turbulences n46

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///////////////////////// JUIN 2012 n° 46 /// T urbulences La newsletter des flux créatifs //// HUMEUR AQUEUSE /////////////////////////// © Fotolia //// GOUTTE à GOUTTE ///////// On ne va quand même pas vous faire bosser ! Rédiger un édito, ce n’est pas facile. Il faut être inspiré, coller à l’actualité et, autant que possible, interpeller ou faire sourire. C’est un exercice délicat et l’angoisse de la page blanche guette en permanence l’éditorialiste même le plus inspiré. C’est dans ces moments-là que la tentation du crowdsourcing arrive au galop. Vous savez, cette technique qui consiste à utiliser la créativité et le savoir-faire des lecteurs pour produire du contenu. Jeff Howe et Mark Robinson, les journalistes qui l’ont inventé en 2006, étaient des rédacteurs pragmatiques : pourquoi ne pas appliquer le système de l’outsourcing à la rédaction ? Autrement dit, pourquoi ne pas faire confiance au public pour produire du contenu ? Une rédaction participative en quelque sorte, façon Huffington Post ou Rue 89, valorisant les rédacteurs en herbe. Le système est aujourd’hui très répandu, surtout sur le web grâce aux blogueurs. L’idée de pouvoir solliciter l’intelligence collective est très séduisante et nous sommes conscients que le système offre un potentiel extraordinaire. D’ailleurs, nous savons pertinemment que c’est l’avenir, et pas seulement pour la rédaction mais aussi pour le branding. Mais vous avez l’air d’oublier notre amour de la rédaction : il n’est pas (encore) prévu d’avoir recours au crowdsourcing pour Turbulences. D’ailleurs, vous voyez bien que, finalement, l’édito s’est écrit…presque tout seul ! Depuis environ un an, le monde du référencement et de la SEO (Search Engine Optimization) est en ébullition. Un mini-séisme est venu ébranler les usages pas toujours recommandables d’experts qui avaient pris l’habitude de doper artificiellement la visibilité de certains sites sur les moteurs de recherche en détournant la méthode Google. Pour faire face à la vague de critiques relatives à la qualité des résultats sur le moteur de recherche, très virulentes depuis 2010, Google a procédé, au printemps 2011, à une mise à jour majeure de son algorithme. L’objectif était de porter un coup au référencement abusif né de sites à vocation détournée, comme les fermes de contenus (sites regroupant des articles à faible valeur ajoutée, mais bourrés de mots-clés pour attirer les clics), les scrapers (sites copiant les contenus de tiers sans leur accord) ou encore les sites intermédiaires (comparateurs de prix, agrégateurs de contenu…). Petit rappel pédagogique sur Google, ses algorithmes et…son « zoo ». Panique à bord du navire SEO //// ONDE DE CHOC //////////////////////////////// Georges & Co est un espace dédié à l'écriture et à l’art du beau papier. Ce concept store tout à fait original, misant sur l’authenticité et les valeurs d’autrefois, propose dans un cadre unique le meilleur de l'écriture à Paris : instruments, supports, accessoires, livres... Conçu par ses propriétaires pour être à la fois un lieu de détente, de découverte et d'expression pour tous, il emmène petits et grands dans un voyage à travers les styles et leur donne envie d'écrire. À la fois vitrine avant-gardiste et lieu de vie, il propose ateliers et expositions. Le Must See du mois. Plumes © georgesandco.com

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Page 1: Turbulences n46

///////////////////////// JUIN 2012 n° 46 ///

TurbulencesLa newsletter des flux créatifs

//// Humeur aqueuse ///////////////////////////

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//// goutte à goutte /////////

On ne va quand même pas vous faire bosser !Rédiger un édito, ce n’est pas facile. Il faut être inspiré, coller à l’actualité et, autant que possible, interpeller ou faire sourire. C’est un exercice délicat et l’angoisse de la page blanche guette en permanence l’éditorialiste même le plus inspiré. C’est dans ces moments-là que la tentation du crowdsourcing arrive au galop. Vous savez, cette technique qui consiste à utiliser la créativité et le savoir-faire des lecteurs pour produire du contenu. Jeff Howe et Mark Robinson, les journalistes qui l’ont inventé en 2006, étaient des rédacteurs pragmatiques : pourquoi ne pas appliquer le système de l’outsourcing à la rédaction ? Autrement dit, pourquoi ne pas faire confiance au public pour produire du contenu ? Une rédaction participative en quelque sorte, façon Huffington Post ou Rue 89, valorisant les rédacteurs en herbe.

Le système est aujourd’hui très répandu, surtout sur le web grâce aux blogueurs. L’idée de pouvoir solliciter l’intelligence collective est très séduisante et nous sommes conscients que le système offre un potentiel extraordinaire. D’ailleurs, nous savons pertinemment que c’est l’avenir, et pas seulement pour la rédaction mais aussi pour le branding. Mais vous avez l’air d’oublier notre amour de la rédaction : il n’est pas (encore) prévu d’avoir recours au crowdsourcing pour Turbulences. D’ailleurs, vous voyez bien que, finalement, l’édito s’est écrit…presque tout seul !

Depuis environ un an, le monde du référencement et de la SEO (Search Engine Optimization) est en ébullition. Un mini-séisme est venu ébranler les usages pas toujours recommandables d’experts qui avaient pris l’habitude de doper artificiellement la visibilité de certains sites sur les moteurs de recherche en détournant la méthode Google. Pour faire face à la vague de critiques relatives à la qualité des résultats sur le moteur de recherche, très virulentes depuis 2010, Google a procédé, au printemps 2011, à une mise à jour majeure de son algorithme. L’objectif était de porter un coup au référencement abusif né de sites à vocation détournée, comme les fermes de contenus (sites regroupant des articles à faible valeur ajoutée, mais bourrés de mots-clés pour attirer les clics), les scrapers (sites copiant les contenus de tiers sans leur accord) ou encore les sites intermédiaires (comparateurs de prix, agrégateurs de contenu…). Petit rappel pédagogique sur Google, ses algorithmes et…son « zoo ».

Panique à bord du navire SEO//// onde de cHoc ////////////////////////////////

Georges & Co est un espace dédié à

l'écriture et à l’art du beau papier. Ce

concept store tout à fait original, misant

sur l’authenticité et les valeurs d’autrefois,

propose dans un cadre unique le meilleur

de l'écriture à Paris : instruments,

supports, accessoires, livres... Conçu

par ses propriétaires pour être à la fois

un lieu de détente, de découverte et

d'expression pour tous, il emmène petits

et grands dans un voyage à travers les

styles et leur donne envie d'écrire. À la

fois vitrine avant-gardiste et lieu de vie,

il propose ateliers et expositions. Le

Must See du mois.

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Mais Google, c’est quoi au juste ?Les fondateurs de Google, Larry Page et Sergey Brin, se sont rencontrés à l’université en 1995. Ils avaient un idéal commun : « organiser l'information à l'échelle mondiale pour la rendre universellement accessible et utile ». Motivés, ils se sont attelés à la création d’un moteur de recherche susceptible de donner des résultats plus pertinents que leurs concurrents. Le secret de leur succès, c’est l’invention d’un logiciel analysant les relations entre sites web. Dès le lancement de leur société en 1998, dans un garage de la Silicon Valley, leur moteur de recherche répondait déjà à près de 10 000 requêtes par jour. Un an après, il en gérait 500 000. La suite appartient à l’histoire.

La société compte aujourd’hui environ 30 000 salariés. Elle a son siège au Googleplex, à Mountain View, Californie. Elle continue sa croissance, année après année, grâce à une politique de concentration horizontale, visant aussi bien les start-up que les majors. Mais Google est bien plus qu’un moteur de recherche. C’est aussi et surtout un géant du web qui développe et édite de nombreux logiciels et services gratuits qui vont au-delà de la recherche sur Internet : e-mail, suite bureautique, vidéo, photo, blogs... La petite start-up est devenue gigantesque et sa progression a été fulgurante. Aujourd’hui, le moteur de recherche répond à près de 3,5 milliards de requêtes par jour, soit environ 30 000 requêtes par seconde !

Une philosophie basée sur l’open sourceGoogle existe en grande partie grâce aux logiciels libres comme Linux, MySQL et Python sur lesquels il s’est bâti et qu'il a contribué à améliorer en retour. Mountain View emploie d’ailleurs leurs principaux contributeurs : Andrew Morton, pour Linux, ou Guido van Rossum, créateur de Python et co-développeur de MySQL. Le logiciel libre permet à Google de repérer des programmeurs talentueux, capables d'imaginer des solutions techniques et de les mettre en œuvre. Pour les attirer, elle a créé un cadre de travail où sont encouragés l'innovation, les idées et la participation aux projets open source. Chaque développeur dispose par exemple de temps libre pour travailler sur un projet de son choix, pour laisser sa créativité s'exprimer.

Google est aussi partenaire de la fondation Mozilla, dont la mission – préserver le choix et l'innovation sur Internet – sert ses intérêts : les utilisateurs de Firefox font des recherches sur Google et cliquent sur les publicités d'AdSense. Les revenus que Google en tire sont alors partagés avec Mozilla, ce qui leur permet d'avoir les moyens financiers pour améliorer les standards du web et les logiciels qu'ils éditent. Tout cela pousse les autres éditeurs de navigateurs à faire de même. Au final, c'est Internet dans son ensemble qui bénéficie de ces améliorations et Google peut alors utiliser ces nouvelles possibilités dans ses produits grâce à un cycle rapide d'innovation.

Référencement Google : le principe… Le moteur de recherche fonctionne sur la base d’un algorithme complexe dont le PageRank de Larry Page est à l’origine. Une page web ou un document ont un PageRank d'autant plus important qu'ils sont pointés par de nombreux hyperliens insérés dans des pages elles-mêmes de PageRank significatif. Ce système donne une indication de la popularité d’un site parmi d’autres. Ce PageRank participe ensuite au classement des documents dans les résultats de recherche. Véritable révolution technique, il permet des résultats plus pertinents que les autres moteurs qui se contentaient d’indexer les mots-clés des sites. Google a vite été réputé pour sa rapidité de recherche et sa sobriété : pas de Flash, pas de bandeau publicitaire clignotant… Son interface a par ailleurs inspiré d'autres moteurs, comme Yahoo!

De là est née la notion de référencement, un bon référencement permettant d’optimiser la présence d'un site dans les moteurs de recherche. Son intérêt est capital : mieux un site est référencé, plus il génère de trafic. C'est la clé d’une communication réussie sur la toile et rares sont les sites qui peuvent se passer d'un tel levier d'audience. Pour qu’un site soit visible, il faut optimiser le référencement naturel (non payant) en amont et en aval de sa réalisation, pour acquérir le plus possible de nouveaux visiteurs et qu’il devienne un véritable outil de communication. Le référencement naturel consiste à faire en sorte que les robots des moteurs de recherche détectent le nouveau site ou le nouveau contenu. Ils vont ensuite les analyser en détails et décider si oui ou non ils méritent d’être bien référencés et positionnés dans les résultats naturels de recherche.

Chaque année, au Royaume-Uni, un

demi-million d'accidents de voiture est

causé par des jeunes femmes occupées

à se maquiller. Volkswagen a lancé une

campagne de sensibilisation basée sur

une Haul Video : de celles qui donnent

des conseils aux femmes sur les produits

de beauté à acheter et la manière de se

maquiller. Le constructeur automobile

était sûr de toucher son cœur de cible et

pour donner du poids à son stratagème il

n’a pas hésité à faire appel à Nikkie, star

du petit écran britannique. Bien moins

gore que la sécurité routière française

et un Lion d’or à Cannes.

Depuis le 21 mai et jusqu'en juillet, le

bar du Plaza Athénée sert un cocktail

inédit, fruit de la collaboration entre le

mixologiste Thierry Hernandez et la

parfumeuse Sophie Labbé. L'Élixir de

Printemps – dont la composition est

tenue secrète – est accompagné d'un

flacon de parfum : on boit l'un avant de

porter l'autre. Toute l'originalité réside

dans le fait qu'ils ont été élaborés autour

des mêmes notes et avec des ingrédients

identiques. De quoi émerveiller votre nez

et votre palais ! La meilleure chose est

encore de vous faire une idée par vous-

même : il vous en coûtera 28 €.

Prévention

Fragrances

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Page 3: Turbulences n46

…et ses faiblessesInévitablement, le système a donné lieu à des tentatives de détournement et notamment le Google Bombing, technique visant à influencer le classement d'une page. Elle exploite une caractéristique du PageRank qui accorde un certain poids au texte de l’ancre d’un hyperlien vers une page. Si plusieurs sites utilisent le même texte pour pointer sur la même cible, Google cumule ces pondérations et il devient possible de faire apparaître la page cible dans les résultats d'une recherche sur le texte contenu dans les liens pointant vers elle. Par exemple, une personne peut enregistrer de nombreux noms de domaine, puis les fait pointer vers un même site en utilisant le même texte : « ...est une légende vivante ». Toutes les personnes recherchant le texte « légende vivante » verront le site visé, même si ce texte n'y apparaît pas. Cette méthode a été exploitée au sein de réseaux informels d'auteurs de blogs pour agir collectivement sur le classement d'un site. Selon des résultats empiriques, une poignée de blogs seulement serait nécessaire pour réaliser un Bombing.

Les premières ripostes de Mountain ViewLe phénomène du Bombing ne relève ni du piratage ni d'une quelconque faille, il exploite seulement la manière dont Google organise les résultats de recherche sur ses pages. Dès 2007, elle a toutefois essayé de limiter cette pratique en mettant en place un nouvel algorithme : quand ils détectaient un Bombing, les robots proposaient des liens ayant un rapport avec cette technique plutôt que le site original ! À l’époque, Google a fait savoir dans un communiqué de presse qu'elle n'était pas responsable des erreurs de son algorithme : il ne lui semblait pas évident de parvenir à désamorcer cette technique sans pour autant compromettre le fonctionnement automatique et « impartial » de son moteur. Néanmoins, de nombreuses corrections et améliorations ont depuis été apportées à l’algorithme, certaines officielles, d'autres ne restant connues que de Google. La firme affiche clairement et depuis toujours sa volonté d’éviter que des utilisateurs (par exemple des sites commerciaux) ne boostent artificiellement leur PageRank.

Le « zoo » Google débarqueEn août 2011, Google a procédé à une importante mise à jour de son algorithme. Baptisée Panda, elle a perturbé le référencement de certains sites et amélioré la visibilité d'autres. Sur son blog officiel, le groupe a expliqué avoir effectué ces modifications pour « mettre en valeur les sites de haute qualité dans les résultats de recherche Google ». D’après les experts, Panda

permet d'améliorer le classement de nombreux sites web de qualité. En clair, il modifie la façon dont le moteur de recherche mesure les points et le score de chaque site. L'objectif de ce filtre supplémentaire intégré à l'algorithme original serait d'assurer une plus grande visibilité aux contenus « originaux, uniques et de qualité » et de s'attaquer aux sites pratiquant notamment le spamdexing (techniques consistant à tromper les moteurs de recherche sur la qualité d'une page ou d'un site pour obtenir, pour un mot-clé donné, un bon classement). Google, d’habitude avare en informations concernant son algorithme secret, a dévoilé plusieurs de ses critères de conception : proportion de publicité sur le site, temps passé par l’internaute sur le site, fréquence de partage du contenu sur les médias sociaux… Malgré des mises à jour régulières de Panda (la version 3.8 est sortie le 25 juin 2012), il s’agit juste pour nous d’un retour aux bonnes pratiques que nous appliquons rigoureusement : contenu de qualité, original (non dupliqué), temps de chargement optimisé, etc…

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C’en est bien fini de l’agitateur de

curiosité. Depuis le 20 juin, la Fnac s’est

dotée d’une nouvelle signature, déployée

sur une campagne de communication

globale : en affichage, presse et

numérique, en magasin, en édition,

dans les supports relationnels ainsi que

sur les réseaux sociaux. « Fnac. On ne

peut qu’adhérer » signera l’ensemble

des prises de parole de la marque. Elle

correspond également à l’ouverture

du magasin de Bercy Village le 29

juin. L’enseigne jouera à fond la carte

« sociale » avec un grand jeu Facebook,

destinée à la communauté des trois

millions d’adhérents de la marque.

Nos animaux de compagnie, nouvelle

cible marketing ? Hé bien oui ! Nous

connaissions déjà les psys, hôtels,

restaurants, stylistes ou kinés pour

chiens… mais uniquement aux USA !

Pas de souci, Doggy Box débarque en

France via Facebook. Il suffit pour

l’heureux « papa » ou l’heureuse

« maman » de Médor, de s’abonner

à ce service pour recevoir tous les

mois une série de produits réservés

à sa progéniture. Proposés par des

Signature

Toutous

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Un pingouin à la rescousseUn peu plus d’un an après la sortie retentissante de Panda, Google a lancé Penguin, nouveau filtre permettant de mesurer la qualité globale du contenu web et pénaliser les techniques de référencement peu orthodoxes. Plusieurs sites très bien positionnés se sont ainsi vus relégués au bas du classement des résultats de recherche faute d’avoir adopté de bonnes mœurs SEO. Pour répondre aux détracteurs, Matt Cutts, porte-parole de Google, a précisé que l’objectif de Penguin est d’améliorer la qualité des pages de résultats de recherche et de lutter contre les techniques de référencement abusives (Black Hat), tout en précisant qu’« aucun algorithme n’est parfait ». Malgré cette intervention archi-médiatisée, beaucoup persistent à croire que Google en profite pour favoriser les sites faisant des campagnes AdWords…

Page 4: Turbulences n46

Depuis 2002, Ultra-Fluide, spécialiste du B2B et de la communication publique, propose à ses clients des solutions de communication globale. Elle s’appuie sur des compétences allant du print au web, sans oublier le multimédia et l’événementiel. Elle allie ainsi les savoir-faire d’une grande agence tout en présentant les atouts de souplesse, de proxi-mité, de disponibilité et de réactivité propres aux petites structures. Ce mode de fonctionnement garantit une communication dynamique, efficace et… ultra-fluide.

Nous contacter : [email protected] 47 70 23 32

Nous voir : 44 rue Richer75009 Pariswww.ultra-fluide.com

Nous suivre : www.facebook.com/UltraFluide

https://twitter.com/PierrickUFluide

marques dévouées à la gente canine,

ils sont sélectionnés parmi friandises,

croquettes, jouets, produits d’hygiène et

autres accessoires… Idéal, à condition

d’avoir un budget « bestioles ».

A priori, Penguin a un objectif vertueux : faire en sorte que les sites abusant du backlinking n’aient plus la primauté du classement sur les pages de résultats. Seulement voilà, ce qui est jugé éthique ou juste par Google ne l’est pas forcément pour tout le monde et il est probable que la réalité du marché de la conception de sites web n’y colle pas tout à fait. Par exemple, il est de notoriété publique que le backlinking est assez largement utilisé, et pas uniquement dans de noirs desseins. D’où le débat manichéen sur les « bonnes » et les « mauvaises » méthodes de référencement.

Lorsque nous réalisons des sites web, nous nous efforçons de respecter les bonnes pratiques souhaitées par le W3C : produire du contenu pertinent et utile à l’utilisateur qui effectue la recherche, n’utiliser que des mots-clés pertinents et éviter la sur-optimisation pour les moteurs de recherche ou la re-direction, bannir les pages contenant des liens cachés, etc… Mais après Panda et Penguin, il y a fort à parier que de nouvelles bestioles vont venir compléter ce « zoo » car Google est dans une démarche d’amélioration constante. Mais nous serons là pour vous accompagner et vous aider à mettre en œuvre les bonnes pratiques.

//// fLux continu /////////////////////////////////

Lauditec est un cabinet d’expertise-comptable parisien qui accompagne les PME tout au long de leur existence : à leur création, pendant leur développement, pour leurs opérations de gestion courante ou de transmission – par cession ou succession – ou encore à l’occasion de difficultés ponctuelles.

Il fait depuis longtemps appel à Ultra-Fluide pour gérer sa présence sur Internet. Après avoir optimisé le référencement de son site web, notamment avec des campagnes AdWords, nous l’avons entièrement remanié : nouvelle arborescence, nouveaux contenus… Notre intervention a permis au cabinet d’accroître sa clientèle de manière significative. Lauditec fait désormais partie des clients récurrents de l’agence.

Lauditec