Parachat Boבס"ד

HORAIRE DES OFFICES SHABBAT

Allumage des bougies: 16h26 Minha/Kabalat Shabbat: 16h25

Chaharit: 8h15Minha/Seouda Shlishit/Arvit: 16h00

Sortie du Shabbat: 17h33JOURS DE LA SEMAINE

Dimanche : 8h / 16h25Lundi / Jeudi : 6h / 8h / 19h00

Mardi / Merc. : 6h15 / 8h / 19h00 Vendredi: 6h15 / 16h25

ASSOCIATION SÉPHARADE DE LA BANLIEUE OUEST DE MONTRÉALSYNAGOGUE OR SHALOM | CENTRE COMMUNAUTAIRE ASSOULINE

www.orshalomddo.com | www.facebook.com/OrShalomDDO514.624.0034 | 96, rue Fredmir, D.D.O. (Qc) | info@orshalomddo.com

20 janvier 2018 / 4 Shevat 5778

BULLETIN HEBDOMADAIRE

NAHALA / YAHRZEIT

OR SHALOM

Rav Avraham Maruani | Cantor Orel Gozlan | Albert Loeb, Parnass | Me. Yonatan Petel, Président | Dan Elbaz, Vice-Président

ASSOCIATION SÉPHARADE DE LA BANLIEUE OUEST DE MONTRÉALSYNAGOGUE OR SHALOM | CENTRE COMMUNAUTAIRE ASSOULINE

www.orshalomddo.com | www.facebook.com/OrShalomDDO514.624.0034 | 96, rue Fredmir, D.D.O. (Qc) | info@orshalomddo.com

Rav Avraham Maruani | Cantor Orel Gozlan | Albert Loeb, Parnass | Me. Yonatan Petel, Président | Dan Elbaz, Vice-Président

Livre brun - p. 141 English Artscroll - p. 340 Artscroll français - p. 364

Jonathan Krespil, Charles Azeroual, Lea Benezra, Caroline Petel,

Stéphanie Sultan, Moshe Topas, Fanny Benjohar, Liam Shemtov

Abecassis, Maurice Bouskila, Nathan Elbaz, Sophie Wugalter, Keren

Cohen, Yvonne Bensimon, Ariella Israel, Michaela Hanna Abitbol,

Michael Benarroch, Thierry Cohen

SEOUDA SHLISHITLa séouda shlishit est offerte par

Or Shalom

KIDDOUSHLe kiddoush est offert par

Diana &Wayne Milleren l'honneur de la Bar Mitsva de leur fils

Adam

Monique Lasryà la mémoire de Jacques Amzallag ben

Reina Z''l

David Gozlanà la mémoire de Luna bat Ledicia Z''l

et de Clara bat Mazal Z''l

COURS DE GUEMARA CLASS

Cours de Guemara avec Rav Maruani tous les lundis et mercredis à partir de 19h15.

Guemara class with Rabbi Maruani every Monday and Wednesday from 7:15 p.m.

Certains points saillantsSamedi 20 janvier / 4 Shevat

Jacques Amzallag ben Reina Z''l, père de Monique Lasry

Mardi 23 janvier / 7 ShevatRachel bat Myriam Z''l, mère de

Joe Amar

Mercredi 24 janvier / 8 ShevatHabiba bat Zohra Z''l, mère de

Jacob Miara

Jeudi 25 janvier / 9 ShevatYacov ben Esther Z''l, père de

Chalom Ohayon

Vendredi 26 janvier / 10 ShevatAba ben Berl Z''l, père d'Elie

Katzes

Mazal Tov à Adam Miller pour sa Bar Mitsva, ainsi qu’à ses parents Diana &

Wayne Miller et sa famille.

Mazal Tov to Adam Miller for his Bar Mitsva and to his parents Diana &

Wayne Miller and his family.

« Au début de la Parasha Bo, Hachem demande à Moché de se présenter à nouveau avec Aaron chez Pharaon pour

demander la libération du peuple juif.

Puis la Parasha Bo relate les 3 dernières plaies (car 10 au total) : les sauterelles, les ténèbres et la mort des 1ers nés.

La « Guematria » (valeur numérique) du mot ּבֹא est 3. Cela aide à se souvenir que cette Parasha relate les 3 dernières

plaies. »

A WORD ON THE PARASHAT Th HALAKHOT DE LA SEMAINE UN MOT SUR LA PARACHAT Béhaalotekha : s'efforcer deLa ‘Amida (Suite)

On se prosterne, dans la Amida de façon que toutes les vertèbres se décollent et saillent ; mais pas au point que la tête rejoigne la hauteur de la ceinture (vouloir en faire plus que nécessaire est un signe de vanité).

Pour pouvoir reculer de trois pas, il faut attendre que notre voisin derrière nous, ait terminé sa ‘Amida. Il n’est pas permis, en effet, de passer devant une personne absorbée dans le Shmone’ Esré.

Il est interdit à celui qui ne prie pas de s’asseoir dans un rayon de deux mètres autour d’une personne effectuant la Amida.

En revanche, il est permis à celui qui lit le Shéma, par exemple, de rester assis, à condition qu’il ne se trouve pas juste devant cette personne. Si tel est le cas, il lui est conseillé soit de se lever, soit d’aller s’asseoir ailleurs.

Répétition de la ‘amida

On s’abstiendra de toute parole pendant la répétition de l’officiant. Parler à ce moment de la prière est une grave faute, qui a valu la destruction de synagogues entières. Des personnes chargées de faire respecter cette règle devront être désignées. Il appartient cependant à chaque fidèle de veiller à son application.

Chaque bénédiction émise par l‘officiant requiert toute notre concentration. On s’abstiendra donc de prononcer des Ta’hanounim (supplications) ou d’étudier pendant la répétition, et ce même si l’on répond Amen au terme de chaque bénédiction.

Back in the 1980s, the tag-line for the campaign to free Soviet Jewry came from this week's Torah portion: "Let My people go," Moses said to Pharaoh. However, that's only the first half of the phrase used by Moses. He continued. "Let My people go ... so that they should serve Me [God]." In other words, let them go for a purpose.

In Jewish thinking, freedom alone is not a value. If a man is free and he uses this freedom to hurt others, to abuse his body with drugs, or to waste his life, is such a freedom of value? Better that he be a slave.

Freedom is only of value if there is purpose attached to it. Without purpose, people will be no happier free, than if they were slaves.

Modern Israel has faced many existential challenges throughout its history - wars, terror, UN condemnations. However, in my mind, the greatest threat to Israel today is not Ahmadinejad or Hamas. Israel's greatest threat today lies in its lack of purpose. At least a million Israelis have left the country. Young Israelis are disillusioned. And the universally dirty business of politics is seemingly nowhere dirtier than in the Holy Land. As of today, America is a safer place for Jews and a country where Jews know unprecedented freedom. So what purpose does Israel serve?

Let My people go... so that they may serve Me. Freedom must include a meaningful purpose.

And yet of all nations, for the Jewish people to lack purpose is the most ironic. Our whole history is one of dreaming of a better world and striving toward that goal. From our very inception, the concept of being a 'light to the nations' has inspired and driven us. And we have done so. The values of our Bible have permeated the entire world.

We've had a purpose, and that purpose remains agonizingly within reach. If only we would grasp onto it. A person drowning is tragic. But a person drowning because he is lying down in a few inches of water and all he need do is stand up, is unbearably tragic.

That's what the Jewish people is doing today. We are drowning because young Jews find no meaning in Judaism. No meaning in Judaism?! We are drowning in an inch of water. It's about time that we stood up. And if you're already standing, help someone else get up.

Let My People Go

By Rabbi Shaul Rosenblatt

L’écho de la Haftara BoLa Haftara relative à la Paracha Bo est issue du livre de Jérémie, et plus particulièrement à la fin de ce livre, lorsque Jérémie s’adresse aux nations du monde. Il s’agit du dernier texte retenu dans le livre de Jérémie pour figurer parmi les Haftarot.

Cette Paracha nous donne l’opportunité de revenir sur la thématique évoquée dans la Haftara de la semaine dernière qui était pour sa part tirée du livre d’Ezéchiel, mais que nous n’avons pas lue en raison de Roch ‘Hodèch.

Aussi, nous assistons à nouveau dans cette Haftara à l’annonce de la défaite prochaine de l’Égypte face à la nouvelle puissance mondiale de l’époque, l’empire chaldéen ou babylonien à la tête duquel règne Nabuchodonosor.Les versets qui précédent notre Haftara évoquent une grande bataille qui eut lieu à Karkemich, et opposa les babyloniens et les égyptiens. Cet affrontement se solda par la défaite des égyptiens qui entamèrent alors leur déclin définitif dans l’histoire des nations.

Notre Haftara évoque une attaque ultérieure lancée par Nabuchodonosor contre l’Egypte et qui scellera définitivement la chute de ce pays, dont le peuple sera décimé et exilé pendant 40 ans.

A l’approche de ces confrontations historiques majeures, le prophète Jérémie s’adresse à l’Egypte et les avertit de cette défaite imminente.

Liens entre la Haftara et la ParachatLa Haftara et la Paracha présentent toutes deux les punitions infligées à l’Egypte par Hachem. Celles-ci sont annoncées à chaque fois par les émissaires de D.ieu, Moché dans la Paracha et Jérémie dans la Haftara. En effet, ceux-ci insistent bien sur la nature divine de ces punitions, d’une part les dix plaies, et d’autre part la victoire de Nabuchodonosor qui n’est que l’intermédiaire dont se sert Hachem pour punir l’Egypte.

Nous pouvons relever d’autres points communs. Tout d’abord, dans les champs lexicaux employés alors que la Paracha évoque la huitième plaie des sauterelles, la Haftara compare les soldats babyloniens à une invasion de sauterelles.

De même, la défaite de l’Egypte est annoncée par D.ieu par des déclarations solennelles au contenu très proche : « Je parcourrai le pays d'Égypte, cette même nuit ; Je frapperai tout premier-né dans le pays d'Égypte, depuis l'homme jusqu'à la bête et Je ferai justice de toutes les divinités de l'Egypte, moi l'Éternel ! » (Chémot, 12-12) Et dans notre Haftara : « L'Eternel-Cébaot, D.ieu d'Israël, a dit : Voici, Je vais sévir sur Amon [divinité] de Nô, sur Pharaon et sur l'Egypte, sur ses dieux et ses rois, oui, sur Pharaon et sur ceux qui mettent leur confiance en lui. » (Jérémie, 46-25)Dans les deux textes, Hachem assure le peuple juif de Sa protection et de sa libération prochaine. Rappelons-nous ainsi ces mots de Jérémie : « Pour toi, ô Mon serviteur Jacob, ne crains rien ; ne sois point alarmé, ô Israël ! Car Mon secours te fera sortir des régions lointaines et tes descendants de leur pays d'exil. Jacob reviendra, et il jouira d'une paix et d'une sécurité que personne ne troublera. »

L’écho de la Haftara

interprétation talmudique. Il s’agit d’un verset évoquant les montagnes de Tavor et de Carmel : « Aussi vrai que J'existe, dit le Roi, qui a nom Eternel-Cébaot, pareil au Tavor, parmi les montagnes, comme le Carmel qui s'avance dans la mer, il va venir, [l'ennemi vainqueur]. »(Jérémie, 46-18).

Dans le traité Méguila (29), les Sages nous enseignent que lorsque la Torah devait être promulguée devant l’ensemble des Bné Israël, les montagnes de Tavor et Carmel désirèrent ardemment être le lieu de cette révélation. Toutefois, comme chacun sait, Hachem choisit le mont Sinaï pour cet évènement unique. Ce choix a été motivé, nous disent nos Sages, en raison de la simplicité et de la modestie de cette montagne. Ces vertus sont en effet essentielles à quiconque souhaite étudier et s’imprégner de l’esprit de la Torah.Mais il n’en demeure pas moins que l’intention de ces deux montagnes était digne de louanges, et elles en furent récompensées. Nos Sages nous disent en effet qu’elles ont été déracinées de leur emplacement d’origine (hors d’Israël) et replantées en Israël. En outre, dans la Haftara de Béchala’h, nous voyons que les Juifs ont été sauvés miraculeusement sur le mont Tavor à l’époque de la prophétesse Déborah ; et, à l’époque du prophète Eliahou, le mont Carmel fut le lieu de la proclamation de l’unité d’Hachem.Aussi, nos Sages en concluent, par un raisonnement « a fortiori », que si ces montagnes ont eu le mérite d’être déplacées miraculeusement en Israël pour avoir simplement voulu être un lieu d’enseignement de la Torah, alors à plus forte raison, les synagogues et les lieux d’étude, où l’on étudie concrètement la Torah en permanence, seront eux aussi déplacés en Israël à l’époque du Machia’h (qui se dévoilera très prochainement avec l’aide de D.ieu) !Cet enseignement de nos Sages peut nous rappeler deux leçons particulièrement profondes. Tout d’abord, l’éminente sainteté des synagogues et des lieux d’étude qui sont comparés dans notre tradition au Beth Hamikdach, au Temple, en miniature. En effet, ces lieux, à travers les prières et les études qu’elles abritent, irradient sur le monde une sainteté très forte que nous avons probablement du mal à mesurer. Voilà pourquoi nos Sages accordent également une importance si forte à l’exigence de se comporter avec respect et concentration en leur sein.En outre, nous pouvons également mesurer l’amour qu’Hachem porte à chacun d’entre nous qui aspirons à être les porteurs de Son enseignement, de Sa Torah. En effet, Hachem a récompensé les montagnes de Tavor et Carmel uniquement pour leur bonne intention. Et, de fait, cette bienveillance s’applique également aux hommes qui sont récompensés ne serait-ce que pour une intention positive, et même pour une simple volonté de s’amender et de s’orienter vers le bien. Comme nous l’enseigne notre tradition : « Ra’hamana ‘Hafèts Liba », D.ieu désire le cœur. Il s’agit avant tout de ressentir avec son cœur l’envie de nous rapprocher d’Hachem et de Sa Torah. Aussi, il faut développer « un cœur intelligent » comme nous y invite nos Sages, un cœur qui reconnaît le « Emet » (le Bien, le Vrai) et qui souhaite s’en rapprocher. Le mauvais penchant souhaite parfois nous décourager, nous faire croire que seuls les résultats comptent et que sans cela, nos efforts ne valent rien, D.ieu nous en préserve. L’enseignement que nous venons de rapporter souligne au contraire que toutes nos bonnes intentions sont portées à notre crédit, même si certaines circonstances ne nous ont pas permis d’atteindre un résultat concret. Par Jérome TOUBOULUn verset de notre Haftara a notamment donné lieu à une belle

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