C’est le cas chaque matin

Nous revenons sur le grand reportage de la réélection Europe 1

Ce qu´on a marqué ce dernier mois

Bonjour Simon Hauban !

Bonjour !

L’événement qui nous intéresse aujourd’hui s’est déroulé bien un peu plus de un an : c’était le mondial de foot au Brésil en juin et juillet 2014. Donc, Simon vous étiez dans les envoyés spéciaux européens. Le 12 juin, le jour de l’ouverture du mondial à San Paolo on vous trouve dans un bidonville qui accueille plusieurs milliers brésiliens opposés au mondial. Oui, il s’agit [d’un conte de fortune] un camp de fortune où ce sont agroupées les délogés du mondial. En seconde, les maisons étaient détruites pour permettre la construction du stade d’ouverture et puis ceux qui se sont trouvés incapables de payer des loyers qui ont explosés à la proche de la coupe du monde. Alors que le mondial est sur le point de débutée l’état n´a pas toujours fait le moindre geste pour aider cette millier brésiliens, ils ont trouvé refuge à quelques kilomètres de l’ancien sportif dans ce village fait de briquette broc où se organise la lutte social anti mondial faut rappeler quand c’est moins juin 2014. La coupe du monde est très contesté au Brésil elle coute très cher les opposants dénoncent depuis quelque temps déjà la gabegie occasionné par l’événement et une semaine avant l’ouverture 25,000 brésiliennes on a manifesté dans Sao Paolo pour s´opposer à la compétition et je me suis donc rendu dancrcrandue à quelques kilomètres du stade de Sao Paolo dans ce camp pour rencontrer qui sont à l´heure à cœur du mouvement anti mondial. Et vous êtes donc… au côté de victime de la coupe du monde avec ces brésiliens expulsé de chez eux en écoute votre reportage diffusé le 12 juin 2014. Ta question la coupe les épuisantes ca face oublie la douleur de plus faible. Voilà est-ce que tout le monde répète ici un coupa do pouvo, la coupe de peuplée ce bidonville de moins 5000 personnes qui est apparu il y a un mois alors que les logées proche du stade sont devenu impossible à payer plus de 200% moyenne alors aujourd’hui les gens comme …muris leur colère dans les cabanes insalubre faites de tôle, de boit vache en plastique. La réalité c´est que j´ai trois enfants et on vit sans électricité sans eau le gros président n´ exige le petit peuple, ce peuple qui a besoin d´aide et qui souffre. Cette colère que vous venez d´étendre elle étreigne une volonté de résister, de se battre pacifiquement tous les jours soutient un assemble général au cœur du campement, mais le lideur du mouvement y évoque les discussions avec le gouvernement pour loger tout le monde. Il est possible que les négociations aboutissent concernant les maisons. Vous savez que c’est essentiel pour nous mais on doit aussi préparer pour lutter. … on attend encore ce matin un geste du gouvernement, sinon il y aura manifestation et le millier personne ici n’auraient besoin que de une petite heure pour se retrouver devant le gris du stade. Alors Simon on voit bien cette tension qui régnée il y a un aux peuplée un peu plus de un an les choses ont telle changé depuis. Alors en accord est intervenu un mois après la fin du mondial en août 2014 à l’époque l’état a promis la construction de 260 000 logement populaire pour les délogés de la coupe du monde. Le terrain sur lequel était construit le bidonville a donc été libéré pour qu’un grand chantier puisse démarrer, mais depuis plus rien entre temps le Brésil a traversé une crise économique et non seulement le chantier n’a jamais démarré ; mais en plus les expulsées du mondial sont revenus sur cette terraine pour renouveau construire leurs abris. Ce dernière semaine les délogées du mondial et le principal syndicat

travailleur a d’ailleurs lancé de nouvelles manifestations un an après le mondial le millier brésiliens qui ont perdu leurs habitations n’ont toujours pas trouvé de solution viable. … le grand reportage Europe 1 Brésil ce matin Merci Beaucoup Simon Hauban !