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Porsche Club News 3 /06 4 Ces jours-ci, la dernière Carrera GT a quitté la halle de montage de l’usine Porsche de Leipzig. Cette voiture de sport haute performance a marqué les esprits. Et laisse de beaux souvenirs. Voici quelques instantanés d’une tournée d’adieu hésitant entre fierté et mélan- colie. Au premier poste, tout se passe comme prévu. Le monocoque a quitté le boggie pour rejoindre la plateforme élévatrice. C’est ici que sont posés les câbles de l’habitacle, la climatisation et la chaîne de direction et que sont montés les calculateurs. Matthias Würker travaille sur le boîtier de direction. Comme ses collègues, il est vêtu de blanc, gants compris. Un costume harmonisé à des gestes qui s’apparentent à ceux du chirurgien. Ce Leipzigois de 47 ans affiche du respect pour l’objet sur lequel il travaille. Il est ici depuis août 2003. Quant au jour précis de son arri- vée, il n’en est plus très sûr. Par contre, il se rappelle parfaitement de la voiture : «C’était la Carrera GT Numéro cinq». «Mes amis ne cessaient de me dire : René, qu’attends-tu pour nous en ame- ner une ?». Ici, sur la ligne de montage de l’usine Porsche de Leipzig, chaque voiture est répertoriée. Depuis environ trois ans. «Et depuis quelques semaines» déclare Guido Karrer, le chef de la production, «c’est le compte à rebours». Au mois de mai, tout sera fini. Le dernier sportif de haut niveau quittera alors définitivement la halle de montage et mettra ainsi le point final à l’histoire d’une belle réussite. Mais la fascination demeure. Au cours des prochaines années, la Carrera GT continuera à envoûter : dans les musées privés des amateurs de voiture de sport, sur de nombreux circuits de la planète – ou, tout simplement, en tant que multiplicateur du plaisir des propriétaires qui s’en servent pour aller chercher leur pain à la boulange- rie. Et à Leipzig les gens diront, c’est ici qu’elle a été construite. La ligne de montage est longue de 70 mètres sur 12 de large et comprend huit postes. «C’était à chaque fois un événement d’accueillir ici à Leipzig un client Carrera GT». Tout est fait à la main : que ce soit la pose du moteur ou le remplissage du réservoir en passant par le montage des essieux, de l’habitacle, par la pose extérieure des seuils, des ailes, du dessous de caisse, du revêtement de la partie arrière et des fenêtres laté- rales jusqu’à celle des portes. «Le taux d’intégration est fascinant» déclare Karrer. Réparties par poste, les équipes travaillent plusieurs heures sur le même véhicule. A moins de vingt pas, les col- lègues s’affairent sur le Cayenne avec la même précision typiquement Porsche. Mais là, les gestes suivent une caden- ce minutée. Ici, sur le territoire réservé à la Carrera GT, les pendules ne sont pas les seules à se distinguer. Pour travailler ici, il faut commencer par engranger de nombreuses connais- sances. A la grande époque, 70 élus travaillaient sur la ligne de montage. Ils ne sont plus que 22. Leur fierté est toujours la même, mais la mélancolie les gagne. «Nous aimons ce travail» déclare Karrer, «et ce, jusqu’à la toute dernière pièce». Ensuite, il faudra retourner à la production du Cayenne. «Nous sommes très attachés à cette voiture. Elle nous tient à cœur». Sieg- fried Bülow travaille, pour ainsi dire, le dos à l’action. En effet, seul un mur épais sépare le gérant de la société Pors- che Leipzig du lieu de naissance de toutes les Carrera GT. Le chef aime se trouver au cœur de l’événement. Et il repense au passé, à l’époque où, au 1. Les nouvelles de Porsche AG Visite à Leipzig – Un brin de nostalgie René Schäfer (31), montage des essieux, intérieur, pare-brise Julia Schauer (32), conseillère clientèle Carrera GT Alexander Fijak (29), porte-parole de l’é- quipe

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Porsche Club News 3/06

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Ces jours-ci, la dernière Carrera GT aquitté la halle de montage de l’usinePorsche de Leipzig. Cette voiture desport haute performance a marqué lesesprits. Et laisse de beaux souvenirs.Voici quelques instantanés d’une tournéed’adieu hésitant entre fierté et mélan-colie.

Au premier poste, tout se passe commeprévu. Le monocoque a quitté le boggiepour rejoindre la plateforme élévatrice.C’est ici que sont posés les câbles del’habitacle, la climatisation et la chaînede direction et que sont montés lescalculateurs. Matthias Würker travaillesur le boîtier de direction. Comme sescollègues, il est vêtu de blanc, gantscompris. Un costume harmonisé à desgestes qui s’apparentent à ceux duchirurgien. Ce Leipzigois de 47 ansaffiche du respect pour l’objet surlequel il travaille. Il est ici depuis août2003. Quant au jour précis de son arri-vée, il n’en est plus très sûr. Par contre,il se rappelle parfaitement de la voiture :«C’était la Carrera GT Numéro cinq».

«Mes amis ne cessaient de me dire :René, qu’attends-tu pour nous en ame-ner une ?».

Ici, sur la ligne de montage de l’usinePorsche de Leipzig, chaque voiture estrépertoriée. Depuis environ trois ans. «Etdepuis quelques semaines» déclareGuido Karrer, le chef de la production,«c’est le compte à rebours». Au mois demai, tout sera fini. Le dernier sportif dehaut niveau quittera alors définitivementla halle de montage et mettra ainsi lepoint final à l’histoire d’une belle réussite.Mais la fascination demeure. Au coursdes prochaines années, la Carrera GTcontinuera à envoûter : dans lesmusées privés des amateurs de voiturede sport, sur de nombreux circuits dela planète – ou, tout simplement, entant que multiplicateur du plaisir despropriétaires qui s’en servent pouraller chercher leur pain à la boulange-rie.

Et à Leipzig les gens diront, c’est iciqu’elle a été construite. La ligne demontage est longue de 70 mètres sur12 de large et comprend huit postes.

«C’était à chaque fois un événementd’accueillir ici à Leipzig un client Carrera GT».

Tout est fait à la main : que ce soit lapose du moteur ou le remplissage duréservoir en passant par le montagedes essieux, de l’habitacle, par la pose

extérieure des seuils, des ailes, dudessous de caisse, du revêtement dela partie arrière et des fenêtres laté-rales jusqu’à celle des portes. «Le tauxd’intégration est fascinant» déclareKarrer. Réparties par poste, les équipestravaillent plusieurs heures sur le mêmevéhicule. A moins de vingt pas, les col-lègues s’affairent sur le Cayenne avecla même précision typiquement Porsche.Mais là, les gestes suivent une caden-ce minutée. Ici, sur le territoire réservé àla Carrera GT, les pendules ne sontpas les seules à se distinguer. Pourtravailler ici, il faut commencer parengranger de nombreuses connais-sances. A la grande époque, 70 élustravaillaient sur la ligne de montage.Ils ne sont plus que 22. Leur fierté esttoujours la même, mais la mélancolieles gagne. «Nous aimons ce travail»déclare Karrer, «et ce, jusqu’à la toutedernière pièce». Ensuite, il faudraretourner à la production du Cayenne.

«Nous sommes très attachés à cettevoiture. Elle nous tient à cœur». Sieg-fried Bülow travaille, pour ainsi dire, ledos à l’action. En effet, seul un murépais sépare le gérant de la société Pors-che Leipzig du lieu de naissance detoutes les Carrera GT. Le chef aime setrouver au cœur de l’événement. Et ilrepense au passé, à l’époque où, au

1. Les nouvelles de Porsche AGVisite à Leipzig – Un brin de nostalgie

René Schäfer (31), montage des essieux,intérieur, pare-brise

Julia Schauer (32), conseillère clientèleCarrera GT

Alexander Fijak (29), porte-parole de l’é-quipe

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siège de Stuttgart, la direction réflé-chissait à la manière de fabriquer ensérie limitée un véhicule exerçant unetelle fascination. Les membres dudirectoire ont discuté longtemps etsimulé sur la table une chaîne de fabri-cation à l’aide de boîtes d’allumettes etde petits morceaux de bois. L’époqueétait passionnante. Et le jeu en valait lachandelle. Bülow n’a pas oublié les per-formances du Département Rechercheet Développement de Weissach et lesoutien de l’usine-mère de Zuffenhausen.Il en est persuadé : «Cette voiture estle fruit d’une coopération réussie entreles équipes Porsche. Avec la CarreraGT, Leipzig a rejoint le Club très exclu-sif des constructeurs de voitures desport. Nous pouvons êtes fiers durésultat. » Une réception de remercie-ment est prévue.

«J’étais tous les jours sur le circuit, etj’ai conduit moi-même toutes les Car-rera GT. Un privilège réservé à un toutpetit nombre».

Mais le dix-cylindres n’a pas encorefini de donner le ton. «Quand je suisdans mon bureau et que j’entends une

Carrera GT démarrer» dit Julia Schauer,«j’en ai toujours la chair de poule. Cettejeune femme au sourire avenant enconnaît un bout sur cette voiture derêve mais encore plus sur ses pro-priétaires. Elle s’est occupée de tousceux qui ont choisi de venir en personneà Leipzig prendre livraison de leur Carrera GT. En août 2003, au jour du pre-mier événement organisé à Leipzigpour les propriétaires en attente delivraison, elle demanda à un américainquel coloris il avait commandé. Argentet noir, répondit-il. Argent à l’extérieuret noir à l’intérieur, c’est une bien bel-le combinaison de coloris confirme laconseillère clientèle presque immédia-tement remise sur la bonne voie parson invité d’Outre-Atlantique. «J’en aichoisi une noire et une argent» la cor-rige-t-il. «J’ai compris que ces clientvenaient d’un autre univers» déclareJulia Schauer. Mais tous étaient trèsaffables, reconnaissants, intéressés etenthousiasmés par tout ce qu’ilsvoyaient. Elle a été témoin de trèsjolies scènes, surtout au moment dela remise. Lorsque le client, en com-pagnie de l’instructeur, dévoile sonvéhicule recouvert d’une housse surmesure, il est en général ébloui. «Jeme souviens d’un client» raconte JuliaSchauer, «qui est resté là, immobile,en versant des larmes de joie» 798hommes et deux femmes du mondeentier, dont de nombreuses personna-lités, sont venus à Leipzig pour goûterà ce rituel. Mais jamais leur nom nesera mentionné. Dans la catégorie desprix supérieurs à 400.000 euros, ladiscrétion est de mise. Plus de la moitiéde ces voitures exclusives rayonnentaujourd’hui aux Etats-Unis et au Canada.Il y a aussi des pays comme le Luxem-bourg, la Croatie, la Grèce, la Slova-quie, la Lettonie et la Bulgarie où unseul exemplaire évolue sur les routes.

«Normalement, le contact avec le clientest plutôt rare pour celui qui travailleà la production. Ici, de nombreusespersonnalités parcourent la halle demontage et veulent tout savoir dansles moindres détails.»

La Carrera GT a fait rêver Leipzig dontelle demeure la star incontestée. « Nousavons tous participé à écrire un peu del’histoire de Porsche» dit SiegfriedBülow, «c’est une réelle satisfaction defaire le bilan et de pouvoir dire, j’y étais.»

«Lorsque j’ai rejoint Porsche en 2000,jamais je n’aurais cru pouvoir un jourparticiper à la fabrication d’un tel véhi-cule.»

Edition Carrera avril 2006

Tilo Becker (38), pilote d’essai de l’équi-pe Finish Carrera GT

Guido Karrer (36), chef de productionCarrera GT

Sebastian Hecht (33), montage de l’extérieur

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Sport automobile

Présents sur chaque circuit

Avec le départ de l’American Le MansSeries 2006, le 16 mars, le RS Spydera entamé sa première saison complètede courses. Sept ingénieurs en com-pétition, venus de Weissach (Allemagne),sont présents sur chaque circuit poury préparer les véhicules. Une vie sur leschapeaux de roue.

En compétition automobile, la vitesseconstitue bien sûr un facteur décisif.En janvier 2005, le directoire de Porschea donné le feu vert au RS Spyder. Ainsi,le prototype sport a pu déjà entamersa première saison complète de coursesavec les douze heures de Sebring (Flo-ride), la course d’ouverture de l’AmericanLe Mans Series (ALMS). Les véhiculessont préparés par sept ingénieurs encompétition de Weissach (Allemagne).Tous seront présents sur les dix circuits,afin de préparer les deux RS Spyderengagés par Penske Motorsport 2006dans le cadre de l’ALMS.

Ainsi, les ingénieurs passeront prèsde 20 week-ends en déplacement, aurythme des compétitions : départ pourle circuit le mardi et retour à Weissachle lundi. Des journées de test viennentsouvent s’ajouter à ces rendez-voussportifs. Roland Kussmaul, responsableDéveloppement / Performance sportautomobile (EME4) explique : «Nous

sommes très souvent en déplacement.Mais c’est un réel plaisir de préparerces voitures de course et d’œuvrer àla victoire.»

Selon Martijn Meijs (EME4), la baseconceptuelle des modèles vainqueursest déjà élaborée durant la phase dedéveloppement. Il s’agit ensuite de lafignoler. Dans le cadre de ce travail deprécision, l’ordinateur et les essais surcircuit jouent un rôle essentiel. Kuss-maul : «Les premiers tests ont lieu surla table de travail avec un crayon et dupapier.» Afin d’obtenir un réglage optimalde la boîte de vitesses pour la coursede Sebring, les ingénieurs ont mis àprofit leur longue expérience du sportGT. Une fois le réglage de base aupoint, ils ont poursuivi leur travail avecla simulation et le tuning de précisionsur PC. «Nos spécialistes peuvent agirà l’écran sur le couple de sortie, la boîtede vitesses ou les pneumatiques et endéduire les temps obtenus par toursur le circuit.», explique Kussmaul. «Leschiffres de l’ordinateur correspondent àla seconde près aux résultats atteintsen conditions réelles.»

Cependant, l’univers virtuel ne prétendpas se substituer aux tests sur le circuit.Meijs : «Il s’agit uniquement de donnéesde base utilisées pour contrôler sur

place tous les paramètres en détails.»Avant le début de la saison, l’équipes’est rendue à Atlanta et Sebring poureffectuer des tests. Le dernier parcoursd’essai couvrait la distance totale decompétition, soit douze heures decourse. «Ensuite, nous avons démontétoutes les pièces du véhicule afin dedétecter les éventuels défauts». Eneffet, explique Kussmaul : «Nous nesommes jamais satisfaits. Le progrèsne s’arrête pas.»

Après l’entraînement à Sebring, le Spyder est en pole position dans sacatégorie. Mais alors qu’il occupait laseconde place au classement général,il fut contraint à l’abandon juste avantla fin de l’épreuve. Toutefois, il a étéconsacré second de sa catégorie.Après la Floride, les ingénieurs ontramené les moteurs à Weissach, où ilsont été démontés, analysés et remisen forme.

Le 13 mai à Houston, l’équipe devraaffronter un autre type de situation :un circuit urbain. Kussmaul : «Cettecompétition se déroule dans des condi-tions diamétralement opposées». Eneffet, Sebring se caractérise par delongues lignes droites tracées sur unancien aéroport militaire, alors qu’àHouston, les RS Spyder devront faireleurs preuves dans des virages serrés.L’équipe devra donc reprendre prati-quement tous les réglages des deuxprototypes sport. Car finalement, toutest affaire de vitesse.

Edition Carrera avril 2006

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Leipzig va construire la Panamera

Le directoire de Porsche a décidé deconstruire le coupé sport quatre portesPanamera à Leipzig. Pour ce faire, l’en-treprise va considérablement agrandirl’usine et a prévu d’investir au total120 millions d’euros. Par ailleurs, cettedécision permet de créer, voire deconserver, plus de 2.000 emplois enAllemagne.

La Panamera arrive – et l’espace dontelle a besoin lui est accordé. En sep-tembre, le coup d’envoi des travauxsera donné à Leipzig pour accueillir laproduction de la quatrième gamme dePorsche. On prévoit une halle de fabri-cation de 25.000 mètres carrés et unnouveau centre de logistique de 30.000mètres carrés. De plus, l’actuelle hallede montage sera agrandie d’un centrepilote, d’un centre d’analyse et d’unatelier d’apprentissage.

«Avec le Cayenne et la Carrera GT, notreusine de Leipzig a démontré de manièreincontestable sa capacité à fabriquerdes véhicules de grand luxe. La décisionprise en faveur de Leipzig est, parconséquent, une marque de confianceà l’encontre de nos collaborateurs,mais aussi une contribution supplé-mentaire à l’expansion économiquedes nouveaux Länder» déclare lepatron de Porsche, Dr. Wendelin

Les moteurs de la Panamera serontconstruits à Zuffenhausen. Ainsi, letaux d’intégration de ce véhicule dansles usines Porsche se monte à 15 pourcent. L’usine VW de Hanovre livre lescarrosseries peintes. Wiedeking : « Cetteusine compte parmi les plus modernesdu groupe VW et les carrosseries dela Panamera seront fabriquées dansla qualité luxe que nous exigeons.».L’attention de Porsche a été attiréesur l’usine VW par la société de conseildu groupe même. En effet, PorscheConsulting lui a apporté son soutienau moment de la rationalisation desprocessus de production.

La Panamera crée aussi des emplois.Quelque 600 emplois vont être crééschez Porsche Leipzig auxquels s’ajoutentencore 600 postes supplémentaires chezles fournisseurs régionaux. Zuffenhau-sen et Weissach comptent embaucher400 collaborateurs supplémentaires.A l’usine VW de Hanovre, environ 500postes sont assurés à long terme. Deplus, le directoire de Porsche a décidé,avec le comité d’entreprise du groupe,le comité d’entreprise de la sociétéPorsche Leipzig et le syndicat IGMetall, de reconduire la conventiontarifaire d’entreprise pour cinq annéessupplémentaires.

Edition Carrera mai 2006

Wiedeking, en annonçant la décisionprise en faveur du site de Leipzig encompagnie de Michael Macht, direc-teur de la production et de SiegfriedBülow, directeur de l’usine. Wolfgang Tie-fensee, le ministre fédéral destransports, responsable de l’expansionéconomique de la région, s’était dépla-cé pour l’occasion. Le maire de Leip-zig, Burkhard Jung ainsi que le ministred’Etat Hermann Winkler ont égalementsalué l’engagement de Porsche.

L’entreprise comprend également cettedécision comme une prise de positionen faveur de l’Allemagne en tant que sitede production industrielle. «Ceci nouspermet d’accroître encore la valeur denos voitures de sport et de répondreen outre aux attentes de nos clients»déclare Wiedeking, «le label ‘Made inGermany’ a aussi son importance pourla Panamera.»

Comme Porsche travaille principalementavec des fournisseurs allemands, 70 pourcent de la valeur ajoutée est produiteen Allemagne. Et Porsche continue àrenoncer aux subventions. Wiedeking :«Le succès du Cayenne a montré quenous pouvons construire nos véhiculessans avoir à recourir aux denierspublics.»

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