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mars vu par la Sauce du Casino PROGRAMME SPARTACUS ET CASSANDRA vendredi 6 et dimanche 8 à 21h lundi 9 et mardi 10 à 18h « Charlot Patine » et « L’Emigrant » le 27 à 9h30 et 14h HOWARD ZINN en présence de Daniel Mermet et Olivier Azam le 27 à 21h LES CHEVRES DE MA MERE le 28 à 11h avec la confédération paysanne rencontre avec DANIEL MERMET : débat sur l’Indépendance des Médias le 27 à 15h Concert Duo Isabelle Bagur et Blandine Boyer le 27 à 17h LES PETITES MARGUERITES le 28 mars 18h avec un Intervenant cinémathèque BIEN DE CHEZ NOUS le 28 à 21h en présence du réalisateur Assemblée générale le 29 à 11h LOUISE le 29 à 15h en avant première et en présence du réalisateur Rétrovision : CHANTAGE le 29 à 18h ciné concert de Gael Mevel

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marsvu par la Sauce du Casino

programme

SpartacuS et caSSandra vendredi 6 et dimanche 8 à 21h lundi 9 et mardi 10 à 18h « charlot patine » et « L’emigrant » le 27 à 9h30 et 14h HOWard ZInn en présence de daniel Mermet et Olivier azam le 27 à 21h LeS cHeVreS de Ma Mere le 28 à 11h avec la confédération paysanne rencontre avec Daniel MerMet : débat sur l’Indépendance des Médias le 27 à 15h concert duo Isabelle Bagur et Blandine Boyer le 27 à 17h LeS petIteS MarGuerIteS le 28 mars 18h avec un Intervenant cinémathèque BIen de cHeZ nOuS le 28 à 21h en présence du réalisateur assemblée générale le 29 à 11h LOuISe le 29 à 15h en avant première et en présence du réalisateur rétrovision : cHantaGe le 29 à 18h ciné concert de Gael Mevel

Spartacus et cassandra vendredi 6 et dimanche 8 à 21h

lundi 9 et mardi 10

à 18h

Réalisé par Ioanis Nuguet avec Cassandra Dumitru, Spartacus Ursu, Camille BrissonDocumentaire , Aventure Français

film de la semaine

On partage la vie de ces enfants qui n’ont pas connu l’enfance, un sujet sensible au ton très libre plein d’éner-gie, touchant et émouvant, douloureux et lumineux, entre réalisme et poésie qui va droit au coeur. Le réalisateur Ioanis Nuguet a ainsi passé trois ans sur les terrains roms de Seine-Saint-Denis. Le film est né de la rencontre du réalisateur avec le jeune Spartacus qui lui conseilla de le filmer lui et sa sœur. Le réalisateur leur a donc donné la parole et leur a permis de s’exprimer sur leurs peurs, leurs doutes mais aussi sur leurs espoirs quant à une vie meilleure. Il s’agit ici pour eux de se sauver eux-mêmes, de réapprendre à rêver et de cultiver l’espoir de retrouver leurs parents.

Spartacus, jeune Rrom de 13 ans et sa soeur Cassandra, 10 ans sont recueillis dans le chapiteau de Camille, une drôle de fée trapéziste passionnée de la culture tzigane et des arts du cirque, qui prend soin d’eux, leur offre un toit et leur montre le chemin de l’école. Mais le cœur des enfants est déchiré entre l’avenir qui s’offre à eux et leurs parents qui vivent encore dans la rue.

WeeK end assemBléé générale

Réalisé par Ioanis Nuguet avec Cassandra Dumitru, Spartacus Ursu, Camille BrissonDocumentaire , Aventure Français

charlot patine & l’émigrant

vendredi 27 9h30 et 14h, ciné concert avec Jean paul Raffit

Réalisé par Charles Chaplinavec Edna Purviance, Eric Campbell Comédie dramatique Américain (25 min)

WeeK end assemBléé générale

CHARLOT PATINEun court métrage de 1916 où l’homme à la silhouette légendaire incarne un serveur catastrophique dans un grand restaurant. En virtuose du patin à rou-lettes, il évolue au milieu des tables et transforme les lieux en cataclysme drolatique. C’est un des douze films tournés par Charles Chaplin en 1916. Le film sera accompagné par le guita-riste Jean Paul Raffit

Charlie Chaplin est sur un bateau avec d’autres immigrés à destination de New York. Pendant le voyage, il rencontre une jeune femme qui s’occupe de sa mère malade. Chaplin arrive à New York mais il n’a pas d’argent ni de travail. Il trouve une pièce par terre et décide d’aller au restaurant. Il y retrouve la femme du bateau qui est très triste car on devine que sa mère est morte

Avec le cèlèbre «The Immigrant», Chaplin inaugure une critique systé-matique de la discrimination sociale et dénonce la pauvreté, l’ignorance, fléaux d’une sociètè apparemment opu-lente, libre et démocratique! Sa vision

objective de cette société l’amènera à être constamment persécuté par les ligues morales, patriotiques et politi-ques qui parviendront pratiquement à l’expulser des Etats-Unis!

howard zinn une histoire populaire américaine

vendredi 27 à 21h en présence d’Olivier azam et daniel Mermet qui viendront présen-ter leur film en avant première .

a 19h: présen-tation du week-end par Jacques choukroun et pauline richard .

Samedi à 15h rencontre avec daniel Mermet : débat sur l’In-dépendance des Médias . Grande salle , entrée libre

Réalisé par Olivier Azam, Daniel Mermet

Howard Zinn, Noam Chomsky, Chris Hedges Français (1h41min)

Tant que les lapins n’avaient pas d’historiens, l’histoire était racontée par les chasseurs.Avec l’énorme succès de son livre Une histoire populaire des Etats-Unis, Howard Zinn a changé le regard des Américains sur eux-mêmes. Zinn parle de ceux qui ne parlent pas dans l’histoire officielle, les esclaves, les Indiens, les déserteurs, les ouvrières du textile, les syndica-listes et tous les inaperçus en lutte pour briser leurs chaînes

WeeK end assemBléé générale

WeeK end assemBléé générale

Réalisé par Olivier Azam, Daniel Mermet

Howard Zinn, Noam Chomsky, Chris Hedges Français (1h41min)

les chèvres de ma mère

samedi 28 à 11hdébat avec la confédération pay-sanne sur la trans-mission en présen-ce de la réalisatrice

Réalisé par Sophie AudierAvec Maguie Audier, An-ne-Sophie VurchioDocumentaire Français (1h37min)

WeeK end assemBléé générale

Ainsi, les experts de la Chambre d’agriculture estiment qu’avec trente chèvres, la jeune femme pourra ga-gner 29 410 euros par an, alors même que Maguie at-teignait tout juste ses 11 000 euros de revenus annuels avec vingt chèvres. Le monde agricole se complique et la transmission ne se fait pas du jour au lendemain. Elle ne laisse par ailleurs plus aucune place à la liberté et à l’improvisation de l’éleveur, le moindre détail étant réglementé.«Les chèvres de ma mère» propose au spectateur de renouer avec sa base, son rapport à la nature . Une Œuvre forte sur la transmission contrariée, cet admira-

ble poème rural, âpre et délicat, fait comprendre com-ment transmettre son savoir-faire dans un monde agricole contrôlé, de plus en plus administratif. S’ajoute une dimension émouvante, puisque le film est clairement un hommage qu’une fille rend à sa mère. Maguie Audier, la chevrière prête à partir à la retraite du film, n’est autre que la véritable mère de la réalisatrice Maguie Audier et son compagnon ont quitté la ville après les événements de mai 68 pour s’installer dans le hameau de Saint-Maymes (commune de Trégance, Var), dans les gorges du Verdon. Ce plateau isolé et cette retraite quasi monacale permirent à la fromagère de faire perdurer une tradition d’élevage sur le point de disparaître. Cela faisait ainsi une quarantaine d’années que Mme Audier élevait ses bêtes en pleine na-

ture, les sortant par tous les temps, s’occupant de traire à la main ses chèvres et de tuer avec douceur ses chevreaux qu’elle devait vendre.Le site Reporterre.net précise que «six mois après le tournage, Anne-Sophie la jeune chevrière occupe de vieux locaux. Le provi-

soire dure. Elle a les chèvres mais attend toujours un prêt et un permis de construire».

Sur un plateau isolé des gorges du Verdon, Maguy fabrique depuis 40 ans du fromages de chèvres dans le respect de la nature et des animaux. Bientôt à la retraite, elle doit céder son troupeau. Elle décide alors de parrainer Anne-Sophie, une jeune agricultrice qui souhaite s’installer.Au fil des saisons, le processus de transmission s’avère être un dou-

loureux renoncement pour l’une et un difficile apprentissage pour l’autre. Peut-on encore aujourd’hui transmettre le goût de la liberté ?

les petites marguerites

Samedi 28 mars 18h avec un intervenat de la cinémathèque de toulouseà 17h concert de Isabelle Bagur flûte traversière et Blandine Boyer violoncelle

Réalisé par Vera Chytilova

avec Ivana Karbanova, Jitka Cerho-va, Marie Cesková Comédie , DrameTchécoslovaque (1h14min)

WeeK end assemBléé générale

Marie 1 et Marie 2 s’ennuient fermement. Leur occupation favorite consiste à se faire inviter au restaurant par des hommes d’âge mûr, puis à les éconduire prestement. Fatiguées de trouver le monde vide de sens, elles décident de jouer le jeu à fond, semant désordres et scan-dales, crescendo, dans des lieux publics.

50 ans plus tard, le film de Vera Chytilova, s’il a perdu de sa force politique, est toujours aussi impertinent, poétique et expérimental. Il convient d’abord de remettre les Petites Marguerites dans son contexte, celui de la Nouvelle Vague Tchécoslovaque, annonciatrice, par sa soif de liberté, du Printemps de Prague en 1968 . Si Milos Forman (Au feu, les Pompiers) et Jiri Menzel (Trains étroitement surveillés) sont les deux figures emblématiques du mouvement, Vera Chyti-

lova n’est pas non plus à sous-esti-mer. Il faut dire que la cinéaste a choisi une voie moins évidente, celle tout d’abord du documen-taire et du cinéma-vérité puis en-suite, celle d’un cinéma de fiction, certes, mais volontairement expérimental. Les Petites Marguerites, son premier long-métrage, s’inscrit totalement dans cette veine. Marie la brune et Marie la blonde passent leur temps à s’ennuyer et à rêvasser. Dès lors leur occupation favorite va être de se faire inviter par des vieux messieurs respectables et ensuite de les éconduire sans ménage-

ment, en les mettant de force dans un train : les jeunes demoiselles ont l’art et la manière de sauter en marche au départ du train (ce qui nous vaut quelques moments dignes de Mack Sennett). L’action des deux jeunes femmes est aussi poétique que politique. Les images de la Seconde Guerre Mondiale, archives d’explosion et de destruction, qui parsèment le film, ne sont pas mises là par hasard. Marie et Marie font le même constat que les Dadaïstes à leur époque (pour la « grande guerre »), les idéologies ont conduit l’Europe au désastre. Il convient dès lors de se moquer, de les tourner en ridicule dans un geste artistique et nihiliste. Les héroïnes le disent elles-mêmes en ouverture : le monde est cor-rompu, alors autant l’être nous aussi. les images du train ralentissent, s’étirent jusqu’à devenir de l’art visuel. La chromie des plans passent par toutes les couleurs, du noir et blanc à une explosion pop. Avec tout ça, l’idée classique de raccord devient dès lors super-flue

Le film a été interdit de diffusion peu de temps avant le Printemps de Prague en raison du gaspillage outrancier de nourriture sur plu-sieurs scènes. Le long métrage est finalement sorti deux ans plus tard dans le pays

Réalisé par Vera Chytilova

avec Ivana Karbanova, Jitka Cerho-va, Marie Cesková Comédie , DrameTchécoslovaque (1h14min)

Bien de chez nousSamedi 28 à 21h en avant première et en présence du réalisateur

Réalisé par Henri De Latour

avec Virginie Godier, Francis Bodin, Manon Cerret

Documentaire Français (1h23min)

WeeK end assemBléé générale

Bien de chez nous est un film tourné avec un budget microscopique, environ 80 000 euros, et avec un casting intégralement composé d’acteurs amateurs dans le village de Lasalle, dans la région de Salen-drinque en Languedoc-Rousillon.Le village de Lasalle, de par son histoire, a toujours été un endroit «indigné» et militant. Refuge pendant les guerres de religion mais également refuge pour des juifs cachés pendant la Seconde Guerre mondiale, le village se mobilise dans le film pour les migrants menacés d’expulsion.Le réalisateur Henri de Latour a d’abord été documentariste, ce qui lui a permis de voyager à travers le monde. Il est ensuite revenu dans son village natal de Lasalle et y a fondé un festival de films documen-

taires. L’opération fut un tel succès qu’il fut élu maire du village peu de temps après.

Un village se raconte, mon-tre avec émotion et humour, la vitalité de son terroir. Monsieur le sous-préfet veut expulser Milena et sa fille Pauline, sans-papiers au village de Lasalle. Virgi-nie, une ancienne habitante, revient pour profiter du marché de l’immobilier florissant en Cévennes. Un vieil aristocrate au bout du rouleau désire vendre sa propriété au plus offrant contre l’avis de son voisin paysan. Des rumeurs circulent de maison en maison : l’Etat cherche des terrains pour y enfouir des déchets

radioactifs, la régie de distribution d’eau serait vendue à une multinatio-nale… Tout le monde se connait. Suspicion, rejet, solidarité ? En quatre jours, le sort de Milena va changer la vie paisible de la petite vallée de la Salindrenque. Un film plein d’émotion qui aborde des sujets d’actualité. Un concept de film participatif qui amène un sentiment de solidarité et d’humanisme que l’on pensait perdu.

louisedimanche 29 à 14h30 en présence du réalisa-teur

WeeK end assemBléé générale

Une jeune femme, 20/25 ans, regard arrogant ainsi apparaît-elle sur une photo dans le film. Nous savons qu’elle porte le même prénom que Louise Michel. Mais qui est-elle ? Qu’est-ce qui la relie à Madeleine ? Quel lien ? Amical ? Familial ? Est-elle morte ? Ou est-elle encore en vie ? Madeleine lui parle, l’attend, la voit, la cherche et l’espère… Et si ce n’était que l’illusion d’un esprit qui lentement, inexorablement vacille et que Madeleine cache ?

réalisé par Jean-Francois Gallotteavec Claudine Baschet, Charlotte Sohm, Julie MarboeufDrame Français

Pour le long-métrage Louise, Jean-François Gallotte est passé devant et derrière la caméra. En effet, il revient à la réalisation presque 10 années après Igor, un documentaire

sur la vie d’un jeune toxicomane. Dans son dernier film, le réalisateur s’est réser-vé le rôle du médecin de Madeleine. Cette dernière étant le personnage principal de l’oeuvre.Une petite particularité s’est insérée dans le film Louise, en effet, nous découvrons qu’il s’agit d’une oeuvre en prises de vue réelles (dans sa totalité) avec néanmoins quelques moments réalisés en animation. De plus, les dessins en noir, blanc et rouge que l’on retrouve dans le film proviennent de la main de la fille du réalisateur Charlotte Sohm, qui

comme son père occupe deux postes à la fois, puisqu’elle a le premier rôle en compagnie de Claudine Baschet (Made-leine Boitelle).Jean-François Galotte fait partie des réalisateurs qui préfèrent effectuer plusieurs répétitions avant le début du tournage, pour être le plus préparé possible au moment de faire tourner ses acteurs. De plus, il ne lésine pas sur les moyens car pour son dernier long-métrage Louise, si les scènes enre-gistrées dans la journée étaient mauvaises, il n’hésitait pas à les recommencer le lendemain.

retrovision

Une jeune femme, 20/25 ans, regard arrogant ainsi apparaît-elle sur une photo dans le film. Nous savons qu’elle porte le même prénom que Louise Michel. Mais qui est-elle ? Qu’est-ce qui la relie à Madeleine ? Quel lien ? Amical ? Familial ? Est-elle morte ? Ou est-elle encore en vie ? Madeleine lui parle, l’attend, la voit, la cherche et l’espère… Et si ce n’était que l’illusion d’un esprit qui lentement, inexorablement vacille et que Madeleine cache ?

réalisé par Jean-Francois Gallotteavec Claudine Baschet, Charlotte Sohm, Julie MarboeufDrame Français

chantage (blackmail)

dimanche 29 18h en ciné-concert , accompagné au violoncelle par Gael Mevel

1929 Réalisé par Al-fred Hitchcock avec Anny Ondra, John Longden, Charles Pa-ton Policier Britanni-que (1h30min)

retrovision

Premier film film parlant du maitre du suspense après 8 films muets. Concrètement, ce film pose les jalons du thriller, et est déjà bien marqué de la patte d’Alfred Hit-

chcock. La relation amoureuse entre les deux protagonistes est au cœur du film, posant la question de la confrontation entre amour et devoir. Au-delà du scénario même, Hitchcock s’approprie les nouveaux avantages du cinéma parlant pour créer la tension qui rythme le film, en brisant le silence avec des cris, des sifflotements ou de longs dialogues. Sur le plan technique, il s’agit dans tous les

cas d’un film très en avance sur son temps, nouvelle preuve qu’Hitchcock était vraiment un réalisateur de génie. Les années 30 se profilent donc, avec l’émergence définitive du ci-néma parlant et de nouveaux codes pour régir le cinéma. A l’occasion du tournage du film, Alfred Hitchcock expéri-menta une nouvelle technique

de trucage. Hitchcock en explique le principe: « (...) il n’y avait pas assez de lumière pour filmer à l’intérieur du musée (British Museum), alors nous nous sommes servi du procédé Shuftan. On place un miroir sous un angle de quarante-cinq degrés, dans lequel se reflète une photo du décor du musée. L e film fut tourné sous sa forme muette et c’est alors que le montage allait commencer que la British Internatio-nal Pictures décida d’en présenter une version parlante. Pour se faire, il fallu retourner certaines scènes. Anny Ondra , qui inter-prétait le rôle d’Alice, parlait un anglais avec un fort accent slave. Alors Hitchcock inventa le doublage avant l’heure. L’actrice

mima le dialogue pendant qu’une autre actrice récitait le texte depuis une cabine.

Alice White est la fille d’un commerçant londonien. Son petit ami, Frank Weber, est policier. Alice s’ennuie avec Frank et rencontre secrètement un autre homme, Tracy, qui tente de la violer. En se défendant, elle le tue avec un couteau de cuisine. Quand le corps est découvert, Frank est sur l’affaire et se rend compte qu’Alice a commis le crime. Et quelqu’un essaie de la faire chanter.

Pour recevoir chaque semaine le programme du cinéma envoyez un mail à Jacques Vergnes : [email protected]

Le Cinéma est pour nous un art et un lieu.

Crée en 2005, la Sauce du Casino est une association qui regroupe ceux qui aiment l’oeuvre cinématographique et ceux qui aiment Le Casino de Lavelanet, en tant que lieu de culture, d’échanges et de découvertes...

Nous avons la chance d’avoir à Lavelanet un magnifique cinéma, une grande salle avec balcon, un son dolby numérique, un écran Géant ! et un espace bar au 1er étage...

Cet espace représente pour nous la possibilité d’échanger et de prendre le temps d’aller au cinéma... Dans cet espace vous pouvez consulter les revues cinéma d’actualité en buvant un café ou une boisson fraîche... lors des soirées organisées par la Sauce du Casino vous pouvez vous restaurer de façon simple...

Nous travaillons toute l’année, en étroite collaboration avec Jacques Vergnes, responsable du cinéma municipal de Lavelanet, autour de la programmation pro-posée au Casino.

Nous soutenons le cinéma dit d’art et d’essai: films d’auteur, films étrangers en ver-sion originale en proposant régulièrement des soirées autour de ces films (soirée avec le réalisateur, soirée thématique...). Vous retrouvez cette programmation appelée ‘Le film de la semaine’.

Nous favorisons l’éveil à l’image en proposant des films pour les tout-petits ‘ciné bébé’ pour les plus grands ‘ciné mômes’.Des ateliers sont aussi organisés avec les jeunes.

Ce travail est réalisé par la Sauce du Casino en partenariat avec des structures ou associations locales.

La Sauce du CasinoCinéma le Casino2 rue René Cassin09300 [email protected] Deltour : 05 61 01 57 14