· web view, la vie militante arménienne en turquie, l’espoir pour ces luttes dans cet État...

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A LA MEMOIRE DES 1 500 000 VICTIMES ARMENIENNES 24 avril 2016 : 101e anniversaire du génocide arménien de 1915 perpétré par le gouvernement Jeune-Turc 101 ans de déni : ça suffit ! --------------------------------------------------------------- ---- VEILLE MEDIA Lundi 18 janvier 2016 Retrouvez les informations sur notre site : http://www.collectifvan.org Rubrique Info Collectif VAN : http://www.collectifvan.org/rubrique.php?r=0&page=1 et Rubrique News (Revue de Presse) : http://www.collectifvan.org/rubrique.php?r=4&page=1 SOMMAIRE Info Collectif VAN - www.collectifvan.org - Le Collectif VAN [Vigilance Arménienne contre le Négationnisme] vous propose une revue de presse des informations parues dans la presse francophone sur les thèmes concernant le négationnisme, le racisme, l'antisémitisme, le génocide arménien, la Shoah, le génocide des Tutsi, les crimes perpétrés au Darfour, la Turquie, l'Union européenne, l'occupation de Chypre, etc... Nous vous suggérons également de prendre le temps de lire ou relire les articles mis en ligne dans la rubrique Info Collectif VAN et les traductions regroupées dans notre rubrique Actions VAN . Par ailleurs, certains articles en anglais, allemand, turc, etc, ne sont disponibles que dans la newsletter

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A LA MEMOIRE DES 1 500 000 VICTIMES ARMENIENNES24 avril 2016 : 101e anniversaire du génocide arménien de 1915

perpétré par le gouvernement Jeune-Turc101 ans de déni : ça suffit !

-------------------------------------------------------------------

VEILLE MEDIALundi 18 janvier 2016

Retrouvez les informations sur notre site :http://www.collectifvan.orgRubrique Info Collectif VAN :

http://www.collectifvan.org/rubrique.php?r=0&page=1et Rubrique News (Revue de Presse) :

http://www.collectifvan.org/rubrique.php?r=4&page=1

SOMMAIREInfo Collectif VAN - www.collectifvan.org - Le Collectif VAN [Vigilance Arménienne contre le Négationnisme] vous propose une revue de presse des informations parues dans la presse francophone sur les thèmes concernant le négationnisme, le racisme, l'antisémitisme, le génocide arménien, la Shoah, le génocide des Tutsi, les crimes perpétrés au Darfour, la Turquie, l'Union européenne, l'occupation de Chypre, etc... Nous vous suggérons également de prendre le temps de lire ou relire les articles mis en ligne dans la rubrique Info Collectif VAN et les traductions regroupées dans notre rubrique Actions VAN. Par ailleurs, certains articles en anglais, allemand, turc, etc, ne sont disponibles que dans la newsletter Word que nous générons chaque jour. Pour la recevoir, abonnez-vous à la Veille-Média : c'est gratuit ! Vous recevrez le document du lundi au vendredi dans votre boîte email. Bonne lecture!

18/01/2016 - Nor Zartonk

Paris/Marseille/Lyon : Rencontres avec Nor Zartonk

18/01/2016 -Info-Türk Turquie : Solidarité avec les universitaires

18/01/2016 - Collectif VAN Collectif VAN : l'éphéméride du 18 janvier

18/01/2016 - Le Point Turquie : un tir de roquette venu de Syrie tue une femme dans une école

17/01/2016 - NAM L’Association des Droits de l’homme de Turquie souligne l’illégalité du procès

17/01/2016 - iTELE Syrie : l'EI a massacré et enlevé des centaines de civils à Deir Ezzor

17/01/2016 - Le Figaro Turquie/attentat : les suspects déférés

17/01/2016 - L'Orient le Jour Turquie: le chef du principal parti d'opposition réélu malgré sa défaite électorale

17/01/2016 - BFMTV Turquie: dix suspects inculpés pour l'attentat d'Istanbul

17/01/2016 - 20minutes Dix suspects inculpés pour l'attentat d'Istanbul

17/01/2016 - Marie-Cecile Royen - Le Vif/l'express Belgique/Musulmans : la frèrosphère à Charleroi

18/01/2016 - Le Monde.fr M. Erdogan, cessez votre offensive contre la liberté de recherche et d’enseignement en Turquie

18/01/2016 - Benjamin Barthe - LE MONDE En Syrie, l’Etat islamique à la conquête de Deir ez-Zor

18/01/2016 - L'Express Turquie: au moins un mort après des tirs d'obus près de la frontière Syrienne

18/01/2016 - Le Parisien Turquie : un collège turc à la frontière syrienne touché par des obus

17/01/2016 - Mizah Haber - Kedistan « Erdogan et les universités » Mizah Haber #21

17/01/2016 - Kedistan Comment amplifier l’exigence de paix au Kurdistan turc ?

15/01/2016 - Info-Türk Le pouvoir déclare la guerre aux signataires d'une pétition pour la paix

13/01/2016 - Khatchig Mouradian - Armenian Weekly Mouradian: The Book with a Black Cover

13/01/2016 - Fatih Gökhan Diler - Agos What does French court's 'genocide decision' mean?

11/01/2016 - Siranush Ghazanchyan - Armenianlife An unsung American hero to be honored for saving 250,000 people during the Armenian Genocide

10/11/2015 - i24news Suède: la communauté juive pas invitée à la commémoration de la Nuit de Cristal

INFO COLLECTIF VAN

Paris/Marseille/Lyon : Rencontres avec Nor ZartonkInfo Collectif VAN - www.collectifvan.org - Les jeunes militants arméniens d’Istanbul du groupe Nor Zartonk viennent à la rencontre des Arméniens de France, à Paris, Arnouville, Marseille et Lyon. Cette tournée de conférences, organisée par leur Comité de soutien français, se déroulera du jeudi 21 janvier au vendredi 29 janvier 2016. Nor Zartonk vient présenter son travail, par la voix de son porte-parole, Sayat Tekir : la lutte pour la restitution du « Camp Armen », la vie militante arménienne en Turquie, l’espoir pour ces luttes dans cet État autoritaire qu’est la Turquie constituent, entre autres, les thèmes qui seront abordés lors de ces conférences.

Comité de soutien français à Nor Zartonk

Nor Zartonk, les jeunes militants arméniens d’Istanbul à la rencontre des Arméniens de France

Le Comité de soutien français à Nor Zartonk est heureux de vous

présenter la tournée des conférences qui se dérouleront dans plusieurs villes de France, du jeudi 21 janvier au vendredi 29 janvier 2016. Ce comité de soutien, constitué à la demande de Nor Zartonk, est formé d’anciens militants actifs des organisations de jeunesse arménienne et a pour objectif de faire connaître en France les initiatives prises par ces jeunes Arméniens en Turquie.

Nor Zartonk, qui signifie « Le Renouveau » en arménien, est un groupe de jeunes qui s’est constitué après l’assassinat de Hrant Dink (le journaliste arménien de Turquie) en 2007 et s’inscrit pleinement dans ce qu’il est convenu d’appeler aujourd’hui « le réveil des Arméniens de Turquie ». C’est ainsi que ces jeunes agissent au quotidien afin de faire vivre la culture et les revendications arméniennes en Turquie. Ce combat s’est illustré en 2015 par l’occupation du « Camp Armen », cet ancien orphelinat bâti par des survivants du génocide des Arméniens qui était menacé de destruction suite à l’expropriation de ses propriétaires par le gouvernement. Cette lutte de 175 jours, ponctuée d’agressions de la part de groupuscules nationalistes, s’est soldée par la victoire de Nor Zartonk. L’orphelinat a été restitué à une fondation arménienne. Ce succès intervient l’année du centenaire du génocide des Arméniens et le bâtiment rendu aux Arméniens de Turquie va devenir un lieu de mémoire.

Si Nor Zartonk organise des manifestations le 24 avril à Istanbul, enseigne le génocide des Arméniens aux nouvelles générations, son combat se situe surtout dans la durée, avec la création d’un journal mais aussi d’une radio qui émet en 18 langues. Ce réveil des jeunes Arméniens de Turquie fut également remarqué lors des manifestations de Gezi Park et de la place Taksim contre Recep Erdogan en 2013. Lors de ces protestations contre le gouvernement turc, les jeunes de Nor Zartonk avaient notamment rebaptisé les rues et les places du nom d’intellectuels et d’artistes déportés durant le génocide des Arméniens.

En ce début d’année 2016, suite à sa tournée aux États-Unis, Nor Zartonk vient en France présenter son travail, par la voix de son porte parole, Sayat Tekir. La lutte pour la restitution du « Camp Armen », la vie militante arménienne en Turquie, l’espoir pour ces luttes dans un État autoritaire qu’est la Turquie constituent, entre autres, les thèmes qui seront abordés lors de ces conférences.

Dates et lieux des conférences (entrée libre) :

Jeudi 21 janvier 2016 à 20h à Paris

Péniche Anako / 61 quai de la Seine / 75019 Paris

Vendredi 22 janvier 2016 à 20h à Arnouville

Salle de l'Association Sassoun / 3 rue de la Paix / 95400 Arnouville

Mercredi 27 janvier 2016 à 19h à Marseille

Majc / 12-14 rue Saint Bazile / 13001 Marseille

Jeudi 28 janvier 2016 à 20h à Lyon

Église arménienne de Lyon / Salle Garbis Manoukian / 42 rue d'Arménie / 69003 Lyon

Contact Presse: [email protected]

TÉLÉCHARGER :  Dossier de presse - Nor Zartonk à la rencontre des Arméniens de France

http://www.collectifvan.org/pdf/11-53-55-18-01-16.pdf

http://www.collectifvan.org/article.php?r=0&id=92927

Turquie : Solidarité avec les universitairesInfo Collectif VAN - www.collectifvan.org - Le Collectif VAN vous présente cet appel des démocrates de Turquie pour la solidarité avec les universitaires mis à notre disposition par Info-Türk le 18 janvier 2016.

Info-Türk

Appel par des démocrates de Turquie pour la solidarité avec les universitaires

Notre pays se trouve dans un état de guerre provoqué par le gouvernement actuel à Ankara.

Nous, ressortissants de Turquie à l'étranger qui prennent part dans la lutte pour la démocratisation et la paix dans notre pays, soutenons l'appel lancé le 11 Janvier 2016 par l'Initiative des universitaires pour la paix et la négociation.

Nous refusons d'entraver la liberté d'expression et de pensée.

Nous sommes sur le côté de l'égalité et de la paix.

Nous sommes sur le côté de droit de vivre.

Nous sommes sur le côté de la libre pensée.

Sans si, sans mais: nous ne ferons jamais partie des crimes commis par le pouvoir actuel.

Nous sommes sur le côté de l'Initiative des Universitaires pour la paix.

Nous protestons énergiquement contre toutes les mesures répressives visant les universitaires qui ont signé l’appel pour la paix et la négociation et appelons toutes les forces démocratiques dans le monde à manifester leur solidarité avec les universitaires, journalistes, écrivains et artistes qui résistent.

Premiers signataires:

Atilla KESKİN (Allemagne), Bogos MOURADYAN (Belgique), Davut KAKIZ (Belgique), Derwich FERHO (Belgique), Doğan AKHANLI (Allemagne), Doğan ÖZGÜDEN (Belgique), Ergün SÖNMEZ (Suisse), Erol ÖZKORAY (Suède), Haçik DEMİRCİ (Belgique), Hasan OĞUZ (Allemagne), Hovsep HAYRENİ (Belgique), İnci TUĞSAVUL (Belgique), İsmail KIZIL DOĞAN (Belgique), Kemal UZUN (Allemagne), Kemal YALÇIN (Allemagne), Koray DÜZGÖREN (Angleterre), Leman STEHN (Allemagne), Medeni FERHO (Belgique), Mehmet BAYRAK (Allemagne), Memo ŞAHİN (Allemagne), Nadia UYGUN (USA), Nahro BETH-KINNE (Belgique), Nazım ALFATLI (Belgique), Ragıp ZARAKOLU (Suède), Rüstem AYRAL (USA), Sami GÜREL (Allemagne), Serpil İNANÇ (Suède), Sevim ÜNAL (Belgique), Şakir BİLGİN (Allemagne), Yusuf Kemal TENGİRŞENK (France), Zeynep GÖRGÜ (Belgique)

Lire aussi:

1100 enseignants-chercheurs en danger en Turquie http://www.gitfrance.fr/2016/01/1100-enseignants-chercheurs-en-danger-en-turquie.html

Comment amplifier l’exigence de paix au Kurdistan turc ? http://www.kedistan.net/2016/01/17/exigence-de-paix-kurdistan-soutien-signatures/

Turquie : Erdogan condamne les intellectuels turcs signataires d'une pétition pro-kurde http://www.collectifvan.org/article.php?r=0&id=92899

L'UE dénonce l'arrestation d'universitaires en Turquie, regrette un "climat d'intimidation https://www.lorientlejour.com/article/965214/lue-denonce-larrestation-duniversitaires-en-turquie-regrette-un-climat-dintimidation.html

Le pouvoir déclare la guerre aux signataires d'une pétition pour la paix http://www.liberation.fr/planete/2016/01/15/turquie-le-pouvoir-declare-la-guerre-aux-signataires-d-une-petition-pour-la-paix_1426644

URL originale :

http://www.info-turk.be/449.htm#pouvoir

Collectif VAN : l'éphéméride du 18 janvier Info Collectif VAN - www.collectifvan.org - La rubrique Ephéméride est à retrouver quotidiennement sur le site du Collectif VAN. Elle recense la liste d’événements survenus à une date donnée, à différentes époques de l’Histoire, sur les thématiques que l’association suit au quotidien. L’éphéméride du Collectif VAN repose sur des informations en ligne sur de nombreux sites (les sources sont spécifiées sous chaque entrée). Vous pouvez retrouver tous les éphémérides du Collectif VAN dans la Rubrique Actions VAN, en cliquant sur ces liens:

Les éphémérides du Collectif VAN (1ère partie) http://www.collectifvan.org/article.php?r=3&id=51673

Les éphémérides du Collectif VAN (2ème partie) http://collectifvan.org/article.php?r=3&id=55304

Ça s’est passé un 18 janvier (les événements sont classés du plus ancien au plus récent) :

18 janvier 1670 -- A Metz (France), un enfant chrétien de trois ans disparaît. Le juif Raphaël Lévy est accusé de l'avoir tué à l'occasion d'un meurtre rituel. Torturé, il réaffirme son innocence. Quand l'enfant est retrouvé mort, on s'aperçoit qu'il a été victime d'une bête sauvage. Lévy croit qu'il sera bientôt libéré, mais il est condamné au bûcher et brûlé vif. Les habitants de Metz s'adressent ensuite au roi de France, lui demandant l'expulsion des juifs de la ville, ce qui leur est accordé. Israelvivra.com http://israelvivra.com/calendjanvier.htm#18

18 janvier 1919 -- À Versailles, début de la Conférence de la paix qui débouche sur le traité de Versailles qui met fin à la guerre 1914-18. Wikipedia: 18 janvier http://fr.wikipedia.org/wiki/18_janvier

18 janvier 1921 -- Empire ottoman: le gouvernement ottoman abolit la cour martiale. ANI: Chronology of the Armenian Genocide -- 1921 http://www.armenian-genocide.org/1921.html

18 janvier 1923 -- Hitler fait un discours à Munich. Il promet: « Il n’y a ici aucune possibilité d’accommodation : le Juif et ses complices demeureront à jamais des ennemis dans le cœur de notre peuple. Nous savons que s’ils se saisissent des commandes, nos têtes rouleront; nous savons aussi cependant que lorsque nous aurons le pouvoir entre nos mains, que Dieu ait pitié de vous! » PHDN : L’antisémitisme mortifère d’Hitler, Paroles et documents http://www.phdn.org/histgen/hitler/declarations.html

18 janvier 1928 -- Dans un article paru dans Yeni-Adana, le 18 janvier 1928, les Grecs-orthodoxes d’origine syrienne de Cilicie sont qualifiés de traîtres (par les Turcs), qui ont collaboré avec les Français, durant la guerre de Cilicie : MAE, série Levant 1918-1940, sous-série Turquie, vol. 257, ff. 200-204, rapport de A. Ronflard, Consul de France à Adana et Mersine à A. Briand, ministre des Affaires étrangères, daté du 19 janvier 1928, Adana. © Revue d'Histoire Arménienne Contemporaine pour toutes les éditions |© Yves Ternon pour le texte Mardin 1915 Imprescriptible.fr : Le sort des minorités de Cilicie et de ses environs sous le régime kémaliste dans les années 1920 http://www.imprescriptible.fr/rhac/tome3/p2c#n32

18 janvier 1940 -- Pologne: des agents de la Gestapo exécutent environ 250 Juifs dans les bois à l'extérieur de Varsovie. Ils faisaient partie du mouvement de résistance conduit par Andrzej Kott. Seconde-guerre.com http://www.seconde-guerre.com/chronologie/chronologie-janvier-1940.html

18 janvier 1943 -- Un train de Belgique arrive à Auschwitz, avec à son bord près de 2 000 personnes. 387 hommes et 81 femmes sont envoyés vers les baraques, 1 558 personnes sont gazées dès leur arrivée. - Suite à la visite de Himmler à Varsovie, les Allemands décident de reprendre les déportations de Juifs vers les camps d'extermination : ils ne réussissent pas à saisir plus de 6.500 Juifs. Des pelotons allemands sont pris pour cible par des résistants armés. Une trentaine de soldats allemands sont tués. 1.171 Juifs sont tués à l'intérieur du ghetto. - 6 000 juifs du ghetto de Varsovie sont déportés au camp d'extermination de Treblinka. 1 000 d'entre eux sont fusillés sur place. - 748 juifs quittent le camp de regroupement de Westerbork (Pays-Bas), déportés à destination du camp d'extermination d'Auschwitz. - Les 200 juifs restant encore dans le ghetto de Sokolka (Pologne) sont assassinés. Quelques jeunes gens réussissent à se réfugier à Varsovie, où ils participent à la révolte du ghetto en avril 1943. Skynet: 18 janvier, cejour-là, n'oubliez pas http://souvenez-vous6000000.skynetblogs.be/archive/2011/01/11/18-janvier-cejour-la-n-oubliez-pas.html

Israelvivra.com http://israelvivra.com/calendjanvier.htm#18

18 janvier 1944 -- 870 juifs sont déportés du camp de regroupement de Westerbork au camp de concentration de Theresienstadt. - 300 juifs de Buczacz (Ukraine), qui s'étaient réfugiés dans les forêts avoisinantes, sont massacrés par les nazis. Israelvivra.com http://israelvivra.com/calendjanvier.htm#18

18 janvier 1945 -- Les SS commencent à évacuer Auschwitz (31.894 détenus, Birkenau compris) et Monowitz (35.118 avec camps satellites de la périphérie). 58.000 détenus quittent le camp à pied par un froid glacial, les autres sont évacués en train. La marche de la mort débute. - 3 000 juifs quittent le camp d'extermination d'Auschwitz pour une marche de la mort en direction de Geppersdorf (Allemagne). Lorsqu'ils arrivent à destination, en mars 1945, on ne compte plus que 280 survivants. Skynet: 18 janvier, cejour-là, n'oubliez pas http://souvenez-vous6000000.skynetblogs.be/archive/2011/01/11/18-janvier-cejour-la-n-oubliez-pas.html Israelvivra.com

http://israelvivra.com/calendjanvier.htm#18

18 janvier 2001 -- France/Reconnaissance du génocide arménien à l'Assemblée Nationale: la loi reconnaissant le génocide arménien de 1915, adoptée le 18 janvier par le Parlement français, a été promulguée lundi par le président de la République Jacques Chirac et publiée mardi au Journal officiel. Le texte, issu d'une proposition parlementaire, est constitué d'un article unique qui stipule que "la France reconnaît publiquement le génocide arménien de 1915", sans toutefois désigner les Turcs comme responsables des massacres survenus sous l'empire ottoman. La publication au JO constitue le dernier acte du processus parlementaire de deux ans et demi visant à la reconnaissance par la France du génocide arménien. Le Premier ministre turc Bulent Ecevit a annoncé immédiatement que son pays révisait ses relations économiques et commerciales avec la France. L'adoption de la loi, à l'unanimité, par l'Assemblée nationale, avait déjà provoqué une vive réaction de la Turquie, qui avait notamment rappelé aussitôt son ambassadeur en consultations et annulé un contrat avec la firme française Alcatel. Rappel : La proposition de loi visant à réprimer la contestation de l'existence des génocides reconnus par la loi, déposée par Mme Valérie Boyer, députée UMP, a été adoptée en 1ère lecture par l'Assemblée nationale le 22 décembre 2011, à une large majorité, avec le soutien de députés de tous les partis politiques et celui de M Patrick Ollier, député UMP, ministre chargé des relations avec le gouvernement. Bien que portant sur tous les génocides, les débats des députés ont surtout concerné le génocide arménien. La représentation nationale française n'a pas cédé aux menaces de la Turquie. Une forte manifestation de protestation turque se déroulait devant l'Assemblée nationale pendant les débats. Ce projet de loi doit encore être examiné au Sénat le 23 janvier 2012 pour pouvoir entrer en vigueur. La France reconnaît publiquement le génocide arménien de 1915. CDCA http://www.aidh.org/hist-mem/genoc-arm.htmWikipedia http://fr.wikipedia.org/wiki/Reconnaissance_politique_du_g%C3%A9nocide_arm%C3%A9nien

18 janvier 2007 -- Turquie : « ...oui, je peux me voir dans l'inquiétude et l'angoisse d'une colombe, mais je sais que dans ce pays les gens ne touchent pas aux colombes. Les colombes peuvent vivre en plein coeur des villes, au plus chaud des foules humaines. Non sans crainte évidemment, mais avec quelle liberté ? » Ainsi se terminait le texte que Hrant Dink, journaliste turc d'origine arménienne, fit parvenir le 18 janvier 2007 au magazine Radikal2 qui s'apprêtait à le publier. Biblio Monde: Être arménien en Turquie par Hrant Dink http://www.bibliomonde.com/livre/etre-armenien-turquie-5705.html

18 janvier 2007 --Jacques Chirac et Simone Veil, présidente de la Fondation pour la Mémoire de la Shoah et ancienne déportée, ont inauguré

une inscription dans la crypte du Panthéon de Paris en présence de nombreuses personnalités dont le prix Nobel de la paix Elie Wiesel. Il s'agit de rendre hommage aux « Justes de France » et aux héros anonymes qui ont sauvés des milliers de Juifs pendant la Seconde Guerre mondiale. Ce titre a été décerné à cette date à 2 725 Français dont 240 sont encore en vie. Wikipedia: Juste parmi les nations http://fr.wikipedia.org/wiki/Juste_parmi_les_nations

18 janvier 2008 -- George Clooney est nommé 'Messager de la paix' par l'ONU pour son aide au Darfour. Wikipedia: 18 janvier http://fr.wikipedia.org/wiki/18_janvier

18 janvier 2010 -- Le Turc Mehmet Ali Agca, auteur de l'attentat contre le Pape Jean-Paul II le 13 mai 1981, est libéré de sa prison en Turquie. Né le 9 janvier 1958 à Malatya en Turquie, Mehmet Ali Agca était un militant de l'extrême droite turque (les « Loups Gris »). En 2009, il déclare avoir abjuré depuis le 13 mai 2007 la foi musulmane, et être devenu un fidèle de l'Église catholique romaine, ajoutant qu'il espérait un jour pouvoir aller prier sur la tombe de Jean Paul II. Il sort finalement de prison après 29 ans d'enfermement le 18 janvier 2010. Wikipedia: Mehmet Ali Ağca

http://fr.wikipedia.org/wiki/Mehmet_Ali_A%C4%9Fca

Compilation réalisée par le site www.collectifvan.org

http://collectifvan.org/article.php?r=0&id=51092

GENOCIDE ARMENIEN

Ce héros méconnu qui sauva 250 000 personnes au cours du génocide des Arméniens

NAM

Malgré ses actes de sauvetage qui forcent le respect, son histoire n’a pas été reconnue comme il conviendrait, non seulement autour du monde, mais aussi aux USA et en Arménie.

Le Conseil d’Administration de la Fondation Internationale Raoul Wallenberg vient de décider de rendre hommage à sa vie dans un ensemble de manifestations qui seront bientôt rendues publiques.

Jennings, originaire de l’état de New-York, était un Ministre du Culte handicapé d’une petite ville. Au tournant du vingtième siècle, il travaillait

comme employé à la YMCA (Young Men Christian Association) dans la prospère ville de Smyrne, en Turquie.

Asa Kent Jennings, un héros américain qui sauva 250 000 personnes lors du Génocide des Arméniens.

En septembre 1922, l’armée nationaliste turque entra dans la ville avec l’intention de massacrer tous les résidents chrétiens, les Arméniens et les Grecs pour la plupart. Un énorme incendie se déclara dans la ville le 13 septembre, piégeant d’innombrables réfugiés dans une étroite bande près de la mer. Des centaines de milliers étaient voués à mourir sur le littoral de la ville. Beaucoup parmi eux succombèrent d’épidémies, de faim ou de soif, assiégés par les Turcs.

Mis au courant de leur situation désespérée, Jennings créa un centre de premiers soins pour les femmes enceintes dans un immeuble vide sur la côte. Il organisa ensuite une flotte de bateaux avec l’aide de l’US Navy dans un plan de sauvetage audacieux et créatif.

L’évacuation ainsi organisée par Jennings transporta 250 000 réfugiés de Smyrne vers les iles grecques et les villes de Thessalonique et du Pirée.

Cette opération éclair ne se fit qu’en sept jours, dans ne ville turque sur fond de périls et de déportations. Son courage et son imagination ont sauvé un quart de million d’êtres humains d’une mort terrible.

Publié le 11 janvier 2016

Par Siranush Ghazanchyan

Traduction Gilbert Béguian

http://www.armenianlife.com/2016/01/11/an-unsung-american-hero-to-be-honored-for-saving-250000-people-during-the-armenian-genocide/

samedi 16 janvier 2016,Stéphane ©armenews.com

http://www.armenews.com/article.php3?id_article=120970

TURQUIE

L’Association des Droits de l’homme de Turquie souligne l’illégalité du procès NAM

Les membres de l’Association des Droits de l’homme qui se sont occupés du transfert du corps de Levon Ekmekdjian, que sa famille réclamait, ont relevé qu’au cours des formalités qui ont duré deux ans, il a fallu faire des démarches non exigées par les règlements ; ils ont souligné l’illégalité de son procès et de son exécution.

Le corps de Levon Ekmekdjian qui a été exécuté à Ankara, a été rendu à sa famille en France, deux ans après le début des formalités engagées à la demande de sa famille par l’Association des Droits de l’Homme (IHD).

Le corps de Levon Ekmekdjian qui a été exhumé du cimetière Cebeci Asri d’Ankara le 23 décembre 2015 et transporté à Paris sera mis en terre, après une vérification d’ADN, au cours d’une cérémonie.

La branche d’Istanbul de la Commission Antiracisme et Anti-discrimination branche de l’IHD a tenu ce jour (7 janvier) une conférence de presse à ce sujet.

Eren Keskin, avocate de la famille d’Ekmekdjian, a déclaré que les formalités en vue de l’autorisation de transférer le corps, qui n’auraient dû prendre qu’une journée, ont duré deux ans à cause des obstacles dressés ; elle a relevé qu’étant privé d’avocat et de son droit de s’exprimer lors de son procès, Levon Ekmekdjian a été condamné à la peine de mort.

Les formalités, qui n’auraient pas dû prendre plus d’une journée, on duré deux ans.

Levon Ekmekdjian, né en 1958, était l’enfant d’une famille émigrée au Liban à la suite du Génocide des Arméniens de 1915.

Membre de l’Armée Secrète de Libération de l’Arménie (ASALA), il avait été arrêté comme suspect dans l’attaque de l’aéroport Esenboga d’Ankara, le 7 août 1982, au cours de laquelle, d’après les chiffres officiels, neuf personnes avaient perdu la vie et 72 autres blessées ; la Turquie était à cette époque sous le régime de la junte militaire.

Ekmekdjian, emprisonné à la prison de Mamak, avait été exécuté le 29 janvier 1983, le lendemain du jour où la décision de condamnation à la peine de mort avait été rendue.

La famille de Levon Ekmekdjian avait déposé en 2013 un dossier aux membres de la Commission de l’IHD qui se trouvaient à Paris pour une conférence et les avait informés d’une démarche en vue du transfert du corps de Levon Ekmekdjian à Paris.

Eren Keskin avait été prise comme avocate de la famille et les membres de l’IHD avaient découvert que le corps de Levon Ekmekdjian était enterré au cimetière Cebeci Asri d’Ankara.

Bien que pour le transfert du corps, dès lors que la localisation du corps par la Direction des Cimetières était faite, une autorisation et une déclaration de la Direction de la Santé de la Province attestant qu’aucun problème de santé publique n’était posé auraient dû suffire, les choses ne se sont pas déroulées normalement.

Après deux ans passés à des correspondances croisées, même non prévues dans les procédures administratives, entre divers niveaux des ministères des Affaires intérieures, de la Justice, et des Affaires étrangères, les restes de Levon Ekmekdjian ont été exhumés de sa tombe et transportés à Paris.

“ Une exécution et une condamnation à la peine de mort illégales “

Meral Cildir, lisant une déclaration de l’IHD, a déclaré que l’exécution et la condamnation étaient illégales.

“ Il n’avait pas de défenseur. La possibilité de se défendre ne lui a pas été donnée. Et il n’a pu faire appel, n’ayant pas d’avocat.

“ Dans la déclaration qu’il a faite il a exprimé des regrets et, selon la loi en vigueur du moment, il n’aurait pas dû être exécuté. Malgré cela, Ekmekdjian avait été exécuté sans délai.

“ La date de la décision approuvant son exécution est le 28 janvier 1983. Levon Ekmekdjian a été exécuté le matin du jour suivant, le 29 janvier.

“ À cette époque, c’était l’état d’urgence imposé par la junte fasciste qui régnait, mais Levon Ekmekdjian a eu un traitement spécial parce qu’aux yeux du pouvoir, il n’était pas un “ terroriste “ mais “ un terroriste arménien “.

“ Il faut dire la Vérité sur Esenboga “

Cildir a attiré l’attention sur le fait que la vérité sur les combats à Esenboga n’a pas été révélée.

“ Les détails cruciaux sur l’événement ont été gardés secrets et considérés pendant de nombreuses années comme des secrets d’état. Malgré tout, des témoignages ont été rendus publics dans des cercles très réduits, et des documents non officiels sont accessibles. Toute la lumière sur l’événement n’a cependant pas été faite. On ne sait pas si des autopsies ont été faites sur les morts ou si des études techniques ont été faites.

“ La première fois qu’un témoin oculaire qui avait été retenu en otage ce jour-là en a parlé, c’était dans “ Le Raid d’Esenboga “, un documentaire de CNN Turk de 2004. Il a dit qu’il n’oubliera jamais que s’étant trouvé face à face avec un policier, celui-ci avait immédiatement ouvert le feu sur lui dès lors qu’il s’efforçait de s’échapper par la fenêtre qu’il avait brisée.

C’était un policier qui lui avait tiré dessus. La façon dont d’autres ont été tués doit être déclarée, et il faut que la vérité soit révélée “.

Beyza Kural isatanbul

BIA News Desk

7 janvier 2016

Traduction Gilbert Béguian

Ce site Internet est publié dans le cadre de ’ Journalistes pour le Droit, Le Droit pour le Journalisme “ - sous le sigle BIA3 - une initiative développée par la Fondation IPS Communication avec le concours financier de la Sweedish International development Assembly.

http://bianet.org/english/human-rights/170877-levon-ekmekciyan-s-funeral-by-his-family-after-32-years

dimanche 17 janvier 2016,Stéphane ©armenews.com

http://www.armenews.com/article.php3?id_article=121038

M. Erdogan, cessez votre offensive contre la liberté de recherche et d’enseignement en TurquieLe Monde.fr | 18.01.2016 à 12h23

Par un collectif

Alors que la Turquie est la cible de sanglants attentats perpétrés sur son territoire par l’Etat islamique (Diyarbakir et Suruç, juin 2015 ; Ankara, 10 octobre 2015 ; Istanbul, 12 janvier 2016), les pouvoirs d’Etat emmenés par le président de la République Recep Tayyip Erdogan s’acharnent sur la minorité kurde désignée comme la principale source de terrorisme, au risque de plonger le pays dans un état de guerre civile généralisé.

Le 10 janvier 2016, des « universitaires pour la paix » ont lancé une pétition où ils affirment qu’ils « ne [seront] pas complices de ce crime ». Plus de 1 100 enseignants-chercheurs, appartenant à 89 universités de Turquie, en appellent aux droits des citoyens de la République de Turquie garantis par la Constitution turque et par les conventions internationales ; ils signalent à l’attention publique nationale et internationale le couvre-feu imposé depuis des semaines par l’État et l’armée dans plusieurs villes kurdes du Sud-Est du pays – au milieu de l’indifférence générale de l’Union européenne qui attend surtout de la Turquie qu’elle retienne sur

son territoire les réfugiés du Moyen-Orient ; ils révèlent comment la population de ces villes est privée d’écoles, de services publics, de soins médicaux, de nourriture, de tout – au point qu’il ne leur est même plus possible d’enterrer leurs proches dont les cadavres sont abandonnés à même la rue.

Cette prise de position de scientifiques et d’intellectuels de Turquie a été jugée intolérable par le pouvoir d’Ankara qui a aussitôt déclenché une répression de grande envergure. Sur l’ordre du gouvernement et du président Erdogan lui-même, le YÖK ou Conseil de l’enseignement supérieur, une institution héritée de la dictature militaire de 1980, s’est saisi du cas des signataires, annonçant que le « nécessaire sera fait ». Des dizaines d’universités ont lancé des procédures internes contre des membres de leur faculté. Les parquets ont actionné contre tous les signataires le vaste arsenal judiciaire existant contre les dissidents, l’article 301 du code pénal (« insulte à la nation turque et à l’Etat turc ») et la loi anti-terreur (« propagande en faveur d’organisations terroristes »). Les premières gardes à vue ont commencé à Koaceli vendredi 15 janvier au matin.

L’action répressive de l’État se démultiplie à travers des campagnes de dénonciation des médias pro-gouvernementaux et des réseaux islamo-nationalistes soutenant le pouvoir. Les appels à la violence et les menaces ciblées sont ainsi permanents. Des milieux d’extrême droite proches du gouvernement recommandent ouvertement le meurtre collectif des « traîtres », des « intellectuels assassins », annonçant qu’ils vont « baigner dans le sang » des signataires promis à l’égorgement. Des croix rouges apparaissent sur la porte des bureaux de plusieurs d’entre eux.

La violence multiforme dirigée contre les signataires de la pétition « Nous ne serons pas complices de ce crime ! » s’inscrit dans la continuité de la politique que poursuit le pouvoir AKP (le parti majoritaire) depuis des années contre les chercheurs, universitaires et intellectuels exerçant leur pouvoir critique sur des sujets réputés « sensibles ». D’innombrables professeurs, journalistes, écrivains, ont payé – et continuent à payer – un prix exorbitant pour leur engagement en faveur d’une société démocratique et pacifique.

Une bataille définitive est engagée en Turquie contre la liberté de recherche et d’enseignement, fondement d’une pensée critique qui insupporte un pouvoir de plus en plus absolu. Les « Universitaires pour la paix » ont annoncé leur intention de répéter leur acte d’engagement. En Turquie, de centaines de journalistes, d’éditeurs, d’avocats, de cinéastes, d’artistes, ont déclaré publiquement leur soutien, élargissant le front démocratique. Au moment où l’Union Européenne accorde une aide financière ainsi qu’un crédit politique à M. Erdogan, les rapports de solidarité s’établissent entre les chercheurs turcs menacés et leurs collègues du monde entier aussitôt mobilisés. Il a fallu deux jours à peine, les 14 et 15 janvier, pour que s’organisent, en Europe et en Amérique du nord, d’impressionnantes initiatives croisées - lettres ouvertes, appels,

pétitions, messages, remontées d’informations – preuve que l’internationale des chercheurs (souvent associée à celle des écrivains) est une réalité quand les droits fondamentaux et l’avenir des sociétés sont en jeu. C’est une force vigilante, déterminée, qui dure depuis longtemps et qui n’est pas prête de s’éteindre.

Groupe international de travail pour la liberté de recherche et d’enseignement en Turquie composé de Hamit Bozarslan (directeur d’étude à l’EHESS) ; Yves Déloye (professeur des Universités à Sciences Po Bordeaux) ; Vincent Duclert (chercheur à l’EHESS) ; Diana Gonzalez (enseignante à Science Po Paris) ; Emine Sarikartal (traductrice) ; Ferhat Taylan (directeur de programme au CIPH).

En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/idees/article/2016/01/18/m-erdogan-cessez-votre-offensive-contre-la-liberte-de-recherche-et-d-enseignement-en-turquie_4849110_3232.html#jIbo2VY7B6S4Rg5y.99

Comment amplifier l’exigence de paix au Kurdistan turc ? Kedistan - janvier 17, 2016

Beaucoup en Turquie, et surtout depuis les « élections » de novembre, craignait qu’Erdogan ait les mains complètement libres pour comme il le disait lui même « en finir » à l’Est. La Paix semblait inaccessible désormais.

Et ce fut le cas en décembre, où la sidération qui a suivi les résultats électoraux, même acquis sur fond de tricheries et de menaces, a saisi beaucoup de Turcs, constatant que même une partie du « mouvement » anti guerre avait rejoint les partis traditionnels, voire pire. La menace récurrente sur la « division de la nation turque » par le « terrorisme », alors que ce sont l’AKP et les ultra nationalistes qui jettent les communautés les unes contre les autres, était entrée en phase avec le « kémalisme » de l’écolier de base, qui continue à imprégner la société civile turque.

Il y avait donc à craindre, que malgré tous les appels, malgré l’existence de la chasse aux sorcières chez les journalistes, l’Ouest « vaque à ses occupations », en se détournant des massacres en cours dans les villes assiégées. Nous avions même vu passer des commentaires « désabusés » et des questionnements sur le thème « Où sont passés les Gezi, qui se battaient pour des arbres, lorsque des enfants meurent ? ».

Nous avions eu un espoir, quand des défenseurs de la Paix avaient marché en nombre de Bodrum à Diyarbakir, via plusieurs villes dont Ankara,

faisant echo à des marches de villages, des manifestations. Mais ces marches avaient été réprimées, empêchées…

Et voilà qu’Erdogan a mal négocié son attaque contre les universités, qu’il entamait après celles contre les médias et la presse.

Le fait qu’un appel d’humanistes et d’intellectuels, en direction des universitaires, des scientifiques, soit lancé à propos des «   crimes   » à l’Est , s’est télescopé avec cette attaque populiste contre les « intellectuels et universitaires » en général. Ce télescopage a trouvé son point d’orgue dans le discours aux « ignares » et « pseudo intellectuels », qui d’ailleurs faisait suite aux errements idéologiques sur les références à Hitler dans la réforme constitutionnelle. Les universitaires menacés dans leurs propres « chaires », trouvent là le moyen de s’unir sur une volonté humaniste de ne pas « endosser les crimes ».

Tout cela a enfin servi d’allume feu, pour qu’à minima, dans les milieux intellectuels, un rejet de la politique de guerre soit ravivé.

Dans trois articles récents Kedistan relayait cette exigence de Paix :

Le texte publié par les universitaires  «   Nous ne serons pas complice à ce crime   » dénonçant les exactions de l’Etat dans l’Est et Sud-Est de la Turquie et demandant la retour à la Paix.

Les réactions d’Erdogan et de ses soutiens, insultantes et menaçantes. 

Les signataires du texte ont été  menacés, intimidés, arrêtés et mis en garde à vue…. et même si ils ont été libérés vendredi dans la soirée, après que des membres de la Cour Européenne des Droits de l’Homme se soient entre autres  exprimés, la menace est toujours là.

Fort heureusement les soutiens se multiplient : 

Les étudiants ont réagi tout de suite… (article du sendika.org, en turc)

2000 juristes signent un texte et soutiennent les universitaires (texte et signataires, en turc)

Les écrivains apportent leur soutien, publient un texte et signent « écrivains pour la Paix »

« Les photographes pour la paix » disent « Nous voulons être témoins de la paix ! » (en turc)

Plus de 50   maisons d’édition , ont annoncé d’une voix unanime qu’elles ne seront pas non plus « complice de ce crime »

Les cinéastes  étaient plus de 400 à déclarer leur solidarité. Les féministes pour la paix appellent à la signature avec leur pétition

(en turc) De nombreuses organisations de société civile progressistes et

plateformes de lutte ont également rejoint «   la horde de brouillons d’intellectuel, ignares et obscures   » comme dit Erdogan…

2000 juristes pour la paix

Il est donc important d’amplifier ce qui est un début prometteur de re-mobilisation pour desserrer l’étau autour des villes du Kurdistan turc, d’autant que nous savons que les rapports de forces sur le terrain qui se préparent peuvent basculer au Printemps dans une vraie guerre civile, si cette exigence de Paix ne reprend pas le devant de la scène.

Kedistan n’a aucune difficulté, depuis un an, à soutenir à la fois l’absolue nécessité d’armement du Rojava, l’autodéfense active des populations assiégées, et à condamner toute escalade vers la guerre totale, comme stratégie pour l’avenir du Kurdistan kurde. Cette exigence de Paix est indispensable au combat politique pour l’autonomie, qui se construit avec les populations et ne se décrète pas.

Le site barisicinakademisyenler.net, hébergeant le texte initial d’appel des universitaires, hacké, est injoignable depuis plusieurs jours. Alors, une campagne de signature est lancée également sur change.org, et attend votre soutien. >>> ICI  

Les versions du texte d’origine en d’autres langues sont consultables depuis le début sur Kedistan :  « Nous ne serons pas complice à ce crime« 

Vous pouvez signer aussi cette pétition lancée il y a environ un mois « Arrêtez de tourner le dos aux réalités inhumaines« 

Et pour celles et ceux qui découvriraient Kedistan, un très beau texte à écouter ici, qui en dit tellement sur cette situation d’entre deux guerres.

http://www.kedistan.net/2016/01/17/exigence-de-paix-kurdistan-soutien-signatures/

« Erdogan et les universités » Mizah Haber #21Kedistan

Chroniques de Mizah Haber janvier 17, 2016

Les enseignants des universités signent un appel intitulé « On ne sera pas complices de ce crime« , pour dénoncer les exactions dans le Sud Est de la Turquie et demander la paix. Erdogan réagit, les traite dans un discours populiste, de « pseudo intellectuels ignares et obscurs« .Accusés de propagande terroriste et d’insulte contre l’Etat, les signataires sont menacés, intimidés, poursuivis, arrêtés, mis en garde à vue, mais soutenus par des étudiants, auteurs et éditeurs, cinéastes, journalistes, et juristes qui rejoignent leur appel…

Quelques éléments pour mieux comprendre le dessin suivant :

Wikipédia dit que Recep Tayyip Erdogan est diplômé de la faculté des Sciences économiques et commerciales de l’université de Marmara. L’authenticité de son diplôme a fait couler pourtant beaucoup d’encre. Une copie du fameux diplôme a été communiqué à la presse mais, il n’a jamais été trouvé, publié, communiqué, une seule photo, montrant le jeune Tayyip, avec ses amis en classe, ou éventuellement prise lors d’une quelconque cérémonie de diplôme… On aurait pu le voir en tant que « bon footballeur » comme ses agiographies l’indiquent, jouant dans l’équipe de sa faculté. Il n’y a pas un seul diplômé de sa promo qui aurait du faire tout son parcours ensemble, qui ne se souvient de sa présence. Pendant les mois de polémiques sur son diplôme, pas une personne n’est sortie pour dire, je suis un copain de la fac… Bref.

Tayyip déteste donc les intellectuels, les membres des universités, et surtout ceux qui ne naviguent pas dans ses sillons :

« Je n’ai pas fini d’université, mais je vais finir les universités »

http://www.kedistan.net/2016/01/17/erdogan-et-les-universites-mizah-haber-21/#

Dix suspects inculpés pour l'attentat d'IstanbulTurquie

20minutes

17 janvier 2016 20:12; Act: 17.01.2016 20:26

Ils ont été écroués pour «appartenance à une organisation terroriste».

Un tribunal d'Istanbul a inculpé et écroué dix suspects dimanche soir pour «appartenance à une organisation terroriste» en lien à l'attentat suicide survenu mardi à Istanbul. Cette attaque, attribuée à l'Etat islamique (EI), a coûté la vie à dix touristes allemands.

Six autres suspects qui ont comparu également devant des juges devaient être relâchés, a rapporté l'agence de presse Dogan. Un total de seize personnes avaient été déférées dimanche en fin de matinée devant cette cour, les procureurs réclamant l'inculpation pour tous les suspects.

Jeudi, le ministre turc de l'Intérieur Efkan Ala avait fait état de sept arrestations au total en lien avec cette attaque. Depuis aucune annonce officielle n'avait été faite.

Quartier touristique visé

L'attentat a visé mardi matin un groupe de touristes allemands à quelques centaines de mètres de la basilique Sainte-Sophie et de la Mosquée bleue, deux des monuments les plus visités de la plus grande ville de Turquie.

Selon les autorités turques, il a été perpétré par un Syrien âgé de 28 ans, qui, selon le Premier ministre turc Ahmet Davutoglu est «membre» de l'EI, entré sur le territoire turc en provenance de Syrie comme un «simple migrant». Dix-sept personnes ont également été blessées dans l'attaque.

Depuis l'attentat, déjà attribué à l'EI, qui a tué 103 personnes devant la gare d'Ankara en octobre, la police turque a multiplié les coups de filet dans les milieux djihadistes. Elle a aussi renforcé ses contrôles frontaliers pour tenter d'endiguer le flux des recrues étrangères qui rejoignent l'EI en Syrie.

(nxp/ats)

http://www.20min.ch/ro/news/monde/story/Dix-suspects-inculpes-pour-l-attentat-d-Istanbul-29821311

BELGIQUE

Belgique/Musulmans : la frèrosphère à Charleroi

Marie-Cecile Royen

17/01/16 à 17:19 - Mise à jour à 17:19

Source: Le Vif/l'express

La première Muslim Expo de Charleroi doit beaucoup à la mouvance des Frères musulmans. Exaltation de la "fierté musulmane" et critique de l'Occident sont au rendez-vous sur les terres de Paul Magnette (PS).

N'y aurait-il que cette mouvance qui trace son sillon ? La première Muslim Expo de Wallonie est organisée par une nébuleuse d'associations proches des Frères musulmans. Elle se tiendra à Charleroi Expo les 6 et 7 février prochain. Ni la Ville de Charleroi ni la direction de Charleroi Expo ne se sont davantage interrogées sur la nature des organisateurs.

A Bruxelles aussi, les Frères (Ligue des musulmans de Belgique) et les salafistes proches de la mosquée du Cinquantenaire sont aux manettes de la Foire musulmane, à Tour & Taxis. Un grand rendez-vous commercial et religieux, drainant un public important, toujours honoré de la présence de quelques politiques locaux. Il bénéficie du professionnalisme de Gedis, organisateur du rassemblement du Bourget (Paris) pour le compte de

l'UOIF (Union des organisations islamiques de France), là aussi, canal historique des Frères. Tariq Ramadan est inévitable dans la capitale, de même que les prédicateurs du/ou formés par le Centre islamique et culturel de Bruxelles (mosquée du Cinquantenaire). Les autorités doivent parfois décourager la venue de poids lourds de l'islamisme international, connotés antisémites (le Koweitien Al Suwaïdan en 2014) ou favorables aux attentats-suicides (première édition 2012). Bon an mal an, la Foire musulmane s'ancre dans le paysage bruxellois. Le même scénario va-t-il se reproduire au Pays Noir ?

A Charleroi, les conférenciers ne sont pas du même calibre qu'à Bruxelles. Incontournable, le prédicateur Tariq Ramadan va sans doute attirer les foules (les organisateurs visent de 7 000 à 10 000 visiteurs, d'autant que le ticket d'entrée est modique : 6 euros. Ensuite, Nabil Ennasri qui se pose, en France, comme son successeur. Ce trentenaire d'origine marocaine, diplômé de l'Institut d'études politiques d'Aix-en-Provence, se définit comme "un spécialiste du Qatar". Ennasri a étudié à l'école de formation des cadres de l'UOIF à Château-Chinon (Bourgogne-Franche-Comté), de son nom officiel, Institut européen des sciences humaines. Il préside le Collectif des musulmans de France et ne rate pas une occasion de présenter ses coreligionnaires comme des victimes de l'Occident. Est également annoncé Abouzaïd El Mokrie El Idrissi, maître-assistant à la faculté de Lettres de l'Université Hassan II de Casablanca. Plusieurs fois député d'El Jadida, il fait partie de l'aile dure du Parti de la Justice et du Développement (Frères musulmans) et a participé à la dernière flottille pour Gaza. Même le Premier ministre Abdelilah Benkirane (PJD) n'apprécie pas ses positions rétrogrades, et il a froissé les berbères marocains. L'homme est présenté par la Muslim Expo comme faisant partie de l'Union internationale des savants musulmans (UISM) présidée par Youssef Al-Qaradaoui, leader intellectuel des Frères musulmans. Autre invité marocain discutable : Saïd Al Kamali, un "salafiste modéré" formé à Médine (Arabie saoudite), très populaire chez les jeunes marocains.

Plus inquiétant, dans l'ordre de l'ingérence étrangère, est la venue à Charleroi du député turc d'Istanbul, Metin Külünk (AKP). Le 7 janvier 2015, il avait jeté de l'huile sur le feu, à Verviers, après qu'un déséquilibré turc qui voulait se suicider et menaçait des policiers avec son couteau, ait été abattu. Bavure, légitime défense ? L'enquête verviétoise sur l'affaire Cemil Kaya (du nom de la victime) est en passe d'être clôturée. Descendu sur les lieux, Metin Külünk avait qualifié sans barguigner les faits de "meurtre", alors que le climat était déjà très tendu (la rédaction locale de La Meuse avait dû être mise sous protection). Que vient faire à Charleroi cet accusateur public ?

Autre invité de dernière minute au profil hautement symbolique : Abdülhamid Kayahan Osmanoglu, descendant en ligne directe du "Sultan rouge", l'instigateur des premiers pogroms anti-arméniens à la fin du XIXe siècle, farouchement hostile au peuple juif au point d'être mis sur le même pied que le héros Saladin dans l'histoire enseignée aux écoliers marocains. En quels termes va-t-il parler de son ancêtre ?

Pour élargir la focale, on peut compter sur Michel Collon, journaliste d'extrême gauche et conspirationniste en diable. Selon lui, les Etats-Unis et l'Europe mènent des guerres néocolonialistes en Afghanistan, Irak, Libye, Syrie et Ukraine au service des multinationales. Invité à Roubaix en mai 2015, ce décodeur autoproclamé des "médiamensonges" (titre d'un de ses ouvrages), avait lâché à propos des attentats de Charlie Hebdo : "Les frères Kouachi ont, en réalité, été formés et armés par Fabius et consorts pour aller faire la guerre à un gouvernement qui dérangeait les multinationales des Etats-Unis et d'ailleurs."

L'ombre d'Aksahum, collecteur du Hamas

Un acteur prépondérant se dessine dans l'ombre de la Muslim Expo de Charleroi : l'asbl Aksahum, qui collecte des fonds en vue de "la réalisation de projets humanitaires au bénéfice de Palestiniens indigents" et dont plusieurs rapports internationaux font état de ses liens avec le Hamas, branche palestinienne des Frères musulmans. Lors de sa création à Verviers, en 1993, entre autres, par Mohamed El Hajjaji, Al Aqsa Humanitaire (devenue Aksahum en 2001) n'était que la branche belge d'Al Aqsa Foundation. Les filiales allemande et néerlandaise étaient implantées à Aix-la-Chapelle et Heerlen, à un jet de pierre de Verviers. En 2003, ces deux dernières ont été interdites car soupçonnées de financer le terrorisme du Hamas par le biais de bourses accordées aux orphelins des "martyrs", auteurs d'attentats-suicides. Les gouvernements américain et britannique ont tenté de geler ses avoirs, y compris en Belgique, en tant que soutien d'une organisation terroriste. Mais, en 2004, le ministre des Affaires étrangères Louis Michel (MR), a rejeté leur demande, "faute d'éléments juridiques suffisants". L'asbl s'est maintenue en Belgique. En 2016, le Verviétois Mohamed El Hajjaji est toujours administrateur et président d'Aksahum (Moniteur du 22 avril 2013), laquelle dispose aussi d'un bureau à Molenbeek. Il y a un an, suite à une note de la Sûreté de l'État, Aksahum s'est vu signifier l'interdiction de collecter de l'argent dans les mosquées flamandes reconnues par les autorités.

Une question se pose légitimement : Aksahum cherche-t-elle à s'implanter à Charleroi ? En janvier 2015, El Hajjaji a participé à la création de l'asbl Oummanitaire (Moniteur du 1er avril 2015) dont l'administrateur délégué, Ayoub Lamrini (Gilly), est aussi le porte-parole de la Muslim Expo. Oummanitaire a pour but " d'apporter de l'aide aux populations pauvres, sinistrées ou confrontées à des guerres ou des catastrophes et ce tant en Belgique qu'à l'étranger". Elle fait partie de l'Espace Averroès, qui regroupe plusieurs associations nouvellement créées à Charleroi, dont Ayoub Lamrini est également administrateur : A+ (pas de trace au Moniteur, soutien éducatif, sportif et culturel aux jeunes), ADP-SOS Pèlerins (Moniteur du 15 juillet 2014, défense des pèlerins musulmans lésés lors du pèlerinage à La Mecque) et Assistance Décès (Moniteur du 21 janvier 2014, conseil aux familles de défunts musulmans). Ces

associations font aussi appel à des dons par Internet, sms, etc.

Outre l'Espace Averroès, trois autres partenaires, Human Smile, l'Union des démocrates turcs européens de Belgique (UETD Belgium) et Emdeo, s'associent à la Muslim Expo. Si Emdeo renvoie à l'organisateur flamand de la Muslim Expo d'Anvers, Human Smile et UETD valent le détour. Basée à Koekelberg, Human Smile (Moniteur du 9 juin 2015) veut "aider tous les enfants orphelins et/ou nécessiteux dans le monde". Son compte bancaire (BE91 3631 4908 2976) recueille l'argent récolté au nom d'Aksahum, comme pour son "Action d'hiver" lancée en décembre 2015 en faveur des orphelins palestiniens. En dehors de quoi, Human Smile ne semble pas avoir d'autre activité que d'envoyer des bénévoles à la Muslim Expo. C'est Human Smile et Emdeo qui financent la location de la Muslim Expo.

Pourquoi Human Smile ? Aksahum, source du vrai pouvoir financier, est boycottée par les banques belges. En effet, même si une enquête du parquet de Verviers s'est soldée, en 2007, par un classement sans suite et même si la Cellule de traitement des informations financières (Cetif) a longuement examiné ses comptes sans parvenir à établir une destination terroriste à l'argent collecté en Belgique (500 000 à 650 000 euros par an, selon une déclaration de Mohamed El Hajjaji en 2008), les banques se défilent. Elles se débarrassent de cette cliente sulfureuse : le Crédit à l'industrie (Fortis) en 2004, ensuite, KBC, Delta Lloyd Bank, Belfius, Banca Monte dei Paschi et, enfin, Triodos, en 2015. En avril 2015, Aksahum a introduit une action contre l'État belge, incapable, selon son avocat, Me Georges-Henri Beauthier, de garantir un service bancaire à une personne morale, et contre la Banque de la Poste, dont des virements à son nom (trois fois 25 000 euros à destination de la Palestine) ont été saisis par la banque américaine JPMorgan.

L'Union des démocrates turcs européens est l'antenne belge du parti turc AKP (d'inspiration Frères musulmans). Cette organisation avait appelé à manifester devant le siège du CDH, à Bruxelles, le 30 mai 2015, pour protester contre le renvoi de la députée bruxelloise Mahinur Özdemir pour cause de négation du génocide arménien. Les manifestants - pas très nombreux - accusaient le CDH d'avoir "tué la liberté d'expression de Mahinur Özdemir et ses droits fondamentaux".

Les enjeux de pouvoir

L'habitant de Gilly, Ayoub Lamrini, 28 ans, porte-parole de la Muslim Expo et pilier de l'Espace Averroès, est sur tous les fronts. Dans ses contacts avec l'administration carolo, il se présente comme juriste. Il n'a pas le diplôme requis, raison pour laquelle il a dû quitter l'Exécutif des musulmans de Belgique où il travaillait au service "mosquées". Un renvoi confirmé au Vif/L'Express par Nouredinne Smaïli, président de l'Exécutif des musulmans de Belgique. Ce supporter acharné de la cause palestinienne s'est rendu à plusieurs reprises dans la Bande de Gaza avec Aksahum : en février 2013, en novembre 2014 et en janvier 2015. Le 12 janvier 2015, il poste : "Tu es Charlie ? Nous sommes Gaza... Enchanté"

Signé : "Orphelins palestiniens à Gaza". En octobre 2015, il s'enthousiasme pour "la troisième intifada" (attaques aux couteaux) et il qualifie "la dignité et l'honneur du peuple palestinien" de "cauchemar d'Israël".

Lors de la crise des réfugiés, à la fin de l'été 2015, son asbl Oummanitaire se mobilise et lance des appels aux dons (BE20 0689 0328 6356), notamment en faveur de "La marche des exilés" syriens et irakiens "qui entament une longue et pénible marche à travers l'Europe...". Trois bénévoles, dont lui-même, se rendent à la frontière austro-hongroise pour leur apporter une "aide urgente et utile", avec la Croix-Rouge internationale. En octobre et en novembre 2015, le petit groupe est à Calais, dans "la jungle", une "véritable honte au coeur de l'Europe". Le ton est culpabilisant.

Tourné vers l'humanitaire et la défense des consommateurs musulmans, la nébuleuse d'Ayoub Lamrini ne perd pas de vue les enjeux de pouvoir. C'est Averroès et l'Union des mosquées de Charleroi qui a lancé, en 2015, l'appel au boycott du sacrifice du mouton pour faire sentir aux éleveurs wallons et flamands le poids du mécontentement musulman suite à l'interdiction de l'abattage rituel dans des structures temporaires. La mosquée El Hikma de Forest, réputée salafiste, a rebondi sur l'initiative pour attirer à elle des fonds destinés à la rénovation de ses bâtiments, alors que les abattoirs temporaires étaient maintenus en Région bruxelloise. Fort de cette première campagne réussie (environ 70 % de moutons abattus en moins, selon les premiers chiffres), Ayoub Lamrini est aussi la figure de proue de la Plate-forme des musulmans de Belgique qui s'oppose à l'actuel Exécutif des musulmans de Belgique (EMB), jugé trop conciliant avec les autorités et non représentatif.

Le 15 novembre 2015, la mosquée Al Khalil de Molenbeek, non reconnue, qui a gardé des liens avec la branche syrienne des Frères musulmans d'Aix-la-Chapelle, est le lieu de naissance de cette Plate-forme d'opposition. L'Espace Averroès en fait partie, ainsi qu'une série d'Union de mosquées dont certaines (celle du Brabant wallon, par exemple) sont bidon ou ... non représentatives. Mais il y a aussi du lourd parmi les signataires: la très officielle Ligue des musulmans de Belgique (Frères musulmans canal historique), la vitrine belge du mouvement islamiste marocain Al Adl Wal Ihsane (Justice et spiritualité) ou Fraternité-Broederlijkheid, le mouvement fondamentaliste d'origine indienne Tabligh, des mosquées importantes et salafisantes de Bruxelles... Et Aksahum, bien sûr. Depuis, les réunions s'enchaînent afin de mobiliser d'autres mosquées. Un thème également à l'agenda de la Muslim Expo, puisqu'on y parlera de "l'échec de l'institutionnalisation de l'islam en Belgique depuis plus de quarante ans" et de la radicalisation des jeunes. Au moins, s'il y met les pieds, le bourgmestre de Charleroi, Paul Magnette (PS), sait dans quelle pièce il va jouer... ●

M.-C. R. http://www.levif.be/actualite/belgique/musulmans-la-frerosphere-a-charleroi/article-normal-451291.html

SYRIE

En Syrie, l’Etat islamique à la conquête de Deir ez-ZorLE MONDE | 18.01.2016 à 10h31 • Mis à jour le 18.01.2016 à 12h25 | Par Benjamin Barthe (Beyrouth, correspondant)

Les troupes de l’organisation Etat islamique (EI) sont passées à l’attaque, le 16 janvier, contre la ville de Deir ez-Zor, dans l’est de la Syrie, dans le but de s’emparer de cette capitale provinciale de 200 000 habitants, dont ils contrôlent déjà la partie orientale. Les djihadistes ont pénétré dans deux quartiers de la périphérie nord-ouest, Al-Boughaliya et Ayach, en repoussant les forces gouvernementales qui les détenaient jusque-là. L’offensive des hommes au drapeau noir vise les principaux verrous de la partie occidentale de Deir ez-Zor, sous contrôle loyaliste, comme la base de la brigade 137 et l’Hôtel Fourat Al-Cham. Ces combats ont fait des dizaines de mort, certaines sources affirmant que les forces de l’EI se sont livrées à un massacre de civils.

Lire aussi : Syrie   : l’EI accusé d’un nouveau «   massacre   » à Deir Ezzor et de l’enlèvement de 400 civils

Cette offensive intervient alors que plus au nord, dans les gouvernorats d’Alep et de Rakka, les soldats du « califat » sont soumis à une intense pression de leurs adversaires. Selon l’Observatoire syrien des droits de l’homme (OSDH), 40 résidents de Rakka, la capitale administrative de l’EI, dont huit enfants, ont été tués dans des bombardements aériens, menés samedi. L’ONG, qui dispose d’un vaste réseau d’informateurs sur le terrain, ne précise pas si les avions responsables de ces frappes appartenaient à l’armée russe, ou syrienne, ou bien encore à la coalition internationale conduite par les Etats-Unis.

Le bilan et les circonstances exactes de l’attaque contre Deir ez-Zor font l’objet de comptes rendus encore contradictoires. L’OSDH et l’agence de presse officielle syrienne SANA affirment que les victimes sont principalement des civils, exécutés à la manière expéditive de l’EI. La première source évoque 135 morts dont 85 non-combattants. L’OSDH affirme en outre que 400 autres civils, tous sunnites, ont été enlevés dans la banlieue d’Al-Boughaliya. Le directeur de l’ONG, Rami Abdel Rahmane, a dit craindre que l’EI « n’exécute les civils ou ne réduise les femmes à l’esclavage sexuel comme il l’a fait plusieurs fois dans le passé ». L’organe de presse du régime Assad parle de son côté de « 300 civils tués ». Si ce bilan était confirmé, il s’agirait de la plus grande tuerie commise en une seule journée, depuis le début du soulèvement syrien, en mars 2011.

Important dépôt d’armes

Des militants révolutionnaires locaux, groupés au sein du réseau d’informations DeirEzzor24, contestent cependant cette présentation des faits. Ces militants anti-Bachar Al-Assad et anti-EI affirment qu’aucune preuve ne permet de corroborer les accusations de massacre et d’enlèvement formulées par l’OSDH et SANA. Selon eux, les principales victimes de l’offensive de l’EI sont des soldats de l’armée régulière et des membres des forces de défense nationale, une milice pro-Assad. Douze civils auraient été tués à Al-Boughaliya, affirme DeirEzzor24, mais dans un bombardement de l’aviation syrienne.

Lundi 18 janvier au matin, l’offensive était toujours en cours et des sources locales faisaient état de la saisie par les djihadistes d’un très important dépôt d’armes, dans le quartier d’Ayach. Les combats seraient intenses à proximité de la base de la brigade 137, faisant planer l’hypothèse d’une répétition du scénario de la prise de la base de Tabka, près de Rakka. Après s’être emparés de cette position en août 2014, les combattants de l’EI y avaient exécuté près de 200 soldats, abandonnés par leurs chefs, ce qui avait semé l’effroi et causé quelques remous dans les milieux pro-Assad.

Lundi 18 janvier au matin, des sources locales faisaient état de la saisie par l’EI d’un très important dépôt d’armes

Pour l’EI, une conquête de Deir ez-Zor constituerait une victoire majeure. Le contrôle de cette capitale provinciale, dans la vallée de l’Euphrate, lui permettrait de faire plus facilement la jonction entre ses territoires en Syrie et ceux en Irak. Elle redorerait aussi l’image d’invincibilité de cette organisation, sévèrement écornée par la récente perte de deux villes-clés en Irak, Sinjar et Ramadi, et par le recul de ses forces dans le nord de la Syrie. La semaine dernière, les troupes gouvernementales syriennes se sont avancées à environ 10 km de la ville d’Al-Bab, l’une des principales possessions de l’EI dans la province d’Alep.

Benjamin Barthe (Beyrouth, correspondant) Correspondant au Proche-Orient En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/proche-orient/article/2016/01/18/en-syrie-l-etat-islamique-a-la-conquete-de-deir-ez-zor_4848986_3218.html#D05FLhzeDKFH2fWy.99

SUEDE

Suède: la communauté juive pas invitée à la commémoration de la Nuit de CristalPar i24news Publié: 10/11/2015 - 10:46, mis à jour: 10:47

Le chef du parti travailliste a estimé que la présence de drapeaux palestiniens gênerait la communauté juive

Les membres de la communauté juive du nord de la Suède ont été choqués d’apprendre qu’ils n’étaient pas invités à la cérémonie de commémoration de la Nuit de Cristal lundi à cause de “raisons de sécurité”.

La Nuit de Cristal est le pogrom ordonné par Adolf Hitler, organisé par Joseph Goebbels contre les Juifs allemands et autrichiens qui se déroula dans la nuit du 9 novembre au 10 novembre 1938. Cet incident est considéré comme l’un des premiers de la campagne nazie d’extermination des Juifs d’Europe.

Jan Hägglund, chef du parti travailliste, a invité les dirigeants des différents partis de se rassembler contre l’antisémitisme dans la ville d'Umeå en Suède.

Hägglund a toutefois décidé de ne pas inviter la communauté juive car “de nombreux drapeaux palestiniens ont été vus lors des cérémonies des années précédentes”, a-t-il indiqué. “Une bannière avait même comparé le drapeau israélien à la croix gammée nazie. Nous n’avons pas invité la communauté juive car nous avons pensé qu’elle ne serait pas à l’aise avec ce genre de choses”, a ajouté Hägglund.

Les partis de droite ont décidé de boycotter l’événement, affirmant que les organisateurs veulent se concentrer non pas sur la Shoah et les incidents de la Nuit de Cristal mais sur les réfugiés musulmans en Suède et sur l’islamophobie.

Des membres de la communauté juive ont quant à eux annoncé qu’ils organiseront une autre cérémonie en souvenir de la Nuit de Cristal.

La chef de la communauté juive, Karin Sjoberg, qui est également membre du conseil municipal pense qu’Hägglund a eu “beaucoup de culot de ne pas nous contacter après avoir décidé d’organiser l’événement sur la place de la ville. Ce n’est pas une coïncidence.”

“Il s’agit en réalité d’une volonté de mettre l’accent sur les réfugiés musulmans et non pas sur la Shoah ou les Juifs. Il a par la suite annoncé que le rassemblement était organisé sous la bannière de la ‘lutte contre le nazisme’. Je pense qu’il s’agit d’une déformation scandaleuse de l’histoire. Ils ignorent la mémoire de la Shoah et les incidents de la Nuit de Cristal”, indique Sjoberg.

La communauté juive avait été mise au courant du rassemblement par pur hasard lors d’une discussion avec un des chefs de parti invité à la cérémonie.

http://www.i24news.tv/fr/actu/international/europe/92002-151110-suede-la-communaute-juive-pas-invitee-a-la-commemoration-de-la-nuit-de-cristal

RUBRIQUE EN ANGLAIS

What does French court's 'genocide decision' mean? AgosFatih Gökhan Diler 01.13.2016

A case referred to French Constitutional Court was widely covered in Turkish media, after some Turks and Armenians became parties to the case. We talked to Philippe Kalfayan, international law scholar and former Secretary General of International Human Rights Federation.

A French citizen who denied Holocaust filed a lawsuit and claimed that the law inflicting punishment on the ones who deny the crimes against humanity committed during World War II contradicts with French constitution. This case unavoidably put the law concerning Armenian Genocide on agenda.

The court decided that the law doesn't violate the constitution. In Turkish media, it was discussed that this decision might lead the way for repealing the law, which passed in the parliament in 2001, that recognizes the Armenian Genocide.  In order to avoid disinformation, we talked to Philippe Kalfayan, international law scholar and former Secretary General of International Human Rights Federation.

First of all, could you please explain what is this case about?

Let's start from the beginning indeed. The case is about a French citizen who has been tried and condemned two times by French courts for having denied the Jewish Holocaust. After his last condemnation in February 2015 (2-year of liberty privation for propagation of denialism through Internet), he constitutionality challenged the provisions of the unique law repressing the denial of crimes against humanity (Loi Gayssot - 1990). There is a mechanism for that kind of legal challenge, which is called the QPC (Question Prioritaire de Constitutionalité).  His legal question was accepted by the Cassation Court and referred to the Constitutional Court for decision. The challenge is grounded on the basic legal principle of equality of rights: why is the denial of Jewish holocaust a criminal offense while the denial of other crimes against humanity (including the Armenian genocide) is not? The question is quite pertinent and was pending for a while.

Why did and to what extent Armenian side and Turkish side get involved? What was their demand from the Council?

First of all, the protagonists in this case were: the defender, the anti-racism and antisemitism NGOs (LICRA and MRAP) represented by the same attorney, two French lawyers of Armenian descent representing some people from their families, the Government, another NGO called “Association pour la Neutralité de l'Enseignement de l'Histoire Turque dans les Programmes Scolaires” (ANEHTPS – Organization demanding the neutrality in the Turkish History curriculum in the school books, in other words, asking the French government to remove any reference to the Armenian Genocide in the school books).

Surprisingly, the CCAF (representing the interests of the Armenian organizations in France) was not represented in the case, while it was a unique occasion to defend their rights. The “French-Armenian” lawyers present in the case did ask the annihilation of the Loi Gayssot based on the violation of equal rights principle and  replacing it by a more inclusive law criminalizing the denial of all crimes against humanity and genocides. The problem is that their request is based on a totally wrong assessment: the normativity of the 2001 French law recognizing the Armenian genocide. The same mistake was made in 2011 with the Loi Boyer’s initial draft law (prepared by one of these two lawyers). It has to be said quite clearly: the 2001 law is a declarative law, of purely political nature, and has no legally binding effect.

The ANEHTPS is of course a submarine of Turkish government.

Do you think that French Constitutional Council's decision is parallel to the ECHR's ruling on Perincek case?

The decision is not related to the same legal issue, but the decision made about the uniqueness and specifics of Jewish Holocaust reach the same conclusion, although the French Constitutional court had never mentioned the Jewish Holocaust or Genocide. In fact, many commentators tend to forget that the challenged law Gayssot itself never quotes the Jewish Holocaust. The Gayssot law provisions condemn the denial of the crimes against humanity committed during the Second World War that were condemned by Nuremberg International Military Tribunal. These crimes did not affect only the Jewish people. But, in the minds of most people, it is assimilated as such.

The reasoning of the Constitutional Court is similar to that of the European Court in the Perinçek case in the sense that it is considered that the denial of the crimes against humanity condemned in Nuremberg shall be automatically considered as speeches inciting racial or anti-Semitic opinions, especially in countries where those crimes have been committed, which is the case of France.   

It is being discussed that with this decision of the Council, there is a way to repeal the Armenian Genocide law passed in 2001. Do you think this argument is valid?

This is what ANEHTPS already demanded in the court, but their petition was rejected by the Constitutional court, because the judges were not referred about the question of assessing the constitutionality of the 2001 Armenian genocide recognition law.

For sure, the Turkish Government under the guise of some NGOs will try to repeal this law in the future. But there is no risk of success for them, as long as this law is considered as a political declaration, which is the case. If one day, a French tribunal condemns a citizen for denying the Armenian Genocide based on this law, or if there is a new law criminalizing the denial based on this declarative law, then yes, there would be some risks. It is quite easy to understand: genocide is a crime, and only a judge can form a decision on the nature and the qualification of a crime. I do remind the readers that the Swiss tribunals’ decision to condemn Perinçek asserted the crime of genocide in order to condemn the speech of that one. What European Court defeated is not that assertion but the fact that a criminal sanction is disproportionate in regard to Perinçek 's offense. In conclusion, the assertion of genocide by Swiss judges remained valid, but the denial speech, especially in the specific case of Perinçek, was considered as not deserving a criminal sanction.    

If French Parliament considers passing a law about the denial of Armenian Genocide , what would be their options now? Would this decision of the Council have an effect on such an initiative?

Of course, this decision will have an effect. I personally consider that the options for drafting a criminal law provision about the denial of the Armenian Genocide are almost nulls for the time being. French Armenian organizations are still able to institute civil proceedings for denial cases (this is what the European court encouraged in its 15 October judgment basing its argument as such: the Armenian genocide is a component of the Armenian identity. To deny the reality the genocide amounts to insulting Armenian dignity). However, if there is a development of aggressive and offending denial speeches inciting hatred against Armenians in the future, like in Turkey, then the need to draft a criminal law will be opportune. For the time being, there is no such environment: the Armenian genocide reality is widely known and accepted in France and worldwide. French government has no real intention to pass a new law.

I must however say that both European Court and French Constitutional Court 's reasoning could and should be challenged. An international crime, wherever it has been committed and whoever committed it, is universal. The obligations of prevention and repression are peremptory for every state. The European Court and the French Court haven't considered the need to criminalize the hatred speech on the model of the direct and public incitement to commit a genocide, which is prohibited. The future battle is there: if states want to prevent crimes against humanity they should universally accept to indict hate speeches against vulnerable or minority groups and assimilate them to incitements to commit crimes.

http://www.agos.com.tr/en/article/14004/what-does-french-court-s-genocide-decision-mean

An unsung American hero to be honored for saving 250,000 people during the Armenian GenocideArmenianlife

Posted on January. 11. 2016

BY Siranush Ghazanchyanwww.armradio.am

Asa Kent Jennings was an American hero who saved 250,000 people during the Armenian Genocide.

Despite his awe-inspiring life-saving deeds, his story has not been properly recognized, not only around the world, but also in the USA and in Armenia.

The Board of the International Raoul Wallenberg Foundation has resolved to pay tribute to his legacy in a series of activities that will be made public soon.

Jennings was a small-town handicapped Minister originally from upstate New York. At the beginning of the 20th century he worked in the affluent city of Smyrna in Turkey, as a YMCA employee.

In September 1922, the Turkish nationalist army entered the city with the intent of slaughtering all its Christian residents, mostly Armenians and Greek. A huge blaze erupted through the city on September 13, trapping scores of refugees in a narrow strip by the sea. Hundreds of thousands were doome to die on the city s waterfront. Many of them were succumbing to plagues, hunger and thirst, under the Turkish siege.

Aware of their plight, Jennings had set-up a first-aid station for pregnant women in an empty home on the waterfront. He then organized a fleet of ships with the help of the US Navy in an audacious and imaginative rescue plan.

The Jennings evacuation removed 250,000 refugess from Smyrna and relocated them to the Greek Islands and the cities of Thessaloniki and Piraeus.

This blitz operation took only 7 days, to meet a Turkish city amidst threats of deportation. His courage and shrewdness saved the lives of a quarter million innocent human beings from a terrible death.

Asa Kent Jennings is a great American rescuer who went out of his way to save scores of Armenians and Greeks and his legacy needs to be divulged for the world to know that people like him were not indifferent to the plight of other human beings.

His spirit of solidarity should be a beacon of hope and should teach us that one man can make a difference.

The IRWF decision to commemorate the feats of Asa Jennings are in the framework of the NGO s research efforts aimed at discovering the brave women and men who reached-out to the Armenians in their suffering

http://www.armenianlife.com/2016/01/11/an-unsung-american-hero-to-be-honored-for-saving-250000-people-during-the-armenian-genocide/

Mouradian: The Book with a Black CoverArmenian Weekly

By Khatchig Mouradian on January 13, 2016

About Khatchig Mouradian

Dr. Khatchig Mouradian is a visiting assistant professor at the Division of Global Affairs at Rutgers University and the coordinator the Armenian Genocide Program at the university’s Center for the Study of Genocide and Human Rights (CGHR). He teaches courses on imperialism, mass violence, and concentration camps in the History and Sociology departments at Rutgers. Mouradian is also adjunct professor at the Philosophy and Urban Studies departments at Worcester State University, where he teaches courses on urban space and conflict in the Middle East, genocide, collective memory, and human rights. Mouradian holds a PhD in history from the Strassler Center for Holocaust and Genocide Studies at Clark University and a graduate certificate in Conflict Resolution from UMass Boston. He was the editor of the Armenian Weekly from 2007-2014.

ISTANBUL, Turkey (A.W.)—The Turkish translation of Aram Andonian’s monumental book Ayn Sev Orerun (In Those Black Days) was published in Istanbul this month by Pencere Publishing. Stephen Onanian translated the book; Atilla Tuygan copyedited it. Dr. Khatchig Mouradian wrote the introduction, the English version of which is reprinted below.

***

Andonian’s Ayn Sev Orerun was first published in Boston in 1919.

My first copy of Andonian’s Ayn Sev Orerun was a reprint issued in Beirut in 1985, on the 70th anniversary of the Armenian Genocide. It had a black cover with a drawing of a woman, in tears, next to a lyre.

I remember reading it as a teenager cover to cover, several times. The short stories were particularly jarring not only because of the horrid accounts and graphic details, but because page after page, the perpetrators were not named: The word “Turks” did not come up at all in the book.[2] Andonian did not name the victims either. The book had such a profound impact on me that to this day, every time I see that cover, sadness resurfaces.

And although thereafter I avoided reopening the book, I knew deep inside that it would have a fateful impact on my life.

Three years ago, I began writing my doctoral dissertation at Clark University on “Genocide and Humanitarian Resistance in Ottoman Syria, 1915-1917,” under the supervision of Prof. Taner Akçam. The work is now complete, with an entire chapter on the concentration camp in Meskeneh, where many Armenian deportees perished.

Not a day passed writing that chapter when I did not remember this book by Andonian—the woman who lost her mind upon the killing of her son, the deportees crying for water, the boy asking for his dead mother to wake up…

Twenty years after I first cracked the spine of the book, I knew I was writing about Meskeneh to honor the memory of that woman, those deportees, that boy…and a man called Aram Andonian, one of the very first to systematically document the crime.

 Andonian

Aram Andonian (1879-1951) was a well-respected name in the literary circles of early 20th-century Constantinople as an editor and writer.[3] He was arrested on April 24, 1915, alongside many of his contemporaries, and sent to Çankırı. He left Çankırı in a convoy of 25 on Aug. 19, purportedly to be taken to Diyarbakir. On the way, as the convoy spent the night in a khan, he broke his leg and was forced to stay behind. The rest continued on their way and were killed near Elma Dağ, a few hours outside Ankara.[4]

The broken leg thus saved Andonian’s life. After recuperating in a hospital in Ankara, he headed to Tarsus. He was soon arrested, imprisoned in Konya, deported, rearrested, and eventually ended up in the Meskeneh in early 1916. His experiences there would, a few years later, culminate in this collection of short stories. After spending several months in Meskeneh, he escaped in June of the same year and sought refuge in Aleppo, where he enjoyed the support of the influential Mazloomian brothers, the owners

of Hotel Baron. When the Mazloomians were exiled to Zahle, Andonian went with them, only to return to Aleppo after the Ottoman defeat in 1918.

Installing himself in post-war Aleppo, Andonian embarked on collecting shards of evidence and material on the destruction of the Armenians. His relationship with Ottoman official Naim Bey proved fateful. Andonian compiled the information and copies of telegrams he received from Naim Bey in his book The Great Crime.[5] An even more important contribution of Andonian’s to documenting the Armenian Genocide are the hundreds of survivor accounts and testimonies he collected in Aleppo in the immediate aftermath of World War I. Many of these accounts have been published by historian Raymond Kevorkian and used extensively in his work.[6]

Andonian took the telegrams and survivor accounts with him to Paris, where he worked for the Armenian National Delegation at the Peace Conference, headed by Boghos Nubar. In 1927, Nubar financed the building of a library to serve as a depository of the delegation’s archives and whatever could be saved of the Ottoman-Armenian cultural and literary heritage. Andonian served as the director of the Nubar Library until shortly before his passing.

 Meskeneh

After arriving in Aleppo in 1915, the exiled Armenians were re-deported first to Meskeneh, and then farther downstream to Dipsi, Abuharar, Hamam, Rakka, Sebka, and Der Zor. Meskeneh became the final resting place for tens of thousands of deportees who died there from typhus, intestinal diseases, deprivation, and violence.

Listed as a transit camp in a September 1915 guideline organizing the re-deportation process of Armenians arriving in Syria, Meskeneh had operated as such from the onset of the deportations, but its importance grew with the closing of camps around Aleppo city in late 1915 and early 1916. (Photo: Armin Wegner, Mekhitarist Order, Venice, Italy)

Listed as a transit camp in a September 1915 guideline organizing the re-deportation process of Armenians arriving in Syria,[7] Meskeneh had operated as such from the onset of the deportations, but its importance grew with the closing of camps around Aleppo city in late 1915 and early 1916.

Meskeneh, situated at the great bend of the southern branch of the Euphrates River, was not much of a town in 1915. Accounts present it as “nothing more than a building, masquerading as an inn, a couple of miles from the course of Euphrates and hard against some bleak hills.”[8] There was also a telegram center near the khan on the western banks of the river.[9] Military barracks were under construction nearby when survivor Yeghisheh Hazarabedian arrived at the camp in early spring 1916.[10] “The whole thing was under the orders of a captain and his company who, when not working on the construction of the barracks, would live in the

inn. Outside of the inn there were some 50 Armenian laborers who had volunteered to work on the project so that they would escape being driven farther down the river…to Deir ez-Zor,” he recounts.[11]

The camp where the deportees were interned was a 10-minute walk from the khan in the direction of the river.[12] In early 1916, as tens of thousands poured into Meskeneh, a large number of tents were erected on the heights overlooking the khan, while the area near the river was reserved for Armenians who were scheduled to be re-deported next.[13] By the end of 1916, as the camp was mostly emptied, camp director Hussein Avni moved the remaining deportees from the heights to the area near the Euphrates, which was less dusty in the dry gusty weather. The tents of the coachmen and the handymen were also moved and were erected on heights near the barracks.[14]

From April 1915 to April 1916, 110,934 deportees passed through Meskeneh, according to a document that Avni himself provided to Andonian after the war. The re-deported constituted 28,834 Armenians, while 80,000 died at the camp. The remaining 2,100 deportees were still at the camp in April 1916.[15] Thus, 72 percent of the deportees at the camp died on site. Auguste Bernau, a German employee of the American Vacuum Oil Company, visiting the camp in August-September 1916 to secretly distribute funds, provides a more conservative number: “Information collected on the spot allows me to confirm that around 60,000 Armenians were buried there,” he writes in a meticulous account of his journey.[16] Andonian points out that 300-500 people were dying in Meskeneh every day when he was there.[17] The numbers, as we have seen, are indeed staggering; roughly 1 out of 10 deportees arriving in Syria-Mesopotamia died in Meskeneh.

Most of those who survived Meskeneh did not fare better. The Ottoman authorities liquidated most of the camps along the Euphrates in the spring and early summer of 1916 and marched the deportees in the direction of Der Zor. There, a reinforced gendarmerie, alongside Circassian bands from the district, massacred around 200,000 deportees in the summer of 1916.***

As one of the few intellectuals who survived the arrests and eventual killings of Armenian community leaders arrested on April 24, 1915, and the weeks that followed, Andonian felt a responsibility to diligently collect testimonies and official documents on the Medz Yeghern (Great Crime), hoping that it would contribute to some form of justice after the war.

Although justice was not served, descendants of survivors of the Armenian Genocide passed on these accounts to their children and grandchildren. Teenagers picked up black-covered books like Andonian’s In Those Black Days, and carried with them the burden of the struggle against denial.

For those of us reading In Those Black Days in the Armenian Diaspora, seeing this book on the bookshelves in Turkey was a distant dream.

 

Notes

[1] DE/PA-AA; R14094; A 28162; Report from the Consul in Aleppo (Rossler) to the Imperial Chancellor (Bethmann Hollweg) on Sept. 27, 1916, in Wolfgang Gust, ed., The Armenian Genocide: Evidence from the German Foreign Office Archives, 1915-1916 (New York: Berhgahn, 2014), p. 653.

[2] Leading Armenian literary critic and novelist Hagop Oshagan calls this book an “undisputable eyewitness testimony,” and discusses the absence of the word “Turk” there in his 10-volume Panorama of Western Armenian Literature (Hamapatker Arevmdahay Kraganutyan). He writes, “Those dark days did not fall upon us from the dark sky. They were handmade by the Turks. The lack of any mention of Turks is obvious from the first pages but as the stories unfold it becomes maddening.” As cited in Rita Soulahian-Kuyumjian, The Survivor: Biography of Aram Andonian (London: Gomidas Institute, 2010), p. 21.

[3] For a detailed biography of Andonian, see Soulahian-Kuyumjian, The Survivor.

[4] Ibid., p. 15.

[5]Aram Andonian, Medz Vojire [The Great Crime] (Boston: Bahag Publishing, 1921). Abridged English and French editions of the book were also published in the same period.

[6] See Kévorkian, “L’Extermination des déportés arméniens ottomans dans les camps de concentration de Syrie-Mésopotamie, 1915-1916,” Revue d’histoire arménienne contemporaine, tome 2 (1998); and Kévorkian, The Armenian Genocide: A Complete History (New York: I.B. Tauris, 2011).

[7] BOA DH. EUM. 2. ŞB, 68/88 Copy of 56-article, meticulous guideline sent by IAMM Director Şükrü Kaya to the Ministry of Interior on Sept. 8, 1915.

[8] Account of survivor Yeghisheh Hazarabedian in Paren Kazanjian, ed., The Cilician Armenian Ordeal (Boston: Hye Intentions, 1989), p. 293.

[9] Zabel Yessayan and Hayg Toroyan, “Joghovurti me hokevarke (Aksoryal hayere michakedki mech)” [The Death Throes of a Nation: The exiled Armenians in Mesopotamia], Kordz, 3, 1917, p. 67.

[10] A map from the intelligence division of the British War Office updated in November 1915 already indicates the presence of barracks, as well as the positions of the khan and the telegram office there (marked as “post station”). See Meskeneh (London: British War Office, 1915).

[11] Ibid.

[12] Yessayan and Toroyan, “The Death Throes of a Nation.”

[13] Nubar Library Andonian Collection (Henceforth, BNu/Andonian), Folder 52b: “The camp directors of Meskeneh,” p. 74.

[14] BNu/Andonian, Folder 52b: “The camp directors of Meskeneh,” p. 74.

[15] BNu/Andonian, Folder 52b: “The corpses brought by the Euphrates,” p. 60.

[16] DE/PA-AA; R14094; A 28162; Report from the German Consul in Aleppo (Rossler) to the Imperial Chancellor (Hollweg) on Sept. 27, 1916, in Wolfgang Gust, ed., The Armenian Genocide: Evidence from the German Foreign Office Archives, 1915-1916 (New York: Berghahn, 2014), p. 653.

[17] Aram Andonian, Medz Vojire [The Great Crime] (Boston: Bahag, 1921), p. 19.

http://armenianweekly.com/2016/01/13/mouradian-the-book-with-a-black-cover/

AGENDA TV ET RADIO

Agenda TV/Radio et Magazines : programmes et parutions mars-juillet 2015Le Collectif VAN réunit ici un listing des émissions télévision et radio, de mars à juin 2015, ainsi que les numéros spéciaux de la presse magazine, à propos du génocide arménien dont on commémore le centenaire le 24 avril 2015.

Agenda TV/Radio et Magazines : programmes et parutions août, septembre 2015 http://www.collectifvan.org/article.php?r=5&id=91060

Agenda TV/Radio et Magazines : programmes et parutions juillet 2015http://www.collectifvan.org/article.php?r=5&id=90396

Agenda TV/Radio et Magazines : programmes et parutions juin 2015 http://www.collectifvan.org/article.php?r=5&id=89087

Agenda TV/Radio et Magazines : programmes et parutions mai 2015 http://www.collectifvan.org/article.php?r=5&id=87488

Agenda TV/Radio et Magazines : programmes et parutions avril 2015 - I http://www.collectifvan.org/article.php?r=5&id=87486

Agenda TV/Radio et Magazines : programmes et parutions avril 2015 - II http://www.collectifvan.org/article.php?r=5&id=87489

Agenda TV/Radio et Magazines : programmes et parutions mars 2015http://www.collectifvan.org/article.php?r=5&id=87487

URL :

http://www.collectifvan.org/article.php?r=5&id=86426

RUBRIQUE AGENDARASSEMBLEMENTS-COLLOQUES-EXPOSITIONS- SPECTACLES-

PARUTIONS

Agenda - Les 6ème Assises Nationales de la lutte contre le négationnismeAgenda - Les 6ème Assises Nationales de la lutte contre le négationnisme - Collectif VAN - www.collectifvan.org - Uniques en Europe, les Assises Nationales de la Lutte contre le Négationnisme sont le grand rendez-vous annuel du combat contre un fléau qui ne concerne pas seulement la France ni un génocide en particulier, mais qui recouvre des réalités beaucoup plus larges. Organisées par Frédéric Encel, géopolitologue et professeur à PSB Paris School of Business, les Assises sont, depuis 2011, le point de ralliement de nombreux intellectuels, chercheurs et journalistes spécialisés sur la question. Les 6ème Assises Nationales se tiendront le 24 janvier 2016 au Campus Cluster Paris Innovation (59, rue nationale, 75013 Paris, France) sous le Haut Patronage de Madame Fatou Bensouda, procureure à la Cour pénale internationale. Le Collectif VAN est partenaire comme chaque année depuis le lancement des Assises.

Publié le 13 janvier 2016

Les 6ème Assises Nationales de la lutte contre le négationnisme

24/01/2016 - 09h30 à 17h30

Campus Cluster Paris Innovation 59, rue nationale 75013 Paris FRANCE http://www.assises-antinegationnisme.fr/

Contact organisateur

PSB Paris School of Business UDICOVER UDISCOVER E-mail : [email protected]

Descriptif

Uniques en Europe, les Assises Nationales de la Lutte contre le Négationnisme sont le grand rendez-vous annuel du combat contre un fléau qui ne concerne pas seulement la France ni un génocide en particulier, mais qui recouvre des réalités beaucoup plus larges. Organisées par Frédéric Encel, géopolitologue et professeur à PSB Paris School of Business, les Assises sont, depuis 2011, le point de ralliement de nombreux intellectuels, chercheurs et journalistes spécialisés sur la question.

Sous le Haut Patronage de Madame Fatou Bensouda, Procureure à la Cour pénale internationale

CRIMES DE MASSE AU DARFOUR AU KURDISTAN ET EN IRAK

9h30 ACCUEIL

10h00 Le Darfour, 2003-2004 : Le contexte historique

• Rashdi SAEED, journaliste soudanais indépendant • Omer ISMAIL, conseiller à Enough Project , Washingthon,USA Rashid Saeed Yagoub, journaliste , Paris • Aicha EL BASRY, ancienne porte-parole de la forceNations-Unies et Union Africaine au Darfour

Modérateur : Joan TITOUINE, journaliste au Monde, spécialiste du Soudan

11h30 : LA NEGATION DES CRIMES DE KHARTOUM

• Abdelbagi A. JIBRIL, directeur exécutif du Darfur Relief & Documentation Centre (Genève) • Jacky MAMOU, médecin, Président du Collectif Urgence Darfour • Patrick BAUDOUIN, avocat, président d'honneur de la FIDH

Modérateur : Anne-Sophie SEBBAN, chercheuse à la PSB et doctorante à l’IFG

14h30 MARTYRS KURDES ET YEZIDIS EN IRAK

• Kendal NIZAN, Président de l’Institut kurde de Paris • Andrej UMANSKY,Conseiller historique de Yahad in Unum • Mohamed SIFAOUI, journaliste, • Jean MOUTTAPA, éditeur chez Albin Michel

Modérateur : Jean-Marie COLOMBANI Fondateurs de Slate.fr., Journaliste et essayiste

16h Grand témoin : Jean PLANTU, dessinateur au Monde, président fondateur de Cartooning for Peace

17h Clôture : Fatou BENSOUDA, procureure de la Cour pénale internationale

Inscription obligatoire :

https://www.weezevent.com/evenement.php?id_evenement=150126#Billeterie

Entrée sur présentation de la carte d'identité.

http://www.collectifvan.org/article.php?r=0&id=92904

Agenda - Aix-en-Provence/Exposition: Sur les traces du génocide des ArméniensAgenda - Aix-en-Provence/Exposition: Sur les traces du génocide des Arméniens - Collectif VAN - www.collectifvan.org - Dans le cadre du centenaire du génocide des Arméniens, le Site-Mémorial du Camp des Milles présente une exposition en hommage à Ovsanna Kaloustian, décédée en 2014. Prolongeant son combat contre l’oubli et la négation, l’exposition présente le travail de Stéphane Dumont et Eric Sémerdjian qui se sont rendus sur les lieux des massacres pour en capter la mémoire. L'exposition sera proposée au public jusqu'au 30 avril 2016.

Exposition

Exposition - Événement : 2015- 1915 >> L'envers du chemin >> Sur les traces du génocide des Arméniens

jusqu'au 30 avril 2016

À partir du jeu. 17 déc. 2015 - Site-Mémorial du Camp des Milles, Aix-en-Provence - Dans le cadre du centenaire du génocide des Arméniens, le Site-Mémorial du Camp des Milles présente une exposition en hommage à Ovsanna Kaloustian, décédée en 2014. Prolongeant son combat contre l’oubli et la négation, l’exposition présente le travail de Stéphane Dumont et Eric Sémerdjian qui se sont rendus sur les lieux des massacres pour en capter la mémoire.

Stéphane Dumont et Eric Sémerdjian ont parcouru "l’envers du chemin", ils se sont confrontés aux lieux actuels des massacres d’autrefois, de Diyarbakir à Van, de Bitlis à Mardin.

Pour le premier, il s’agissait de témoigner de la réalité des massacres avec l’œil du photographe, mais aussi de fournir en quelque sorte la preuve de la négation de cette mémoire par la banalité des lieux.

Pour le second, il s’agissait d’effectuer un travail d’anamnèse à partir des notes prises en chemin ; un retour difficile et nécessaire sur son histoire familiale en parcourant à rebours le chemin douloureux de la mémoire.

Le Site-Mémorial du Camp des Milles reçoit le soutien de la Fondation pour la Mémoire de la Shoah.

Exposition - L’Envers du chemin. Sur les traces du génocide arménien

Du jeudi 17 décembre 2015 au dimanche 10 avril 2016 Tous les jours de 10h à 18h

Site-Mémorial du Camp des Milles 40, chemin de la Badesse 13547 Aix-en-Provence

http://www.collectifvan.org/article.php?r=5&id=92783

Agenda - Décines: Exposition “Le génocide des Arméniens de l’Empire ottoman”

Agenda - “Le génocide des Arméniens de l’Empire ottoman”: exposition du 13 janvier au 30 avril 2016 - Collectif VAN - www.collectifvan.org - Le Centre National de la Mémoire

arménienne est fier d’accueillir ce qui fut sans doute l’une des expositions les plus réussies produites à l’occasion de l’année du Centenaire. Le Mémorial de la Shoah, investi depuis une dizaine d’années dans la sensibilisation du public aux génocides du 20e siècle a dédié une exposition et une série de manifestations au génocide des Arméniens qui préfigure ceux qui se sont produits au cours de ce siècle. Pour la première fois hors de Paris, où elle a été prolongée eu égard à sa qualité, le public pourra découvrir ce travail d’excellente facture, au CNMA, continuant ainsi une collaboration initiée de longue date qui se concrétisa pour la première fois en janvier 2015 avec l’accueil de l’exposition “les génocides du 20e siècle”. Vernissage le 12 janvier en présence d’ Yves Ternon. (Adresse : 32 Rue du 24 Avril 1915, 69150 Décines-Charpieu, France).

CNMA

“Le génocide des Arméniens de l’Empire ottoman”, exposition du 13 janvier au 30 avril 2016

32 Rue du 24 Avril 1915, 69150 Décines-Charpieu, France

Le Centre National de la Mémoire arménienne est fier d’accueillir ce qui fut sans doute l’une des expositions les plus réussies produites à l’occasion de l’année du Centenaire. Le Mémorial de la Shoah, investi depuis une dizaine d’années dans la sensibilisation du public aux génocides du 20e siècle a dédié une exposition et une série de manifestations au génocide des Arméniens qui préfigure ceux qui se sont produits au cours de ce siècle.

Pour la première fois hors de Paris, où elle a été prolongée eu égard à sa qualité, le public pourra découvrir ce travail d’excellente facture, au CNMA, continuant ainsi une collaboration initiée de longue date qui se concrétisa pour la première fois en janvier 2015 avec l’accueil de l’exposition “les génocides du 20e siècle”.

D’avril 1915 à décembre 1916, environ 1 200 000 Arméniens, citoyens de l’Empire ottoman, sont assassinés sur ordre du Comité Union et Progrès. Ce génocide fut perpétré pour des raisons à la fois idéologiques et politiques. La Guerre aidant, le projet de turcisation de l’espace anatolien, d’homogénéisation ethnique de l’Asie Mineure, caressé par les chefs du Comité Union et Progrès, se transforme en entreprise d’extermination systématique des Arméniens, étendue à d’autres communautés de Chrétiens d’Orient, dont les Syriaques.

Quels événements ont présidé à la destruction de cette population ? L’exposition propose d’en comprendre les causes et la genèse, fait le récit de son déroulement d’un point de vue tant historique que géographique, et enfin aborde l’après-génocide, dont le déni dont il continue à faire officiellement l’objet en Turquie.

Commissariat scientifique :

Claire Mouradian, directrice de recherche au CNRS,

Raymond Kévorkian, directeur émérite de recherche, Institut français de géopolitique

et Yves Ternon, docteur en histoire à l’Université Paris 4.

Vernissage le 12 janvier en présence d’ YVES TERNON

19h00: Rencontre-signature du “Mémorial du génocide des Arméniens”, livre de référence sur le sujet

19h30:Vernissage et présentation de l’exposition par YVES TERNON

Entrée libre

Du 13 janvier au 30 avril, visites guidées de groupes possibles sur réservation

32 Rue du 24 Avril 1915 69150 Décines-Charpieu France

http://www.cnma.fr/wordpress/le-genocide-des-armeniens-de-lempire-ottoman-exposition-du-13-janvier-au-30-avril-2016/

Agenda - Paris/Marseille/Lyon : Rencontres avec Nor ZartonkAgenda - Paris/Marseille/Lyon : Rencontres avec Nor Zartonk - Collectif VAN - www.collectifvan.org - Les jeunes militants arméniens d’Istanbul du groupe Nor Zartonk viennent à la rencontre des Arméniens de France, à Paris, Arnouville, Marseille et Lyon. Cette tournée de conférences, organisée par leur Comité de soutien français, se déroulera du jeudi 21 janvier au vendredi 29 janvier 2016. Nor Zartonk vient présenter son travail, par la voix de son porte-parole, Sayat Tekir : la lutte pour la restitution du « Camp Armen », la vie militante arménienne en Turquie, l’espoir pour ces luttes dans cet État autoritaire qu’est la Turquie constituent, entre autres, les thèmes qui seront abordés lors de

ces conférences.

Comité de soutien français à Nor Zartonk

Nor Zartonk, les jeunes militants arméniens d’Istanbul à la rencontre des Arméniens de France

Le Comité de soutien français à Nor Zartonk est heureux de vous présenter la tournée des conférences qui se dérouleront dans plusieurs villes de France, du jeudi 21 janvier au vendredi 29 janvier 2016. Ce comité de soutien, constitué à la demande de Nor Zartonk, est formé d’anciens militants actifs des organisations de jeunesse arménienne et a pour objectif de faire connaître en France les initiatives prises par ces jeunes Arméniens en Turquie.

Nor Zartonk, qui signifie « Le Renouveau » en arménien, est un groupe de jeunes qui s’est constitué après l’assassinat de Hrant Dink (le journaliste arménien de Turquie) en 2007 et s’inscrit pleinement dans ce qu’il est convenu d’appeler aujourd’hui « le réveil des Arméniens de Turquie ». C’est ainsi que ces jeunes agissent au quotidien afin de faire vivre la culture et les revendications arméniennes en Turquie. Ce combat s’est illustré en 2015 par l’occupation du « Camp Armen », cet ancien orphelinat bâti par des survivants du génocide des Arméniens qui était menacé de destruction suite à l’expropriation de ses propriétaires par le gouvernement. Cette lutte de 175 jours, ponctuée d’agressions de la part de groupuscules nationalistes, s’est soldée par la victoire de Nor Zartonk. L’orphelinat a été restitué à une fondation arménienne. Ce succès intervient l’année du centenaire du génocide des Arméniens et le bâtiment rendu aux Arméniens de Turquie va devenir un lieu de mémoire.

Si Nor Zartonk organise des manifestations le 24 avril à Istanbul, enseigne le génocide des Arméniens aux nouvelles générations, son combat se situe surtout dans la durée, avec la création d’un journal mais aussi d’une radio qui émet en 18 langues. Ce réveil des jeunes Arméniens de Turquie fut également remarqué lors des manifestations de Gezi Park et de la place Taksim contre Recep Erdogan en 2013. Lors de ces protestations contre le gouvernement turc, les jeunes de Nor Zartonk avaient notamment rebaptisé les rues et les places du nom d’intellectuels et d’artistes déportés durant le génocide des Arméniens.

En ce début d’année 2016, suite à sa tournée aux États-Unis, Nor Zartonk vient en France présenter son travail, par la voix de son porte parole, Sayat Tekir. La lutte pour la restitution du « Camp Armen », la vie militante arménienne en Turquie, l’espoir pour ces luttes dans un État autoritaire qu’est la Turquie constituent, entre autres, les thèmes qui seront abordés lors de ces conférences.

Dates et lieux des conférences (entrée libre) :

Jeudi 21 janvier 2016 à 20h à Paris

Péniche Anako / 61 quai de la Seine / 75019 Paris

Vendredi 22 janvier 2016 à 20h à Arnouville

Salle de l'Association Sassoun / 3 rue de la Paix / 95400 Arnouville

Mercredi 27 janvier 2016 à 19h à Marseille

Majc / 12-14 rue Saint Bazile / 13001 Marseille

Jeudi 28 janvier 2016 à 20h à Lyon

Église arménienne de Lyon / Salle Garbis Manoukian / 42 rue d'Arménie / 69003 Lyon

Contact Presse: [email protected]

TÉLÉCHARGER :  Dossier de presse - Nor Zartonk à la rencontre des Arméniens de France

http://www.collectifvan.org/pdf/12-11-04-18-01-16.pdf

http://www.collectifvan.org/article.php?r=0&id=92928

Agenda - Conférence-débat avec Nor Zartonk à Paris et Arnouville

Conférence-débat avec Nor Zartonk à Paris et Arnouville - Collectif VAN - www.collectifvan.org - Le comité de soutien à Nor Zartonk en France présente ses deux premières conférences débat. Défense de la cause arménienne et activisme à Istanbul. Avec la présence de Sayat Tekir, porte parole de Nor Zartonk en Turquie jeudi 21 Janvier 2016 à 20h à Paris et vendredi 22 Janvier 2016 à 20h à Arnouville.

Publié le 16 décembre 2015

21 janvier 2016 - 22 janvier 2016

Le comité de soutien à Nor Zartonk en France présente ses deux premières conférences débat.

Défense de la cause arménienne et activisme à Istanbul.

Avec la présence de Sayat Tekir, porte parole de Nor Zartonk en Turquie

- Jeudi 21 Janvier 2016 à 20h à Paris avec le soutien de la Péniche Anako et Terre et Culture dans le cadre des commémorations pour Hrant Dink. Peniche Anako 61 quai de la scène 75019 Paris

-Vendredi 22 Janvier 2016 à 20h à Arnouville Salle de l'association Sassoun 3 rue de la paix 95400 Arnouville

Entrée libre et gratuite

http://www.collectifvan.org/article.php?r=5&id=92755

Agenda - Belgique : Les génocides face au négationnisme et au révisionnismeAgenda - Belgique : Journée de réflexion consacrée aux génocides face au négationnisme et au révisionnisme - Collectif VAN - www.collectifvan.org - Dans le cadre de la Journée internationale de commémoration en mémoire des victimes de la Shoah, la cellule Démocratie ou barbarie du Ministère de la Fédération Wallonie-Bruxelles propose une journée de réflexion consacrée aux génocides face au négationnisme et au révisionnisme. Cette journée se déroulera le 25 janvier. Lieu : Salle Wallonie-Bruxelles (6A 101) au Ministère de la Fédération Wallonie-Bruxelles : Boulevard Léopold II, 44 - 1080 Bruxelles.

Journée de réflexion consacrée aux génocides face au négationnisme et au révisionnisme - Ministère de la Fédération Wallonie-Bruxelles - 25/01

Dans le cadre de la Journée internationale de commémoration en mémoire des victimes de la Shoah, la cellule Démocratie ou barbarie du Ministère

de la Fédération Wallonie-Bruxelles propose une journée de réflexion consacrée aux génocides face au négationnisme et au révisionnisme.

Cette journée qui se déroulera le 25 janvier, comportera trois parties :

une mise en contexte juridique et historique qui étudiera les concepts et leur évolution, la législation en vigueur en Belgique et dans les pays voisins un panel composé d’experts en contact avec le monde de l’enseignement qui pourront proposer ou évoquer des exemples concrets de situations ou de propos soit qu’ils ont vécus eux-mêmes, soit qui leur ont été rapportés par des acteurs de terrain (enseignants, éducateurs…) Durant ce panel, on tentera de décoder le discours et les pratiques des révisionnistes et négationnistes.

La troisième partie se déroulera sous forme d’ateliers où les participants feront part de leurs expériences et où leur seront proposés des exemples de pistes de réponses et de bonnes pratiques.

Programme de la journée d’étude du 25 janvier

09:00 – 09:15 Introduction de la journée.

09:15 – 09:45 Les législations en vigueur en Belgique et en Europe. Eric David, Professeur émérite de droit international, Président du Centre de droit international de l’ULB.

09:45 – 10:15: La Shoah : négationnisme, révisionnisme. Laurence Schram, Docteur en histoire.

10:15 – 10:45: Le génocide des Arméniens et le génocide des Tutsi face au négationnisme. Yves Ternon, Docteur en histoire, Paris IV-Sorbonne; HDR, Université Paul Valéry, Montpellier.

10:45 – 11:00: Questions – réponses

11:00 – 11:15: Pause café

11:15 – 12:30: Panel d’experts composé de représentants de nos Centres Ressources, Dogan Özgüden, Elias Constas.

12:30 – 12:45: Questions – réponses

12:45 – 14:00: Lunch

14:00 – 15:30: Ateliers, partage d’expériences

15:30 – 16:00: Mise en commun

Lieu : Salle Wallonie-Bruxelles (6A 101) au Ministère de la Fédération Wallonie-Bruxelles : Boulevard Léopold II, 44 - 1080 Bruxelles

Le nombre de participants étant limité, il est obligatoire de s’inscrire individuellement par courriel uniquement sur [email protected] avant le 18 janvier 2016, en précisant : nom, établissement et fonction exercée dans celui-ci.

La cellule de coordination Démocratie ou barbarie se tient à votre disposition pour toute information complémentaire concernant cette journée.

http://www.info-turk.be

http://www.collectifvan.org/article.php?r=5&id=92867

Agenda - Ivry sur Seine : "Sur ma colline. Rwanda, mais avant? Et puis après"Agenda - Ivry sur Seine : "Sur ma colline. Rwanda, mais avant? Et puis après" - Collectif VAN - www.collectifvan.org - Cie Vivantes, Itinérances asbl et Appui Rwanda sont heureux de vous présenter : Sur ma colline. Rwanda, mais avant? Et puis après. Pièce de Souâd Belhaddad suivie d’un débat dans le cadre de Semaine de la mémoire, le mercredi 27 janvier 2016 à 19h00. (Auditorium - Médiathèque d'Ivry 152 av Danièle Casanova 94200 Ivry sur Seine). Entrée libre dans la limite des places disponibles.

Ibuka France

Cie Vivantes, Itinérances asbl et Appui Rwanda sont heureux de vous présenter :

Sur ma colline. Rwanda, mais avant? Et puis après.

Pièce de Souâd Belhaddad

suivie d’un débat dans le cadre de Semaine de la mémoire, le mercredi 27 janvier 2016 à 19h00

RESUME SPECTACLE:

Esther, rescapée du génocide des Tutsi, dans sa cuisine de Bruxelles, attend la venue de ses filles dont la dernière va fêter ses 20 ans. « Tu as

l’âge du génocide, ma mie… » dit sa mère. Moment de grande joie pour cette famille qui aime rire, danser lors de ces retrouvailles. Et bien sûr, intense moment de souvenir et de retour à la vie d’avant le génocide, et puis après…

Esther prépare donc un gâteau pour cet événement.

Ce texte, qui a obtenu l’aide à la création du CNT (Centre national du Théâtre), relate le parcours personnel de ce personnage et invite, entre lucidité et poésie, à un voyage dans un Rwanda ancestral et moderne à la fois d’avant 1994 où rites, traditions, croyances reliaient les uns aux autres. Dans un contexte de discriminations.

Mêlant récit, danse, musique, Sur ma colline est une grande leçon d’humanité. Résolument du côté de l’amour, de la vie – «Je veux être vivante vivante, pas survivante» dit Esther – il est aussi un magnifique combat contre la haine.

Texte et mise en scène : Souâd Belhaddad Avec : Aurore Déon et Souâd Belhaddad Assistante mise en scène : Marine Pédeboscq Regard Dramaturgique : Marie-Christine Mazzola Régie : Sylvain Debeil Création lumière : Nicolas Oubraham Montage sonore : Leny Vinceslas Voix : Rachid Seffouh, Marine Pédeboscq, Souâd Belhaddad Administration/Production : Juliette Décarsin et Nabila Belkacem

www.cievivantes.com Aide à la création du CNT

DEBAT :

Avec Souâd Belhaddad, auteure & metteuse en scène, Aurore Déon, comédienne & Marie-Odile Godard, psychanalyste, maître de conférences Initiative proposée par l’association Appui Rwanda.

Auditorium - Médiathèque d'Ivry 152 av Danièle Casanova 94200 Ivry sur Seine

Entrée libre dans la limite des places disponibles.

Dans le cadre de la Semaine de la mémoire du génocide des juifs et des tziganes, pour la prévention des crimes contre l’humanité, pour la lutte contre le racisme et l’intolérance

http://www.ibuka-france.org

http://www.collectifvan.org/article.php?r=5&id=92875

Agenda - "Voyage Musical Paris-Erevan" à la Mairie du 3ème arrondissementAgenda - "Voyage Musical Paris-Erevan" à la Mairie du 3ème arrondissement - Collectif VAN - www.collectifvan.org - Un "Voyage Musical Paris-Erevan" est organisé le jeudi 28 janvier 2016 à 19h30 à la Mairie du 3ème arrondissement, avec un récital d'Adam Barro, baryton-basse et Anne Quéré au piano. On vous propose aussi une conférence d'Emmanuel Garcia intitulée "Le génocide des Arméniens, Un crime presque parfait 1915-2015", suivie d'une séance de dédicaces en présence de Guillaume Perrier (Le Fantôme Arménien), Isabelle Kévorkian (Les enfants rouges) et Adam Barro (Chants sacrés Arméniens).

Publié le 10 janvier 2016

"Voyage Musical Paris-Erevan"

jeudi 28 janvier 2016 à 19h30 à la Mairie du 3ème arrondissement

2 Rue Eugène Spuller, 75003 Paris, France

Récital

Adam Barro, baryton-basse Anne Quéré, piano

Conférence

Emmanuel Garcia

"Le génocide des Arméniens, Un crime presque parfait 1915-2015"

Séance de dédicaces

Le Fantôme Arménien - Guillaume Perrier, Les enfants rouges - Isabelle Kévorkian Chants sacrés Arméniens - Adam Barro

http://www.collectifvan.org/article.php?r=5&id=92879

Agenda - Table-ronde : L'an I après le Centenaire du génocide arménienAgenda - Table-ronde : L'an I après le Centenaire du génocide arménien - Collectif VAN - www.collectifvan.org - Une table ronde autour du thème : "La première année après le Centenaire du génocide des Arméniens" est organisée le samedi 30 janvier à 15h00 par l’Association Sainte-Croix des Arméniens Catholiques au Centre Culturel Saint Mesrob à Paris avec Raymond Kevorkian, Vahag’n Atabekyan, T.R.P. Joseph Kelekian, Ara Krikorian, Gaïdz Minassian animé par Gorune Aprikian. Entrée libre - Cocktail (10 bis rue Thouin - 75005 Paris, Metro : Cardinal Lemoine ou Monge, RER B : Luxembourg).

Publié le 18 janvier 2016

Organisé par l’Association Sainte-Croix des Arméniens Catholiques

au Centre Culturel Saint Mesrob à Paris

Samedi 30 janvier à 15h00

Table ronde - débat

autour du thème

La Première Année Après le Centenaire du génocide des Arméniens

avec

Raymond KEVORKIAN Vahag'n ATABEKYAN T.R.P. Joseph KELEKIAN Ara KRIKORIAN Gaïdz MINASSIAN

animé par Gorune APRIKIAN

10 bis rue Thouin - 75005 Paris Metro : Cardinal Lemoine ou Monge

RER B : Luxembourg Entrée libre - Cocktail

http://www.collectifvan.org/article.php?r=5&id=92878

Agenda - Université populaire du CM98 : Traites, esclavages, révolutions, émancipations

Agenda - Université populaire du CM98 : Traites, esclavages, révolutions, émancipations - Collectif VAN - www.collectifvan.org - L'Association CM98 vous invite à participer, d'octobre 2015 à février 2016, à l'une ou plusieurs des séances du module Histoire de l'Université populaire du CM98, traites, esclavages, révolutions, émancipations. L'objectif de ce module est de diffuser auprès de tous les publics les connaissances les plus pointues et les plus récentes concernant les différentes formes d'esclavage et de lutte contre celles-ci au cours de l'histoire. Les cours sont assurés par des enseignants-chercheurs de l'Université Paris 1-Panthéon-Sorbonne et coordonnés par l'Institut d'Histoire de la Révolution Française (IHRF, CNRS, Université Paris 1-Panthéon-Sorbonne).

Publié le 9 octobre 2015

Programme du Module Histoire de l'Université populaire du CM98, Traites, esclavages, révolutions, émancipations

Samedi 13 février 2015 de 15h à 17h : « L’esclavage dans l’empire byzantin », par Michel Kaplan, Professeur des Universités en histoire de l’Orient médiéval à l’université Paris 1 Panthéon-Sorbonne. Samedi 19 mars 2015 de 15h à 17h : « Esclavage et captivité en Méditerranée à l'époque moderne », par Guillaume Calafat, maître de conférences en histoire moderne à l’université Paris 1 Panthéon-Sorbonne.

Lieu des cours : amphithéâtre Richelieu (Sorbonne), Université Paris 1 Panthéon–Sorbonne, 17 rue de la Sorbonne, 75005 Paris. RER B, station Luxembourg ou Saint-Michel, métro Cluny-La Sorbonne.

Public concerne : Tous publics.

Critères d'admission : Pas d’âge requis, pas de niveau d’étude exigé.

Pas d’inscription. Accès libre.

secré[email protected] http://ihrf.univ-paris1.fr

http://www.collectifvan.org/article.php?r=0&id=92038

Agenda - Toulouse: Exposition sur "Le génocide des Arméniens"

Agenda - Toulouse: Exposition sur "Le génocide des Arméniens" - Collectif VAN - www.collectifvan.org - L'exposition sur "Le génocide des Arméniens" réalisée par l'association ARAM et présentée dans la cour du Conseil départemental de la Haute-Garonne depuis le 19 septembre se poursuit jusqu'au jusqu'au 31 janvier 2016 (du lundi au vendredi, de 8h à 19h).

Publié le 24 novembre 2015

L'exposition sur "Le génocide des Arméniens"

Réalisée par l'association ARAM et présentée dans la cour du Conseil départemental de la Haute-Garonne

depuis le 19 septembre se poursuit jusqu'au 31 janvier 2016 (du lundi au vendredi, de 8h à 19h).

L’exposition « Le génocide des Arméniens », réalisée par l’association ARAM (Atelier pour la Recherche et l’Archivage de la Mémoire Arménienne) basée à Marseille, présente l’histoire du génocide des Arméniens de 1894 à 1923 et décrit les différentes étapes et phases de sa mise en œuvre par les responsables du gouvernement jeunes-turcs. Il décrit aussi l’exode et l’immigration notamment en France, à partir des années 1920, avec les sans-papiers de l’époque et le témoignage de personnalités telles que Henri Verneuil… L’exposition est élaborée autour d’un parcours historique avec des reproductions de documents originaux et de photographies légendées, issus du fonds documentaire de l’association.

1, Boulevard de la Marquette 31000 Toulouse Metro B : Canal du Midi

Des visites pour des scolaires sont organisées chaque jeudi matin par le Musée départemental de la résistance et de la déportation ainsi que des visites pour le personnel du Conseil départemental ou sur demande, pour

des groupes préconstitués.

http://www.collectifvan.org/article.php?r=5&id=92577

Agenda - Appel à communication : Colloque à Erevan sur "L'après-génocide" en mai 2016Agenda - Appel à communication : Colloque à Erevan sur "L'après-génocide" en mai 2016 - Collectif VAN - www.collectifvan.org - Un appel à communication est lancé pour le colloque "l'Après-génocide - trauma, transmission et réinventions : la perspective du genre" qui se tiendra à Erevan les 21-22-23 mai 2016 à l'initiative de Women in War en partenariat avec l'Institut d'archéologie et d'ethnographie de Erevan.

publié le 3 décembre 2015

Women In War

Appel à communication

L'après-génocide

Trauma transmission et réinventions : la perspective du genre Colloque à Erevan, 21-22-23 mai 2016

organisé par Women in War, Association Loi 1901 en partenariat avec l'Institut d'archéologie et d'ethnographie à Erevan

Ce colloque international rassemblera des chercheur.e.s multidisciplinaires qui travaillent sur les conséquences et séquelles des génocides

Nous nous fonderons sur la définition formulée par la Convention pour la prévention et la répression du crime de génocide des Nations Unies adoptée le 9 décembre 1948.

Article II

Dans la présente Convention, le génocide s'entend de quelconque des actes ci-après, commis dans l'intention de détruire, ou tout ou en partie, un groupe national, ethnique, racial ou religieux, comme tel : à Meurtre de membres du groupe ; b) Atteinte grave à l'intégrité physique ou mentale de membres du groupe ; c) Soumission intentionnelle du groupe à des conditions d'existence

devant entraîner sa destruction physique totale ou partielle ; d) Mesures visant à entraver les naissances au sein du groupe ; e) Transfert forcé d'enfants du groupe à un autre groupe.

Allant plus loin que les conférences précédentes sur cette thématique, cet événement se concentre sur les effets et répercussions genrés tant personnels que politiques de tout génocide, pour répertorier ce que partagent les générations qui grandissent à l'ombre de traumas souvent indicibles.

Féministes actives, historiens, sociologues, anthropologues, psychologues, psychiatres, militants de la mémoire, juristes devront confronter leurs expériences et leurs recherches : l'intersection de leurs travaux apportera une dimension unique à ce colloque

Des génocides et des massacres à visée génocidaire formeront le point de départ des réflexions. Nous prendrons en compte des propositions qui recouvrent des aires géographiques et historiques différentes y compris, mais non exclusivement le génocide arménien, la Shoah, le Cambodge, la Bosnie ; le Rwanda, le Liberia, le Darfur, les Hereros en Namibie, les massacres survenus à la suite de la colonisation du continent américain, africain et australien.

Les sujet des propositions pourront recouvrir les thèmes suivants, d'autres sont possibles, y compris une analyse genrée des massacres en cours ou récents.

Le génocide à l'aune du genre et de la sexualité

- Réflexions féministes sur le(s) génocide(s)

- Réflexions queers sur le(s) génocide(s)

- Violences sexospécifiques au cœur des génocides

- La reconstitution d'une identité sociale genrée après un viol durant ou après un génocide

- Les enfants du viol

- La honte, le rejet, la réinsertion et l'impossible réinsertion

L'après génocide

- La mémoire traumatique et la résilience dans la reconstruction d'une identité sexuée - Traumatisme transgénérationnel après le génocide, chez les descendant.es des victimes

- Culpabilité trangénérationnelle des descendant.es des responsables de

crimes

Secrets de famille

- Grandir à l'ombrer d'un génocide : les formes multiples du non-dit

- La révélation des secrets de familles : quand une identité cachée est dévoilée

- Quand meurent les derniers témoins : la construction de la mémoire familiale

Les massacres "oubliés" et négligés,la dimension du genre : les tribus autochtones dans le processus de colonisation d'Amérique du Nord et du Sud, l'État Libre du Congo, l'Australie, l'Inquisition espagnole entre autres.

Écriture et réécriture du génocide et transmission les pratiques culturelles à travers des pratiques genrées

- Langage, le souvenir des mots, berceuses, comptines

- L'aire domestique : façon de faire, cuisine, espace intérieur, pratiques corporelles.

- Littérature féminine

- Les formes que prend la transmission d'une identité de victime

- Un génocide peut-il être considéré comme étant terminé ?

- Le rôle de la prise de conscience et l'éducation dans l'évitement de génocides futurs, la place des femmes dans le récit historique.

Le génocide dans la réflexion politique et juridique

- La reconnaissance d'un génocide et le prix politique de l'autocensure et du négationnisme - Le génocide en droit international : les réparations des crimes commis contre les femmes

- La dimension du genre dans les interventions humanitaires dans la période post-génocide

- L'expérience de génocide comme revendication politique et nationale : la place du genre dans les traditions instrumentalisées.

Langues et traduction simultanée : anglais, français, arménien Envoyer les propositions avant le 30 décembre avec une bio

succincte Prière de mettre votre nom dans le 'sujet' du mail [email protected] Une réponse sera envoyée avant le 1er février 2016

Ce colloque est organisé 'Women in War', une association Loi 1901, fondée et dirigée par la sociologue Carol Mann, et destinée à la réflexion sur tous les aspects du genre dans les conflits armés. L'association a été fondée à Paris en 2008, par des universitaires féministes d'horizons différents, unies par leur engagement contre les injustices faites aux femmes dans toute guerre. Deux antennes existent, l'une à Sarajevo (dirigée par Nermina Trbonja), l'autre à Beyrouth (Yeghia Tashjian).Nona Shanazarian est la responsable à Erevan, assistée par Hasmik Grigorian

L'association rassemble et réunit des chercheur.es partout dans le monde qui travaillent sur le genre et les questions de conflits armés tant historiques qu'actuels, à travers des séminaires mensuels en ligne, des projets de publication et des conférences annuelles dans les zones de guerre.

De 2014 à 2018, l'association 'Women in War' organise chaque année de grandes conférences internationales pour commémorer le rôle joué par les femmes dans la Première Guerre mondiale. Chaque événement se déroule dans un lieu emblématique, en partenariat avec une université locale importante : Sarajevo (avec l'Université de Sarajevo), Beyrouth (avec la LAU) et pour 2016, l'Institut d'archéologie et d'ethnographie d’Erevan.

www.womeninwar.org

Carol Mann Ph.D Women In War Think Tank for Gender and Armed Conflict www.womeninwar.org Facebook: Women in War [email protected] blog:cmann.net

http://www.collectifvan.org/article.php?r=5&id=92660

Agenda - Parution "La Goutte de miel" : Éduquer les plus petits à résister aux conflitsAgenda - Parution "La Goutte de miel" : Éduquer les plus petits à résister aux conflits - Collectif VAN - www.collectifvan.org - Les Éditions Cipango ont publié en novembre 2015 "La Goutte de miel", un conte philosophique arménien du poète Hovhannès

Toumanian, adapté en vers et illustré par Séta Papazian. La Goutte de miel met en scène une simple goutte de miel qui se trouve à l’origine de conflits de plus en plus larges… « Pour une goutte de miel, une de trop, Les hommes se montrèrent fort sots...» Cette métaphore de l’absurdité de la guerre se conclut par un message de paix et fait prendre conscience aux plus petits de la bêtise des conflits.

La précédente édition était parue aux Éditions Parenthèses en 1980 et avait été récompensée en 1982 par une Médaille d’argent à l’Exposition Internationale du Livre d’Art de Leipzig. Ce conte illustré avait également rencontré un vif succès dans les établissements scolaires où il était étudié, tant pour ses qualités littéraires et artistiques que pour le message plein de sagesse qu'il véhiculait. 35 ans après, cette réédition réussie démontre que les qualités de l'ouvrage sont plus que jamais d'actualité.

Le livre se termine par une biographie de Toumanian et le conte d’origine en arménien.

Paru en novembre 2015, année du Centenaire du génocide arménien, cet ouvrage comporte une forte charge symbolique pour une artiste engagée qui envisage la transmission de son héritage culturel comme un acte de résistance. En effet, l'auteur-illustratrice, Séta Papazian, milite depuis toujours pour la défense des droits de l’homme et contre la négation des génocides. Elle préside depuis 2004 l’association Collectif VAN [Vigilance Arménienne contre le Négationnisme] – www.collectifvan.org

Presse :

"La qualité des illustrations, le message engagé véhiculé - essentiel en ces temps politiques troubles - ainsi que la traduction réussie de la versification font de cet album un petit bijou." (Nouvelles d'Arménie Magazine - n°225 - janvier 2016).

"Précipitez-vous pour (re)découvrir ce conte philosophique, rédigé en vers, illustré par l'auteure elle-même". (France-Arménie - n°426 - janvier 2016).

La goutte de miel

Textes et illustrations : Séta Papazian d’après le conte arménien du poète Hovhannès Toumanian

Fiche technique :

Format 24 x 24 cm 32 pages Couverture cartonnée Prix 15 euros

ISBN : 979-10-95456-01-8

En librairie depuis le 17 novembre 2015

La Goutte de Miel est en vente chez votre libraire (Librairie Samuélian, 51, rue Monsieur Le Prince, 75006 Paris : téléphoner au 01 43 26 88 65 pour s'assurer des heures d'ouverture, généralement l'après-midi).

Votre libraire peut commander La Goutte de miel auprès du distributeur DAUDIN.

Le livre est également en vente sur de nombreux réseaux de vente en ligne, tels ceux de Décitre, de la Fnac, d'Amazon :

http://www.decitre.fr/livres/la-goutte-de-miel-9791095456018.html

http://livre.fnac.com/a9189339/Seta-Papazian-La-goutte-de-miel

http://www.amazon.fr/La-goutte-miel-Seta-Papazian/dp/B015F8LZCI

Site des Éditions Cipango www.editions-cipango.com

Bibliographie de Séta Papazian

En tant qu’illustratrice et auteure :

• L’Alphabet arménien Ouvrage à colorier, accompagné de 38 proverbes arméniens (Éditions La Noria, 1977 – Réédité aux Éditions Entente, 1989)

• La goutte de miel, d’après un conte de Hovhannès Toumanian Ouvrage récompensé d’une Médaille d’Argent à la Foire Internationale du Livre de Leipzig en 1982 (Éditions Parenthèses, 1980)

En tant qu’illustratrice :

• Grégoire, Collection « Un prénom, un saint » (Éditions Fleurus, 1990)

• La Reine Anahide

(auteur Hugues Beaujard, d’après un conte de Ghazaros Aghayan, Editions du Bonhomme Vert, 2007).

http://www.collectifvan.org/article.php?r=0&id=92933

Agenda - Les DVD du film "Les chemins arides" sont arrivésAgenda - Les DVD du film "Les chemins arides" sont arrivés - Collectif VAN - www.collectifvan.org - Les DVD du film "Les chemins arides" sont arrivés. Synopsis : Arnaud Khayadjanian entame un périple en Turquie, sur la terre de ses ancêtres, rescapés du génocide arménien. À partir d’un tableau, de ses rencontres et de témoignages familiaux, il explore la situation méconnue des Justes, ces anonymes qui ont sauvé des vies en 1915… Pour commander, c'est facile, envoyez un mail à : arnaudkhayadjanian [at] gmail.com (12€ remise en main propre à Paris/Valence, ou 15€ frais de ports inclus)

Publié le 02 octobre 2015

DVD du film "Les chemins arides" de Arnaud Khayadjanian

Pour commander c'est facile, envoyez un mail à : [email protected] (12€ remise en main propre à Paris/Valence, 15€ frais de ports inclus)

Lire aussi :

Les chemins arides, un film d’Arnaud Khayadjanian : critique http://www.collectifvan.org/article.php?r=4&id=91061

http://www.collectifvan.org/article.php?r=4&id=91849

Agenda - Parution : La France & l'imprescriptibilité des crimes internationauxAgenda - Parution : La France & l'imprescriptibilité des crimes internationaux - www.collectifvan.org - Les Editions Pedonne ont le plaisir de présenter l’ouvrage de Philippe (Raffi) Kalfayan au 7e salon du livre juridique qui se tient au Conseil Constitutionnel à Paris, ce samedi 10 octobre de 10h à 18h.

Publié le 9 octobre 2015

Au salon du livre juridique au Conseil Constitutionnel ce samedi 10 octobre

La France & l'imprescriptibilité des crimes internationaux

Avant propos de WilliAm Bourdon Préface de Mathias Forteau

Les crimes contre l’humanité et les crimes de guerre sont-ils imprescriptibles ? L’opinion commune le pense sans doute. Pourtant, ce que certains pensent constituer une évidence n’est pas nécessairement acquis dans le droit international contemporain.

La France n’a ratifié aucune des deux conventions, internationale et régionale, prévoyant cette imprescriptibilité car elle refuse d’étendre celle-ci aux crimes de guerre. La France s’est ainsi forgée depuis plus de cinquante ans une véritable « doctrine » nationale qui réserve cette règle aux seuls crimes contre l’humanité.

Le présent ouvrage analyse de manière objective les fondements substantiels de cette doctrine sur le terrain juridique, en mettant en lumière les motifs politiques qui se cachent derrière elle. Il passe en particulier les arguments de cette doctrine au crible des traités et conventions en vigueur, de la pratique des États en la matière et de la pratique des tribunaux en relation avec l’imprescriptibilité des crimes internationaux.

Le Parlement français est appelé à l’automne 2015 à débattre une nouvelle fois de la question : la règle de l’imprescriptibilité doit-elle s’appliquer aux crimes de guerre en droit interne ? La présente monographie fournit à cet égard de nombreux outils d’évaluation et arguments pour se faire une opinion sur une question qui reste pleinement d’actualité, en france comme dans d’autres pays.

Philippe Kalafyan est juriste internationaliste, chercheur au CRDH (Paris II Panthéon-Assas), et ancien secrétaire général de la Fédération Internationale des Droits de l’Homme (FIDH).

ISBN 978-2-233-00775-9 24 €

Editions Pedone 13 rue Soufflot

http://www.collectifvan.org/article.php?r=0&id=92039

Agenda - Parution : "Van 1915, Les grands événements du Vaspourakan"Agenda - Parution : "Van 1915, Les grands événements du Vaspourakan" - Collectif VAN - www.collectifvan.org - En cette année symbolique du centenaire du génocide arménien, la Société Bibliophilique Ani publie la première traduction en français du récit de Hovhannès Ter Martirossian, dit A-Do, témoin privilégié de la résistance arménienne à Van en 1915 et des massacres perpétrés par le gouvernement turc dans cette province arménienne du Vaspourakan. L'ouvrage bénéficie jusqu'au 30 octobre 2015 d'une offre de souscription au tarif privilégié de 48€ au lieu de 62€. Parution prévue en novembre 2015.

Publié le 2 octobre 2015

Parution

Van 1915, Les grands événements du Vaspourakan

A-Do (Hovhannès Ter Martirossian)

Parution prévue en novembre 2015. Présenté par Jean-Pierre Kibarian

QUI EST A-DO ?

Né à Nor-Bayazid en Arménie russe en 1867, Hovhannès Ter Martirossian, dit A-Do, est le troisième d’une fratrie de huit enfants. La publication d’une brochure contre le gouvernement tsariste le mènera en prison. Il publie son premier livre important en 1912 dans lequel il présente un état des lieux des provinces habitées par les Arméniens dans l'Arménie historique.

Amoureux de son peuple, il livre à travers son second ouvrage Les événements importants du Vaspourakan en 1914-1915 un témoignage de première main sur le mécanisme génocidaire des Turcs à l’encontre des Arméniens. Père de deux filles, il meurt en 1954 à Erevan.

Quand A-Do, se rend à Van en 1915, il sait que l’une des pages les plus tragiques de l’Histoire est en train de s’écrire dans cette partie de l’Empire ottoman. Observateur judicieux et perspicace, il devient le témoin oculaire

de la résistance héroïque menée par les Arméniens durant trois semaines dans la ville assiégée de Van. De retour à Erevan, il décide de publier son témoignage afin de décrire comment une poignée d’hommes et de femmes se sont défendus corps et âme face à la barbarie turque et kurde, avec pour devise : « Mieux vaut connaître dix jours de liberté avant la mort que de mourir esclave. »

C’est en 1917 à Erevan que sera édité pour la première fois le livre Van 1915, les grands événements du Vaspourakan. Témoin privilégié, A-Do y raconte comment 1 300 combattants arméniens insuffisamment armés, encerclés à l’intérieur de la citadelle et dans l’Ayguestan, ont tenu tête, jour et nuit, sous le feu incessant des canons, à 12 000 soldats turcs entraînés et épaulés par plusieurs bataillons de miliciens, de Tcherkesses et de Kurdes. À travers ses témoignages riches et détaillés, il explique comment le docile raya arménien a fini par prendre les armes à Van et dans d’autres localités du Vaspourakan afin de résister aux exactions inouïes et impunies commises sur la population arménienne.

Dans ce récit, A-Do rapporte aussi, avec un rare esprit analytique, les événements tragiques et génocidaires de 1915 qui se déroulent dans cette région appelée Arménie occidentale et située à l’est de la Turquie actuelle. À l’aide de tableaux statistiques précis, il démontre comment le gouvernement turc profita de l’opportunité de la Première Guerre mondiale pour perpétrer ces massacres dans la province arménienne du Vaspourakan.

Écrit à l’origine en arménien, le livre d’A-Do est pour la première fois intégralement traduit en français et édité par la Société Bibliophilique Ani qui souhaitait, ainsi, donner au plus grand nombre accès à ce récit majeur. Un ensemble de 8 cartes très détaillées appartenant au livre d’origine, complète utilement la lecture et la compréhension de l’ouvrage. Une nouvelle carte du vilayet de Van a été ajoutée à l’ensemble ainsi que 6 croquis annexes réalisés en 1926 par le commandant Larcher. Les photographies de l'édition originale n'ayant pu être reproduites, du fait de leur mauvaise qualité, celles-ci ont été avantageusement remplacées par près d’une centaine de photographies de la même période émanant de plusieurs fonds, résultat d’une recherche iconographique active.

En cette année symbolique du centième anniversaire du génocide, la Société Bibliophilique Ani apporte ainsi, à sa manière, une contribution supplémentaire à la compréhension de l’histoire du génocide des Arméniens qui reste, encore à ce jour, nié par la Turquie.

Témoin privilégié des événements de 1915, A-Do raconte dans ce livre comment une poignée d’hommes et de femmes se sont défendus corps et âme face à l’armée turque secondée par les bouchers tchété et kurdes. Les autorités turques, aveuglées par la haine de l’élément arménien, se sont empressées de parler de traîtrise, oubliant les 120 000 Arméniens mobilisés dans l’armée ottomane et presque tous liquidés par ce même gouvernement. Ces événements seront aussi pour eux le prétexte idéal

pour commettre le premier génocide du XXe siècle. Ce récit, traduit pour la première fois en français, est le tout premier témoignage dont la valeur documentaire est telle qu’il a été repris par de nombreux auteurs renommés.

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Beau livre relié

- 400 pages, - Format 210 mm x 270 mm - Richement illustré de photographies d’époque comprenant - Une biographie de l’auteur - Des notes explicatives - Des annexes - Un index - 9 cartes reproduites et translittérées en français dont 4 cartes en couleurs hors-texte dépliantes Parution prévue en novembre 2015 au prix public de 62 €

Pour tout renseignement complémentaire, merci de vous adresser à :

Société Bibliophilique Ani 163, rue du Faubourg Saint-Antoine 75011 PARIS [email protected] Association loi de 1901 à but non lucratif

OFFRE SPÉCIALE DE SOUSCRIPTION Valable jusqu’au 30 octobre 2015 au prix de 48 € au lieu de 62 € Pour toute expédition, prévoir un supplément de 11€ par exemplaire commandé pour frais d’emballage et d’envoi par Colissimo.

Télécharger le bon de souscription en pdf ci-dessous

TÉLÉCHARGER :  Bon de souscription http://www.collectifvan.org/pdf/08-49-30-2-10-

15.pdf

http://www.collectifvan.org/article.php?r=0&id=91835

DOSSIERS PERMANENTS

Observatoire du Négationnisme du Collectif VANRécapitulatif des principaux faits et articles négationnistes relevés depuis 2006.

SOMMAIRE : http://www.collectifvan.org/article.php?id=21105

EphéméridesLa rubrique "Ephéméride" du Collectif VAN a été lancée le 6 décembre 2010. Elle recense la liste d’événements survenus à une date donnée, à différentes époques de l’Histoire, sur les thématiques que l’association suit au quotidien. L’éphéméride du Collectif VAN repose sur des informations en ligne sur de nombreux sites (les sources sont spécifiées sous chaque entrée).

Les éphémérides du Collectif VAN (1ère partie)

Les éphémérides du Collectif VAN (2ème partie)

SITES INTERESSANTSVisitez notre page de liens : http://www.collectifvan.org/liens.php?r=7

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MEDIAS

Quelques émissions TV & radios où les citoyens peuvent intervenir

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Internet : www.m6.fr

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"On n'est pas couché"Chaque samedi soir, en deuxième partie de soirée, retrouvez Laurent Ruquier entouré de Natacha Polony et Aymeric Caron. Vous voulez donner votre avis ? Contactez l'émission au 01 41 11 11 11 On n'est pas couchéParticipez au débat sur le Forum.

Ce soir (ou jamais !) de Frédéric Taddéï. Tous les vendredis, en direct à 22h30 Participez au débat sur le Forum.

Mots croisés avec Yves Calvi Tous les lundis, en deuxième partie de soirée, Mots croisés provoque et nourrit le débat citoyen avec ceux qui font l’actualité. Une fois l'émission terminée, continuez le débat sur le Forum.

Quelques émissions Radio :

Europe 1www.europe1.frSemaine de 10h30 à 12h00 Jean-Marc Morandini Coup de pied dans le PAF chaque matin : Jean-Marc Morandini nous dit tout sur le monde du petit écran au travers de reportages et d’enquêtes dans les coulisses de la télé. Egalement en studio chaque matin, une star du petit écran ou un patron de chaîne répondra aux questions de Jean-Marc Morandini et des auditeurs. A découvrir aussi, le zapping de la télé de la veille et les commentaires des auditeurs qui donnent leurs coups de cœur et leurs coups de gueule sur le répondeur de l’émission au 01 42 32 42 32 ou en direct au 01 42 32 15 15.

RTLwww.rtl.fr

En semaine de 13h00 à 14h00 Pierre-Marie Christin"Les auditeurs ont la parole" Pierre-Marie Christin présente de 13h00 à 14h00, “Les Auditeurs ont la Parole”. Réagissez à l'actualité par téléphone (32 10) ou sur internet. Entre 10H et 14H, une standardiste prend votre témoignage. Avant 10H et après 14H, vous pouvez laisser vos messages sur le répondeur, sans oublier de laisser vos coordonnées téléphoniques si vous voulez participer à l'émission.

France Interwww.radiofrance.fr

Le téléphone sonne En semaine de 19h20 à 20h00Si vous voulez poser une question, témoigner et/ou intervenir à l'antenne... - le téléphone 01.45.24.70.00 dès 17h - Internet, en utilisant le formulaire de la page "Pour intervenir". - le SMS+ pour réagir pendant l'émission, de 19h20 à 20h : sur votre téléphone mobile, saisir le code " TEL " suivi d'un espace, votre question puis valider et envoyer au 6 20 30. (0.35€ par message plus le prix du sms) Le lundi, mardi, jeudi et vendredi à 19h20, nous vous invitons à réagir sur un thème de l'actualité, à poser vos questions aux invités du téléphone sonne. Vous pouvez également, après la diffusion, réécouter l'émission dans son intégralité.

Là-bas si j'y suisEn semaine, à 15h Exprimez-vous sur le répondeur de « Là-bas si j’y suis » : 01 56 40 37 37 ou par mail : [email protected].

RMCwww.rmcinfo.fr

BOURDIN & Co Le 1er show radio d'info Du lundi au vendredi de 6h à 10h. Découvrez une nouvelle façon de traiter l'info du matin avec "Bourdin &Co" ! Finis les journaux austères et redondants. Voilà enfin un espace de liberté où auditeurs, politiques et journalistes sont logés à la même enseigne. Jean-Jacques Bourdin agite, provoque, polémique, et vos réactions ne se font jamais attendre! Un ton débridé et sincère pour des échanges parfois musclés mais toujours respectueux. Pour intervenir : Appelez le 3216 (0,34€/min).

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L'association des auditeurs de France Culture

L'association des Auditeurs de France Culture (aafc), créée en 1984,

rassemble les personnes qui veulent manifester leur intérêt pour cette chaîne de radio dont les émissions sont écoutées et appréciées au delà de nos frontières.

L'objet de l'association est de regrouper les auditeurs de France Culture pour favoriser des rencontres et coordonner les actions visant à :

- l'évolution de la chaîne dans le maintien de sa qualité ;

- la préservation de son identité et de sa spécificité ;

- l'amélioration de sa technique et de son confort d'écoute ;

- son ouverture aux différents aspects de la culture ;

- son rayonnement et développement de son influence ;

- sa pérennité.

L'Association se déclare attachée au caractère de service public de France Culture et ne saurait en aucun cas se substituer à lui. Elle se veut pluraliste et indépendante de tout engagement politique, confessionnel, syndical et philosophique.

Association des auditeurs de France Culture 83 boulevard Beaumarchais 75003 Paris Téléphone : 01 42 09 03 67 Courriel : [email protected]

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Collectif VAN[Vigilance Arménienne contre le Négationnisme]

BP 20083, 92133 Issy-les-Moulineaux - France Boîte vocale : +33 1 77 62 70 77 - Email: [email protected]

http://www.collectifvan.org

Les Infos Collectif VAN sur :http://www.collectifvan.org/rubrique.php?page=1&r=0