Prisma Media – Etudes Marketing // N°74

« L’Actu tisse sa toile »

N°74 Février 2015

Prisma Media – Etudes Marketing // N°74

STRATÉGIE MARCHÉ PUB PRISMA

Zoom sur … À la recherche du modèle économique

IT - ECOMMERCE Ad-blockers : un accord avec les géants du web

366 développe sa place marché privée avec

Google

Auféminin prêt à céder Smart Adserver

Webedia finalise l’acquisition de millenium.org

Facebook va noter la pertinence des publicités

L’écrasant Google …

Linkedin se met au reciblage publicitaire

BtoB

Mondadori digital : Closer synchronise mobile, tablette, TV & Radio

Forrester recommande aux marketers d’aller au-delà des applications des

marques pour leur stratégie mobile.

Smartphones : quand Xiaomi inquiète Apple et

Samsung

Apple vise 2020 pour une première voiture

électrique

Les beacons commencent à entrer dans nos boutiques.

Femme actuelle lance une nouvelle web-série

beauté

Prisma plus crée du contenu vidéo 360° pour

issey miyake parfums

La brand safety et la privacy, principaux enjeux

du déploiement de la publicité mobile

Webedia en passe d’acquérir Côté Ciné

Group

La famille Bayard s’agrandit

Bayard prend 20% des parts de Tralalère

Focus sur le mobile Chiffre d'affaires de l'e-commerce en France

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Pinterest supprime les liens d'affiliation mais travaille sur un bouton "buy" Le réseau social continue de tâtonner pour monétiser son audience sans faire fuir ses millions d'utilisateurs. Depuis plusieurs années déjà, Pinterest tâtonne afin de dénicher le meilleur modèle de monétisation. Pinterest vient ainsi de bannir de sa plateforme tous les liens d'affiliation. Les pins auxquels ils étaient attachés restent, eux, en ligne. Transformer Pinterest en plateforme e-commerce Pinterest serait en train de travailler sur un bouton "Buy", qui pourrait être lancé dans trois à six mois, rapporte Re/code. Les utilisateurs du réseau social pourraient alors acheter certains produits découverts sur Pinterest sans même en quitter le site ou l'application. Avec ce bouton, Pinterest a la capacité de devenir une plateforme e-commerce à succès : ses 70 millions de visiteurs uniques par mois viennent déjà y découvrir de multiples produits, depuis le prêt-à-porter en passant par la décoration, le mobilier ou le maquillage. Le modèle n'a pas encore été dévoilé, mais les retailers ayant choisi d'intégrer le bouton "buy" pourraient payer Pinterest pour promouvoir leurs Pins sur la plateforme. Une commission sur chaque achat devrait aussi permettre de monétiser le réseau social. Pins sponsorisés en Europe en 2015 L'année dernière, le réseau social s'est aussi lancé dans la publicité en lançant des Promoted Pins (pins sponsorisés) aux Etats-Unis. Pinterest a annoncé qu'ils pourraient être déployés en Europe cette année. En 2012, Pinterest avait également testé le recours au "skimlink", procédé qui permet de taguer automatiquement une URL sortante et de créer un lien d'affiliation avec un site e-commerce. Le site reverse une commission à Pinterest quand un achat est réalisé après une redirection. Une approche rapidement abandonnée par le réseau social. En attendant de trouver le bon modèle de monétisation, Pinterest finance sa croissance grâce aux 762,5 millions de dollars levés depuis sa création, en 2009, dont un tour de table de 200 millions de dollars bouclé en mai 2014 qui l'avait valorisé autour de 5 milliards de dollars. [JDN 13/02]

ZOOM SUR … Les modèles économiques

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ZOOM SUR … Les modèles économiques

Kwanko propose à ses clients une facturation au temps passé post-clic Le Français facture les clics au temps passé afin de prendre en compte l'engagement des internautes. Le groupe français Kwanko, spécialisé dans la diffusion et la gestion de campagnes publicitaires digitales, propose désormais non plus une facturation selon le nombre de clics générés par une campagne, mais selon le temps de visite post-clic des utilisateurs, grâce à sa technologie "ClickTime". Le groupe entend ainsi proposer davantage d'engagement de ses internautes à ses partenaires annonceurs et éditeurs. Le groupe a déployé cette offre auprès de son réseau d'éditeurs en France et dans le monde, accessible sur ses deux plateformes : NetAffiliation pour la publicité à la performance et Swelen pour les campagnes mobile. [JDN 13/02]

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Le site Presse-Citron abandonne la bannière publicitaire Le site high-tech repense son modèle économique autour d'un tryptique entreprise - start-up - lecteur qui doit lui permettre de se développer de manière pérenne. Entre des bannières publicitaires dont les CPM chutent inexorablement et un modèle payant qui peine à s'imposer, la presse Web arrive à un véritable tournant en matière de monétisation de son audience. Alors que beaucoup espèrent que le programmatique leur permettra de valoriser au mieux leur inventaire, que d'autres se tournent vers un système de "soft paywall" qui, à défaut d'être rentable, permet de rester consensuel, le site high-tech, Presse-Citron, a décidé de faire table-rase de ses bannières publicitaires pour un modèle économique inédit. Une décision moins motivée par une véritable chute du revenu ("le chiffre d'affaires est stable", nous explique Valentin Pringuay, responsable business développent chez Presse-Citron) que par la volonté de s'affranchir d'un modèle qui semble condamnée, à terme. "Un élément était primordial pour nous, la lecture de Presse-Citron devait rester gratuite pour tous", nous explique Valentin Pringuay, responsable business développent chez Presse-Citron et organisateur des événements J-1. Le site introduit de fait un statut de "lecteurs premiums", statut réservé à 1 200 de ses early adopters moyennant le versement de 35 euros chaque année. Ceux-ci se verront notamment offrir une box Presse-Citron contenant plus de 100 euros d'accessoires high-tech, des accès à des événements VIP et de nombreux avantages tout au long de l'année. "C'est moins un levier de monétisation qu'un moyen de récompenser nos lecteurs les plus fidèles", précise Valentin Pringuay. La monétisation de l'audience, celle de Presse-Citron oscille entre 150 000 et 300 000 VU selon les mois dans Médiamétrie//Netratings, (le site revendique toutefois 1 million de VU dans Google Analytics) échoit de fait à 12 entreprises qui se voient elles aussi octroyer le statut d‘ "entreprises premiums". Le premier a déjà les honneurs de la Une de Presse-Citron avec un article "Microsoft Ventures met l'accent sur la levée de fonds" via un article qui gagnerait à être un peu mieux labellisé comme publicitaire, selon les standards de l'IAB en matière de native advertising. Dernier pan du triptyque économique, les 120 start-up qui, une fois qu'elles auront accédé au statut premium, seront aidées tout au long de l'année dans leur développement et communication. "Il ne s'agit pas de les mettre en avant sur notre site mais de leur faire profiter de nos événements telles que le J-1, qui met en relation entrepreneurs avertis et start-uppers en herbe, au cours d'une journée qui met l'accent sur l'innovation", explique Valentin Pringuay. [JDN 16/02]

ZOOM SUR … Les modèles économiques

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ZOOM SUR … Les modèles économiques

You Tube encadre les vidéos sponsorisées Google, propriétaire de You Tube, vient de modifier ses règles d'utilisation quant aux placements de produits rémunérés: il interdit désormais aux créateurs de vidéos de monétiser leurs oeuvres en direct avec des sponsors. En clair, les marques qui sponsorisent certaines vidéos devront passer par la plateforme publicitaire de You Tube afin de payer leur sponsoring sur les vidéos de leur choix. La plateforme pourra prélever une commission avant de reverser la part revenant aux créateurs de vidéo. En cas d'intégration de produits, les créateurs devront ajouter une information en format texte dans leur contenu vidéo ou au début de la lecture de la vidéo, pour signaler le placement d'un produit rémunéré. Ils devront également mentionner depuis la page Vidéo Manager que le contenu vidéo contient un placement de produit rémunéré. Principaux visés: les Youtubeurs, ces jeunes stars Youtube, mais aussi les coachs de cuisine, les blogueurs et blogueuses de mode, et bien d'autres qui réalisent des vidéos rentabilisées en y intégrant des produits de marque. Plusieurs précédents avaient déjà été épinglés. [Stratégies 24/02]

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Ad-blockers : un accord avec les géants du web Le Financial Times vient de révéler que Google, Microsoft et Amazon avait passé un accord avec les dirigeants d'Eyeo, éditeur de l'ad-blocker le plus populaire au monde, AdBlock Plus, pour que ce dernier arrête de bloquer certaines de ses publicités. Chacun s'engage à reverser près de 30% du chiffre d'affaires supplémentaire généré par ce déblocage. Un accord qui sonne comme un aveu de soumission de la part de géants pas forcément habitués à transiger avec ceux qui nuisent à leur business. Et pour cause, selon des chiffres communiqués par PageFair et mis en forme par BI Intelligence, le nombre d'utilisateurs d'un ad-blocker était de 144 millions au second trimestre 2014. Cela représentait près de 5% de la population Internet mondiale. [OffreMedias 05/02]

STRATÉGIE : partenariats & acquisitions

AuFeminin prêt à céder Smart AdServer Le fonds d'investissements Cathay Capital a signé une promesse d'achat pour l'acquisition de Smart AdServer auprès d'Aufeminin (Axel Springer). "Dans le cas où Aufeminin déciderait d'exercer cette promesse d'achat, Smart AdServer serait cédée à une société intégrée à Cathay Capital et aux principaux managers de Smart AdServer, pour un prix total fixé à 37 millions d'euros", indique Aufeminin dans un communiqué. La promesse d'achat peut être exercée jusqu'au 21 avril, précise le groupe. Cette opération permettrait à Aufeminin de se concentrer sur son activité d'éditeur de contenus, alors qu'il a annoncé mercredi l'acquisition de Livingly Media, éditeur américain de contenus lifestyle pour un montant pouvant aller jusqu'à 50 millions d'euros. Smart AdServer, créé en France 2001, a dégagé un chiffre d'affaires de 14 millions d'euros en 2014. Présente aujourd'hui dans 10 pays, la société compte une centaine de salariés La société propose une plate-forme publicitaire directe et programmatique pour la publicité numérique destinée aux éditeurs et aux annonceurs.Avec une présence forte sur la publicité sur mobile, Smart AdServer s'est aussi lancé dans le RTB (enchères en temps réel) et la publicité vidéo en 2013. [CBNews 19/02]

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STRATÉGIE : partenariats & acquisitions

366 développe sa place de marché privée avec google et s’allie avec nugg.ad pour la data Stéphane Delaporte, Directeur Général délégué de 366, avait annoncé, lors de la création de la régie, des lancements et accords au niveau de l’offre programmatique et de la data. Les accords ont été officialisés hier avec le lancement de sa place de marché privée et de l’offre programmatique «366 Global Territoire». Celle-ci sera opérationnelle à partir du 1er mars. Elle a été mise en place avec la technologie de Google qui a été sélectionnée à l’issue d’un appel d’offres de 6 mois. La place de marché s’appuiera sur son adserver Doubleclick For Publishers, pour créer un «méta-adserver», capable d’administrer les trois systèmes d’adserving utilisés par les différents titres en régie, et Doubleclick Ad Exchange, qui fera office de SSP (sell side plateform). 366 Global Territoire commercialisera en semi blind des deals ID et des ventes privées au sein d’espaces premium, à partir d’adresses IP uniquement basées en France. De plus, 40% de first view seront disponibles au sein de l’offre. Il n’y aura pas de vente en RTB au sein de la plateforme programmatique. Selon Stéphane Delaporte, la présence des éditeurs de PQR au sein des places de marché privées Audience Square et La Place Média (Nice Matin, Le Télégramme, Sud Ouest, La Dépêche, La Montagne…) n’est donc pas incompatible. Pour améliorer l’efficacité des campagnes et permettre un ciblage prédictif, 366 Global Territoire s’appuiera sur une DMP (data management platform), opérée par nugg.ad. Pour cela, 366 utilisera des data propriétaires à travers son panel de 80 000 internautes, qui seront reliées aux données de navigation collectées par nugg.ad et enrichies de données sociodémographiques. L’offre s’articulera autour de six segments ad hoc : hauts revenus, décideurs PME-PMI, décideurs des collectivités, responsables des achats foyer, e-commerce friendly et smart shoppeuses. Environ 1,6 milliard d’impressions devraient être délivrées par mois au sein de la place de marché, selon Dominique Carcanade, Directeur commercial digital de 366. Au total, 366 réunit 48 sites de PQR et 43 applications mobiles pour une audience de plus de 16 millions de VU mensuels et 9 millions de mobinautes, selon la régie. Dans un premier temps, l’offre sera disponible sur fixe et mobile. Les formats vidéo arriveront d’ici la fin de l’année, d’abord en outstream. 366 prévoit de réaliser environ 1 million d’euros de chiffre d’affaires en 2015 avec cette offre programmatique. [100% Medias 05/02]

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STRATÉGIE : partenariats & acquisitions

Webedia en passe d'acquérir Côté Ciné Group Webedia, éditeur notamment d'Allociné, est entré en négociations exclusives pour le rachat de Côté Ciné Group, groupe français spécialisé dans la billetterie de cinéma. «En combinant la puissance web et mobile d'Allociné et des salles de cinéma, nous avons l'ambition de créer un mouvement d'adoption massive de la billetterie cinéma en ligne», explique la présidente du directoire, Véronique Morali. Côté Ciné, créé en 2010 par Patrick Farcy et Julien Marcel, possède également une filiale américaine, Box Office Media, sur laquelle Webedia veut s'appuyer pour se développer aux Etats-Unis. Les sites et applications mobiles de Côté Ciné Group représentent près de 50 millions de pages vues et plus de 3 millions de vidéos en décembre 2014. Déjà présent en Allemagne, au Brésil, en Espagne, en Turquie et au Moyen-Orient, Webedia revendique 6 millions d'utilisateurs par mois en France. Au 1er semestre 2014, Webedia a contribué à hauteur de 26,3 millions d'euros au chiffre d'affaires de Fimalac, la holding détenue par Marc Ladreit de Lacharrière, qui se rencentre sur les loisirs et les médias en se désengageant progressivement de l'agence de notation Fitc [Stratégies 16/02]

Webedia finalise l’acquisition de millenium.org Annoncées en novembre dernier, les négociations entre le groupe Webedia (Fimalac) et l’éditeur du site de gamers et e-sports millenium.org ont trouvé leur épilogue. Webedia a en effet finalisé sa prise de 100% du capital de Gameo Consulting pour un montant non dévoilé. « Webedia se renforce sur la thématique des jeux vidéo et entend développer l’offre de contenus du site, notamment vidéo, de la vidéo à la demande à la télévision digitale live », selon un communiqué. « La combinaison des performances du portail millenium.org et de jeuxvideo.com propulse (…) Webedia loin devant tout autre site communautaire français », souligne le groupe. Millenium.org revendique 2 millions de visiteurs uniques, 22 millions de pages vues et 22 millions de vidéos visionnées par mois. [CBNews 06/02]

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La famille Bayard s’agrandit Notrefamille.com, le site des « 1001 façons d’être maman » entre dans la famille Bayard et vient compléter l’offre parentale du groupe aux côtés de Familiscope.fr, Enfant.com et l’hebdo numérique Parents&Enfants lancé dans les premiers jours de janvier. Notrefamille.com propose des contenus aux futurs parents et parents d’enfants de 0 à 18 ans. On y trouve également des rubriques Santé, Cuisine, Maison,… Son éditeur en avait, durant l’été dernier, confié la commercialisation des espaces publicitaires, à HiMedia. [LesBlogsMedias 05/02]

STRATÉGIE : partenariats & acquisitions

Bayard prend 20% de Tralalère Le groupe Bayard a annoncé lundi avoir pris une participation pour un montant non dévoilé de 20% dans Tralalère, société spécialisée dans les contenus pédagogiques numériques afin de "développer les synergies" entre les deux entreprises. Bayard décrit Tralalère, dans un communiqué, comme une société "pionnière en pédagogie numérique" mettant "le (numérique) au service de la transmission des savoirs", pour les jeunes de 4 à 18 ans, les enseignants et les éducateurs. Tralalère, dirigée par sa fondatrice et principale actionnaire Deborah Elalouf, compte une vingtaine de collaborateurs, et produit des programmes pédagogiques à travers des dessins animés, des serious games, des applications multisupports, des livres numériques enrichis… Bayard avait annoncé la semaine dernière l'acquisition du site Notrefamille.com, lui permettant de renforcer son pôle de contenus et services à destination des parents. [CBNews 09/02]

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STRATÉGIE : partenariats & acquisitions

Starcom Mediavest et Inmobi nouent un partenariat européen L'agence médias Starcom (Groupe Publicis) vient de signer un partenariat avec la plateforme de publicité mobile Inmobi, pour développer la publicité sur mobile en Europe. En combinant les données et les outils d'analyse d'Inmobi, Starcom sera en mesure de définir des audiences premium afin de mettre en place pour ses annonceurs des places de marché RTB privées consacrées aux formats native sur mobiles. L'objectif est de déployer la stratégie mobile des marques à travers l'Europe. [Stratégies 20/02]

Accord entre twitter et google pour améliorer la visibilité des tweets sur le moteur de recherche, selon bloomberg Selon Bloomberg, Twitter a conclu un accord avec Google pour rendre ses messages plus visibles sur le web. Au cours du premier semestre, les tweets apparaîtront dans les résultats du moteur de recherche de Google dès qu’ils seront postés, grâce à un accord qui donne accès à Google aux flux de Twitter. Pour Google, l’intérêt est d’indexer automatiquement les tweets, sans recourir au «crawling», pour enrichir ses résultats de recherche. [100% Medias 06/02]

Facebook crée des chaînes vidéo, à l'instar des chaînes YouTube Facebook continue son offensive dans la vidéo en intégrant la possibilité de créer des chaînes vidéo, à l'image des chaînes You Tube. Pour l'instant réservées à certains médias et marques, ces nouvelles chaînes permettent la création de listes de lecture et la mise en avant d'une vidéo «à la une» qui apparaît également dans la rubrique «à propos» de la page Facebook. Les chaînes sont regroupées dans la rubrique «vidéo» de la page qui présentait jusque-là les vidéos dans un ordre chronologique. La fonction a notamment été testée par Le Monde,le New York Times ou encore Le Figaro, elle doit s'étendre à toutes les pages officielles des marques et des médias dans les semaines qui viennent. [Stratégies 03/02]

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MARCHÉ PUB : côté régie

Facebook va noter la pertinence des publicités Pour inciter les annonceurs à améliorer la qualité et l'efficacité de leurs campagnes, Facebook s'apprête à attribuer des scores de pertinence aux publicités d'ici quelques jours. Les annonces recevront des notes comprises entre 1 et 10, 10 étant le meilleur résultat. Les scores sont calculés à partir des interactions entre la publicité et l'audience ciblée. Plus une annonce recevra des interactions positives, plus son score sera élevé. Les indicateurs positifs incluent notamment le nombre de vidéos vues, les clics et les partages. A contrario, plus une annonce sera fermée par les utilisateurs, ou déclarée comme spam, plus son score sera bas. Le score de pertinence est calculé à partir de 500 impressions desservies et réactualisé en temps réel. Selon Facebook, ce nouvel outil ne concernera pas les annonces achetées avec une garantie de livraison. Il sera en revanche déterminant pour les annonceurs qui cherchent à avoir une interaction avec les internautes (renvoi vers un site, installation d'une application...), afin d'optimiser leur campagne en fonction du score obtenu. Cet outil est censé permettre aux annonceurs d'améliorer la pertinence de leurs annonces auprès de la bonne audience. Ils pourront également s'en servir pour tester certaines créations en amont. Les scores de pertinence sont accessibles au sein de l'interface de gestion publicitaire de Facebook. [JDN 13/02]

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L’écrasant Google … Frédéric Filloux vient de produire une analyse intéressante sur son site Monday Note. Entre autres observations, il illustre à quel point l'activité search de Google est devenue une activité incroyablement lucrative. Si l'on regarde le chiffre d'affaires par utilisateur unique mensuel, Google écrase tous ses concurrents, parmi lesquels Facebook, LinkedIn et Twitter. Les éditeurs "traditionnels" de contenu, comme le New-York Times, le Guardian ou Buzzfeed, génèrent quant à eux tellement peu de chiffre d'affaires par lecteur qu'ils en deviennent insignifiants. Frédéric Filloux suggère également que si le New-York Times était valorisé selon le même multiple qu'un Buzzfeed, sa valorisation atteindrait 19 milliards de dollars, au lieu de 2 milliards. Pour mémoire, la raison pour laquelle le New-York Times ne bénéficie pas d'un tel multiple de valorisation qu'un Buzzfeed tient à leurs taux de croissance respectifs. Buzzfeed croît de 100% chaque année, alors que le New-York Times reste juste stable. [JDN 16/02]

MARCHÉ PUB : côté régie

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MARCHÉ PUB : côté régie

Linkedin se met au reciblage publicitaire BtoB En août dernier, LinkedIn, le premier réseau professionnel au monde, annonçait le rachat du spécialiste du marketing BtoB Bizo. L'acquisition de la start-up, valorisée 175 millions de dollars, devait permettre à LinkedIn de franchir, à terme, une nouvelle étape dans le développement de ses solutions publicitaires, devenues en peu de temps sa deuxième source de revenus derrière l'activité de recrutement mais devant les abonnements utilisateurs. L'enjeu est de taille. Alors que le réseau professionnel, qui compte désormais plus de 300 millions de membres, a fait état d'un chiffre d'affaires de 643 millions de dollars au 4e trimestre 2014, en hausse de 44% par rapport à un an plus tôt, il semble exposé à terme à une saturation inéluctable dans ses solutions de recrutement. Pour le 1er trimestre 2015, il table ainsi sur un léger tassement de son activité, avec des revenus compris entre 618 et 622 millions de dollars. D'où l'importance de faire de la publicité son principal levier de croissance, le modèle Viadeo ayant prouvé les limites d'un modèle économique adossé principalement sur les abonnements. [100%Médias 20/02]

Pour aller plus loin … Ciblage marketing BtoB : Linkedin rachète Bizo

Mondadori Digital: Closer synchronise mobile, tablette, TV et radio Mondadori Digital propose une nouvelle solution publicitaire second écran permettant aux mobinautes ayant téléchargé l’appli de Closer, de voir s’afficher des informations ou formes graphiques riches et animées. Celles-ci sont « parfaitement synchronisées grâce au son de la télévision ou de la radio », selon un communiqué. Pour ce faire, la régie a adopté Sync2Ad, une solution d’enrichissement digital des spots TV et radio dans les applications mobiles et tablettes développée par Visiware. Dans les faits, selon elle, « dès que la publicité est diffusée sur le téléviseur ou à la radio, sans aucune modification du spot ou de la chaine, le smartphone ou la tablette réagit immédiatement ». Sync2Ad complète dès lors le message de façon ciblée en apportant l’information complémentaire, le jeu, la promotion, etc. [CBNews 12/02]

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Forrester recommande aux marketeurs d’aller au-delà des applications de marques pour leur stratégie mobile Les consommateurs passent 80% de leur temps mobile dans des applications. Au Royaume-Uni et aux Etats-Unis, ils utilisent en moyenne 24 applications par mois, mais chaque utilisateur passe plus de 80% de son temps sur cinq applications seulement. Selon les experts de Forrester, cette concentration du temps passé «ne signifie pas que les marketeurs doivent abandonner complètement les applications de marque, mais en 2015 ils vont devoir repenser leurs stratégies mobiles et la manière dont ils fournissent de la valeur au consommateur, au travers de moments mobiles «empruntés» sur des applications à forte audience, avec des liens profonds permettant un parcours fluide sur les applications, et des stratégies web mobiles pour acquérir des clients». Dans son rapport «2015 Mobile App Marketing Trends», Forrester publie le Top 20 des applis les plus utilisées pour chacun de ces 2 pays. Au Royaume-Uni, les 5 applications les plus utilisées concentrent 38% du temps consacré aux applis mobiles : Facebook (13%), WhatsApp (13%), YouTube (6%), Maps (3%) et Gmail (3%)... [OffresMédias 03/02]

MARCHÉ PUB : Focus sur le mobile – Prédictions et études pour 2015

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Time spent on all apps (UK Smartphone owners)

Les 10 prédictions de forrester pour le marketing mobile en 2015

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La brand safety et la privacy, principaux enjeux du déploiement de la publicité mobile selon une étude iab europe 42% des décideurs d’agences médias en Europe admettent que le mobile attire de nouveaux budgets même si 71% d’entre eux reconnaissent que les budgets mobiles proviennent de ceux d'internet, de la TV, de la presse et de la radio. Près d'un professionnel sur 2 est concerné par la privacy (45%) et 57% le sont par la brand safety selon une étude de l'IAB Europe sur la perception de la publicité mobile dans les agences médias, réalisée avec YouGov. Le 3ème besoin identifié concerne les possibilités de mesures des campagnes publicitaires mobiles (37%). Parmi les autres résultats de l'étude : - 91% des professionnels sondés considèrent avoir une compréhension de la publicité mobile supérieure à la moyenne (note attribuée entre 6 et 10), - les principaux freins à la publicité mobile sont le manque de compréhension de l'annonceur (72%) et le manque de mesures et de tracking (56%). Pour cette étude, l'institut YouGov a interrogé 154 experts d'agences médias en France, Royaume-Uni, Allemagne, Espagne et Italie, en novembre et décembre 2014.

[OffreMédias18/02]

MARCHÉ PUB : Focus sur le mobile – Prédictions et études pour 2015

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Smartphones : quand Xiaomi inquiète Apple et Samsung La nouvelle n'étonnera personne tant son ascension a été fulgurante ces derniers mois. Xiaomi, le fabricant chinois de smartphones, est devenu, en 2014, le premier vendeur sur le marché chinois, selon les données publiées mardi 17 février par IDC. Avec une part de marché de 12,5% sur l'année, le pure player devance Samsung et Lenovo et affiche une progression sur un an de… 186,5% ! La raison de ce succès fulgurant? La stratégie choisie par Xiaomi de proposer des smartphones à bas prix mais avec des spécifications techniques de qualité. A l'image du dernier né, le Mi4, son fleuron. Voilà un smartphone de 5 pouces avec un écran Full HD offrant 441 pixels par pouce, doté d'un processeur Snapdragon 801 à 2,5 GHz, de 3 Go de mémoire vive, d'un appareil photo à capteur Sony de 13 millions de pixels. Le tout offrant un design très réussi et un prix de 350 euros. Imbattable ! Apple qui rit, Samsung qui pleure Sur le 4e trimestre 2014, en Chine, Xiaomi fait mieux qu'Apple qui a pourtant bénéficié du double lancement de l'iPhone 6 et de l'iPhone 6 Plus. Le chinois affiche sur ce trimestre une part de marché de 13,7%, lorsque la firme à la pomme se place au deuxième rang avec 12,3%, devant Huawei (11%). Et dans le monde? Sur le plan mondial, la start-up chinoise fondée en 2010 par Lei Jun est parvenue à se hisser à la troisième place, en optant pour un modèle communautaire et pour des "coups publicitaires grâce à des ventes groupées instantanées", explique IDC. Xiaomi a fait des petits. A l'image de DuneTek, la jeune start-up française créée par Quentin Lin qui a choisi d'importer son modèle en France. [Challenges.fr 17/02]

A lire aussi sur la start-up DuneTek…

Pour aller plus loin … Xiaomi représente-t-il vraiment une menace pour Google ?

IT – E-COMMERCE : lancements & tendances

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Apple vise 2020 pour une première voiture électrique Apple compte démarrer la production d'un véhicule électrique dès 2020, rapporte Bloomberg, citant des sources proches du dossier, objectif qui paraît fort ambitieux pour une entreprise ayant très peu d'expérience dans l'automobile. Le concepteur de l'iPhone pousse son "équipe automobile" de quelque 200 personnes à atteindre cet objectif, ajoute Bloomberg. Selon les sources, la direction d'Apple pourrait tout aussi bien renoncer à ce projet, ou le repousser, si elle n'est pas satisfaite du processus en cours. En parallèle, un fabricant de batteries pour voitures électriques, A123 Systems, a engagé des poursuites contre Apple qu'il accuse d'avoir débauché quelques-uns de ses meilleurs ingénieurs, nouvelle preuve de l'intérêt développé par le groupe californien pour le secteur automobile. Le groupe de Cupertino se renseigne sur la fabrication d'un véhicule électrique autonome et discute avec des constructeurs et des sous-traitants de l'industrie automobile, a-t-on appris samedi de source proche des discussions. [Challenges.fr 20/02]

IT – E-COMMERCE : lancements & tendances

Prisma Media – Etudes Marketing // N°74

Les beacons commencent à entrer dans nos boutiques. Ces petits capteurs qui permettent de reconnaître les clients pour leur adresser, via leur smartphone, des messages personnalisés ont su convaincre quelques marques britanniques qui en équipent leurs mannequins. Vous entrez dans un magasin Ted Baker et le mannequin vous interpelle. Pourtant vous n’êtes pas dans un film d’horreur où vous consommateur sans défense se fait attaquer par une armée de mannequins devenus zombies, mais bien face à la dernière super innovation marketing. En effet, selon une étude de BI Intelligence (Business Insider), les ventes réalisées grâce aux beacons pourraient atteindre 4 milliards de dollars en 2015 et 44 milliards en 2016. Les magasins commencent à mettre en place ces mannequins « intelligents » qui envoient des notifications aux clients dès qu’ils passent à proximité : messages de bienvenue, offres de réduction, et autres renseignements sur les produits... Toutefois, le dispositif reste limité : pour qu'il fonctionne, il faut que les consommateurs aient téléchargés l’application Iconeme. Quoiqu'il en soit, il ne s’agit pas de bombarder le visiteur d'infos, mais bien au contraire de lui rendre service. Comme le souligne Jonathan Berlin, PDG de Iconeme, « 89% des consommateurs utilisent leurs téléphones pendant leurs courses », mais ce n’est pas pour autant qu’ils rêvent d’être harcelés à coups de publicités et d'offres non adaptées. Ainsi Iconeme ne demande que très peu d’informations personnelles : seul le renseignement de l’âge, du sexe et la localisation sont obligatoires ; et laisse l'utilisateur solliciter l'application plus que le contraire. L’installation de beacons présente tout de même un grand intérêt pour les marques : meilleures compréhension de l’impact des vitrines, proposition d’articles en accord avec les vêtements que le client regarde, offres adaptées… Les premiers magasins à utiliser l'application sont anglais, on note Ted Baker et Hawes & Curtis à Londres, House of Fraser store à Aberdeen, et Bentalls à Kingston upon Thames. [L’ADN 20/02]

Pour regarder la vidéo …

IT – E-COMMERCE : lancements & tendances

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Chiffre d'affaires de l'e-commerce en France La croissance du marché de l'e-commerce en France depuis 2005 et les prévisions pour l'année prochaine. Selon la Fédération du e-commerce et de la vente à distance (Fevad), les ventes sur Internet continuent de progresser à un rythme soutenu. En 2014, les ventes sur internet ont atteint 56,8 milliards d'euros, en hausse de 11% sur un an. Les ventes de Noël (novembre-décembre), qui représentent 20% du chiffre d'affaires de l'année, ont atteint 11,4 milliards d'euros soit 13% de plus qu'à Noël 2013. [JDN 13/02]

IT – E-COMMERCE : lancements & tendances

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Femme actuelle lance une nouvelle web-série beauté Femme Actuelle se renforce dans la vidéo avec une nouvelle web série dédiée à l’univers de la beauté, «Julie fait sa belle». Au sein de quatre épisodes de 2 minutes, la blogueuse Julie présente ses astuces et ses conseils beauté avec dérision. Les vidéos ont été réalisées en interne par les équipes vidéo de Prisma Media, ainsi que par la société Dahu Production. Les contenus sont accessibles depuis la rubrique beauté de femmeactuelle.fr, et devraient être diffusés prochainement sur YouTube. Les vidéos contiennent des pré-roll, tandis que du sponsoring est envisagé pour la suite. «Julie fait sa belle» s’inscrit à la suite des «Sexpériences de Cerise», un web série de 6 épisodes qui avait totalisé 200 000 vues. Un deuxième volet d’épisodes est en cours de production. Femme Actuelle revendique 3 millions de vidéos par mois sur ses sites Femme Actuelle, Femme Actuelle vidéo, Prima et Cuisine Actuelle. Prisma Media Solutions est en charge de la commercialisation des espaces publicitaires. [OffreMédias 09/02]

LES ACTUS PRISMA

Prisma plus crée du contenu vidéo 360° pour issey miyake parfums Prisma Plus, la cellule d’opérations spéciales de Prisma Media Solutions, a orchestré un dispositif interactif pour les trois produits hommes de la marque Issey Miyake Parfums (Beauté Prestige International). Trois vidéos en 360° ont été réalisées grâce à l’expertise d’un journaliste Geo et celle d’un spécialiste de la production de vidéos en 360°. Elles permettent de faire vivre à l’internaute sous tous les angles chaque expérience comme s’il en était l’explorateur et ont été diffusées sur les sites du magazine Geo et d’Issey Miyake Parfums. Le dispositif est également accessible au sein d'une application mobile dédiée, Xplore 360 (iOS et Android), ainsi que dans une sélection de points de vente parfumeries équipés du système de réalité virtuelle Cardboard. [Offre Medias 23/02]