usager : créateur ou consommateur ? séminaire des cadres des affaires culturelles, cannes, 20...

Usager : créateur ou consommateur ? Séminaire des cadres des affaires culturelles, Cannes, 20 octobre 2008

Usager : créateur ou consommateur ? Séminaire des cadres des Affaires Culturelles

Ville de Cannes, 20-21 octobre 2008

Un « usager co-créateur » ?

Contributionà partir de l’exemple

des bibliothèques

Dominique Lahary – [email protected]://www.lahary.fr/pro | http://lahary.wordpress.com

http://www.lahary.fr/pro

http://lahary.wordpress.com/



Plan Introduction

1. Une politique de l’offre

2. Sa déconstruction

3. Ce que nous apprend le web 2.0

4. Redescendons sur terre

Conclusion


Introduction

Les bibliothèques, outils parmi d’autres de l’action publique

La question de l’usager devenue centrale


1. Une politique de l’offre

Postures de l’offre

Figures de l’usager


Une vision culturelle et éducative La prescription L’acquisition La mise en ordre

classement indexation


Le primat de la collection


Le primat de la collection Le conservateur constitue,

enrichit… Une profession centrée

sur le « document » Catalogage et

accumulation


Ecart avec d’autres traditions nationales


Cancer


Capricorne


Ecart avec d’autres traditions nationales

Politique de la demande Vision sociale Centre d’information

communautaire



Qui dit primat de la collection……dit « secondat » de l’usager L’usager est le produit

de la collection



« Manzoni n'écrivit pas(1) pour plaire au public tel qu'il était, mais pour créer un public auquel son roman ne pouvait pas ne pas plaire. »

Umberto Eco Apostille au Nom de la Rose

(1) Son magnifique roman Les fiancés


L’usager, produit de la collection…

Les bibliothèques attirent le public qui leur ressemble



L’usager, produit de la collection…

Les bibliothécaires attirent le public qui leur ressemble


Refus de la segmentation au profit du sujet abstrait


« à stigmatiser le "refus de la segmentation" des bibliothécaires de lecture publique, on oublie que la bibliothèque publique est - devrait être - un espace public de partagé ; que, dans son principe même, elle ne segmente pas, s'adressant autant à l'individu dans son exception singulière qu'à des masses homogénéisées par une analyse typologique . »

Votre serviteur, 1993Je renie ce texte !


L’usager, prise de guerre ? « Conquête » des publics


Nouveaux publics Non publics


Les droits de l’usager Comité d’usagers


Nommer l’usager

Cahier de suggestions Dialogue avec le personnel Statistiques de prêt


Le lecteur

Vision culturelle / livrreque Acteur de sa pratique

individuelle

Nommer l’usager


Le lecteur

Vision administrative Administré

Nommer l’usager

L’inscrit


Le lecteur

Vision de service public Administré

Nommer l’usager

L’inscrit

L’usager


Le lecteur

Vision associative Fidèle

Nommer l’usager

L’inscrit

L’usager L’adhérent


Le lecteur

Vision consumériste Roi

Nommer l’usager

L’inscrit

L’usager L’adhérent Le client


Le consommateur !

N’est pas sujet de la collection mais acteur de ses demandes

Perturbe le bibliothécaire collectionneur par ses désirs impérieux

Veux tout, tout de suite


Le consommateur veut tout, tout de suite

Toutce qui l’intéresse luien ce moment précis

Tout de suitesinon il va ailleurs


2. Déconstruire la politique de l’offre

La segmentation

L’individualisation

La médiation

Que font les vrais gens des bibliothèques ?


S’adresser à des cibles Classes d’âges Quartiers Catégories socio-

professionnelles Personnes handicapées …

La segmentation

Viser la population


Viser la population…… et non « nos » usagers

La segmentation

Ne pas se satisfaire…

… d’un public satisfait


L’individu réel, non le sujet abstrait

… tant que le service public est

en mesure d’assumer légitime

L’individualisation

Tendance sociologique lourde

Individualisation du service…


La simple mise à disposition ne suffit pas

Médiation de la collection

La médiation

Lire, écouter, voir nécessitent des compétences

« Littéracie »


Que font les vrais gensdes bibliothèques ?


Missions et fonctions

Credoc, le choc

Que font les vraiment les gensdes bibliothèques ?

Bruno Maresca, La fréquentation des bibliothèques publiques a doublé depuis 1989, Credoc, Consommation et modes de vie n° 193, mai 2006, http://www.credoc.fr/pdf/4p/193.pdf

Bruno Maresca, Les Bibliothèques municipales en France après le tournant Internet : Attractivité, fréquentation et devenir , Ed. de la BPI, 2007

http://www.credoc.fr/pdf/4p/193.pdf











-

5 000 000

10 000 000

15 000 000

20 000 000

25 000 000

1973 1981 1989 1997 2005

Effectifs de fréquentation des Français de 15 ans et plus

Fréquentation totale bibliothèques publiques Fréquentation totale bibliothèques municipales

Inscrits dans bibliothèques publiques Inscrits dans bibliothèques municipales

Source : Credoc


« A la bataille du prêt succède la bataille

de la fréquentation »Bruno Maresca, CredocPérigueux, 29 septembre 2008


Essor de la flânerie et de l'usage non-documentaire

Motivations

Activitéesréalisées

Usages et usagers dans une bibliothèque récente : l'Alcazar, BMVR de Marseille / Catherine Roux. Mémoire DCB 13

Diapo de Xavier Galaup


séjourneurOù l’on découvre le

Celui qu’on n’attendait pas


• Evolution des usages en bibliothèques publiques (Credoc)

– Fréquentation en question:• fréquentation: 23% en 1989 à 43% en 2005• inscrits: 19% en 1997 à 21% en 2005• Séjourneurs: 7% à 14% soit 41% des personnes de plus de 15

ans ayant déclarés être venus en bibliothèques

Les bibliothèques et leurs contextes

Eléments statistiques et sociologiques



• 1/4 séjourneurs jamais inscrits en BM• séjourneurs peu fidèles • Inscrits en BM, très fidèles: 68% inscrits depuis 6

ans et plus


Les bibliothèques et leurs contextes

Eléments statistiques et sociologiques


Evans rythmes de visite

Rythmes de visite…

Parallèlement, la durée de visite s’allonge

Les médiathèques attirent plus d’usagers occasionnels

Assiduité des visites en %

Durée des visites en % Mode de visite en %

9

Diapo de Christophe Evans, BPI


créateurL’usager

de l’utilitéde la bibliothèque


3. Ce que nous apprend le…


Web 2.0


3. Ce que nous apprend le Web 2.0

Le web comme plate-forme d’applications et de données

Le web nourri pas ses utilisateurs mêmes

La co-création, une nouvelle économie

Des bibliothèques 2.0 ?


Applications Messagerie Traitement de texte CMS….

Le web comme plate-forme d’applications et de données

Données

Textes Photos ….


Cloudcomputing


Usergenerated

content


Crowdsourcing


Blogues et autres sites ouverts Des commentaires par

milliards Des notations Des votes

Le web nourri parses utilisateurs mêmes

Le web extension du moi

Le triomphe de l’extime Des millions d’amis ?


Ils mettent de l’ordre dans le chaos !

Des tags par nuages L’dre du web diffère

de l’ordre matériel

Le web nourri parses utilisateurs mêmes


« Le premier [ordre] , celui du monde des atomes, consiste à ranger les choses dans un lieu attitré, ; les couverts dans le tiroir de gauche à côté de l’évier, les serviettes dans la commode. »

Francis Pisani et Dominique PioletComment le web change le monde :

l’alchimie des multitudesPearson/Village mondial, 2008


« Le deuxième ordre est celui de la classification dans le monde réel des informations dont nous disposons sur lui. Le meilleur exemple est celui fourni par le catalogue des livres de votre bibliothèque municipale ou celui de La Redoute. »

Francis Pisani et Dominique Pioletop. cit.


« Le troisième type d’ordre est celui du monde numérique. La quantité d’informations qui nous pouvons y déverser est sans limite. Plus nous en avons, plus l’ordre sera efficace. »



Folksonomie ≠ thesaurus ≠ ontologie

• « Folksonomies désignent – un processus de classification collaborative

– par des mots-clés librement choisis

– Ou le résultat de cette classification. »

• Vocabulaire non-normalisé, • non-structuré, • non-spécifique à un domaine, • sans relations sémantiques ou hiérarchiques.

Diapo d’Olivier Ertzscheid


Nuage de tags

Accès Action culturelle Blogues Commentaires Consumérisme

Usagers Dewey Droit Collections

Management Médiation Nuages de tags

OPACWeb2.0 Publics Rameau

Recommandation Sécurité

Tables et chaises Wikis


Diapod’Olivier

Ertzscheid


Problématiques ouvertes

• « indexabilité » de l’actuelle masse documentaire (dans laquelle tout est document, y compris … nous)

• Bibliothéconomie de masse• Horizon de l’indexation :

– Question n’est plus celle de l’autorité (qui a autorité pour indexer)

– ni même de l’expertise (qui a compétence pour indexer)

– mais celle de l’usage (qui a besoin d’indexer)

Diapod’Olivier

Ertzscheid


Nécessité fait loi

• Metropolitan Museum of Art indique que :– "sur 30 oeuvres d'art indexées par les usagers,

plus de 80% des tags ne figuraient pas dans le vocabulaire documentaire utilisé par le musée."

• Outil collaboratif de tagging à destination des musées– http://www.steve.museum/

Diapod’Olivier

Ertzscheid

http://topics.nytimes.com/top/reference/timestopics/organizations/m/metropolitan_museum_of_art/index.html?inline=nyt-org

http://topics.nytimes.com/top/reference/timestopics/organizations/m/metropolitan_museum_of_art/index.html?inline=nyt-org

http://www.steve.museum/


« Les internautes utilisent internet. Les webacteurs le façonnent avec les contenus qu’ils génèrent et leur capacité de l’organiser »



webacteurs

Alors ?

Tous

?

Usager : créateur ou consommateur ? Séminaire des cadres des affaires culturelles, Cannes, 20 octobre 2008Jacobs Nielsen, Participation Inequality: Encouraging More Users to Contribute, 9 octobre 2006, http://www.useit.com/alertbox/participation_inequality.html

La loi des 90/9/1 de Jacob Nielsen

http://www.useit.com/alertbox/participation_inequality.html


La loi des 90/9/1 de Jacob Nielsen

Jacobs Nielsen, op. cit.


La co-création,une nouvelle économie


« La qualité du web d’aujourd’hui est fonction de la qualité des données qu’il héberge, ce qui peut coûter cher. La réponse la plus économique consiste à demander aux usagers eux-mêmes de les mettre en ligne. »



« Une des leçons du Web 2.0 c’est que les utilisateurs ajoutent de la valeur »

Tim O’Reilly, « définisseur » du Web 2.0

La définition la plus courte du Web 2.0 :

« Vous fournissez le contenu, ils gardent tous les revenus. »

Cités par Francis Pisani et Dominique Piolet, op. cit.


Le contenu est bénévolement créé ou enrichi par les internautes

Photos, articles, … Commentaires, notations,

votes…

La co-création,une nouvelle économie

Ça peut rapporter gros En octobre 2007, Microsoft a acheté 1,6% de

Facebook pour la somme de 240 millions de dollars En octobre 2006, Google a acheté Youtube

avec des actions Google pour une valeur de 1,65 milliard de dollars


Free


Les 5 gratuités selon Chris Andersen

Le modèle Fremium Peu d’utilisateurs payent pour les autres

Le modèle publicitaire Les annonceurs pour les utilisateurs

Les subventions croisées On vous offre pour que vous achetiez (autre chose)

Le coût marginal nul

L’échange de travail

L’économie du don


Les 8 valeurs selon Kevin Kelly

… qui peuvent convaincre de payer dans un univers de gratuité :

L’immédiateté

La personnalisation

L’interprétation

L’authenticité

L’accessibilité

L’incarnation

Le mécénat

La trouvabilité


La recommandation


La recommandationLa recommandation : de toute éternité

(numérique)

• Principe de la recommandation traverse le web dans son ensemble• Dès le départ : Web 1.0

– Annuaires de recherche (Yahoo) = sites « recommandés » parce que « choisis ».

– Moteurs de recherche : Pagerank : 1 lien = un vote. • Aujourd’hui : Web 2.0

– Outils, moteurs, interfaces ne fournissent plus seulement des « résultats de recherche » mais des recommandations, des choix de reformulation

– en accord avec nos choix, nos itinéraires ou nos parcours précédents• Demain (web sémantique, socio-sémantique, sémantisé, implicite …)

– Mêmes possibilités mais sans nécessiter un « amorçage ». – Savoir ce que nous sommes le plus susceptibles de chercher selon l'heure

de la journée, le lieu de notre connexion ou encore notre environnement, notre historique de recherche, nos achats récents, nos recommandations, nos réseaux sociaux …



Quelles médiations ?

+ expert - expert

- no

mbr

eux

+ n

ombr

eux

MÉDIATION PAR LE NOMBREDe médiations (reviewers) …De médiateurs …Mass-médiation ?

MÉDIATION PAR LE NOMBREDe médiations (reviewers) …De médiateurs …Mass-médiation ?

MÉDIATION PAR L’USAGE50 millions de consommateurs …Hybridation expert/amateur

MÉDIATION PAR L’USAGE50 millions de consommateurs …Hybridation expert/amateur

MÉDIATION PAR L‘EXPERTISECulture « métier »Connaissance du fonds

MÉDIATION PAR L‘EXPERTISECulture « métier »Connaissance du fonds



On en parle

On expérimente

OPAC 2.0 Blogues de bibliothèques Service de questions-

réponses Mais peut-être pas

(encore) Hébergement de données

Hébergement d’applications(« mon blog à la bibli »)



Plâtre

Il faut bien qu’il y en ait pour essuyer les plâtres !


Blog-bagnolet1


Blog-bagnolet21


Blog-nucourt


StHerblain

Médiathèque de Saint-Herblain


Limoges


Limoges-imusic


Questions théoriques

Questions pratiques

Le service public peut-il faire de la valeur sur le

dos des usagers ?

Une institution peut-elle générer du web communautaire ?



« Internet est un outil formidable pour changer la relation à l’usager »

Daniel Renoult, Doyen del’Inspection générale des

bibliothèquesPérigueux, 29 septembre 2008


Nouvellerelation


4. Redescendons sur terre !

Le participatif c’est pas seulement dans les nuages

Reformulons


Collections

Action culturelle

L’inattendu

Des usagers participatifs


La recommandation


Chariot de retourLe chariot de retour, pôle d’animation de la bibliothèque, outil de recommandation entre usagers


Participation

Actions actives dans leur essence même

L’action culturelle


La bibliothèque, lieu de vie

Lâcher prise…

sans perdre toute maîtrise

(force doit rester à la loi)

Accepter l’inattendu

Qu’a-t-on le droit de faire sur Internet ?

Et sans Internet ?


2/ Quelles perspectives pour les bibliothèques?

a/ De la collection aux services

•L’information et les contenus sont des flux

->Fin de la prépondérance du document

•Organiser la médiation

•Offre de services centrés autour de l’usager




b/ Co-création avec l'usager

• Rôle culturel

– favoriser l'appropriation des actions

proposées

– faciliter et encourager la création

d'activités par les usagers





• Rôle culturel

– Préparer l’événement en amont avec les usagers

échange par courriels ou blogue

– Solliciter la participation d’usagers à l’événement

– Prolonger l’événement (balladodiffusion…°

D’après le mémoire de Xavier Galaup




• Rôle culturel

– Fournir aux usagers des espaces physiques

ou numériques pour s’exprimer, créer

– Karaoke de lectures (Pays-Bas)

– Communauté virtuelle de lecture

– Book-crossing

D’après le mémoire de Xavier Galaup




• Rôle éducatif

– Accueil de classe et aide aux devoirs...

– Lieu gratuit de formation tout au long de la vie:

échange de savoir

– TIC, web et fracture numérique multiple





• Rôle social– être un lieu d'informations pratiques– être un relais de la vie locale– être un lieu d'accueil et d'accompagnement

de toute les populations– être un lieu de vie social local


Conclusions

Usager ?

Consommateur ?

Créateur ?

Et si on commençait par le début ?


Ça c’est 2.0 !

Vous pouvezparler entre vous


Extraits inclus dans cette présentation

Xavier Galaup• Evolution de la place de l'usager en bibliothèque,

CNFPT, Angers, 31 mars 2008http://??????

• Les outils participatifs, ???Les outils participatifs, ??? http://??????

Olivier ErtzscheidOlivier Ertzscheid• Indexation sociale & bibliothéconomie de masse,

53ème Congrès ABF, Nantes, 8-11 juin 2007http://??????

Christophe EvansChristophe Evans• La fréquentation des bibliothèques municipales en France :

les résultats de l’enquête DLL/Crédoc 2005, novembre 2006


Références sur papier

• Francis Pisani et Dominique Piolet, Comment le web change le monde : l’alchimie des multitudes, Pearson/Village mondial, 2008

• Alban Martin, L’âge de Peer : Quand le choix du gratuit rapporte gros, Pearson/Village mondial, 2006

• Bruno Maresca, Les Bibliothèques municipales en France après le tournant Internet : Attractivité, fréquentation et devenir , Ed. de la BPI, 2007


Références en ligne

• Bruno Maresca, La fréquentation des bibliothèques publiques a doublé depuis 1989, Credoc, Consommation et modes de vie n° 193, mai 2006, http://www.credoc.fr/pdf/4p/193.pdf.

• Tim O’Reilly, What is Web 2.0, 3 septembre 2005, http://www.oreillynet-.com/pub/a/oreilly/tim.news/2005/09/30/what-is-web-20.html.

• Chris Anderson |free???]• Kevin Kelly [valeur???]• Jacob Nielsen, Participation Inequality: Encouraging More Users to Contribute, 9

octobre 2006, http://www.useit.com/alertbox/participation_inequality.html.• Xavier Galaup, L'usager co-créateur des services en bibliothèque publique :

l'exemple des services non-documentaires, Diplôme de Conservateur de Bibliothèque, Ecole nationale supérieure des sciences de l'information et des bibliothèques, 2007, http://memsic.ccsd.cnrs.fr/mem_00000428.html

• Publics : quelles attentes ? Bibliothèques : quelles concurrences ?, Les éditions de la BPI, 2005, http://editionsdelabibliotheque.bpi.fr/livre/?GCOI=84240100544540.

• Les publics des bibliothèques, Bibliographie sélective, Bibliothèque nationale de France, 2007, http://www.bnf.fr/pages/catalog/rtf/publics_bibliotheques.rtf.























http://memsic.ccsd.cnrs.fr/mem_00000428.html












http://editionsdelabibliotheque.bpi.fr/livre/?GCOI=84240100544540







http://www.bnf.fr/pages/catalog/rtf/publics_bibliotheques.rtf

http://www.bnf.fr/pages/catalog/rtf/publics_bibliotheques.rtf


Blogues

• Francis Pisanihttp://pisani.blog.lemonde.fr .

• Olivier Ertzscheid, Affordancehttp://???.

• Xavier Galaug, XG-Bloghttp://???.

• Everitouthèque [recense les blogues des bibliothèques destinés aux usagers]http://???.

• Lionel Dujol, ??? [auteur d’ Everitouthèque]http://???.

• Des bibliothèques 2.0http://???.

• Bibliopedia [wiki pour bibliothécaires]http://???.

• Dominique Lahary, DLoghttp://lahary.wordpress.com.

http://pisani.blog.lemonde.fr/

http://pisani.blog.lemonde.fr/


usager : créateur ou consommateur ? séminaire des cadres des affaires culturelles, cannes, 20...

Documents