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Janvier et février 2010 Changement de nom pour la Clinique Bouchard 8 à Marseille. Elle devient la Clinique Wulfran Puget et célèbrera l’événement le 28 janvier. Deux nouveaux médecins arrivent à la Clinique Carlier à Auch : le Dr Szilvia Antal en chirurgie vasculaire et le Dr Michèle Maneaud en chirurgie plastique et reconstructrice. Inauguration de l’Université Vitalia à Montluçon. Permis de construire déposé par la Clinique Saint-Omer pour des travaux d’extension : scanner, hébergement, 4 cabinets de consultation, agrandissement de l’ambulatoire, 2 salles de bloc. Installation du nouveau scanner à la Clinique Montier-La-Celle à Troyes. Sortie du magazine des cliniques Vitalia n°4 (180 000 exemplaires répartis dans les 46 établissements). Journée scientifique de la Clinique Toulouse-Lautrec à Albi le 30 janvier. Arrivée du Dr Bruno Desrousseaux, chirurgien viscéral et digestif à la Clinique Saint-Omer. Visite de certification V2 pour : • la Clinique La Compassion à Langres ; • la Polyclinique Val de Loire à Nevers ; • la Clinique Saint-Omer ; • la Polyclinique des Ursulines et la Clinique Montier-La-Celle à Troyes. Lancement d’une activité de chirurgie esthétique à la Clinique du Ter à Ploemeur. Ouverture et inauguration de l’unité de soins intensifs cardiologiques (USIC) à la Clinique Notre-Dame à Draguignan. Arrivée du Dr Olivier Baert, anesthésiste, à la Clinique La Présentation à Fleury-les- Aubrais. Installation d’une deuxième salle de radiologie à la Clinique Carlier à Auch. Soirée scientifique sur l’arthroplastie du genou organisée par les orthopédistes de la Clinique du Ter à Ploemeur, à destination des correspondants du secteur sanitaire. Les événements du Groupe Groupe VITALIA 5, rue du Cirque 75008 Paris Tel: +33 (1) 58 56 16 80 Fax: +33 (1) 58 56 16 81 Email : [email protected] www.groupe-vitalia.com du Groupe Vitalia / n°17 Ces premiers jours de janvier nous offrent l’occasion de réfléchir au bilan de l’année 2009 et de tracer les premières perspectives de 2010. La Lettre de Vitalia a rencontré Jean-Baptiste Mortier, Directeur Général du Groupe. Ce numéro de la Lettre de Vitalia a été imprimé à 11 000 exemplaires A LA UNE Janvier/Février 2010 Tous les quatre ans, une nouvelle certification voit le jour. Cette année, les établissements doivent faire face à la troisième version de la procédure de certification : la V2010. Explications. Certification V2010 : une démarche continue « 2010 : l’année de l’imagination et de la créativité. » La Lettre : Qu’est-ce qui a changé en 2009 ? Jean-Baptiste Mortier : L’organisation du Groupe : sur le plan opérationnel et médical, tout le monde reconnait que nous avons progressé. Nous avons mené à bien la restructuration de nombreux plateaux techniques, de blocs opératoires. Nous avons investi dans des matériels nouveaux. Nous avons mené des opérations originales comme la création de l’Institut du cancer à Strasbourg en septembre 2009. Nous modernisons aussi nos immobiliers. La Lettre : Comment est perçu Vitalia par le monde de la santé ? J.-B. M. : J’allais y venir : 2009, c’est l’année de la reconnaissance par les tutelles, les politiques, la haute autorité de santé, nos partenaires de l’hôpital public. La Lettre : L’hôpital public ? J.-B. M. : Vitalia n’en a jamais fait mystère : il faut harmoniser et coordonner tous les acteurs locaux de la santé. Depuis notre création, nous avons foi en cela. A Montluçon, à Chaumont, à Vendôme, la mise en place de Groupements de Coopération Sanitaire avec les centres hospitaliers ont permis de mieux coordonner les soins sur plusieurs bassins de patients et donc d’accroître la qualité de la prise en charge. Nous ne renoncerons jamais à développer ce type de coopération. Les acteurs de terrain ont prouvé qu’ils savaient dépasser de vieilles idéologies. La Lettre : On a beaucoup parlé de la crise… Comment se porte Vitalia ? J.-B. M. : Vitalia va bien. Comme en 2008, les résultats 2009 seront réinvestis dans leur totalité dans nos outils de travail. La Lettre : En ce début 2010, quels messages souhaiteriez-vous transmettre aux femmes et aux hommes qui travaillent dans les 46 établissements du Groupe Vitalia ? J.-B. M. : Les gens qui me connaissent savent que je ne manie jamais la langue de bois. Je n’aime pas non plus la flagornerie. Et pourtant, qu’il me soit permis ici de saluer l’implication des collaborateurs du Groupe. Ils ont permis de faire de 2009 une année charnière. Les équipes médicales, les salariés du Groupe, les collaborateurs externes ont dynamisé avec talent les projets d’établissement. Je le constate tous les jours. Ils ont été les principaux acteurs de cette année 2009. Je dois reconnaître qu’ils ont forcé mon admiration. La Lettre : Quels seront les grands thèmes de 2010 ? J.-B. M. : 2010 sera l’année de la consolidation de nos organisations. Ce que nous avons mis en place et « ajusté » en 2009 devra gagner en efficacité en 2010. Mais ce n’est pas tout : dans les douze mois à venir, nous devrons aussi être créatifs et inventifs à tous les niveaux de nos organisations. Par exemple, nous nous interrogeons en ce moment sur la façon d’assurer le développement et la pérennité de notre produit médical, ou sur la façon d’améliorer l’accueil des patients, leur confort, la qualité de leur prise en charge. Typiquement sur ces sujets, nous devons réfléchir, « foisonner » et mettre en œuvre des idées inventives qui nous rendront meilleurs. Ce n’est qu’un exemple, mais il y a d’autres domaines sur lesquels notre réflexion doit porter : les accréditations V2, la V2010… La Lettre : Merci, Jean-Baptiste Mortier ! J.-B. M. : Je ne voudrais pas terminer cet échange sans souhaiter à tous ceux qui se sont impliqués dans la vie de nos établissements une excellente année 2010. Je souhaite à chacun, épanouissement personnel et satisfaction professionnelle. Et j’espère que nous prendrons beaucoup de plaisir ensemble dans les douze mois à venir. La Lettre : Par rapport aux précédentes versions, quelles sont les évolutions qu’apporte la V2010 ? Ludovic Le Charpentier, directeur de la qualité : Précédemment, les experts-visiteurs de la HAS embrassaient lors d’une visite l’ensemble des référentiels sans trop s’y attarder. En revanche, avec la V2010, ils vont renoncer à tout voir pour concentrer leurs investigations sur 13 domaines : les pratiques exigibles prioritaires (PEP). Isabelle Meigné, chargée de missions qualité : Parmi les PEP on peut citer des domaines identifiés comme étant « à risque » : le circuit du médicament, le dossier patient, l’identito-vigilance, le fonctionnement du bloc opératoire et la lutte contre les infections nosocomiales ; mais aussi d’autres processus prioritaires comme la politique de gestion des risques, la gestion des événements indésirables ou l’évaluation des pratiques professionnelles. Ces thèmes seront encore plus approfondis lors des visites. La Lettre : D’autres nouveautés sont-elles prévues ? L.L.C. : Oui ! Par exemple, les résultats des indicateurs nationaux (IPAQSS, ICALIN, ICATB…) et l’évolution de ces résultats seront pris en compte dans la décision finale de la certification V2010. La cotation des critères du manuel d’autoévaluation et des décisions (recommandations, réserves et réserves majeures) seront automatisées. I.M. : Il faut également noter l’arrivée de nouveaux thèmes tels que la bientraitance du patient et le développement durable. La Lettre : Ces nouveautés rendent plus difficile l’obtention de la certification… L.L.C. : L’exigence est supérieure ! Cela oblige les établissements à intégrer les processus de certification au quotidien dans leur management. On ne peut plus préparer la certification un an à l’avance. Aujourd’hui, il est primordial d’être dans une démarche d’amélioration pérenne ! La Lettre : Comment la direction de la qualité va-t-elle aider les cliniques Vitalia à passer la V2010 ? I.M. : Nous avons programmé plusieurs sessions de formation pour les responsables qualité, les directeurs d’établissement, les directeurs régionaux et les Présidents de CME, avec l’appui de la direction de la politique médicale du Groupe. Le management doit absolument intégrer au plus tôt les enjeux et les priorités de la V2010 pour pouvoir piloter efficacement cette nouvelle procédure. Sa responsabilité est déterminante. L.L.C. : D’autre part, nous continuons les visites à blanc quelques mois avant la visite de certification et si nécessaire, les audits ciblés. La Lettre : Quels sont les premiers établissements du Groupe à être confrontés à cette V2010 ? I.M. : Trois cliniques vont passer leur certification V2010 cette année : Saint-Claude à Saint-Quentin en juin, Notre-Dame à Draguignan en novembre, et Saint-Cœur à Vendôme en décembre. 80% de nos établissements passeront la procédure en 2012 et 2013. Le dossier patient fait plus que jamais partie des critères prioritaires des experts-visiteurs. « Les équipes médicales, les salariés du Groupe, les collaborateurs externes ont dynamisé avec talent les projets d’établissement. » VIE DU GROUPE Lettre de Vitalia n17_v6.indd 4-1 21/12/09 19:18:30

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Janvier et février 2010 Changement de nom pour la Clinique Bouchard 8 à Marseille. Elle devient la Clinique Wulfran Puget et célèbrera l’événement le 28 janvier.

Deux nouveaux médecins arrivent à la Clinique Carlier à Auch : le Dr Szilvia Antal en chirurgie vasculaire et le Dr Michèle Maneaud en chirurgie plastique et reconstructrice.

Inauguration de l’Université Vitalia à Montluçon.

Permis de construire déposé par la Clinique Saint-Omer pour des travaux d’extension : scanner, hébergement, 4 cabinets de consultation, agrandissement de l’ambulatoire, 2 salles de bloc.

Installation du nouveau scanner à la Clinique Montier-La-Celle à Troyes.

Sortie du magazine des cliniques Vitalia n°4 (180 000 exemplaires répartis dans les 46 établissements).

Journée scientifique de la Clinique Toulouse-Lautrec à Albi le 30 janvier.

Arrivée du Dr Bruno Desrousseaux, chirurgien viscéral et digestif à la Clinique Saint-Omer.

Visite de certification V2 pour :

• laCliniqueLa Compassion à Langres ;

• laPolycliniqueVal de Loire à Nevers ;

• laCliniqueSaint-Omer ;

• laPolycliniquedesUrsulines et la Clinique Montier-La-Celle à Troyes.

Lancement d’une activité de chirurgie esthétique à la Clinique du Ter à Ploemeur.

Ouverture et inauguration de l’unité de soins intensifs cardiologiques (USIC) à la Clinique Notre-Dame à Draguignan.

Arrivée du Dr Olivier Baert, anesthésiste, à la Clinique La Présentation à Fleury-les-Aubrais.

Installation d’une deuxième salle de radiologie à la Clinique Carlier à Auch.

Soirée scientifique sur l’arthroplastie du genou organisée par les orthopédistes de la Clinique du Ter à Ploemeur, à destination des correspondants du secteur sanitaire.

Les événements du Groupe

Groupe VITALIA5, rue du Cirque 75008 Paris

Tel: +33 (1) 58 56 16 80 Fax: +33 (1) 58 56 16 81 Email : [email protected]

www.groupe-vitalia.com

du G r o u p e V i t a l i a / n °17

Ces premiers jours de janvier nous offrent l’occasion de réfléchir au bilan de l’année 2009 et de tracer les premières perspectives de 2010. La Lettre de Vitalia a rencontré Jean-Baptiste Mortier, Directeur Général du Groupe.

Ce numéro de la Lettre de Vitalia a été imprimé à 11 000 exemplaires

A LA UNE

Janvier/Février 2010

Tous les quatre ans, une nouvelle certification voit le jour. Cette année, les établissements doivent faire face à la troisième version de la procédure de certification : la V2010. Explications.

Certification V2010 : une démarche continue

« 2010 : l’année de l’imagination et de la créativité. »

La Lettre : Qu’est-ce qui a changé en 2009 ?

Jean-Baptiste Mortier : L’organisation du Groupe : sur le plan opérationnel et médical, tout le monde reconnait que nous avons progressé. Nous avons mené à bien la restructuration de

nombreux plateaux techniques, de blocs opératoires. Nous avons investi dans des matériels nouveaux. Nous avons mené des opérations originales comme la création de l’Institut du cancer à Strasbourg en septembre 2009. Nous modernisons aussi nos immobiliers.

La Lettre : Comment est perçu Vitalia par le monde de la santé ?J.-B. M. : J’allais y venir : 2009, c’est l’année de la reconnaissance par les tutelles, les politiques, la haute autorité de santé, nos partenaires de l’hôpital public.

La Lettre : L’hôpital public ?J.-B. M. : Vitalia n’en a jamais fait mystère : il faut harmoniser et coordonner tous les acteurs locaux de la santé. Depuis notre création, nous avons foi en cela. A Montluçon, à Chaumont, à Vendôme, la mise en place de Groupements de Coopération Sanitaire avec les centres hospitaliers ont permis de mieux coordonner les soins sur plusieurs bassins de patients et donc d’accroître la qualité de la prise en charge. Nous ne renoncerons jamais à développer ce type de coopération. Les acteurs de terrain ont prouvé qu’ils savaient dépasser de vieilles idéologies.

La Lettre : On a beaucoup parlé de la crise… Comment se porte Vitalia ?

J.-B. M. : Vitalia va bien. Comme en 2008, les résultats 2009 seront réinvestis dans leur totalité dans nos outils de travail.

La Lettre : En ce début 2010, quels messages souhaiteriez-vous transmettre aux femmes et aux hommes qui travaillent dans les 46 établissements du Groupe Vitalia ?J.-B. M. : Les gens qui me connaissent savent que je ne manie jamais la langue de bois. Je n’aime pas non plus la flagornerie. Et pourtant, qu’il me soit permis ici de saluer l’implication des collaborateurs du Groupe. Ils ont permis de faire de 2009 une année charnière. Les équipes médicales, les salariés du Groupe, les collaborateurs externes ont dynamisé avec talent les projets d’établissement. Je le constate tous les jours. Ils ont été les principaux acteurs de cette année 2009. Je dois reconnaître qu’ils ont forcé mon admiration.

La Lettre : Quels seront les grands thèmes de 2010 ?J.-B. M. : 2010 sera l’année de la consolidation de nos organisations. Ce que nous avons mis en place et

« ajusté » en 2009 devra gagner en efficacité en 2010. Mais ce n’est pas tout : dans les douze mois à venir, nous devrons aussi être créatifs et inventifs à tous les niveaux de nos organisations. Par exemple, nous nous interrogeons en ce moment sur la façon d’assurer le développement et la pérennité de notre produit médical, ou sur la façon d’améliorer l’accueil des patients, leur confort, la qualité de leur prise en charge. Typiquement sur ces sujets, nous devons réfléchir, « foisonner » et mettre en œuvre des idées inventives qui nous rendront meilleurs. Ce n’est qu’un exemple, mais il y a d’autres domaines sur lesquels notre réflexion doit porter : les accréditations V2, la V2010…

La Lettre : Merci, Jean-Baptiste Mortier !J.-B. M. : Je ne voudrais pas terminer cet échange sans souhaiter à tous ceux qui se sont impliqués dans la vie de nos établissements une excellente année 2010. Je souhaite à chacun, épanouissement personnel et satisfaction professionnelle. Et j’espère que nous prendrons beaucoup de plaisir ensemble dans les douze mois à venir.

La Lettre : Par rapport aux précédentes versions, quelles sont les évolutions qu’apporte la V2010 ?

Ludovic Le Charpentier, directeur de la qualité : Précédemment, les experts-visiteurs de la HAS embrassaient lors d’une visite l’ensemble des référentiels sans trop

s’y attarder. En revanche, avec la V2010, ils vont renoncer à tout voir pour concentrer leurs investigations sur 13 domaines : les pratiques exigibles prioritaires (PEP).

Isabelle Meigné, chargée de missions qualité : Parmi les PEP on peut citer des domaines identifiés comme étant « à risque » : le circuit du médicament,

le dossier patient, l’identito-vigilance, le fonctionnement du bloc opératoire et la lutte contre les infections nosocomiales ; mais aussi d’autres processus prioritaires comme la politique de gestion des risques, la gestion des événements indésirables ou l’évaluation des pratiques professionnelles. Ces thèmes seront encore plus approfondis lors des visites.

La Lettre : D’autres nouveautés sont-elles prévues ?L.L.C. : Oui ! Par exemple, les résultats des indicateurs nationaux (IPAQSS, ICALIN, ICATB…) et l’évolution de ces résultats seront pris en compte dans la décision finale de la certification V2010. La cotation des critères du manuel d’autoévaluation et des décisions (recommandations, réserves et réserves majeures) seront automatisées.

I.M. : Il faut également noter l’arrivée de nouveaux thèmes tels que la bientraitance du patient et le développement durable.

La Lettre : Ces nouveautés rendent plus difficile l’obtention de la certification…L.L.C. : L’exigence est supérieure ! Cela oblige les établissements à intégrer les processus de certification au quotidien dans leur management. On ne peut plus préparer la certification un an à l’avance.

Aujourd’hui, il est primordial d’être dans une démarche d’amélioration pérenne !

La Lettre : Comment la direction de la qualité va-t-elle aider les cliniques Vitalia à passer la V2010 ? I.M. : Nous avons programmé plusieurs sessions de formation pour les responsables qualité, les directeurs d’établissement, les directeurs régionaux et les Présidents de CME, avec l’appui de la direction de la politique médicale du Groupe. Le management doit absolument intégrer au plus tôt les enjeux et les priorités de la V2010 pour pouvoir piloter efficacement cette nouvelle procédure. Sa responsabilité est déterminante.

L.L.C. : D’autre part, nous continuons les visites à blanc quelques mois avant la visite de certification et si nécessaire, les audits ciblés.

La Lettre : Quels sont les premiers établissements du Groupe à être confrontés à cette V2010 ? I.M. : Trois cliniques vont passer leur certification V2010 cette année : Saint-Claude à Saint-Quentin en juin, Notre-Dame à Draguignan en novembre, et Saint-Cœur à Vendôme en décembre. 80% de nos établissements passeront la procédure en 2012 et 2013.

Le dossier patient fait plus que jamais partie des critères prioritaires des experts-visiteurs.

« Les équipes médicales, les salariés du Groupe, les collaborateurs externes ont dynamisé avec talent les projets d’établissement. »

VIE DU GROUPE

Lettre de Vitalia n17_v6.indd 4-1 21/12/09 19:18:30

Brèves

Bienvenue !Nous souhaitons la bienvenue à :- Muriel Gourdet, Directrice de la Clinique Saint-Cœur à Vendôme (Loir-et-Cher) ;- Jean-Pierre Coudray, Directeur du Centre médico-chirurgical de Chaumont et de la Clinique de La Compassion à Langres (Haute-Marne).

La maternité de Bourges fait peau neuveLa maternité de la Clinique Guillaume de Varye a achevé son programme de modernisation. Des travaux de rénovation ont été menés dans le service d’hospitalisation et dans les salles de travail du bloc obstétrical. Très en pointe sur les pathologies du nourrisson, Guillaume de Varye s’est dotée d’un matériel dernière génération, dédié au dépistage de la surdité du nouveau-né. Depuis le début du mois de novembre 2009, la clinique a également ouvert un pôle de consultation pédiatrique.

Le Médipôle de Gentilly : une nouvelle étape vers un projet ambitieux « Devenir l’un des tous premiers pôles hospitaliers privés de France : voilà l’ambition du Groupe Vitalia pour le Médipôle de Gentilly », déclarait à Nancy il y a quelques semaines Jean-Baptiste Mortier, Directeur Général de Vitalia. M. Mortier a souhaité expliquer aux personnels et aux équipes médicales les prochaines étapes de l’évolution du Médipôle. Il a réaffirmé le souhait du Groupe : investir dans les deux prochaines années au sein du Médipôle pour offrir aux Nancéiens un pôle hospitalier de tout premier plan et de très haut niveau médical. A cette occasion, il a demandé aux équipes médicales de la Polyclinique de Gentilly et de la Clinique Ambroise Paré de finaliser un projet médical ambitieux d’ici mars 2010. Cette étape cruciale se réalisera sous l’égide d’une autorité médicale commune aux établissements du site, composée de médecins représentatifs des différentes spécialités.

Soirée post-universitaire à CastresLes docteurs Fargues et De La Porte ont organisé à la Clinique du Sidobre à Castres une soirée post-universitaire dédiée aux techniques innovantes pour la prise en charge de la pathologie du sportif. Les participants ont ainsi pu échanger autour de deux communications principales : la réparation du ligament croisé antérieur par la technique TLS et le traitement de l’instabilité post-traumatique de l’épaule par voie arthroscopique.

Sur quoi portera le partenariat Vitalia/MVR ?

Sophie Beaurain, directrice régionale Sud-Est :

Le partenariat entre Marseille Vitrolles Rugby et le Groupe Vitalia a été signé pour trois ans. Le Groupe Vitalia apportera son expertise médicale au MVR. Les Cliniques Vitalia de Marseille (Bouchard 6 et Wulfran Puget) piloteront le suivi médical des joueurs phocéens. Vitalia travaille aussi à la mise en place de dossiers médicaux informatisés pour les rugbymen marseillais. Ces derniers mois, des accidents survenus dans des stades ont fait apparaître un manque dans le suivi et la prise en charge médicale des joueurs blessés lors de rencontres sportives. Vitalia suivra les joueurs dans chacune des rencontres et permettra d’informer au plus vite les médecins sportifs sur les antécédents des athlètes en cas de blessures lors d’un match ou d’un entraînement.

Christophe Augey, directeur des ressources humaines de Vitalia :

La deuxième Ecole « gestes et postures » Vitalia

verra le jour à la Clinique Saint-Omer, dans le nord de la France. D’ici trois ans, toutes les cliniques du Groupe seront dotées d’une Ecole. Chaque collaborateur de Vitalia pourra bénéficier de ces écoles : les infirmières, les aides-soignantes, les agents de services hospitaliers ou encore le personnel administratif. Je souhaite que ces formations de gestes et de postures améliorent leur bien-être.

Jonah Lomu :messager des valeurs de Vitalia

EVENEMENT REGION SUD-EST

PARTENARIAT

Un nouvel hôpital privé à Clermont-Ferrand en 2012

L’ancien All Black Jonah Lomu a pris la décision de rejouer au rugby. Au sein du « Marseille Vitrolles Rugby », l’équipe dans laquelle il a choisi d’évoluer pour trois saisons, il portera les couleurs de Vitalia.

A l’âge de 34 ans, et après une longue maladie, Jonah Lomu a choisi de participer à la « renaissance » du petit club de Marseille Vitrolles (Fédérale 1). Le Groupe Vitalia lui a demandé voici quelques semaines de porter ses valeurs auprès du grand public et de devenir l’ambassadeur des valeurs médicales et humaines qu’il défend : solidarité, lutte contre les disparités d’accès aux soins, excellence thérapeutique, soutien des malades et des familles face à la maladie…Le monde du rugby considère Jonah Lomu

comme un des plus grands champions de tous les temps. On s’en souvient : le célèbre All Black avait été contraint d’interrompre brutalement sa carrière en 2001. Atteint d’une grave maladie dégénérative lui imposant jusqu’à sept heures de dialyse quotidiennement, Jonah Lomu avait été greffé d’un rein en 2004. Aujourd’hui, ce jeune père d’un enfant de 8 mois caresse l’espoir de démontrer à l’équipe médicale qui l’a opéré et au monde entier, qu’il peut à nouveau jouer au rugby et participer à une compétition. Enthousiaste à l’idée de ce partenariat avec un acteur majeur de la santé, celui qui a « choisi la France pour s’y établir durablement en famille », aura a cœur de démontrer qu’il y a une vie après la maladie. Et quelle vie !

Le futur hôpital privé clermontois totalisera 180 lits et places. Plus de 50 médecins libéraux y exerceront. Le Groupe Vitalia estime aujourd’hui qu’il réalisera un chiffre d’affaires d’environ 17 millions d’euros. Ce nouvel établissement sera construit selon les nouvelles normes HQE (Haute Qualité Environnementale). Il possèdera des plateaux techniques de haut niveau, de nombreux pôles d’excellence régionaux (le projet médical a été établi en collaboration

avec les médecins) et de larges espaces de consultation ouverts aux praticiens qui pourront bénéficier, avec leurs collaborateurs, des bénéfices de la zone franche.

Déjà en 2006, le Groupe Vitalia avait envisagé un éventuel regroupement des cliniques de La Plaine et des Chandiots sur un site situé au nord de l’agglomération clermontoise.

Depuis, de nouveaux éléments ont donné une orientation nouvelle à ce projet :

- l’acquisition en 2009 par Vitalia d’un quatrième établissement clermontois (La Clinique Les Cézeaux-Annie Coquelet) nécessitait de redimensionner le projet. - par ailleurs, la réalisation du projet nord aurait duré six ans alors que le nouvel hôpital privé sur le site de La Plaine sera opérationnel en moins de trois ans.

D’ici là, le Groupe Vitalia proposera aux habitants de la région Auvergne ainsi qu’aux patients de ses quatre cliniques clermontoises de choisir le nom du prochain établissement.

Il y a quelques mois, nous évoquions dans la Lettre la volonté du Groupe de créer l’Ecole « gestes et postures » Vitalia. C’est désormais chose faite ! L’enjeu : limiter les maux de dos des salariés, liés aux mauvaises manipulations de patients.

La Lettre : Concrètement, comment se déroulent ces sessions de formation ?Pierre Trik, kinésithérapeute de l’Ecole Vitalia en PACA : Dans un premier temps, nous faisons un tour de table pour connaître les attentes des gens. Il y a ensuite une approche théorique pour faire prendre conscience des risques des mauvais gestes et postures. Et nous passons très rapidement à la pratique.

La Lettre : Le nombre de participants par session est-il limité ?P.T. : Les groupes sont limités à 12 personnes. Être en nombre restreint me permet de donner des conseils individualisés. En fonction de l’âge du salarié, de son sexe, de son métier, les exercices varient.

La Lettre : Ces ateliers de gestes et de postures sont récurrents…P.T. : Tout à fait ! Et c’est ce qui rend cette Ecole innovante et efficace ! Vitalia ne voulait pas se contenter d’une formation tous

les trois ans. Se débarrasser d’une mauvaise habitude demande du temps ! C’est pour cette raison que les formations sont semestrielles. C’est à force de répéter les bons gestes et les bonnes postures qu’on finit par les adopter.

La Lettre : Quelles sont les retombées qu’engendrent ces sessions de formation ? P.T. : Les retours sont excellents ! Dans de nombreuses entreprises, ces cours ont permis par exemple de diminuer de façon significative le nombre d’accidents du travail. Les salariés sont ravis de ces formations. Pour la plupart d’entre eux, ils n’ont plus mal au dos… C’est le bonheur !

Jonah Lomu et un autre Marseillais célèbre présentent le maillot du club de rugby phocéen.

Le plus souvent, les salariés ont des problèmes de disques intervertébraux ou des troubles musculo-squelettiques.

CLINIQUE LA CHÂTAIGNERAIE (AUVERGNE)

Des p’tits-dej’ pour changer de regard sur la Trisomie 21 A l’occasion de la septième journée européenne de la Trisomie 21, la Clinique de La Châtaigneraie à Clermont-Ferrand s’unit à l’association Trisomie 21 Puy de Dôme qui organise l’opération « Mille et un petits-déjeuners ».

Le principe est original : des petits-déjeuners servis aux patients de la Clinique La Châtaigneraie, par des personnes porteuses d’une Trisomie 21. « Nous voulons montrer de quoi sont capables nos enfants » explique une maman. L’occasion est ainsi donnée aux patients de la Clinique de La Châtaigneraie de rencontrer ces personnes porteuses de Trisomie 21 et d’échanger avec elles. « Cette initiative est excellente ! s’exclame une patiente. C’est un réel plaisir de discuter avec ces personnes qui sont bien plus débrouillardes qu’on pourrait le croire, et pour couronner le tout, le petit-déjeuner est

un délice ! »Christophe Chambon, Président de l’association Trisomie 21 Puy de Dôme rajoute : « Par cette opération, les gens se présentent comme ambassadeurs de leur propre handicap. Les échanges sont très riches. Cette année, j’ai même vu des parents pleurer de joie en constatant la chaleur de l’accueil qui avait été réservé à leurs enfants. »

L’opération « Mille et un petits-déjeuners » : une excellente initiative !

Ouverture d’une Ecole « gestes et postures »

Un nouvel établissement de santé pluridisciplinaire verra le jour en 2012 sur le site de l’actuelle Clinique de La Plaine, dans la zone franche de Clermont nord. Sur une surface d’environ 12 000 m², il regroupera les activités de la Clinique des Chandiots, de la Clinique Les Cézeaux-Annie Coquelet, et bien entendu de la Clinique de La Plaine.

C’est sur le site de la Clinique de La Plaine que le nouvel hôpital privé auvergnat verra le jour.

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