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Le journal bimensuel du SQFT FOI (EST) Région de Québec LE MERCREDI 31 JANVIER 2007 Adsum, Garnison Valcartier, CP 1000, succ. Forces, Courcelette (QC) G0A 4Z0. N o convention : 40012192 URGENT BESOIN DE MAISONS À VENDRE 653-5353 Courtier immobilier agréé Franchisé indépendant et autonome FORTIN DELAGE INC. COURTIER MARTIN COMEAU Agent immobilier affilié PARTICIPANT AU SERVICE DE RELOGEMENT DES FORCES CANADIENNES NOTAIRE Mario Boilard Depuis plus de 20 ans au service des militaires V VALCARTIER 842-4448 N Notaire autorisé par le P.R.F.C. AUTRE GRAND CHOIX DANS LE GUIDE RE/MAX ÉDITION FÉVRIER 2007 ou www.maggiepicard.com FORTIN DELAGE INC. COURTIER Courtier immobilier agréé 653-5353 MAGGIE PICARD Participante au Service de relogement des Forces canadiennes e , L L IBRE AVRIL 2007 CAP-ROUGE Intéressant jumelé, entrée mi-étage, aires ouvertes, belles grandes pièces, 4 cham- bres. Terrain paysagé. Piscine hors terre, 1 er acheteur, soyez au rendez-vous. Bâtiment irrégulier. V VENDU LEBOURGNEUF Luxueuse propriété comprenant 3 chambres à l'étage, foyer intégré au salon, cuisine rénovée 2003, terrain superbe, très bien paysager, cour à l'Ouest, garage. Soyez au rendez-vous. Transfert. V VENDU QUÉBEC, MONTCALM Rare dans le complexe: 4 1/2 pièces inclu- ant 2 chambres, 1 salle de bain , 1 salle d'eau d'origine. Près des services et des Plaines. Sécurité.Tranquilité. Frais communs inclus le chauffage. Bail en vigueur. 119 900$ SHANNON Nouvelle construction 2006. Nouveau secteur. Superbe cottage ayant de belles grandes pièces fenestrées à souhait. Armoires stratifiées. Portes françaises. Moulures. Terrain 32 000 pi 2 . M MAISON DE CHAMBRES STE-CATHERINE Maison à revenus comprenant 1 logement 3 1/2, 1 studio & 5chambres. Très bien entretenu au fil des ans, cuisine & salle de lavage communes. Terrain intéressant + piscine. Très bien située, proximité des servi- ces, centre Duchesnay et base militaire. L’Heure des familles avec la chaîne de commandement Êtes-vous prêt à relever le défi? Article en p. 5 Photo : cpl F. Charest, 35 GBC Photo : cpl F. Charest, 35 GBC Un millier de réservistes participent à un exercice ambitieux au Mississippi Un millier de réservistes participent à un exercice ambitieux au Mississippi Les 11 unités du 35 e Groupe-brigade du Canada se sont retrouvées au cœur d’un camp recréant le contexte d’un déploiement en Afghanistan. L’exercice, intitulé PÈLERIN VALEUREUX, était parfaitement adapté au contexte et à la menace actuelle, ce qui a permis aux réservistes de vivre une expérience intense et for- matrice. LISEZ L’ARTICLE EN P. 11 Les 11 unités du 35 e Groupe-brigade du Canada se sont retrouvées au cœur d’un camp recréant le contexte d’un déploiement en Afghanistan. L’exercice, intitulé PÈLERIN VALEUREUX, était parfaitement adapté au contexte et à la menace actuelle, ce qui a permis aux réservistes de vivre une expérience intense et for- matrice. LISEZ L’ARTICLE EN P. 11 Article en p. 3 et en p. 15, un résumé des questions posées à la rencontre du 24 janvier et des réponses données. À surveiller dans notre prochaine édition Cahier spécial Salon Multi-défis 2007 Pour en savoir plus long sur le Salon Multi-défis, lisez notre article en p. 3 Joyeux Carnaval! L’Adsum vous propose son choix d’activités en p. 14 Pour la Saint-Valentin, sur- prenez l’être aimé en lui déclarant votre amour dans notre prochaine édition. Vous l’aimez? Écrivez-le dans le journal! Détails en p. 17 L’Adsum envoyé à des centaines de familles! Le tirage du journal a été augmenté de 1850 copies pour être posté aux familles des militaires déployés en Afghanistan ou qui le seront en août prochain.

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Le journal bimensuel du SQFT FOI (EST)Région de Québec

LE MERCREDI 31 JANVIER 2007

Adsum, Garnison Valcartier, CP 1000, succ. Forces, Courcelette (QC) G0A 4Z0. No convention : 40012192

URGENTBESOIN DE MAISONS À VENDRE

653-5353

Courtier immobilier agrééFranchisé indépendant et autonome

FORTIN DELAGE INC. COURTIER

MARTIN COMEAUAgent immobilier affilié

PARTICIPANT AU SERVICE DE RELOGEMENT DES FORCES CANADIENNES

NOTAIRE

MarioBoilard

Depuis plus de 20 ansau service

des militaires

VVALCARTIER842-4448

NNotaire autorisé par le P.R.F.C.

AUTRE GRAND CHOIX DANS LE GUIDE RE/MAX ÉDITION FÉVRIER 2007 ou www.maggiepicard.com

FORTIN DELAGE INC. COURTIERCourtier immobilier agréé

6 5 3 - 5 3 5 3

MAGGIE PICARD

Participante au Service de relogement des Forces canadiennes

STE-CATHERINE1er acheteur. Jolie moderne de 3 chambresavec possibilité d'une 4e, bois franc+céramique, combustion lente à la sallefamiliale. Terrain paysager, haie de cèdre,piscine HT (toile 2 ans). Secteur jeune. Unevisite s'impose!139 000$

LL I B R E AVRIL 2007

CAP-ROUGEIntéressant jumelé, entrée mi-étage, airesouvertes, belles grandes pièces, 4 cham-bres. Terrain paysagé. Piscine hors terre, 1er

acheteur, soyez au rendez-vous. Bâtimentirrégulier.

VVENDULEBOURGNEUFLuxueuse propriété comprenant 3 chambresà l'étage, foyer intégré au salon, cuisinerénovée 2003, terrain superbe, très bienpaysager, cour à l'Ouest, garage. Soyez aurendez-vous. Transfert.

VVENDUQUÉBEC, MONTCALMRare dans le complexe: 4 1/2 pièces inclu-ant 2 chambres, 1 salle de bain , 1 salled'eau d'origine. Près des services et desPlaines. Sécurité.Tranquilité. Frais communsinclus le chauffage. Bail en vigueur.119 900$

SHANNONNouvelle construction 2006. Nouveausecteur. Superbe cottage ayant de bellesgrandes pièces fenestrées à souhait.Armoires stratifiées. Portes françaises.Moulures. Terrain 32 000 pi2.

MMAISON DE CHAMBRESSTE-CATHERINEMaison à revenus comprenant 1 logement 3 1/2, 1 studio & 5chambres. Très bienentretenu au fil des ans, cuisine & salle delavage communes. Terrain intéressant +piscine. Très bien située, proximité des servi-ces, centre Duchesnay et base militaire.

L’Heure des familles avec lachaîne de commandement

Êtes-vous prêt àrelever le défi?Article en p. 5

Photo : cpl F. Charest, 35 GBCPhoto : cpl F. Charest, 35 GBC

Un millier de réservistesparticipent à un exerciceambitieux au Mississippi

Un millier de réservistesparticipent à un exerciceambitieux au Mississippi

Les 11 unités du 35e Groupe-brigade du Canada se sont retrouvées au cœur d’uncamp recréant le contexte d’un déploiement en Afghanistan. L’exercice, intituléPÈLERIN VALEUREUX, était parfaitement adapté au contexte et à la menaceactuelle, ce qui a permis aux réservistes de vivre une expérience intense et for-matrice. LISEZ L’ARTICLE EN P. 11

Les 11 unités du 35e Groupe-brigade du Canada se sont retrouvées au cœur d’uncamp recréant le contexte d’un déploiement en Afghanistan. L’exercice, intituléPÈLERIN VALEUREUX, était parfaitement adapté au contexte et à la menaceactuelle, ce qui a permis aux réservistes de vivre une expérience intense et for-matrice. LISEZ L’ARTICLE EN P. 11

Article en p. 3 et en p. 15, un résumé desquestions posées à la rencontre du 24 janvieret des réponses données.

À surveiller dans notre prochaine édition

Cahier spécialSalon Multi-défis 2007Pour en savoir plus long sur le SalonMulti-défis, lisez notre article en p. 3

JoyeuxCarnaval!L’Adsum vous proposeson choix d’activités enp. 14

Pour la Saint-Valentin, sur-prenez l’être aimé en luidéclarant votre amour dansnotre prochaine édition.

Vous l’aimez?Écrivez-le dans le journal!

Détails en p. 17

L’Adsum envoyé à descentaines de familles!Le tirage du journal a été augmenté de1850 copies pour être posté aux famillesdes militaires déployés en Afghanistan ouqui le seront en août prochain.

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/ Page 3RENDEZ-VOUS MENSUELS DE L’HEURE DES FAMILLES AVEC LA CHAÎNE DE COMMANDEMENT

La technologie au service des familles

SSerez-vous du prochainSalon Multi-Défis?

SOINS DES MILITAIRES BLESSÉS DANS LES HÔPITAUX DE QUÉBEC

Qu’en sera-t-il des blessés originairesdes autres régions?À la suite de la publication de l’article intitulé«L’hôpital de l’Enfant-Jésus désigné pour soignerd’éventuels blessés rapatriés de l’Afghanistan»,en page 3 de notre édition du 18 janvier, un denos lecteurs a soulevé une question intéres-sante.Notre journal rapportait notamment que si desmilitaires de Valcartier étaient blessés au coursde leur mission en Afghanistan, ceux-ci, une foisrapatriés au pays, seraient dirigés vers l’hôpitalde l’Enfant-Jésus, ou vers d’autres institutions dela région de Québec, pour y recevoir les soinsappropriés tout en bénéficiant de la présence deleurs proches.Mais qu’en sera-t-il des militaires blessés dontl’unité d’appartenance n’est pas basée à Québecou encore pour ceux et celles qui ne sont pasoriginaires de la ville?Le major Chantal Descoteaux, médecin-chef dela Garnison Valcartier répond : «Un militaire re-levant de la Garnison Valcartier, mais dont lafamille habite une autre région (ce qui est par-fois le cas pour les célibataires), pourra être hos-pitalisé dans une institution de sa région si leniveau de soins y est adéquat. J’entends par làque si la famille se trouve à Montréal par exem-

ple, il n’y a aucun problème à évacuer ce patientvers Montréal le temps que celui-ci soit apte àrevenir à Valcartier. Cependant, un militaire quiserait originaire d’un village éloigné, où il n’y apas d’hôpital avec le niveau de soins approprié,sera soigné ici à Québec. Des arrangements sonttoutefois possibles afin que la famille du mili-taire blessé soit logée temporairement dans larégion.»Le major Descoteaux a cité l’exemple d’un jeunesoldat célibataire blessé en septembre 2006 enAfghanistan et dont elle assure personnellementle suivi. «Sa base d’affectation est Shilo, auManitoba. Sa famille habite Québec. Selon savolonté, il a demandé à être soigné ici.»La médecin-chef a indiqué à votre journal quedes ententes spécifiques existent actuellementavec des institutions de soins de santé duSaguenay et de Montréal, mais que les autresvilles ne seront pas exclues, non plus, commesites de soins. «Peut-être sera-t-il nécessaire desoigner des blessés quelques jours à Québec letemps qu’ils soient plus stables pour leur trans-fert ailleurs, plus près des membres de leurfamille.»

Par Yan BélangerJournal Adsum

Les militaires et les employés civilsainsi que leurs conjointes et conjointssont conviés à la 8e édition du SalonMulti-Défis. Une trentaine de standset autant de conférences attendent lepublic désireux de s’informer sur desthèmes abordant le développementprofessionnel, le perfectionnementacadémique, la seconde carrière, lechangement de métier et la retraite.«Le Salon Multi-Défis est une occasionunique de ressourcement professionnel etun moment propice pour amener les par-ticipants à se questionner sur leur développe-ment professionnel, indique MariseLévesque, coordonnatrice de l’événementqui est présenté par le Centre de transitionde carrière militaire (CTCM). Les gens peu-vent y aller par simple curiosité ou pour ypuiser des idées sur leur avenir profession-nel.»

La 8e édition de l’événement se tiendraà la Garnison Saint-Jean les 21 et 22 févri-er et une semaine plus tard à Valcartier, les28 février et 1er mars. «L’an dernier, on atenu le salon à Longue-Pointe.Malheureusement la participation a étédécevante d’où notre décision de le tenir ànouveau à la Rotonde de la Méga», préciseMme Lévesque.

Du côté de Valcartier, des changementsse sont également imposés. Les orga-nisateurs ont dû trouver un site différentpour tenir l’événement qui était confor-tablement installé depuis quelques annéesdans les locaux modernes du camp descadets, mais ceux-ci n’étaient pas disponiblesaux dates voulues cette année. Ainsi, il aété décidé d’installer les exposants dans lasalle Saint-Jean de la caserne du 1er Bataillon,Royal 22e Régiment, au bâtiment 314, etles conférences, juste en face, de l’autrecôté de la rue, à l’intérieur de l’Académie(bât. 534).

La dernière édition du Salon Multi-Défisremonte à l’automne 2005 et avait connuun succès sans précédent sur la GarnisonValcartier avec plus de 800 visiteurs. Lesorganisateurs sont conscients toutefoisque la situation risque d’être fort différentecette année puisqu’un nombre élevé de mi-

litaires ne seront pas encore revenus del’exercice RÉFLEXE RAPIDE qui se tientdepuis samedi à Fort Bliss au Texas.«Malheureusement, dû à l’horaire trèschargé pour l’ensemble des militaires dela garnison depuis l’automne dernier, celareprésentait pour nous un défi de ciblerune date idéale pour tenir l’événement.Nous sommes confiants que malgré letempo opérationnel, le Salon Multi-Défiscontinuera d’être bénéfique pour la com-munauté militaire.»

QUE RÉSERVE LA PROGRAMMATION?Encore cette année, les secteurs de la for-mation et de l’éducation, les services desoutien et de bien-être pour les militaireset les services financiers seront bien représen-tés au Salon dont la programmationrespectera grosso modo le format des édi-tions précédentes de l’événement, de l’aveude la coordonnatrice.

«On garde la formule gagnante des annéespassées. La Deuxième Force opérationnelleinterarmées (JTF 2) et le Régiment d’opéra-tions spéciales seront sur place pour fairela promotion auprès des militaires d’unecarrière au sein d’unités d’intervention spé-ciale. Des gens du Directeur - Soutien auxblessés et administration (DSBA) d’Ottawaviendront aussi parler des politiques etindemnités associées à la Réserve pour lesmilitaires blessés. Plusieurs interrogationsà ce sujet ont été soulevées par les mem-bres», mentionne Marise Lévesque.

Elle tenait à rappeler à nos lecteurs quele Salon Multi-Défis n’est pas axé unique-ment sur la seconde carrière, mais portebeaucoup sur le développement profes-sionnel. «Le Salon ne s’adresse pas exclu-sivement aux militaires qui sont à la veillede prendre leur retraite des Forces cana-diennes et souhaitent trouver une secondecarrière. Le développement professionnelest un incontournable dans le monde dutravail d’aujourd’hui, et les différents posteset métiers au sein de la Défense nationalen’y font pas exception», rappelle-t-elle.

Surveillez les prochaines éditions de l’Adsumet de Servir dans lesquelles vous trouverez unencart spécial présentant les exposantsprésents et l’horaire des conférences del’événement.

Par Yan BélangerJournal Adsum

Une quarantaine de personnes se sontdéplacées le 24 janvier au Centre com-munautaire de la Garnison Valcartier,pour prendre part au deuxième ren-dez-vous mensuel de L’heure desfamilles avec la chaîne de comman-dement. Grâce à la vidéo-conférence,un lien direct était établi entre l’as-sistance et le théâtre opérationnel àKandahar, en Afghanistan.Dans la salle, l’intérêt des participants pources rendez-vous était palpable. Quel récon-fort de voir les vôtres lorsqu’un océan voussépare! Kandahar était branché, mais égale-ment une vingtaine de personnes réuniesà Bagotville et Saint-Hubert; des conjoints,conjointes et parents de nos militairesdéployés en Afghanistan, invités à se join-dre «virtuellement» à la rencontre.

Coordonnée par le Groupe de soutien audéploiement (GSD), L’heure des famillesavec la chaîne de commandement est unmoment privilégié pour les familles de con-naître les dernières nouvelles du théâtreopérationnel et de partager leurs préoccu-pations avec la chaîne de commandement.

«Ces rencontres permettent aussi dedévelopper un lien de confiance entre lesautorités militaires et les familles qui se

sentent davantage concernées. Par ailleurs,c’est une belle occasion pour nous et lescentres de ressources pour les familles mi-litaires, comme organismes de soutien, deprendre le pouls de nos familles et de mieuxconnaître leurs besoins», a indiqué lecapitaine Dominique Vallée, du GSD.

Installés dans un modeste local, le majorRichard Collin, de l’Équipe provinciale dereconstruction, et le capitaine John Benson,de l’Équipe de liaison et de mentorat opéra-tionnel, ont accepté de servir d’interlocu-teurs depuis Kandahar. Il était 4 heures etdemie, heure locale à Kandahar, pour lesdeux «lève-tôt».

Respectant les habitudes établies pources rendez-vous, les deux officiers ont ouvertla rencontre par un bref exposé sur la si-tuation en théâtre. «Il pleut depuis 24 heures.Le mercure oscille autour des 15 degrésCelcius le jour. Le moral des troupes estexcellent. Nos gars sont très occupés», ont-il notamment mentionné.

Les questions du public, une quinzaineau total, ont touché plusieurs sujets (voirle texte «Retranscription des questionset réponses» en page 15).

Yvon et Louise Noël habitent Val-Bélair.Leur fils, le caporal-chef Jean-FrançoisNoël, sert actuellement à Kandahar, enAfghanistan, au sein de l’Équipe provin-ciale de reconstruction. «C’est une soirée

très intéressante qui nous permet de pren-dre le pouls de ce qui se passe là-bas enthéâtre, a indiqué le père, un ex-militairequi a servi à deux reprises au Moyen-Orient.C’est une activité à la fois pertinente et ras-surante qui nous permet de nous rapprocherd’eux quelques instants», a poursuivi M.Noël qui a confié avoir éprouvé quelquescraintes lorsque son gars a quitté le pays.

«C’est intéressant parce qu’on voit lesgars et comment ils se sentent. On constatequ’ils sont là parce qu’ils y croient. Ça nouspermet aussi de poser des questions surleurs conditions de vie, sur ce que l’on peutleur envoyer pour les aider et comment onpeut les appuyer ici pour faire une dif-férence», a expliqué une autre participante,Mme Viviane Lyrette, à la sortie de la ren-contre. Son conjoint, le caporal MarcBourque, est également déployé.

Cette deuxième rencontre comptait surla présence du brigadier-général ChristianBarabé, commandant du SQFT/FOI (Est),et du colonel Gerry Champagne, comman-dant du 5 GSS. Actuellement, près de300 familles du Québec vivent l’absenced’un proche militaire; elles seront prèsde 2500 à vivre la même situation dès lemois d’août.

La prochaine soirée de L’heure des famillesavec la chaîne de commandement est prévuepour le mercredi 21 février.

Une soixantaine de personnes ont participé à ladeuxième rencontre de L’heure des familles avec lachaîne de commandement tenue le 24 janvier auCentre communautaire de la Garnison Valcartier.Parmi l’assistance, en avant-plan à gauche, Yvon etLouise Noël, les parents du caporal-chef Jean-François Noël actuellement déployé enAfghanistan. - Photo : Y. Bélanger, journal Adsum

Sarah PerreaultDéputée de Chauveau

359, rue RacineQuébec (Québec) G2B 1E9

[email protected]

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L’opérationnalisation du 5 GSS : l’épreuve

Appelle avant qu’il ne soit trop tard!Du 4 au 10 février prochain, se tiendra la17e semaine de prévention du suicide. Lethème de la campagne est «Soyons vigilants,car des gens autour de nous pensent peut-être au suicide». Les objectifs de la semainesont de sensibiliser la population à l’impor-tance d’être attentif aux indices de détresseet aux comportements suicidaires, car «lesapparences sont parfois trompeuses» et d’en-courager les personnes suicidaires, leurentourage et les personnes endeuillées parle suicide à sortir de l’isolement et à deman-der de l’aide. Au Québec, 200 000 personnespensent au suicide chaque année.

COMMENT SAVOIR SI QUELQU’UN DE VOTREENTOURAGE PENSE AU SUICIDEVoici quelques indices qui pourraient vouspermettent de savoir si une personne de votreentourage pense au suicide :

MESSAGES INDIRECTS- Vous serez mieux sans moi...- Je veux en finir...- Bientôt je vais avoir la paix...- J’ai fini d’avoir mal...- Je suis inutile...- Je vais me tuer...- J’ai tout raté...- Je n’ai plus le goût de vivre...- Il n’y a rien qui fonctionne...- Il n’y a plus rien qui me...

INDICES PSYCHOLOGIQUES- Humeur instable- Incapacité d’avoir du plaisir- Tristesse, anxiété, angoisse, désespoir- Manque d’intérêt- Perte d’estime de soi, etc.

INDICES PHYSIOLOGIQUES- Fatigue extrême- Troubles de sommeil- Troubles de l’appétit- Maux physiques, etc.

INDICES COMPORTEMENTAUX- Changement de personnalité;

- Isolement/retrait;- Dons d’objets qui lui sont chers;- Faire son testament;- Négliger son hygiène personnelle;- Faire la paix avec l’entourage, etc.

COMMENT PEUT-ON AIDER UNE PERSONNEQUI PENSE AU SUICIDE?1) ÉÉcouter la personne : l’écoute, c’estmagique. Une oreille attentive vaut millemots. Surtout ne jugez pas, mais essayezplutôt de comprendre sa situation.2) PParlez ouvertement du suicide avec lapersonne : n’hésitez pas à poser la questionla plus directe possible «Penses-tu au sui-cide?», «As-tu des idées suicidaires?». Aussivérifier si la personne a un plan, où, quandet comment prévoit-elle passer à l’acte? Lefait d’en parler directement soulagera la per-sonne et brisera ainsi son isolement.3) AAssurez la sécurité de la personne : ilest important d’établir un plan d’action avecla personne. Éloignez la méthode choisie etau besoin, faites un contrat de vie, faites-lui promettre qu’elle ne fera pas de tentatived’ici à ce qu’elle reçoive l’aide nécessaire.N’oubliez surtout pas, tant que la personneest en vie, il y a de l’espoir!4) LL’aider à briser son isolement et à trou-ver des ressources : gardez contact avec lapersonne. Aidez-la à retrouver son réseausocial et familial. Il est essentiel de l’orientervers des ressources d’aide appropriées etde l’accompagner dans ses démarches. Luifaire sentir qu’elle n’est pas seule, qu’il y ad’autres solutions qui s’offrent à elle afin derégler ses problèmes.

Depuis près de deux ans maintenant, àValcartier s’est formé un comité de préven-tion du suicide par le programme «Éner-giser les forces» de la Promotion de la santé,sur lequel chaque unité/section de la garni-son est représentée. De plus, près de 600 per-sonnes ont suivi le programme de deux joursen prévention suicide, ASIST, offert par laPromotion de la santé. N’hésitez pas à com-muniquer avec elles au besoin. Elles sont àl’écoute pour mieux vous servir!

COMITÉ PRÉVENTION DU SUICIDE

Major Serge Bédard, QG 5GBMC 6318

Capt Guy D’Amours, 2 R22R 6281

Cpl Claude Racine, 3R22R 8155

Cplc Patrick Cavanagh, QGET 5951

Cpl Jimmy Laplante, 5 PPM 7994

Sgt Steve Falardeau, 5 RALC 6153

Adjum Michel Rivard, 5 RGC 5308

Cplc Daniel Roy, 12 RBC 4078

Capt Mathieu Côté, 430 ÉTAH 5796

Cpl Patrick Raymond, 5 BN S du C 3396

Sgt Jean Duguay, 5 GSS Sn Pers 6703

Marc-André Dufour, psychologue, CSV 7031

Sgt Sylvain Bérubé, CISQFT 4698

Matc Philippe Châtelais, 1R22R 4735

Dominique Desbiens, psychologue, CFV 6060

M1 Peter Godin, 5GSS PM 5836

PLUSIEURS RESSOURCES SONTDISPONIBLES POUR VOUS AIDER.Services de santé mentale du CSV : 5802

Aumôniers : 5473/5777

Police militaire : 7911

Centre de la famille Valcartier (CFV) : 6060

Centre de résolution de conflits (CRC) : 5416

Programme d’aide aux membres (PAM)(militaires et familles): 1 800 268-7708

Programme d’aide aux employés (PAE)employés fonction publique : 6729Programme d’aide aux employés (PAE)employés FNP : anglais 1 800 387 4765

français 1 800 361 5676

Centre de prévention du suicide de Québec :683-4588

Ligne provinciale prévention suicide : 1-866-APPELLE1-866-277-3553

Centre de crise : 688-4240

Tel-aide : 686-2433

Tous les CLSC locaux

Depuis le mois de mai 2006, je vous parlede la nécessité d’opérationnaliser le 5 GSSpar l’entremise d’un changement de cul-ture vers une formation de soutien inté-grée, une intégrité de nos trois forces etune focalisation plus grande sur les opéra-tions. Les pressions sur nos capacités durantla période de janvier 2007 à mars 2008 met-tront certainement cette opérationnalisa-tion du 5 GSS à l’épreuve tant du point devue de l’équipe que de la soutenabilité denos capacités.

Nous devrons être en mesure de com-poser avec les défis liés aux deux objectifsstratégiques prioritaires du chef d’état-major de la Défense, la génération de laforce incluant la régénération de nos forceset l’expansion des forces. Par conséquent,le 5 GSS mettra l’accent sur quatre lignesd’opérations comprenant la génération dela Force, le soutien institutionnel, la con-duite des opérations et la transformation.

Nous sommes tous conscients de l’im-portance de la montée en puissance de laForce opérationnelle 3-07 qui se traduirasous peu par des déploiements à Fort Blissau Texas et au Centre d’entraînement demanœuvres canadien à Wainwright.Le 5 GSS contribue à la génération de l’Élé-ment de soutien national comprenant en-viron 500 membres du 5e Bataillon desser-vices du Canada et du service de Soutienmatériel ainsi qu’une composante impor-tante de l’élément de commandementnational avec la Compagnie de policemilitaire et des renforts individuels au seinde l’état-major. Je tiens à souligner le suc-cès du partenariat que le 5 GSS entretient

avec les éléments desoutien et la police mil-itaire au sein des 34 et35 GBC. Cette contri-bution représente unimpact majeur au seinde notre formationrequérant des effortssupplémentaires detous nos membres tantpour le soutien auxexercices et déploie-ments en théâtre quepour le soutien institutionnel aux 145 unitésintégrées et hébergées dans notre zone deresponsabilité.

Le soutien institutionnel à la générationde la force entraînera deux exercices majeursde la FO 3-07 et les exercices annuels des34 et 35 GBC. Pour ce faire, les composantesde soutien et de la police militaire devrontmaintenir l’excellent soutien attendu de lapart des soldats des formations soutenues.De plus, je suis certain que notre appui àla régénération de la force dans la conduitedes cours au CISQ sera de premier ordre.

Une autre dimension importante du sou-tien institutionnel à la génération de laforce concerne le soutien aux déploiements.La tenue d’un séminaire, le 2 février, sur lebien-être de la troupe et des familles lorsde déploiements permettra de regroupertous les intervenants incluant spécialistes,unités soutenues et familles. Mon inten-tion est de créer un environnement solidepour leur assurer un soutien infaillible.Bien que la majorité des troupes provi-ennent de la Garnison Valcartier, l’effort

principal de cetteactivité sera axé surle soutien intégré etuniversel à lagrandeur de la zonede responsabilité duSQFT/FOI (Est). Lesfamilles ont étéinvitées à participerà ce séminaireélaboré pour leurbénéfice.

Le soutien institutionnel à l’expansionde la force constitue un défi de taille pourtous les membres du 5 GSS, particulière-ment nos éléments de soutien institution-nel de la région de Saint-Jean, Saint-Hubertet Montréal. La croissance du nombre derecrues de 960 à 2500 recrues et ce, enmoins de 16 mois, demande un apportimportant de tous les services. L’impact seressent sur la Garnison Saint-Jean, àFarhnam et à Saint-Bruno dans tous nosdomaines d’expertise. En effet, nous devonsréorganiser l’hébergement, l’approvision-nement, le transport, les mess, les instal-lations sportives, les secteurs et champsde tir de même que l’infrastructure et l’in-fostructure. En somme, je réalise que tousnos services doivent réviser leurs prioritésafin de maintenir un soutien rigoureux.Comme mentionné au cours de mes vi-sites en janvier au sein des différents ser-vices, vous êtes tous des éléments clés dansnos efforts pour assurer un soutien con-tinu dans l’adaptation de cette expansionrapide des recrues. Nous devons tous cen-trer nos énergies sur leurs besoins.

Du point de vue de la conduite des opéra-tions, les efforts rattachés à la générationdes composantes de soutien pour la forceopérationnelle domestique et la force desécurité ne seront pas négligeables. Latransformation des Forces canadiennescontinuera à représenter des défis intéres-sants au sein de notre formation. Nouscomplèterons la restructuration des ser-vices de soutien selon l’orientation del’Armée. Le projet-pilote de rationalisationde la gestion et de la technologie de l’infor-mation dans la zone de responsabilité dela FOI (Est) dans le contexte du programmedu sous-ministre adjoint de la gestion del’information exigera une concentrationimportante de notre service desTransmissions et ce, au sein de toutes lesunités intégrées et hébergées.

Les défis de la génération et de l’expan-sion des forces requièrent la maximisationdes ressources de notre formation de sou-tien au-delà de ses capacités anticipéespour son mandat opérationnel. Je comptesur tous les commandants et chefs deservice pour maintenir un équilibre entreles défis et priorités, les ressources du5 GSS et le bien-être de notre personnel.Je suis confiant que les trois forces inté-grées du 5 GSS maintiendront l’accent surla priorité un: la recrue, le soldat et safamille. Je vous rappelle que l’opérationnal-isation du 5 GSS se concrétisera à traversl’épreuve que nous vivrons avec la généra-tion de la force, l’expansion de la force etle soutien institutionnel. Je ne peux quevous rappeler notre devise: Servir avec hon-neur et persévérance.

LE MOT DUCOMMANDANT

5e Groupe desoutien de secteur

ColonelGerry Champagne

DEMANDER DE L’AIDE, C’EST FORT!

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31 janvier 2007 / Adsum

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Le Conditionnement physiquedes recrues, c’est quoi au juste?Par le caporal-chef Philippe DessureaultInstructeur PEP, ÉLRFC

Effectif depuis le début du mois d’octobre2006, le Conditionnement physique desrecrues, mieux connu sous le nom de RFT(Recruit Fitness Training), a pour objectifd’entraîner les recrues qui échouent la par-tie VO2 max lors de leur test physiqueadministré à la semaine 0 de la qualifica-tion militaire de base (QMB). En plus del’aspect VO2 max, les recrues quiéchoueraient deux aspects de la force mus-culaire pourraient être admissibles à sui-vre le programme d’entraînement.

Ce programme, mis sur pied principale-ment par les instructeurs PSP et le sergentMaryse Ayotte, se base uniquement sur desétudes scientifiques et a été approuvépar les hautes autorités d’Ottawa.

Un peloton du RFT se compose de cinqsections; chacune comprend un comman-dant de section et un instructeur PSP. Lacapacité maximale d’un peloton est de60 candidats, pour favoriser une supervi-sion maximale lors des périodes d’entraîne-ment.

FONCTIONNEMENTLorsque les candidats terminent la semaineadministrative du QMB, ils rejoignent leRFT dès le lundi suivant. Les recrues débu-tent l’entraînement la journée même si unephase débute ce jour-là. Le programmecomporte trois phases, chacune de 30 jours.Les recrues se voient donc allouer troismois pour réussir la partie VO2 max dutest physique.

En réussissant le VO2 max, les candi-dats sont retournés à un peloton, plus pré-cisément à la semaine 2, puisqu’au coursdes quatre semaines qu’aura duré la phase1, ils auront suivi toute l’instruction mili-taire donnée lors de la semaine 1 du QMB.

UNE JOURNÉE DU RFTLe programme a été conçu dans le but decréer des habitudes d’entraînement pourles candidats. Chaque jour, ceux-ci sontsoumis à une séance de musculation ensalle, une séance cardiovasculaire et à unentraînement d’exercices abdominaux-lombaires, pour un total d’environ deuxheures et demie d’exercices physiques quo-tidiens.

Entre chaque entraînement, les candi-dats reçoivent de l’instruction militaireainsi que de l’instruction concernant lacondition physique telles la nutrition, lathéorie d’entraînement et la psychologiesportive.

DES RÉSULTATSDepuis le début du RFT, cinq phases ontété données aux recrues et 51 de ces recrues

sont parvenues àla fin des quatresemaines de lapremière phased’entraînement.De ce nombre, 47ont été reclasséesdans les cours der e c r u e sp u i s q u ’ e l l e savaient réussi lapartie VO2 max,qu’elles avaientpourtant échouéeun mois aupara-vant. De plus, 30de ces candidatsont réussi la tota-lité du CF Express,statistique qui asurpris les respon-sables du pro-gramme qui nes’attendaient pasà de tels résultats.«Nous savions quele programmeserait efficace,mais nous ne nous attendions pas à un teltaux de réussite dans la première phased’entraînement», mentionne Benoit Légaré,entraîneur PSP pour le RFT.

Une fois la phase d’entraînement ter-minée, les candidats retournent dans lespelotons et sont à nouveau laissés à eux-

mêmes pour ce qui est de l’alimentation etde la discipline face à l’entraînementphysique. Souhaitons maintenant qu’ilssauront retenir les concepts enseignés lorsde ces semaines d’entraînement et qu’ilsles appliqueront tout au long de leur car-rière militaire.

Assane Niang, instructeur PSP, prodigue des conseils à un candidat du RFT surson programme d’entraînement.

Bye bye cigarette une fois pour toutes!Par Promotion de la santé et Gloria KellyAgente des communications au Groupe des Servicesde santé des FC

Vous avez pris la résolution de cesser de fumerou encore vous souhaitez tout simplementvous débarrasser de cette mauvaise habi-tude? Pour vous aider à atteindre votre objec-tif, l’équipe d’Énergiser les Forces lance soncinquième défi de renoncement au tabac.

«Relevez le défi “Le 1er mars, j’arrête!” etlibérez-vous de l’emprise du tabac une foispour toutes», affirme Donald Déry, chef duprogramme de réduction de l’utilisation dutabac d’Énergiser les Forces. «Le défi con-siste à cesser de fumer pendant au moinsquatre semaines, soit du 1er mars au 2 avril.»

«Le dernier sondage d’information sur lasanté et les habitudes de vie des FC indiqueque 75% des militaires ne fument pas. Labaisse du nombre de fumeurs au cours desquatre dernières années surpasse la baisseconstatée chez la population canadienne engénéral. Les deux tiers des militaires des FC

qui fument actuellement songent sérieuse-ment à cesser de fumer au cours des sixprochains mois. Ils sont au courant des con-séquences néfastes de la consommation detabac, et un petit incitatif pourrait les encou-rager à arrêter», explique M. Déry. L’an dernier,des milliers de personnes ont relevé le défi.

La campagne s’adresse aux membres dela Force régulière et de la Première Réserve,au Cadre des instructeurs de cadets, auxRangers canadiens, aux employés du MDN,aux employés des fonds non publics et auxmembres de la Réserve supplémentaire quifument régulièrement.

Le défi présente une date précise aux per-sonnes qui souhaitent cesser de fumer maisqui n’ont pas encore choisi de date pour lefaire. Le programme prévoit également laparticipation de parrains (des non-fumeurs)qui ont la responsabilité d’encourager et deconseiller les fumeurs qui participent au pro-gramme. Les participants et les parrains quiont la chance de gagner des prix d’une valeurtotale de 16 000 $ offerts par CANEX et lesServices financiers du RARM, partenairesdu défi «Le 1er mars, j’arrête!».

«Les maladies et la perte de productivitéliées au tabagisme coûtent chaque année plusde 36,5 millions de dollars aux FC, et ce, pourla Force régulière seulement» indiqueM. Déry. «Il s’agit de pertes qui n’ont pas deraison d’être.»

Selon une étude de l’armée américaine, lesproduits du tabac nuisent à l’état de prépa-ration à une mission et augmentent les risquesdu militaire de connaître des problèmes res-piratoires ou de subir des lésions aux mus-cles et aux os. Le tabagisme sur le champ de

GGrand certificat de naissance et carnet de santé obligatoiresL’école offre des services d’activités

parascolaires. Elle a un service de garde sécuritaire et dynnamique

offrant des repas chauds à coût modiques

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lundi, 19 février 20078 h 30 à 11 h

12 h 30 à 17 hà la bibliothèque de l’école

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(3974 service de garde)

bataille pourrait mettre les militaires des FCet leurs unités en danger. Toute forme detabagisme en zone de guerre rend plus dan-gereux un milieu qui l’est déjà et peut nuireau camouflage, à la protection contre lesrisques chimiques ou biologiques, à la visionainsi qu’à la santé et à l’endurance générale.

M. Déry croit que le programme répondraaux besoins des personnes qui ont décidé decesser de fumer ainsi qu’à ceux qui ont arrêtédepuis moins de six mois. Les chances deréussir augmentent avec chaque tentative.En moyenne, il faut essayer six ou sept foisavant de pouvoir se libérer de l’emprise dutabac pour la vie. L’appui des pairs, de lafamille et des collègues de travail est un fac-teur important du défi. Les parrains sontchargés d’aider les fumeurs à éviter les pro-duits du tabac pendant la durée du défi etaprès.

«Si une personne peut cesser de fumer pen-dant un mois, c’est un bon début», ajouteM. Déry. «Si elle peut cesser pendant un an,il y a de fortes chances qu’elle cesse pour lavie.»

Les militaires admissibles qui veulent ces-ser du fumer peuvent avoir accès à des médica-ments et à des programmes de consulta-tion pour cesser de fumer adaptés à leursbesoins spécifiques, comme le programme«Écrasez-la».

Cette année, nous sommes fiers d’annon-cer que les participants au défi «Le 1er mars,j’arrête!» auront accès à un service de con-seils téléphoniques en tout temps, grâce àTéléassistance pour fumeurs.

«Personne ne laisse entendre que cesserde fumer est facile, mais les bienfaits en valentla peine », conclut M. Déry.

Pour s’inscrire, il suffit de remplir le for-mulaire se trouvant à l’adresse suivante:www.aspfc.com/health (au plus tardle 28 février) ou de communiquer avec ledirecteur , Promotion de la Santé de toutebase, escadre ou unité des FC.

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2007

Fondé par le 12e Régiment blindé du Canada

Le journal Adsum est une publication non officiellepubliée un mercredi sur deux avec la permissiondu Commandant du 5e Groupe de soutien desecteur. Les opinions et les points de vue exprimésdans ce journal ne sont pas nécessairement ceuxdu MDN, des FC et de l’ASPFC / Personnel desFNP.Le journal Adsum informe la communauté militaire de la garnison et de la grande région deQuébec depuis 1972. Notre publication constituel’un des principaux outils de communicationinterne de l’Armée au Québec. C’est un moyenprivilégié pour le Secteur du Québec de la Forceterrestre (SQFT) de communiquer avec son per-sonnel et les familles. Les succès, les intérêts etles préoccupations de la grande équipe du SQFT,voilà la matière avec laquelle est bâti l’Adsum.

Tirage : 5800 copies

ÉditeurCol Gerry Champagne, cmdt 5 GSSRédactrice en chefCaroline Charest, poste [email protected] Bélanger, poste [email protected] militaireLt Ginette Champagne, poste [email protected]ère en publicitéGinette Demers, [email protected] petites annonces et comptabilitéNathalie Nadeau poste [email protected]ée Lessard poste [email protected] Presses du Fleuve

Toute correspondance doit être adressée à larédactrice en chef. Les demandes de publicationdoivent être acheminées par courrier électroniqueà [email protected]. Soumettre les textes enformat Word et les photos en jpg. La rédactrice enchef se réserve le droit de rejeter ou de modifiertout matériel rédactionnel ou publicitaire. Lesauteurs des textes ne seront pas nécessairementavisés des modifications apportées à leurs textes.

Les articles publiés dans ce journal sont la propriété de l’Adsum et ne pourront être publiés,utilisés ou reproduits sans l’autorisation de larédactrice en chef ou de l’auteur.

Le journal Adsum est une entité des Programmesde soutien du personnel (PSP) et est financé engrande partie par les fonds non publics. Lesrevenus générés par les annonces publicitairescontribuent en majeure partie au financement dujournal. Nous vous remercions d’encourager nosannonceurs.

Abonnement: 25,00 $ par année (22 éditions), taxes en sus

ISSN 0705-0992

ADRESSE :JOURNAL ADSUM

GARNISON VALCARTIER, BÂT. 200C.P. 1000, SUCC. FORCESCOURCELETTE (QUÉBEC)

G0A 4Z0

TÉLÉPHONE :(418) 844-5000, POSTE 5598

TÉLÉCOPIEUR : (418) 844-6934

COURRIER ÉLECTRONIQUE :[email protected]

35e année, No 15, mercredi 31 janvier 2007

PROCHAINE PARUTION :MERCREDI 14 FÉVRIER

DATE DE TOMBÉE : LUNDI 5 FÉVRIER

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«Pro Valore», inscrit sur la Croix de Victoria, signifie «Pour la Valeur». Les premières Croix de Victoriafurent remises le 22 juin 1857 par la reine Victoria elle-même. Les récipiendaires s'étaient illustréslors de la guerre de Crimée, qui venait de prendre fin.C'est la plus haute décoration militaire britannique décernée pour un acte de bravoure remarquable,un acte de vaillance ou d'abnégation audacieux ou extraordinaire, ou un dévouement extrême audevoir face à l'ennemi. 94 Canadiens ont mérité la Croix de Victoria au fil des ans, la majorité lorsde la Première Guerre mondiale. Trois membres du Royal 22e Régiment ont reçu cette décoration:Jean Brillant, Joseph Kaeble et Paul Triquet que l'on voit ici admirant sa médaille à Londres.Source: Musée du Royal 22e Régiment.

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31 janvier 2007 / Adsum

/ Page 7BLOCNOTE

Les 3 et 4 février

Prochaine parution du Bloc-note :14 février 2007

Soumettez vos communiqués au plus tardle 5 février par la poste (voir notre adresse

dans l’encadré en p. 6),par télécopieur au 844-6934

ou par courriel à [email protected].

COMPTOIR DES AUBAINESLe Comptoir des Aubaines de Sainte-Catherine-de-la-Jacques-Cartier (sous-solde l’église au 2, rue Jolicoeur) sera ouvertle samedi 3 février de 9 h à 16 h et ledimanche 4 février de 9 h à 13 h.

TRANSFORMER SA VIE PAR LA MÉDITATIONDans le cadre des activités pastorales de lagarnison, vous êtes invités à prendre partcet hiver aux enseignements bouddhistesdonnés par Gen Kelsang Chögyan, nonnebouddhiste kadampa. Le prochain cours,dont le thème est «Apprivoiser la mort»,aura lieu le lundi 5 février de 19 h à20 h 30 à la bibliothèque de l’école Dollard-des-Ormeaux (18, rue Ladas). Chaqueséance débute par une méditation guidéeet est suivie d’un enseignement sur l’appli-cation de la pensée bouddhiste à notremode de vie occupé. Tous sont les bien-venus; civils et militaires. Chaque coursest structuré de manière indépendante etil n’est pas nécessaire de s’inscrire.Information : padré Gorniak au 844-5000,poste 7890. Coût : 10$ la séance, 40$ pourcinq séances.

EXPOSITIONLa Bibliothèque municipale de Shannonaccueille l’artiste peintre Gilles St-Laurentqui y présente des toiles de scènesd’hiver et d’églises de notre patrimoinequébécois et religieux.

INSCRIPTION POUR LA PREMIÈRECOMMUNIONÀ tous les parents désireux d’inscrire leurenfant à la Première communion, veuillezprendre note qu’une rencontre d’informa-tion et d’inscription aura lieu à la chapellecatholique (bât. 76 en face de l’hôpital) lemardi 6 février à 19 h. Toutes les informa-tions pertinentes vous seront commu-niquées sur place. Les jeunes doivent êtreau moins en 2e année du primaire s’ils veu-lent recevoir leur Première communion.Vous devrez apporter une copie du certi-

ficat de baptême de l’enfant ainsi que lasomme de 10$ pour les frais de matériellors de la rencontre. Un cahier d’accom-pagnement vous sera remis sur place.Information : composer le poste 5199 (lais-ser vos coordonnées).

HEURE DU CONTELa prochaine activité «Heure du conte» dela Bibliothèque municipale de Shannonaura lieu le samedi 10 février de 10 h à11 h. L’activité s’adresse aux enfants âgésde 3 à 7 ans; les parents sont les bienvenus.

POUR LA SAINT-VALENTIN, FAITES-VOUSPLAISIR!L’équipe de la Promotion de la santé vousinvite à prendre un moment pour vousdétendre et relaxer lors de notre prochainmidi-détente. En cette journée spéciale,offrez-vous une douceur en venant rencon-trer nos massothérapeutes qui vous ferontexpérimenter différents types de massagedont le massage sur chaise et sur table, lasomatothérapie ainsi que le massage sportif.C’est donc un rendez-vous à ne pas man-quer le 14 février prochain, de 11 h 30 à14 h 30, à l’entrée du Centre des sports!Cette activité est gratuite. Bienvenue à tous!Information : 844-5000, poste 4677, [email protected]

MATINÉES SCIENCES ET TECHNOLOGIELe centre Recherche et développementpour la défense Canada - Valcartier vousinvite à prendre part à ses activités-con-férences «Matinées sciences et technolo-gie». La prochaine conférence aura lieu lemercredi 14 février. Intitulée «Munitionset environnement, sont-ils conciliables?»,la conférence sera présentée en françaispar Sonia Thiboutot et Guy Ampleman,tous deux de RDDC Valcartier. Présentez-vous pour 9 h à l’auditorium II du centre(2459, boul. Pie-XI Nord - prolongementde l’autoroute Henri-IV).

HEURE DES FAMILLES AVEC LA CHAÎNEDE COMMANDEMENTLes familles des militaires qui serontdéployées en Afghanistan cet été sont con-viées aux rendez-vous mensuels de L’Heuredes familles avec la chaîne de commande-ment. La prochaine rencontre aura lieu lemercredi 21 février à 19 h au Centre com-munautaire (bât. 93) de la GarnisonValcartier. Favorisant le rapprochement

des familles avec la chaîne de commande-ment, l’activité est considérée comme uneoccasion unique pour les conjoint(e)s desmilitaires déployés de connaître les dernièresnouvelles relatives à la mission et au théâtreopérationnel, et de poser les questions quiles préoccupent.

TOURNOI DE GOLF LES AILESLa 8e édition du Tournoi de golf Les Ailesaura lieu le lundi 6 août 2007 au Club degolf Royal Québec. La présidence d’hon-neur de l’événement sera assurée par lecolonel honoraire Guy Lafleur du 12e

Escadron de radar à la 3e Escadre deBagotville. Pour en savoir davantage surce tournoi, communiquez avec le lieu-tenant-colonel (à la retraite) Pierre Bibeaupar téléphone au (418) 872-0496 ou parcourriel à [email protected].

NAGEURS RECHERCHÉSLe club de natation de la Garnison Valcartierest à la recherche de nageurs. Les entraîne-ments ont lieu les lundis et mardis de 16 h30 à 18 h 30. Information : sergent MarcGrenier au 844-4000, poste 4449.

ATELIER DE CRÉATIVITÉLes ateliers de créativité pour les tout-petitsdu Centre de la famille Valcartier perme-ttent à l’enfant de faire différents appren-tissages par le biais de la musique, duthéâtre, de la peinture, du bricolage et dela danse. Ils sont supervisés par une ani-matrice qualifiée, et vise à développer lecôté artistique et créatif de vos enfants.C’est un moment privilégié aussi pour euxde faire la connaissance de nouveaux amiset de favoriser leur socialisation. Les ate-liers sont offerts à raison d’une heure etdemie par semaine aux enfants âgés entre3 à 5 ans. Vous aurez le plaisir de pou-voir admirer le talent de vos artistes, puisqu’àla fin de chaque session, un mini-specta-

Du 5 février au 5 mars

D’ici le 6 février

10 février

14 février

21 février

6 août

Divers

cle vous sera présenté. Information : com-muniquer avec Tanya Langlois, intervenanteaux programmes à l’enfance au CFV encomposant le 844-6060.

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2007

MERCI GINETTE!Le lieutenant-colonel Steve Charpentier, com-mandant du 430e Escadron tactique d’héli-coptères, ainsi que l’adjudant-chef SergeBeaudoin ont chaudement remercié GinettteLemay à la suite de sa retraite de la fonctionpublique après de nombreuses années defidèle service.

Semaine de développement professionnel aux États-UnisLe 20 novembre, une délégation de 40 per-sonnes, dont 11 officiers et 29 membres durang du 12e Régiment blindé du Canada, estpartie de Valcartier pour une semaine dedéveloppement professionnel aux États-Unis.Un tour du champ de bataille de Gettysburget une visite de l’ambassade canadienne àWashington étaient prévus. Après 13 heuresde route, le groupe est finalement arrivé àdestination passant ainsi la nuit à Carlisle,en Pennsylvanie, pour être fin prêt pour lavisite de deux jours.

Le lendemain de son arrivée à Carlisle enPennsylvanie, la délégation, fièrement vêtuede la tenue de CF, a débuté la journée en ren-contrant l’un des anciens commandants du

régiment, le colonel Guy Maillet, qui étaittrès heureux de revoir des membres du12 RBC. Le colonel Maillet est présentementinstructeur au US Army War College à Carlisle.Il nous a servi de guide tout au long de lavisite du champ de bataille de Gettysburg quiest énorme et complexe, et qui compte 1400monuments.

À Washington, la délégation s’est rendueà l’ambassade canadienne pour une visiteguidée et une présentation captivante don-née par le colonel Giguère, ancien comman-dant du 2e Bataillon, Royal 22e Régiment. Lecolonel Giguère est présentement l’attachémilitaire à l’ambassade canadienne. Il nousa entretenu sur les relations canado-améri-

caines avec une franchise toute particulièrequi a été très appréciée.

Finalement, la journée s’est terminée avecun tour du cimetière d’Arlington où nousavons assisté au changement de la gardedevant le monument aux soldats inconnus.Avec près de 300 000 tombes et monuments,le cimetière rappelle à tous le prix payé parle peuple américain dans toutes les guerresdans lesquelles il a été impliqué depuis laguerre civile (1861-1865). Il est aussi impres-sionnant de se recueillir devant les tombesde plusieurs grands personnages américainscomme J.F. Kennedy ou devant le mémorialdédié aux équipages des navettes spatialesChallenger et Columbia.

LE LIEUTENANT DEL’ANNÉE DU 5 BN S DU CPar le lieutenant Sophie DroletAssistante du capitaine-adjudant

Le trophée du meilleur officier subalterneest remis annuellement au meilleur officiersubalterne du 5e Bataillon des services duCanada. Cette année, c’est le lieutenantPatrick-Carle Barrière qui a reçu cet honneur.Le trophée est une sculpture représentantun officier en relief répondant à l’appel, sym-boliquement en saluant. Cet officier personni-fie la devise du bataillon dans toutes sesfacettes : «Devoir avant tout!». L’officier estchoisi pour les qualités qu’il démontre etpour l’exemple qu’il constitue pour ses pairs.Félicitations Patrick!

LE SOLDAT DE L’ANNÉEDU 5 BN S DU CPar le lieutenant Sophie DroletAssistante du capitaine-adjudant

Le trophée du meilleur soldat est remisannuellement au soldat du 5e Bataillon desservices du Canada s’étant le plus démarquéde ses pairs. Cette année, c’est le soldat DanyCabana qui a reçu cette distinction. Accordétant pour reconnaître l’excellence de son tra-vail que pour son implication dans l’unité etson excellente attitude, le trophée est montésur une base de bois et arbore une figurinesculptée représentant un membre du 5 Bn Sdu C en tenue hivernale. Félicitations soldatCabana!

4e Compagnie du renseignement : une contributionopérationnelle record pour 2007Par le caporal M.A. Cloutier4e Compagnie du renseignement

Le renseignement militaire n’est certaine-ment pas le métier le plus connu dans lesForces canadiennes. Pourtant, dans un con-texte de guerre asymétrique, c’est proba-blement un des outils les plus importants. Ilpermet au commandant en place de bienplanifier ses opérations, et de les rendre plusefficientes. Le renseignement est un multi-plicateur de force. Sa responsabilité estd’analyser sans cesse les actions de l’ennemiet de les anticiper.

Les militaires de Valcartier et du Secteurdu Québec qui seront déployés pour la pre-mière fois cet été réaliseront assez vite sonimportance, tandis que les plus expérimen-tés le savent déjà très bien. Les spécialistesdu renseignement sont les gens à consulterpour mieux connaître et comprendre l’enne-mi, et le contexte dans lequel il évolue.

les conflits asymétriques depuis longtemps.Dans ce domaine, l’unité a investi beaucoupd’efforts, et a même entraîné d’autres unitésde renseignement hors du Secteur du Québec.Les membres de la 4 Cie Rens sont donc pré-parés à la complexité du renseignement dansle contexte d’une mission de stabilisationmenacée par des insurgés, des terroristes oudes criminels.

Alors, lorsque vous partirez en Républiqueislamique d’Afghanistan au mois d’aoûtprochain, où pourrez-vous rencontrer unmembre de la 4 Cie Rens? En fait, vous entrouverez un peu partout : dans les cellulesde bataillon, dans les quartiers généraux detous les niveaux, avec l’Équipe de reconstruc-tion provinciale, avec l’Équipe d’officiers deliaison, avec l’équipe d’exploitation de sitessensibles, avec l’équipe ISTAR, avec le cen-tre de renseignement toutes sources et àd’autres niveaux encore.

Le capitaine Yvan Martineau renoueavec les joies du parachutismePar le sous-lieutenant Guillaume MoreauO Rens, 5e Régiment du génie de combat

Le capitaine Yan Martineau a décidé derenouer avec les joies du parachutisme le11 janvier dernier après un arrêt de 26 ans.Aujourd’hui commandant du 55e Escadronau 5e Régiment du génie de combat (5 RGC),le capt Martineau a suivi son cours de para-chutisme de base en novembre 1980, maisn’a jamais eu l’opportunité de sauter ensuite.

Encouragé par le major Claude Many,commandant adjoint du 5 RGC, et par lemajor Walter Taylor, commandant du 53e

Escadron, le vieux parachutiste a faitson choix. Il allait bel et bien sauter, nonsans avoir au préalable bénéficié d’uneexcellente révision donnée par le caporal-chef Brian McDougall du 3e Bataillon, Royal22e Régiment.

Convaincu par la qualité de son instruc-teur, il n’avait que de bons mots pourlui : «Il est un excellent instructeur! Il nousa enseigné avec respect et professionna-lisme, il prenait le temps de nous regarderindividuellement et s’assurait que nouscomprenions bien les procédures».L’entraînement, par contre, n’a pas été detout repos, comme le démontrait toute lasueur sous l’exerciseur de vol du capitaine.

Plusieurs se sontdemandé pourquoile capt Martineau adécidé de sauteraprès tant d’années?Il leur répond avecenthousiasme quec’est un défi person-nel, qu’il en avait legoût, une cure derajeunissement enquelque sorte!

Il n’est pas néces-saire de dire quelorsque le grand jourest arrivé, le capitaineMartineau avait despapillons dansl’estomac. Il révisaitsans cesse les actionsqu’il devait accom-plir dans sa tête.Heureusement, sonsaut s’est très biendéroulé, les condi-tions étaient bonnes et son atterrissage aété bien réussi.

Quand on lui demande s’il recommenceral’expérience, il nous répond par l’affir-mative dans la mesure où les conditions

sont gagnantes. Le capitaine Martineauvient de nous prouver qu’il n’est jamaistrop tard pour recommencer à sauter etretrouver du même coup la jeunesse. Quellebelle façon de commencer 2007!

Le major Claude Many, le capitaine Yvan Martineau et le major Walter Tayloravant leur saut. - Photo : cpl P. Arvisais

AVANT DE PARTIR POUR KANDAHAR, INFORMEZ-VOUSVoici quelques références pouvant vous y aider :• Deux livres de Ahmed Rashid, L’ombre des ta-liban (fortement recommandé pour tous ceuxqui partent pour la FO) et aussi Taliban : MilitantIslam, Oil and Fundamentalism in Central Asia.• Un excellent rapport de Human Right Watch quiexpose l’insécurité quotidienne vécue par lesAfghans, disponible en ligne auhrw.org/reports/2003/afghanistan0703.• Pour déguster de succulents mets afghans, il ya un excellent restaurant à Montréal du nom de

Khyber Pass cuisine afghane (506, avenue DuluthEst, Montréal, (514) 844-7131).• Pour avoir des nouvelles quotidiennes sur le pays,vous pouvez consulter le site www.afghana.org. • Pour apprendre un peu de pachtou (principalelangue parlée dans la région de Kandahar), je voussuggère le dictionnaire Pashto : Dictionary &Phrasebook (Nicholas Awde et AsmatullahSarwan).• Pour en connaître davantage sur la culture pach-toune, vous pouvez consulter l’excellente recherche

de Laurent Dessart : Les pachtounes : économieet culture d’une aristocratie guerrière(Afghanistan-Pakistan).• Pour les militaires en position de commande-ment particulièrement, la deuxième édition dulivre de Mark Urban intitulé War in Afghanistan,qui analyse en détail les opérations des forces derésistance afghanes ayant repoussé lesSoviétiques dans les années 1980.De la part de la 4e Compagnie du renseignement,manana, khudây pë âmân (merci et au revoir!).

Le rôle le plus crucial du renseignementmilitaire a lieu en théâtre opérationnel. Sivous voulez savoir où se cache l’ennemi, c’està eux qu’il faudra le demander (à l’inverse,n’hésitez pas à leur faire part de tout faitinhabituel ou information importante lorsd’un retour au camp).

Dans le cadre de la FO 3-07, les principalescellules de renseignement seront composéesà la fois de militaires réguliers et réservistes.En fait, si vous avez la chance d’aller les ren-contrer, vous tomberez probablement sur unmembre de la 4e Compagnie du renseigne-ment (4 Cie Rens). En effet, cette année encore,notre unité déploiera un fort pourcentage deses effectifs.

Dans le domaine du renseignement, la dif-férence entre les réservistes et les réguliersest très petite. Par ailleurs, beaucoup de mem-bres de la 4 Cie Rens pratiquent ce métier àplein temps depuis plusieurs années. De plus,l’entraînement de la 4 Cie Rens est axé sur

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31 janvier 2007 / Adsum

/ Page 9Premiers tirs réels du «Triple 7» à Valcartier

Par Yan BélangerJournal Adsum

Depuis deux semaines, les artilleurssur la Garnison Valcartier testentleur nouveau jouet : le canon M777de calibre 155 mm. D’une portée etd’une précision accrues, ce nouveau

obusier est utilisé par les troupescanadiennes en Afghanistan depuisun an déjà.

Les membres du 5e Régiment d’artillerielégère du Canada ont effectué, récem-ment, les premiers tirs réels sur le nou-veau canon acquis par la Défense nationale

à l’automne 2005, le M777. Nos artilleursdoivent se qualifier sur la pièce d’ar-tillerie d’ici l’été prochain en vue deleur déploiement avec la FO 3-07 enAfghanistan.

Le «Triple 7», comme il est appeléici, est un obusier léger remorqué de

Photo : cpl M.-A. Gaudreault, Imagerie Grn Va

155 mm aérotransportable et aérolargablequi est fait en grande partie de titane.Bien qu’il soit plus léger et plus petit queses prédécesseurs, il gagne en distance,en rapidité, en précision et en puissance,ce qui s’avère fort utile pour nos troupespostées à Kandahar en Afghanistan oùl’engin a déjà fait ses preuves. Les Forcescanadiennes ont d’ailleurs été la premièrearmée au monde à utiliser ce modèlede pièce d’artillerie en théâtre opéra-tionnel.

Complètement informatisé, le canonpeut recevoir les données de tir provenantdu poste de commandement grâce à unsystème sans fil, sauvant un temps pré-cieux au soldat maniant l’appareil qui n’aplus à les inscrire manuellement. Sesnombreuses caractéristiques permettentégalement à l’artillerie de détruire descibles avec une plus grande précision,réduisant ainsi les dommages collatéraux.«Avec le matériel dont nous nous servionsjusqu’à présent, il fallait parfois attendrejusqu’à huit minutes à partir de la récep-tion d’une demande de mission de tir pourque des tirs mettent des coups au but.Avec le M777, un tir efficace peut êtreobtenu en moins de deux minutes», decommenter un artilleur aux journalistesqui s’étaient déplacés par un temps trèsfroid pour assister à une démonstra-tion dans les secteurs d’entraînement dela garnison.

Le M777 doit remplacer les canons 105mm actuels qui sont deux fois plus lourds.Mis en service en 1997, les 28 obusierstractés LG 1 Mark II des Forces canadi-ennes pèsent 1,5 tonne et ont une portéede 19,2 km.

LE M777Poids : 4208 kgCalibre : 155 mmPortée maximale : 25 km (30 km lorsqu’utilisé avec une

charge propulsive supplémentaire)Cadence de tir : 2 coups la minute dans le cas d’un tir

soutenu; 4 coups la minute pendant2 minutes lors d’un tir intense

Poids des obus : 44 kgVitesse des obus : 714 mètres/secondeRayon mortel : 50 mFabricant : Firme britannique BAE SystemsNombre en service : 12 (dont 7 en théâtre opérationnel)

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En route versFORT BLISS!Par lieutenant Jocelyn DemetreCommandant du peloton 1, compagnie A, 2 R22eR

La compagnie A du 2e Bataillon Royal 22e

Régiment a appuyé le 5e Groupe-brigademécanisé du Canada en qualifiant plus de75 canonniers et chefs d’équipage VBL III.Grâce à un travail acharné qui s’est pour-suivi jusqu’au 22 décembre 2006, les mem-bres de la compagnie A ont pu contribuerpositivement à l’effort collectif afin desoutenir le déploiement de la FO 3-07. Laformation des canonniers et des chefsd’équipage appelés à se déployer en août2007 a débuté au mois de novembre.

Dès le retour de l’exercice GUERRIERAGILE qui s’est tenu à Gagetown en octo-bre, les membres de la A ont chapeauté lescours de qualification fort importantsen prévision du déploiement. Les instruc-teurs et les candidats provenaient des1er, 2e et 3e Bataillon du R22eR ainsi quedu 12e Régiment blindé du Canada. Le ser-gent Éric Dugas du 3 R22eR décrit d’ailleurscette expérience comme «une belle oppor-tunité d’intégration des connaissanceset des expériences».

Le cours de canonnier s’échelonnait surquatre semaines afin de transmettre les

connaissances nécessaires aux prochainsopérateurs des tourelles 25 mm.Simultanément, un cours de deux semainesde chef d’équipage VBL III avait lieu, cequi a mis à contribution l’ingéniosité desinstructeurs pour optimiser l’instructiontout en rationalisant les ressources.

Les candidats nouvellement formésseront d’une importance capitale tant lorsde l’exercice RÉFLEXE RAPIDE à FortBliss au Texas qu’une fois rendus en théâtred’opération. En raison de son importancetactique en théâtre d’opération, l’instruc-tion sur le VBL III devait être complète etpertinente. Selon le caporal Rémi Talbotdu 2 R22eR : «Le décompte est commencépour la FO 3-07. Après le cours, c’est leTexas et nous serons plus qu’à quatre moisdu déploiement en Afghanistan.»

C’est sur une base solide que nos nou-veaux canonniers et chefs d’équipage rejoin-dront les plus expérimentés afin de pour-suivre leur apprentissage sur le terrain etêtre prêts à représenter fièrement les mem-bres du 5 GBMC lors du déploiement dela Force opérationnelle 3-07 au mois d’août2007.

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31 janvier 2007 / Adsum

/ Page 11PÈLERIN VALEUREUX 07

Un nouvel élan pour les réservistes du 35 GBCPar le lieutenant Paul SaccàOfficier des affaires publiques, 35 GBC

À leur deuxième passage auMississippi, les réservistes du 35e

Groupe-brigade du Canada se sontvus plongés dans un exercice d’unniveau de réalisme saisissant.En effet, le commandant du 35 GBC, lecolonel Simon Hébert, avait clairementaffiché son intention de conduire unPÈLERIN VALEUREUX parfaitementadapté au contexte et à la menace actuelle,ce qui a permis à près d’un millier deréservistes de vivre une expérience intenseet formatrice.

Les membres des 11 unités de la brigadese sont donc retrouvés au cœur d’un camprecréant le contexte d’un déploiementen Afghanistan, subissant continuellementles assauts d’un ennemi hargneux et déter-miné dans ses convictions, ce qui a sensi-blement élevé le niveau d’adrénaline aucours des opérations.

«PÈLERIN VALEUREUX fut un exer-cice ambitieux», a mentionné le brigadier-général Christian Barabé lors de savisite au camp Shelby. «La barre était haute

et le standard difficile à atteindre, maisc’était une excellente façon de viser l’at-teinte des objectifs.»

Orchestré de main de maître par le majorSylvain Tousignant et son équipe, PÈLERINVALEUREUX 07, aura permis de définirle niveau d’expertise des éléments de labrigade. Le scénario a obligé une coopéra-tion interarme rapprochée pour vaincreun ennemi imprévisible et plutôt bienorganisé.

Pour l’occasion, des acteurs profession-nels avaient été engagés pour jouer le rôlede la population afghane. Parmi ceux-ci,quelques véritables Afghans ont offert toutun choc culturel aux réservistes appelés àdialoguer et négocier avec eux.

PÈLERIN VALEUREUX 07 a offert un exercice d’un haut niveau de réalisme aux réservistes du 35 GBC.

Des acteurs professionnels et de véritablesAfghans ont été engagés pour jouer le rôle de lapopulation civile.

Le scénario de PÈLERIN VALEUREUX 07 a néces-sité une coopération interarme à tous les niveaux.

«PÈLERIN VALEUREUX 07 montreparfaitement la direction à suivre pourélever le niveau de la brigade en réponseà des besoins qui se font de plus en pluspressants», expliquait pour sa part lebrigadier-général Marc Préfontaine auterme de sa visite. «Les événements actuelsont amené un renforcement du rôle dela Réserve et les membres doivent êtrecoopératifs et sensibles à cette nouvelleréalité».

Dans le contexte parallèle des opéra-tions en cours au Moyen-Orient, PÈLERINVALEUREUX 07 a particulièrement retenul’attention des médias américains et cana-diens. En plus des télés et journaux locauxde l’Est de la province, près d’une quin-

zaine de publications américaines onttraité de l’événement.

PÈLERIN VALEUREUX 07 marque doncle point de départ d’une orientation spé-cifique où l’accent sera définitivementporté vers la capacité opérationnelle du35 GBC. Les besoins sont manifestes et lesyeux se tourneront de plus en plus vers lesréservistes appelés à s’investir dans unenouvelle mission face au défi qui se dressedevant eux.

Une galerie photo de PÈLERINVALEUREUX 07 sera bientôt disponiblesur le site Internet du 35 GBC à l’adressesuivante : www.armee.gc.ca/qg_35gbc/

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Par lieutenant Philippe MasseCommandant peloton 12, cie PF, ERP Kandahar

KANDAHAR - L’été 2006 a été intensémentchargé pour plusieurs soldats de Valcartierqui ont vécu des changements d’affectationet de plans d’entraînement. Plus parti-culièrement pour les membres de la Forceopérationnelle 4-06 (FO 4-06) qui ont vécule stress des évaluations portant sur leurcapacité à être déployés. Finalement le ver-dict est tombé vers la mi-septembre pourun déploiement d’une compagnie de véhiculesblindés légers (VBL) constituée de deuxpelotons de VBL et d’un poste de comman-dement (PC) provenant du 1er BataillonRoyal 22e Régiment ainsi que d’un peu plusd’un peloton pour la Défense et Sécurité(D&S) provenant du 3e Bataillon Royal 22e

Régiment.En effet, le 1er novembre 2006 a marqué

notre premier jour en théâtre. À notre arrivéeau camp Mirage, nous en savions très peusur notre mission. En résumé, nous étionsun peloton d’infanterie légère sans détache-ment des armes, mais avec cinq sectionsde 10 hommes avec la remarque «défensestatique» inscrite sur l’ordre de mission.

Nous avons eu droit à une couverturemédiatique intense à l’aéroport de Québec.Par la suite, la réalité de la mission allaitrapidement nous rejoindre. Nous sommesarrivés au milieu de la nuit à l’aéroport deKandahar et quelques heures plus tard, la

répartition du travail devait commencer.Quelques soldats ont pris la direction deKaboul pour servir de protection person-nelle à des membres du quartier généralsupérieur. Certains sont devenus membresd’équipage du PC tactique du commandantde la Force opérationnelle interarmées 3-06 (FOI-A 3-06), alors que d’autres ont ren-forcé les rangs du peloton de D&S de l’aéro-port de Kandahar. Finalement, la majoritédes membres du peloton sont partis au campNathan Smith, le lieu de résidence de l’Équipede reconstruction provinciale (ERP). Noussommes devenus le peloton D&S pour cecamp, et l’amélioration du système de défenseest notre principale préoccupation depuis.

Au début du mois de décembre, le restede la compagnie C du 1 R22eR est venuenous rejoindre tel que prévu. Nous formonsmaintenant la compagnie de protection dela force et le travail ne manque pas. En effet,l’ERP est l’organisation qui s’occupe de lareconstruction dans toute la province deKandahar et elle est justement située enplein cœur de la ville du même nom.

Le peloton léger fournit encore toute lasécurité du camp et renforce certainespatrouilles. Les deux pelotons VBL et le PCde compagnie s’occupent aussi des tâchesde fournir la sécurité aux équipes deCoopération civilo-militaire (COCIM) for-mant l’ERP, d’escortes de convois et depatrouiller la ville de Kandahar.

Les membres du peloton 7 de la compagnie C.

Les membres du peloton 8 de la compagnie C.

Les membres du peloton 9 de la compagnie C.

Les membres du PC de la compagnie C. - Photo : Cie C, Kandahar

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Vous voulezcesser defumer oude chiquer?Vous aimeriez amé-liorer votre santé touten développant desaines habitudes? Leprogramme «Écrasez-la» est là pour vous etest conçu pour aiderles personnes à arrêterde fumer ou de chi-quer en favorisant unchangement face aux

différents aspects de la dépendance au tabac.Vous pourrez développer votre capacité àrester non-fumeur.

Ce programme est d’une durée de six ate-liers de 60 à 90 minutes chacun, répartis surhuit semaines.Séance d’information : jeudi 1er févrierà 13 h 30 au local 182 du Centre des sports(bât. 516).

L’un dessecrets dela santé?Restez cool!Soyez sous l’influenced’une bonne gestiondu stress, et le travail,comme l’amour,deviendra le moteurd’une bonne santémentale. Le stress faitpartie de la vie de tousles jours, mais il estpossible de l’apprivoi-

ser. Bien gérer son stress permet d’amélio-rer votre performance au travail, augmentevotre niveau d’énergie, améliore la qualitéde vos relations et offre bien d’autres avan-tages.

C’est ce que vous propose le programme«Le stress, ça se combat» en permettant uneprise de conscience de vos habitudes et en

RENSEIGNEMENTS- Tél. : 844-5000, poste 4677- Courriel : +Promo Santé@5 GSS

USS@Valcartier (de l’extérieur,[email protected])

développant des outils pour maîtriser et mi-nimiser le stress dans votre vie.

La Promotion de la santé vous offre unprogramme de quatre rencontres d’une demi-journée les vendredis matins.Séance d’information : vendredi 9 févri-er de 10 h à 11 h 30 à la salle 182 du Centredes sports.

La colère,pour oucontre soi!Vous aimeriezdévelopper voshabiletés interperson-nelles, acquérir denouveaux outils pourrésoudre les pro-blèmes au travail ouà la maison, aug-menter votre perform-ance personnelle etdiminuer le niveau destress et d’anxiété faceà des événements et

circonstances qui sont sources de colère. Héoui, il est possible d’apprendre à gérer effi-cacement la colère!

Les recherches indiquent que vous vivrezplus de 20 moments contrariants cette semaine.Sept d’entre eux seront suffisamment impor-tants pour vous mettre en colère. Le pro-gramme «Gérer les moments de colère» vouspermettra d’explorer votre relation avec lacolère en vous aidant à mieux comprendreet à faire face à vos déclencheurs de façon àprévenir une escalade de la colère. En par-ticipant au programme, vous pourrez iden-tifier les situations précises qui engen-drent de la colère et mettre en applicationdes stratégies d’adaptation fructueuses faceà ces situations. Nous avons tous nos momentsde colère, c’est la façon de les gérer qui compte!

Le programme «Gestion des moments decolère» comporte huit rencontres d’une duréede trois heures par semaine.

Le programme aura lieu les jeudis de13 h à 16 h du 22 février au 26 avril 2007.Séance d’information : jeudi 15 février à13 h 30 au Centre des sports (bât. 516),salle 182.

CHRONIQUE LLECTURE

UNE TASSE DE RÉCONFORT POURLES MÈRES ET LEURS FILLES Dans Une tasse de réconfort pour les mères et leurs filles, desmères et des filles partagent leurs perles de sagesse, leurs conseilset leurs secrets intimes comme elles ne l’ont jamais fait dans unecollection d’histoires

TITRE : UNE TASSE DE RÉCONFORT POURLES MÈRES ET LEURS FILLESAUTEURS : sous la direction de Colleen SellÉDITEUR : AdaPAGES : 354PRIX : n/d

Le commentairede notre lectrice volontairePar le caporal-chef Mélanie Préfontaine,

55 Ambulance de campagne

L’OR ROSE : LA RELATION MÈRE-FILLE

Dès la conception, nous nous attachons à cetêtre en nous. L’attachement mère-enfant com-mence à se former du moment que la mèresait qu’elle est enceinte. En devenant mère,on saisit l’importance de notre mère. La rela-tion mère-fille est une relation très intime.Dans le recueil de textes «Une tasse de récon-fort pour les mères et leurs filles», les his-toires se succèdent les unes après les autres.Ces péripéties touchent le plus profond denotre coeur; sortez vos mouchoirs mesdames.Les relations mères-filles ne sont pas tou-jours parfaites, car souvent les idées diver-gent, les chemins se séparent. Elles sont trèsdifficiles à comprendre parfois. Les mèresne sont pas parfaites et les filles non plus

d’ailleurs, mais dans ces histoires tout finitpar s’arranger, comme dans la vie tout finitpar s’éclaircir. Les mères veulent le meilleurpour leur enfant et quelques fois elles setrompent parce que le meilleur pour ellesn’est pas nécessairement le meilleur pourleur enfant. Savoir écouter et maintenir lacommunication sont les clés d’une bonneentente. La relation mère-fille est très pro-fonde, difficile à exprimer et n’a pas de secret.En écrivant une partie de leur relation mère-fille, ces auteurs nous aident à faire une miseau point sur notre propre rapport mère-fille.Cela nous aide à profiter davantage de celien et devenir plus proches l’une de l’autre.

LLa sénateure Lucie Pépins’arrête au Centre de la famille

JUSQU’AU 11 FÉVRIER

Le Bonhomme Carnavalvous met au défiPar Yan BélangerJournal Adsum

L’esprit de la 53e édition du Carnaval deQuébec enflamme la ville fortifiée quiabonde de jeux et d’activités pour vousfaire découvrir et apprécier notre hiverd’une toute nouvelle façon. L’Adsum aretenu pour vous, parmi les diversesactivités inscrites à la programmation,quelques incontournables comme choixde sorties pour toute la famille ou entreamis. Allez célébrer l’hiver!

VILLAGE M. CHRISTIE/KRAFT(Sur les Plaines d’Abraham)Destiné aux tout-petits, le VillageM. Christie/KRAFT est le lieu de rassemble-ment des familles qui découvrent le Carnaval!Plusieurs jeux avec animation sont accessi-bles en permanence : courses de tacots, glis-sades de glace, sentier aventure et tunnel sousla neige en plus de certaines nouveautés commele duel des minis gladiateurs et le jeu de lamasse. Appréciez l’hiver à sa juste valeur dansun véritable parc d’amusement hivernal etfamilial; vous y retrouverez votre cœur d’en-fant.

PLACE DESJARDINSSitué sur les Plaines d’Abraham, l’immenseterrain de jeux à ciel ouvert que représentePlace Desjardins est l’endroit idéal pour testerses capacités ou simplement admirer les per-formances des plus téméraires et des plushabiles.Sur le siteMaison de glace, jeu de soccer géant, tyroli-enne, promenades en carriole, rafting surneige, glissades et cabane à sucre.Dimanche 4 février à 10 h Défi ski cerf-volantUne occasion unique d’expérimenter un sportqui allie la planche à neige, le ski, la voile etle cerf-volant.Samedi 10 février à 14 hBain de neige

Des courageux affrontent le froid et la neigeavec comme seule protection leur maillotde bain.Les samedis et dimanchesInitiation au ski alpin pour les jeunes de 5à 8 ansActivités en continuCiné-Tuque - Dès 18 h tous les soirsLes amateurs de plein air pourront profiterd’un espace de cinéma qui projettera sur écrangéant des classiques dans une enceinte naturelleà l’abri du vent.International de sculpture sur neigeDécouvrez des sculptures éblouissantes uniqueset éphémères.

PLACE LOTO-QUÉBECSitué sur la Place de l’Assemblée nationale, lesite de Place Loto-Québec loge le Palais deBonhomme. Chaque vendredi et samedi soirsdès 20 h, les carnavaleux pourront aussi seréchauffer grâce aux Surboums, soirées dedanse disco à la belle étoile.

AUTRES ACTIVITÉSLes Soirées spectacles sous la Tente METRO(dès 20 h)Samedi 3 février - eXterioSamedi 10 février - SuroîtCourse de tacotsSamedi 3 février à 10 h - Côte de la Fabrique(Vieux-Québec)Course en canotDimanche 4 février à 13 h 30 - Bassin LouiseDéfilés de nuit M. Christie (19 h)Chars allégoriques, fanfares, mascottes etanimations de toutes sortes se retrouverontdans les rues pour les Défilés de nuit.Samedi 3 février - Charlesbourg/LimoilouSamedi 10 février - Haute-ville

Pour connaître le détailde la programmation officiellede l’événement, rendez-vous au

www.carnaval.qc.ca.

À quelques mois du déploiement destroupes de la garnison pourl’Afghanistan, la sénateure LuciePépin s’est arrêtée, le mercredi 24janvier, au Centre de la familleValcartier pour prendre le pouls desconjointes militaires et des femmesde notre communauté et échangeravec elles en toute simplicité.

Pour l’occasion, Mme Pépin a été invitéeà se joindre à un petit groupe d’une quin-zaine de femmes, toutes bénévoles au CFV,réunies dans le cadre d’une activité men-suelle où un échange de cadeaux était au pro-gramme.

La sénateure Pépin, qui n’en est pas à sapremière visite à Valcartier, est depuislongtemps interpellée par le rôle importantque remplissent les familles et les conjointesdes militaires dans l’accomplissement de lamission des Forces canadiennes.

«Pour les conjointes de militaires, MmePépin est une voix qui fait entendre leurspréoccupations et leurs besoins à des instancespolitiques plus élevées», affirme ChantalThompson, organisatrice communautaireet responsable de l’action bénévole au CFV.

«Nos militaires sont de plus en plus appelésà évoluer dans des conditions extrêmement

difficiles. Cette situation accroît le stress desmembres des Forces canadiennes mais aussicelui de leurs familles, qui doivent vivre main-tenant de plus longues séparations. Je distoujours que si nos soldats font un si bon tra-vail à l’étranger, c’est en grande partie grâceà l’appui de leurs conjointes qui restent ici,derrière, a indiqué la sénateure Pépin à votrejournal. Ce que les gens doivent retenir demon passage, c’est qu’il y a quelqu’un qui està l’écoute et qui est prête à les aider pouraméliorer leur situation.» (Y.B.)

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PROMOTIONSANTÉ

Photo : cpl M.-A. Gaudreault, Imagerie Grn Va

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31 janvier 2007 / Adsum

/ Page 15HHeures des familles avec la Chaîne de commandementRETRANSCRIPTION DE QUESTIONS ET DE RÉPONSES

SOLUTION SUDOKUde la p. 6

Le major Guillaume Robert du 1 R22eRétait le maître de cérémonie pour cettedeuxième «Heure des familles avec laChaîne de commandement». Des famillesse sont regroupées à Bagotville, Saint-Hubert et Valcartier afin de pouvoir êtreinformées par la chaîne de commande-ment de ce qui s’est passé dans le derniermois pour nos troupes et elles ont eu l’oc-casion de poser des questions sur diversaspects. Le major Richard Collin, le ca-pitaine John Benson et l’adjudant Parenteauétaient les interlocuteurs du théâtre.

À la suite de l’Heure des famillesavec la Chaîne de commandementtenue le 24 janvier, nous avons sélec-tionné des questions parmi toutescelles posées par les familles quiétaient présentes. Nous vous lesprésentons avec les réponses quiont été fournies à ces questions.

Q : Est-ce que les Web Cam fonctionnerontbientôt?

R : Pour ce qui est de Kandahar, il y a envi-ron deux ou trois Webs Cam; pour le campNathan Smith, on ne sait pas, nous posonsla question à tous les jours.

Q : Pourrions-nous avoir plus de reportagessur vous dans les médias? Les médiasanglophones tels que CBC diffusent beau-coup de reportages très intéressants.

R : Nous avons vu Radio-Canada voilà unmois ou deux, mais nous pensons qu’ilsramassent du matériel pour faire un grosreportage au lieu d’en faire de petits. Pourle moment, c’est CBC qui est là, mais la Rotopartira de Valcartier en août, Radio Canadaproduira davantage de reportages.

Q : Est-ce qu’il y a des blessés légers, nousn’en entendons pas parler?

R : Si vous n’en entendez pas parler, c’estqu’il n’y en a pas eu.

Q : Quel est la perception des Afghansenvers vous?

R : Leur première impression est que noussommes des étrangers, mais ils s’aperçoiventque nous sommes ici pour les aider. Ils voientun changement rapide. Les gens s’aggluti-nent autour de nous pour avoir quelque chose,par exemple nos crayons.

Q : En ce qui concerne la communicationavec les Afghans, comment vous prenez-vous?

R : Il existe une barrière, mais des interprètesnous accompagnent en tout temps et quelquesfois, on communique par signes.

Q : Avez-vous appris quelques mots afghansdepuis votre arrivé là-bas?

R : Nous avons toujours les traducteurs avecnous, mais je peux vous dire que depuis queje suis ici je bois beaucoup plus de thé. À l’oc-casion, nous gouttons aux mets locaux.

Q : Pourrait-il avoir un autre HLMT pourles militaires actuellement déployés? Est-ce que cela est confirmé?

R : En ce moment, on en parle, mais on devraitsavoir dans les prochains jours si cela se con-firme ou non.

Q : Qu’est-ce qu’une journée typique pourl’ELMO?

R : Les compagnies se déploient, il y a despatrouilles qui se font et des opérations mi-litaires. Le camps principaux donnent l’en-traînement aux Afghans.

Q : Avez-vous l’entraînement nécessairepour contrôler les bains de foule?

R : Oui, nous avons l’entraînement néces-saire pour cela, de même que pour beaucoupd’autres situations.

Q : Qu’est-ce qui ferait plaisir à un mili-taire de recevoir pendant son déploiementpar la poste?

R : Des bonbons, de la gomme, etc.

Vidéo-conférence pour tous!

UN ALBUM PHOTOS DES NÔTRESEN AFGHANISTAN SUR LE WEB

Les membres de la compagnie C du1er Bataillon, Royal 22e Régiment, qui serventactuellement à Kandahar, en Afghanistan, pub-lient en images sur le Web quelques souvenirsde mission. L’album photos est accessible àl’adresse www.wistiti.fr.Les utilisateurs doivent entrer lesdonnées suivantes :Identifiant : KandaharMot de passe : AfghanistanLes photos sont regroupées dansl’album Afghanistan 1. Les gestion-naires du site vous demandent detélécharger les images désirées survotre ordinateur personnel avant d’enfaire un usage quelconque ou de leurapporter des modifications.

L’HEURE DES FAMILLES AVEC LA CHAÎNE DE COMMANDEMENTCalendrier des rencontresLes mercredis 21 février, 21 mars, 25 avril, 16 mai, 20 juin, 18 juillet, 15 août,19 septembre, 17 octobre, 21 novembre et 12 décembre 2007 et les 23 janvier,20 février et 19 mars 2008 à 19 h au Centre communautaire de la GarnisonValcartier (bâtisse 93).

En plus du rendez-vous mensuel par vidéo-conférence proposé par les rencontres deL’heure des familles avec la chaîne de com-mandement, savez-vous que les familles desmilitaires déployés en Afghanistan ont accèsà un service de vidéo-rencontre privée?Quelques sites de la Défense nationale, notam-ment la Garnison Valcartier et Saint-Hubert,disposent de technologie nécessaire pourpermettre de rapprocher, pendant quelquesinstants, les gens par l’image. Papa sera cer-tainement heureux de voir à l’occasion fis-ton «en direct» pendant qu’il est en missionà l’étranger.

Cependant, seuls les militaires en théâtrepeuvent présenter une demande pour utili-ser le service, car il est le seul à connaître sesdisponibilités là-bas. Ce dernier n’a qu’às’adresser, sur son camp, au personnel del’Agence de soutien du personnel des Forcescanadiennes (ASPFC).

Le Groupe de soutien au déploiement vousrappelle également que deux stations mul-timédias avec webcam sont disponibles auCentre communautaire de Valcartier et unestation à Saint-Hubert et une autre à Saint-Jean au sein du CRFN Montréal. Renseignez-vous à la réception de chacun de ces endroitspour les modalités d’utilisation.

«Aucun autre pays n’effectue des largages aériens»Par la capitaine Nicole Meszaros8e Escadre Trenton

L’Aviation canadienne se gagne rapide-ment la reconnaissance de la communautémilitaire internationale pour le soutienqu’elle assure en Afghanistan, en parti-culier pour ses capacités en transport aérientant stratégique que tactique.

«C’est renversant! Le comportement desCanadiens est tout simplement incroy-able», affirme le major Dan Olson, offici-er de l’United States Air Force affecté à laForce de transport aérien, au quartiergénéral de la Force internationale d’assis-tance à la sécurité (ISAF). Il fait parti-culièrement allusion aux CC-130 Herculesdéployés en Afghanistan au sein de l’Unitéde transport aérien tactique. Cette unitéest rattachée à l’Élément de soutien duthéâtre et basée au camp Mirage, princi-pal centre des opérations de l’Aviationcanadienne dans la campagne contre leterrorisme.

«Aucun autre pays n’effectue des largagesaériens pour l’ISAF; les Canadiens redou-blent d’efforts et le font!», lance le majorOlson, responsable de la planification desopérations aériennes entre le camp Mirageet l’Afghanistan ainsi que des missionsaériennes, notamment celles des Herculesdes Forces canadiennes.

Depuis juin dernier, des équipages tac-tiques de Hercules ont effectué des livraisonscruciales au profit des forces de la coali-tion à plus d’une douzaine de bases d’opéra-tions avancées (FOB) dans ce pays pour

les approvisionner en nourriture, en eau,en munitions et en d’autre matériel essen-tiel.

Le 7 novembre, des équipages des FCont largué des ravitaillements à des sol-dats canadiens déployés à une FOB à l’ouestde Kandahar, pour la première fois depuisle début des combats dans ce pays déser-tique. Leur rôle revêt de plus en plus d’im-portance, puisqu’il évite d’effectuer desconvois terrestres à travers un territoiredangereux pour approvisionner des troupesqui en ont besoin.

C’est avec respect que le major Olsondonne de nombreux exemples de la déter-mination des Canadiens. À l’une de cesoccasions, raconte-t-il, au cours de l’opéra-tion MEDUSA, il fallait transporter parles airs, de Kandahar à Kaboul, un lance-roquettes d’artillerie à grande mobilité(HIMARS) (dispositif de l’Armée de terrepermettant de lancer des roquettes avecplus de précision et à une plus grande dis-tance que toute autre pièce d’artillerie).

Ce lance-roquettes était tellement grosqu’on a dû dégonfler les pneus du Herculespour l’embarquer. Nombre de pays ontrenoncé à transporter de l’équipement parla voie des airs. Mais le Canada, lui, n’apas rechigné à la tâche, a dégonflé les pneusde son aéronef turbopropulsé, a chargécelui-ci et a transporté le lance-roquettesà destination. Moins de six heures aprèsson arrivée à Kandahar, le HIMARS lançaitdes roquettes.

Le major de l’USAF rappelle une autreoccasion où le Canada a mis les bouchées

doubles. Récemment, des dignitairess’étaient rendus en Afghanistan pour despourparlers tripartites et ils devaient sedéplacer à bord d’un Hercules canadienentretemps mis hors service.

«Plutôt que de dire : “L’aéronef est inuti-lisable, les dignitaires vont rester en plan”,des équipes de maintenance canadiennesont travaillé toute la nuit pour qu’unHercules du camp Mirage les transporteen Afghanistan. De petits comportementscomme ceux-là, face à l’adversité, oùl’on fait tout pour accomplir sa mission,en disent long sur l’ISAF (et l’Aviation cana-dienne), déclare le major Olson; j’aimeraisque cela survienne plus souvent.»

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Les conversations difficiles - première partie

NN.D.L.R. Ce texte aborde la question desconversations difficiles. Lors de la prochaineédition, l’aauteur traitera plus en détail ducheminement à suivre pour contrer ceséchanges verbaux difficiles.Vous les craignez, car vous ne savez pas com-ment faire pour qu’elles ne vous affectentpas émotivement et psychologiquement. Dessujets tels la politique, la sexualité, le racisme,l’égalité homme-femme et la religion sontredoutés, car ils semblent annoncer un débatcontroversé, des obstinations et des relationsinterpersonnelles amoindries.

Plus banalement, il y a aussi ces conver-sations qui sont anxiogènes : le colis que laposte a endommagé, l’annonce que vous ferezà vos employés au sujet de l’assiduité au tra-vail, la troisième version de votre lettreque vous remettez à l’adjointe administra-tive, etc. Sous l’ensemble de situations dumême genre se cachent des peurs humaines.Dois-je aborder la question ou dois-je metaire? Le voisin de bureau fait jouer sa radioà un poste qui vous dérange ou le comman-dant ne cesse de parler au personnel justeen face de votre bureau. Devez-vous abor-der le problème de front? Devez-vous l’abor-der de biais? Devez-vous vous taire ?

Il y aura des conséquences, que vous évi-tiez ou confrontiez la situation. Commentpouvez-vous résoudre ce dilemme, surtoutque vous vous êtes mis à douter des résul-tats que vous obtiendrez si vous en parlez...

PPPAR ALBERT TRANQUILLE

Médiateur, Centre de résolution des conflits

arler pour s’entendre

Si vous ne le faites pas, vous savez déjà qu’ilvous sera difficile de continuer à vivre lasituation sans devenir une bombe ambu-lante. Est-il possible d’aborder ces situationsde façon plus constructive? La réponse estpositive. Voici comment.

QUATRE ERREURS À ÉVITERPour ne pas tomber dans le piège des con-versations difficiles, il faut savoir que celles-ci ont une structure commune. Lorsque votrevis-à-vis et vous-même discutez ensemble,il vous faut saisir ce qui est dit, mais égale-ment ce qui ne l’est pas. Il est nécessaire desaisir les pensées et les sentiments qui n’ontpas été exprimés et qui pourraient servir delevier à l’escalade d’un conflit.

Le premier problème qui survient lorsd’une conversation difficile ne porte pas surla véracité ou la fausseté des «faits» énon-cés par les vis-à-vis. Le problème porte plutôtsur les perceptions, les interprétations et lesvaleurs qui supportent ces faits. Il faut doncse distancer des faits de façon à les présen-ter comme étant notre compréhension de lasituation et une impression de la réalité.

Le second problème qui se pose est celuide prêter des intentions à notre vis-à-viscomme si nous pouvions lire ses pensées etdeviner à coup sûr ses motifs et ses inten-tions. Erreur! Cela n’est pas possible.

Le troisième problème que nous pouvonsrésoudre est celui de chercher à blâmer l’autre.Désigner une personne fautive de pensercomme elle pense n’aide en rien à la conver-sation. La recherche de la personne fautivene réussit qu’à aggraver les conflits danslesquels nous sommesimpliqués.

Le quatrième prob-lème, plus complexe, quidoit être compris est celuide prendre les argumentsdu vis-à-vis comme étantdirigés contre vous. L’échange devient alorsun débat qui porte sur votre identité en tantqu’humain. Il met en marche une machinepour contrer l’autre. Des émotions, attitudeset réactions s’ensuivent qui ne font rien pourque la conversation soit cordiale.

RAPPROCHEZ VOS «MONDES»Vous vous demandez s’il est possible de tenirune conversation sur les sujets précités sansqu’elle tourne au vinaigre? La réponse estoui !

Pour que cela soit possible, il faut bien seconnaître et reconnaître que la personneayant tous les défauts, qui ne veut pas com-prendre et accepter votre point de vue, n’estpeut-être pas seulement votre vis-à-vis.Comment réagissez-vous à ses propos? Quellesémotions surgissent en vous et quelles parolesces émotions vous font-elles dire? Blâmez-vous? Cherchez-vous qui a raison et qui atort? L’affrontement verbal ne permet pasd’être ouvert au «monde» tel que vu et défendupar chacun.

Pour améliorer les conversations et éviterqu’elles ne deviennent difficiles, nous voussuggérons d’échanger avec votre vis-à-vis desparoles, des pensées et des sentiments quivont au-delà des seules conclusions qui,habituellement, servent de sources aux con-versations difficiles. Tentez d’expliquer àvotre vis-à-vis votre raisonnement en lui don-

nant accès à l’informa-tion dont vous tenezcompte pour arriver àvos conclusions ainsiqu’à l’interprétationde ces informationsqui façonnent votremonde.

Alors, vos deux mondes se rapprocherontet vous éviterez plus facilement le dérapagevers des conversations difficiles.Cet article est inspiré du livre: «Commentmener des conversations difficiles» de Stone,Patton et Heen, Éditions du Seuil, 271 pages,2001.

Des sujets délicats comme la politique ou la reli-gion peuvent mener à des conversations difficiles,tout comme des situations embarrassantes au tra-vail. Êtes-vous du genre à vous taire ou à aborderla question? - Photo: Tom de Bruin, Stock.xchng

LLes tâches ménagères sont profitables pour les enfantsPar Kristen Zolten et Nicholas LongCenter for Effective Parenting

Beaucoup de parents exigent que leurs enfantsfassent diverses tâches à la maison. Pour cer-taines familles, le processus consistant àapprendre aux enfants quoi faire et commentle faire se déroule bien. Pour d’autres, faireen sorte que les enfants accomplissent leurstâches régulièrement et jusqu’au bout peutposer des problèmes.

Il est bon de faire comprendre aux enfantsdès un jeune âge que tous les membres de lafamille doivent travailler ensemble pour quefonctionne la maisonnée et que chaque per-sonne doit faire sa part. On peut atteindre ceconsensus en instaurant un programme detâches et de responsabilités dès que les enfantssont jeunes.

Les tâches sont profitables pour les enfants- même les plus jeunes. Être responsable d’ac-complir des tâches apprend aux enfants bonnombre de compétences importantes, tellesla collaboration et la responsabilité. Les tâch-es inculquent également aux enfants les valeursde justice et d’engagement. Les compétenceset les valeurs que les enfants retiennent enaccomplissant des tâches auront un effet béné-fique sur eux toute leur vie durant.

QUE FAIRE?Les parents peuvent faire beaucoup de chosespour encourager leurs enfants à accomplirdes tâches ménagères. Voici quelques sugges-tions :• Commencez tôtLes parents devraient commencer à donnerdes tâches ménagères aux enfants lorsque cesderniers sont jeunes. La plupart des jeunesenfants adorent aider leurs parents. Lesparents devraient profiter de ce penchant pourdonner de menues tâches, faciles à accom-plir. À mesure que les enfants vieillissent, onpeut leur assigner des tâches plus difficiles.• Montrez-lui comment faireLes enfants doivent savoir exactement ce qu’onattend d’eux. Il est donc préférable que lesparents s’assurent que les enfants sachent pré-cisément ce que leurs tâches englobent. Lesparents devraient passer en revue les tâcheset démontrer aux enfants comment s’y pren-dre. On peut aussi écrire et afficher toutes les

étapes liées à une tâche, pour que l’enfantpuisse s’y reporter. Au début, les parentsdevraient surveiller l’enfant pour s’assurerqu’il se débrouille bien. Une fois que l’en-fant a bien appris, les parents peuvent cesserde surveiller. • Enseignez une tâche à la foisIl est sans doute préférable que les parentsenseignent complètement une tâche, puisqu’ils s’assurent que l’enfant l’effectue cor-rectement avant de passer à une autre tâche.Les jeunes enfants peuvent être dépassés parles événements lorsqu’on tente de leur enseign-er trop de choses en même temps.• Divisez la tâche en étapesEn enseignant une tâche, les parents devraients’efforcer de la diviser en petites étapes. Parexemple, plutôt que dire à l’enfant de nettoy-er sa chambre, les parents devraient faire laliste des choses comprises dans le nettoyagede la chambre, p. ex. changer les draps, rangerles jouets qui traînent, épousseter le bureauet passer l’aspirateur. Les parents devraientalors enseigner à l’enfant comment faire chaqueétape correctement.• ExpliquezLes enfants doivent savoir pourquoi contribuerest important. Les parents devraient expli-quer que les tâches aident toute la famille etque tous les membres de la famille doiventfaire leur part pour que tout se passe commesur des roulettes.• Changez la nature des tâches à mesureque les enfants grandissentAu fur et à mesure que les enfants grandis-sent, on peut leur confier des tâches de plusen plus complexes. La plupart des parents ontune bonne idée de ce que leurs enfants sontcapables de faire. C’est pourquoi les parentsdevraient choisir des tâches qui sont adap-tées à l’âge et aux capacités des jeunes.• Surveillez-les au débutAu début, les parents doivent être prêts à répon-dre aux questions et à donner des conseils, aubesoin. Les parents peuvent inspecter le tra-vail des enfants pour s’assurer que ce dernierest fait comme il se doit. Plus les enfants sontjeunes, plus ils auront besoin de supervision.Lorsque l’enfant est habitué, les parents peu-vent relâcher leur surveillance. Les enfantsplus âgés peuvent être complètement respon-sables de l’accomplissement des tâches.

• Établissez un système de récompensesou un tableauSi les parents ont de la difficulté à amener lesenfants à faire leurs tâches ou à les fairecorrectement, un système de récompenses ouun tableau pourrait être utile pour encour-ager la collaboration. Pour ce faire, incluezune liste des critères pour l’achèvement réus-si de la tâche. Le tableau devrait être affichébien en vue dans la maison. Les parents - oules enfants s’ils sont assez vieux - devraientindiquer chaque tâche complétée sur le tableau.Les parents peuvent attribuer des points sus-ceptibles d’être échangés contre une récom-pense désirée ou encore offrir la récompensepour les tâches sur lesquelles ils se sont enten-dus. Enfin, les parents et les enfants devraients’entendre sur la récompense. Plutôt qu’unerécompense matérielle, telle que des bonbonsou des jouets, il est préférable de proposer desrécompenses immatérielles, comme une sor-tie au parc avec maman et papa ou la possi-bilité de veiller une demi-heure de plus. Lesrécompenses peuvent être quotidiennes ouhebdomadaires, bien que pour les enfantsplus jeunes, il est probablement plus adéquatd’offrir des récompenses quotidiennes. Lesenfants plus âgés peuvent recevoir des récom-penses hebdomadaires. Une fois que les enfantsaccomplissent leurs tâches régulièrement, lesystème de récompenses ou le tableau peutêtre éliminé.• Fournissez des conséquences logiquesEn plus du système de récompenses ou dutableau ou en remplacement de celui-ci, lesparents devraient appliquer des conséquences

logiques. Les conséquences logiques vontde pair avec les gestes des enfants. Par exem-ple, si un enfant oublie constamment de rangersa bicyclette à la fin de la journée, la con-séquence logique serait de lui interdire d’u-tiliser sa bicyclette pendant quelques jours.En revanche, la conséquence logique pour unenfant qui travaille fort constamment et quiaccomplit ses tâches ménagères serait de pou-voir profiter de périodes de jeu spéciales. Lesparents et les enfants devraient décider ensem-ble des conséquences à l’avance. Les par-ents doivent toujours appliquer les con-séquences, qu’elles soient positives ou négatives.• Évitez de rappeler trop souvent leurstâches aux enfants ou de les embêterLes parents devraient tenter d’éviter d’em-bêter les enfants ou de leur rappeler constam-ment leurs tâches. De tels rappels forcent lesparents à être responsables de l’achèvementdes tâches. Les parents devraient s’assurerque les enfants sont nommés seuls respons-ables de l’accomplissement de leur tâche. Sil’enfant oublie ou refuse, les parents devraientsimplement imposer les conséquences sansen parler.• Si votre enfant oublie ou refuse d’accom-plir la tâche, ne la faites pas à sa place.Les parents ne doivent pas faire le travail desenfants pour eux. Si les parents, frustrés, aban-donnent et font la tâche à la place de l’enfant,l’enfant apprendra un certain nombre dechoses. Premièrement, l’enfant apprendra queses parents ne pèsent pas leurs paroles et qu’ilsn’appliqueront pas les conséquences.Deuxièmement, il apprendra que s’il attendassez longtemps, quelqu’un fera ses tâchespour lui. Les parents devraient se contenterd’appliquer les conséquences jusqu’à ce queleurs enfants fassent leurs tâches.• Ne vous gênez pas pour les féliciterLes parents devraient toujours féliciter etencourager les enfants qui font l’effort d’ac-complir leurs tâches ménagères. Les parentsdevraient continuer à féliciter les enfantsmême après que l’enfant accomplit ses tâch-es régulièrement.Article tiré du site Webwww.parenting-ed.org.

«L’affrontement verbal nepermet pas d’être ouvertau “monde” tel que vu et

défendu par chacun»

Photo : sxc_JynMeyer.jpg, source : Jyn Meyer, www.sxc.hu

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Soirée romantique pour la Saint-ValentinPar le caporal Linda VilleneuveCuisinière au Mess des Officiers

On dit que tous les grands amants sont degrands gourmets. Les ingrédients néces-saires à cette soirée sont un peu de rêve-rie, parsemée d’aventure et mélangée avecbeaucoup d’audace pour éveiller vos sens.L’imagination sera la touche finale pourune cuisine et une soirée remplie d’éro-tisme.

Dans tous les cas, le plaisir est dans laforme, la manière, l’intention et bien enten-du dans l’assiette. Pour jouir d’un bonrepas, il faut humer, mordre, toucher,regarder et écouter la présentation ducuisinier. Gastronomie et amour égalentplaisir. Je vous propose un met pour dégusteravec les mains. Ainsi vous pourrez dévo-rer l’être aimé des yeux au lieu de vousconcentrer à utiliser des ustensiles.

LE PORTRAIT DU MOIS

N.D.L.R. : Le journal Adsum, en partenariat avec le journalServir et le Secteur du Québec de la Force terrestre, a décidéde vous proposer, chaque mois, le portrait d’une personnequi s’est démarquée par sa contribution à la communautémilitaire. Le but de cette chronique est de mettre en valeurles efforts individuels des membres de notre grande famillede la Défense et de vous faire découvrir des gens ordinairesqui ont accompli des choses extraordinaires.

Le cplc Annie Cournoyer : une grande timide qui «déplace de l’air»

Par Yan BélangerJournal Adsum

Réserviste depuis 1991, le caporal-chef Annie Cournoyer, du DétachementMontréal de l’Unité régionale de sou-tien aux cadets (Est), démontre undévouement inégalé auprès d’unequantité inimaginable d’activités etd’organismes présents dans la com-munauté militaire de la GarnisonSaint-Jean. Sa motivation à donnerautant de son temps, elle l’a puisedans les sourires et les petits bon-heurs qu’elle procure à ceux et à cellesqu’elle aide.Originaire de Sorel, le caporal-chef AnnieCournoyer, 34 ans, a été attirée par unecarrière dans les Forces canadiennes grâceà son expérience de cadette dans la Marine.«Je voulais de l’action, voir d’autres genset d’autres villes. Je voulais bouger etacquérir des connaissances hors de l’or-dinaire. Tous mes amis travaillaient àl’époque dans des boutiques de vêtementsou dans des petits cafés et des restaurants.Ce n’était pas pour moi! Je voulais vivreautre chose», indique la réserviste. Les FCse sont vite imposées à son esprit, commeun environnement qui lui permettrait deprolonger la belle expérience entamée avecles cadets.

Toutefois, la jeune militaire était loin dese douter de ce qui l’attendait à ses débutsdans les Forces. «Je voulais travaillercomme commis à l’administration dansl’Armée et poursuivre en même temps mesétudes en technique de bureautique. Paraccident, je me suis retrouvée fantassindans un bataillon d’infanterie de la Réserve,le 6e Bataillon, Royal 22e Régiment situéà Saint-Hyacinthe. J’ai changé de métierl’année d’après», se souvient-elle. Son par-cours l’amène aux Fusiliers de Sherbrookeen 1995, puis au Détachement Montréalde l’Unité régionale de soutien aux cadets(Est), basé à la Garnison Saint-Jean, cinqans plus tard où elle travaille toujours àtemps plein comme commis de soutienà la gestion des ressources.

Nouvelle venue dans une ville inconnue,Annie ne s’est pas laissée freiner par sagrande timidité pour se lancer dans lebénévolat. «J’ai fait de belles rencontresdans les organismes où j’ai travaillé commebénévole. J’occupe mes temps libres à merendre utile.»

Le caporal-chef Cournoyer siège aucomité divertissement du Club Alouette,le mess des subalternes de sa garnison, etau conseil d’administration du Centrede la petite enfance O Mille Ballons fréquen-té par ses deux enfants, Thomas, 4 ans, etÉlissa, 7 ans et demi. L’été dernier, elle aapporté son soutien au Club ados des Loisirscommunautaires comme moniteurd’escalade auprès des jeunes, un sportqu’elle aime pratiquer régulièrement enfamille.

«J’ai adoré cette expérience. Je vais cer-tainement y retourner. Notre récompenselorsqu’on fait du volontariat, c’est de voirce que notre implication apporte aux autrespersonnes. Cette fois-là, de voir les jeunesavec le grand sourire, cela a été ma paiepour la semaine.»

Occasionnellement, les weekends, Anniese rend également à Farnham pour don-ner de l’instruction à des centaines decadets venus de partout s’exercer sur latraverse maritime et la tyrolienne. Puis,en juin prochain, elle marchera touteune nuit pour la troisième année con-sécutive, aux côtés de consœurs et con-frères militaires, dans une activité béné-fice au profit de la Société canadienne ducancer. Et la liste continue! Annie fait par-tie de l’équipe représentative féminine devolley-ball de la Garnison Saint-Jean. Elle

SUSHI AU CHOCOLAT BLANCET MANGUE FRAÎCHEDonne 24 unitésIngrédientsLait 375 mlRiz à grain long (riz à sushi) 150 mlSucre 60 mlGousse de vanille 1 ch.Chocolat blanc haché 90 gZeste d’orange râpé finement 15ml

(1 c. à. table)Cardamome moulu 2.5 ml

(1/2 c. à thé)Mangue fraîche en tranches 1 ch.Feuille de menthe fraîche

Préparation- Couper la gousse de vanille en deux dansle sens de la longueur, retirer les grainesà l’intérieur.- Dans une casserole, réunir le lait, le riz,le sucre et la gousse de vanille parée.- Couvrir et porter à ébullition, et laissermijoter à feu moyen. Cuire de 25 à 30minutes, jusqu’à ce qu’il n’y ait plus deliquide et que le riz soit tendre.- Retirer la casserole du feu, ajouter lechocolat, le zeste d’orange et la cardamome.Bien mélanger le tout.- À l’aide d’une cuillère, façonner desquenelles en forme de sushi.- Déposer de fines tranches de manguesur chacune et envelopper la base d’unefeuille de menthe.

Le caporal-chef Annie Cournoyer, commis de soutien à la gestion des ressources au DétachementMontréal de l’Unité régionale de soutien aux cadets (Est), basé à la Garnison Saint-Jean. - Photo : G. Fortin, journal Servir

s’entraîne actuellement très fort en vue duchampionnat régional.

Questionnée à savoir pourquoi son nomest sorti d’entre tous comme candidatepour le portrait du mois, elle répond :«Certainement parce que je bouge beau-coup et cherche à faire bouger les autres,mais surtout parce que plusieurs me con-naissent et me voient aller avec mes grandsprojets et lorsque j’en ai trop fait. Maisc’est stimulant d’avoir l’appui de mes col-lègues, de mes amis et de ma famille».

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TRUCS & ASTUCESi n format iques

Une chronique de l'équipe de la Gestionde l'information

CRÉATIOND’UNE DEMANDE

Il n’y a rien de plus facile que deplanifier une réunion à partir de voscontacts.Dans le dossier Contact, sélectionnez lecontact désiré (ici une liste de distribu-tion), puis cliquez sur le menu Actions

sur Nouvelle demande de réunion aucontact.- Dans la zone Objet, tapez une descrip-tion de la réunion.- Dans la zone Lieu, indiquez le lieu.- Spécifiez les heures de début et de fin. - Vous pouvez aussi vérifier la disponibi-lité des participants avec l’aide de l’ongletDisponibilité des participants.

- Sélectionnez les autres options souhaitées.- Cliquez sur Envoyer.

Pour obtenir des informations supplé-mentaires, veuillez consulter la page deGestion de l’information sur votre Intranet(Armée en direct) sous la rubrique «Trucset astuces de la semaine». Ou bien con-tactez les membres de l’équipe de la ges-tion de l’information :Capt A. Boulianne, RCCC 621-4509France Poliquin, RCCC 621-2420

C’est la saison des REERPar Phil MarcusServices financiers du RARM, Ottawa.

En janvier et en février, bien des Canadienset Canadiennes cotisent à un régime enreg-istré d’épargne-retraite (REER). Durant les60 premiers jours de chaque année, nouspouvons compléter nos cotisations, emprunterde l’argent pour y cotiser si nous ne l’avonspas encore fait, ou commencer un nouveauprogramme de cotisation. Vous pouvez présen-ter toutes les cotisations que vous avez faitesjusqu’au 1er mars 2007 sur votre déclara-tion de revenus de 2006 ou 2007.1- N’attendez pas à la dernière minuteVous travaillez dur douze mois par annéepour gagner votre argent. N’attendez pas aumois de février pour choisir vos options deplacement. C’est plus facile de placer depetites sommes à la fois. Tentez de prendredes décisions de placement durant toute l’an-née, alors que vous avez plus de temps poury réfléchir. Vous éviterez ainsi la course auxREER en février.2- Combien cotiser?Lorsqu’il s’agit de cotiser à un REER, le tempsc’est de l’argent! Or, puisque nous pouvonsreporter indéfiniment les déductions inutil-isées, certains d’entre nous en avons accu-mulées beaucoup. Décidez combien vous

désirez cotiser à votre REER pour 2006 etcombien vous aimeriez y cotiser en 2007.Soyez raisonnables, ne placez pas toutes vosliquidités excédentaires et n’empruntez pastrop au moyen d’un prêt REER. Une telledémarche pourrait vous causer des ennuisfinanciers et nuire à vos projets de cotisa-tion futurs.

Si vous ne disposez pas de liquidités excé-dentaires et que vous ne voulez pas emprunter,il est préférable de mettre l’accent sur l’an-née qui vient et de commencer à cotiser men-suellement à un REER. Vous aurez ainsi unelongueur d’avance l’an prochain à la mêmeépoque.3- À quel REER cotiser?En général, le REER sert à faire des économiesqui constitueront une source de revenu aumoment de la retraite. Si vous avez un régimede pension et que votre conjoint n’en a pas,vous pourriez cotiser à un REER de conjoint.Ces cotisations sont déduites du revenu ducotisant, mais elles permettent au conjointn’ayant pas de régime de pension de dispos-er d’un revenu de retraite.4 -Déterminez votre tolérance aux risqueset votre choix de placement en fait deREERPour réussir vos placements, vous devez com-prendre vos objectifs et votre tolérance

aux risques. Les bons conseils peuvent êtretrès rentables. Laissez les planificateurs fin-anciers vous aider à déterminer votre toléranceaux risques et le mode de placement qui vousconvient.

Vous pouvez présenter toutes les coti-sations que vous avez faites jusqu’au 1er

mars 2007 sur votre déclaration de revenusde 2006 ou 2007.

AutoPPAR JEAN-FRANÇOIS ROSS

Chroniqueur automobile

Le Honda CR-V 2007 : une belle évolution

Cette troisième génération du Honda CR-V se devait de présenter les bons côtésdes deux générations précédentes. Lesingénieurs de chez Honda ont donc prisla décision d’améliorer une formule déjàgagnante. Le tout nouveau Honda CR-V 2007 ajoute une touche dynamique destyle et de raffinement, tout en offrantdes améliorations au chapitre de la sécu-rité.

À cet égard, l’équipement comprenddes rideaux gonflables latéraux avec cap-teurs de capotage, des coussins gonflableslatéraux avant avec capteur de positionde l’occupant (OPDS) côté passager etdes appuie-tête actifs à l’avant. L’assistanceà la stabilité du véhicule (VSA(MD)) estassurée par un système de freinage

antiblocage (ABS) avec répartition élec-tronique de la puissance de freinage (EBD)et une assistance au freinage d’urgence;un système de surveillance de la pressiondes pneus (TPMS) ajoute encore à l’aspectsécuritaire de ce véhicule. La structuredu châssis, très rigide, utilise la technolo-gie exclusive à Honda, l’ACE(MC)(Advanced Compatibility Engineering(MC)qui assure une sécurité passive accrue encas de collision.

L’intérieur du CR-V conjugue un habita-cle ergonomique et une bonne intégra-tion de l’espace de rangement, avec unearchitecture et une finition soignée. Lastructure élargie accueille des sièges plusgénéreux qui offrent un support accru ;un plateau central rétractable redessinéintègre non seulement des porte-bouteilles,mais aussi une prise d’écoute auxiliaireet une prise supplémentaire de 12 voltssur les modèles EX, EX-L et EX-L NAVI.

Au menu, un seul moteur et une seuletransmission équipent ce nouveau CR-V.Le moteur est un quatre cylindres en lignede 2,4 litres de technologies i-VTEC, douxet économique en carburant. Il développe166 chevaux à 5800 tours/minute et pro-duit 161 livres-pieds de couple à 4200tours/minutes. Certains seront déçus, carle CR-V est offert seulement avec la boîteautomatique à cinq rapports puisque laboîte manuelle à cinq vitesses de l’anci-enne génération ne représentait que 10%des ventes en Amérique du Nord.

Le CR-V, qui a la cote dans plus de paysque tout autre véhicule Honda, est le VUSde base qui figure parmi les véhiculesHonda les plus vendus à l’échelle mondi-ale, comptant cumulativement quelque2,5 millions de clients dans 160 pays dif-férents depuis son lancement. À ce jour,plus de 150 000 unités du CR-V ont étévendues au Canada, si bien qu’il figureparmi les camionnettes de ce genre lesplus populaires au pays.

Malgré l’abandon de la porte à contre-sens pour un vrai hayon, un raffinementtechnologique très poussé et un comporte-ment routier amélioré, il y a par contreun bémol : le prix qui varie de 27 700$pour le modèle LX à traction jusqu’à37 400$ pour la version EX-L NAVI à trac-tion intégrale. Avec une popularité incon-testée des deux générations précédentes,les consommateurs seront peut-être ten-tés d’aller voir la concurrence en raisondu prix à la hausse.

Honda CR-V 2007

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