16 octobre 2014 journÉe conserver : mode d emploi - sop · 2017. 7. 18. · • la possibilité de...

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1 JSOP N O 1 JANVIER 2012 LE JOURNAL DE LA SEPTEMBRE 2014 N O 7 LA FORMATION CONTINUE DE L OMNIPRATICIEN LA FORMATION CONTINUE DE L OMNIPRATICIEN Jeudi 27 novembre - 9h Séance exceptionnelle de la SOP à l’ADF : 5 concepts qui vont révolutionner notre pratique Conserver : mode d’emploi 16 octobre 2014 JOURNÉE

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1 JSOP NO1 JANVIER 2012

LE J

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014

NO7

LA FORMATION CONTINUE DE L OMNIPRATICIEN

LA FORMATION CONTINUE DE L OMNIPRATICIEN

Jeudi 27 novembre - 9h Séance exceptionnelle de la SOP à l’ADF :

5 concepts qui vont révolutionner notre pratique

Conserver : mode d’emploi

16 octobre 2014JOURNÉE

JSOP N° 7 SEPTEMBRE 2014 3

Nom :

Prénom :

Tél. :

E-mail :

Adresse :

Ville :

Code postal :

Oui, j’adhère à la SOP en 2014 et je vous adresse un chèque de 98 €

Bulletin à retourner dûment complété et accompa­gné de votre chèque libellé à l’ordre de la SOP à :SOP – 6, rue Jean­Hugues – 75116 Paris

www.sop.asso.fr et bénéficiez d’une remise supplémentaire de 5 %

La qualité d’abord,le DPC en plus

Deux bonnes raisons d’adhérer à la SOP en 2014 !

• JOURNÉES • 27 mars – Démonter et préserver sans stress

• 22 mai – Journée TP • 19 juin – Les implants à l’épreuve du temps • 16 octobre – Conserver plutôt qu’extraire

• CYCLES LONGS • Endodontie • Parodontie • Dentisterie esthétique

• VOYAGE-CONGRÈS • Avril 2014 – Île Maurice

En 2014, devenir membre de la SOP, c’est :•  Privilégier la qualité des formations,

le partage des connaissances et la convivialité.

•  Bénéficier de tarifs préférentiels et, en optant pour l’un de nos packs, de remises allant jusqu’à une Journée gratuite.

•  Accéder sur www.sop.asso.fr aux vidéos de toutes nos Journées et bénéficier d’un abonnement à la ROS.

•  La possibilité de valider votre DPC : la SOP est enregistrée à l’OGDPC en tant qu’organisme de DPC.

NOS ANNONCEURS

KREUSSLER PHARMA P. 4

PIERRE ROLLAND P. 11

SUNSTAR P. 15

CNQAOS P. 34

SNIF P. 36

ADF P. 38

MACSF P. 40

ENCART AMPLI

JSOP n° 7Septembre 2014

Les RDV de la SOP

6 Votre agenda formation

7 Conserver : mode d’emploi

12 Cycles courts en implantologie, 1er & 2e degrés

16 Tous les cycles longs de la SOP en 2015

LES REPLAY de la SOP

22 Démonter oui, mais pour quoi faire ?

LE MAG’

32 5 concepts révolutionnaires à la séance de la SOP à l’ADF

34 Le bilan 2013 de la SOP

35 Notre ami Louis Verchère n’est plus

37 Jean-Philippe Pia, Prix du meilleur auteur de la ROS

38 Inventaire des ratages dentaires, ou comment cumuler les fausses routes !

S O M M A I R E

NOS EXPOSANTSADF AIREL ANTHOGYR B NEXT CARESTREAM DENTAL CROWN CERAM GC EUROPE GÉNÉRIQUE INTERNATIONAL KAVO KOMET LABOCAST NICHROMINOX SIRONA

NOS PARTENAIRES

ACTEON GROUP AMERICAN EXPRESS ARSEUS DENTAL - A-DEC AMPLI MUTUELLE BIOMET 3I CODIMED LABORATOIRES CRINEX DENTSPLY FRANCE ÉDITIONS CDP/INITIATIVES SANTÉ FC MEDICAL DEVICE GACD HENRY SCHEIN ITENA CLINICAL KREUSSLER PHARMA LABORATOIRES

GABA LABORATOIRE 1 PREMIER MACSF MEGA DENTAL MIS FRANCE PHILIPS SUNSTAR VET MICROSCOPIE DENTAIRE

JSOP N° 7 SEPTEMBRE 2014 3

Nom :

Prénom :

Tél. :

E-mail :

Adresse :

Ville :

Code postal :

Oui, j’adhère à la SOP en 2014 et je vous adresse un chèque de 98 €

Bulletin à retourner dûment complété et accompa­gné de votre chèque libellé à l’ordre de la SOP à :SOP – 6, rue Jean­Hugues – 75116 Paris

www.sop.asso.fr et bénéficiez d’une remise supplémentaire de 5 %

La qualité d’abord,le DPC en plus

Deux bonnes raisons d’adhérer à la SOP en 2014 !

• JOURNÉES • 27 mars – Démonter et préserver sans stress

• 22 mai – Journée TP • 19 juin – Les implants à l’épreuve du temps • 16 octobre – Conserver plutôt qu’extraire

• CYCLES LONGS • Endodontie • Parodontie • Dentisterie esthétique

• VOYAGE-CONGRÈS • Avril 2014 – Île Maurice

En 2014, devenir membre de la SOP, c’est :•  Privilégier la qualité des formations,

le partage des connaissances et la convivialité.

•  Bénéficier de tarifs préférentiels et, en optant pour l’un de nos packs, de remises allant jusqu’à une Journée gratuite.

•  Accéder sur www.sop.asso.fr aux vidéos de toutes nos Journées et bénéficier d’un abonnement à la ROS.

•  La possibilité de valider votre DPC : la SOP est enregistrée à l’OGDPC en tant qu’organisme de DPC.

NOS ANNONCEURS

KREUSSLER PHARMA P. 4

PIERRE ROLLAND P. 11

SUNSTAR P. 15

CNQAOS P. 34

SNIF P. 36

ADF P. 38

MACSF P. 40

ENCART AMPLI

JSOP n° 7Septembre 2014

Les RDV de la SOP

6 Votre agenda formation

7 Conserver : mode d’emploi

12 Cycles courts en implantologie, 1er & 2e degrés

16 Tous les cycles longs de la SOP en 2015

LES REPLAY de la SOP

22 Démonter oui, mais pour quoi faire ?

LE MAG’

32 5 concepts révolutionnaires à la séance de la SOP à l’ADF

34 Le bilan 2013 de la SOP

35 Notre ami Louis Verchère n’est plus

37 Jean-Philippe Pia, Prix du meilleur auteur de la ROS

38 Inventaire des ratages dentaires, ou comment cumuler les fausses routes !

S O M M A I R E

NOS EXPOSANTSADF AIREL ANTHOGYR B NEXT CARESTREAM DENTAL CROWN CERAM GC EUROPE GÉNÉRIQUE INTERNATIONAL KAVO KOMET LABOCAST NICHROMINOX SIRONA

NOS PARTENAIRES

ACTEON GROUP AMERICAN EXPRESS ARSEUS DENTAL - A-DEC AMPLI MUTUELLE BIOMET 3I CODIMED LABORATOIRES CRINEX DENTSPLY FRANCE ÉDITIONS CDP/INITIATIVES SANTÉ FC MEDICAL DEVICE GACD HENRY SCHEIN ITENA CLINICAL KREUSSLER PHARMA LABORATOIRES

GABA LABORATOIRE 1 PREMIER MACSF MEGA DENTAL MIS FRANCE PHILIPS SUNSTAR VET MICROSCOPIE DENTAIRE

JSOP N° 7 SEPTEMBRE 2014 5

crème buccale

Dynexan 2%

DÉNOMINATION : . COMPOSITION : Chlorhydrate de lidocaïne : 20,00 mg pour 1g. FORME PHARMACEUTIQUE : Crème buccale. DONNÉES CLINIQUES : Indications thérapeutiques : Traitement symptomatique de courte durée des lésions douloureuses de la cavité buccale. Anesthésie locale de contact avant explorations instrumentales en odontostomatologie. Posologie et mode d'administration* : Adulte et enfant de plus de 6 ans : Application de 0,5 g de crème, 4 fois par jour maximum. Contre-indications : Ne pas utiliser en cas d'hypersensibilité à l'un des constituants de la formule, en particulier à la lidocaïne ou aux anesthésiques locaux en général. Mises en garde* : Ne pas utiliser chez l'enfant de moins de 6 ans. Interactions* : En principe, ne concernent pas l'utilisation par voie locale. Grossesse* : Utilisation possible sur une courte période et sans dépasser les doses préconisées. Allaitement : Utilisation possible. Effet sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines : Pas de données particulières. Effets indésirables* : Des réactions allergiques sont possibles. Surdosage* : Non attendu dans les conditions normales d'utilisation. PROPRIÉTÉS PHARMACOLOGIQUES : Propriétés pharmacodynamiques* : Effet rapide (une minute) et de longue durée (environ une heure). Propriétés pharmacocinétiques* : Métabolisme hépatique et élimination urinaire. Sécurité préclinique* : Ce traitement ne doit pas être administré sur une longue période et au-delà des doses préconisées. DONNÉES PHARMACEUTIQUES : Liste des excipients* : Chlorure de benzalkonium, glycérol, mélange aromatique. Incompatibilités : Sans objet. Durée de conservation : 3 ans. Ne pas conserver à plus de 25°C. Nature et contenu de l'emballage extérieur : 10 g en tube (Aluminium vernis). AMM : 34 009 352 798 97. LISTE II. Prix : 4,58 � . CTJ : 0,23 à 0,91 � . Remb. Séc. Soc. à 30% - Collect. DATE DE PREMIÈRE AUTORISATION/DE RENOUVELLEMENT : 30 Nov 1999/25 Nov 2004. DATE DE MISE À JOUR DU TEXTE : 02.05.2011. * Information complète sur le site de l’ANSM.EXPLOITANT : Laboratoire KREUSSLER PHARMA - 18, avenue Parmentier - 75011 PARIS - Fax.: 01 43 70 21 06.

® DYNEXAN 2%, crème buccale

AP

DY

N -

DE

NT

- P

rim

conce

pt 10/2

013

erA è nn oe is tt nh eé ts ni ique 1 ederèA nn oe is tt nh etés n iique 1 ed

®SANS ALCOOL

P sré ei-a séne thsA sp epa gr laeil

P sro et shèD sé eta grtra E sxt nra tioc

crème buccale

Rapide Efficace Précis

Pour votre traitement au fauteuil, toute la puissance anesthésique de la lidocaïne

J.O du 23.02.2011

12/1

0/6

8029058/P

M/0

06

ÉDITO

Veuillez nous excuser pour cette interruption

des programmes indépendante de notre volonté

C inq ans après la mise en œuvre de la loi HPST, le Développement profes-

sionnel continu (DPC), qui en est une facette, commence à battre son plein. Mais, plus qu’une facette, ne n’agirait-il pas plutôt d’une facétie ? Déterminer un budget pour financer une mesure vouée à prendre en charge la formation de 400 000 professionnels de santé réclame une seule com-pétence : connaître la règle de trois. C’était apparemment trop demander aux concep-teurs du système.Le coût global du DPC pour les neuf professions médicales et paramédicales est d’environ 565 millions d’euros par an(1). Le budget dont dispose l’OGDPC pour l’an-née 2014 est de 202 millions d’euros (1). On comprend vite qu’il y a « comme un défaut ». Cela n’a pourtant nullement dissuadé les pouvoirs publics de passer le message d’une formation continue gratuite pour tous.Où en sommes-nous aujourd’hui ? Fort heureusement pour l’OGDPC, tous les pro-fessionnels de santé ne suivent pas un ou plusieurs programmes DPC. Il n’empêche que le budget prévisionnel est largement dépassé et qu’au jour où cet éditorial sera publié, il n’y aura probablement plus un sou dans les caisses pour la fin de l’année 2014. Rallonge budgétaire de l’État ? Ar-rêt sans sommation des prises en charge au terme du budget ? Toutes les solutions

seraient imaginées pour parve-nir à finir l’année sans faillite. Le Dr Martine Weber, direc-trice générale de l’OGDPC, assure cependant que tout pro-gramme validé par un dossier complet sera pris en charge pour cette année.En attendant, devant com-poser avec plus d’un an de retard de l’OGDPC sur la prise en charge des formations va-lidées, la SOP se retrouve en porte-à-faux en devant gérer quotidiennement les de-mandes de remboursement de praticiens qui lui ont fait confiance pour leur forma-tion continue. On peut penser qu’il en est de même pour bien d’autres organismes de forma-

tion, sauf peut-être pour ceux qui sont déjà dans le rouge vif pour avoir dispensé des formations gratuites.Qu’en sera-t-il demain ? Inutile d’avoir fait de hautes études pour comprendre que, pour perdurer dans sa mission actuelle, l’OGDPC doit augmenter son budget ou di-minuer ses dépenses. À l’heure où ces mots sont écrits, toutes les voies de sortie sont imaginées. D’une correction des dysfonc-tionnements du système à sa disparition pure et simple. Un réaménagement de la mission de l’OGDPC pourrait également voir le jour...Tout ça pour ça ! Bernard Schweitz

(1) Source : Inspection générale des affaires sociales (Igas).

Financer une mesure vouée à prendre en charge la formation

de 400 000 professionnels de santé

réclame une seule compétence : connaître

la règle de trois.

Bernard SchweitzPrésident de la SOP

JSOP N° 7 SEPTEMBRE 2014 5

crème buccale

Dynexan 2%

DÉNOMINATION : . COMPOSITION : Chlorhydrate de lidocaïne : 20,00 mg pour 1g. FORME PHARMACEUTIQUE : Crème buccale. DONNÉES CLINIQUES : Indications thérapeutiques : Traitement symptomatique de courte durée des lésions douloureuses de la cavité buccale. Anesthésie locale de contact avant explorations instrumentales en odontostomatologie. Posologie et mode d'administration* : Adulte et enfant de plus de 6 ans : Application de 0,5 g de crème, 4 fois par jour maximum. Contre-indications : Ne pas utiliser en cas d'hypersensibilité à l'un des constituants de la formule, en particulier à la lidocaïne ou aux anesthésiques locaux en général. Mises en garde* : Ne pas utiliser chez l'enfant de moins de 6 ans. Interactions* : En principe, ne concernent pas l'utilisation par voie locale. Grossesse* : Utilisation possible sur une courte période et sans dépasser les doses préconisées. Allaitement : Utilisation possible. Effet sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines : Pas de données particulières. Effets indésirables* : Des réactions allergiques sont possibles. Surdosage* : Non attendu dans les conditions normales d'utilisation. PROPRIÉTÉS PHARMACOLOGIQUES : Propriétés pharmacodynamiques* : Effet rapide (une minute) et de longue durée (environ une heure). Propriétés pharmacocinétiques* : Métabolisme hépatique et élimination urinaire. Sécurité préclinique* : Ce traitement ne doit pas être administré sur une longue période et au-delà des doses préconisées. DONNÉES PHARMACEUTIQUES : Liste des excipients* : Chlorure de benzalkonium, glycérol, mélange aromatique. Incompatibilités : Sans objet. Durée de conservation : 3 ans. Ne pas conserver à plus de 25°C. Nature et contenu de l'emballage extérieur : 10 g en tube (Aluminium vernis). AMM : 34 009 352 798 97. LISTE II. Prix : 4,58 � . CTJ : 0,23 à 0,91 � . Remb. Séc. Soc. à 30% - Collect. DATE DE PREMIÈRE AUTORISATION/DE RENOUVELLEMENT : 30 Nov 1999/25 Nov 2004. DATE DE MISE À JOUR DU TEXTE : 02.05.2011. * Information complète sur le site de l’ANSM.EXPLOITANT : Laboratoire KREUSSLER PHARMA - 18, avenue Parmentier - 75011 PARIS - Fax.: 01 43 70 21 06.

® DYNEXAN 2%, crème buccale

AP

DY

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pt 10/2

013

erA è nn oe is tt nh eé ts ni ique 1 ederèA nn oe is tt nh etés n iique 1 ed

®SANS ALCOOL

P sré ei-a séne thsA sp epa gr laeil

P sro et shèD sé eta grtra E sxt nra tioc

crème buccale

Rapide Efficace Précis

Pour votre traitement au fauteuil, toute la puissance anesthésique de la lidocaïne

J.O du 23.02.2011

12/1

0/6

8029058/P

M/0

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ÉDITO

Veuillez nous excuser pour cette interruption

des programmes indépendante de notre volonté

C inq ans après la mise en œuvre de la loi HPST, le Développement profes-

sionnel continu (DPC), qui en est une facette, commence à battre son plein. Mais, plus qu’une facette, ne n’agirait-il pas plutôt d’une facétie ? Déterminer un budget pour financer une mesure vouée à prendre en charge la formation de 400 000 professionnels de santé réclame une seule com-pétence : connaître la règle de trois. C’était apparemment trop demander aux concep-teurs du système.Le coût global du DPC pour les neuf professions médicales et paramédicales est d’environ 565 millions d’euros par an(1). Le budget dont dispose l’OGDPC pour l’an-née 2014 est de 202 millions d’euros (1). On comprend vite qu’il y a « comme un défaut ». Cela n’a pourtant nullement dissuadé les pouvoirs publics de passer le message d’une formation continue gratuite pour tous.Où en sommes-nous aujourd’hui ? Fort heureusement pour l’OGDPC, tous les pro-fessionnels de santé ne suivent pas un ou plusieurs programmes DPC. Il n’empêche que le budget prévisionnel est largement dépassé et qu’au jour où cet éditorial sera publié, il n’y aura probablement plus un sou dans les caisses pour la fin de l’année 2014. Rallonge budgétaire de l’État ? Ar-rêt sans sommation des prises en charge au terme du budget ? Toutes les solutions

seraient imaginées pour parve-nir à finir l’année sans faillite. Le Dr Martine Weber, direc-trice générale de l’OGDPC, assure cependant que tout pro-gramme validé par un dossier complet sera pris en charge pour cette année.En attendant, devant com-poser avec plus d’un an de retard de l’OGDPC sur la prise en charge des formations va-lidées, la SOP se retrouve en porte-à-faux en devant gérer quotidiennement les de-mandes de remboursement de praticiens qui lui ont fait confiance pour leur forma-tion continue. On peut penser qu’il en est de même pour bien d’autres organismes de forma-

tion, sauf peut-être pour ceux qui sont déjà dans le rouge vif pour avoir dispensé des formations gratuites.Qu’en sera-t-il demain ? Inutile d’avoir fait de hautes études pour comprendre que, pour perdurer dans sa mission actuelle, l’OGDPC doit augmenter son budget ou di-minuer ses dépenses. À l’heure où ces mots sont écrits, toutes les voies de sortie sont imaginées. D’une correction des dysfonc-tionnements du système à sa disparition pure et simple. Un réaménagement de la mission de l’OGDPC pourrait également voir le jour...Tout ça pour ça ! Bernard Schweitz

(1) Source : Inspection générale des affaires sociales (Igas).

Financer une mesure vouée à prendre en charge la formation

de 400 000 professionnels de santé

réclame une seule compétence : connaître

la règle de trois.

Bernard SchweitzPrésident de la SOP

6 JSOP N° 7 SEPTEMBRE 2014 JSOP N° 7 SEPTEMBRE 2014 7

Oui ! L’avulsion est un geste irréversible qui obère le capi-tal dentaire non renouvelable

des patients et, à ce titre, son exécu-tion exige une juste décision. Mais conserver plutôt qu’extraire, intitulé de la Journée, sous entend des gestes conservateurs dont les résultats soient

prédictibles pour les praticiens. Ce-pendant choisir d’extraire repose trop souvent sur une approche dog-matique ou encore sur des critères subjectifs ou, pire, des critères d’ordre économique. Alors, jusqu’où aller pour conserver une dent, et quand faut-il l’extraire ?

16 octobre2014 CONSERVER PLUTÔT QU’EXTRAIRE ?

JOURNÉE

CONSERVER PLUTÔT QU’EXTRAIRE - JOURNÉE DU 16 OCTOBRE

Conserver :mode d’emploi

V O T R E A G E N D A F O R M A T I O NLES RDV DE LA SOP

Janvier-Avril 2015

CYCLE LONG

Dentisterie esthétique

Programme et inscription en octobre

Programme et inscription pp. 16 à 17

Janvier-Juillet 2015

CYCLE LONG

Parodontie

Programme et inscription pp. 20 à 21

Programme et inscription pp. 12 à 14

16 octobre 2014

JOURNÉE

Conserver plutôt qu’extraire ?

Programme et inscription pp. 7 à 10

6-7 novembre 2014

CYCLE COURT

Implantologie 1er degré

Programme et inscription pp. 12 à 14

Janvier-juin 2015

Programme et inscription pp. 18 à 19

CYCLE LONG

Endodontie

27 novembre 2014

CONGRÈS DE L’ADF

Séance des nouveautés

de la SOP

15 janvier2015

JOURNÉE TV

Une PAC de A à Z

en direct télévisé

5-6 février 2015

CYCLE COURT

Implantologie 2e degré

Entrée libre selon disponibilités

6 JSOP N° 7 SEPTEMBRE 2014 JSOP N° 7 SEPTEMBRE 2014 7

Oui ! L’avulsion est un geste irréversible qui obère le capi-tal dentaire non renouvelable

des patients et, à ce titre, son exécu-tion exige une juste décision. Mais conserver plutôt qu’extraire, intitulé de la Journée, sous entend des gestes conservateurs dont les résultats soient

prédictibles pour les praticiens. Ce-pendant choisir d’extraire repose trop souvent sur une approche dog-matique ou encore sur des critères subjectifs ou, pire, des critères d’ordre économique. Alors, jusqu’où aller pour conserver une dent, et quand faut-il l’extraire ?

16 octobre2014 CONSERVER PLUTÔT QU’EXTRAIRE ?

JOURNÉE

CONSERVER PLUTÔT QU’EXTRAIRE - JOURNÉE DU 16 OCTOBRE

Conserver :mode d’emploi

V O T R E A G E N D A F O R M A T I O NLES RDV DE LA SOP

Janvier-Avril 2015

CYCLE LONG

Dentisterie esthétique

Programme et inscription en octobre

Programme et inscription pp. 16 à 17

Janvier-Juillet 2015

CYCLE LONG

Parodontie

Programme et inscription pp. 20 à 21

Programme et inscription pp. 12 à 14

16 octobre 2014

JOURNÉE

Conserver plutôt qu’extraire ?

Programme et inscription pp. 7 à 10

6-7 novembre 2014

CYCLE COURT

Implantologie 1er degré

Programme et inscription pp. 12 à 14

Janvier-juin 2015

Programme et inscription pp. 18 à 19

CYCLE LONG

Endodontie

27 novembre 2014

CONGRÈS DE L’ADF

Séance des nouveautés

de la SOP

15 janvier2015

JOURNÉE TV

Une PAC de A à Z

en direct télévisé

5-6 février 2015

CYCLE COURT

Implantologie 2e degré

Entrée libre selon disponibilités

8 JSOP N° 7 SEPTEMBRE 2014 JSOP N° 7 SEPTEMBRE 2014 9

Vous allez donner deux conférences lors de la Journée « Conserver plutôt qu’extraire ? ». Quel sera votre propos ?

L’objectif sera d’abord de définir la dent compromise (« Questio-nable teeth ») pour laquelle se pose la question de la conserva-tion ou de l’extraction. Il s’agira de bien la différencier de la dent condamnée (« Hopeless teeth ») qui doit être extraite. Cette dis-tinction, proposée dès 1996 par Mc Guire et Nunn, repose sur des paramètres cliniques et radiographiques précis que je détaillerai. Il s’agira ensuite de fournir des clés pour affiner la décision thérapeutique entre conservation et extraction.

Allez-vous préconiser une approche plutôt parodontale ou implantaire ?

La décision entre conserva-tion et extraction repose trop souvent sur une approche

dogmatique, en fonction des compétences de chacun. Si la problématique n’est plus d’opposer parodontie et im-plantologie, la question de la limite entre ces deux options thérapeutiques demeure d’ac-tualité. En d’autres termes, jusqu’où peut-on aller pour conserver de manière fiable les dents, et quand faut-il s’ar-rêter et extraire les dents pour les remplacer par des solutions implanto-portées ? Cette ques-tion en appelle d’autres. Quelle est l’efficacité à long terme des traitements parodontaux et im-plantaires ? Faut-il privilégier l’extraction préventive de la future perte osseuse d’origine parodontale ? Est-il plus simple et moins contraignant d’extraire les dents pour placer des im-plants ? Peut-on conserver à long terme des dents mobiles ou avec des pertes osseuses impor-tantes ? Autant d’interrogations auxquelles je répondrai à travers la littérature scientifique et des cas cliniques.

En parodontie, les réponses cliniques que vous allez apporter sont-elles accessibles en omnipratique ?

La grande majorité des traite-ments parodontaux s’articulent autour de traitements non chirurgicaux, parfaitement accessibles en omnipratique. Ces derniers ont fait la preuve de leur efficacité à long terme pour conserver les dents et le volume osseux. Par ailleurs, une grande partie de la chirurgie préprothétique qui sera présen-tée est également accessible en omnipratique.

Quels messages essentiels comptez-vous diffuser ?

La décision entre conserva-tion et extraction est délicate en pratique quotidienne. Elle nécessite une évaluation des paramètres cliniques et radio-graphiques à l’échelle de la dent, mais également sur un plan de traitement global.

David NisandConférencier de la Journée « Conserver plutôt qu’extraire »

« Des paramètres précis pour distinguer dent compromise et dent condamnée »

Les objectifs de la Journée

Fixer des critères décisionnels

Établir une démarche thérapeutique appropriée

Améliorer la prédictibilité des dents compromises

JOURNÉE

C’est l’une des questions auxquelles répondra David Nisand, notamment en exposant les paramètres cliniques et radiographiques qui distinguent une dent compromise d’une dent condamnée du point de vue paro-dontal (lire son interview p. 9).Cette notion parfois floue de dent compromise sera l’un des points ma-jeurs abordés au cours de la Journée organisée par la SOP le 16 octobre prochain. Car l’objectif de la SOP, au travers des différentes conférences, est bien de proposer à l’omnipraticien une démarche clinique logique, fiable et reproductible car étayée scientifi-quement. De fait, les « critères objectifs de “conservabilité” de la dent compro-mise sont étroitement dépendants du niveau de compétence du praticien », insiste Marc Roché, responsable scien-tifique de la Journée.Ainsi, pour améliorer les compé-

tences des participants, seront exposés, dans un premier temps, les critères objectifs en endodon-tie puis en parodontie qui, comme autant de repères, permettent de dé-cider de la conservation de la dent dite « compromise ».Ensuite, en cours de journée, des gestes à la portée de l’omniprati-cien seront présentés qui, intégrés à la pratique de chacun, consti-tueront les outils cliniques adé-quats pour aller vers un niveau op-timal de conservation. Et reculer de façon significative l’échéance de l’avulsion. La SOP propose un plateau de jeunes conférenciers talentueux, tous convaincus par cette démarche conservatrice. Fré-déric Raux portera une double casquette : celle du conférencier traitant de dentisterie restaura-trice, mais aussi celle de l’omnipra-

ticien sollicitant les compé tences de « spécialistes ». Il exposera, à partir de cas simples, la question de la dent stratégique compromise et les objectifs à atteindre pour la conserver. En endodontie, Sandrine Dahan définira les prérequis per-mettant de déterminer quand et pourquoi retraiter ou s’abstenir. Puis elle contextualisera les résul-tats obtenus selon les cas.En parodontologie, David Nisand traitera des limites entre traitement parodontal conservateur et implan-tologie en insistant sur les critères de décision thérapeutique et sur le pronostic de chaque thérapeutique.Enfin, Frédéric Raux posera la problématique des atteintes combinées en omnipratique et in-terpellera les spécialistes sur les possibilités de traitement et leurs chronologies.

Les dents compromises : critères de décision thérapeutique.David Nisand

Les critères autorisant les techniques restauratricesFrédéric Raux

Pronostic et limites des traitements endodontiquesSandrine Dahan

Quelles sont les limites entre parodontie et implantologie ?David Nisand

Gestion en omnipratique des dents délabrées avec une atteinte endodontique et/ou parodontaleFrédéric Raux, David Nisand, Sandrine Dahan

Le film de la journée Les conférenciers

Sandrine Dahan

Frédéric Raux

David Nisand

16 octobre2014 CONSERVER PLUTÔT QU’EXTRAIRE ?

8 JSOP N° 7 SEPTEMBRE 2014 JSOP N° 7 SEPTEMBRE 2014 9

Vous allez donner deux conférences lors de la Journée « Conserver plutôt qu’extraire ? ». Quel sera votre propos ?

L’objectif sera d’abord de définir la dent compromise (« Questio-nable teeth ») pour laquelle se pose la question de la conserva-tion ou de l’extraction. Il s’agira de bien la différencier de la dent condamnée (« Hopeless teeth ») qui doit être extraite. Cette dis-tinction, proposée dès 1996 par Mc Guire et Nunn, repose sur des paramètres cliniques et radiographiques précis que je détaillerai. Il s’agira ensuite de fournir des clés pour affiner la décision thérapeutique entre conservation et extraction.

Allez-vous préconiser une approche plutôt parodontale ou implantaire ?

La décision entre conserva-tion et extraction repose trop souvent sur une approche

dogmatique, en fonction des compétences de chacun. Si la problématique n’est plus d’opposer parodontie et im-plantologie, la question de la limite entre ces deux options thérapeutiques demeure d’ac-tualité. En d’autres termes, jusqu’où peut-on aller pour conserver de manière fiable les dents, et quand faut-il s’ar-rêter et extraire les dents pour les remplacer par des solutions implanto-portées ? Cette ques-tion en appelle d’autres. Quelle est l’efficacité à long terme des traitements parodontaux et im-plantaires ? Faut-il privilégier l’extraction préventive de la future perte osseuse d’origine parodontale ? Est-il plus simple et moins contraignant d’extraire les dents pour placer des im-plants ? Peut-on conserver à long terme des dents mobiles ou avec des pertes osseuses impor-tantes ? Autant d’interrogations auxquelles je répondrai à travers la littérature scientifique et des cas cliniques.

En parodontie, les réponses cliniques que vous allez apporter sont-elles accessibles en omnipratique ?

La grande majorité des traite-ments parodontaux s’articulent autour de traitements non chirurgicaux, parfaitement accessibles en omnipratique. Ces derniers ont fait la preuve de leur efficacité à long terme pour conserver les dents et le volume osseux. Par ailleurs, une grande partie de la chirurgie préprothétique qui sera présen-tée est également accessible en omnipratique.

Quels messages essentiels comptez-vous diffuser ?

La décision entre conserva-tion et extraction est délicate en pratique quotidienne. Elle nécessite une évaluation des paramètres cliniques et radio-graphiques à l’échelle de la dent, mais également sur un plan de traitement global.

David NisandConférencier de la Journée « Conserver plutôt qu’extraire »

« Des paramètres précis pour distinguer dent compromise et dent condamnée »

Les objectifs de la Journée

Fixer des critères décisionnels

Établir une démarche thérapeutique appropriée

Améliorer la prédictibilité des dents compromises

JOURNÉE

C’est l’une des questions auxquelles répondra David Nisand, notamment en exposant les paramètres cliniques et radiographiques qui distinguent une dent compromise d’une dent condamnée du point de vue paro-dontal (lire son interview p. 9).Cette notion parfois floue de dent compromise sera l’un des points ma-jeurs abordés au cours de la Journée organisée par la SOP le 16 octobre prochain. Car l’objectif de la SOP, au travers des différentes conférences, est bien de proposer à l’omnipraticien une démarche clinique logique, fiable et reproductible car étayée scientifi-quement. De fait, les « critères objectifs de “conservabilité” de la dent compro-mise sont étroitement dépendants du niveau de compétence du praticien », insiste Marc Roché, responsable scien-tifique de la Journée.Ainsi, pour améliorer les compé-

tences des participants, seront exposés, dans un premier temps, les critères objectifs en endodon-tie puis en parodontie qui, comme autant de repères, permettent de dé-cider de la conservation de la dent dite « compromise ».Ensuite, en cours de journée, des gestes à la portée de l’omniprati-cien seront présentés qui, intégrés à la pratique de chacun, consti-tueront les outils cliniques adé-quats pour aller vers un niveau op-timal de conservation. Et reculer de façon significative l’échéance de l’avulsion. La SOP propose un plateau de jeunes conférenciers talentueux, tous convaincus par cette démarche conservatrice. Fré-déric Raux portera une double casquette : celle du conférencier traitant de dentisterie restaura-trice, mais aussi celle de l’omnipra-

ticien sollicitant les compé tences de « spécialistes ». Il exposera, à partir de cas simples, la question de la dent stratégique compromise et les objectifs à atteindre pour la conserver. En endodontie, Sandrine Dahan définira les prérequis per-mettant de déterminer quand et pourquoi retraiter ou s’abstenir. Puis elle contextualisera les résul-tats obtenus selon les cas.En parodontologie, David Nisand traitera des limites entre traitement parodontal conservateur et implan-tologie en insistant sur les critères de décision thérapeutique et sur le pronostic de chaque thérapeutique.Enfin, Frédéric Raux posera la problématique des atteintes combinées en omnipratique et in-terpellera les spécialistes sur les possibilités de traitement et leurs chronologies.

Les dents compromises : critères de décision thérapeutique.David Nisand

Les critères autorisant les techniques restauratricesFrédéric Raux

Pronostic et limites des traitements endodontiquesSandrine Dahan

Quelles sont les limites entre parodontie et implantologie ?David Nisand

Gestion en omnipratique des dents délabrées avec une atteinte endodontique et/ou parodontaleFrédéric Raux, David Nisand, Sandrine Dahan

Le film de la journée Les conférenciers

Sandrine Dahan

Frédéric Raux

David Nisand

16 octobre2014 CONSERVER PLUTÔT QU’EXTRAIRE ?

10 JSOP N° 7 SEPTEMBRE 2014

Quels problèmes peut générer un instrument fracturé dans un canal ?

Comment conserver une hauteur d’os maximale en cas de parodontite aiguë de l’adulte jeune ?

Quelles sont les contre-indications à la réalisation d’une endocouronne ?

En quoi la couronne transitoire s’avère un outil indispensable dans le cas des dents très compromises ?

Quel est le délai de cicatrisation des LIPOE ?

Évaluez-vous

Le groupe de travail de la SOPMarc Roché (responsable scientifique), Yvan Bismuth, Dominique Martin, Philippe Milcent, Philippe Safar et Bernard Schweitz.

Nom : ...................................................................................................Prénom : .............................................................................................

Adresse : .............................................................................................................................................................................................................E-mail : ................................................................................................ Tél. : ......................................................................................................

Tarifs hors DPCInscriptions avant le 3 septembre 2014Membres SOP : 245 € ; non-membres : 325 €Inscriptions après le 3 septembre 2014Membres SOP : 295 € ; non-membres : 375 €(Adhésion à la SOP : 98 €)

Conserver plutôt qu’extraire ?16 octobre 2014Maison de la chimie28, rue Saint-Dominique – 75007 Paris

Exposition ouverte aux professionnels

Bulletin d’inscription à retourner accompagné de votre règlement (voir tarifs ci-contre) à :SOP – 6, rue Jean-Hugues – 75116 ParisTél. : 01 42 09 29 13 – Fax : 01 42 09 29 08

B U L L E T I N D ’ I N S C R I P T I O N

TARI

FS PRÉFÉRENTIELS

D E VE NE Z M E MBRE

Je souhaite faire mon DPC dans le cadre de cette formation.Tarif DPC : 395,50 €(Cette somme pourra vous être reversée sous réserve du versement par l’OGDPC.)

Accepteriez-vous que vos coordonnées Voulez-vous recevoir soient communiquées à nos partenaires ? un fichet réduction ?

Oui Non SNCF Air France

16 octobre2014

JOURNÉECONSERVER PLUTÔT QU’EXTRAIRE ?

N° Adeli : ........................... ou RPPS : .................................

Pour découvrir iRace,contactez votre délégué Pierre Rollandou appelez le

Dispositif médicaux de classe IIa, SGSLire attentivement les instructions figurant dans la notice.Toutes les informations indispensables pour un bon usage de ce dispositif sont disponibles auprès du fabricant FKG Dentaire SA, Crêt-du-Locle 4, CH-2304 La Chaux de Fond, Suisse. Distributeur : Produits Dentaires Pierre Rolland. Non remboursé par les organismes d’assurance maladie. Date de création: juin 2014.0120

FKG Dentaire SAwww.fkg.ch

Séquence iRace, rapide, efficace et sûre

Maîtrise de la fatigue du métal

Efficacité de coupe optimale

Pas d’effet de vissage

Résistance accrue à la torsion et à la fatigue

Guidage précis

3 instruments pour traiter la majorité des cas pour une préparation apicale ISO 30/.04*

*Pour des préparations apicales plus grandes, visitez www.fkg.ch

17 av. Gustave Eiffel • BP30216 • 33708 MERIGNAC cedex • FRANCETel + 33 (0) 556 34 06 07 • Fax + 33 (0) 556 34 92 92

E-mail : [email protected] • www.acteongroup.com

fkg_irace_advert_SOP_200x267.indd 1 01/07/2014 10:28

10 JSOP N° 7 SEPTEMBRE 2014

Quels problèmes peut générer un instrument fracturé dans un canal ?

Comment conserver une hauteur d’os maximale en cas de parodontite aiguë de l’adulte jeune ?

Quelles sont les contre-indications à la réalisation d’une endocouronne ?

En quoi la couronne transitoire s’avère un outil indispensable dans le cas des dents très compromises ?

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Évaluez-vous

Le groupe de travail de la SOPMarc Roché (responsable scientifique), Yvan Bismuth, Dominique Martin, Philippe Milcent, Philippe Safar et Bernard Schweitz.

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Tarifs hors DPCInscriptions avant le 3 septembre 2014Membres SOP : 245 € ; non-membres : 325 €Inscriptions après le 3 septembre 2014Membres SOP : 295 € ; non-membres : 375 €(Adhésion à la SOP : 98 €)

Conserver plutôt qu’extraire ?16 octobre 2014Maison de la chimie28, rue Saint-Dominique – 75007 Paris

Exposition ouverte aux professionnels

Bulletin d’inscription à retourner accompagné de votre règlement (voir tarifs ci-contre) à :SOP – 6, rue Jean-Hugues – 75116 ParisTél. : 01 42 09 29 13 – Fax : 01 42 09 29 08

B U L L E T I N D ’ I N S C R I P T I O N

TARI

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D E VE NE Z M E MBRE

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16 octobre2014

JOURNÉECONSERVER PLUTÔT QU’EXTRAIRE ?

N° Adeli : ........................... ou RPPS : .................................

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Dispositif médicaux de classe IIa, SGSLire attentivement les instructions figurant dans la notice.Toutes les informations indispensables pour un bon usage de ce dispositif sont disponibles auprès du fabricant FKG Dentaire SA, Crêt-du-Locle 4, CH-2304 La Chaux de Fond, Suisse. Distributeur : Produits Dentaires Pierre Rolland. Non remboursé par les organismes d’assurance maladie. Date de création: juin 2014.0120

FKG Dentaire SAwww.fkg.ch

Séquence iRace, rapide, efficace et sûre

Maîtrise de la fatigue du métal

Efficacité de coupe optimale

Pas d’effet de vissage

Résistance accrue à la torsion et à la fatigue

Guidage précis

3 instruments pour traiter la majorité des cas pour une préparation apicale ISO 30/.04*

*Pour des préparations apicales plus grandes, visitez www.fkg.ch

17 av. Gustave Eiffel • BP30216 • 33708 MERIGNAC cedex • FRANCETel + 33 (0) 556 34 06 07 • Fax + 33 (0) 556 34 92 92

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12 JSOP N° 7 SEPTEMBRE 2014 JSOP N° 7 SEPTEMBRE 2014 13

PROG R A M M E1er jour matin

• Notions essentielles : bilan pré-implantaire ; ergonomie du cabinet dentaire

• Travaux pratiques : lecture de scanners ; utilisation de calques ; incisions et sutures

• Travaux pratiques sur mâchoires de porc• Histologie et physiologie osseuse• Anatomie de la symphyse et du maxillaire• Contre-indications générales et locales

1er jour après-midi• Travaux pratiques : asepsie ; habillage ; installation de salle ;

préparation du patient• Présentation des systèmes implantaires utilisés

2e jour matin• Travaux pratiques en zone prémolaire : mise en place

sur modèle d’un implant ; empreinte ; prothèse scellée sur pilier vissé droit en technique simplifiée et sécurisée

• Travaux pratiques en zone symphysaire : mise en place sur modèle de deux implants ; empreinte et manipulation du système Locator®

2e jour après-midi• Deux interventions : pose d’implants en direct

LIEU DE LA FORMATION : Hôtel Napoléon – 40, avenue de Friedland – 75008 Paris

L’ objectif du premier degré du cycle court en implan-tologie, qui se tiendra les

6 et 7 novembre 2014, consiste à per-mettre à l’omnipraticien d’intégrer durablement l’implantologie en faisant ses premiers pas en chirur-gie implantaire dans deux indica-tions : la pose d’implants en sym-physe mandibulaire et en site de prémolaire maxillaire. Deux indi-cations qui présentent un niveau de risque raisonnable et, surtout, maîtrisable. La première journée alterne le rappel des notions es-sentielles et des séances pratiques (TP de lecture de scanners, asep-sie, incisions et sutures sur des mâchoires animales, etc.). Le se-

cond jour est entièrement consa-cré aux travaux pratiques et aux interventions en direct de l’équipe pédagogique composée de Corinne Touboul et Hadi Antoun. Un cycle calibré pour ceux qui souhaitent accéder à un premier palier de la chirurgie implantaire avec une vraie exigence en termes de maî-trise et de sécurité.

Les objectifs du cycle• Maîtriser le traitement,

de la phase chirurgicale à la prothèse

• Accéder à une pratique sécurisée dans deux indications précises

• Appliquer immédiatement les acquis théoriques et pratiques

6 et 7 novembre 2014Cycle court implantologie 1er degré

Débriefing de la journée ; forum questions/réponses

5 et 6 février 2015Cycle court implantologie 2e degré

PROG R A M M E1er jour matin

• Anatomie des secteurs latéraux• Prise de décision en zone sous-sinusienne et supracanalaire• Environnement péri-implantaire

1er jour après-midi• Stade 2 chirurgical et aménagements muqueux• Occlusion et implants• Suivi et maintenance des implants

2e jour matin• La situation d’extraction : comment prendre la bonne décision• Étude de cas des participants• Travaux pratiques : mise en place d’implants multiples en secteurs

latéraux sur modèles ; extraction-implantation immédiate sur modèles

2e jour après-midi• Chirurgies en direct

LIEU DE LA FORMATION : Hôtel Napoléon – 40, avenue de Friedland – 75008 Paris

Ce deuxième degré du cycle court en implantologie est destiné aux praticiens ayant

suivi le premier degré, mais aussi à tous les praticiens ayant déjà posé des implants et qui souhaitent élargir leur champ d’action en implantologie.Les indications sur lesquelles travail-leront les participants sont ciblées sur le secteur postérieur, le principe étant d’accompagner le praticien dans une progression maîtrisée et sécurisée. L’objectif est en effet de progresser concrètement dans la phase chirur-gicale du traitement implantaire. Toutes les problématiques relevant des secteurs latéraux seront abor-dées en profondeur, et ce cycle fera évidemment la part belle aux tra-vaux pratiques.Il est important de noter que les par-ticipants qui le souhaitent pourront apporter les documents (radios, moulages…) de leurs cas personnels.

Une partie des travaux pratiques sera consacrée à l’étude en commun de ces cas. C’est ici l’occasion d’un échange très riche et très formateur.Un accent sera porté sur la situation d’extraction et sur l’environnement péri-implantaire osseux et muco-gin-gival, dimensions essentielles dans la réussite du traitement à court, moyen et long terme. Attention : les notions d’asepsie, les techniques d’incision et de suture « simples », traitées au pre-mier degré, ne seront pas abordées dans ce degré.

Les objectifs du cycle• Progresser logiquement

dans la phase chirurgicale du traitement

• Aborder les notions essentielles de l’environnement péri-implantaire

• Raisonner sur la situation d’extraction pour optimiser le traitement implantaire

Débriefing de la journée ; forum questions/réponses

12 JSOP N° 7 SEPTEMBRE 2014 JSOP N° 7 SEPTEMBRE 2014 13

PROG R A M M E1er jour matin

• Notions essentielles : bilan pré-implantaire ; ergonomie du cabinet dentaire

• Travaux pratiques : lecture de scanners ; utilisation de calques ; incisions et sutures

• Travaux pratiques sur mâchoires de porc• Histologie et physiologie osseuse• Anatomie de la symphyse et du maxillaire• Contre-indications générales et locales

1er jour après-midi• Travaux pratiques : asepsie ; habillage ; installation de salle ;

préparation du patient• Présentation des systèmes implantaires utilisés

2e jour matin• Travaux pratiques en zone prémolaire : mise en place

sur modèle d’un implant ; empreinte ; prothèse scellée sur pilier vissé droit en technique simplifiée et sécurisée

• Travaux pratiques en zone symphysaire : mise en place sur modèle de deux implants ; empreinte et manipulation du système Locator®

2e jour après-midi• Deux interventions : pose d’implants en direct

LIEU DE LA FORMATION : Hôtel Napoléon – 40, avenue de Friedland – 75008 Paris

L’ objectif du premier degré du cycle court en implan-tologie, qui se tiendra les

6 et 7 novembre 2014, consiste à per-mettre à l’omnipraticien d’intégrer durablement l’implantologie en faisant ses premiers pas en chirur-gie implantaire dans deux indica-tions : la pose d’implants en sym-physe mandibulaire et en site de prémolaire maxillaire. Deux indi-cations qui présentent un niveau de risque raisonnable et, surtout, maîtrisable. La première journée alterne le rappel des notions es-sentielles et des séances pratiques (TP de lecture de scanners, asep-sie, incisions et sutures sur des mâchoires animales, etc.). Le se-

cond jour est entièrement consa-cré aux travaux pratiques et aux interventions en direct de l’équipe pédagogique composée de Corinne Touboul et Hadi Antoun. Un cycle calibré pour ceux qui souhaitent accéder à un premier palier de la chirurgie implantaire avec une vraie exigence en termes de maî-trise et de sécurité.

Les objectifs du cycle• Maîtriser le traitement,

de la phase chirurgicale à la prothèse

• Accéder à une pratique sécurisée dans deux indications précises

• Appliquer immédiatement les acquis théoriques et pratiques

6 et 7 novembre 2014Cycle court implantologie 1er degré

Débriefing de la journée ; forum questions/réponses

5 et 6 février 2015Cycle court implantologie 2e degré

PROG R A M M E1er jour matin

• Anatomie des secteurs latéraux• Prise de décision en zone sous-sinusienne et supracanalaire• Environnement péri-implantaire

1er jour après-midi• Stade 2 chirurgical et aménagements muqueux• Occlusion et implants• Suivi et maintenance des implants

2e jour matin• La situation d’extraction : comment prendre la bonne décision• Étude de cas des participants• Travaux pratiques : mise en place d’implants multiples en secteurs

latéraux sur modèles ; extraction-implantation immédiate sur modèles

2e jour après-midi• Chirurgies en direct

LIEU DE LA FORMATION : Hôtel Napoléon – 40, avenue de Friedland – 75008 Paris

Ce deuxième degré du cycle court en implantologie est destiné aux praticiens ayant

suivi le premier degré, mais aussi à tous les praticiens ayant déjà posé des implants et qui souhaitent élargir leur champ d’action en implantologie.Les indications sur lesquelles travail-leront les participants sont ciblées sur le secteur postérieur, le principe étant d’accompagner le praticien dans une progression maîtrisée et sécurisée. L’objectif est en effet de progresser concrètement dans la phase chirur-gicale du traitement implantaire. Toutes les problématiques relevant des secteurs latéraux seront abor-dées en profondeur, et ce cycle fera évidemment la part belle aux tra-vaux pratiques.Il est important de noter que les par-ticipants qui le souhaitent pourront apporter les documents (radios, moulages…) de leurs cas personnels.

Une partie des travaux pratiques sera consacrée à l’étude en commun de ces cas. C’est ici l’occasion d’un échange très riche et très formateur.Un accent sera porté sur la situation d’extraction et sur l’environnement péri-implantaire osseux et muco-gin-gival, dimensions essentielles dans la réussite du traitement à court, moyen et long terme. Attention : les notions d’asepsie, les techniques d’incision et de suture « simples », traitées au pre-mier degré, ne seront pas abordées dans ce degré.

Les objectifs du cycle• Progresser logiquement

dans la phase chirurgicale du traitement

• Aborder les notions essentielles de l’environnement péri-implantaire

• Raisonner sur la situation d’extraction pour optimiser le traitement implantaire

Débriefing de la journée ; forum questions/réponses

14 JSOP N° 7 SEPTEMBRE 2014

Nom : ...................................................................................................................................................................................................................................w

Prénom : ...................................................................................................................................................................................................................................

N° Adeli : ...I...I...I...I...I...I...I...I...I ou RPPS : ...I...I...I...I...I...I...I...I...I...I...IAdresse : ...................................................................................................................................................................................................................................

..............................................................................................................................................................................................................................................................

E-mail : ........................................................................................................................................................................................................................................

Tél. : ...............................................................................................................................................................................................................................................

TARIFS degré 1 – Membres SOP : 1 250 € ; non-membres : 1 450 €

TARIFS degré 2 – Membres SOP : 1 250 € ; non-membres : 1 450 €

TARIFS degré 1 + degré 2 – Membres SOP : 2 150 € ; non-membres : 2 600 €

(Adhésion à la SOP : 98 €)

Accepteriez-vous que vos coordonnées soient communiquées à nos partenaires ? Oui Non

Bulletin d’inscription à retourner accompagné de votre règlement à :SOP – 6, rue Jean-Hugues – 75116 Paris

Degré 1 (6 et 7 novembre 2014)• Bilan pré-implantaire ; ergonomie du cabinet dentaire• Lecture de scanners, utilisation de calques, incisions et sutures• Travaux pratiques sur mâchoires de porc• Histologie et physiologie osseuse• Anatomie de la symphyse et du maxillaire• Contre-indications générales et locales• Asepsie, habillage, installation de salle, préparation du patient• Présentation des systèmes implantaires utilisés• Travaux pratiques en zone prémolaire• Travaux pratiques en zone symphysaire• Pose d’implants en direct

Degré 2 (5 et 6 février 2015)• Anatomie des secteurs latéraux• Prise de décision en zone sous-sinusienne et supracanalaire• Environnement péri-implantaire• Stade 2 chirurgical et aménagements muqueux• Occlusion et implants• Suivi et maintenance des implants• La situation d’extraction : comment prendre la bonne décision• Étude de cas des participants• Travaux pratiques : mise en place d’implants multiples

en secteurs latéraux sur modèles, extraction-implantation immédiate sur modèles

• Chirurgie en direct

Degrés 1 et 2

PLACES

LIMITÉES

À 30

PERSONNES

B U L L E T I N D ’ I N S C R I P T I O NCYCLES COURTS IMPLANTOLOGIE

TARI

FS PRÉFÉRENTIELS

D E VE NE Z M E MBRE

LES INTERVENANTS Corinne Touboul et Hadi Antoun

LIEU DE LA FORMATION Hôtel Napoléon 40, avenue de Friedland 75008 Paris

14 JSOP N° 7 SEPTEMBRE 2014

Nom : ...................................................................................................................................................................................................................................w

Prénom : ...................................................................................................................................................................................................................................

N° Adeli : ...I...I...I...I...I...I...I...I...I ou RPPS : ...I...I...I...I...I...I...I...I...I...I...IAdresse : ...................................................................................................................................................................................................................................

..............................................................................................................................................................................................................................................................

E-mail : ........................................................................................................................................................................................................................................

Tél. : ...............................................................................................................................................................................................................................................

TARIFS degré 1 – Membres SOP : 1 250 € ; non-membres : 1 450 €

TARIFS degré 2 – Membres SOP : 1 250 € ; non-membres : 1 450 €

TARIFS degré 1 + degré 2 – Membres SOP : 2 150 € ; non-membres : 2 600 €

(Adhésion à la SOP : 98 €)

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Bulletin d’inscription à retourner accompagné de votre règlement à :SOP – 6, rue Jean-Hugues – 75116 Paris

Degré 1 (6 et 7 novembre 2014)• Bilan pré-implantaire ; ergonomie du cabinet dentaire• Lecture de scanners, utilisation de calques, incisions et sutures• Travaux pratiques sur mâchoires de porc• Histologie et physiologie osseuse• Anatomie de la symphyse et du maxillaire• Contre-indications générales et locales• Asepsie, habillage, installation de salle, préparation du patient• Présentation des systèmes implantaires utilisés• Travaux pratiques en zone prémolaire• Travaux pratiques en zone symphysaire• Pose d’implants en direct

Degré 2 (5 et 6 février 2015)• Anatomie des secteurs latéraux• Prise de décision en zone sous-sinusienne et supracanalaire• Environnement péri-implantaire• Stade 2 chirurgical et aménagements muqueux• Occlusion et implants• Suivi et maintenance des implants• La situation d’extraction : comment prendre la bonne décision• Étude de cas des participants• Travaux pratiques : mise en place d’implants multiples

en secteurs latéraux sur modèles, extraction-implantation immédiate sur modèles

• Chirurgie en direct

Degrés 1 et 2

PLACES

LIMITÉES

À 30

PERSONNES

B U L L E T I N D ’ I N S C R I P T I O NCYCLES COURTS IMPLANTOLOGIE

TARI

FS PRÉFÉRENTIELS

D E VE NE Z M E MBRE

LES INTERVENANTS Corinne Touboul et Hadi Antoun

LIEU DE LA FORMATION Hôtel Napoléon 40, avenue de Friedland 75008 Paris

16 JSOP N° 7 SEPTEMBRE 2014

L a SOP prépare la deuxième édition du cycle long en den-tisterie esthétique, conduit par Nicolas Lehmann, avec

l’objectif réaffirmé d’accompagner les participants dans un parcours

complet, théorique et pratique, dans toutes les dimensions de la dentisterie esthétique. Concrètement, ce n’est pas seulement le « blanc » qui sera abordé en détail, mais aussi le « rose » puisque ce cycle intègre la dimension muco-gingivale ainsi que l’implantologie. Pour chaque module, l’approche pé-dagogique alterne la théorie, la pra-tique (sous forme de TP) et la clinique (avec des démonstrations télévisées en direct et des vidéos de réalisation d’actes récents). Pour accompagner les participants – attention, le nombre de place est limité à 30 personnes ! –, la SOP a réuni une équipe d’interve-nants triés sur le volet, tous experts dans leur domaine, au service d’une approche complète de la dentisterie esthétique en pratique généraliste.

Les objectifs de la formation• Connaître les indications

des thérapeutiques esthétiques• Maîtriser les techniques

de dentisterie esthétique actuelles

• Appliquer immédiatement les acquis théoriques et pratiques

Évaluez-vous Connaissez-vous les indications des facettes ? Maîtrisez-vous les indications des différentes familles de céramiques dentaires ? Connaissez les protocoles de collage d’une facette ou d’un onlay céramique et composite ? Avez-vous été formé aux techniques de stratification de composite antérieur et postérieur ? Maîtrisez-vous les techniques de chirurgie muco-gingivale esthétique ? Connaissez-vous les concentrations et les produits d’éclaircissement qu’il est possible d’utiliser ? Savez-vous réaliser un projet esthétique dans le cadre d’une réhabilitation globale esthétique ?

Nicolas LehmannResponsable scientifique du cycle long

« L’une des valeurs ajoutées de ce cycle, au-delà de ce qui fait la force des formations de la SOP en termes de qualité, d’accompagnement des praticiens et de convivialité, consiste dans l’approche globale de la dentisterie esthétique : nous intégrons la partie « rose » avec deux jours complets consacrés à la chirurgie muco-gingivale. Dans le même esprit, nous consacrerons une journée à l’implantologie. C’est cette dimension globale alliée à une approche très « applicative » qui, je crois, font le succès de cette formation longue »

B U L L E T I N D ’ I N S C R I P T I O NCYCLE LONG 2015 DENTISTERIE ESTHÉTIQUE

Bulletin d’inscription à retourner accompagné d’un chèque d’acompte de 1 300 € à :SOP – 6, rue Jean-Hugues – 75116 Paris PLACES

LIMITÉES

À 30

PERSONNES

TARI

FS PRÉFÉRENTIELS

D E VE NE Z M E MBRE

Nom : ...................................................................................................................................................................................................................................

Prénom : ...................................................................................................................................................................................................................................N° Adeli : ...I...I...I...I...I...I...I...I...I ou RPPS : ...I...I...I...I...I...I...I...I...I...I...IAdresse : ...................................................................................................................................................................................................................................

..............................................................................................................................................................................................................................................................

E-mail : ........................................................................................................................................................................................................................................ Tél. : ...............................................................................................................................................................................................................................................TARIFS

Membres SOP : 4 950 €; non membres : 5 350 €; acompte : 1 300 €

(Adhésion à la SOP : 98 €)

Accepteriez-vous que vos coordonnées soient communiquées à nos partenaires ? Oui Non

Janvier – Avril 2015CYCLE LONG DE LA SOP

10 jours pour maîtriser l’esthétique

PROG R A M M E

8, 9 et 10 janvier 2015 Le projet esthétique• Projet esthétique et planification

d’un plan de traitement

• Photographie intrabuccale

• Prise de teinte et communication avec le laboratoire

30 et 31 janvier Les dents antérieures• Traitement chimique

des dyschromies dentaires

• Restauration composite par stratification

• Facettes, jackettes, restaurations adhésives en céramique

6 et 7 mars Les dents postérieures

• Restaurations composites

• Inlays, onlays, overlays…

2, 3 et 4 avril Le rose au service du blanc

• Esthétique et implantologie

• La chirurgie muco-gingivale au service de l’esthétique du sourire

LIEU DE LA FORMATION : Hôtel Napoléon – 40, avenue de Friedland – 75008 Paris

JSOP N° 7 SEPTEMBRE 2014 17

16 JSOP N° 7 SEPTEMBRE 2014

L a SOP prépare la deuxième édition du cycle long en den-tisterie esthétique, conduit par Nicolas Lehmann, avec

l’objectif réaffirmé d’accompagner les participants dans un parcours

complet, théorique et pratique, dans toutes les dimensions de la dentisterie esthétique. Concrètement, ce n’est pas seulement le « blanc » qui sera abordé en détail, mais aussi le « rose » puisque ce cycle intègre la dimension muco-gingivale ainsi que l’implantologie. Pour chaque module, l’approche pé-dagogique alterne la théorie, la pra-tique (sous forme de TP) et la clinique (avec des démonstrations télévisées en direct et des vidéos de réalisation d’actes récents). Pour accompagner les participants – attention, le nombre de place est limité à 30 personnes ! –, la SOP a réuni une équipe d’interve-nants triés sur le volet, tous experts dans leur domaine, au service d’une approche complète de la dentisterie esthétique en pratique généraliste.

Les objectifs de la formation• Connaître les indications

des thérapeutiques esthétiques• Maîtriser les techniques

de dentisterie esthétique actuelles

• Appliquer immédiatement les acquis théoriques et pratiques

Évaluez-vous Connaissez-vous les indications des facettes ? Maîtrisez-vous les indications des différentes familles de céramiques dentaires ? Connaissez les protocoles de collage d’une facette ou d’un onlay céramique et composite ? Avez-vous été formé aux techniques de stratification de composite antérieur et postérieur ? Maîtrisez-vous les techniques de chirurgie muco-gingivale esthétique ? Connaissez-vous les concentrations et les produits d’éclaircissement qu’il est possible d’utiliser ? Savez-vous réaliser un projet esthétique dans le cadre d’une réhabilitation globale esthétique ?

Nicolas LehmannResponsable scientifique du cycle long

« L’une des valeurs ajoutées de ce cycle, au-delà de ce qui fait la force des formations de la SOP en termes de qualité, d’accompagnement des praticiens et de convivialité, consiste dans l’approche globale de la dentisterie esthétique : nous intégrons la partie « rose » avec deux jours complets consacrés à la chirurgie muco-gingivale. Dans le même esprit, nous consacrerons une journée à l’implantologie. C’est cette dimension globale alliée à une approche très « applicative » qui, je crois, font le succès de cette formation longue »

B U L L E T I N D ’ I N S C R I P T I O NCYCLE LONG 2015 DENTISTERIE ESTHÉTIQUE

Bulletin d’inscription à retourner accompagné d’un chèque d’acompte de 1 300 € à :SOP – 6, rue Jean-Hugues – 75116 Paris PLACES

LIMITÉES

À 30

PERSONNES

TARI

FS PRÉFÉRENTIELS

D E VE NE Z M E MBRE

Nom : ...................................................................................................................................................................................................................................

Prénom : ...................................................................................................................................................................................................................................N° Adeli : ...I...I...I...I...I...I...I...I...I ou RPPS : ...I...I...I...I...I...I...I...I...I...I...IAdresse : ...................................................................................................................................................................................................................................

..............................................................................................................................................................................................................................................................

E-mail : ........................................................................................................................................................................................................................................ Tél. : ...............................................................................................................................................................................................................................................TARIFS

Membres SOP : 4 950 €; non membres : 5 350 €; acompte : 1 300 €

(Adhésion à la SOP : 98 €)

Accepteriez-vous que vos coordonnées soient communiquées à nos partenaires ? Oui Non

Janvier – Avril 2015CYCLE LONG DE LA SOP

10 jours pour maîtriser l’esthétique

PROG R A M M E

8, 9 et 10 janvier 2015 Le projet esthétique• Projet esthétique et planification

d’un plan de traitement

• Photographie intrabuccale

• Prise de teinte et communication avec le laboratoire

30 et 31 janvier Les dents antérieures• Traitement chimique

des dyschromies dentaires

• Restauration composite par stratification

• Facettes, jackettes, restaurations adhésives en céramique

6 et 7 mars Les dents postérieures

• Restaurations composites

• Inlays, onlays, overlays…

2, 3 et 4 avril Le rose au service du blanc

• Esthétique et implantologie

• La chirurgie muco-gingivale au service de l’esthétique du sourire

LIEU DE LA FORMATION : Hôtel Napoléon – 40, avenue de Friedland – 75008 Paris

JSOP N° 7 SEPTEMBRE 2014 17

18 JSOP N° 7 SEPTEMBRE 2014

TARI

FS PRÉFÉRENTIELS

D E VE NE Z M E MBRE

PLACES

LIMITÉES

À 24

PERSONNES

Bulletin d’inscription à retourner accompagné d’un chèque d’acompte de 1 350 € à :SOP – 6, rue Jean-Hugues – 75116 Paris

Janvier – Juin 2015CYCLE LONG DE LA SOP

Cycle endodontie :inscriptions 2015

Un nombre de places limité à 24 partici-pants, une approche délibérément clinique

et interactive, des encadrants re-connus et motivés, des modules alliant rappel des fondamen-

taux et séances de travaux pra-tiques, un état d’esprit résolu-ment orienté vers la progression des praticiens, tels sont les in-grédients qui font, depuis plu-sieurs années, le succès de ce cycle long en endodontie. Sous la responsabilité de Dominique Martin et de Pierre Machtou, cette formation longue, qui dé-bute en janvier pour s’achever en juin 2015, comprend cinq mo-dules de deux jours composés d’une journée de cours interactif – sous forme d’enseignement diri-gé – et d’une journée de pratique, au cours de laquelle les partici-pants effectuent de nombreuses manipulations et travaux pra-tiques. Des interventions télévi-sées en direct sont proposées.

Les objectifs du cycle• Maîtriser les techniques

endodontiques actuelles• Accéder à une pratique

endodontique sécurisée et reproductible

• Appliquer immédiatement les acquis théoriques et pratiques

Évaluez-vous Pensez-vous que la digue doit être posée dans tous les cas ? Maîtrisez-vous les techniques de mise en forme mécanisée ? Pensez-vous qu’une dent infectée puisse être traitée en une séance ? Avez-vous été formé aux techniques d’obturation par compactage de gutta chaude ? Connaissez-vous les protocoles de retrait d’un instrument fracturé ? Savez-vous quelle attitude adopter à la suite d’un traumatisme ?

Dominique MartinResponsable scientifique du cycle long

« Au-delà de la qualité de notre équipe d’enseignants, de notre approche très “clinico-clinique”, ce qui donne sa valeur ajoutée à notre cycle, c’est, je crois, notre volonté de partager avec les participants notre enthousiasme pour l’endodontie. Les retours des praticiens nous confortent dans notre approche. Avec un encadrant pour six personnes, chaque praticien est suivi pas à pas dans sa progression. En résumé, ce cycle, c’est un climat chaleureux, des objectifs concrets et les moyens donnés aux participants pour les atteindre. Revers de la médaille : nous poussons les participants à vraiment progresser ! »

PROG R A M M E

9 et 10 janvier 2015• Diagnostic pulpaire, imagerie, anesthésie, cavité d’accès

30 et 31 janvier 2015• Anatomie endodontique, nettoyage, mise en forme, irrigation

27 et 28 mars 2015• Gestion des urgences, prescriptions, temporisation, obturation canalaire,

étanchéité coronaire

29 et 30 mai 2015• Démontage des structures prothétiques, désobturation canalaire,

retrait des instruments fracturés, traitement des perforations

19 et 20 juin 2015• Traitement des dents immatures, chirurgie endodontique

LES INTERVENANTS : Laurent Arbona, Sarah Attal, François Bronnec, Grégory Caron, Jean-Yves Cochet, Sandrine Dahan, Pierre Machtou, Dominique Martin, Stéphane Simon

LIEU DE LA FORMATION : Hôtel Ampère – 102, avenue Villiers – 75017 Paris

B U L L E T I N D ’ I N S C R I P T I O NCYCLE LONG 2015 ENDODONTIE

Nom : ...................................................................................................................................................................................................................................

Prénom : ...................................................................................................................................................................................................................................

N° Adeli : ...I...I...I...I...I...I...I...I...I ou RPPS : ...I...I...I...I...I...I...I...I...I...I...I

Adresse : ...................................................................................................................................................................................................................................

..............................................................................................................................................................................................................................................................

E-mail : ........................................................................................................................................................................................................................................

Tél. : ...............................................................................................................................................................................................................................................

TARIFSMembres SOP : 5 400 € ; non membres : 5 800 €; acompte : 1 350 €

(Adhésion à la SOP : 98 €)

Accepteriez-vous que vos coordonnées soient communiquées à nos partenaires ? Oui Non

JSOP N° 7 SEPTEMBRE 2014 19

18 JSOP N° 7 SEPTEMBRE 2014

TARI

FS PRÉFÉRENTIELS

D E VE NE Z M E MBRE

PLACES

LIMITÉES

À 24

PERSONNES

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Janvier – Juin 2015CYCLE LONG DE LA SOP

Cycle endodontie :inscriptions 2015

Un nombre de places limité à 24 partici-pants, une approche délibérément clinique

et interactive, des encadrants re-connus et motivés, des modules alliant rappel des fondamen-

taux et séances de travaux pra-tiques, un état d’esprit résolu-ment orienté vers la progression des praticiens, tels sont les in-grédients qui font, depuis plu-sieurs années, le succès de ce cycle long en endodontie. Sous la responsabilité de Dominique Martin et de Pierre Machtou, cette formation longue, qui dé-bute en janvier pour s’achever en juin 2015, comprend cinq mo-dules de deux jours composés d’une journée de cours interactif – sous forme d’enseignement diri-gé – et d’une journée de pratique, au cours de laquelle les partici-pants effectuent de nombreuses manipulations et travaux pra-tiques. Des interventions télévi-sées en direct sont proposées.

Les objectifs du cycle• Maîtriser les techniques

endodontiques actuelles• Accéder à une pratique

endodontique sécurisée et reproductible

• Appliquer immédiatement les acquis théoriques et pratiques

Évaluez-vous Pensez-vous que la digue doit être posée dans tous les cas ? Maîtrisez-vous les techniques de mise en forme mécanisée ? Pensez-vous qu’une dent infectée puisse être traitée en une séance ? Avez-vous été formé aux techniques d’obturation par compactage de gutta chaude ? Connaissez-vous les protocoles de retrait d’un instrument fracturé ? Savez-vous quelle attitude adopter à la suite d’un traumatisme ?

Dominique MartinResponsable scientifique du cycle long

« Au-delà de la qualité de notre équipe d’enseignants, de notre approche très “clinico-clinique”, ce qui donne sa valeur ajoutée à notre cycle, c’est, je crois, notre volonté de partager avec les participants notre enthousiasme pour l’endodontie. Les retours des praticiens nous confortent dans notre approche. Avec un encadrant pour six personnes, chaque praticien est suivi pas à pas dans sa progression. En résumé, ce cycle, c’est un climat chaleureux, des objectifs concrets et les moyens donnés aux participants pour les atteindre. Revers de la médaille : nous poussons les participants à vraiment progresser ! »

PROG R A M M E

9 et 10 janvier 2015• Diagnostic pulpaire, imagerie, anesthésie, cavité d’accès

30 et 31 janvier 2015• Anatomie endodontique, nettoyage, mise en forme, irrigation

27 et 28 mars 2015• Gestion des urgences, prescriptions, temporisation, obturation canalaire,

étanchéité coronaire

29 et 30 mai 2015• Démontage des structures prothétiques, désobturation canalaire,

retrait des instruments fracturés, traitement des perforations

19 et 20 juin 2015• Traitement des dents immatures, chirurgie endodontique

LES INTERVENANTS : Laurent Arbona, Sarah Attal, François Bronnec, Grégory Caron, Jean-Yves Cochet, Sandrine Dahan, Pierre Machtou, Dominique Martin, Stéphane Simon

LIEU DE LA FORMATION : Hôtel Ampère – 102, avenue Villiers – 75017 Paris

B U L L E T I N D ’ I N S C R I P T I O NCYCLE LONG 2015 ENDODONTIE

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E-mail : ........................................................................................................................................................................................................................................

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TARIFSMembres SOP : 5 400 € ; non membres : 5 800 €; acompte : 1 350 €

(Adhésion à la SOP : 98 €)

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JSOP N° 7 SEPTEMBRE 2014 19

20 JSOP N° 7 SEPTEMBRE 2014

TARI

FS PRÉFÉRENTIELS

D E VE NE Z M E MBRE

Bulletin d’inscription à retourner accompagné d’un chèque d’acompte de 1 250 € à :SOP – 6, rue Jean-Hugues – 75116 Paris

Janvier – Juillet 2015CYCLE LONG DE LA SOP

Cycle parodontie :inscriptions 2015

Former l’omnipraticien au traitement des maladies parodontales et à la chirur-gie parodontale à travers

un enseignement complet alliant approche théorique, pratique (les TP) et clinique (démonstrations en direct). Tels sont les objectifs de ce

cycle long de la SOP. Pour y parve-nir, la SOP a réuni une équipe d’in-tervenants triés sur le volet et met à la disposition des participants l’ensemble des moyens matériels permettant de progresser pas à pas et concrètement tout au long du cycle (modèles anatomiques pour les traitements chirurgicaux et non chirurgicaux, mâchoires ani-males, etc.). Du diagnostic au recou-vrement des récessions multiples en passant par la maintenance pa-rodontale ou encore le traitement des lésions osseuses, ce cycle, animé par Sofia Aroca et Bernard Schweitz, est résolument axé sur la pratique. Attention : le nombre de places est limité à 30 participants !

Les objectifs du cycle• Intégrer une approche

parodontale dans les traitements de ses patients.

• S’approprier la désinfection globale, la chirurgie parodontale et les greffes gingivales.

• Permettre une mise en pratique rapide des enseignements cliniques reçus.

Évaluez-vous Quelles sont les différences

de traitement entre une parodontite agressive et une parodontie chronique ?

Quand faut-il prescrire des antibiotiques dans le traitement des parodontites ?

Comment traiter une lésion interradiculaire sur une molaire mandibulaire ?

Quels sont les points essentiels d’une séance de maintenance parodontale ?

Comment traiter des récessions gingivales multiples dans le secteur maxillaire antérieur ?

Sofia Aroca et Bernard SchweitzResponsables scientifiques du cycle long

« Nous sollicitons des intervenants pour assurer l’enseignement des domaines dans lesquels ils sont réputés. L’encadrement de ce cycle de cours est assuré par des cliniciens exerçant en France, en Belgique ainsi qu’à l’université de Berne. Ce plateau relevé d’intervenants participe de notre ambition d’offrir réellement tout ce qu’un praticien est en droit d’attendre lorsqu’il fait l’effort de quitter son cabinet pour suivre une formation longue. Cela vaut aussi pour les moyens matériels mis à la disposition des participants, notamment avec les modèles anatomiques. L’état d’esprit est détendu, chaleureux, mais résolument tourné vers la progression concrète, step by step, de chaque participant. »

PROG R A M M E

23 et 24 janvier 2015• Diagnostic des maladies parodontales : examen clinique,

tests complémentaires, relation avec les maladies générales

20 et 21 mars 2015• Traitement non chirurgical : concepts des traitements actuels,

réévaluation et prise de décision, maintenance parodontale

28, 29 et 30 mai 2015• Traitement chirurgical : concepts chirurgicaux actuels, lambeaux d’accès,

chirurgie préprothétique, traitement des lésions osseuses et interradiculaires

3 et 4 juillet 2015• Chirurgie plastique parodontale : principes chirurgicaux et cicatrisation,

recouvrement de récessions unitaires et multiples

LES INTERVENANTS : Sofia Aroca, Bénédicte Chardin, Gilles Gagnot, Jacques Malet, Michèle Reners, Giovanni Salvi, Bernard Schweitz et Anton Sculean

LIEU DE LA FORMATION : Hôtel Napoléon – 40, avenue de Friedland – 75008 Paris

B U L L E T I N D ’ I N S C R I P T I O NCYCLE LONG 2015 PARODONTIE

Nom : ...................................................................................................................................................................................................................................

Prénom : ...................................................................................................................................................................................................................................

N° Adeli : ...I...I...I...I...I...I...I...I...I ou RPPS : ...I...I...I...I...I...I...I...I...I...I...IAdresse : ...................................................................................................................................................................................................................................

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E-mail : ........................................................................................................................................................................................................................................

Tél. : ...............................................................................................................................................................................................................................................

TARIFS

Membres SOP : 4 700 € ; non membres : 5 100 €; acompte : 1 250 €

(Adhésion à la SOP : 98 €)

Accepteriez-vous que vos coordonnées soient communiquées à nos partenaires ? Oui Non

PLACES

LIMITÉES

À 30

PERSONNES

JSOP N° 7 SEPTEMBRE 2014 21

20 JSOP N° 7 SEPTEMBRE 2014

TARI

FS PRÉFÉRENTIELS

D E VE NE Z M E MBRE

Bulletin d’inscription à retourner accompagné d’un chèque d’acompte de 1 250 € à :SOP – 6, rue Jean-Hugues – 75116 Paris

Janvier – Juillet 2015CYCLE LONG DE LA SOP

Cycle parodontie :inscriptions 2015

Former l’omnipraticien au traitement des maladies parodontales et à la chirur-gie parodontale à travers

un enseignement complet alliant approche théorique, pratique (les TP) et clinique (démonstrations en direct). Tels sont les objectifs de ce

cycle long de la SOP. Pour y parve-nir, la SOP a réuni une équipe d’in-tervenants triés sur le volet et met à la disposition des participants l’ensemble des moyens matériels permettant de progresser pas à pas et concrètement tout au long du cycle (modèles anatomiques pour les traitements chirurgicaux et non chirurgicaux, mâchoires ani-males, etc.). Du diagnostic au recou-vrement des récessions multiples en passant par la maintenance pa-rodontale ou encore le traitement des lésions osseuses, ce cycle, animé par Sofia Aroca et Bernard Schweitz, est résolument axé sur la pratique. Attention : le nombre de places est limité à 30 participants !

Les objectifs du cycle• Intégrer une approche

parodontale dans les traitements de ses patients.

• S’approprier la désinfection globale, la chirurgie parodontale et les greffes gingivales.

• Permettre une mise en pratique rapide des enseignements cliniques reçus.

Évaluez-vous Quelles sont les différences

de traitement entre une parodontite agressive et une parodontie chronique ?

Quand faut-il prescrire des antibiotiques dans le traitement des parodontites ?

Comment traiter une lésion interradiculaire sur une molaire mandibulaire ?

Quels sont les points essentiels d’une séance de maintenance parodontale ?

Comment traiter des récessions gingivales multiples dans le secteur maxillaire antérieur ?

Sofia Aroca et Bernard SchweitzResponsables scientifiques du cycle long

« Nous sollicitons des intervenants pour assurer l’enseignement des domaines dans lesquels ils sont réputés. L’encadrement de ce cycle de cours est assuré par des cliniciens exerçant en France, en Belgique ainsi qu’à l’université de Berne. Ce plateau relevé d’intervenants participe de notre ambition d’offrir réellement tout ce qu’un praticien est en droit d’attendre lorsqu’il fait l’effort de quitter son cabinet pour suivre une formation longue. Cela vaut aussi pour les moyens matériels mis à la disposition des participants, notamment avec les modèles anatomiques. L’état d’esprit est détendu, chaleureux, mais résolument tourné vers la progression concrète, step by step, de chaque participant. »

PROG R A M M E

23 et 24 janvier 2015• Diagnostic des maladies parodontales : examen clinique,

tests complémentaires, relation avec les maladies générales

20 et 21 mars 2015• Traitement non chirurgical : concepts des traitements actuels,

réévaluation et prise de décision, maintenance parodontale

28, 29 et 30 mai 2015• Traitement chirurgical : concepts chirurgicaux actuels, lambeaux d’accès,

chirurgie préprothétique, traitement des lésions osseuses et interradiculaires

3 et 4 juillet 2015• Chirurgie plastique parodontale : principes chirurgicaux et cicatrisation,

recouvrement de récessions unitaires et multiples

LES INTERVENANTS : Sofia Aroca, Bénédicte Chardin, Gilles Gagnot, Jacques Malet, Michèle Reners, Giovanni Salvi, Bernard Schweitz et Anton Sculean

LIEU DE LA FORMATION : Hôtel Napoléon – 40, avenue de Friedland – 75008 Paris

B U L L E T I N D ’ I N S C R I P T I O NCYCLE LONG 2015 PARODONTIE

Nom : ...................................................................................................................................................................................................................................

Prénom : ...................................................................................................................................................................................................................................

N° Adeli : ...I...I...I...I...I...I...I...I...I ou RPPS : ...I...I...I...I...I...I...I...I...I...I...IAdresse : ...................................................................................................................................................................................................................................

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E-mail : ........................................................................................................................................................................................................................................

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TARIFS

Membres SOP : 4 700 € ; non membres : 5 100 €; acompte : 1 250 €

(Adhésion à la SOP : 98 €)

Accepteriez-vous que vos coordonnées soient communiquées à nos partenaires ? Oui Non

PLACES

LIMITÉES

À 30

PERSONNES

JSOP N° 7 SEPTEMBRE 2014 21

22 JSOP N° 7 SEPTEMBRE 2014 JSOP N° 7 SEPTEMBRE 2014 23

Je vais appliquer une partie des techniques de démontage vues lors de cette journée. Mais pour exploiter tout ce que l’on a appris, il faut se munir de la trousse de Gonon. Je compte l’acheter dans les mois prochains car nous sommes tous les jours confrontés à des situations de démontage. La plus-value de cette journée ? Les techniques et la description de gestes précis par les conférenciers.

Ce que vous en avez pensé

C’est la première fois que j’assiste à une journée de la SOP et je ne suis pas déçu : elle m’a donné envie de revenir ! Les thèmes abordés sont valorisés par la qualité des orateurs. Les conférences étaient articulées de telle sorte que toutes les techniques de démontages ont été expliquées dans un continuum logique. L’intervention de Cauris Couvrechel m’a particulièrement intéressé car je suis souvent confronté à des situations avec des tenons fibrés.

J’ai particulièrement apprécié la conférence de Pierre Machtou car ses propos m’ont vraiment conforté dans ma pratique quotidienne aucabinet dentaire. J’avais, par le passé, assisté à des journées de formation de la SOP, mais c’est la première fois queje me rendais à la Maison de la Chimie. La qualité des interventions était à la hauteur du prestige de ce lieu !

À part le décollage partiel des attelles collées, que j’assimile souvent à un échec total, et hormis la dimension endodontique, qui m’a parue hors de portée, j’ai été impressionné par la conférence sur le démontage en dentisterie esthétique restauratrice avec toute la rigueur sur l’économie tissulaire, la biologie et la protection du patient. En implantologie, de nombreux « trucs et astuces » ont été proposés, mais de là à les appliquer quand le cas se présentera… Pour autant, au final, c’était une journée pratique avec des répercussions immédiates pour moi.

Éric Duchesne

Avignon(84)

Mireille Scardina-Cateni

Marseille (13)

Laurent Rubino

Lyon(69)

Iseult Di Marco

Viry-Châtillon (91)

LES REPLAY DE LA SOPLES REPLAY DE LA SOP

Journée - 27 mars 2014 - « Démonter pour préserver »

Démonter, oui, mais pour quoi faire ?Nous sommes tous confrontés à la problématique

du démontage, et l’affluence enregistrée lors de la Journée du 27 mars aura illustré à quel point

cette thématique, peu souvent abordée en tant que telle, que ce soit en formation initiale ou continue, constitue une préoccupation majeure dans notre exercice.Mais l’ambition de la SOP, à laquelle ont pleinement ad-héré les sept conférenciers de cette journée, ne consistait pas seulement à délivrer des réponses cliniques pour cha-cune des disciplines de notre pratique impactées par le démontage. Il s’agissait aussi d’aller plus loin en répondant à la question plus globale que l’on pourrait familièrement résumer comme suit « Démonter, d’accord, mais pour faire quoi ensuite ? ».À cet égard, l’un des fils rouges de la Journée aura été que l’on ne peut plus, aujourd’hui, se lancer dans la réalisa-tion de travaux sans se poser la question de leur gestion dans la durée. L’un des axiomes qui pourraient d’ailleurs

être tirés de cette Journée est que plus nos restaurations sont invasives, plus nos interventions, dans le cadre de leur gestion, seront invasives.En dentisterie conservatrice, Franck Decup a traité de la dépose des amalgames et composites. Stéphane Cazier a abordé la gestion des décollements partiels d’attelles collées. En prothèse, Pierre Machtou a donné une conférence sur la dépose des couronnes, des bridges, des inlays-cores et des tenons métalliques. Cauris Couvrechel a traité de la dépose des tenons fi-brés. François Bronnec a quant à lui traité de la dépose des fragments d’instruments fracturés. Philippe Khayat et Benjamin Pomès ont abordé la dépose implantaire, qu’il s’agisse de vis fracturées ou d’implants fracturés.

Le compte rendu des conférences, pages suivantes, coordonné par Marc Roché, a été réalisé grâce au concours d’Hélène Ro-quette, Delphine Rouxel, Chloé Stein et Alice-Laure Weiss.

Stéphane Cazier

Décollement partiel d’une attelle coulée collée

P. 25

Pierre Machtou

La dépose des éléments prothétiques

P. 26

Cauris Couvrechel

Dépose des tenons fibrés

P. 28

François Bronnec

Retrait des instruments fracturés en endodontie

P. 29

Philippe Khayat et Benjamin Pomès

Dépose et démontage en implantologie

P. 30

Franck Decup

Démonter amalgame et composite

P. 24

22 JSOP N° 7 SEPTEMBRE 2014 JSOP N° 7 SEPTEMBRE 2014 23

Je vais appliquer une partie des techniques de démontage vues lors de cette journée. Mais pour exploiter tout ce que l’on a appris, il faut se munir de la trousse de Gonon. Je compte l’acheter dans les mois prochains car nous sommes tous les jours confrontés à des situations de démontage. La plus-value de cette journée ? Les techniques et la description de gestes précis par les conférenciers.

Ce que vous en avez pensé

C’est la première fois que j’assiste à une journée de la SOP et je ne suis pas déçu : elle m’a donné envie de revenir ! Les thèmes abordés sont valorisés par la qualité des orateurs. Les conférences étaient articulées de telle sorte que toutes les techniques de démontages ont été expliquées dans un continuum logique. L’intervention de Cauris Couvrechel m’a particulièrement intéressé car je suis souvent confronté à des situations avec des tenons fibrés.

J’ai particulièrement apprécié la conférence de Pierre Machtou car ses propos m’ont vraiment conforté dans ma pratique quotidienne aucabinet dentaire. J’avais, par le passé, assisté à des journées de formation de la SOP, mais c’est la première fois queje me rendais à la Maison de la Chimie. La qualité des interventions était à la hauteur du prestige de ce lieu !

À part le décollage partiel des attelles collées, que j’assimile souvent à un échec total, et hormis la dimension endodontique, qui m’a parue hors de portée, j’ai été impressionné par la conférence sur le démontage en dentisterie esthétique restauratrice avec toute la rigueur sur l’économie tissulaire, la biologie et la protection du patient. En implantologie, de nombreux « trucs et astuces » ont été proposés, mais de là à les appliquer quand le cas se présentera… Pour autant, au final, c’était une journée pratique avec des répercussions immédiates pour moi.

Éric Duchesne

Avignon(84)

Mireille Scardina-Cateni

Marseille (13)

Laurent Rubino

Lyon(69)

Iseult Di Marco

Viry-Châtillon (91)

LES REPLAY DE LA SOPLES REPLAY DE LA SOP

Journée - 27 mars 2014 - « Démonter pour préserver »

Démonter, oui, mais pour quoi faire ?Nous sommes tous confrontés à la problématique

du démontage, et l’affluence enregistrée lors de la Journée du 27 mars aura illustré à quel point

cette thématique, peu souvent abordée en tant que telle, que ce soit en formation initiale ou continue, constitue une préoccupation majeure dans notre exercice.Mais l’ambition de la SOP, à laquelle ont pleinement ad-héré les sept conférenciers de cette journée, ne consistait pas seulement à délivrer des réponses cliniques pour cha-cune des disciplines de notre pratique impactées par le démontage. Il s’agissait aussi d’aller plus loin en répondant à la question plus globale que l’on pourrait familièrement résumer comme suit « Démonter, d’accord, mais pour faire quoi ensuite ? ».À cet égard, l’un des fils rouges de la Journée aura été que l’on ne peut plus, aujourd’hui, se lancer dans la réalisa-tion de travaux sans se poser la question de leur gestion dans la durée. L’un des axiomes qui pourraient d’ailleurs

être tirés de cette Journée est que plus nos restaurations sont invasives, plus nos interventions, dans le cadre de leur gestion, seront invasives.En dentisterie conservatrice, Franck Decup a traité de la dépose des amalgames et composites. Stéphane Cazier a abordé la gestion des décollements partiels d’attelles collées. En prothèse, Pierre Machtou a donné une conférence sur la dépose des couronnes, des bridges, des inlays-cores et des tenons métalliques. Cauris Couvrechel a traité de la dépose des tenons fi-brés. François Bronnec a quant à lui traité de la dépose des fragments d’instruments fracturés. Philippe Khayat et Benjamin Pomès ont abordé la dépose implantaire, qu’il s’agisse de vis fracturées ou d’implants fracturés.

Le compte rendu des conférences, pages suivantes, coordonné par Marc Roché, a été réalisé grâce au concours d’Hélène Ro-quette, Delphine Rouxel, Chloé Stein et Alice-Laure Weiss.

Stéphane Cazier

Décollement partiel d’une attelle coulée collée

P. 25

Pierre Machtou

La dépose des éléments prothétiques

P. 26

Cauris Couvrechel

Dépose des tenons fibrés

P. 28

François Bronnec

Retrait des instruments fracturés en endodontie

P. 29

Philippe Khayat et Benjamin Pomès

Dépose et démontage en implantologie

P. 30

Franck Decup

Démonter amalgame et composite

P. 24

24 JSOP N° 7 SEPTEMBRE 2014 JSOP N° 7 SEPTEMBRE 2014 25

La ré-intervention occupe de 40 à 70 % de notre ac-

tivité. Nous manquons pourtant de critères décisionnels pour remplacer les restaurations. Les taux d’échecs annuels sont globalement équivalents selon les différents matériaux de restaura-tion. L’environnement et les fac-teurs de risque individuels sont les éléments qui conditionnent la longévité des restaurations. 80 % des problèmes qui conduisent à une ré-intervention sont la carie secondaire ou la fracture.Notre meilleur allié reste les aides optiques. Les loupes x 3,2 permettent d’obtenir 10 fois plus d’informations, et un microscope x 10, cent fois plus.AmalgameS’il est recommandé de recourir à la digue ainsi qu’à des lunettes, la libération de mercure à la dé-pose d’un amalgame est estimée à 5 à 10 microgrammes/m3. Or, l’OMS recommande une exposi-tion quotidienne à moins de 25 microgrammes/m3. Il n’y a donc aucun risque de ce point de vue.Les fraises surtaillées créent moins de poussière. Un moyen simple de dépose est la découpe en croix au centre du matériau, suivie pour finir de l’utilisation des US sans risque supplémentaire pour la dent. Cette technique est avanta-geusement remplacée en situation

juxta-pulpaire par un détourage qui suit la limite dent/restaura-tion sur tout le pourtour, et qui permet de ne pas léser la zone para-pulpaire.Séquelles tissulairesOn constate un phénomène de cor-rosion humide sous l’amalgame, et la couche de corrosion de sur-face qu’elle laisse est à éliminer systématiquement. La couche de substitution sous-jacente est un tissu infiltré ayant subi une trans-formation chimique qui entraîne une fragilisation biomécanique. Enfin, la surface chargée de mé-taux lourds est moins facilement mordançable, et la couche hybride est moins bonne.Il convient donc de récupérer des tissus sains afin de favoriser le collage. En cas de proximité pul-paire, il faut se concentrer sur la périphérie et s’aider de l’aéroabra-sion pour la zone parapulpaire.CompositeLa procédure s’effectue à l’aide de fraises diamantées par usure pro-gressive du matériau. Le séchage fréquent aide au repérage du ma-tériau. Il est possible de recourir de nouveau aux US si le composite est suffisamment affiné.Séquelles tissulairesIl faut s’attendre à une dégrada-tion de la couche hybride. Passer rapidement la fraise ou l’aéroabra-sion permet d’éliminer les 5 à 10 microns concernés.

Démonter amalgame et composite

Franck Decup

Isolement par une mise sous digue.

Dépose des excédents à l’aide d’inserts ultrasonores.

Dépose de l’amalgame à l’aide d’une fraise« transmétal ».

État final de la cavité nettoyée.

Décollement partiel d’une attelle coulée collée

Gérer le décol-lement partiel d’une attelle

coulée collée représente une réelle difficulté, surtout dans les cas où le parodonte est affaibli. Pour démonter, il est important de savoir comment la prothèse a été réalisée.À l’étape de la préparation, il convient de chercher à identifier si la préparation met en œuvre une poutre incisale, une rainure proxi-male, un macro puits ou un tenon.Les éléments qui participent le plus au collage sont le tenon et la poutre incisale. La dépose débute donc par une première découpe de l’ai-lette afin d’individualiser le tenon. La seconde étape vise à détruire la poutre incisale.Attention ! Les aides optiques sont

indispensables lors de ces étapes.Le matériau de collage a plutôt ten-dance à mieux coller à la dent. Et c’est tant mieux ! Il faut parvenir à chauffer la colle avec des US, sans eau, tout en évitant de trop échauf-fer la pulpe.Un insert plat en lame s’avérera très intéressant. Il permet d’appli-quer des contraintes de clivage qui fragilisent fortement la colle. Lors du démontage d’une attelle, il est important de bien analyser l’échec afin de mieux anticiper la suite du traitement. Il s’agit de déterminer si l’on doit ou non modifier la stra-tégie thérapeutique. Ces situations sont toujours délicates à gérer. C’est la raison pour laquelle il convient impérativement de mettre en place un suivi rigoureux à la suite de la réalisation d’une attelle coulée.

Phase 1 – Section du bord libre de l’attelle collée à l’aide d’une fraise Komet réf. 6889.

Phase 3 – Poursuite du décollement à l’aide d’une spatule de bouche.

Phase 2 – Début du décollement de l’attelle à l’aide de l’insert à ultrasons Komet SFM 1F.

Phase 4 – Résultat

Stéphane Cazier

LES REPLAY DE LA SOP LES REPLAY DE LA SOP

Journée - 27 mars 2014 - « Démonter pour préserver »

24 JSOP N° 7 SEPTEMBRE 2014 JSOP N° 7 SEPTEMBRE 2014 25

La ré-intervention occupe de 40 à 70 % de notre ac-

tivité. Nous manquons pourtant de critères décisionnels pour remplacer les restaurations. Les taux d’échecs annuels sont globalement équivalents selon les différents matériaux de restaura-tion. L’environnement et les fac-teurs de risque individuels sont les éléments qui conditionnent la longévité des restaurations. 80 % des problèmes qui conduisent à une ré-intervention sont la carie secondaire ou la fracture.Notre meilleur allié reste les aides optiques. Les loupes x 3,2 permettent d’obtenir 10 fois plus d’informations, et un microscope x 10, cent fois plus.AmalgameS’il est recommandé de recourir à la digue ainsi qu’à des lunettes, la libération de mercure à la dé-pose d’un amalgame est estimée à 5 à 10 microgrammes/m3. Or, l’OMS recommande une exposi-tion quotidienne à moins de 25 microgrammes/m3. Il n’y a donc aucun risque de ce point de vue.Les fraises surtaillées créent moins de poussière. Un moyen simple de dépose est la découpe en croix au centre du matériau, suivie pour finir de l’utilisation des US sans risque supplémentaire pour la dent. Cette technique est avanta-geusement remplacée en situation

juxta-pulpaire par un détourage qui suit la limite dent/restaura-tion sur tout le pourtour, et qui permet de ne pas léser la zone para-pulpaire.Séquelles tissulairesOn constate un phénomène de cor-rosion humide sous l’amalgame, et la couche de corrosion de sur-face qu’elle laisse est à éliminer systématiquement. La couche de substitution sous-jacente est un tissu infiltré ayant subi une trans-formation chimique qui entraîne une fragilisation biomécanique. Enfin, la surface chargée de mé-taux lourds est moins facilement mordançable, et la couche hybride est moins bonne.Il convient donc de récupérer des tissus sains afin de favoriser le collage. En cas de proximité pul-paire, il faut se concentrer sur la périphérie et s’aider de l’aéroabra-sion pour la zone parapulpaire.CompositeLa procédure s’effectue à l’aide de fraises diamantées par usure pro-gressive du matériau. Le séchage fréquent aide au repérage du ma-tériau. Il est possible de recourir de nouveau aux US si le composite est suffisamment affiné.Séquelles tissulairesIl faut s’attendre à une dégrada-tion de la couche hybride. Passer rapidement la fraise ou l’aéroabra-sion permet d’éliminer les 5 à 10 microns concernés.

Démonter amalgame et composite

Franck Decup

Isolement par une mise sous digue.

Dépose des excédents à l’aide d’inserts ultrasonores.

Dépose de l’amalgame à l’aide d’une fraise« transmétal ».

État final de la cavité nettoyée.

Décollement partiel d’une attelle coulée collée

Gérer le décol-lement partiel d’une attelle

coulée collée représente une réelle difficulté, surtout dans les cas où le parodonte est affaibli. Pour démonter, il est important de savoir comment la prothèse a été réalisée.À l’étape de la préparation, il convient de chercher à identifier si la préparation met en œuvre une poutre incisale, une rainure proxi-male, un macro puits ou un tenon.Les éléments qui participent le plus au collage sont le tenon et la poutre incisale. La dépose débute donc par une première découpe de l’ai-lette afin d’individualiser le tenon. La seconde étape vise à détruire la poutre incisale.Attention ! Les aides optiques sont

indispensables lors de ces étapes.Le matériau de collage a plutôt ten-dance à mieux coller à la dent. Et c’est tant mieux ! Il faut parvenir à chauffer la colle avec des US, sans eau, tout en évitant de trop échauf-fer la pulpe.Un insert plat en lame s’avérera très intéressant. Il permet d’appli-quer des contraintes de clivage qui fragilisent fortement la colle. Lors du démontage d’une attelle, il est important de bien analyser l’échec afin de mieux anticiper la suite du traitement. Il s’agit de déterminer si l’on doit ou non modifier la stra-tégie thérapeutique. Ces situations sont toujours délicates à gérer. C’est la raison pour laquelle il convient impérativement de mettre en place un suivi rigoureux à la suite de la réalisation d’une attelle coulée.

Phase 1 – Section du bord libre de l’attelle collée à l’aide d’une fraise Komet réf. 6889.

Phase 3 – Poursuite du décollement à l’aide d’une spatule de bouche.

Phase 2 – Début du décollement de l’attelle à l’aide de l’insert à ultrasons Komet SFM 1F.

Phase 4 – Résultat

Stéphane Cazier

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Journée - 27 mars 2014 - « Démonter pour préserver »

26 JSOP N° 7 SEPTEMBRE 2014 JSOP N° 7 SEPTEMBRE 2014 27

La dépose des éléments prothétiques

La dépose des élé-ments prothé-tiques avant retrai-

tement endodontique orthograde constitue un acte incon-tournable de notre exercice. Elle ré-pond à une stratégie précise visant à préserver les structures dentaires résiduelles, l’objectif étant d’obtenir l’accès au canal afin d’en négocier la portion non obturée.Il convient en premier lieu d’effec-tuer un examen clinique précis où sont successivement analysés : le type et la valeur de la restauration, la nature du pilier, celle de l’échec, et le mode d’assemblage. Enfin, comme souvent, il est souhaitable d’éva-luer le rapport bénéfice/risque de la dépose, d’en informer le patient, et de proposer une alternative en cas d’échec.La dépose des couronnes ou res-

taurations avant le retraitement endodontique orthograde est pré-férable car ces dernières masquent l’anatomie de la chambre pulpaire. En outre, les axes couronne/racine ne concordent pas toujours.Seuls deux cas de figure nous au-torisent à ne pas déposer : lorsque la couronne est récente et satisfai-sante tant sur les plans esthétiques que parodontal, et dans le cas des restaurations plurales. Dans ces deux situations, il nous faut passer prudemment au travers des coiffes, en travaillant si possible sous aides optiques.Deux modes de dépose s’opposent : le démontage et le descellement, avec un objectif commun : préserver les structures dentaires sous-ja-centes.Le démontage s’apparente au dé-coupage de la pièce prothétique,

État initial de la couronne à déposer.

Insertion de l’instrument Wamkey® en lui imprimant de petits mouvements dans les 3 axes de l’espace.

Réalisation d’un avant-trou à la jonction supposée entre la reconstitution et la couronne

Mise en évidence de l’inlay-core.

et le descellement implique la dé-sagrégation du joint de ciment avec préservation de la coiffe.DécoupageL’instrumentation nécessaire au dé-coupage est simple. Elle comprend des fraises (transmétal notamment chez Komet® ou Maillefer®) et des élévateurs. Il s’agit d’effectuer une tranchée de la zone cervicale de la face vestibulaire au milieu de la face occlusale, d’exercer des vibrations via les ultrasons au niveau du joint de ciment à l’intérieur de la tran-chée et, enfin, d’écarter les bords de la tranchée avec l’élévateur. Durant cette opération, l’objectif principal est la protection du moignon den-taire. Dans le cas d’un bridge, des tranchées sont faites sur les piliers antérieurs et postérieurs, et la même démarche peut être appliquée.DescellementIl est recommandé aujourd’hui de bannir l’arrache-couronne, souvent responsable de fractures dentaires ou radiculaires. Des instruments type WAM Keys (WAM®) sont à notre disposition et permettent de desceller la couronne par un mou-vement de rotation. Les trois clés sont successivement passées dans une petite tranchée vestibulaire et/ou linguale, faite à la fraise dans la zone de jonction présumée entre l’intrados prothétique et le moi-gnon. La clé entrant en friction est la bonne. On l’utilise en rotation afin de desceller la coiffe selon son axe.Pour les bridges, des instruments type CORONAFLEX (Kavo®) sont très utiles et confortables pour le patient. Ils émettent des micro-pulsations par l’intermédiaire de câbles métalliques placés dans les embrasures mésiale et distale, qui désagrègent le joint de ciment.Dépose des inlays-coresIl s’agit de découper l’inlay-core en

isolant chaque tenon et, si possible, sous aides optiques. Une fois les tranchées effectuées entre chaque tenon, à la fraise transmétal, des ultrasons à grande puissance sous spray permettent de désagréger le joint de ciment.Dépose des ancrages radiculaires• Screw-postOn élimine d’abord le matériau qui l’entoure tout en ménageant sa tête. Plusieurs instruments peuvent ai-der au dévissage : inserts à ultrasons type Start-X n° 4 (Denstply®), clés à screw-post (Dentatus®), ou fraise Ro-toPro (Ellman®) sur turbine, placée sur la tête du screw-post et action-née dans le sens anti-horaire.• Tenons radiculairesIl faut en connaître la nature (pas-sifs ou coulés), la forme (parallèle ou conique), et en évaluer la lon-gueur et la largeur.Les tenons longs et cylindro-co-niques sont les plus difficiles à déposer ; les tenons larges peuvent engendrer des fractures radiculaires lors de la dépose, du fait des parois radiculaires résiduelles fines. Il est possible d’utiliser différents inserts à ultrasons en première intention, comme le Start X (Dentsply®), tou-jours sous spray d’eau abondant.En deuxième intention, les ex-tracteurs de tenon comme celui de Gonon ou de Thomas sont préfé-rables car ils permettent de déposer le tenon en traction selon son axe (via un système de trépans et de filières associées) et ce, en respec-tant la racine.Enfin, la trousse de Masseran, basée sur le même principe, est réservée aux tenons fracturés profondément dans la racine. Elle possède en ef-fet des trépans plus fins capables de pénétrer à l’intérieur du canal sans dégâts.

Vue clinique après descellement de la moitié vestibulaire de l’inlay-core.

Section transversale de l’inlay-core après mise sous digue.

Descellement de l’inlay-core à l’aide d’un insert à ultrasons.

Les trois pièces prothétiques résiduelles après leur dépose. Remarque : une fois rebasée, la couronne prothétique peut servir de prothèse transitoire pendant les phases de reprise de traitement endodontique.

Pierre Machtou

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Journée - 27 mars 2014 - « Démonter pour préserver »

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La dépose des éléments prothétiques

La dépose des élé-ments prothé-tiques avant retrai-

tement endodontique orthograde constitue un acte incon-tournable de notre exercice. Elle ré-pond à une stratégie précise visant à préserver les structures dentaires résiduelles, l’objectif étant d’obtenir l’accès au canal afin d’en négocier la portion non obturée.Il convient en premier lieu d’effec-tuer un examen clinique précis où sont successivement analysés : le type et la valeur de la restauration, la nature du pilier, celle de l’échec, et le mode d’assemblage. Enfin, comme souvent, il est souhaitable d’éva-luer le rapport bénéfice/risque de la dépose, d’en informer le patient, et de proposer une alternative en cas d’échec.La dépose des couronnes ou res-

taurations avant le retraitement endodontique orthograde est pré-férable car ces dernières masquent l’anatomie de la chambre pulpaire. En outre, les axes couronne/racine ne concordent pas toujours.Seuls deux cas de figure nous au-torisent à ne pas déposer : lorsque la couronne est récente et satisfai-sante tant sur les plans esthétiques que parodontal, et dans le cas des restaurations plurales. Dans ces deux situations, il nous faut passer prudemment au travers des coiffes, en travaillant si possible sous aides optiques.Deux modes de dépose s’opposent : le démontage et le descellement, avec un objectif commun : préserver les structures dentaires sous-ja-centes.Le démontage s’apparente au dé-coupage de la pièce prothétique,

État initial de la couronne à déposer.

Insertion de l’instrument Wamkey® en lui imprimant de petits mouvements dans les 3 axes de l’espace.

Réalisation d’un avant-trou à la jonction supposée entre la reconstitution et la couronne

Mise en évidence de l’inlay-core.

et le descellement implique la dé-sagrégation du joint de ciment avec préservation de la coiffe.DécoupageL’instrumentation nécessaire au dé-coupage est simple. Elle comprend des fraises (transmétal notamment chez Komet® ou Maillefer®) et des élévateurs. Il s’agit d’effectuer une tranchée de la zone cervicale de la face vestibulaire au milieu de la face occlusale, d’exercer des vibrations via les ultrasons au niveau du joint de ciment à l’intérieur de la tran-chée et, enfin, d’écarter les bords de la tranchée avec l’élévateur. Durant cette opération, l’objectif principal est la protection du moignon den-taire. Dans le cas d’un bridge, des tranchées sont faites sur les piliers antérieurs et postérieurs, et la même démarche peut être appliquée.DescellementIl est recommandé aujourd’hui de bannir l’arrache-couronne, souvent responsable de fractures dentaires ou radiculaires. Des instruments type WAM Keys (WAM®) sont à notre disposition et permettent de desceller la couronne par un mou-vement de rotation. Les trois clés sont successivement passées dans une petite tranchée vestibulaire et/ou linguale, faite à la fraise dans la zone de jonction présumée entre l’intrados prothétique et le moi-gnon. La clé entrant en friction est la bonne. On l’utilise en rotation afin de desceller la coiffe selon son axe.Pour les bridges, des instruments type CORONAFLEX (Kavo®) sont très utiles et confortables pour le patient. Ils émettent des micro-pulsations par l’intermédiaire de câbles métalliques placés dans les embrasures mésiale et distale, qui désagrègent le joint de ciment.Dépose des inlays-coresIl s’agit de découper l’inlay-core en

isolant chaque tenon et, si possible, sous aides optiques. Une fois les tranchées effectuées entre chaque tenon, à la fraise transmétal, des ultrasons à grande puissance sous spray permettent de désagréger le joint de ciment.Dépose des ancrages radiculaires• Screw-postOn élimine d’abord le matériau qui l’entoure tout en ménageant sa tête. Plusieurs instruments peuvent ai-der au dévissage : inserts à ultrasons type Start-X n° 4 (Denstply®), clés à screw-post (Dentatus®), ou fraise Ro-toPro (Ellman®) sur turbine, placée sur la tête du screw-post et action-née dans le sens anti-horaire.• Tenons radiculairesIl faut en connaître la nature (pas-sifs ou coulés), la forme (parallèle ou conique), et en évaluer la lon-gueur et la largeur.Les tenons longs et cylindro-co-niques sont les plus difficiles à déposer ; les tenons larges peuvent engendrer des fractures radiculaires lors de la dépose, du fait des parois radiculaires résiduelles fines. Il est possible d’utiliser différents inserts à ultrasons en première intention, comme le Start X (Dentsply®), tou-jours sous spray d’eau abondant.En deuxième intention, les ex-tracteurs de tenon comme celui de Gonon ou de Thomas sont préfé-rables car ils permettent de déposer le tenon en traction selon son axe (via un système de trépans et de filières associées) et ce, en respec-tant la racine.Enfin, la trousse de Masseran, basée sur le même principe, est réservée aux tenons fracturés profondément dans la racine. Elle possède en ef-fet des trépans plus fins capables de pénétrer à l’intérieur du canal sans dégâts.

Vue clinique après descellement de la moitié vestibulaire de l’inlay-core.

Section transversale de l’inlay-core après mise sous digue.

Descellement de l’inlay-core à l’aide d’un insert à ultrasons.

Les trois pièces prothétiques résiduelles après leur dépose. Remarque : une fois rebasée, la couronne prothétique peut servir de prothèse transitoire pendant les phases de reprise de traitement endodontique.

Pierre Machtou

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Journée - 27 mars 2014 - « Démonter pour préserver »

28 JSOP N° 7 SEPTEMBRE 2014 JSOP N° 7 SEPTEMBRE 2014 29

Nous devons déposer de plus en plus

souvent des tenons fibrés, du fait d’échecs endo-dontique et/ou prothétique. La dépose de la restauration co-rono-radiculaire doit permettre l’accès à la totalité de l’endo-donte et préserver la structure dentaire.Les restaurations corono-radi-culaires par matériau inséré en phase plastique sont constituées le plus souvent de composite associé à différents types de te-nons. Ces tenons sont composés de fibres de carbone, de verre ou de quartz, qui sont orientées pa-rallèlement à leur grand axe et liées entre elles par une matrice de résine époxy ou acrylique.La dépose des reconstitutions fibrées est réalisée soit à l’aide de systèmes ultrasonores, soit à l’aide de forets.

• La technique ultrasonoreC’est la technique la plus sûre et la plus efficace pour retirer la totalité du composite et du tenon fibré. Ils sont éliminés dans la portion radiculaire avec des inserts diamantés tels que des boules diamantées (ETBD, Satelec) et cylindro-coniques diamantés (ET18D, Satelec) ou des inserts microfraisés (StartX #3, Dentsply Maillefer). L’éli-

mination se fait par touches successives jusqu’à voir les pa-rois radiculaires, de l’entrée canalaire jusqu’au matériau d’obturation endodontique. Le contrôle visuel est impératif tout au long de l’intervention.

• La technique de forageIl s’agit d’une méthode consis-tant à éliminer d’abord le tenon et ensuite le composite de collage. Cette méthode, plus risquée, nécessite de connaître la longueur du tenon (radiogra-phie) et son axe. Celui-ci est perpendiculaire à la surface du tenon quand sa section est ra-menée d’ovalaire à circulaire. Un premier foret pointeur est inséré jusqu’à la butée, permet-tant une pénétration contrôlée en axe et en profondeur dans le tenon. Enfin, un foret Peeso n° 2 (diamètre 90/100) muni d’un stop à la longueur du te-non et monté sur contre angle bleu, sous spray d’eau, pénètre le tenon selon l’axe de ses fibres permettant son élimination complète par délaminage.En conclusion, la dépose est réalisable dans des temps cli-niques assez courts qui varient de 5 à 15 minutes. Le protocole clinique doit être scrupuleu-sement suivi. L’utilisation des aides optiques apporte sécurité et efficacité à ce type d’actes.

Dépose des tenons fibrés

Cauris Couvrechel

Séquence instrumentale recommandée.

Guidage.

Repérage.

Forage.

Retrait des instruments fracturés en endodontie

L’avènement de la rotation continue a rendu accessible

au plus grand nombre la réalisation de traitement endo-dontique de qualité, mais expose à un risque de fracture instrumentale accru. Chaque situation clinique est particulière, et nous conduit à envi-sager différents scénarii :• Passer le long du fragment avec des limes K puis le retirer ;• Passer le long, sans retrait, pour mise en forme et obturation du canal ;• Tenter le retrait, si le passage est impossible ;• Laisser le fragment dans le canal, et conduire le traitement jusqu’à ce niveau.La décision thérapeutique doit prendre en considération les para-mètres suivants :• Plus le fragment est situé coronai-rement, plus le taux de succès sera élevé. À l’inverse, la situation de l’ins-trument après la courbe est la plus défavorable.• Les instruments fracturés de di-mension supérieure à 5 mm sont plus facilement retirés.• Les chances de retirer un instru-ment en acier sont meilleures que pour les fragments de limes en NiTi.• Un délabrement est prévisible.• L’opérateur doit être formé et doit disposer d’un plateau technique adéquat.La stratégie consiste à obtenir un accès visuel à la partie coronaire du

fragment car l’accès radiculaire doit être équivalent à ce qu’il aurait été en l’absence de l’instrument fracturé. S’il existe de la place latéralement au fragment, le passage de limes K de petit calibre dans un bain de so-lution d’irrigation peut permettre de dépasser l’obstruction. La mobi-lisation du fragment après la mise en forme du canal est réalisée avec une lime K ultrasonore placée api-calement à l’instrument.S’il n’existe pas de place latéralement à l’obstruction, il faudra utiliser la technique décrite par Clif Ruddle mettant en jeu des forets de Gates modifiés et des inserts ultrasonores dans un mouvement anti-horaire susceptible de déplacer le fragment en direction coronaire.Si le fragment résiste à la vibration ultrasonore, l’option du micro-tube autorise la préhension directe du fragment et son retrait. En cas d’échec, le canal est mis en forme coronairement à l’obstruction et obturé à l’aide d’une technique de gutta chaude afin de garantir l’étan-chéité coronaire.En conclusion, les chances de suc-cès doivent être évaluées avant toute tentative de retrait d’un ins-trument fracturé. Si les moyens techniques actuels permettent au clinicien entraîné de gérer ce type de complications par voie ortho-grade dans la très grande majorité des cas, le meilleur traitement reste encore la prévention.

À gauche état initial, à droite résultat final après reprise de traitement.

Phase 2 – Poursuite du dégagement cervical t à l’aide d’un foret Largo modifié (pointe sectionnée).

Phase 1 – Utilisation de l’insert à ultrasons Satelec ET25 afin de dégager la partie cervicale de l’instrument fracturé.

Phase 3 – Enfin utilisation de l’insert ENDO-5 de Satelec.

François Bronnec

LES REPLAY DE LA SOP LES REPLAY DE LA SOP

Journée - 27 mars 2014 - « Démonter pour préserver »

28 JSOP N° 7 SEPTEMBRE 2014 JSOP N° 7 SEPTEMBRE 2014 29

Nous devons déposer de plus en plus

souvent des tenons fibrés, du fait d’échecs endo-dontique et/ou prothétique. La dépose de la restauration co-rono-radiculaire doit permettre l’accès à la totalité de l’endo-donte et préserver la structure dentaire.Les restaurations corono-radi-culaires par matériau inséré en phase plastique sont constituées le plus souvent de composite associé à différents types de te-nons. Ces tenons sont composés de fibres de carbone, de verre ou de quartz, qui sont orientées pa-rallèlement à leur grand axe et liées entre elles par une matrice de résine époxy ou acrylique.La dépose des reconstitutions fibrées est réalisée soit à l’aide de systèmes ultrasonores, soit à l’aide de forets.

• La technique ultrasonoreC’est la technique la plus sûre et la plus efficace pour retirer la totalité du composite et du tenon fibré. Ils sont éliminés dans la portion radiculaire avec des inserts diamantés tels que des boules diamantées (ETBD, Satelec) et cylindro-coniques diamantés (ET18D, Satelec) ou des inserts microfraisés (StartX #3, Dentsply Maillefer). L’éli-

mination se fait par touches successives jusqu’à voir les pa-rois radiculaires, de l’entrée canalaire jusqu’au matériau d’obturation endodontique. Le contrôle visuel est impératif tout au long de l’intervention.

• La technique de forageIl s’agit d’une méthode consis-tant à éliminer d’abord le tenon et ensuite le composite de collage. Cette méthode, plus risquée, nécessite de connaître la longueur du tenon (radiogra-phie) et son axe. Celui-ci est perpendiculaire à la surface du tenon quand sa section est ra-menée d’ovalaire à circulaire. Un premier foret pointeur est inséré jusqu’à la butée, permet-tant une pénétration contrôlée en axe et en profondeur dans le tenon. Enfin, un foret Peeso n° 2 (diamètre 90/100) muni d’un stop à la longueur du te-non et monté sur contre angle bleu, sous spray d’eau, pénètre le tenon selon l’axe de ses fibres permettant son élimination complète par délaminage.En conclusion, la dépose est réalisable dans des temps cli-niques assez courts qui varient de 5 à 15 minutes. Le protocole clinique doit être scrupuleu-sement suivi. L’utilisation des aides optiques apporte sécurité et efficacité à ce type d’actes.

Dépose des tenons fibrés

Cauris Couvrechel

Séquence instrumentale recommandée.

Guidage.

Repérage.

Forage.

Retrait des instruments fracturés en endodontie

L’avènement de la rotation continue a rendu accessible

au plus grand nombre la réalisation de traitement endo-dontique de qualité, mais expose à un risque de fracture instrumentale accru. Chaque situation clinique est particulière, et nous conduit à envi-sager différents scénarii :• Passer le long du fragment avec des limes K puis le retirer ;• Passer le long, sans retrait, pour mise en forme et obturation du canal ;• Tenter le retrait, si le passage est impossible ;• Laisser le fragment dans le canal, et conduire le traitement jusqu’à ce niveau.La décision thérapeutique doit prendre en considération les para-mètres suivants :• Plus le fragment est situé coronai-rement, plus le taux de succès sera élevé. À l’inverse, la situation de l’ins-trument après la courbe est la plus défavorable.• Les instruments fracturés de di-mension supérieure à 5 mm sont plus facilement retirés.• Les chances de retirer un instru-ment en acier sont meilleures que pour les fragments de limes en NiTi.• Un délabrement est prévisible.• L’opérateur doit être formé et doit disposer d’un plateau technique adéquat.La stratégie consiste à obtenir un accès visuel à la partie coronaire du

fragment car l’accès radiculaire doit être équivalent à ce qu’il aurait été en l’absence de l’instrument fracturé. S’il existe de la place latéralement au fragment, le passage de limes K de petit calibre dans un bain de so-lution d’irrigation peut permettre de dépasser l’obstruction. La mobi-lisation du fragment après la mise en forme du canal est réalisée avec une lime K ultrasonore placée api-calement à l’instrument.S’il n’existe pas de place latéralement à l’obstruction, il faudra utiliser la technique décrite par Clif Ruddle mettant en jeu des forets de Gates modifiés et des inserts ultrasonores dans un mouvement anti-horaire susceptible de déplacer le fragment en direction coronaire.Si le fragment résiste à la vibration ultrasonore, l’option du micro-tube autorise la préhension directe du fragment et son retrait. En cas d’échec, le canal est mis en forme coronairement à l’obstruction et obturé à l’aide d’une technique de gutta chaude afin de garantir l’étan-chéité coronaire.En conclusion, les chances de suc-cès doivent être évaluées avant toute tentative de retrait d’un ins-trument fracturé. Si les moyens techniques actuels permettent au clinicien entraîné de gérer ce type de complications par voie ortho-grade dans la très grande majorité des cas, le meilleur traitement reste encore la prévention.

À gauche état initial, à droite résultat final après reprise de traitement.

Phase 2 – Poursuite du dégagement cervical t à l’aide d’un foret Largo modifié (pointe sectionnée).

Phase 1 – Utilisation de l’insert à ultrasons Satelec ET25 afin de dégager la partie cervicale de l’instrument fracturé.

Phase 3 – Enfin utilisation de l’insert ENDO-5 de Satelec.

François Bronnec

LES REPLAY DE LA SOP LES REPLAY DE LA SOP

Journée - 27 mars 2014 - « Démonter pour préserver »

30 JSOP N° 7 SEPTEMBRE 2014 JSOP N° 7 SEPTEMBRE 2014 31

Dépose et démontage en implantologie

La notion de démon-tage en implan-tologie reste par-

fois synonyme d’échec. Pourtant, il existe une instrumentation et des protocoles spécifiques qui permettent de gé-

rer des situations plus ou moins simplement. En implantologie, nous sommes conduits à déposer les vis de prothèse ou de pilier d’une part, et les implants eux-mêmes d’autre part.

Dépose des visDeux cas de figure peuvent se pré-senter : la vis est fracturée ou la vis est abîmée, rendant impossible l’uti-lisation du tournevis.• Dans ce dernier cas, l’instrument de choix est le tourne-à-gauche. On l’insère dans le faux moignon en le bloquant dans la tête de vis, et on tourne dans le sens anti-horaire. Cela débloque la vis et entraîne le dévissage du faux moignon. Lorsque la tête de vis est trop abîmée pour utiliser le tourne-à-gauche, il s’agit de meuler prudemment le résidu de tête de vis à l’aide d’une fraise boule de diamètre adapté.• Dans le cas d’une vis fracturée (com-plication assez rare à cinq ans, mais qui tend à augmenter avec le temps et la fatigue du matériau), deux situa-tions peuvent se présenter.– La vis est fracturée haut : une vis sans tête dépasse de l’implant. Les

ultrasons nous permettent assez facilement de faire remonter la vis en la vibrant dans le sens du dévissage.– La vis casse au ras de l’implant ou dans le filetage. Il est possible d’uti-liser, avec précaution, les ultrasons dans un premier temps. Si ceux-ci ne fonctionnent pas, certains sys-tèmes proposent des kits d’entretien (ou de récupération de vis fracturée 1.03 801). Ils sont basés sur l’utilisa-tion d’une petite douille de guidage placée sur la plate-forme implan-taire supposée intacte. Cette douille possède en son centre un trou per-mettant de guider un foret sur le fragment de vis fracturé. Celui-ci crée une cavitation rendant pos-sible l’utilisation d’un mini tourne-à gauche qui, après retrait de la douille de guidage, entraîne le dévissage de la vis. D’autres kits d’entretien (chez Nobel® par exemple) sont des kits de réfection d’un filetage implan-taire endommagé. Enfin, certains kits (coréens) sont compatibles avec plusieurs systèmes implantaires et impliquent eux aussi l’utilisation d’une douille de guidage (à condi-tion que la vis casse dans le filetage et non au ras de l’implant), d’un pe-tit foret, puis d’un tourne-à-gauche monté sur contre-angle qui récu-père le fragment de vis.Concernant le remplacement des molaires mandibulaires par exemple et/ou si le patient bruxe, la mise en place d’implants à col large (comme les wide-neck chez Straumann® ou

Cas clinique 1.

Cas clinique 2.

Radiographie panoramique du cas clinique 1.

Cas clinique 3 - Radiographie d’une tête de vis fracturée.

Zimmer®, de 6 mm de diamètre) per-met de prévenir la fracture de vis.

Dépose des implantsTrois situations nous conduisent à déposer l’implant :• Il n’est pas ostéo-intégré (il n’y a alors pas de résistance au dévissage, donc la dépose est assez simple) ;- En cas de péri-implantite ;- Il est fracturé.Dans le cas d’une péri-implantite, qui concerne un implant sur dix à 10 ans et 20 % des patients (Monbelli, 2012), mieux vaut parfois déposer l’implant et laisser cicatriser huit mois à un an plutôt que de vouloir traiter la péri-implantite. La dépose de l’implant se fait en général assez simplement si le couple de dévissage est bon.Lorsque l’implant est fracturé, à l’inverse, il nous faut utiliser une instrumentation spécifique.Selon certaines études (Jung, 2012, ou Pjetursson, 2008), 0,18 % des im-plants de couronnes unitaires ou 0,5 % des implants supports de pro-thèse partielle fracturent à cinq ans. Ces taux se sont nettement amélio-rés avec l’augmentation du diamètre des implants (surtout en postérieur à la mandibule) et l’utilisation d’al-

liages aux propriétés mécaniques plus performantes. Des fractures implan-taires sont possibles quelle que soit la marque des implants posés s’ils sont un peu étroits ou trop sollicités.Au maxillaire, un tourne-à-gauche peut suffire en ayant accès à l’inté-rieur de l’implant. À la mandibule, l’instrumentation dépend de la longueur de l’implant fracturé. Si l’implant est court, malgré un diamètre large et de l’os dense, le tourne-à-gauche fonctionne. Dans le cas d’un implant long, des kits de trépans (Straumann®, ACE®), dont le diamètre interne est adapté à celui de l’implant, sont nécessaires. On utilise le trépan dans l’axe de l’im-plant ; une petite vis placée dans l’implant sert d’indication visuelle d’axe. Puis on reprend le tourne-à-gauche et, si besoin, à nouveau le trépan en alésant un peu plus. De façon générale, les trépans restent à utiliser en deuxième intention, après le tourne-à-gauche, qui préserve l’os.Ces instruments de dépose sont à intégrer dans le choix d’un système implantaire, tous les fabricants ne les proposant pas encore. Le tourne-à-gauche peut toutefois être adapté à un implant de marque différente.

Dépose d’un implant à l’aide d’un trépan.

Cas clinique 3 - Vue endobuccale de la vis fracturée.

Cas clinique 4 – Radiographie panoramique.

Dépose d’un implant à l’aide d’un « tourne à gauche ».

Philippe Khayat et Benjamin Pomès

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Dépose et démontage en implantologie

La notion de démon-tage en implan-tologie reste par-

fois synonyme d’échec. Pourtant, il existe une instrumentation et des protocoles spécifiques qui permettent de gé-

rer des situations plus ou moins simplement. En implantologie, nous sommes conduits à déposer les vis de prothèse ou de pilier d’une part, et les implants eux-mêmes d’autre part.

Dépose des visDeux cas de figure peuvent se pré-senter : la vis est fracturée ou la vis est abîmée, rendant impossible l’uti-lisation du tournevis.• Dans ce dernier cas, l’instrument de choix est le tourne-à-gauche. On l’insère dans le faux moignon en le bloquant dans la tête de vis, et on tourne dans le sens anti-horaire. Cela débloque la vis et entraîne le dévissage du faux moignon. Lorsque la tête de vis est trop abîmée pour utiliser le tourne-à-gauche, il s’agit de meuler prudemment le résidu de tête de vis à l’aide d’une fraise boule de diamètre adapté.• Dans le cas d’une vis fracturée (com-plication assez rare à cinq ans, mais qui tend à augmenter avec le temps et la fatigue du matériau), deux situa-tions peuvent se présenter.– La vis est fracturée haut : une vis sans tête dépasse de l’implant. Les

ultrasons nous permettent assez facilement de faire remonter la vis en la vibrant dans le sens du dévissage.– La vis casse au ras de l’implant ou dans le filetage. Il est possible d’uti-liser, avec précaution, les ultrasons dans un premier temps. Si ceux-ci ne fonctionnent pas, certains sys-tèmes proposent des kits d’entretien (ou de récupération de vis fracturée 1.03 801). Ils sont basés sur l’utilisa-tion d’une petite douille de guidage placée sur la plate-forme implan-taire supposée intacte. Cette douille possède en son centre un trou per-mettant de guider un foret sur le fragment de vis fracturé. Celui-ci crée une cavitation rendant pos-sible l’utilisation d’un mini tourne-à gauche qui, après retrait de la douille de guidage, entraîne le dévissage de la vis. D’autres kits d’entretien (chez Nobel® par exemple) sont des kits de réfection d’un filetage implan-taire endommagé. Enfin, certains kits (coréens) sont compatibles avec plusieurs systèmes implantaires et impliquent eux aussi l’utilisation d’une douille de guidage (à condi-tion que la vis casse dans le filetage et non au ras de l’implant), d’un pe-tit foret, puis d’un tourne-à-gauche monté sur contre-angle qui récu-père le fragment de vis.Concernant le remplacement des molaires mandibulaires par exemple et/ou si le patient bruxe, la mise en place d’implants à col large (comme les wide-neck chez Straumann® ou

Cas clinique 1.

Cas clinique 2.

Radiographie panoramique du cas clinique 1.

Cas clinique 3 - Radiographie d’une tête de vis fracturée.

Zimmer®, de 6 mm de diamètre) per-met de prévenir la fracture de vis.

Dépose des implantsTrois situations nous conduisent à déposer l’implant :• Il n’est pas ostéo-intégré (il n’y a alors pas de résistance au dévissage, donc la dépose est assez simple) ;- En cas de péri-implantite ;- Il est fracturé.Dans le cas d’une péri-implantite, qui concerne un implant sur dix à 10 ans et 20 % des patients (Monbelli, 2012), mieux vaut parfois déposer l’implant et laisser cicatriser huit mois à un an plutôt que de vouloir traiter la péri-implantite. La dépose de l’implant se fait en général assez simplement si le couple de dévissage est bon.Lorsque l’implant est fracturé, à l’inverse, il nous faut utiliser une instrumentation spécifique.Selon certaines études (Jung, 2012, ou Pjetursson, 2008), 0,18 % des im-plants de couronnes unitaires ou 0,5 % des implants supports de pro-thèse partielle fracturent à cinq ans. Ces taux se sont nettement amélio-rés avec l’augmentation du diamètre des implants (surtout en postérieur à la mandibule) et l’utilisation d’al-

liages aux propriétés mécaniques plus performantes. Des fractures implan-taires sont possibles quelle que soit la marque des implants posés s’ils sont un peu étroits ou trop sollicités.Au maxillaire, un tourne-à-gauche peut suffire en ayant accès à l’inté-rieur de l’implant. À la mandibule, l’instrumentation dépend de la longueur de l’implant fracturé. Si l’implant est court, malgré un diamètre large et de l’os dense, le tourne-à-gauche fonctionne. Dans le cas d’un implant long, des kits de trépans (Straumann®, ACE®), dont le diamètre interne est adapté à celui de l’implant, sont nécessaires. On utilise le trépan dans l’axe de l’im-plant ; une petite vis placée dans l’implant sert d’indication visuelle d’axe. Puis on reprend le tourne-à-gauche et, si besoin, à nouveau le trépan en alésant un peu plus. De façon générale, les trépans restent à utiliser en deuxième intention, après le tourne-à-gauche, qui préserve l’os.Ces instruments de dépose sont à intégrer dans le choix d’un système implantaire, tous les fabricants ne les proposant pas encore. Le tourne-à-gauche peut toutefois être adapté à un implant de marque différente.

Dépose d’un implant à l’aide d’un trépan.

Cas clinique 3 - Vue endobuccale de la vis fracturée.

Cas clinique 4 – Radiographie panoramique.

Dépose d’un implant à l’aide d’un « tourne à gauche ».

Philippe Khayat et Benjamin Pomès

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32 JSOP N° 7 SEPTEMBRE 2014 JSOP N° 7 SEPTEMBRE 2014 33

Cette année, la SOP a choisi de sortir des sentiers battus et souhaite marquer l’édition 2014 du congrès de l’ADF par la présentation de concepts inédits et révolutionnaires dans notre profession.

Le jeudi 27 novembre à 9 heures, trois conférenciers, tous cher-cheurs et cliniciens triés sur le

volet, viendront présenter pas moins de cinq concepts qui pourraient impri-mer un véritablement tournant dans le monde de la dentisterie.David Nisand expliquera l’approche très récente consistant à poser des implants courts dans les secteurs pos-térieurs résorbés. Il démontrera, lors de cette première conférence, que le dogme suivant lequel la hauteur de la couronne clinique doit être au moins égale à la longueur de l’implant n’est pas une vérité absolue.Si cette technique ne possède pas encore le recul nécessaire, notam-ment dans le suivi à long terme des implants courts, la grande innovation réside dans le non-recours aux amé-nagements de tissus. David Nisand

démontrera l’importance de l’adap-tation de l’implant à l’anatomie du patient dans la pose d’implants courts.Viendra ensuite le tour de Stéphane Simon qui exposera trois nouveaux concepts dans le domaine de l’endodontie.

Il débutera sa conférence par une présentation en avant-première d’un nouveau système d’irrigation en continu avec une activation en un seul temps. Si jusqu’alors les praticiens procédaient de façon « artisanale », ce nouvel appareil, conceptualisé par Stéphane Simon lui-même, permet d’irriguer tout au long de la prépara-tion du canal de la racine.Deuxième nouveauté en endodontie : l’obturation du système canalaire recourant au concept de monocône. Stéphane Simon présentera les nou-veaux matériaux biocéramiques qui permettent de mettre en application ce concept. Il expliquera comment un seul matériau peut remplir et rendre hermétique le canal.Le troisième concept sera basé sur l’ingénierie tissulaire en endodontie régénérative.Gil Tirlet introduira, quant à lui, un bouleversement dans le monde des restaurations dentaires et du concept mécanique et délabrant des prothèses conjointes conventionnelles, lors de sa conférence. Il exposera les techniques alternatives à la pose de couronnes lorsque la dent est très abîmée avec des concepts de dentisterie contemporaine. Pour cela, il s’attachera à développer les concepts de biomimétique et de bioé-mulation en prenant la dent comme « Maître » modèle et en mimant au plus proche le comportement phy-siologique de la dent.

La SOP à l’ADF

5 concepts révolutionnaires à la séance de la SOP à l’ADF

LE MAG’ CONGRÈS DE L’ADF LE MAG’ CONGRÈS DE L’ADF

Quelle sera la plus-value de la séance de la SOP au prochain congrès de l’ADF ?La plus-value tient en deux mots : nouveautés et révolutions. Les concepts, présentés par trois grands noms de la profession, sont révolu-tionnaires voire avant-gardistes dans le mode de la dentisterie. Pour ne

donner qu’un exemple, l’intervention de David Nisand va à l’encontre des idées reçues en implantologie. Quant à Stéphane Simon et Gil Tirlet, ils repensent les techniques actuelles. Ils expliqueront comment conserver la pulpe voire la façon dont le prati-cien peut la régénérer au lieu de la remplacer. Les techniques adhé-sives qui dépassent largement ce que nous avons vu jusqu’à mainte-nant, permettent la restauration de délabrements partiels, mais aussi de grands délabrements sur des dents dépulpées ou non, mais avec des pertes de substances importantes.Quelle sera l’approche pédagogique des conférenciers ?Si toutes les conférences seront de haut vol, elles ne seront jamais inac-cessibles. Pour illustrer des concepts complexes, les conférenciers présen-teront des cas cliniques réels et de

tous les jours. Inscrire ces nouveau-tés dans leur traduction clinique, tel est l’un des objectifs de cette séance. De plus, tous les clichés illustrant les conférences seront présentés en haute définition. Il faut s’attendre à une projection de photos exception-nelles ! À la fin de chaque conférence, comme chaque année, des questions et débats seront organisés entre les conférenciers et les congressistes.Le praticien ressortira-t-il de la conférence avec des réponses concrètes et applicatives ?Oui, bien sûr, car même si certains concepts sont encore très peu prati-qués, la présentation des nouveaux matériaux et machines permettront aux praticiens de s’en servir dès le lendemain matin au cabinet den-taire.

*Avec l’aide de Nicolas Lehman, Gérard Mandel et Corinne Touboul.

Trois questions à Philippe MilcentResponsable de la séance de la SOP à l’ADF*

David NisandPose des implants courts dans les secteurs postérieurs résorbés

Stéphane SimonInnovation matérielle et conceptuelle en endodontie

Gil TirletLa dent naturelle : un maître mot pour la dentisterie contemporaine.

La SOP installera son stand au congrès de l’ADF au 1er étage à l’emplacement

n° 1M16, du mardi 25 au samedi 29 novembre prochain au pa-lais des congrès, à Paris, Porte Maillot.Mais pour l’édition 2014, le stand de la SOP se veut, tout comme la séance de la SOP, innovant avec une nouvelle identité visuelle pour un accueil chaleureux et convi-

vial. Venir au stand de la SOP sera l’occasion privilégiée pour les praticiens d’adhérer ou de renouveler son adhésion à la

SOP et de partager des moments conviviaux avec les administra-teurs de notre société.De nombreux cadeaux, acti-vités et surprises (culinaires !) attendront les congressistes. Les administrateurs de la SOP se relayeront tout au long du congrès pour répondre aux questions des confrères. N’hési-tez pas à venir vous y informer sur notre programme de forma-tion 2015.

Le stand de la SOP fait peau neuve !Le film de la séance des nouveautés

Les conférenciers, qui interviendront lors de la séance de la SOP à l’ADF, mettront l’accent sur des concepts thérapeutiques en implantologie, en endodontie et en odontologie conservatrice.

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Cette année, la SOP a choisi de sortir des sentiers battus et souhaite marquer l’édition 2014 du congrès de l’ADF par la présentation de concepts inédits et révolutionnaires dans notre profession.

Le jeudi 27 novembre à 9 heures, trois conférenciers, tous cher-cheurs et cliniciens triés sur le

volet, viendront présenter pas moins de cinq concepts qui pourraient impri-mer un véritablement tournant dans le monde de la dentisterie.David Nisand expliquera l’approche très récente consistant à poser des implants courts dans les secteurs pos-térieurs résorbés. Il démontrera, lors de cette première conférence, que le dogme suivant lequel la hauteur de la couronne clinique doit être au moins égale à la longueur de l’implant n’est pas une vérité absolue.Si cette technique ne possède pas encore le recul nécessaire, notam-ment dans le suivi à long terme des implants courts, la grande innovation réside dans le non-recours aux amé-nagements de tissus. David Nisand

démontrera l’importance de l’adap-tation de l’implant à l’anatomie du patient dans la pose d’implants courts.Viendra ensuite le tour de Stéphane Simon qui exposera trois nouveaux concepts dans le domaine de l’endodontie.

Il débutera sa conférence par une présentation en avant-première d’un nouveau système d’irrigation en continu avec une activation en un seul temps. Si jusqu’alors les praticiens procédaient de façon « artisanale », ce nouvel appareil, conceptualisé par Stéphane Simon lui-même, permet d’irriguer tout au long de la prépara-tion du canal de la racine.Deuxième nouveauté en endodontie : l’obturation du système canalaire recourant au concept de monocône. Stéphane Simon présentera les nou-veaux matériaux biocéramiques qui permettent de mettre en application ce concept. Il expliquera comment un seul matériau peut remplir et rendre hermétique le canal.Le troisième concept sera basé sur l’ingénierie tissulaire en endodontie régénérative.Gil Tirlet introduira, quant à lui, un bouleversement dans le monde des restaurations dentaires et du concept mécanique et délabrant des prothèses conjointes conventionnelles, lors de sa conférence. Il exposera les techniques alternatives à la pose de couronnes lorsque la dent est très abîmée avec des concepts de dentisterie contemporaine. Pour cela, il s’attachera à développer les concepts de biomimétique et de bioé-mulation en prenant la dent comme « Maître » modèle et en mimant au plus proche le comportement phy-siologique de la dent.

La SOP à l’ADF

5 concepts révolutionnaires à la séance de la SOP à l’ADF

LE MAG’ CONGRÈS DE L’ADF LE MAG’ CONGRÈS DE L’ADF

Quelle sera la plus-value de la séance de la SOP au prochain congrès de l’ADF ?La plus-value tient en deux mots : nouveautés et révolutions. Les concepts, présentés par trois grands noms de la profession, sont révolu-tionnaires voire avant-gardistes dans le mode de la dentisterie. Pour ne

donner qu’un exemple, l’intervention de David Nisand va à l’encontre des idées reçues en implantologie. Quant à Stéphane Simon et Gil Tirlet, ils repensent les techniques actuelles. Ils expliqueront comment conserver la pulpe voire la façon dont le prati-cien peut la régénérer au lieu de la remplacer. Les techniques adhé-sives qui dépassent largement ce que nous avons vu jusqu’à mainte-nant, permettent la restauration de délabrements partiels, mais aussi de grands délabrements sur des dents dépulpées ou non, mais avec des pertes de substances importantes.Quelle sera l’approche pédagogique des conférenciers ?Si toutes les conférences seront de haut vol, elles ne seront jamais inac-cessibles. Pour illustrer des concepts complexes, les conférenciers présen-teront des cas cliniques réels et de

tous les jours. Inscrire ces nouveau-tés dans leur traduction clinique, tel est l’un des objectifs de cette séance. De plus, tous les clichés illustrant les conférences seront présentés en haute définition. Il faut s’attendre à une projection de photos exception-nelles ! À la fin de chaque conférence, comme chaque année, des questions et débats seront organisés entre les conférenciers et les congressistes.Le praticien ressortira-t-il de la conférence avec des réponses concrètes et applicatives ?Oui, bien sûr, car même si certains concepts sont encore très peu prati-qués, la présentation des nouveaux matériaux et machines permettront aux praticiens de s’en servir dès le lendemain matin au cabinet den-taire.

*Avec l’aide de Nicolas Lehman, Gérard Mandel et Corinne Touboul.

Trois questions à Philippe MilcentResponsable de la séance de la SOP à l’ADF*

David NisandPose des implants courts dans les secteurs postérieurs résorbés

Stéphane SimonInnovation matérielle et conceptuelle en endodontie

Gil TirletLa dent naturelle : un maître mot pour la dentisterie contemporaine.

La SOP installera son stand au congrès de l’ADF au 1er étage à l’emplacement

n° 1M16, du mardi 25 au samedi 29 novembre prochain au pa-lais des congrès, à Paris, Porte Maillot.Mais pour l’édition 2014, le stand de la SOP se veut, tout comme la séance de la SOP, innovant avec une nouvelle identité visuelle pour un accueil chaleureux et convi-

vial. Venir au stand de la SOP sera l’occasion privilégiée pour les praticiens d’adhérer ou de renouveler son adhésion à la

SOP et de partager des moments conviviaux avec les administra-teurs de notre société.De nombreux cadeaux, acti-vités et surprises (culinaires !) attendront les congressistes. Les administrateurs de la SOP se relayeront tout au long du congrès pour répondre aux questions des confrères. N’hési-tez pas à venir vous y informer sur notre programme de forma-tion 2015.

Le stand de la SOP fait peau neuve !Le film de la séance des nouveautés

Les conférenciers, qui interviendront lors de la séance de la SOP à l’ADF, mettront l’accent sur des concepts thérapeutiques en implantologie, en endodontie et en odontologie conservatrice.

34 JSOP N° 7 SEPTEMBRE 2014 JSOP N° 7 SEPTEMBRE 2014 35

LE MAG’ HOMMAGE

Lors de son assemblée générale annuelle, le 19 juin dernier, la SOP a dressé le bilan de ses ac-

tivités en 2013. Au cours de l’année passée, notre société aura organisé au total cinq Journées à la Maison de la chimie (1), enregistrant une moyenne de 578 participants par Journée. La SOP peut se satisfaire de ce bilan puisqu’il est sensiblement identique à celui de l’année 2012 (580 participants en moyenne) compte tenu de la morosité que connaît la formation post-universitaire.En 2013, la SOP a fêté la 12e édition de ses Journées à l’île Maurice. Notre

société a également pérennisé ses cycles longs de formation, dédiés à l’endodontie et à la parodontie, ainsi que sa formation de deux jours consacrés à l’implantologie.La SOP a décerné trois prix l’an passé : celui du meilleur auteur SOP-Maillefer à Christine Muller, du meilleur conférencier SOP-Mail-lefer à Jean-Paul Louis et le prix SOP de l’Académie nationale de chirur-gie dentaire à Arnaud Anstett. La bourse de recherche Michel-De-grange, créée et soutenue par la SOP en collaboration avec la So-ciété francophone des biomatériaux

dentaires, a été attribuée en 2013 à Julian Leprince. La revue trimes-trielle scientifique de la SOP, la ROS, dirigée par Patrick Simonet, a per-mis la publication d’une vingtaine d’articles de haut niveau, répartis dans quatre numéros dont un spé-cial sur les « Décisions et stratégies cliniques ».Enfin, le site Internet de la SOP n’a cessé de s’améliorer afin de partici-per au mieux à l’information et à la formation des membres de la SOP.

Gérard MandelSecrétaire général de la SOP

(1) Journée télévisée empreintes optiques, sur l’environnement implantaire, Journée TP à la carte, Journée traumatologie, Journée prothèse et occlusion.

Assemblée généraleLe bilan 2013 de la SOP

Depuis un certain soir, il y a peu, après une réunion tardive où nous avions

constaté l’enlèvement de son vé-hicule par la fourrière pour je ne sais plus quel motif, Louis déclinait. Récupérer son véhicule à minuit passé, à l’autre bout de Paris, rem-plir les formalités administratives, payer une amende… cet incident, qui aurait pu paraître anodin à d’autres – peut-être plus coutumiers du fait – l’avait bousculé dans ses convictions, lui si attaché à la règle et au droit.Il en avait été très affecté au point qu’affaibli, il en contractait la légionellose. Mais cette pathologie infectieuse grave n’avait raison ni de sa stature ni de sa force de caractère. Louis résistait au point de reprendre ses activités au sein du conseil d’administration de la SOP. Il s’attachait à assister à toutes les réunions du Conseil et aidait au fonctionnement du secrétariat lors des Journées de formation.Ancien Professeur à l’École dentaire

de Paris, Secrétaire perpétuel de l’Académie nationale de chirurgie dentaire, membre fondateur de la banque de données bibliographique francophone odonto-stomatolo-giques, Bibliodent, implantée à Lille, Chevalier des Palmes Aca-démiques, Louis Verchère a été un infatigable « bosseur ».Je me souviens du jour où nous nous sommes rencontrés. Je ve-nais juste de reprendre les rênes de la Revue d’odonto-stomatologie (ROS) en tant que rédacteur, et nous étions en réunion avec le confrère Victor Decelle, lui aussi membre du CA de la SOP. Marmasse, qui assis-tait à nos échanges sur les articles à retenir ou rejeter, m’a pris à part pour me recommander de ne jamais me séparer de Louis. Il jugeait ses qualités exceptionnelles pour le renom de la ROS, et son nom atta-ché aux exigences des meilleurs bibliographes internationaux. Je ne manquais pas de suivre ce conseil.Tous les deux, en vieux complices, nous avons mené la revue durant

de longues années. La proximité de nos lieux de résidence faci-litait notre travail. Souvent, les dimanches en fin d’après-midi, nous nous retrouvions sous l’œil protecteur de Madge, son épouse, pour mettre la dernière main à la correction des articles ou obtenir son aval sur l’éditorial à paraître. Son appartement n’était qu’objets d’art accumulés et miniatures de bon goût. Un reflet de cette per-sonnalité précieuse, qui avait le souci du détail. Je savais que je le dérangeais. Il était tout acquis à la rédaction du dictionnaire d’odonto-stomatologie, aujourd’hui épuisé, et à laquelle il avait longuement tra-vaillé. Très tôt nous nous sommes tutoyés. Il a été un ami fidèle en amitié, mais qui aurait pu être aussi tenace dans son inimitié. Car Louis était un Savoyard, attaché à cette terre qu’il a retrouvé.Que Madge veuille bien accepter ces quelques propos de notre sin-cère condoléance.

Philippe Safar

Notre ami Louis Verchère n’est plus

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LE MAG’ HOMMAGE

Lors de son assemblée générale annuelle, le 19 juin dernier, la SOP a dressé le bilan de ses ac-

tivités en 2013. Au cours de l’année passée, notre société aura organisé au total cinq Journées à la Maison de la chimie (1), enregistrant une moyenne de 578 participants par Journée. La SOP peut se satisfaire de ce bilan puisqu’il est sensiblement identique à celui de l’année 2012 (580 participants en moyenne) compte tenu de la morosité que connaît la formation post-universitaire.En 2013, la SOP a fêté la 12e édition de ses Journées à l’île Maurice. Notre

société a également pérennisé ses cycles longs de formation, dédiés à l’endodontie et à la parodontie, ainsi que sa formation de deux jours consacrés à l’implantologie.La SOP a décerné trois prix l’an passé : celui du meilleur auteur SOP-Maillefer à Christine Muller, du meilleur conférencier SOP-Mail-lefer à Jean-Paul Louis et le prix SOP de l’Académie nationale de chirur-gie dentaire à Arnaud Anstett. La bourse de recherche Michel-De-grange, créée et soutenue par la SOP en collaboration avec la So-ciété francophone des biomatériaux

dentaires, a été attribuée en 2013 à Julian Leprince. La revue trimes-trielle scientifique de la SOP, la ROS, dirigée par Patrick Simonet, a per-mis la publication d’une vingtaine d’articles de haut niveau, répartis dans quatre numéros dont un spé-cial sur les « Décisions et stratégies cliniques ».Enfin, le site Internet de la SOP n’a cessé de s’améliorer afin de partici-per au mieux à l’information et à la formation des membres de la SOP.

Gérard MandelSecrétaire général de la SOP

(1) Journée télévisée empreintes optiques, sur l’environnement implantaire, Journée TP à la carte, Journée traumatologie, Journée prothèse et occlusion.

Assemblée généraleLe bilan 2013 de la SOP

Depuis un certain soir, il y a peu, après une réunion tardive où nous avions

constaté l’enlèvement de son vé-hicule par la fourrière pour je ne sais plus quel motif, Louis déclinait. Récupérer son véhicule à minuit passé, à l’autre bout de Paris, rem-plir les formalités administratives, payer une amende… cet incident, qui aurait pu paraître anodin à d’autres – peut-être plus coutumiers du fait – l’avait bousculé dans ses convictions, lui si attaché à la règle et au droit.Il en avait été très affecté au point qu’affaibli, il en contractait la légionellose. Mais cette pathologie infectieuse grave n’avait raison ni de sa stature ni de sa force de caractère. Louis résistait au point de reprendre ses activités au sein du conseil d’administration de la SOP. Il s’attachait à assister à toutes les réunions du Conseil et aidait au fonctionnement du secrétariat lors des Journées de formation.Ancien Professeur à l’École dentaire

de Paris, Secrétaire perpétuel de l’Académie nationale de chirurgie dentaire, membre fondateur de la banque de données bibliographique francophone odonto-stomatolo-giques, Bibliodent, implantée à Lille, Chevalier des Palmes Aca-démiques, Louis Verchère a été un infatigable « bosseur ».Je me souviens du jour où nous nous sommes rencontrés. Je ve-nais juste de reprendre les rênes de la Revue d’odonto-stomatologie (ROS) en tant que rédacteur, et nous étions en réunion avec le confrère Victor Decelle, lui aussi membre du CA de la SOP. Marmasse, qui assis-tait à nos échanges sur les articles à retenir ou rejeter, m’a pris à part pour me recommander de ne jamais me séparer de Louis. Il jugeait ses qualités exceptionnelles pour le renom de la ROS, et son nom atta-ché aux exigences des meilleurs bibliographes internationaux. Je ne manquais pas de suivre ce conseil.Tous les deux, en vieux complices, nous avons mené la revue durant

de longues années. La proximité de nos lieux de résidence faci-litait notre travail. Souvent, les dimanches en fin d’après-midi, nous nous retrouvions sous l’œil protecteur de Madge, son épouse, pour mettre la dernière main à la correction des articles ou obtenir son aval sur l’éditorial à paraître. Son appartement n’était qu’objets d’art accumulés et miniatures de bon goût. Un reflet de cette per-sonnalité précieuse, qui avait le souci du détail. Je savais que je le dérangeais. Il était tout acquis à la rédaction du dictionnaire d’odonto-stomatologie, aujourd’hui épuisé, et à laquelle il avait longuement tra-vaillé. Très tôt nous nous sommes tutoyés. Il a été un ami fidèle en amitié, mais qui aurait pu être aussi tenace dans son inimitié. Car Louis était un Savoyard, attaché à cette terre qu’il a retrouvé.Que Madge veuille bien accepter ces quelques propos de notre sin-cère condoléance.

Philippe Safar

Notre ami Louis Verchère n’est plus

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JSOP N° 7 SEPTEMBRE 2014 37

LE MAG’ DISTINCTION

Au-delà de sa qualité remarquable, l’article de Jean-Philippe Pia, paru en 2013 dans la Revue d’odonto-stomatologie (ROS), est aussi une traduction de l’orientation, plus clinique, de la ligne éditoriale du trimestriel scientifique de la SOP.

C’est avec modestie et humour que Jean-Philippe Pia, jeune assistant de prothèse à la

faculté de chirurgie dentaire de Bordeaux, a reçu, lors de la Jour-née de la SOP du 19 juin dernier, le Prix 2013 ROS-Dentsply du meilleur auteur de la Revue d’odonto-stoma-tologie (ROS). Le lauréat a remercié la société Dentsply, la SOP et son président, Bernard Schweitz, et, en-fin, Patrick Simonet, rédacteur en chef de la ROS. Et a immédiatement voulu associer le coauteur de l’article qui lui a valu ce prix, Arnaud Soenen.Intitulé « Restaurations coronora-diculaires adhésives simplifiées », cet article a paru dans la ROS 2013 Tome 42 N° 3. Jean-Philippe Pia a tenu à remercier son mentor, le Pr Emmanuel d’Incau qui, pour avoir sollicité cet article, était à l’ori-gine de ce prix. Enfin, et puisque c’était la première fois qu’il avait eu la surprise d’être appelé par Bernard Schweitz lorsque ce dernier lui annonça avoir été désigné lauréat 2013 du Prix ROS-Dentsply, il a formé le souhait d’avoir encore de nombreux contacts télé-phoniques de cette teneur avec la SOP !Auparavant, le président de la SOP avait donné la parole à Patrick Si-monet qui, au titre de rédacteur

en chef de la ROS, avait le plaisir de diriger cette cérémonie desti-née à encourager les auteurs ayant confié leurs articles à la ROS. Il s’est attaché à souligner l’effort que la SOP a consenti pour permettre de faire évoluer la maquette de la

revue, avec une charte graphique renouvelée. Pour étayer son pro-pos, un patchwork des couvertures historiques de la ROS était projeté à l’écran. Patrick Simonet a aussi insisté sur la nouvelle ligne édito-riale de la ROS, plus orientée sur la clinique, comme en attestait

le choix de l’article lauréat pour l’année 2013.Il a rappelé enfin les modalités du processus de désignation du lauréat de ce prix. En pratique, trois articles sont sélectionnés par le comité de rédaction de la ROS, puis proposés au vote du conseil d’administration de la SOP. Un vote à bulletins se-crets dont l’issue désigne le lauréat.C’est Nicolas Mostowy, représentant la société Dentsply, qui a remis son Prix à Jean-Philippe Pia. Nicolas

Mostowy a exprimé la grande joie qui était la sienne dans la remise de ce prix. Un soutien de Dentsply qui, a-t-il expliqué, traduit l’engagement de longue date de sa société dans la coopération scientifique avec la profession, et en particulier avec la SOP.

Prix ROS-Dentsply

Jean-Philippe Pia, Prix du meilleur auteur ROS-Dentsply

De gauche à droite : Patrick Simonet, rédacteur en chef de la ROS, Jean-Philippe Pia, lauréat 2013 du Prix du meilleur auteur ROS-Dentsply, Nicolas Mostowy, représentant Dentsply, et Bernard Schweitz, président de la SOP.

BOUSCULEZ LES DOGMESMÉFIEZ VOUS DES MODES

5ème

Présidente du Congrès : Dr Anne BENHAMOU

DATE

11.12.14

CO N G R È S 9H00-19H00

SOIRÉEÀ PARTIR DE 20H00...

Lieu de réception : Pavillon Dauphine

Place du Maréchal de Lattre de Tassigny 75116 Paris

Comité d’organisation :

Anne BENHAMOUIsabelle KLEINFINGER

Laurence ADDICécilia BOURGUIGNON

Catherine GALLETTI Maguy LEVY

Virginie MONNET CORTICatherine RIVIÈRE

RENSEIGNEMENTS ET INSCRIPTIONS

Contactez Audrey ou Marie au 01.56.81.30.30

ou mail : [email protected]

Je souhaite m’inscrire au 5ème Symposium S.N.I.F. qui se déroulera au Pavillon Dauphine le 11 décembre 2014

Je souhaite m’inscrire à l’un des workshops qui seront proposés (inscription gratuite).

BULLETIN D’INSCRIPTION Coupon-réponse à retourner à : Congrès S.N.I.F. Dr Anne Benhamou 5, rue Suger 75006 Paris

Docteur : ..........................................................................................................................................................

Tél. : ...........................................................................Email : .........................................................................

Adresse : ..........................................................................................................................................................

Code Postal : ..........................................................Ville : ...........................................................................

Je joins un chèque de ................. euros à l’ordre du S.N.I.F.

5ème

Forfait Congressiste : 260 eurosForfait Etudiant : 90 eurosForfait Assistante : 90 euros

AGÉNÉSIES DES INCISIVES LATÉRALES MAXILLAIRES : Implantologie et/ou orthodontie ? Stéphane BARTHELEMI

COMPRENDRE ET GÉRER L’ARCHITECTURE DES TISSUS MOUS pour obtenir des résultats implantaires esthétiques. Franck BONNET

CHIRURGIE ESTHÉTIQUE GLOBALE : Comment traiter les pertes tissulaires, osseuses et gingivales, simultanément à la mise en place de l’implant dans le secteur antérieur.Frédéric CHICHE

PRÉSERVER PLUTÔT QUE RECONSTRUIRE.France LAMBERT

IMPLANT ADVANCES IN ESTHETIC IMPLANT THERAPY, TISSUE MANAGEMENT AND PERIIMPLANTITISSascha JOVANOVIC

LA PARODONTIE INDISPENSABLE AU SUCCÈS IMPLANTAIRECaroline FOUQUE

LA RESPONSABILITÉ PROFESSIONNELLE LORSQUE PLUSIEURS PRATICIENS INTERVIENNENT.Patrick MISSIKA

RACINE FRACTURÉE : racine à extraire ? Apport de l’endodontie. Cécilia BOURGUIGNON

J’IMPLANTE, DONC JE SOIGNE : L’implant au delà de l’aspect fonctionnelHadia DECHARRIERE

LA MALADIE PARODONTALE ET APNÉES OBSTRUCTIVE DU SOMMEIL : les implications cliniques et thérapeutiques. Maria Clotilde CARRA

www.implantologieaufeminin.fr

WORSHOPS

Régénération Osseuse GuidéeCarole Leconte

Apnée du SommeilMaguy Lévy

Chirurgie et Prothése ImplantaireNora ALNO

Nobel Clinician© Mai Lan TRAN

PROGRAMME SCIENTIFIQUE

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revue, avec une charte graphique renouvelée. Pour étayer son pro-pos, un patchwork des couvertures historiques de la ROS était projeté à l’écran. Patrick Simonet a aussi insisté sur la nouvelle ligne édito-riale de la ROS, plus orientée sur la clinique, comme en attestait

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Prix ROS-Dentsply

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Rendez-vous Porte Maillot, à Paris, du 25 au 29 novembre

Congrès ADF 2014

Exposition internationale du 26 au 29 novembre

ADF_Annonce presse_B_200x267_V1_J.indd 1 01/07/2014 17:11

LE MAG’ BILLET D’HUMEUR

La récente Lettre de l’Ordre annonce la mort prématurée du fameux DPC ou, du moins, la nécessité d’une refonte

totale… En cause, l’inadaptation de la for-mule, qui était censée remplacer la formation continue « ancienne formule ». Les URPS, dont les délégués sont grassement rémunérés grâce aux cotisations imposées à l’ensemble des praticiens qui n’en font pas partie, n’ont abouti, à ce jour, à aucune décision notable susceptible d’apporter une quelconque solution à des problèmes inhérents à l’amélioration des soins aux personnes handicapées !La CCAM, dont on nous rebat les oreilles depuis belle lurette, a autant de mal à se mettre en route qu’une trottinette dans un Grand Prix de Formule 1 !Je pourrais allonger cette liste de « ratages » à l’infini, sans vraiment être étonné de leur multiplication, car il est bien connu qu’en période de crise économico-politique, toutes les institutions officialisées à grands coups d’annonces et de prélèvements effectués sur la masse « travaillante » sont calquées sur les rétropé-dalages ministériels… Comme s’il fallait ajouter à la cacophonie générale un écho de décisions destinées, dès leur mise en place, à disparaître prématurément.La question que je soulève à travers ces quelques exemples est la suivante : jusqu’à quand va-t-on prendre les praticiens pour des abrutis qui ne sont bons qu’à payer sans savoir à quoi servent réellement les coti-sations et les obligations qu’on leur impose ?Jusqu’à quand va-t-on faire croire aux patients que toutes les réformes instaurées vont améliorer la qua-lité de leurs soins tout en les culpabilisant de trop « consommer » ?J’ai envie de hurler à tous ces décisionnaires en col blanc « barrez-vous ! » et laissez-nous travailler en toute liberté ! Cessez de régir notre manière de vivre, de respirer, d’évoluer !Nous avons un Ordre qui régit notre profession,

une Académie, dont je regrette les silences, qui devrait dicter les grandes lignes de notre exercice et la possibilité d’organiser des réfé-rendums auprès de tous les praticiens pour enfin connaître les vraies aspirations des professionnels de santé qui n’en peuvent plus d’être aspirés financièrement !Une remise à plat totale de notre exercice s’impose en prenant en compte, enfin, nos réels problèmes ! Est-il raisonnable de pen-

ser et d’imaginer que l’on continue de décider et de légiférer à notre place sans jamais nous consulter ?Ce n’est pas un seul syndicat, un seul ministère, une seule institution, quelques délégués siégeant au sein des ARS ou des URPS, qui doivent continuer à ima-giner ce que devrait être notre pratique quotidienne en ne mettant la main à la pâte que pour pondre des textes farfelus !Réfléchir concrètement, tester pratiquement, consul-ter la base, serait-ce trop demander à tous ces « petits chefaillons » qui ont pris le pouvoir et qui s’y cram-ponnent au risque de décrédibiliser un peu plus encore une profession dont le crédit est largement entamé auprès du public ?J’ai la nette impression de pédaler dans la choucroute en écrivant ces lignes, mais j’espère que ceux qui les liront prendront conscience qu’abandonner le pouvoir à un petit nombre d’élus est aussi dangereux que de faire traverser les Champs-Élysées à une personne non-voyante à une heure de pointe. Simple question de bon sens… Mais le bon sens est-il enseigné à l’Ena ou à Sciences Po, réservoirs de têtes bien pleines de tas de choses inutiles ?

André Krief

André Krief

Inventaire des ratages dentaires, ou comment cumuler les fausses routes !

Rédacteur en chef de L’Actualité dentaire, « 1er journal dentaire en ligne » www.lactudentaire.com

Un billet d’humeur doit s’entendre comme un exercice dans lequel s’expriment les réflexions du billettiste. Il laisse parler ses états d’âme librement, au gré des effervescences d’une pensée en mouvement. Sur un ton familier, quelquefois grinçant, il traite de l’actualité, il égratigne, déchaîne des clameurs. Le but est de sortir le JSOP de la routine et d’établir avec le lecteur un lieu de rencontre habituel qui invite à réagir. Les colonnes du JSOP sont, bien sûr, ouvertes aux éventuelles réponses suscitées par le billet d’humeur.

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LE MAG’ BILLET D’HUMEUR

La récente Lettre de l’Ordre annonce la mort prématurée du fameux DPC ou, du moins, la nécessité d’une refonte

totale… En cause, l’inadaptation de la for-mule, qui était censée remplacer la formation continue « ancienne formule ». Les URPS, dont les délégués sont grassement rémunérés grâce aux cotisations imposées à l’ensemble des praticiens qui n’en font pas partie, n’ont abouti, à ce jour, à aucune décision notable susceptible d’apporter une quelconque solution à des problèmes inhérents à l’amélioration des soins aux personnes handicapées !La CCAM, dont on nous rebat les oreilles depuis belle lurette, a autant de mal à se mettre en route qu’une trottinette dans un Grand Prix de Formule 1 !Je pourrais allonger cette liste de « ratages » à l’infini, sans vraiment être étonné de leur multiplication, car il est bien connu qu’en période de crise économico-politique, toutes les institutions officialisées à grands coups d’annonces et de prélèvements effectués sur la masse « travaillante » sont calquées sur les rétropé-dalages ministériels… Comme s’il fallait ajouter à la cacophonie générale un écho de décisions destinées, dès leur mise en place, à disparaître prématurément.La question que je soulève à travers ces quelques exemples est la suivante : jusqu’à quand va-t-on prendre les praticiens pour des abrutis qui ne sont bons qu’à payer sans savoir à quoi servent réellement les coti-sations et les obligations qu’on leur impose ?Jusqu’à quand va-t-on faire croire aux patients que toutes les réformes instaurées vont améliorer la qua-lité de leurs soins tout en les culpabilisant de trop « consommer » ?J’ai envie de hurler à tous ces décisionnaires en col blanc « barrez-vous ! » et laissez-nous travailler en toute liberté ! Cessez de régir notre manière de vivre, de respirer, d’évoluer !Nous avons un Ordre qui régit notre profession,

une Académie, dont je regrette les silences, qui devrait dicter les grandes lignes de notre exercice et la possibilité d’organiser des réfé-rendums auprès de tous les praticiens pour enfin connaître les vraies aspirations des professionnels de santé qui n’en peuvent plus d’être aspirés financièrement !Une remise à plat totale de notre exercice s’impose en prenant en compte, enfin, nos réels problèmes ! Est-il raisonnable de pen-

ser et d’imaginer que l’on continue de décider et de légiférer à notre place sans jamais nous consulter ?Ce n’est pas un seul syndicat, un seul ministère, une seule institution, quelques délégués siégeant au sein des ARS ou des URPS, qui doivent continuer à ima-giner ce que devrait être notre pratique quotidienne en ne mettant la main à la pâte que pour pondre des textes farfelus !Réfléchir concrètement, tester pratiquement, consul-ter la base, serait-ce trop demander à tous ces « petits chefaillons » qui ont pris le pouvoir et qui s’y cram-ponnent au risque de décrédibiliser un peu plus encore une profession dont le crédit est largement entamé auprès du public ?J’ai la nette impression de pédaler dans la choucroute en écrivant ces lignes, mais j’espère que ceux qui les liront prendront conscience qu’abandonner le pouvoir à un petit nombre d’élus est aussi dangereux que de faire traverser les Champs-Élysées à une personne non-voyante à une heure de pointe. Simple question de bon sens… Mais le bon sens est-il enseigné à l’Ena ou à Sciences Po, réservoirs de têtes bien pleines de tas de choses inutiles ?

André Krief

André Krief

Inventaire des ratages dentaires, ou comment cumuler les fausses routes !

Rédacteur en chef de L’Actualité dentaire, « 1er journal dentaire en ligne » www.lactudentaire.com

Un billet d’humeur doit s’entendre comme un exercice dans lequel s’expriment les réflexions du billettiste. Il laisse parler ses états d’âme librement, au gré des effervescences d’une pensée en mouvement. Sur un ton familier, quelquefois grinçant, il traite de l’actualité, il égratigne, déchaîne des clameurs. Le but est de sortir le JSOP de la routine et d’établir avec le lecteur un lieu de rencontre habituel qui invite à réagir. Les colonnes du JSOP sont, bien sûr, ouvertes aux éventuelles réponses suscitées par le billet d’humeur.

LE MAG’ BILLET D’HUMEUR

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