a retenir : chapitre 1 - mathématiques faciles · 2014. 6. 6. · a retenir : chapitre 3 c1 * 1...
TRANSCRIPT
-
Théorie page 1
A retenir : Chapitre 1
C1 *1 Vocabulaire des 4 opérations.
Calcul Symbole Opération 1e élément 2e élément
Résultat
15 + 3 = 18 + addition terme terme
somme
15 – 3 = 12 - soustraction terme terme
différence
15 . 3 = 45 . ou x multiplication facteur facteur
produit
15 : 3 = 5
:
(ou barre de
fraction)
division dividende diviseur
quotient
C1 *2 Vocabulaire des puissances. Exposant
5 3 Puissance 5 3 = 5 . 5 . 5 = 125 5 3 se lit 5 exposant 3
Base 3 facteurs la troisième puissance de 5
( 5 élevé à la puissance 3 ) Si possible, ne pas utiliser.
C1 *3 Propriétés de l’addition.
Formule :
L’addition est une opération commutative : on peut changer l’ordre des termes
sans changer le résultat. a + b = b + a
L’addition est une opération associative : on peut grouper certains termes (en
plaçant des parenthèses) sans changer le résultat. a + b + c = ( a + b ) + c = a + ( b + c )
L’addition est une opération qui admet un élément neutre 0 : on peut
effectuer l’opération avec cet élément sans changer le nombre de départ. a + 0 = a = 0 + a
C1 *4 Propriétés de la multiplication.
Formule :
La multiplication est une opération commutative : on peut changer l’ordre des
facteurs sans changer le résultat. a . b = b . a
La multiplication est une opération associative : on peut grouper certains
facteurs (en plaçant des parenthèses) sans changer le résultat. a . b . c = ( a . b ) . c = a . ( b . c )
La multiplication est une opération qui admet un élément neutre 1 : on peut
effectuer l’opération avec cet élément sans changer le nombre de départ. a . 1 = a = 1 . a
La multiplication est une opération qui admet un élément absorbant 0 : cet
élément ramène tout à lui-même. a . 0 = 0 = 0 . a
-
Théorie page 2
C1 *5 Règle d’ordre des opérations.
Dans une suite d’opérations, on effectue dans l’ordre :
1) les calculs entre parenthèses en commençant par les plus intérieures.
2) les puissances.
3) les multiplications et les divisions de gauche à droite.
4) les additions et les soustractions de gauche à droite.
-
Théorie page 3
A retenir : Chapitre 2
C1 *1 Vocabulaire.
Dans l’égalité 48 = 6 . 8
6 est un diviseur de 48 8 est un diviseur de 48
6 divise 48 8 divise 48
48 est un multiple de 6 48 est un multiple de 8
48 est divisible par 6 48 est divisible par 8
C1 *2 Notation.
N : l’ensemble des nombres naturels n : un nombre naturel
div. n : l’ensemble des diviseurs de n
exemple : div. 14 = 1 ; 2 ; 7 ; 14
div. 14 est l’ensemble des diviseurs de 14
a N : l’ensemble des multiples de a
a n : un multiple de a
exemple : 3 N = 0 ; 3 ; 6 ; 9 ; 12 ; …
3 N est l’ensemble des multiples de 3
3 n : un multiple de 3
3 n peut valoir 0 ou 3 ou 6 ou 9 …
C1 *3 Propriété.
Tout nombre naturel admet comme diviseurs 1 et lui-même
C1 *4 Définition de nombre premier.
Un nombre premier est un nombre naturel qui admet exactement deux diviseurs : 1 et
le nombre lui-même
C1 *5 Propriétés fondamentales de la divisibilité.
a) Si un nombre naturel en divise un autre
alors il divise tous les multiples de cet autre nombre
a divise b
n b est un multiple de b a divise n b
-
Théorie page 4
b) Si un nombre en divise deux autres
alors il divise leur somme
a divise b
a divise c a divise b + c
c) Si un nombre en divise deux autres
alors il divise leur différence
a divise b
a divise c a divise b - c
C1 *6 Caractères de divisibilité.
Un nombre est divisible par 2 si son dernier chiffre est un multiple de 2
par 5 de 5
Un nombre est divisible par 10 si son dernier chiffre est 0
Un nombre est divisible par 4 si ses deux derniers chiffres forment un nombre multiple de 4
par 25 de 25
Un nombre est divisible par 100 si il se termine par 00
Un nombre est divisible par 8 si ses trois derniers chiffres forment un nombre multiple de 8
par 125 de 125
Un nombre est divisible par 1000 si il se termine par 000
Un nombre est divisible par 3 si la somme de ses chiffres forme un nombre multiple de 3
par 9 de 9
C1 *7 Décomposition en facteurs premiers.
Décomposer un nombre en facteurs premiers, c’est écrire ce nombre comme un produit de
facteurs premiers affectés d’un exposant
-
Théorie page 5
A retenir : Chapitre 3
C1 *1 Notation de l’ensemble des entiers
L’ensemble des entiers contient les entiers positifs (ou naturels) et les entiers négatifs.
Zéro est à la fois positif et négatif.
C1 *2 Employer à bon escient les termes suivants : repère, droite graduée
On représente les entiers sur une droite graduée, c’est-à-dire une droite munie :
D’un repère qui fixe l’unité, la graduation
D’une flèche qui indique le sens croissant (du plus petit au plus grand).
C1 *3 Définir la notion d’abscisse sur une droite graduée
L’abscisse d’un point est le nombre attribué à ce point sur une droite graduée.
C1 *4 Définir la notion de valeur absolue
La valeur absolue d’un entier mesure sa distance par rapport à zéro.
C1 *5 Définir la notion de nombres opposés
Deux nombres opposés sont deux nombres qui ont la même valeur absolue, mais sont de
signes contraires.
C1 *6 Enoncer la règle de comparaison des entiers
Si deux nombres sont négatifs, le plus petit est celui qui a la plus grande valeur absolue.
C1 *7 Enoncer les règles d’addition des deux entiers
1) Pour additionner deux entiers de même signe :
a. On additionne les valeurs absolues des deux nombres
b. On donne au résultat le signe commun aux deux nombres
-
Théorie page 6
2) Pour additionner deux entiers de signes contraires :
a. On soustrait la plus petite valeur absolue de la plus grande
b. On donne au résultat le signe du nombre qui a la plus grande valeur absolue
C1 *8 Enoncer les propriétés de l’addition d’entiers
Propriétés Généralisation
L’addition est commutative Pour tout a, b entier : a + b = b + a
L’addition est associative Pour tout a, b, c entier : a + b + c = (a + b) + c = a + (b + c)
0 est l’élément neutre de
l’addition
Pour tout a entier : 0 + a = a = a + 0
C1 *9 Enoncer la propriété de deux nombres opposés
Chaque nombre admet un opposé. La somme d’un nombre et de son opposé est nulle.
C1 *10 Enoncer la règle de soustraction de deux entiers
Pour soustraire un nombre entier, on additionne son opposé
C1 *11 Utiliser à bon escient les termes suivants : origine, unité, coordonnées, abscisse, ordonnée, repère
orthonormé, repère normé, repère orthogonal
Pour repérer un point dans le plan, on trace deux axes se coupant en un point appelé l’origine des
axes.
Sur ces axes, on choisit une unité.
Les deux axes, l’origine et l’unité choisie forment le repère.
Un repère est orthogonal si les deux axes sont perpendiculaires.
Un repère est normé si les unités choisies sur les deux axes sont identiques.
Un repère orthonormé est donc un repère orthogonal et normé.
Pour repérer un point dans un plan muni d’un repère, on utilise deux nombres, appelés les
coordonnées de ce point, notés sous la forme d’un couple de nombres.
Le premier nombre est appelé abscisse.
Le second nombre est appelé ordonnée.
-
Théorie page 7
A retenir : CHAPITRE 4
C1 *1 Symboles des différents éléments de la géométrie plane.
Symboles Vocabulaire Dessins
A
Point
. A
d
Droite
d
[AB]
Segment d’extrémités A et B
A B
AB
Longueur du segment [AB]
A B
AB
Droite passant par les points A et B
B
A
[AB
Demi-droite d’origine A et passant par B
B
A
A d Le point A appartient à la droite d
d A
C1 *2 Définition de milieu d’un segment.
En français : Le milieu d’un segment est le point qui appartient à ce segment et qui est à égale
distance des extrémités de ce segment.
En math : M est milieu de [AB] si M [AB] et AM = MB
C1 * 3 Définition de trois points alignés.
Trois points sont alignés s’ils appartiennent à une même droite.
C1 * 4 Fondements de la géométrie.
Par deux points distincts, passe une et une seule droite.
Par un point, passe une infinité de droites.
C1 * 5 Définition de médiatrice d’un segment.
La médiatrice d’un segment est la droite perpendiculaire à ce segment et passant par le milieu de ce segment.
3 cm
-
Théorie page 8
C1 * 6 Positions relatives de droites.
Définitions de : Notation
…deux droites sécantes : Deux droites sécantes sont deux droites qui se coupent en seul
point.
a // b
… deux droites perpendiculaires : Deux droites perpendiculaires sont deux droites qui se
coupent en
formant des angles droits.
a b
… deux droites parallèles : Deux droites parallèles sont deux droites qui ont la même
direction.
… de deux droites parallèles distinctes : Deux droites parallèles distinctes sont deux droites
qui ont la
même direction et pas de point commun.
a // b
… deux droites parallèles confondues : Deux droites parallèles confondues sont deux droites
qui ont la
même direction et tous les points en commun.
a = b
C1 * 7 Propriétés d’unicité (Axiomes).
Par un point extérieur à une droite donnée, passe une seule parallèle à cette droite.
Par un point extérieur à une droite donnée, passe une seule perpendiculaire à cette droite.
C1 * 8 Les 3 énoncés de base relatifs aux positions de droites.
Si deux droites sont perpendiculaires à une même troisième, alors elles sont
parallèles entre elles.
d a
e a d // e
Si deux droites sont parallèles, toute parallèle à l’une est parallèle à l’autre.
b // a
b // c a // c
Si deux droites sont parallèles, toute perpendiculaire à l’une est perpendiculaire à
l’autre.
c // a
d a d c
C1 * 9 Définition d’un angle.
Un angle est une partie illimitée du plan déterminée par deux demi-droites de même origine. Notation : Â ou CAB ˆ ↔ l’angle de sommet A, dont les côtés passent par B et C.
-
Théorie page 9
C1 * 10 Sens des mots.
C1 * 11 Définition de deux angles adjacents.
Deux angles adjacents sont deux angles qui ont : le même sommet,
un côté commun,
qui sont situés de part et d’autre de ce côté commun.
Définition de deux angles complémentaires.
Deux angles complémentaires sont deux angles dont la somme de leurs amplitudes vaut 90°.
Définition de deux angles supplémentaires.
Deux angles supplémentaires sont deux angles dont la somme de leurs amplitudes vaut 180°.
C1 * 12 Définition de la bissectrice d’un angle.
La bissectrice d’un angle est la demi-droite issue du sommet de cet angle et le partageant en deux
angles de même amplitude.
Sortes d’angles Sens Dessins Amplitudes
Angle nul
Angle dont l’amplitude
est égale 0°
M YYM XX
YMX ˆ ° = 0°
Angle aigu Angle dont l’amplitude est
comprise entre 0° et 90° M YYM
XX
0° < YMX ˆ ° < 90°
Angle droit Angle dont l’amplitude est
égale à 90°
M
YY
M
XX
YMX ˆ ° = 90°
Angle obtus Angle dont l’amplitude est
comprise entre 90° et 180°
M
YY
M
XX
90° < YMX ˆ ° <
180°
Angle plat Angle dont l’amplitude est
égale à 180° M
YY
M
XX
YMX ˆ ° = 180°
Angle saillant Angle dont l’amplitude est
comprise entre 0° et 180°
M
YY
M
XX
M
YY
M
XX
0° < YMX ˆ ° < 180°
Angle rentrant Angle dont l’amplitude est
comprise entre 180° et 360°
M
YY
M
XX
M
YY
M
XX
180° < YMX ˆ ° <
360°
Angle plein
Angle dont l’amplitude est
égale à 360°
MYY
MXX
YMX ˆ ° = 360°
-
Théorie page 10
C
A
B
C
A
B
A retenir : Chapitre 5
Programme de construction voir page 260. (à lire !)
THEORIE :
A
C1 *1 Sens des mots : Les points A , B et C sont les sommets du triangle. Les segments [AB] , [BC] et [AC] sont des côtés. C
B
- L’angle  est opposé au côté [BC].
- L’angle  est adjacent aux côtés [AB] et [AC].
C1 *2 Définition : Les triangles sont classés suivant deux critères :
1) La nature de leurs angles
- Un triangle acutangle est un triangle dont tous les angles sont aigus.
- Un triangle rectangle est un triangle ayant un angle droit.
- Un triangle obtusangle est un triangle ayant un angle obtus.
2) La longueur relative de leurs côtés
- Un triangle scalène est un triangle dont les côtés sont de longueurs différentes.
- Un triangle isocèle est un triangle ayant au moins 2 côtés de même longueur.
- Un triangle équilatéral est un triangle ayant 3 côtés de même longueur.
C
A
B
C
A
B
C
A
B
C
A
B
-
Théorie page 11
D
A
B
C
C1 * 3
1. Définition : Une hauteur d’un triangle est un segment de droite issu d’un sommet et
perpendiculaire au côté opposé ou à son prolongement.
2. Définition : Une médiane d’un triangle est un segment de droite qui joint le milieu d’un
côté au sommet opposé.
3. Définition : Une bissectrice d’un angle est une demi-droite qui coupe cet angle en deux
angles de même amplitude.
4. Définition : Une médiatrice d’un segment est une droite perpendiculaire à ce segment et
passant par son milieu.
Remarque : Un triangle possède 3 hauteurs, 3 médianes, 3 médiatrices et 3 bissectrices.
C1 * 4 Sens des mots : Les points A, B, C et D sont des sommets du quadrilatère. Les segments [AB] , [BC] , [CD] et [AD] sont les côtés.
[AB] et [AD] sont des côtés adjacents.
[AB] et [DC] sont des côtés opposés.
A et D sont des sommets consécutifs.
A et C sont des sommets opposés.
B
A
C
D
E FK
H
B
A
C
M
B
A
C
C
A
B
-
Théorie page 12
C1 * 5 Définition : Une diagonale d’un quadrilatère est un segment qui joint 2 sommets opposés de ce quadrilatère.
C1 * 6 Définition : Un trapèze est un quadrilatère qui possède 2 côtés parallèles.
Définition : Un parallélogramme est un quadrilatère dont les côtés sont parallèles 2 à 2.
Définition : Un rectangle est un quadrilatère qui possède 4 angles droits.
Définition : Un losange est un quadrilatère qui possède 4 côtés isométriques.
Définition : Un carré est un quadrilatère qui possède 4 angles droits et 4 côtés
isométriques.
C1 * 7 Arbre selon les côtés et les angles.
C1 * 8 Propriétés des diagonales :
Dans un parallélogramme, les diagonales se coupent en leur milieu.
Dans un losange, les diagonales se coupent perpendiculairement.
Dans un rectangle, les diagonales ont la même longueur.
Dans un carré, les diagonales ont la même longueur et se coupent
perpendiculairement.
QUADRILATERE
TRAPEZE
PARALLELOGRAMME
RECTANGLE LOSANGE
CARRE
+2 côtés parallèles
+2 autres côtés parallèles
+4 côtés isométriques
+4 côtés isométriques
+4 angles droits
+4 angles droits
-
Théorie page 13
A retenir : Chapitre 6
C1*1. Définition : Un cercle est l’ensemble de tous les points situés à égale distance d’un point fixe, appelé le centre du cercle.
C1*2 Sens des mots : [OB] est un RAYON du cercle C.
[AC] est un DIAMETRE du cercle C. C
[CB] est une CORDE du cercle C.
Le cercle C délimite une surface appelée DISQUE.
AB est un ARC DE CERCLE.
COB ˆ est un ANGLE AU CENTRE.
A B
O
C
-
Théorie page 14
A retenir : Chapitre 9
C1 *1 Règle de multiplication des entiers
Pour multiplier deux nombres entiers :
1) déterminer le signe du produit par la règle des signes :
– le produit de deux entiers de même signe est positif,
- le produit de deux entiers de signes contraires est négatif,
2) multiplier les valeurs absolues.
C1 *2 Propriété
Le carré d’un nombre est toujours positif.
C1 *3 Règle de multiplication de plus de deux entiers Pour multiplier plus de deux entiers :
1) déterminer le signe du produit par la règle suivante :
- si le nombre de facteurs négatifs est impair, le produit sera négatif,
- si le nombre de facteurs négatifs est pair, le produit sera positif,
2) multiplier les valeurs absolues.
C1 *4 Propriétés de la multiplication d’entiers
Propriétés Généralisation
La multiplication est
commutative.
Pour tout a, b entier : a . b = b . a
La multiplication est
associative.
Pour tout a, b, c entier : a . b . c = (a . b) . c = a . (b . c)
1 est l’élément neutre de la
multiplication.
Pour tout a entier : 1 . a = a = a . 1
0 est absorbant pour la
multiplication.
Pour tout a entier : 0 . a = 0 = a . 0
La multiplication est
distributive par rapport à
l’addition.
Pour tout a, b, c entier : a . ( b + c ) = a . b + a . c
-
Théorie page 15
C1 *5 Règle d’ordre des opérations (règle de priorité des opérations)
Dans une suite d’opérations, on effectue dans l’ordre :
5) les calculs entre parenthèses en commençant par les plus intérieures,
6) les puissances,
7) les multiplications et les divisions de gauche à droite,
8) les additions et les soustractions de gauche à droite.
Il faut effectuer les opérations de gauche à droite, c’est-à-dire dans le sens de lecture.
-
Théorie page 16
A retenir : Chapitre 10
C1 *1 Définir une isométrie.
Une isométrie est une transformation du plan qui conserve la forme et la taille de la figure.
Elle peut être décrite par un mouvement de déplacement ou de retournement :
- Les déplacements : les translations, les symétries centrales et les rotations.
- Les retournements : les symétries orthogonales.
C1 *2 Associer chaque transformation avec le verbe qui la caractérise.
Verbes Transformations du plan
Glisser Translation
Se retourner, plier Symétrie orthogonale
Tourner d’un demi-tour Symétrie centrale
Tourner Rotation
C1 *3 Citer les éléments caractéristiques des isométries.
L’élément caractéristique d’une symétrie orthogonale est la droite autour de laquelle on effectue un
retournement, on l’appelle l’AXE DE SYMETRIE.
L’élément caractéristique d’une symétrie centrale est le point autour duquel on effectue un demi-tour,
on l’appelle le CENTRE DE SYMETRIE.
L’élément caractéristique d’une translation est le VECTEUR, symbolisé par une flèche, selon lequel on
effectue un glissement.
C1 *4 Citer les invariants des isométries.
Les isométries conservent …
… c’est-à-dire que :
… l’alignement des points. Les images de trois points alignés par une isométrie sont trois points
alignés.
… le parallélisme des droites. Les images de deux droites parallèles par une isométrie sont deux droites
parallèles.
… l’amplitude des angles. L’image d’un angle par une isométrie est un angle de la même amplitude.
Conséquence : les images de deux droites perpendiculaires par une
isométrie sont deux droites perpendiculaires.
… les longueurs des segments. L’image d’un segment par une isométrie est un segment de même longueur.
C1 *5 Définir X’ comme image de X par une symétrie orthogonale, centrale et une translation.
X’ est l’image de X par une symétrie orthogonale d’axe m si m est la médiatrice de [XX’].
X’ est l’image de X par une symétrie centrale de centre C si C est le milieu de [XX’].
X’ est l’image de X par une translation de vecteur AB si XX’ // AB
XX ′ = AB
[XX’ est dans le même sens que [AB
-
Théorie page 17
A retenir : Chapitre 11
C1 *1 Le sens des mots :
Les faces sont les surfaces planes qui délimitent le solide.
Notation d’une face : l’énumération de ses sommets dans l’ordre
( en suivant le contour de la face ).
Exemple : Cette face est appelée :
ABCD ou BCDA ou CDAB ou DABC,
mais pas ABDC !
Les arêtes sont les intersections des faces. Ce sont des segments dont les
extrémités sont des sommets.
Notation d’une arête : le segment qui joint ses 2 sommets.
Exemple : l’arête [AB]
Les sommets sont les extrémités des arêtes.
Notation d’un sommet : un point.
Exemple : le sommet A
Un polygone est une figure plane à plusieurs côtés.
Un polyèdre est un solide délimité par des surfaces planes ( = faces, = polygones ).
Un non polyèdre est un solide dont au moins une surface n’est pas plane.
Un prisme droit est un polyèdre formé de deux faces parallèles identiques et de
rectangles joignant ces deux faces parallèles.
Les bases sont les faces parallèles, les faces latérales sont les autres faces.
Exemple : dessins p. 286
Le parallélépipède rectangle est un polyèdre formé de 6 rectangles.
Le cube est un polyèdre formé de 6 carrés.
Une pyramide est un polyèdre formé d’un polygone appelé base et de triangles qui se
joignent tous en un seul point.
Les faces latérales sont les triangles qui se joignent en un seul point.
Le sommet de la pyramide est le sommet commun à toutes les faces latérales.
B A
D C
-
Théorie page 18
C1 *2 La définition d’un plan :
Un plan est un prolongement d’une face dans tous les sens.
Il est déterminé par 3 points non alignés.
Ex: Les points A, B, C déterminent le plan ABC
qui prolonge la face ABCD.
C1 *3 La définition de deux arêtes gauches :
Deux arêtes sont gauches si elles n’appartiennent pas au même plan.
Ex : Les arêtes [AB] et [CG] sont gauches.
Les arêtes [AB] et [EF] ne sont pas gauches.
C1 *4 La méthode pour dessiner en perspective cavalière:
En perspective cavalière, tous les segments parallèles restent parallèles.
Les arêtes vues sont en traits pleins.
Les arêtes cachées sont en traits pointillés.
Les proportions doivent être conservées.
Les faces latérales sont souvent représentées dans une inclinaison de 45° par
rapport à l’horizontale.
D C
B A
E F
H
G
-
Théorie page 19
A retenir : Chapitre 12
PERIMETRE ET AIRE DES FIGURES PLANES
Nom Représentation Périmètre Aire
Carré
4P c 2A c
Losange
4P c 2
D dA
Rectangle
2P L l
2 2P L l A L l
Parallélogramme
somme des longueursP
des côtés A b h
Trapèze
somme des longueursP
des côtés
2
B b hA
Triangle
somme des longueursP
des côtés 2
b hA
Polygone
régulier
nombre de côtésP c
périmètre2
aA
ou
nombre de côtés2
c aA
Disque
2P r d 2A r
-
Théorie page 20
VOLUMES DES SOLIDES
Nom Représentation Volume
Cube
3V c c c c
Parallélépipède
rectangle
V L h l
Prisme droit
aire baseV h
Cylindre
2V r h
aire de la base hauteurV
Pyramide
aire base
3
hV
Cône
2
3
r hV
aire de la base hauteur
3V
Sphère
34
3
rV
-
Théorie page 21
A retenir : Chapitre 13
C1 *1 Sens des mots
* Une expression littérale est une expression mathématique dans laquelle interviennent
des nombres et des lettres. Elle permet de généraliser un calcul.
Exemple : 2 a + 2 b est une expression littérale qui permet de généraliser le calcul du
périmètre d’un rectangle de longueur a et de largeur b
Dans une expression littérale :
- Les lettres s’appellent les variables, elles constituent la partie littérale de l’expression
- Le nombre qui multiplie une variable s’appelle le coefficient de cette variable.
Exemple : dans l’expression 2 a + 5 b , a et b sont les variables
2 et 5 sont les coefficients de ces variables
* Réduire une expression littérale, c’est l’écrire avec un minimum de termes.
* Des termes semblables sont des termes qui ont la même partie littérale.
Exemple : termes semblables : 7 a et 3 a ; 7 ab et 5 ab ; 2 a² et 5 a ²
termes non semblables : 5 ab et 5 ac ; 2 a² et 2 b²
C1 *2 Définition de la valeur numérique d’une expression littérale.
La valeur numérique d’une expression littérale est le nombre obtenu en remplaçant
les lettres par des nombres donnés.
Exemple : si a = 3 et b = 5 alors la valeur numérique de 2 a + 6 b = 2 . 3 + 6 . 5 = 36
C1 *3 Règle de réduction dans une somme algébrique.
Pour réduire une somme algébrique, on additionne les termes semblables c’est-à-dire
on recopie leur partie littérale et on additionne leurs coefficients.
Exemples : 5 c + 7 c = 12 c
6 xy + 5 xy = 11 xy
4 b² + 3 b² = 7 b²
-
Théorie page 22
C1 *4 Règle de réduction dans un produit algébrique.
Pour réduire un produit algébrique, on multiplie :
- Les coefficients entre eux
- Les parties littérales entre elles, en notant les lettres dans l’ordre alphabétique.
Exemples : 4 a . 2 c = 8 a c
2 ab . 5 c = 10 a b c
C1 *5 Formule de la distributivité et vocabulaire.
La multiplication est distributive par rapport à l’addition et par rapport à la soustraction.
Méthode : La distributivité Développer :
Produit Somme ou différence
k . ( a + b ) = k . a + k . b
k . ( a – b ) = k . a – k . b
Produit Somme ou différence
Méthode : La distributivité en
mettant en évidence Factoriser :
Remarque : convention d’écriture : a . ( b + c ) = a ( b + c )
C1 *6 Définition d’une équation.
Une équation est une égalité comprenant une (des) inconnue(s).
Exemple : 3 x + 4 = 58
-
Théorie page 23
C1 *7 Méthode de résolution d’une équation. ( A lire attentivement !)
Résoudre une équation à une inconnue,
c’est trouver la valeur de l’inconnue pour que l’égalité soit vérifiée.
Cette valeur est la solution de l’équation.
Exemple : 3 x + 4 = 58 ↔ 1°) Traduire l’équation par un schéma d'opérateurs :
. 3 + 4
x 3 x 58
2°) Trouver la valeur de x par les opérateurs réciproques :
18 54 58
: 3 - 4
3°) La valeur de x est 18
4°) Vérification : 3 . 18 + 4 = 58