faire de la croissance saine,
avantages à long terme pour l'entreprise Renvoie à l'idée des entreprises spirituelles et
culturelles, les employés de l'état psychologique de la connaissance et de la capacité de savoir, ce
est la conviction que la poursuite de l'entreprise. Personnel interne joué polymérisation de cœur,
polymérisation de l'esprit des clients étrangers jouent le rôle. La culture institutionnelle que les
employés doivent travailler dans une culture spécifique, employés schémas de pensée mentale, la
personnelle connotation psychologique institutionnelle vraiment accepter et être en mesure de
respecter consciemment par les résultats. Les employés jouent un rôle de régulation ces des
argumente qui pousse l’entreprise transe bois a participé à la création de bon climat de travail.
Résumé : ce chapitre nous permettre de montré l’analyse et interprétation des résultats avec
la vérification des hypothèses
Chapitre V Analyse des données et interprétationdes résultats de l’enquête
67
02. vérification des hypothèses :
1. Vérification de la première hypothèse :
À partir des questions posé dans notre entretien concernant la première hypothèse qui
es la suivante : ‘’ toutes réalisation et réussite d’une stratégie mis en œuvre au sein
d’entreprise et dépond de respect des valeurs et des traditions de l’entreprise qui es sa
culture’’, on a obtenu les résultats qui sont centré sur les répons de responsable et
exécuteur interrogés, et dont on va essayer des détaillés comme suite :
Selon nous enquêté interrogée tous leurs réponse nos a confirment que le respect de la
culture d’entreprise dans ses valeurs et tradition et a l’origine de toutes continuité est
évolution.
À Cette effet, la majorité des enquêtés de l’entreprise trans-bois contribuant à
l’apparition et à l’évolution de la culture d’entreprise. L’entreprise dans une optique orienté
,valeurs sont concrétisé et ancrée dans la stratégie d’entreprise dans les processus et dans la
culture profondément ancré dans notre culture d’entreprise ces valeurs guide nos
comportement individuelle et nous principe d’action a l’ garde de nous client , valeurs de
tolérance ,attitude et l’estime de soi et déjà bien ancrée dans la personnalité
On pense que les difficulté rencontre par les entreprise s’explique en parte par
l’inadaptation de leurs model de management d’inspiration étrangère aux réalité culturelle ,
la prise en compte des tradition et valeurs culturelle dans la gestion de nos entreprise est
une exigences pour leur développements véritable et, pour réussir ce pari difficile nous
devons évité de nous renie et de perdre notre âme qui est notre raison d’être et mettre en
œuvre une véritable culture d’entreprise a partir des fondement de la société , telle et la
voix ver le quelle doit tendre le chef d’entreprise .
Ainsi ce que les travailleur de l’entreprise de trans-bois et ses dirigeant à prendre le
chemin pour développer des sentiments très fort d’union d’entente de fraternité et de
solidarité.
En fin, nous tenons à dire que nous avons pu arriver à confirmer notre première hypothèse.
Chapitre V Analyse des données et interprétationdes résultats de l’enquête
68
1. Vérification de la deuxième hypothèse :
a) Apre avoir analysé les donnée rapportant à la deuxième hypothèse qu’est ’’ La
bonne réalisation des taches au sein d’entreprise est dépond de sa culture, et sa
stratégie ‘’.
D’après les résultats obtenus quand on a abordé la question sur le rôle de la culture
d’entreprise.
L’entreprise transe-bois sache bien que le développement durable au entreprises touche
différent département, sa prise en compte s’intégrante notamment à la stratégie
d’entreprise Implique la prise de nombreuse décision concernant ces opération
La création de plan stratégique constitué une composante clef de la planification de la
croissance .cela vous aidera à établir une vision réaliste concernant l’avenir de l’entreprise
un plan d’affaire concernant les objectifs a coure et ou moyen terme et la définition des
étapes nécessaire pour les atteindre. Un plan stratégique est habituellement axé sur
l’objectif à moyen et longue terme d’une entreprise et explique les stratégies de base pour
les atteindre.
En effet dans sa première mission l’entreprise et pour but de produire des bien ou fournir
des services une entreprise pour réussir et se développer a besoin d’être appréciée par ces
défirent parte prenant bien sûr en interne auprès de ses différent dérageant et ses salarié
mais aussi en externe au pré de ses client
Alors, en pratique professionnel observable, sollicite l’avis de ses collègue avant de
prendre une décision, communique facilement les informations apporte son soutien et
soutenue par des modes de travail collectifs, système d’intégration groupe « vis ma vie ».
Facilité l’adhésion à un changement (nouvelle stratégie, réorganisation), animer une équipe
au quotidien (attractive appartenance, reconnaissance). Et introduire de la simplicité face à
la complicité des modes d’organisation
On conclu que notre hypothèse est confirmé par dire que le respect d’un côté immatériel
présenter dans ‘’ la culture et la personnalité ‘’ des réalisateur de cette stratégie et
indispensable pour la réussite de la stratégie d’entreprise.
Résumé :
Ce chapitre nous permet de montrer l’analyse et l’interprétation des résultats et la
vérification de nos hypothèses.
Conclusion
Conclusion
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Conclusion
La culture, c'est ce qui fait que chaque organisation est unique. Deux entreprises
peuvent suivre la même stratégie, avoir les mêmes structures, recourir aux mêmes techniques
de gestion, elles ont néanmoins leur propre culture. Le manager doit prendre en considération
dans ses décisions ce qui apparaît plus comme une réalité organisationnelle qu'un objet de
management à part entière.
Pratiquer le diagnostic de la culture d’une entreprise nécessite d’observer les faits et les
pratiques, et de dialoguer de manière approfondie avec les membres de l’organisation, Ce
diagnostic, une fois établi, permet au dirigeant de mieux comprendre l’identité de son
entreprise et, éventuellement, de la faire évoluer pour accompagner les choix stratégiques.
A cette effet, notre recherche de terrain, nous a permet à franchir plusieurs Réalités sur la
nature de l’entreprise, et son identité construite par sa culture, aussi, on est arrivé a démontré
que Toute stratégie politique ou économique, comporte, nécessairement, une dimension de
culture que, par ailleurs elle contribue à modifier, à enrichir. Pour une part, elle est produite
par de la culture et pour une autre, elle est productrice de culture.
En effet au sein de l’entreprise trans-bois la culture d'entreprise joue un rôle important,
l’entente et le respect qui a crier un climat familiale a l’entreprise au fil des années a aidé les
dirigent a maitrisé les conflit, mais cette situation elle entraîne aussi certains côtés négatifs, à
cause de l’insuffisance de la prise en compte, l’enceinter des ouvriers le caractère de
l’entreprise qui es publique et la culture de passé le poste d’un retraiter pour son fils a donné
un héritage social est des habitudes de travail, et des comportement sociaux des acteurs de
l’organisation : plus spécifiquement, cette culture a construit des modes de comportement qui
engendrent dans l’organisation une sorte de personnalité ; C'est le cas d'une culture
d'entreprise trop forte, qui peut mener les membres de l'organisation à entraîner l'entreprise
dans des projets dangereux pour son avenir à cause de de la résistance au changement qui se
présente dans ce genre de cas à l’avenir.
En conclusion, nous inscrivons nos propos dans un courant de contestation qui s’oppose à
toute logique qui sépare l’aspect dynamique de l’organisation de sa dimension sociale et qui
réduit la culture d’entreprise à un contenu manipulatoire, à ce sujet, il est important pour nous
de signaler que tout stratégies de travail et de développement pour peu importe entrepris, doit
Conclusion
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être en cohésion avec sa culture, parfois appelée culture organisationnelle. Est l'ensemble des
règles de l’organisation et son caractère (entreprise privée, publique...), est ces valeurs
partagées, là où il faut étudie la manière commune d'aborder les problèmes, et la manière dont
elles doivent être véhiculées.
Au terme de notre analyse, au sein de l’entreprise transe-bois de Bejaia il nous apparaît que
la culture d’entreprise n’est pas nécessairement un outil de motivation direct. En effet, la
culture d’entreprise regroupe, dans la plupart des cas, les conditions nécessaires à la
motivation comme par exemple le type de management, le système de rémunération, les
perspectives d’avenir. La culture d’entreprise participe à créer le contexte de la motivation et
ici L’écart apparaît nettement quand les dirigeants attribue loures stratégie économique de
développement a l’obligation d’évoluer dans un environnement social et culturel caractérisé
par la spontanéité et l’ouverture.
Enfin il est important de précisé que cette enquête nous a ouvrir les portes sure d’autre
questions à cette problématique à traiter à l’avenir
Comment peut-on avoir une culture qui favorise le développement de nos
entreprises ?
La liste bibliographique
La liste bibliographique
A. Ouvrage :
1. Angers Maurice, initiation a la méthodologie des sciences humaines, éd. casbah,
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2. ANNE Marie B, management des entreprises, éd DUNOD, année non cité
3. A.BETONE, C.DOLLO, et autres, science sociales, 3eme éd, 2002, paris.
4. BERNACHE Jean Claude, l’appréciation des performances au travail de l’individu a
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5. BOTIJO j, la culture d’entreprise : sa perception et ses techniques de transmission, éd
Mirail, 2006, Toulouse,
6. BRENEUX Philipe, sociologie du changement dans les entreprises et les organisations,
édition du seuil, paris, 2004,
7. CHANTAL. B.P, économie gestion de l’entreprise, éd Vuibert, parais, 2002,
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10. David DUCHAMP, Loris GUERY, la gestion des ressources humain , éd J.
Ajchenbaum/L.Accardo, France 2014
11. Delavallée Eric et autres, la culture d’entreprise pour manager autrement sarmenter les
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12. Des reums aux Alain introduction à la gestion, édition Armand colin, 1992.
13. Devillard olivier et Rey Dominique, culture d’entreprise : un actif stratégique
(efficacité et performance collective. Edition Dunod, paris, 2008
14. DANIELE, P.M. élément de sociologie du travail et de l’organisation, diffusion
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15. FREDERIC Lebanon, la sociologie de A à Z, éd Dunod, paris, 2009,
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17. Gr witz Madelin, lexique de science humaine, 7èd, Dalloz, paris 2000
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20. JAVEAU Claude, enquête par questionnaire : manuel à l’usage de praticiens, 3eme
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21. JEAN Michel Plaine la gestion des ressources humaines, éd économica, 2003
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28. ROBBINS, Stephen. Management l’essentiel des concept et des pratique, éd Pearson
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B. Liste des dictionnaires :
1. ALAIN Bruno, dictionnaire économique et science et science sociales, éd
Ellipse, Paris, 2005,
2. GILLES Ferréol et autre, dictionnaire de sociologie, 3edition, 2004
C. Article, revues et thèses :
1. Encyclopédie, collection Microsoft, encarta 2009, consulter le 05 avril 2016).
Annexes
Faculté des sciences humaines et sociales
Département des sciences humaines et sociales
Option : gestion des ressources humaines
GUIDE D’ENTRETIEN
Sur le thème :
« Accompagnement d d’e la culture entreprise pour le déploiement des nouveaux
changements stratégiques et organisationnels »
Cas pratique « Trans-bois »Bejaïa
Dans le cadre de l’obtention du diplôme de Master, nous tenons à vous remercier pour
votre contribution de notre recherche, dont nous garantissons l’anonymat et vos réponses
seront exploitées pour des fins scientifiques
Préparé par :
BENYAHIA Aimad
BETTACHE Mourad
Année : 2015 /2016
Données personnelle :
1. Quelle est votre sexe ? Masculin féminin
2. Quelle est votre âge ? Moins de 30ans / Entre 31ans et 45ans/Plus de 45ans
3. Quelle est votre niveau d’instruction ? Primaire /Moyen / secondaire/Universitaire
/Autre
4. Quelle est votre situation matrimoniale ? Célibataire/ Marie / Divorcé/Veuf(e)
5. Avez-vous un diplôme ou une formation ? Si oui citez cette formation ?
6. Quelle est votre ancienneté ? En année
7. Quelle est la nature de votre contrat ? CDD /CDI
8. Quelle est le poste que vous occupé actuellement ? Cadre /Agent de
maitrise/Exécutant
Le processus de changement stratégique et organisationnel :
9. Est-ce que vous-avez vécu déjà un changement stratégique ou organisationnel dans
votre organisation ? Si oui quelle sont ses conséquence ?
10. Quelle est votre réaction sur ce changement ?
11. quelle est l’impact de changement sure les traditions de travail au sein de l’entreprise
?
12. Comment un changement stratégique ou organisationnel peut touchez votre tradition
au sein de votre entreprise ?
Le rôle de la culture d’entreprise :
13. Que signifiez la culture d’entreprise pour vous ?
14. Qu’est ce vous partagez avec les membres de groupe de travail ?
15. D’après vous quelle sont les facteurs essentiels pour le développement d’une
entreprise ?
16. que ce que représente le règlement interne de entreprise transe bois à ces travailleur
?
17. Est-ce que vous communiquiez avec vos collègues est supérieures ou seine de
l’entreprise ?
18. Que pensé vous de climat de travail au sein de l’entreprise ?