volume 18 nº 7 Édition du 17 septembre 2020 18 000 ... · l’excavation des sols sera exécutée...

Nous vous plaçons au cœur de l'événement

Volume 18 nº 7 Édition du 17 septembre 2020 18 000 exemplaires

DES SOLUTIONS POUR LES ENTREPRENEURS

PHOTO JOCELYNE HAMEL

Aussi : François Proulx, président de la compagnie Techno Feu Inc., annonce un projet d'agrandissement à l'usine de Saint-François-du-Lac PAGE 11

Dans cette édition, les partenaires des services-conseils de la région partagent leur expertise

2 | L'ANNONCEUR | VOLUME 18 No 7 | ÉDITION DU 17 SEPTEMBRE 2020

Actualités

3 octobre 13 h 30 Membre : 14 $ | Non-membre : 16 $

PLANTES DU SOLEIL LEVANT. Cette activité vous permettra de découvrir desproduits du terroir. Avec notre spécialiste, Michel Durand Nolett, dégustez des metsmettant en vedette les plantes présentes sur le territoire. Apprenez quand récolter lesproduits, comment les entreposer ainsi qu'une multitude de recettes. Sauf en cas depluie, l'activité aura lieu sur la terrasse, veuillez prévoir des vêtements adaptés.

25 places seulement | 20 participants sont nécessaires pour la tenue de l'activité.

7 novembre 10 h à 16 h Enfant 5 ans + : 6 $ | Abénakis : gratuit

ACTIVITÉ FAMILIALE. Oh non! Des animaux se sont introduits au Musée et ilsveulent y passer tout l’hiver! Nous avons besoin de vous! En famille, menez votreenquête pour découvrir qui sont ces mystérieux visiteurs! Parmi la liste des suspectsappréhendés, lequel correspond le plus aux indices laissés derrière? Étudiez les lieuxattentivement et analysez les traces que vous trouverez pour identifier les véritablescoupables. En collaboration avec le Centre de la Biodiversité du Québec, apprenezune foule d'informations sur les animaux du territoire abénakis.

Profitez de votre passage au Musée pour déguster du poisson fumé sur place parnotre spécialiste en fumage, Luc Gauthier Nolett.

Activité familiale | Réservation obligatoire | Départs garantis aux 15 minutes.

5 décembre 9 h à 16 h MARCHÉ DE NOËL. Une nouveauté vous attend pour cette troisième édition ; il setiendra en partie à l'extérieur! Venez rencontrer des artisans autochtones talentueux.En plus de mettre la main sur des pièces uniques et authentiques à offrir à vos êtreschers, des foyers pour se réchauffer et des boissons chaudes sont au programme.

Suivez nous sur

PROGRAMMATION CULTURELLE 2020

Les consignes et recommandations entourant le contexte depandémie vous seront communiquées sur place, mais veuillezprévoir votre masque en tout temps.

108, Waban-Aki, Odanak, J0G 1H0 www.museeabenakis.ca

Pour information ou réservation : 450 568.2600

LES MONDES DE LA NUIT. À compter du 6 octobre, visitez l'exposition et vivez uneexpérience amusante et enrichissante en découvrant ce qui se passe dans votrecerveau et à l’extérieur, alors que le soleil est couché.

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PAR ALAIN DUBOIS

Pour les moins jeunes, M. Roger Letendre estune figure familière. Fêtant son 96e anniversairele 25 août dernier, cet homme à la retraite esttoujours bien actif.

Originaire de Saint-Pie-de-Guire, il a entamé savie active à Sorel pour venir s'installer à Pierrevilleen 1947. À la recherche d'une boutique de "porteset châssis", c'est par le biais de son beau-frèreJean-Jacques Fortin, siégeant alors sur la Chambrede commerce de Pierreville, qu'il apprend qu'unetelle entreprise avait été reconstruite suite à unincendie ayant eu lieu en 1945. Propriété deM. Charles-Édouard Descôteaux sur la rue Hector,entrepreneur de pompes funèbres, l'entreprisebien connue des Pierrevilliens est devenue l'en-treprise Letendre & Frère.

En plus d'y tenir un magasin de matériaux, on yretrouvait un moulin à scie, des matériaux deconstruction, on y fabriquait des portes et fenêtres,et pas moins d'une quinzaine de maisons du villageont été construites par l'entreprise de M. Leten-dre.

Ayant tenu commerce pendant pas moins de37 ans, la venue d'entreprises de plus grandestailles, les magasins à grande surface qui font lebonheur des consommateurs, mais qui ont contri-bué à la disparition d'une multitude de petits com-merces de proximité dans toutes les sphères ducommerce de détail, c'est vers 1982 que s'entamela liquidation des actifs de cette entreprise qui doitcéder la place face aux Rona, LGL Chapdelainepuis finalement le Patrick Morin que l'on connaîtaujourd'hui.

PARALLÈLEMENT, UN BÂTISSEURPeu d'entre nous avons eu conscience qu'on ne

pouvait accéder à la rue Hector, où l'entreprised'échelles et pompes C.E.T. fut érigée et qui utiliseles hangars de l'ancienne entreprise de M. Leten-dre, en empruntant les rues Gill ou Martel pourensuite faire un petit bout sur la rue Letendreavant de rejoindre la rue Hector. C'est suite à unautre incendie de propriété sur la rue Georges queM. Letendre eut l'idée d'acheter des terrains etd'entreprendre des démarches en concert avecles élus municipaux pour qu'un tronçon de rue soitconstruit pour que la rue Hector soit directementaccessible via la rue Georges. On imaginerait malqu'aujourd'hui des camions d'incendie à échellefaire le trajet par les rues étroites de ce secteurprincipalement domiciliaire.

Une autre acquisition de M. Letendre aurachangé la vie de bien des gens. La terre apparte-nant alors à M. David Plamondon, première par-celle de terre adjacente à la limite du village dePierreville d'alors, au fil des ans cette terre en zo-nage agricole fut patiemment transformée en zoneblanche, soit prête pour être lotie et y accueillirdes développements domiciliaires.

Et c'est par un concours de circonstances quele début de ces travaux s'est effectué. Suite auxinondations de 1978, alors que les résidents de larue Ally sur le bord de la rivière étaient isolés parles eaux, il en était de même pour les employésmunicipaux qui devaient se rendre à la station detraitement des eaux en chaloupe, et ce pendantplus de trois semaines. Pour remédier à cette si-tuation, le maire d'alors, M. Roger Tremblay reçutune offre bien spéciale : pour la modique sommed'un dollar, la parcelle de terrain appartenant à M.Letendre serait cédée à la municipalité de Pierre-ville pour que soit construite une rue joignant lesrues Georges et Ally, contribuant à désenclaverles résidents de cette dernière rue qui pouvaientêtre aux prises annuellement avec les crues prin-tanières.

Pour terminer, en ce temps de transformationrésultant de la pandémie, le secteur de l'immobilierse porte particulièrement bien. Avec le dévelop-pement du télétravail, plusieurs citadins recher-chent des endroits plus calmes soit pour y résiderpendant leur retraite ou encore parce qu'ils ontmaintenant la possibilité de faire en partie leurtravail à domicile. Les promoteurs immobiliers au-ront sûrement plus de facilité à développer desquartiers résidentiels, seulement M. Letendre s'in-terroge sur la pertinence de voir la municipalitéagir en tant que promoteur immobilier suite àl'achat de terrains près des étangs aérés et quiavaient initialement été considérés dans le butd'accueillir le futur garage municipal.

Merci M. Letendre pour tout ce que vous avezfait pour la population de Pierreville, et merci en-core une fois pour les tous ces souvenirs puisquej'ai eu la chance de travailler sur quelques-uns devos projets de développement de notre commu-nauté.

Roger Letendre, commerçant et bâtisseur■ PORTRAIT

PHOTO ALAIN DUBOIS M. Letendre s'interroge sur la pertinence de voir la municipalité de Pierreville agir en tant que promoteur immobilier suite à l'achat de terrains près des étangs aérés.

ÉDITION DU 17 SEPTEMBRE 2020 | VOLUME 18 No 7 | L'ANNONCEUR | 3

Actualités

Investissements dansles infrastructuresLes deux paliers de gouvernements investissent dans des infrastructures d’eau.

Plusieurs projets municipauxdans la région bénéficient des in-vestissements dans les infra-structures d'eau, annoncés le 15septembre dernier par les gou-vernements du Québec et du Ca-nada, pour assurer des servicesadéquats et relancer l'économie.Les deux paliers de gouverne-ment subventionnent à partségales 80 % des coûts des projetsqui permettront, notamment, demoderniser les réseaux munici-paux d'alimentation en eau po-

table, de gestion des eaux plu-viales et de collecte des eauxusées. Les municipalités assu-ment le solde des fonds néces-saires. Parmi les collectivités quibénéficient des octrois, mention-nons Saint-Elphège avec un in-vestissement total prévu de1 382 532 $ ; Sainte-Monique(3 153 430 $) ; Saint-François-du-Lac (530 938 $) ; Saint-Zéphirin-de-Courval (3 445 694 $) ; Ya-maska (3 483 649 $) etSorel-Tracy (496 506 $). [F.B.]

Kiuna s'engage dans unpartenariat en éducation

Grâce à un nouveau partena-riat, l'Institution Kiuna d'Odanakoffre la possibilité aux diplômésdu programme Sciences hu-maines - profil Premières Na-tions, d'accéder au baccalauréatspécialisé en innovation socialede l'Université Saint-Paul à Ot-tawa. La reconnaissance des uni-tés permettra aux étudiantsd'obtenir, en quatre ans, un di-plôme d'études collégiales et unbaccalauréat. « Cette associations'inscrit dans notre mission defavoriser chez nos étudiants le

leadership et la persévérance, etreflète notre volonté d'assurerun continuum de services édu-catifs de qualité qui tient comptede leurs aspirations, de leurs réa-lités et de leur culture », a dé-claré Prudence Hannis,directrice de l'Institution Kiuna.Les deux établissements souli-gneront ce nouveau partenariatà l'occasion de l'inauguration,plus tard cette année, d'un nou-veau centre pour les étudiantsautochtones à l'Université Saint-Paul. [F.B.]

Stimuler l'entrepreneuriat localLes caisses Desjardins du Cen-

tre-du-Québec s'associent àl'organisme MicroEntreprendreCentre-du-Québec pourdéployer un programme afind'aider les travailleurs auto-nomes et les très petitesentreprises à concrétiser leurprojet d'affaires. Les caisses et leMouvement Desjardins comp-tent investir 183 000 $ sur 4 ans,soit de 2020 jusqu'en 2023 inclu-sivement. Le programme, appelé

«Microcrédit Desjardins auxentreprises» est destiné auxentrepreneurs de 18 ans et plusqui ont des besoins modestes definancement et qui ne se quali-fient pas dans le réseautraditionnel de crédit, en leuroffrant un financement sousforme de prêt jusqu'à concur-rence de 20 000 $. Un soutientechnique et un accompagne-ment personnalisé sontégalement offerts. [F.B.]


Depuis quelques semaines, plusieurs travaux ont été effectués dans les locaux actuels de la Coop afin de livrer un nouveau bureau au Dr Shooner (avec une fenêtre, enfin) et de déplacer le secrétariat médical. Nous avons le plaisir de vous présenter les équipes de construction de votre mini-urgence. Le Conseil d’administration de la Coop de Santé Solidarité Shooner-Jauvin a mandaté Mathieu Laramée de Construction Mathieu Laramée inc. pour exécuter et superviser tous les travaux de construction. L’excavation des sols sera exécutée par les Entreprisses Pierreville inc., propriété de M. Daniel Forcier. Toutes les améliorations électriques seront effectuées par M. Daniel Arel, des Entreprises d’électricité D.A. inc. Le début des travaux est prévu le 21 septembre 2020 pour se terminer à la fin de l’ année. Bon succès à toute l’équipe.

Madame Francine Hébert, présidente de la Fondation Santé Bas-Saint-François avec les entrepreneurs mandatés pour la contruction de la mini-urgence. Photo : Johanne Shooner


Actualités

PHOTO GRACIEUSETÉ Marcelle Trottier, responsable du comité Famille, Michel Benoit, président de la Corporation de développement communautaire et Claude Lefebvre, maire de Baie-du-Febvre, lors de l'adoption du Programme d'aide à la famille.

Un programme d'aide à lafamille attrayantBaie-du-Febvre soutient une initiative pour contribuer collectivement au bien-être de sa population.

La Corporation de développement com-munautaire de Baie-du-Febvre lance sontout nouveau programme d'aide à la fa-mille pour appuyer la Municipalité deBaie-du-Febvre afin de développer un mi-lieu de vie attrayant pour les familles.

La Corporation cible plusieurs objectifs,soit favoriser la natalité, soutenir lesjeunes familles, attirer de nouvelles fa-milles à venir s'établir à Baie-du-Febvre,encourager les activités culturelles etsportives, valoriser la persévérance sco-laire, favoriser le maintien à domicile desaînés et accroître le sentiment d'apparte-nance des Baievillois à leur milieu.

« La Municipalité de Baie-du-Febvre estun endroit dynamique, chaleureux et ac-cueillant. Ce programme est un moyensupplémentaire de soutenir les famillesd'aujourd'hui afin qu'elles se sentent chez

elles à Baie-du-Febvre », assure MarcelleTrottier, responsable du comité Famille.

Plusieurs avantages sont offerts dans lecadre du Programme d'aide à la famille,comme un montant de 2 000 dollars pourles familles qui feront l'acquisition d'unemaison à Baie-du-Febvre, 125 dollars ainsiqu'un ensemble cadeau remis aux pa-rents pour souligner l'arrivée d'un nou-veau-né ou d'un enfant adopté,subvention pour l'achat de couches lava-bles, entre autres.

Les personnes intéressées à obtenir desinformations supplémentaires peuvent vi-siter le site Internet de Baie-du-Febvre oudemander une copie du programme parcourriel, à l'adresse [email protected] ou au bureau municipal, situéau 298, route Marie-Victorin, Baie-du-Febvre. [F.B.]

240, Chemin des Patriotes, Sorel-Tracy 450 730-0100 Sans frais: 1 888 562-5408

www.boisvertmarine.com


PAR JBERNARD MARIN

Mon nom est Bernard Marin,producteur agricole, impliqué àl'UPA depuis près de 35 ans. Jen'ai jamais vu cela qu'un projetqui peut être à risque pour lesproducteurs et résidents du ter-ritoire de la MRC Nicolet Ya-maska et qui correspond à monsyndicat de l'UPA Nicolet dontnous avions souligné dès 2017,notre réserve sur l'idée de lacarabine dans notre secteurpour plusieurs raisons commeun territoire qui a le moins deboisés, la topographie du terrainetc... Et surtout que le ministèren'a pas besoin d'inclure la cara-bine dans ce secteur pour faireune saine gestion du cerf (che-vreuil). Il est dit dans les docu-ments émis par ce mêmeministère pour la saison 2019 etje cite : (Les zones dites ‘‘plushabitées’’ sont interdites dechasse à la carabine dans lesgrandes régions de Montréal,Québec, Vallée du St-Laurent).

Que s'est-il passé en 2020pour le contraire ? Ce qui m'in-terpelle le plus, c'est l'articleparu dans le journal agricole LaTerre de Chez Nous, édition du12 août 2020, page A25, sur lanouvelle concernant la chasseau cerf. Je n'ai jamais vu traiterd'un sujet qui peut avoir desrisques accrus pour tous les ré-sidents, producteurs agricoles etvillages avec tant de simplicité.

Il est très facile de dire que lacarabine est déjà permise danscette zone pour d'autres formesde chasse comme les préda-teurs par exemple. M. François Lebel coordinateur provincial dela gestion du cerf de Virginiesait très bien qu'il y a un chas-seur pour le coyote pour plus ou

moins 500 chasseurs de cerf deVirginie (chevreuil). On comparedes choses qui ne correspon-dent pas à la même réalité.

Il a également mentionné queles futurs chasseurs doiventréussir 2 cours, c'est la vérité etc'est très bien ainsi. Mais, je luidirais que pour conduire un vé-hicule même si tous suivent uncours et qu'il y a beaucoup depublicités sur l'alcool au volant,il arrive fréquemment des acci-dents qui causent de gravesdommages à des gens qui ensont les victimes.

Le pire de tout ça, c'est quele Ministère n'a pas besoin d'in-troduire la carabine pour unesaine gestion du cerf de Virginie(chevreuil) et il le sait très bien.

Il peut se défendre en disantqu'il y a eu des consultations àla table nationale de la faune etaux tables régionales de lafaune. Ce que je veux dire, c'estque le ministère l'utilise commeargument car ce fut publié dansla Gazette Officielle le 4 février 2017. En ce qui regarde monterritoire, il y a eu table de lafaune Centre-du-Québec, Fédé-ration de l'UPA Centre -du-Québec. J'ignore si ce fut le caspour les autres MRC. Cheznous, au Syndicat de Nicolet, lesproducteurs n'ont pas étéconsultés même s'ils sont pro-priétaires en grande majoritédes terres ou l'activité dechasse se déroule. Le ministèrepeut s'en laver les mains en di-sant : ‘‘ça ne me regarde pas sivous n'avez pas été consultés''.Je suis d'avis qu'avec un tel po-tentiel de danger, il aurait dûvérifier s'il y a eu consultationssurtout qu'une résolution lui estparvenue et fut présentée aubureau régional de Trois-Ri-

vières. Cette résolution fut una-nime à l'assemblée annuelle2017.

J'ai demandé l'avis d'un spé-cialiste sur les performances ba-listiques des carabines dechasse les plus populaires pourla chasse au cerf de Virginie(chevreuil). Sa conclusion, enrègle générale, ces armes sontlétales jusqu'à 500 mètres etcertains calibres le sont jusqu'àun kilomètre.

Je m'adresse maintenant aux propriétaires privés, aux pro-ducteurs agricoles qui pour laplupart permettent déjà lachasse depuis plusieurs annéeset avec qui ils ont de trèsbonnes relations, de demanderde s'abstenir d'utiliser une ca-rabine sur leur propriété mêmesi le ministère l'autorise et decontinuer à utiliser les mêmesarmes que par le passé. Vous nepouvez pas interdire la chasseavec carabine mais vous aveztous les droits d'interdire l'accèsà votre propriété aux utilisa-teurs de carabine.

En conclusion, je dirais que laprévention a toujours sa raisond'être pour nous et nos voisins.Je vais rencontrer tous mes voi-sins propriétaires de lots pourleur demander de refuser l'uti-lisation de la carabine pour lachasse au cerf de Virginie. Ilexiste d'autres méthodes de lefaire pour une bonne gestion ducheptel.

Maintenant ça nous appartient !

Merci

P.S. Il ne faut pas oublier que lachasse est un loisir, faisons-le en toute sécurité.

PAR JEAN-CHRISTOPHE PROULX

Comment se fait-il qu'annéeaprès année les collisions et par lefait même les blessés s'addition-nent à ce croisement de routes.Cette intersection est dange-reuse, car la signalisation est dé-ficiente. On n'a pas besoin ded'autres études dans ce dossier,mais bien de passer à l'action.

À Pierreville, sur la rueGeorges, coin Trahan (route 226)il y avait une problématiquesemblable. C'est-à-dire que lapriorité des voitures à ce croise-ment de routes était ambigüe,surtout pour les gens de l'exté-rieur. La municipalité a fait ins-taller un panneau sous l'arrêtprésent, clarifiant ainsi l'inter-section. C'est ce genre de signa-lisation dont le croisement des

routes 122-132 a besoin. Clarifierqui doit céder le passage. Pasbesoin d'un réaménagementcomplet ou de feu de signalisa-tion, mais bel et bien d'un simpleajout de plusieurs panneaux dece type sur la route 122. Celapourrait être fait rapidement eten coûtant peu.

Il y a environ 2 ans de cela,j'avais même pris personnelle-ment la charge de faire avancerles choses dans ce dossier. J'aicontacté en premier le Ministèredes Transport du Québec, quim'a fait comprendre que poureffectuer tout changement designalisation sur une route nu-mérotée, le MTQ a besoin d'unerésolution de la municipalité enquestion, sans même entendrema solution. J'ai téléphoné par lasuite à la mairie de Yamaska eton m'a répondu qu'ils étaient encontact avec le ministère dansce dossier. S'est-on perdu dansla paperasse en cours de che-min, car on est là en septembre2020, avec un autre grave acci-dent qui aurait pu être évité.

Le but de cet article n'est pasde trouver des coupables, maisplutôt de sécuriser cette inter-section au plus vite.

Est-ce que les députés provin-ciaux M. Donald Martel etM. Jean-Bernard Émond pour-raient faire avancer ce dossierrapidement ? J'aimerais qu'ilsconsidèrent cette questioncomme une demande formelle.

Devrons-nous attendre qu'unautobus scolaire soit impliquépour enfin faire bouger leschoses ? J'espère que non...

La sécurité, c'est l'affaire detous !

La Tribune Libre

Intersectionroutes 122-132,

encore un blessé

PHOTO GRACIEUSETÉ Signalisation rue Georges, coin Trahan à Pierreville.

Chasse aux cerfs de Virginie saison 2020

L' ANNONCEUR DU BAS-SAINT-FRANÇOIS 108, MAURAULT, PIERREVILLE (QC) J0G 1J0 é : 450 568-3186 Ê : 450 568-5475

JOCELYNE HAMEL .............................. ÉDITRICE THERESA WATSO ...... CONSEILLÈRE EN PUBLICITÉ ÉMILIE POIRIER .......................... JOURNALISTE ALAIN DUBOIS ............................ JOURNALISTE C YNTHIA JOBIN .................. CHRONIQUE LIVRES LIONEL ÉMARD .......................... CHRONIQUEUR MARIO COURCHESNE ................ CHRONIQUEUR

FRANÇOIS BEAUDREAU .......... ÉDITEUR ADJOINT GRAFFIK ART ..............................INFOGRAPHIE HEBDO LITHO .............................. IMPRESSION [email protected] WEB ................................WWW.LANNONCEUR.CA DÉPÔT LÉGAL BIBLIOTHÈQUE NATIONALE DU QUÉBEC ISSN 1705-9437


Les forces policières de la Sûreté duQuébec, conjointement avec la Gendar-merie Royale du Canada et les Forces ar-mées canadiennes, se sont présentées àSaint-Elphège le 16 septembre dernier,pour effectuer une importante opérationde démantèlement des sites de productionillégale de cannabis.

Cette opération, menée dans le cadredu programme ACCES-Cannabis (Actionconcertée contre l’économie souterraine),a eu lieu dans plusieurs régions de la pro-vince, dont au Centre-du-Québec, en Es-trie, en Mauricie et en Outaouais.

Les plants saisis pendant cette opérationde grande envergure viennent s’ajouterau bilan provisoire des opérations d’éra-dication qui ont commencé au moisd’août.

« Depuis le début de la saison, plus de27 500 plants de cannabis ont été saisissur l’ensemble du territoire de la Sûretédu Québec et les policiers ont procédé àune quarantaine d’arrestations », réitèrela sergente Éloïse Cossette de la Sûretédu Québec.

Les autorités policières rappellent que,malgré la Loi sur le cannabis qui est envigueur, certaines activités en dehors ducadre légal demeurent des infractions ins-crites dans le Code criminel. Ces activitéscomprennent notamment la productionde cannabis, la possession dans un but detrafic, la vente sur le marché noir, l’im-portation et l’exportation.

Selon le caporal Danny Paradis de laGendarmerie Royale du Canada, le Loi surle cannabis n’a pas eu pour effet de dimi-nuer la production illégale et le trafic decannabis. « Ce genre de criminalité amême tendance à augmenter », com-mente-t-il. Le caporal explique que lecrime organisé profite notamment du cou-vert que procure la légitimité des permisémis par le gouvernement fédéral pourdétourner la production vers le marchéillégal.

Enfin, la Sûreté du Québec rappelle à lapopulation de communiquer toute infor-mation pertinente concernant la produc-tion de cannabis au Centre de l’informationcriminelle au 1 800 659-4264. [F.B.]

Journée d'éradication de cannabis

Actualités

PHOTO FRANÇOIS BEAUDREAU Les forces policières de la Sûreté du Québec, conjointement avec la Gendarmerie Royale du Canada et les Forces armées se sont présentées à Saint-Elphège pour effectuer une importante opération de démantèlement des sites de production illégale de cannabis.

La Loi canadienne sur le cannabis n'a pas eu pour effet de diminuer la production illégale de cette substance.

• Jusqu'à 25 000$ en cas de mutilation ou de perte d'usage d'un membre. • Jusqu'à 10000$ en cas de fracture accidentelle. • Jusqu'à 5000$ en cas de décès accidentel. • Indemnité de 30$ par jour, payable jusqu'à 5 jours, pour hospitalisation par suite d'accident. • Prestation d'invalidité de 150$ par semaine pour les membres âgés de 18 ans et plus, ayant adhéré à Acciaide-R. • Paiement des frais hospitaliers et paramédicaux au Québec et hors Québec. • Et plus encore.

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Actualités

PAR FRANÇOIS BEAUDREAU

Pour le lancement officiel du livre« Aniasiurti - Récit d'une presque méde-cin » les éditions Tsémantou avait conviéson autrice, Louisette Giroux, ainsi queplusieurs invités dans le cadre d'un évé-nement champêtre sur un site enchanteurà Saint-François-du-Lac, le 21 août der-nier.

Animé par David Beauchemin, le direc-teur de la maison Tsémantou, les per-sonnes présentes au lancement ontnotamment apprécié la lecture d'un pas-sage de l'ouvrage par Mme Giroux.

« Elle cousait des kamiks. Assise dansson lit qui servait aussi de fauteuil, elle pi-quait le cuir avec une aiguille crochue.Ses points étaient petits, si petits et... siréguliers! Ses yeux devaient être bons. »

Aniasiurti est un récit autobiographiquefort joliment raconté. Ayant endossé la

profession d'infirmière, Louisette Girouxemmène sa famille en Abitibi avant demigrer vers le grand Nord. Pendant unequinzaine d'années, elle vit et travailleauprès des communautés Inuits. Les gens,là-bas, la surnomme Aniasiurti, qui signi-fie «celle qui soigne à peu près ».

« C’est quelque chose d’extraordinaireque j’ai vécu», relate-t-elle. « Je pensaisleur en apprendre quand j’ai compris quec’est moi qui en apprenait. »

Au fil de son vécu, Mme Giroux prenddes notes. «Je ne voulais rien perdre dece que je vivais. Mais il m'aura fallu vingtans avant de me décider à publier»,confie-t-elle.

Louisette Giroux nous livre l'histoired'une vie hors de l'ordinaire qu'il vaut lapeine de lire.

Vous pouvez vous procurer l'ouvrageen visitant la boutique sur le site webhttps://tsemantou.com/

Récit d'une vie hors de l'ordinaireLancement du livre de Louisette Giroux, Aniasiurti - Récit d'une presque médecin, par les éditions Tsemantou.

PHOTO FRANÇOIS BEAUDREAU Louisette Giroux (au centre) lit un passage de son livre lors du lancement.


Affaires

PAR ÉMILIE POIRIER

Faire connaître son entreprisesur le Web peut s'avérer êtretout un défi. Voici de bons trucspour vous aider à y parvenir fa-cilement.

1. AVOIR UNE STRATÉGIE GLOBALEVotre stratégie de marketing

et de communication devraitêtre globale, harmonisant ainsi lehors web et le web. Vous vousassurerez ainsi une image demarque bien arrimée et unecommunication claire aux yeuxde votre public cible. Ainsi, lesmessages et les inspirations gra-phiques de vos cartes d'affaires,site web, envois courriels, habil-lage de médias sociaux, affi-chage externe, publicitésdiverses, etc. doivent toutes êtreen lien.

2. CHOISIR LES BONS CANAUX DE COMMUNICATIONVous devez maintenant analy-

ser où se trouve votre publiccible en ligne, afin de la rejoin-dre. Pensez aux différents mé-dias sociaux, aux sites webautres que le vôtre, etc. Côtémédias sociaux, Facebook et Ins-tagram sont pertinents pour duB2C (business to consumers).LinkedIn, quant à lui, est très bonpour des entreprises en B2B (bu-siness to business). Tik Tok,Reddit, Social.Mom, Snapchatet autres sont aussi intéressantspour rejoindre certains consom-mateurs précis, surtout parmi lesgénérations plus jeunes. Ensuite,une stratégie de partenariat

avec d'autres sites web, ou unecampagne publicitaire, peuvents'avérer astucieuses pour sefaire connaître en ligne. Et fina-lement, n'oubliez pas qu'unecampagne de relations publiquesconnaît habituellement un trèsbon retour sur investissement.

3. LA RECHERCHE SUR GOOGLELe référencement de votre

entreprise, par votre site web etpar sa fiche Google My Busi-ness, est très important à affiner.Votre référencement organique(naturel, gratuit) et votre réfé-rencement payant (par la publi-cité sur le réseau de rechercheGoogle) doivent être arrimeravec votre stratégie de commu-nication. Ainsi, les consomma-teurs qui rechercheront votreentreprise ou les produits/ser-vices associés vous trouverontrapidement et facilement. Ainsi,assurez-vous que votre ficheGoogle My Business vous appar-tient et est à jour. Ensuite, veillezà inclure des mots-clés perti-nents au contenu de votre site.Enfin, optimisez le référence-ment de votre site web au maxi-mum. Il vous faut donc penser àla création de contenu originale,à la page d'accueil et la pagenous joindre de votre site, auxnoms des images, aux métasdonnées, à l'adaptabilité aux mo-biles (cellulaires, tablettes), auxliens entrants et sortants, etc.

Bref, un message harmonisépoussé dans les bons canaux,allié à un référencement efficacepropulsera la visibilité en ligne devotre entreprise.

Comment faire connaîtreson entreprise sur le web

SPÉCIALITÉ COLLISION

Mario Martel, propriétaire

295, chemin Ste-Anne Saint-François-du-Lac

Auto de courtoisie

695, Haut de la Rivière, Pierreville 450 568-7173 Téléc. : 450 568-6345

Mécanique générale - Air climatiséInjection électronique - PneusRéparation & remplacement de pare-brise


AffairesBien plus que de l'aide financière

Mesures d'aide de la MRC pour les entreprises pendant la pandémie et pour la relance économiquePAR CAROLINE VACHON DIRECTRICE GÉNÉRALE ADJOINTE MRC DE NICOLET-YAMASKA

Dans le cadre de la pandémie Covid-19,des mesures techniques et financièressupplémentaires ont été mises en placepour soutenir les entreprises de la MRCde Nicolet-Yamaska.

En effet, les entreprises qui ont des be-soins de liquidités pour s'acquitter de leurfrais d'opérations courantes comme leloyer, l'installation des mesures de sécuritéet de distanciation et même les investis-sements nécessaires pour assurer la re-lance de leurs activités peuvent faire unedemande de financement à la MRC direc-tement sur le site internet. Les entreprisespeuvent ainsi rapidement obtenir un prêtà des conditions avantageuses pouvant at-teindre jusqu'à 50 000 $.

BIEN PLUS QUE L'AIDE FINANCIÈREOutre les programmes d'aide financière,

l'équipe économique de la MRC se dé-marque par son service-conseil aux en-

treprises dans la gestion de la crise et dela relance économique. Chaque entre-preneur, quel que soit le secteur d'activi-tés dans lequel il œuvre, bénéficie d'unaccompagnement personnalisé afin d'avoirtoutes les informations nécessaires qui luipermettront de prendre les meilleures dé-cisions d'affaires pour son entreprise.

« Les entrepreneurs sont conseillés selonles enjeux auxquels ils font face. Notreéquipe oriente chaque entrepreneur versles aides financières les plus avantageusesselon leur situation et les accompagne aubesoin pour compléter les formalités ad-ministratives qui leur permettront d'ac-céder à ces aides » souligne Michel Côté,directeur général de la MRC de Nicolet-Yamaska.

SERVICE-CONSEIL AUX COMMERCES ET SERVICES

Particulièrement affecté par lesmesures de confinement, les secteurs ducommerce, des services et de larestauration ont vécus des moments plusdifficiles depuis mars dernier. À cet effet,

une mesure d'accompagnement-conseil aété spécialement mise en place par laMRC de Nicolet-Yamaska pour soutenirles entreprises de ce secteur dans lagestion de la crise et de la relance. Pourchaque visite d'entreprises, un pland'action est proposé assorti d'unéchéancier priorisant les actions à mettreen œuvre.

« Le soutien aux entreprises du secteurdes commerces et services est primordialpour la revitalisation des noyauxvillageois. Nous travaillons depuis plus de2 ans avec les municipalités dans le cadredes démarches de revitalisation à laréalisation de plans d'actions triennauxvisant à dynamiser les milieux tant parl'embellissement et l'animation que par ledynamisme des artères commerciales etdes noyaux villageois. Le dynamisme descommerces et services de proximité estvital si nous souhaitons avoir des milieuxde vies attractifs pour nos citoyens, nostravailleurs et nos entreprises » soulignela préfète de la MRC madame GenevièveDubois.

MOBILISATION DES ACTEURS ÉCONOMIQUES POUR LA COVID

Rappelons que la MRC de Nicolet-Ya-maska a rapidement mis sur pied au prin-temps dernier une cellule d'aide pour lesentreprises, formée du Pôle d'économiesociale, de Micro-Entreprendre, de laSADC Nicolet-Bécancour, de la Chambrede commerce et d'industrie du cœur duQuébec et grâce à la collaboration du gou-vernement du Québec. La force de ce ré-seau complémentaire permet de catalyserles efforts de toutes ces organisations pouraider les employeurs et les travailleurs àtraverser cette crise.

Plusieurs annonces à saveur écono-mique ont été faites récemment par lesdifférents paliers de gouvernements de-puis le début de la crise, n'hésitez pas ànous contacter pour y voir plus clair. Vouspouvez rejoindre l'équipe par téléphoneau 819 519-2997 ou par courriel [email protected]. Nous invitons les en-trepreneurs à consulter notre page Face-book a u w w w . f a c e b o o k . c o m /MRCdeNicoletYamaska/

CONCOURS

*L’offre est réservée aux citoyens de la MRC de Nicolet- Yamaskaet comprend un tuteur, une sellette et un sac de paillis.

COMMENT FAIRE?

1. ‘‘Aimez’’ la publication du concours sur la page Facebook de la MRC de Nicolet-Yamaska

2. ‘‘Commentez’’ la publication en indiquant quel arbre vous souhaiteriez gagner!

3. Le tirage aura lieu le 23 septembre 2020, nouscommuniquerons avec les gagnants.

POURQUOI?Dans le cadre de la Journée nationale de l’arbre, la MRC de Nicolet-Yamaska tient à souligner l’importance de l’arbre dans notre milieu. Plantez généreusement! Une initiative issue du Plan de transition écologique

de la MRC de Nicolet-Yamaska.

GAGNEZ l’arbre de votre choix livré à la maison!*Comment planter un arbre?

Source : www.espacepourlavie.ca

SelletteTuteur

Sol amandéSol non remanié

600 mm


Affaires

Projet d'agrandissementà l'usine Techno Feu Inc.

PAR ÉMILIE PROULX

François Proulx est, depuis 2009, lepromoteur derrière l'entreprise à succèsTechno Feu Inc. Il chapeaute en ce mo-ment un très gros projet ; un agrandisse-ment de 55 par 70 pieds, au coûtd'environ 1,5 million de dollars.

Cette rénovation majeure, qui sera re-liée au bâtiment actuel par un corridor in-térieur, apportera de nombreusesaméliorations. Tout d'abord, il y aura del'espace pour 6 camions additionnels et ledépartement des pièces sera rénové ettriplera sa superficie.

Comme nous sommes en pleine pandé-mie, la construction comporte de nou-veaux défis. Entre autres, il faut prévoirune zone tampon entre les travailleurs dela construction et les travailleurs de l'en-treprise. Ensuite, il faut prévoir une dis-tanciation sociale sur le chantier. Toutceci cause des délais plus importants.

Il y aura également de nouveaux bu-reaux et une nouvelle salle des employés.Cette dernière sera au goût du jour et très

moderne, comportant entre autres destélévisions.

FRANÇOIS PROULX, UN ENTREPRENEUR DE CŒUR

Le bien-être au travail est une valeurimportante dans la gestion de FrançoisProulx. En effet, il mentionne à proposede son équipe : « Nous sommes tous unegrande famille!» Il souhaite que tous, ycompris lui-même, soient au service del'organisation plutôt qu'au service de l'en-trepreneur. Il est important pour lui quel'entreprise supporte les employés etleurs familles lorsque ces derniers viventdes temps difficiles, au niveau privé ouautres. Le sentiment d'appartenance sedoit d'être puissant.

Depuis son acquisition, François Proulxa amené l'entreprise à connaître une bellecroissance. De 19 employés, elle a main-tenant plus de 60 employés répartis sur 3localisations. Le chiffre d'affaires a, quantà lui, quadruplé.

M. Proulx est aussi impliqué dans lacommunauté. Il a fait un don de 15 000 $à la Fondation Santé Bas-Saint-Françoisqui amasse des fonds en vue de mettresur pied une mini-urgence à Pierrevilleafin de s'assurer que les familles soientbien traitées.

Dans les prochaines années, cet entre-preneur impliqué et à succès, a plusieursautres projets sur la table... Restez à l'af-fût !

PHOTO GRACIEUSETÉ En contexte de pandémie, la construction de l'agrandissement de 3 850 pieds carrés comporte de nouveaux défis.

Un investissement estimé à 1,5 million de dollars pour les installations de Saint-François-du-Lac


PAR MARIE-CHRISTINE TESSIERCONSEILLÈRE EN DÉVELOPPEMENT ET COORDONNATRICE AU MEN-TORAT POUR ENTREPRENEURS

En cette période particulière,la SADC de Nicolet-Bécancourreste présente et active pour lesentreprises du territoire qui sontconfrontées à de nouveaux défiset à de nouvelles opportunités.

Que ce soit pour les organisa-tions qui souhaitent prendre del'expansion ou se moderniser, oudans un contexte d'acquisitiond'entreprise, la SADC peut inter-venir financièrement selon lesbesoins exprimés. En plus defournir des services-conseils etun accompagnement personna-lisé, l'équipe d'analystes finan-ciers est en œuvre pour décelerdes opportunités dans une pers-pective d'amélioration continue.

La SADC de Nicolet-Bécancouroffre depuis 2001 du mentorat in-dividuel afin de soutenir les en-trepreneurs. Dès la fin septem-bre, c'est un tout nouveauservice de mentorat de groupequi sera proposé aux entrepre-neurs de la région. Ce type dementorat, en plus de permettreaux participants d'échanger et departager sur des sujets communs,vise à développer le plein poten-tiel des entrepreneurs tout encréant un réseautage fort. La co-horte 2020-2021 débutera le

24 septembre prochain. Les ren-contres se dérouleront de 8 h à10 h, à raison de 8 rencontres parannée, et seront encadrées par

un mentor expérimenté. Des thé-matiques seront proposées par legroupe et seront axées sur le dé-veloppement personnel de l'en-

trepreneur(e) (vision d'entreprise,leadership, savoir bien s'entou-rer, culture d'entreprise, tolé-rance au risque, etc.).

Le développement durableétant au cœur de l'organisation,l'équipe accompagne les entre-prises dans des démarches dedéveloppement intégré qui prenden compte des sphères crucialesdans la santé d'une entreprise : la gouvernance, l'économie, l'en-vironnement et l'aspect social. LaSADC présentera le 19 octobreprochain une conférence adaptéeà la crise actuelle : « Préparerl'après-crise, le développementdurable au service de l'innovationet de la rentabilité ». Au débutdécembre, ce sera l'approvision-nement responsable qui sera auprogramme afin d'informer etde sensibiliser les organisationsde l'impact qu'ils peuvent avoirsur leur territoire et dans leuréquipe.

Via son programme ProAction,la SADC de Nicolet-Bécancourpoursuit son travail d'accompa-gnement personnalisé avec plu-sieurs entreprises qui souhaitententamer des démarches en dé-veloppement durable.

Par ces différentes actionsconcrètes et adaptées, l'équipede la SADC permet aux entre-prises de se propulser et d'êtredes acteurs actifs de leur com-munauté.

Pour plus d'information, visitezle site internet de la SADC de Ni-colet-Bécancour à l'adresse:www.sadcnicoletbecancour.ca

La SADC de Nicolet-Bécancour,toujours présente pour les entrepreneurs

PHOTO GRACIEUSETÉ L'équipe de la Société d'aide au développement des collectivités (SADC) de Nicolet-Bécancour: Candide Paquin, Geneviève Beauchemin, Steve Brunelle, Carolyne Aubin, Guy Masson, Marie-Christine Tessier et Thérèse Ricard.

Affaires

Par ces différentes actions concrètes et adaptées, l'équipe de la SADC permet aux entreprises de se propulser et d'être des acteurs actifs de leur communauté.

Le Réseau RH Nicolet-Bécan-cour, qui a pour mission de per-mettre le réseautage de per-sonnes travaillant de près ou deloin en ressources humainesdans des entreprises de Nicolet-Bécancour, se renouvelle pourune septième année. Le comitéorganisateur présente cette an-née une programmation sur me-

sure pour répondre aux besoinsde ces gestionnaires dans lecontexte actuel. Ce sont cinq oc-casions de réseautage et de for-mations qui permettront à desprofessionnels d'améliorer leurspratiques en gestion des res-sources humaines. La premièrerencontre se tiendra virtuelle-ment le 25 septembre prochain

à l'occasion d'une formation surle télétravail. Suivront dans l'an-née ces différentes thématiques :communication en situation decrise, culture d'entreprise, lasanté mentale du gestionnaireRH et la gestion de la détressepsychologique chez les em-ployés. Il suffit de contacter laSADC de Nicolet-Bécancour

pour devenir membre du Ré-seau RH. Outre les formations,le partage d'idées et d'outils detravail seront au coeur des ren-contres. Celles-ci donneront l'oc-casion aux participants de seressourcer sur le plan profes-sionnel et d'accéder à un réseaude contacts. Par le biais de sesactivités et de ses moyens de

communication, le Réseau RHNicolet-Bécancour contribue ac-tivement au développement dela profession et des compétencesde ses membres. Ce réseau estcoordonné par la SADC de Ni-colet-Bécancour, en parte-nariat avec la MRC de Ni-colet-Yamaska etServices Québec.

Le Réseau RH Nicolet-Bécancour présente sa nouvelle programmation


Affaires

PAR MARIE-CHRISTINE TESSIERCONSEILLÈRE EN DÉVELOPPEMENT ET COORDONNATRICE AU MEN-TORAT POUR ENTREPRENEURS

La cellule de mentorat de Ni-colet-Bécancour, coordonnée parla SADC de Nicolet-Bécancour,présente une nouvelle offre per-manente aux entrepreneur(e)s dela région : le mentorat de groupe.

Ce type de mentorat, en plusde permettre aux participant(e)sd'échanger et de partager surdes sujets communs, vise à dé-velopper le plein potentiel desentrepreneur(e)s tout en créantun réseautage fort.

« Le mentorat de groupe per-met de challenger la vision desentrepreneurs mentorés, de lesinspirer, de renforcer leurconfiance et de briser leur isole-ment ». - Réseau Mentorat

COHORTE 2020-2021La cohorte 2020-2021 débu-

tera le 24 septembre prochain.

Les rencontres se dérouleront de8h à 10h, à raison de 8 rencontrespar année, et seront encadréespar un mentor expérimenté. Desthématiques seront proposéespar le groupe et seront axées surle développement personnel del'entrepreneur(e) (vision d'entre-prise, leadership, savoir biens'entourer, culture d'entreprise,tolérance au risque, etc.).

«En début de crise de lacovid-19, la SADC de Nicolet-Bécancour avait implanté unservice semblable pour offrirrapidement aux entrepreneur(e)sun lieu de partage et deréflexions. La réussite de ce pro-jet-pilote a permis de rendre ceservice permanent ». - Marie-Christine Tessier, coor-donnatrice de la cellule dementorat de Nicolet-Bécancour

NOUVEAUX MENTORS ET NOUVEAU PRÉSIDENT RÉGIONAL

En plus de M. Claude Deshaies,retraité de Ganotec, qui a jointl'équipe de mentors au printempsdernier, la cellule de mentorat deNicolet-Bécancour a récemmentaccueilli dans son équipe MmeMaria Duval, propriétaire de laboutique Prêt-à-reporter, et M.Sébastien Doire, directeur géné-ral de la sécurité civile MauricieCentre-du-Québec. L'équipe de13 mentors répond à de nom-breux besoins sur le territoire enaccompagnant des entrepreneursde façon bénévole. Par ailleurs,la communauté de mentorat duCentre-du-Québec, qui compte4 cellules, mise sur un nouveauprésident depuis le printempsdernier. En effet, M. Steve Bru-nelle, directeur général de la

SADC de Nicolet-Bécancour, aété élu en tant que président duconseil régional de mentorat dela région.

UNE PORTÉE OUTRE-MERLa chef-mentore de la cellule,

Mme Danielle Gamelin, ferarayonner le mentorat jusqu'enTunisie avec le Réseau Mentorat.Avec la collaboration de Déve-loppement international Desjar-dins, Mme Gamelin contribueraà la mise en place d'une cellulede mentorat pour femmes. Elleparticipera au recrutement desmentores et du choix de la chef-mentore, tout en offrant des for-mations et de l'accompagnement.Cette reconnaissance est le ré-sultat d'une implication active etrigoureuse de Mme Gamelin dansle mentorat pour entrepreneurs.

La cellule de mentorat de Nicolet-Bécancour en plein essor« Le mentorat de groupe permet de challenger la vision des entrepreneurs mentorés (...) » - Réseau Mentorat


Affaires

PAR ÉMILIE POIRIER

Une bonne stratégie de marketing et de com-munications inclut des envois courriels, que votreentreprise s'adresse aux consommateurs ouqu'elle s'adresse aux autres entreprises.Envoyerdes infolettres est bien sûr un art en soi, mais voicide bonnes astuces pour vous aider à en concevoirdes percutantes.

UN SUJET QUI ÉVEILLE L'INTÉRÊTUn des grands défis du marketing par cour-riels consistent à avoir un bon taux d'ou-verture. Afin d'inciter vos destinataires à

ouvrir votre infolettre, il vous faut un sujet quiéveillera leur intérêt. Que ce soit par l'humour, parla curiosité, par une annonce particulière ou parune promotion intéressante, veiller à avoir un sujetqui sort de l'ordinaire et qui varie d'un envoi àl'autre.

UN DESIGN ATTRACTIF ET ADAPTATIF AUX MOBILESTout en prenant en compte que les imagessont peu souvent téléchargées, l'ensemble

du design de votre infolettre doit être attractiveet adaptative aux mobiles. En d'autres mots, lecontenu doit s'adapter à la grosseur de l'écranavec lequel il est consulté (ordinateur, tablette,mobile). Par exemple, si tout le texte est sousforme d'image, il sera peu vu sur mobile, car lesimages sont peu téléchargées.

UNE PAGE DE DESTINATION INTÉRESSANTEAfin de convertir vos lecteurs, prenez letemps de réfléchir au contenu de la page

sur laquelle ils atterriront lorsqu'ils cliqueront surles liens présents dans le contenu de votre infolet-tre. Cette page doit être en lien direct avec lecourriel, et non avoir un contenu trop général. Aubesoin, prévoyez plusieurs pages différentes pourplusieurs liens cliquables.

DES STATISTIQUES À ANALYSERLes statistiques de vos courriels sont im-portantes à analyser; taux d'ouverture,taux de clics, taux de désabonnement, etc.

En analysant vos résultats, vous comprendrez demieux en mieux vos lecteurs et leurs intérêts.Vous améliorerez vos envois, et vous aurez de plusen plus de retombées positives suite à ceux-ci. Ul-timement, votre retour sur investissement serameilleur.

DES TESTS A/B FRÉQUENTSIl est très important de tester vos sujets,vos boutons d'appel-à-l'action, vos images,etc. Plus vous testerez et analyserez les

résultats de ces tests, plus vous affinerez vosconnaissances relatives à vos abonnés ainsi qu'àce qui fonctionne bien, et moins bien.

En suivant ces astuces de pro, vous arriverez àoptimiser votre stratégie d'envois courriels afind'obtenir des résultats hors du commun.

1

2

3Envoyer des infolettres percutantes

5

4

38, Marie-Victorin, Pierreville (Québec) J0G 1J0

450 568-6187 / [email protected]

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Un entrepreneur présent dans

sa région


16 Grâce à ma pleine conscience, ça va bien aller! par Danielle l’Heureux, naturopathe et conférencière Je vois, je sais, je dis, j’agis par Marie-Pier Lupien, intervenante au centre Reprends du pouvoir sur ta santé par Annie Désilets, Coach en Neuro-activ coaching

SEPTEMBRE

Accueillir l’inattendu par Nicole Houle, animatrice Un éléphant dans la pièce par Karine Leclerc, animatrice Découvrez le Qi Gong par Nathalie Eybrard, enseignante La charge émotionnelle par Chantal Mongrain, intervenante au centre

NOVEMBRE

Apprivoiser le mouvement par Karine Leclerc, animatrice

DÉCEMBRE

Les causeries du mercredi EXCEPTIONNELLEMENT AVEC INSCRIPTION GRATUIT !

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Brigade SPI : Sexisme, pas ici ! par Maryse St-Arnault, agente de projet et des communications de la TCMFCQ Les femmes qui soignent, les femmes au front par Francine Gélinas, professeure d’histoire à la retraite Les violences obstétricales et gynécologiques par Julie-Ève Proulx, vidéaste et animatrice Reläche

OCTOBRE

PROGRAMMATION AUTOMNE 2020

Les séries et ateliers ***Inscription à partir du 14 septembre***

Info. : 819 293-5958 Sans frais : 1 855 293-5958

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Vie au centre

Les rencontres auront lieu en visioconférence avec le logiciel Zoom. Vous devrez l’avoir installé sur votre ordinateur, tablette ou cellulaire intelligent. Nous serons disponibles pour du soutien technique au besoin. Pour celles qui n’ont pas accès à Internet, contactez-nous pour voir ce qu’il est possible de mettre en place afin que vous puissiez assister à la rencontre choisie. Pour pouvoir participer aux activités, vous devrez exceptionnellement vous inscrire auparavant afin que nous vous envoyions le lien de rencontre pour vous connecter à la visioconférence.

***essai/test d’une visioconférence pour les débutantes*** Jeudi 10 septembre de 13h30 à 16h

(INSCRIPTION AVANT LE 7 SEPTEMBRE)

Vous DEVEZ vous inscrire avant le lundi midi. Aucune exception ne sera faite puisque cette nouvelle façon de précéder amènera son lot de gestion pour l’équipe. Merci de votre compréhension. Prenez-note que, peu importe la raison de votre visite, avant de vous présenter au centre, vous DEVEZ prendre un rendez-vous afin de réduire les risques de transmission de la COVID-19.

Pour les causeries

Les Peurs avec Karine Leclerc, animatrice Elles sont sournoises, envahissantes, limitantes. Elles nous gardent fébriles, méfiantes, intolérantes, vulnérables. Elles prennent le contrôle de nos pensées, nos actions, nos paroles. Les peurs sont à des années-lumière du calme, de la confiance et de la liberté. Quand : Le mardi SOIR de 18h30 à 21h Dates : 29 septembre, 6-13 et 20 octobre 2020 Coût : 15$/membre, 25$/non-membre

Vous devez vous inscrire et avoir payé avant le 22 septembre

Les 4 V : Une alimentation Variée, Verte et Vivante pour contrer le Vieillissement

Avec Danielle L’Heureux, naturopathe et conférencière

Lors de cette série, nous verrons comment adopter de nouvelles habitudes alimentaires lorsque nous avançons en âge. Nous découvrirons ensemble que le principe des 4V est un moyen simple, accessible, savoureux et que nous aurions tous avantage à nous y adonner! Quand : Le jeudi de 13h30 à 16h Dates : 15-22-29 octobre 2020 Coût : 15$/membre, 25$/non-membre

Vous devez vous inscrire et avoir payé avant le 8 octobre

Diminuer mon stress par une meilleure gestion émotionnelle

avec Annie Désilets, coach en Neuro-Activ Coaching

Une série de cinq ateliers pour reprendre du pouvoir sur votre vie. Comment faire de vos émotions vos principales alliées? Venez le découvrir à travers ces ateliers qui vous proposent de transformer la relation que vous entretenez avec certaines émotions pour enrichir votre relation avec vous-mêmes et avec les autres.

PRIORITÉ AUX FEMMES INSCRITES AU PRINTEMPS Quand : Les jeudis de 13h45 à 16h15 Dates : 5-12-19-26 novembre et le 3 décembre 2020 Coût : 15$/membre, 25$/non-membre

Vous devez vous inscrire et avoir payé avant le 29 octobre

Dates importantes à mettre à votre agenda Mesdames ! Lancement de notre Site WEB

Nous profiterons de la Journée nationale des centres de femmes, le mardi 6 octobre pour dévoiler notre site Web

Surveillez la page Facebook ! La Marche mondiale des femmes

Le rassemblement de la MMF dans Lanaudière est annulé, mais restez alerte, car il y aura des actions au cours de

l’automne pour souligner la MMF Surveillez la page Facebook !

Mesdames, les intervenantes sont disponibles pour des renconres individuelles. Vous n’avez qu’à téléphoner!

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Actualités

Lancement des Rendez-vous culturels, le 12 septembre dernier. PHOTO FRANÇOIS BEAUDREAU

Les rendez-vous culturelsPAR JOCELYNE HAMEL

Le coup d'envoi des Rendez-vous culturels, une série degrandes rencontres visant à donner le goût du Québec à ungroupe de nouveaux arrivants, aété donné le 12 septembre der-nier avec une visite au VillageQuébécois d'Antan.

Regroupant près d'une ving-taine d'immigrants provenant deonze pays, les Rendez-vous cul-turels proposent aux participantsune série de grandes rencontres,organisée par Annick Corriveau,chargée de projet.

Après le Village Québécoisd'Antan, le groupe visitera leMusée National de la Photogra-phie Desjardins et Musée desAbénakis d'Odanak. Les partici-pants seront également invités àdes ateliers de poésie et d'im-provisation, en plus de presta-tions de contes, chansons et

danses traditionnelles, entre au-tres.

« Organisées dans le butd'améliorer la connaissance dufrançais oral des nouveaux arri-vants et de leur permettre de sefamiliariser avec l'histoire et laculture québécoises, ces activi-tés seront offertes dans un contexte ludique et social»,mentionne Annick Corriveau.

Les Rendez-vous culturelssont une initiative du Mouve-ment national des Québécoiseset Québécois (MNQ) qui soutientfinancièrement le projet, grâce àl'engagement du Secrétariat à lapromotion et à la valorisation dela langue française.

Ce projet est mis en œuvredans notre région par la SociétéSaint-Jean-Baptiste du Centre-du-Québec qui a pour mission lapromotion de la culture, de lafierté et de l'identité québé-coises.


chantier.qc.ca

L’économiesociale.Partout.Pourtous.

Une relance économique,c’estensemblequeça se construit.

251, Haut de la Rivière, Pierreville 450 [email protected]

Institut Annick Delabays, E.S., B.A.A. Formatrice et Consultante

[email protected]

170, St-Jean-Baptiste, Nicolet

819 244-5296

Entraînement des mouvementsrythmiques pour améliorer

24 au 25 septembre

Connexion du cerveaupour comportement

9 au 10 octobre

Prêt pour l'école

22 au 24 octobre RMT 1 et 2 pour Attention, organisation, compréhension

25 au 26 octobre RMT pour

Faire face à la peur

29 au 30 octobre RMT 3 pour Lecture et écriture

Actualités

Projet pilote enagriculture urbaine

La Ville de Sorel-Tracy lanceson premier projet pilote en agri-culture urbaine pour les trois pro-chaines années pour faire connaî-tre l'agriculture aux citoyens etaux élèves, en plus d'offrir desoutils et du soutien aux entre-preneurs locaux. « L'objectif dece projet pilote est de faire desliens entre le territoire, la biodi-versité, les acteurs du milieu etl'implication citoyenne», expliqueAlain Beaudin, commissaire agri-cole et producteur. Pour la réali-sation du projet, la Ville compte

sur la collaboration de la Sociétéd'Agriculture de Richelieu et dela Chambre de développementagricole. Le projet pilote est diviséen trois volets, soit de l'animationpour les écoles, des conférencescitoyennes et un service-conseilpour les entrepreneurs. « Notre population est désireuse d'en ap-prendre plus sur l'agriculture ur-baine, sur les avantages d'avoirson propre potager et sur la sou-veraineté alimentaire », soulignele maire de Sorel-Tracy, SergePéloquin. [F.B.]

Cégep de Sorel-Tracy : Lenombre d'étudiants en hausse

Le Cégep de Sorel-Tracy enre-gistre une hausse de 4 % de lapopulation étudiante lors de larentrée, par rapport à la mêmedate l'an dernier. Il en va demême dans les autres cégeps dela province, qui constatent uneaugmentation des inscriptionsmalgré le contexte relié à la pan-démie. « Je suis fière de consta-ter que malgré le caractère

particulier de cette rentrée d'au-tomne, les étudiants ont décidéde demeurer engagés dans leursétudes collégiales. Ces chiffresnous motivent à poursuivre lesefforts déployés afin qu'ils reçoi-vent tout le soutien nécessaire àl'atteinte de leur réussite éduca-tive », mentionne la directricegénérale du Cégep, StéphanieDesmarais. [F.B.]


Chronique

PAR MARIO COURCHESNE

Dans mon village ou dans maparoisse qui ne sont plus, ouplutôt qui n'ont plus la mêmetête, ni le même visage, maisqui ont gardé coeur et âme, sonnom, toutefois, ils ont perdu,une fois de plus. Municipalité dePierreville, vous êtes devenues.

Débutons si vous le voulezbien par le commencement. En-tendons-nous. On ne reculerapas au début, début, car on nesait pas trop qui a été du Néan-dertal à l'Autochtone en pas-sant par Cro-Magnon à occuperle territoire en premier. Pasquestion de provoquer uneautre chicane, genre, c'est moiqui suis arrivé le premier, à moitoute la contrée. Et de se re-trouver la 226 barricadée.

Pour se donner une chancede bien s'entendre et de mieuxse comprendre, commençonspar un bref historique docu-menté. An de grâce 1687. Colo-nisation par les Français dans larégion avec la construction dufort Crevier, du manoir sei-gneurial, de petites maisons, dumoulin à vent non loin du ma-rais Blazon et d'une chapelle.Tout ce bâtit était érigé sur lesnobles terres de la seigneuriede Saint-François. Une cinquan-taine de colons y vivaient. Voilàpour le premier baptême denotre coin de pays. C'est doncdire que l'île du Fort a été lepoint de départ pour le déve-loppement local de la Nouvelle-France en terre du Canada.

Passons maintenant auxchoses sérieuses, c'est à dire,aux nombreux changements denoms que la paroisse a subis en350 ans d'histoire. Possiblementun record Guinness en poche.Les voici, peut-être pas tous, nidans l'ordre d'attribution. Sei-gneurie de Saint-François,Saint-François-du-Lac, Saint-Thomas-de-Pierreville, Notre-Dame-des-Sept-Douleurs ,Notre-Dame-de-Pierreville, ettenez-vous bien, Pierreville Mills.

Chers concitoyens, lors devotre prochaine visite à Mont-réal vous pourrez clamer hautet fort qu'il n'y a pas que lesMontréalais avec leur bonjour-hi, à s'afficher en « anglas »,que le monde d'la campagnesont capables itou.

Comme mentionné en débutde chronique, ma paroisse aconservé son coeur et son âme,à l'image de tous ces petits vil-lages du Québec qui ne veulentpas mourir. Entourée par cetteimmense marée anglophone,notre belle province n'échappepas à cette crainte de mortalitélangagière. Ça serait-y encoreune fois, comme le chantait laBolduc, que nous avons un grosbouton s'ul bout d'la langue quinous empêche de bien la parler.Ça s'rait-y qu'on a la lalanguequi pend prête à se la faire cou-per. Gilles Vigneault a écrit,

« Je chante pour ne pas mou-rir » et c'est ce chant nourris-sant qui traverse le temps etprocure aux Québécois desouche comme aux immigrantsce désir, cet amour profondpour sa culture et sa terre d'at-tachement. Mon vieux chat, jepense, m'a dit un jour que lapeur de mourir ne mérite pasde vivre. Si la nation québé-coise a peur de son reflet et decelui de l'autre, ce voisin, cetétranger, cet inconnu dans lemiroir de la réalité, à quoi bonexister ? Si notre langue mater-nelle disparait un jour danscette énigmatique tour deBabel, eh bien, ce sera parceque nous aurons cessé de l'ai-mer. En attendant que ses sin'arrivent jamais j'aime bienpenser que vieux minet finale-ment me disait cela pour mefaire réfléchir et nourrir cetimaginaire sans fin qui alimentenotre destin et celui de l'autre.

La magnifique Molène com-mune qui accompagne le texte,mauvaise herbe en passant,s'appelle en latin Verbascumthapsus, aussi appelée Ciergede Notre-Dame. Elle pourraitêtre la fleur emblématique dela paroisse, quoique certainsAnglais la surnomment Cowboytoilet paper à cause de la dou-ceur veloutée de son feuillage.La suite est quelque peu irres-pirable. Une feuille traînant ausol déjà utilisée par un cowboypour essuyer son gros tas futramassée par un autre cowboypour se rouler une cigarette,étant donné la grande ressem-blance de la feuille au feuillagedu tabac. À sa première etunique poffe il s'étouffa, et lasurnomma, Tabac du diable. Fi-nalement, mauvaise idée del'ajouter aux armoiries de lamunicipalité, par contre, avec laCovid qui rôde toujours dans lesparages, elle devrait être uneherbe dite nuisible des mieuxprotégée pour essuyer en casde pénurie de papier nos be-soins quotidiens.

De you allons-nous ?Si notre langue maternelle disparait un jour dans cette énigmatique tourde Babel, eh bien, ce sera parce que nous aurons cessé de l'aimer.

PHOTO MARIO COURCHESNE La magnifique Molène commune, Verbascum thapsus, aussi appelée Cierge de Notre-Dame.

JE SUIS LÀ POUR VOUS!

DONALD MARTEL Député de Nicolet-Bécancour

Heureux d’être de retour

Permettez-moi d’abord de vous dire que je suis heureux de pouvoirreprendre l’écriture de cette chronique après quelques semainesd’absence. Je vous rappelle que je participe aussi à une chronique à laradio VIA 90,5, tous les vendredis à 8 h 05. J’utilise ces moyens decommunication pour vous soumettre mes idées et mes points de vue avecle plus de simplicité et de franchise possible et je vous encouraged’ailleurs à me faire part en tout temps de vos réactions en m’écrivant àl’adresse [email protected].

La crise que nous traversons bouleverse bien des habitudes et des façons defaire. En ce qui me concerne par exemple, j’ai dû annuler, le printempsdernier, deux activités qui me tiennent particulièrement à cœur, soit laGalerie du député et le 5 à 7 en hommage aux bénévoles, qui attirechaque année plusieurs centaines de personnes au Centre culturel de Saint-Grégoire. J’ai dû accepter de faire le deuil de ces deux événements, mêmes’ils constituaient pour moi des moments exceptionnels de rencontres etd’échanges avec mes concitoyens et concitoyennes. Je me promets quandmême de les faire revivre dès que la situation le permettra !

Je suis certain que, de votre côté, la pandémie vous a vous aussi forcé àmettre de côté des projets auxquels vous teniez. Mais je constate que, dansl’ensemble, vous avez accepté de suivre les recommandations de la santé

publique avec beaucoup de discipline et de sens civique et je veux vous en

remercier et vous redire que je suis très fier de vous.

L’arrivée prochaine de l’automne nous amènera à nous réfugier à l’intérieuret la reprise de nos activités routinières favorisera davantage les contactsentre personnes, en famille ou au travail. Cela entraînera des situations àrisque et il sera donc important de ne pas baisser la garde et de continuerd’être vigilants en respectant toutes les règles sanitaires. C’est la façon laplus sûre de conserver l’espoir d’un retour à la normale dans les meilleursdélais possible.

819 233-3521 • 1 855 333-3521 [email protected]

Suivez notre député!


Chronique

PAR LIONEL ÉMARD, PTRE

+Vient de paraître aux ÉditionsBoréal, Georges-Henri Lévesque,un clerc dans la modernité, unlivre qui devrait faire parler. Sonauteur ? Jules Racine St-Jacques,un jeune des carrés rouges duprintemps érable en 2012 ; contrairement à ses devanciershistoriens qui divisent l'histoiredu Québec en deux, avant la ré-volution tranquille, où tout étaitnoir, après la révolution tran-quille (1955) où tout s'éclaircit,Jules Racine St-Jacques présenteune pensée plus nuancée. Il lemontre avec son travail sur lePère Georges-Henri Lévesque,un dominicain. Si certains, dansl'Église d'hier, étaient plus préoc-cupés de protéger l'ordre établi,le Père Lévesque a une toutautre pensée et engagement ;pour sortir les canadiens-français

catholiques des années 1930 dela misère et de la soumission, ilpropose de faire une distinctionentre le spirituel et le matériel ; en langage d'aujourd'hui, qu'onreconnaisse la séparation del'Église et de la religion et qu'onreconnaisse aussi l'autonomie etl'autorité propres de chacune desdeux. Un exemple de cette dis-tinction et autonomie de cha-cune des deux ? En 1940, dans larevue Ensemble, il propose lanon-confessionnalité des coopé-ratives agricoles. Ça joué dure àl'intérieur de l'Église, certainsétaient pour, d'autres contre.Pour le Père Lévesque, sa penséen'était pas que des mots, il s'en-gage dans la direction de l'Écoledes sciences sociales, un foyerinstitutionnel du coopératisme àl'Université Laval.

C'est vrai, l'Église occupaitpresque toute la place et avait

une voix forte hier ; mais danscette même Église et Société desannées 1930, ce n'était pas unepensée uniforme, ça jouait durentre les pour et les contre, on levoit avec le Père Lévesque et leprêtre Lionel Groulx. Au-jourd'hui, il semble que ce soit lecontraire que nous voyons ; c'estune Église silencieuse et effacéequi est là ; c'est encore plus évi-dent avec la pandémie de laCovid-19 que nous vivons pré-sentement. Hier, l'Église y auraitvu une « malédiction de Dieu»;aujourd'hui que dit-elle ? Rien.Oh, il y a bien eu la sortie de l'ar-chevêque de Québec, M. le car-dinal Cyprien Lacroix, et avec laraison, à propos de la façon dontle Gouvernement du Québec atraité le déconfinement des lieuxde culte ici au Québec.

Voir dans la pandémie d'au-jourd'hui une malédiction de

Dieu est une connerie, etl'Église a raison de ne pas s'em-barquer dans une telle connerie.Mais où est sa parole pour cesparents qui ont peur d'envoyerleurs enfants à l'école à causede la pandémie ? Où est sa pa-role pour ces jeunes qui ne sa-vent plus s'ils doiventpoursuivre leurs études ou ris-quer de devenir les chômeursde demain ? Où est sa parolepour toutes ces personnes quiont perdu leur emploi à causede la pandémie ? Où est sa pa-role pour ces personnes âgéesqui meurent seules dans le si-lence ? L'Église n'a rien à dire àtoutes ces personnes, à la Sociétéd'ici ? Ce n'est pas son domainede compétence ? Serait-ce quecette Église vit sur terre, étran-gère aux tristesses et angoissesdes humains d'aujourd'hui etd'ici ?

RACINE ST-JACQUES, Jules. Georges-Henri Lévesque, unclerc dans la modernité. Mont-réal, Boréal, 2020, 492 p.

Aujourd'hui, une Église effacée et silencieuse ?

De plus, Baie-du-Febvre travaille intensément sur de futurs développements domiciliaires afin d’offrir des opportunités de construction aux familles souhaitant s’établir dans la municipalité. Ces dernières pourraient d’ailleurs profiter d’un crédit de taxes foncières sur les nouvelles constructions dans le cadre du Programme d’aide à la revitalisation. De nombreuses infrastructures en loisirs, comme la patinoire couverte, les parcs municipaux ainsi que les jeux d’eau récemment construits, sont accessibles aux citoyens. Les nouveaux jeux d’eau ne sont d’ailleurs que la phase 1 d’un vaste projet en pleine expansion à Baie-du-Febvre, duquel profiteront les citoyens de tous âges.

Vous avez un projet? Passez nous voir et il nous fera plaisir d’en discuter avec vous!

Dans le cadre de sa démarche de revitalisation, la municipalité de Baie-du-Febvre place les familles au cœur de ses priorités. Le nouveau Programme d’aide à la famille adopté par la Corporation de Développement communau-taire de Baie-du-Febvre, en vigueur depuis le 14 septembre, en est un bel exemple, avec une quantité appréciable d’avantages : 2 000 $ pour les familles qui font l’acquisition d’une maison à Baie-du-Febvre; 125 $ et un ensemble cadeau remis aux parents pour l’arrivée d’un nouveau-né; Subvention pour l’achat de couches lavables; Remboursement de frais de non-résident pour les activités culturelles et sportives des enfants; Remboursement d’une partie des frais de matériel pédagogique pour les élèves de l’École Paradis.

ALBUM JEUNESSE

Une courtepointe pour Chehab

Caroline Auger & Jean-Luc Trudel

BayardMars 2020

Une courtepointe pourChehab est un livre touchant qui aborde l'immigration ainsi que les peurs et les appréhensions vécues par l'enfant qui démarre un nouveau chapitre de sa vie dans un autre pays. L'histoire est racontée à travers les yeux de Chehab, jeune arabe réfugiée de guerre.

Chehab ne parle pas français, et l'auteure met bien cette difficulté de l'avant. Cependant, les gestes sont un langage universel et cela est bien démontré dans ce récit.

Également, avec certaines phrases à la tournure adoucie, le lecteur entrevoit une partie de l'enfer que Chehab a vécu dans son pays d'origine. Pour terminer, le concept de la courtepointe est brillant. C'est une magnifique façon de parler des différences qui nous rendent tous uniques, et pour expliquer que, ensemble, les humains forment un tout

ALBUM JEUNESSE

Un jardin pour Tipiti le colibri

Lucie Papineau & Lucie Crovatto

La Bagnole Juin 2020

Après les oiseaux du jardin, exposés dans la première aventure de Camille et Paolo, ce sont les pollinisateurs, tels que les abeilles et les papillons, qui sont en vedette dans cet album.

Ce récit apporte une autre vision face à ces petites bêtes. Plus encore, Camille et Paolo motivent les lecteurs à leur construire un modeste paradis dans leur jardin pour les contempler à l'œuvre.

Comme à l'habitude, les images de Lucie Crovatto m'ont conquise. Les feuilles et les fleurs ornent les pages avec un style doux et feutré.

En plus de nous donnerenvie d'accueillir toutesces petites bêtes dansnotre cour, ce livrenous a fait découvrir lesyrphe, le longicorne etd'autres espèces, dontcertaines sortes depapillons. Une autrebelle réalisation de ceduo de Lucie!

ALBUM JEUNESSE

L'épouvantailBeth Ferry &

Les frères Fan Scholastic

Septembre 2020

Dans cet album, leslecteurs entrevoientdeux années de la viede l'épouvantail.Pendant tout ce temps,le héros de l'histoiredemeure toujours aumême endroit, mais,étonnamment, le décorest distrayant. Lesillustrateurs ont suimaginer un paysagefascinant semétamorphosant au fildes saisons, desmoments de la journéeet des angles de vue.

Ce récit tout en rimesest celui d'un être depaille qui découvre unbébé corbeau blessé ettombé à ses pieds.C'est une histoired'entraide et d'amitiédans laquelle le lecteurprend connaissance dubonheur que les deuxpersonnages principauxs'apportentmutuellement.

Ce trio d'auteure-illustrateurs a ponduune œuvre danslaquelle tous leséléments s'accordent etforment un tout quifrôle la perfection.Cette histoire en estune qui réchauffeindéniablement lecœur.

ALBUM JEUNESSE

La ferme de la Haute-cour, Le cochon qui

voulait dire nonCarine Paquin &

Laurence Dechasse Michel Quintin

Août 2020

Les animaux de la ferme de la Haute-cour posent leur patte sur la tache de naissance de Gédéon le cochon, qui se trouve sur son postérieur, sans lui demander la permission. Grâce à Rosie, la nouvelle venue, Gédéon prend conscience qu'il n'a pas envie de se faire toucher les fesses, mais, plus en-core, qu'il a le droit de ne pas être à l'aise et de re-fuser. Et c'est ainsi que débute sa réflexion, qui deviendra également celle des lecteurs.

Cet album aborde le consentement à propos du contact physique, mais aussi vis-à-vis l'exploita-tion de l'image d'autrui. Carine Paquin a écrit un récit simple et efficace pour expliquer la notion de consentement ainsi que le fait que non signi-fie toujours non! La finale, mignonne à souhait, dé-montre bien qu'il est im-portant de s'assurer que la personne est d'accord et à l'aise avant de lui faire subir un contact qui pourrait lui déplaire. En-core une fois, l'auteure me surprend par le sujet, son angle d'approche ainsi que la profondeur du texte saupoudré, tout de même, d'une touche humoristique.

ROMAN

Civière 41 Catherine

Cloutier-Charrette Libre Expression

Août 2020

Flavie, la narratrice, ne mâche pas ses mots, et c'est parfait ainsi. La façon dont elle s'exprime est percutante. Flavie va directement dans le vif du sujet, la bipolarité. Ce récit qui aborde de plein front la santé mentale est plutôt lourd, surtout dans la première moitié, mais il est aussi ensoleillé.

J'ai été estomaquée par les mots utilisés, les tournures de phrases intelligemment écrites et criantes de vécu. De la poésie dure et belle à la fois. Catherine Cloutier-Charette a un talent indéniable.

Et, vers le milieu du roman, le récit prend un autre virage alors qu'un nouveau personnage s'incruste dans les lignes: Mimi. Cette adolescente est émouvante par son histoire. Mimi et Flavie sont deux filles fortes et touchantes qui façonnent ce récit d'une manière profonde et poignante.Chacune des deux vous fera assurément grandir!

ROMAN

Illuminae, tome 1, Dossier Alexander

Amie Kaufman & Jay Kristoff

AdA2016

Illuminae est un roman décapant, un livre unique. Les auteurs livrent les gestes, les paroles et les pensées des personnages par des rapports, des envois de courriels, des descriptions de fichiers vidéo, des clavardages et des extraits du journal intime de Kady. Et, à travers tout cela, il y a des images et des informations sur les vaisseaux ainsi qu'une liste de noms et de photos des victimes. Tous ces éléments sont captivants au point où l'on oublie le grand nombre de pages. Et, à un certain moment, Aidan, l'intelligence artificielle s'exprime et s'adresse au personnage principal. Ces passages sont délicieux, angoissants et drôles. Le lecteur lit ce livre aux côtés de Kady, qui essaie de sauver une partie de son peuple, avec les émotions à fleur de peau, en parallèle avec ce qu'elle vit. C'est un coup de cœur d'une intensité que je ressens rarement.


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Avis est par les présentes donné que le rôle triennal d'évaluation foncière de la Municipalité de Baie-du-Febvre, en vigueur en 2021 pour son troisième exercice financier a été déposé le 10 septembre 2020, et que toute personne peut en prendre connaissance à l’édifice municipal durant les heures d'affaires régulières. Conformément aux dispositions de l'article 74.1 de la Loi sur la fiscalité municipale, avis est également donné que toute personne ayant un intérêt à cet effet peut disposer, à l'égard de ce rôle, une demande de révision prévue par la section I du chapitre X de cette loi, au motif que l'évaluateur n'a pas effectué une modification qu'il aurait dû y apporter en vertu de la loi. Pour être recevable, une telle demande de révision doit remplir les conditions suivantes:

· être déposée avant le 1er mai 2021;

· être déposée à l'endroit suivant ou y être envoyée par courrier recommandé:

M.R.C. de Nicolet-Yamaska

257-1, rue de Mgr.-Courchesne Nicolet (Québec) J3T 2C1

· être faite sur le formulaire prescrit à cette fin et disponible à l'endroit ci-dessus indiqué;

· être accompagnée de la somme d'argent déterminée

par le règlement 97-15 de la M.R.C. Nicolet-Yamaska et applicable à l'unité d'évaluation visée par la demande.

Donné à Baie-du-Febvre, Ce 10 septembre 2020 Maryse Baril, dir. gén. / sec. très. Municipalité de Baie-du-Febvre

AVIS PUBLIC RÔLE D'ÉVALUATION TRIENNAL

2019 – 2020 – 2021 3e exercice

PROVINCE DE QUÉBEC MUNICIPALITÉ DE BAIE-DU-FEBVRE M.R.C. DE NICOLET-YAMASKA

AVIS PUBLIC est par les présentes donné, que le 1er janvier 2021, débutera la deuxième année d'application du rôle triennal d'évaluation foncière de la municipalité de La Visitation-de-Yamaska pour les années 2020-2021-2022. Conformément aux dispositions de l'article 74.1 de la Loi sur la fiscalité municipale, avis est également donné que toute personne ayant un intérêt à cet effet, peut déposer une demande de révision prévue par la section I du chapitre X de cette loi, au motif que l'évaluateur n'a pas effectué une modification qu'il aurait dû apporter en vertu de la loi. Pour être recevable, une telle demande de révision doit remplir les conditions suivantes :

· Être déposée au cours de l'exercice financier pendant lequel survient un événement justifiant une modification du rôle en vertu de la loi, ou au cours de l'exercice suivant; · Être déposée à l’endroit suivant ou y être envoyée par courrier recommandé :

M.R.C. Nicolet-Yamaska

257-1, rue Mgr-Courchesne Nicolet (Québec) J3T 2C1

· Être faite sur formulaire prescrit à cette fin et disponible à l’endroit ci-dessus indiqué; · Être accompagnée de la somme d’argent déterminée par le règlement 97-15 de la M.R.C. Nicolet-Yamaska et applicable à l’unité d’évaluation visée par la demande.

Donné à La Visitation-de-Yamaska Ce 10 septembre 2020 Suzanne Bibeau Dir. gén. et sec.-trés.

PROVINCE DE QUÉBEC MUNICIPALITÉ DE LA VISITATION-DE-YAMASKA

AVIS PUBLIC

DEUXIÈME ANNÉE DU RÔLE TRIENNAL 2020-2021-2022

POUR L'EXERCICE FINANCIER 2021

Service Avis Avis

POUR VOS PETITES ANNONCES COMPOSEZ LE 450 568-3186

Emploi


PIERREVILLE

Loisirs de Pierreville Un mot de remerciement pour l'implication de

quatre bénévoles: Samuel Bourque, JoannieCourchesne, Olivier Bourque et Alexis Bourque. Mercide votre grande générosité et du temps de qualité quevous avez offert à plus d'une trentaine d'enfants de larégion lors des pratiques de manipulation de ballon desoccer cet été.

Nous vous invitons aux activités suivantes : Jusqu’au30 septembre, Zumba gratuit tous les mercredis de18h30 au Parc Lafrenière.

C’est aussi le retour du Club de marche du Bas-St-François.

Nous sommes toujours à la recherche de bénévolespour prévoir les sorties en respectant les consignes dedistanciation sociale.

Pour donner votre nom ou pour informationcontactez Josée Bussières, agente de loisir et de la viecommunautaire: 450 494-9186

NICOLET

Causeries à la Collective desfemmes de Nicolet et région

La Collective vous invite à ses causeries gratuites avecinscription tous les mercredis de 13h30 à 16h. Causeriesse feront par Zoom. L’inscription est obligatoire avantle lundi midi précédent la causerie.

23 septembre : Je vois, je sais, je dis, j’agis, par Marie-Pier Lupien, intervenante au centre.

30 septembre : Reprends du pouvoir sur ta santé, parAnnie Désilets, coach en Neuro-Activ coaching.

7 octobre : Brigade SPI : Sexisme, pas ici !, parMaryse St-Arnault, agente de projet et descommunications de la TCMFCQ.

14 octobre : Les femmes qui soignent, les femmes aufront., par Francine Gélinas, professeure d’histoire à laretraite.

Information : Collective des femmes 690, Mgr Panetà Nicolet 819 293-5958 ou 1 855 293-5958.

BAS-SAINT-FRANÇOIS

Activités au Centre d’actionbénévole du Lac St-Pierre

Voici les prochaines activités au Centre : Comptoir

alimentaire les 29 septembre et 13 octobre. Inscriptionsobligatoires avant 16h le 21 septembre et 5 octobre.

La distribution de la popote roulante (repas frais) sepoursuit à chaque semaine. Les inscriptions doivent sefaire entre le lundi et jeudi avant midi.

Nous avons aussi les téléphones d’amitié et serviceseffectués par la nouvelle travailleuse de milieu auprèsdes personnes aînées Claudy-Anne Lauzière.

Appelez au 450 568-3198 pour toute inscription ouinformation.

PIERREVILLE

Nouvelles de votre Club FADOQ

Alors que les activités sociales sont présentement enmode « pause » jusqu’à nouvel ordre, le Club dePierreville a tenu, mercredi dernier, 9 septembre 2020,son assemblée générale annuelle habituellement vécueau printemps. 36 présences ont été enregistrées. Leconseil d’administration 2020-2021 est formé de GinetteBoisvert, présidente, Pauline Lauzière, vice-présidente,Valentin Gava, secrétaire-trésorier, YolandeCourchesne et Francine Gosselin, administratrices. Unenouvelle équipe déjà passionnée, active, qui veut lemeilleur pour ses membres, privilégiant toujours lesmêmes valeurs à réinventer en ce temps de pandémie: la collaboration, le plaisir, le respect, l’éducation et lavitalité !

Des remerciements bien sincères sont adressés àBrigitte C. Paquette et Gilbert Beauregard pour leurdévouement, leur générosité, leur précieusecollaboration au cours de leurs mandats respectifs.Grands mercis à chacune et chacun de vous!

La FADOQ Club de Pierreville invite ses membres àse présenter le mercredi 23 septembre 2020, entre 9heures et midi, à l’église de Pierreville, secteur Notre-Dame, pour le renouvellement des cartes de membres2020-2021. Dû au respect des consignes sanitaires et àla distanciation sociale en vigueur, les membres sontattendus « masqués », les mains « purellées » dèsl’entrée! Le coût de la carte de membre est toujoursde 25 $, payable en argent comptant ou par chèque àl’ordre de FADOQ Club de Pierreville. La fidélité desmembres, un gage de motivation et d’engagement devotre Club!

Nous vous invitons à nos prochaines activités soit le1er octobre pour un dîner gratuit au Buffet desContinents de Drummondville pour la « Journéeinternationale des Aînés »; formation et réservationpour des groupes de 10 membres ou plus.

Le 9 octobre, cela sera un déjeuner et uneconférence animée par -madame Jacinthe Montminy,pharmacienne bien connue dans notre milieu.

Pour permettre la réalisation des activités bienanimées, offrir des déjeuners des plus savoureux, nousavons pu compter sur le soutien financier de laMunicipalité de Pierreville dont la contribution s’ajouteà la quote-part de chacun des membres.

Le Club de Pierreville se solidifie et voit grand! Nousvisons cette année, une moyenne de 50 participantsréguliers pour les activités et 2 nouvelles équipes debénévoles pour les déjeuners. Rien de moins!

Vous voulez vous joindre à nous? Rien de plus facile!Il s’agit de contacter un ou l’autre des membres duconseil d’administration et faire part de votre intérêt,la carte annuelle étant au coût de 25 $ dont 10$ enquote-part pour assurer la pérennité du Club dePierreville. Nous attendons votre appel!

Au plaisir de vous revoir ou de vous accueillir!Ginette Boisvert : 450 568-3670, Gilbert Beauregard : 450 783-6507 cell. 450-846-6507, Brigitte C. Paquette : 450 568-7051, Valentin Gava : 819 266-8030 ou PaulineLauzière : 450 568-2681

Inmemoriam

Gérard Verville 1935 - 2020

Suite au décès de M. Gérard Verville, survenu le 4 mars 2020 à l’âge de 84 ans et 10 mois, son épouse Jeannine, ses enfants et petits-enfants désirent remercier sincèrement tous les parents et amis qui ont témoigné des marques de sympathie, soit par fleurs, cartes, messes, dons, visites au salon, assistance à la liturgie ou toute autre façon que ce soit, ainsi que les personnes qui ont omis de s’inscrire. Veuillez considérer ces remerciements comme vous étant personnellement adressés.

Remerciements

volume 18 nº 7 Édition du 17 septembre 2020 18 000 ... · l’excavation des sols sera exécutée...

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