theatre
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Programme du Théâtre municipal de la ville de Cahors. Saison 2002-2003.TRANSCRIPT
Saison 2003/2004
T h é â t r e d e C a h o r s
30 au 5 sept./oct. Festival visages francophones scènes de ville dans la ville 9616 & 17 octobre La nef des fous cirque/rue docks 80/8124 & 25 octobre Fa 5e, le cri de l’ange musique théâtre 42/43
04 novembre Tchernobyl théâtre docks 06/0707 novembre Todo esto por amor danse théâtre 58/5908 novembre Divergences / Alfafar scènes de ville docks 103
12, 13 & 14 novembre L’Odyssée jeune public théâtre 68/6920 novembre La double inconstance théâtre théâtre 08/0928 novembre Les sea girls / Les fouteurs de joie musique docks 44/45
01, 02, 03, 04 & 05 décembre Chansons pour quatre saisons jeune public théâtre 70/7111 décembre Le petit travers cirque/rue théâtre 82/8319 décembre Caf’conc’Hervé musique théâtre 46/4708 janvier Nuit d’orage sur Gaza théâtre docks 10/1114 janvier Celle qui marche danse auditorium 60/61
16 & 17 janvier Cette ville dont nous ne savons… scènes de ville théâtre 10423, 24 & 25 janvier Rencontra Occitania/Méditerranéa scènes de ville dans la ville 98/102
28 janvier Amphitryon théâtre théâtre 12/1331 janvier Flon flon musique théâtre 48/49
02, 03 & 04 février Mais où est passé le tamanoir ? jeune public théâtre 72/7306 février Woyzeck danse auditorium 62/6324 février La nuit des rois théâtre théâtre 14/1527 février Le songe d’une nuit d’été théâtre théâtre 16/1702 mars Ni sombra de lo que fuimos théâtre théâtre 18/1910 mars Ya basta théâtre théâtre 20/2118 mars Bernard Cavanna musique auditorium 50/5120 mars Phiphi musique auditorium 52/5323 mars Comme à Ostende un théâtre/un acteur théâtre 28/2925 mars Le grand théâtre un théâtre/un acteur théâtre 30/3127 mars La Princesse de Clèves un théâtre/un acteur théâtre 32/3330 mars Lettres de motivation un théâtre/un acteur théâtre 34/351er avril Mémoires d’un rat un théâtre/un acteur théâtre 36/3703 avril La femme coquelicot un théâtre/un acteur théâtre 38/3921 avril Feu l’amour théâtre théâtre 22/2325 avril La puce à l’oreille théâtre théâtre 24/25
26, 27 & 28 avril Gulliver jeune public théâtre 74/7530 avril Mônica Passos musique théâtre 54/5506 mai Alto solo danse auditorium 64/65
17, 18 & 19 mai La soupière et la louche jeune public docks 76/7701 juin Le traité des mannequins l’insolite docks 86/8703 juin En attendant Godot l’insolite théâtre 88/8905 juin Par la taille l’insolite théâtre 90/91
17, 18, 19 & 20 juin Festival Les nuits chavirées scènes de ville dans la ville 97
PROGRAMME CHRONOLOGIQUE - SAISON 2003/2004 THÈME LIEU PAGES
Le développement culturel de notre ville me tient à cœur. J'aichoisi, en devenant maire, de garder la délégation à la Culture.Pour continuer d'affirmer haut et fort mes convictions : la mis-
sion du service public de la Culture est de faire la part belle auxartistes et de permettre leur confrontation avec tous les publics ;elle exclut d'être soumise aux seules lois de la rentabilité commer-ciale ; elle prend le risque de la création et de l'imaginaire.
Je me pose souvent ces questions : les Cadurciens sont-ils fiers deleur Théâtre, heureux de lire, d'écouter de la musique, d'entendre lespoètes, d'admirer une toile…? Oui, je persiste à vouloir que nouspuissions conquérir le public, le séduire, l'enrichir. Si l'ambition cul-turelle découle de l'ambition de la politique qui la pense et la pro-duit, la qualité de la politique est très profondément liée à celle dela culture qui la réfléchit.
Vous avez été très nombreux, la saison passée, à fréquenter les spec-tacles. Je souhaite que la culture, dans ce qu'elle a de meilleur, soitaccessible à un public toujours plus large.
Marc LecuruMaire de Cahors
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PROGRAMME THÉMATIQUE - 2003/2004
Théâtre Un théâtre/un acteur
DanseMusique
Svetlana Alexiévitch /
Marivaux / Joël
Jouanneau / Heinrich
von Kleist /
Shakespeare, La nuit
des rois, Le songe d’une
nuit d’été /
Ni sombra de lo que
fuimos / Jean-Pierre
Siméon / Georges
Feydeau, Feu l’amour,
La puce à l’oreille
pages : 04 à 23
René Gouzenne chante
Caussimon / Virginie
Frappart joue Pieiller /
Marcel Bozonnet
interprète La Princesse
de Clèves / Catherine
Allégret prête sa voix
aux anonymes / Alain
Stach se transforme
en rat / Thérèse
Roussel vit La femme
coquelicot
pages : 26 à 39
Todo esto por amor,
Elisa Pradal, danse
contemporaine, Erika
Winkler flamenco et
Ramon Lopez percus-
sions J.-M. Padovani
saxophones / Celle qui
marche d'Emmanuel
Grivet / Woyzeck de
Josef Nadj / Alto solo
d'Andy de Groat
pages : 56 à 65
Fa 5e, le cri de l’ange sur
les castrats /
Une soirée cabaret
avec Les fouteurs de
joie et Les sea girls /
Caf ’conc’ Hervé, délas-
sements comiques /
Les Epis noirs /
Bernard Cavanna et
l'Ensemble Ars Nova /
Phi phi / Mônica Passos
pages : 40 à 55
LA MAISON DE THEATRE
Qu'est-ce que la cité ? Un certain vivre ensemble, non pas les uns à côté des autres, non, ensemble.Que mettons-nous en commun ? Tout ce qui nous rend différents les uns des autres. Nos singula-rités. Nos convictions. Nos rires. Nos doutes. Et cette si particulière façon que nous avons chacund'écouter ce que nous disent, du monde, les poètes, de quels échos leur voix est chargée…
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Jeune public Cirque/rue L’insolite Scènes de ville
L’Odyssée d’après
Homère / Chansons
pour 4 saisons,
G. Grimal et les enfants
de Cahors / Mais où est
passé le tamanoir,
ballade théâtrale aqua-
tique nocturne /
Gulliver d’après
Jonathan Swift /
La soupière et la louche,
Cie Balsamique théâtre
pages : 66 à 77
L’Oboubambulle avec
sa nef et ses fous, les
feux dans la nuit et la
soupe à la fin /
Le petit travers des
petites balles rondes
blanches qui rebondis-
sent partout et quel-
quefois même là où on
ne les attend pas
pages : 78 à 83
Wladyslaw Znorko et
le Kosmos Kolèj /
Beckett par les
jumeaux / Alfred Jarry,
avec un géant, un
bossu, une jeune fille
et un mannequin / des
expos, Bruno Wagner,
Anne-Laure Czapla,
la Cricothèque /
des conférences
pages : 84 à 93
Les Festivals, Visages
francophones,
Les nuits chavirées /
La Compagnie
Divergences en
résidence aux Docks
avec Alfafar / Agora sud,
l'Occitanie rencontre la
Méditerranée /
J.-M. Arnal et sa ville
« invisible » /
Les Matériaux Marivaux
pages : 94 à 105
Oui, elle pourrait ressembler à cela, cette maison de théâtre que nous inventons spectacleaprès spectacle : caisse de résonance et lieu du partage, traversée du dedans au dehors et duhaut en bas, sans cesse ouverte, lieu de l'acte vivant de réflexion sur soi même et le monde.
José Sobrecases
Les misesen miroir continuent :Shakespeare avec La nuitdes rois (La troupe du Phénix) et Le songe d’une nuit d’été(Compagnie Casalibus) / Georges Feydeau avec Feu l’amour(Jean-Michel Rabeux) et La puce à l’oreille (Marcel Maréchal).Le réseau Théâtre en tête (Midi-Pyrénées) soutient Alain Daffos(qui met en scène et en voix La supplication).Les découvertes : un Marivaux cruel (René Loyon) /un Heinrich Von Kleist schizophrène (Éric Sanjou).Les écritures contemporaines : Jean-Pierre Siméon et la fureur de dire !Le festival ¡ MIRA ! se décentralise : Ni sombra de lo que fuimos ou desandalous sans soleil.
Théâtre
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Le 26 avril 1986,une explosion détruit le réacteur numéro quatre de la centrale nucléaire
de Tchernobyl. C’est la plus grande catastrophe nucléaire et technologique du XXe siècle.
Comme dans « Les cercueils de zinc », « La supplication » est un recueil de témoignages.
Des mères de famille, des veuves, des fonctionnaires, des soldats, des savants, des pay-
sans, des enfants, racontent leur monde. L’Ukraine et la Biélorussie de 1986, et d’au-
jourd’hui. Dépourvus de repères, sans avenir, submergés par le non-sens, mais tou-
jours en quête de nouvelles identités, tous ces témoins forment une sorte d’armée
des ombres, un chœur de fantômes, la tribu des « oubliés de l’Histoire ».
Pour faire entendre ces paroles dans leur nudité originelle, interrogative, infinie,
Alain Daffos compose comme un chœur tragique échappé du désastre, une sorte
de « Leçons de ténèbres », un oratorio en forme de mémorial.
Adaptation et mise en scène : Alain Daffos. Traduction : Galia Ackerman, Pierre Lorrain. Comédiens : BéatriceArias, Benoît Mochot, Céline Pique, Jean Stéphane. Univers sonore : Nihil Bordures. Lumière : Didier Gilbert.Images : Bruno Wagner. Costumes : Touatia Razali. Coproduction : Cie la Part Manquante, Réseau Théâtre En-Tête : Théâtre de la Digue, Les Circuits Scène Conventionnée (Auch), Théâtre de Cahors, Centre CulturelIntercommunal de Figeac, Espace Apollo (Mazamet), Ville de Lavelanet, MJC de Rodez.
Tchernobyl ou La réalité noire
d’après La supplication de Svetlana Alexiévitch Compagnie La Part Manquante
MARDI 04 NOVEMBRE 20H30 / DOCKS
Théâtre 7
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« La double inconstance » est une de ces pièces qui a permis de forger le terme
« marivaudage » : entre galanterie précieuse, frivolité revendiquée, raffinement et
précision du verbe ciselé avec éclat… mais pas uniquement !
Voici une victime, Arlequin : le prince lui a kidnappé sa promise et veut en faire sa
femme. Rebelle et possédant ce bon sens des gens de peu, il s’en va revendiquer son
bon droit au voleur, tout prince qu’il est. La machinerie est en route : la puissance
du pouvoir (le prince), le pouvoir de la parole (Flaminia), les faiblesses du cœur
(Silvia) vont corrompre, affaiblir, incliner la juste insoumission.
Sans aucune morale, sinon que le cœur l’emporte toujours, la pièce de Marivaux
montre comment chacun des membres d’un couple qui semble s’aimer passion-
nément, finit dans les bras d’un autre, qui y trouve son content. Ah, l'insoutenable
légèreté des cœurs…
Mise en scène : René Loyon assisté de Silvia Servio. Comédiens : Richard Grolleau, Jean Louis Jacopin, CarineNoury, François Noury, Claire Puygrenier, Marianne Quétin, Rémi Secret. Décor : Nicolas Sire. Costumes :Nathalie Martella. Lumière : Laurent Castaingt. Production : Cie RL. Coproduction : Théâtre de laManufacture/Centre Dramatique National Nancy-Lorraine.
La double inconstancede Marivaux / Compagnie R. L.
JEUDI 20 NOVEMBRE 20H30 / THÉÂTRE
Théâtre 9
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Dans les années quatre vingt, Joël Jouanneau est journaliste au Liban. Revenu très
fragmenté, l’écriture se révèle le moyen de tenir encore debout. Sa première pièce,
« Nuit d’orage sur Gaza » est une tragédie, la seule de son répertoire. « La tragédie est
là et nous ne sommes pas des héros », dit-il.
Le collectif Alice explore depuis 1998 un projet artistique centré sur la création
contemporaine en confrontant l’engagement physique des acteurs et le travail du
texte à d’autres langages artistiques : vidéo, dessin, lumière, son (montage entre
théâtre et cinéma, espaces et supports de projection, traitement de l’image, créa-
tion musicale et sonore).
Accueillie en résidence pour la saison 2003-2004, en août, en janvier et juin, cette com-
pagnie proposera des rendez-vous réguliers autour de l’écriture contemporaine et
l'utilisation de l’image et des nouvelles technologies dans le spectacle vivant.
Mise en scène et jeu : Nicolas Bonneau et Virgine Frappart. Lumière : Xavier Baron. Assistante mise en scène :Anne Contensou. Scénographie et dessins : Charles-Édouard Maisonabe. Musique : Hugues Pluviôse. Image :Denis Rochard.
Nuit d’orage sur Gazade Joël Jouanneau / Compagnie Le Théâtre d’Alice
JEUDI 8 JANVIER 20H30 / DOCKS CRÉATIONà Cahors
Théâtre 11
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Pour satisfaire son bon plaisir, Jupiter descend sur terre et séduit Alcmène, la
femme d’Amphitryon dont il a pris les traits. L’époux se retrouve trompé, l’épouse
outragée et le serviteur de la maison molesté… Quand les dieux décident de se
jouer des hommes, ils nous convient à une bien étrange comédie !
Mais insensiblement la comédie tourne au cauchemar : le masque et la dissimula-
tion, la tromperie, l’incapacité de distinguer le vrai du faux, la perte de confiance
(en soi et dans les autres), toute une réflexion sur l’homme et son double. Sur l’iden-
tité et le miroir, jusqu’à la folie…
L’équipe de l’Arène Théâtre se jette à corps perdu dans ce grand jeu de massacre
cruellement drôle ! Multiples ressources offertes par un décor sobre, mais dont la
géométrie variable, les trappes, balustrades et portes sont exploitées à fond, intel-
ligemment, grâce à une mise en scène réglée au plus fin.
Mise en scène et scénographie : Eric Sanjou. Comédiens : Céline Pique, Sophie Vaslot, Aubert Defoy, FrédéricKlein, David Negroni, Hassan Tess-Ayoudj. Toiles : Fabrice David. Régies : Richard Ascagorta, ChristopheChampain, Eric Sanjou. Texte français : Ruth Orthmann et Eloi Recoing. Partenaires : Conseil Régional Midi-Pyrénées, ADAMI, Conseil Général du Tarn-et-Garonne, Ville de Montauban.
Amphitryonune comédie d’après Molière,de Heinrich Von Kleist / Compagnie Arène Théâtre
MERCREDI 28 JANVIER 20H30 / THÉÂTRE
Théâtre 13
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«La nuit des rois»,en anglais «Twelfth Night», la Douzième Nuit,c'est l’Epiphanie, le point
d’orgue des multiples réjouissances orchestrées par le roi des fous, un monde inversé
où tout se détraque : les sages y perdent la raison tandis que les fous y philosophent.
L’œuvre de William Shakespeare aime à mêler les genres : farce, comédie, féerie,
drame, tragédie... « La nuit des rois », l’une des pièces les plus musicales de
Shakespeare, devient ici une comédie avec pas moins de dix chansons, intermèdes
interprétés par tous les personnages. Et revoilà le style « Phénix » : à nouveau la
même chaleur et la même relation au public, un univers festif, noblement popu-
laire, joyeusement musical et rigoureusement travaillé. Les spectacles du Phénix
sont avant tout une histoire de partage. Et après l’accordéon dans Brassens, c’est le
violon qui donne ici la couleur slave et la ligne mélodique.
Traduction, adaptation et mise en scène d’Anne Bourgeois. Comédiens : Guillaume Cramoisan, Valérie Even,Nicolas Guillot, Isabelle Hazaël, Frédéric Lefèvre, Laurent Madiot, Paul Marchadier ou Eric Mariotto, Jean-LucMuscat, Olivier Neveux, Élise Roche. Musiciens : Ludovic Bruni ou Csaba Palotaï (Guitares), Fred Pallem(Contrebasse), Fanny Rome (Violon). Musique originale et arrangements : Fred Pallem. Scénographie : ÉliseRoche et Philippe Mathieu. Costumes : Alexandra Konvinski assistée de Marie-Jo Henry. Direction technique etlumière : Philippe Mathieu.
La nuit des roisde William Shakespeare / La Troupe du Phénix
MARDI 24 FÉVRIER 20H30 / THÉÂTRE
Théâtre 15
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Autant prévenir d’emblée. Voici un des classiques du grand Will monté de manière
totalement « rock n’roll ». La Cie Casalibus installe quelques éléments de décor sur
le plateau, maquille vigoureusement ses comédiens, les habille (ou les déshabille)
de tissus d’un autre âge et leur demande d’investir la salle. L’esprit moyenâgeux,
entre tréteaux et théâtre, poésie et plaisanteries grivoises.
Et voilà le spectateur sollicité au plaisir par cette équipe peu sage et bien décidée à
nous faire entrer dans cette farandole voluptueuse et coquine, ce chassé-croisé
amoureux des amants dans cette nuit d’été orchestré par Obéron, le roi des fées,
et Puck, son fidèle serviteur.
Construite sur des références actuelles et ainsi malmenée, la comédie de
Shakespeare vibre d’une vivifiante énergie, avec un brin de caricature, un zeste de
parodie, une bonne dose d’humour. Et un maximum de talent.
Mise en scène : Vincianne Régattiéri. Comédiens : Hubert Helleu, Éric Chantelauze, Frédéric Chevaux, IsabelCramaro, Florent Guyot, Bastien Ossart, Marjolaine, Vinz. Musique : Jean-Luc Pagni et Rock Havet. Costumes :Monica Régattiéri.
Le songe d’une nuit d’étéd’après William Shakespeare / Compagnie Casalibus
VENDREDI 27 FÉVRIER 20H30 / THÉÂTRE
Théâtre 17
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Tous sont unanimes : le travail que mène la Zaranda depuis 25 ans est unique en
Espagne. Profondément nourri par la culture andalouse, enraciné dans la terre,
rythmé par le temps inéluctable de la mort qui succède à la vie, empreint de
modestie, leur théâtre est fait de petits riens sensibles et émouvants. Loin des cou-
rants et des phénomènes de mode, il témoigne d'un engagement et d'une authen-
ticité que l’on retrouve dans la scénographie, le jeu, les lumières, la musique…
Cette dernière création s’inscrit dans cette esthétique d’un théâtre simple et pro-
fondément humain. A partir de la symbolique du carrousel qui tourne sans fin,
emportant avec lui nos espoirs, nos souffrances, nos rêves et nos aspirations, voix
fatiguées parlant de la solitude, de l'abandon et d’un passé qui nous échappe, les cinq
comédiens de La Zaranda nous invitent à un ballet avec les ombres du souvenir.
Mise en scène : Paco de la Zaranda. Comédiens : Gaspar Campuzano, Francisco Sanchez, Enrique Bustos,Fernando Hernandez, Carmen Sampalo. En partenariat avec le Festival MIRA! - Rencontres franco-espagnoles
Ni sombra de lo que fuimosde Eusebio Calonge / Compagnie La ZanrandaEn langue espagnole surtitrée
MARDI 2 MARS 20H30 / THÉÂTRE
Théâtre 19
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Deux textes de Jean-Pierre Siméon « Soliloques » et « Stabat Mater furiosa », où l'on peut
lire le reflet de la cruauté de notre monde. Voilà une description de la destruction de
l’homme par l’homme : l’exclusion dans notre monde moderne mais aussi l’impossibi-
lité de recevoir et de donner de l’amour. Et le bruit des armes et le fracas des corps.
Alors, face à ce grand tourbillon, cette femme qui dit « c’est assez », qui crachera à
nos visages sa longue prière furieuse, ne pourra plus se taire, ne pourra plus com-
prendre et suppliera la vie. Mais une telle « supplique » peut-elle encore trouver
résonance dans notre monde ?
Jean-Pierre Siméon alerte, bouscule, oblige à questionner le sens à donner au
monde. Dans un univers sans nom, sans couleur, six personnages se débattent
pour essayer d’y laisser une trace, d’y trouver une « ouverture » si petite soit-elle…
Mise en scène : Kristian Frédéric. Dramaturgie : Annabelle Stefani, Kristian Frédric. Comédiens : distributionen cours. Décor : Dagmas Weitze. Création Lumière : Yannick Anche. Création Son : Pierre-Yves Bérenguer.Création Costumes : Anne Bothuon. Coloriste : Maud Baron. Coproduction : Théâtre National du Luxembourg,Scène Nationale de Bayonne, L’Athanor (Scène Nationale d’Albi), Espaces Pluriels (Scène Conventionnée Pau-Béarn), Le Moulin du Roc (Scène Nationale de Niort), Compagnie Sweet Move. Avec le soutien de : La Comédiede Clermond-Ferrand (Scène Nationale), Théâtre Municipal de Cahors.
Ya bastade Jean-Pierre Siméon Compagnie Les Lézards qui bougent
MERCREDI 10 MARS 20H30 / THÉÂTRE
Théâtre 21
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C’est étrange : pire c’est, plus on rit. Le vide guignolesque de ces farces conjugales
leur permet une déraison sans limite qui explose un ordre social exagéré régen-
tant nos intimités. C'est la voir surprise à se promener toute nue dans un salon
plein de redingotes, le voir surpris ivre mort dans le bureau du colonel, amoureux
transi surpris déclarant sa flamme à une autre, bourgeois suffisant surpris
sachant à peine lire, surprise enceinte mais nerveuse, mariée mais pas au bon…
« Feydeau n’explose pas l’homme, il explose les normes que l’homme applique toujours
avec un fanatisme étrange dont il souffre comme un damné. Et voilà le théâtre : l’ex-
cès comprimé. L’excès avec ses folies, ses horreurs, donc nos peurs. La compression
avec ses ridicules, donc nos rires. Ce sont les mêmes ressorts que ceux du tragique, ici
la langue les tend vers le rire au lieu des pleurs, voilà tout. » J.-M. Rabeux
Mise en scène : Jean-Michel Rabeux. Comédiens : Claude Degliame, Sylvianne Duparc, Michel Fau, JacquesMazeran, Gilles Ostrowsky, Christophe Sauger, Marie Vialle. Décor et costumes : Pierre André Weitz. Lumière :Jean Claude Fonkenel.
Feu l’amourde Georges Feydeau / Compagnie La CompagnieAvec trois pièces : On purge bébé / Léonie est en avance / Hortense a dit : « j’m’en fous »
MERCREDI 21 AVRIL 20H30 / THÉÂTRE
Théâtre 23
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« Feydeau atteint là une sorte de perfection du comique et nous offre cette trop
rare vertu théâtrale : le fou rire. » Marcel Maréchal
Folie comique et poétique. Le monde petit bourgeois se déglingue et glisse à toute
allure sur un toboggan infernal où la raison chavire, où le langage explose, où les
personnages, en déséquilibre constant, se dédoublent. Et sans cesse il faut courir,
courir encore, comme dans le pire des cauchemars, pour échapper aux coups.
« La puce à l’oreille » a été représentée pour la première fois en 1907. Et ce n’est pas
un hasard si nous avons l’impression que tous ces personnages sont emportés
comme fétus de paille par le vent de l’Histoire et se précipitent inconscients et
joyeux, vers le gouffre où s’engloutira bientôt l’occident. Et cette faille en eux - en
nous… - d’où naît le désir de prouver son amour, de retrouver les mots pour
séduire, de se croire toujours aimé…
Mise en scène : Marcel Maréchal. Comédiens : Jacques Angéniol, Olivier Breitman, Sophie Caffarel, YannickDebain, Michel Demiautte, Philippe Escande, Catherine Ferri, Flore Grimaud, Marcel Maréchal, Mathias Maréchal.
La puce à l’oreillede Georges Feydeau Compagnie Les Trétaux de France
DIMANCHE 25 AVRIL 17H00 / THÉÂTRE
Théâtre 25
Un théâtre/un acteur
(trans)figurations sur la scène àl'italienne : René Gouzenne /Virginie Frappart / MarcelBozonnet / Catherine Allégret / Alain Stach / Thérèse Roussel / quand un acteur se retrouve traversé par toutes les lignes de forces d'unescène de théâtre, cela donne le contraired'un one-man(woman)-show.
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« Avec René Gouzenne, il n’y a rien, il n’y a besoin de rien. Avec lui tout est déjà là. Il
est important. Intense. C’est lui qui a choisi les chansons de Caussimon, parce qu’il
les aime, parce qu’il avait envie de dire ça. De le dire ou de le chanter, on ne sait plus.
ça n’a pas d’importance… C'est comme une pause dans sa vie d’acteur. Il n’y a pas
de personnage, il est là, sans artifice, à regarder ce qu’il est devenu, à témoigner
sans nostalgie d’une époque qui s’échappe, à nous assurer qu’une vie vaut bien
d’être vécue, à nous dire “qu’à l’impossible, on l’est, tenu, à l’impossible”, à le redire et
à le chanter… Et en plus, il y a la musique, le piano. “Je me suis noyé dans le prin-
temps de ses yeux taillés en amende”… » Claude Bardouil
Sur scène, avec lui, il y a Clara Girard, sa pianiste, magnifique. Ils sont là tous les
deux… c’est tout.
Mise en scène : Claude Bardouil. Chant : René Gouzenne. Textes : Jean-Roger Caussimon. Piano : Clara Girard.Costumes : Joël Viala.
Comme à Ostende…René Gouzenne chante Jean-Roger Caussimon
MARDI 23 MARS 20H30 / THÉÂTRE
Un théâtre / un acteur 29
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Le grand théâtre ferme ses portes. Il va être remplacé par un show-room techno
web et vidéo. Évidemment c’est plus porteur. Mais avant la liquidation, toute la
troupe délègue une des comédiennes pour aller parler au public, et tant pis pour la
représentation prévue. Et la comédienne parle, elle parle des difficultés, les soucis
d’argent, le reste de la troupe en coulisse, d’Albert aux lumières…
« Vous allez assister à un événement particulier, je dirais même exceptionnel si ça
ne faisait pas quinzaine commerciale, vous veniez visiter un monument de la cul-
ture et vous allez assister et participer à… une vente aux enchères… Vous êtes
surpris, nous aussi… La tendresse est vraiment nécessaire. »
« Le grand théâtre », c'est une ode d'amour pour les planches. C’est aussi une initia-
tion intime aux petits secrets de ce métier. Et quand on parle de travail, on crée
toujours un lien, non ?…
Mise en scène : Nicolas Bonneau. Lumière : Xavier Baron. Musique : Hugues Pluviôse, Nicolas Ruelle. Dessins :Charles-Édouard Maisonabe.
Le grand théâtred’Évelyne Pieiller / avec Virginie FrappartCompagnie Le Théâtre d’Alice
JEUDI 25 MARS 20H30 / THÉÂTRE
Un théâtre / un acteur 31
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« Me voilà, de nouveau, au cœur des plaisirs et des difficultés, à apprendre, voire res-
sasser, ma chère langue du XVIIe siècle. En elle, je vois bien, une fois de plus, que vont
d'un même pas la beauté stricte et l'horreur, et je redécouvre avec une force inac-
coutumée que l'école du plus grand maintien cache un laboratoire de cris. Les
phrases, qui paraissaient immobiles dans leur perfection, courent, de fait, d'un
mouvement imprévisible. Mon travail tient en ceci : trouver les moyens de rendre
à cette prose tout le registre des émotions qu'elle inspire. » Marcel Bozonnet
Acteur et metteur en scène reconnu par ses pairs, Marcel Bozonnet a dirigé le
Conservatoire National Supérieur D'Art Dramatique de janvier 1993 à juillet 2001. Il
est depuis lors administrateur général de la Comédie Française.
Mise en scène et interprétation : Marcel Bozonnet. Adaptation : Alain Zaepffel. Lumière : Joël Hourbeigt.Chorégraphie : Caroline Marcadé. Costumes : Patrice Cauchetier.
La Princesse de Clèvesd’après le roman de Marie-Madeleine de La Fayetteavec Marcel Bozonnet
SAMEDI 27 MARS 20H30 / THÉÂTRE
Un théâtre / un acteur 33
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Laurent Mercier fait partie de ces auteurs qui, venant du monde de l’entreprise,
savent nous restituer les faces cachées de cet univers « impitoyable ». Avec humour.
Et tel un Raymond Queneau de l’embauche, il va rédiger de fausses vraies lettres de
« Motivation ».
Exercice de style qui met en scène un échantillon représentatif de caractères.
Ceux-ci motivent leur demande d'emploi auprès du tout puissant Directeur…
(directrice, parité oblige !), des Ressources Humaines, démiurge mystérieux du
monde du travail. Tel La Bruyère d'un monde nouveau, Laurent Mercier fouille
pour nous au travers de ses « lettres » une multitude de directions pour voir si l’hu-
main fait encore partie de notre monde ou s’il n’est plus qu’une « ressource ».
Et c’est Catherine Allégret qui sera la voix de toutes ces voies : tantôt drôles, tantôt
ridicules, touchantes, franchement irritantes. Oui, l’humanité existe encore…
Mise en scène et scènographie : François Bourcier. Texte dit par : Catherine Allégret. Son : Philippe Latron.Lumière : Xavier Louis Bourcier. Une co-production Compagnie du FA, Théâtre de Cahors.
Lettres de motivationde Laurent Mercier / avec Catherine Allégret
MARDI 30 MARS 20H30 / THÉÂTRE CRÉATIONà Cahors
Un théâtre / un acteur 35
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Il s’appelle Ferdinand et, de Verdun au Chemin des Dames sa pelisse azur va tra-
verser la guerre de quatorze. Précision fondamentale : Ferdinand est un rat,
recueilli et teint en bleu par un poilu. Rien ne lui échappe, la terreur des soldats
avant de sortir des tranchées, l’horreur des affrontements, le soulagement d’être
sorti de ce carnage. Mais l’animal s’amuse aussi des faiblesses, des facéties, des com-
bines de son protecteur.
Au coeur d’un décor très réaliste évolue une créature extraordinaire. Jusque dans
les petits mouvements des ailes du nez, des doigts, des yeux, Alain Stach se trans-
forme devant nos yeux étonnés en rat, sorte de mutant entre l’homme et l’animal.
Sa performance d’acteur est admirable, tout y est : la sensibilité, la drôlerie, la
cruauté des personnages qu’il interprète, soulignant l’originalité d’un texte qui
associe le témoignage historique au fantastique le plus débridé.
Adaptation et mise en scène : Christine Bussière. Maquillage : Mireille Duroy. Costume et décor : Axel MorelVan Hyfte. Bande son : Lohengrin Braconnier. Création lumière : Mohamed Maaratie. Conseiller artistique :Bruno Gerbi.
Mémoires d’un ratde Pierre Chaine / avec Alain Stach Compagnie Une fois dans mes rêves
JEUDI 1ER AVRIL 20H30 / THÉÂTRE
Un théâtre / un acteur 37
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Elle a soixante-dix ans, un quotidien tout gris. Un jour Marthe croise le regard de
Félix. Le noir de ses nuits devient rouge coquelicot, couleur désir. C’est banal, oui,
mais ici chaque instant, chaque détail, et surtout chaque mot d’une écriture simple
mais magique, vous touche au cœur, comme la première fois pour vous aussi.
La rareté du spectacle réside dans la qualité de la transposition du livre au théâtre.
Le metteur en scène Yann Le Gouic en restitue l’intelligence, l’humour; la délica-
tesse. Thérèse Roussel incarne une femme lumineuse, distinguée, pudique.
« L’actrice Thérèse Roussel est d’une présence si fine, si délicate, si enjouée dans
l’émotion, que cette pièce, l’air de rien, devient une belle et grande chose, et, ce qui
est tout à fait rare, capable de combler toute spectatrice, tout spectateur, quels que
soient leur âge, leur culture, leur milieu. Une rareté, une merveille… » Le Monde
Adaptation et Mise en scène : Yann Le Gouic de Kervéno. Lumière : Luc Jenny. Costumes : Sonia Rykiel. Conseilchorégraphique : Claire Richard. La chanson est interprétée par Henri Salvador.
La femme coquelicotde Noëlle Châtelet / avec Thérèse Roussel Compagnie Calyste
SAMEDI 3 AVRIL 20H30 / THÉÂTRE
Un théâtre / un acteur 39
Musique
Une autre façon d'écouter/voir la musique :Fa 5e, le Cri de l’Ange (un spectacle totalpour dire le rêve…).les soirées cabaret/opérette : Les Fouteursde joie et Les Sea Girls / Caf’conc’Hervé /Les épis noirs / soirées festives pour tousles publics.La musique du monde : le Brésil de MônicaPassos.La musique contemporaine / commande àun compositeur d'aujourd'hui : BernardCavanna et l'Ensemble Ars Nova (en parte-nariat avec L'Athanor d'Albi et le CNR deToulouse).
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« Pendant mon séjour à Rome, j’allais souvent écouter le chœur de la Chapelle
Sixtine, qui était à cette époque dirigé par le dernier des eunuques, Mustafà…Il
avait une exquise voix aiguë, vraiment angélique, ni masculine ni féminine – voix
étrange, surhumaine, mystérieuse ! » Emma Calvé
Pour dire ce mystère insondable que furent les voix de castrats, François Boursier
marie musique, poésie, théâtre et danse… jeux subtils entre l’image et la lumière
déstructurant et restructurant les espaces pour en faire un support aux rêves. Un
rêve qui nous emporte aux frontières des paradis perdus… entrevus parfois dans
certains airs de Vivaldi, Purcell, Monteverdi, Allegri, ici chantés par Yves Le Pech, ce
lointain descendant de Farinelli.
Spectacle de théâtre, spectacle d’une musique « autrement », spectacle total plutôt,
puisque la destinée tragique du castrat,entre enfance mutilée et ravissement divin,est
la cristallisation la plus pure et la plus accomplie de l’expérience humaine du désir…
Mise en scène : François Bourcie. Chanteur : Yves Le Pech. Orchestre : distribution en cours.
Fa 5e, le cri de l’angeCompagnie du Fa
VERNDREDI 24 & SAMEDI 25 OCTOBRE 20H30 / THÉÂTRE CRÉATIONà Cahors
Musique 43
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Les sea girls / Les fouteurs de joie
Vous avez aimé « Le petit monde de Georges Brassens », vous adorerez cette soirée
cabaret en les retrouvant (presque) tous, les garçons et les filles qui vous avaient
enchantés la saison dernière. Une soirée cabaret d’enfer !…
D'abord Les sea girls, quatre chanteuses - plus un guitariste et un contrebassiste -
liées par une complicité évidente. C’est Marilyn chantant à la Goutte d’or, Arletty
avec des moustaches, ou Olive avec le coffre de la Castafiore. Pleines de charme et
d’humour, elles naviguent entre textes, poésie, numéros absurdes, chansons
coquines ou grinçantes !
Puis Les fouteurs de joie avec leur contrebasse, un accordéon, deux guitares, et tou-
jours ce même goût pour les airs populaires, les mots de la rue, héritiers des chan-
teurs réalistes avec leur répertoire de créations cocasses, de reprises loufoques,
des airs des faubourgs.
Les Sea Girls / Mise en scène : Olivier Hussenet. Mise en bouche : Olivier Prou. Chant : Maria Bergès, PrunellaRivière, Élise Roche et Delphine Simon. Musiciens : Benoît Simon, guitare ; Fred Pallem, contrebasse. Chanson deJean-Marc Rivière. Arrangements musicaux : Fred Pallem. Les Fouteurs de joie / Alexandre Léauthaud : accordéons ; Laurent Madiot : chant, guitare ; Nicolas Ducron : chant,petit accordéon ; Jean-Michel Gouégnas : chant, guitare ; Christophe Dorémus : contrebasse.
Les sea girls /Les fouteurs de joie
VENDREDI 28 NOVEMBRE 20H30 / DOCKS
Musique 45
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Bienvenue au cabaret de la Belle Eclosine ! Entrez, entrez !... Vous entendrez La Belle
Espagnole, ou Le Retour d’Ulysse !… Vous assisterez aux Métamorphoses de
Tartempion !… Le compositeur toqué, Les deux chanteurs sans place font aussi
partie du programme… Ne manquez pas Le beau boucher, La gardeuse d’ours et
V’la du nouveau… Entrez, entrez ! Venez rire avec nous ! Venez rêver avec nous…
Ce soir, tout est possible.
Quatre chanteurs et une pianiste montent un spectacle délirant, entre le théâtre
de foire et le cabaret, à partir des œuvres d‘Hervé. Partageur, généreux (l’adresse au
public est ici naturelle), ce spectacle de potaches s’appuie sur de solides prestations
techniques pour chanter à toute vitesse et de manière intelligible calembours et
gouaille argotique, pour enchaîner pantomimes déchaînées et numéros vocaux
acrobatiques ! Un spectacle d’opérette, un vrai spectacle de fête.
Mise en scène : Mireille Larroche. Comédiens (en alternance) : Edwige Bourdy, Christine Gerbaud, Yves Coudray,Christophe Crapez, Vincent De Roster, Lionel Peintre, Corrine Durous ou Claude Lavoix. Assistée de : AlainPatiès. Conseiller musical : Yves Coudray. Chorégraphie : Anne-Marie Gros. Costumes : Danièle Barraud et MichelRonvaux. Coproduction : La Péniche Opéra / La Clef des Chants, Association régionale de décentralisationlyrique Région Nord-Pas-de-Calais.
Caf ’conc’Hervé ou Les Délassements Comiques
Compagnie La Péniche Opéra
VENDREDI 19 DÉCEMBRE 20H30 / THÉÂTRE
Musique 47
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« Pierre, proxénète à Paris, vient visiter son frère Alexandre dans son village
d'Ardèche. Il séduit sa femme, Manon, enceinte. Il l'enlève. Il la met sur le trottoir, il
la tabasse. Elle l'aime. Elle aime aussi son mari, qu'on enferme à l'hôpital psychia-
trique. On rit énormément. »
Pour dire Paris dans tous ses états, les chansons populaires, les filles de joie et les
mauvais garçons, la sincérité campagnarde et les amours partagées, pour trans-
cender cette tragédie et semer de rires les instants les plus sombres, il fallait un
don total de l’acteur, une vérité de l’instant et un dépouillement de tout artifice et
ainsi arriver à l’essentiel : l’acteur et le spectateur. Tel est le talent des Épis Noirs !
La Presse : « On sort sur un nuage rose… Les Epis Noirs : tragédiens du rire… Un
spectacle unique qui rend heureux… Que du bonheur !… Une bouffée d’air frais…
Une révélation… Du théâtre musical comme on en (re) demande ! »
Textes et musiques de Pierre Lericq. Mise en scène : Manon Andersen et Pierre Lericq. Comédiens : Manon Andersen,Pierre Lericq et Lionel Sautet. Accompagnés de Svante Jacobsson (contrebasse), Sylvain Larrière (Violon) etFabienMagni (Guitare et accordéon). Création Lumière : Véronique Claudel. Création Son : Jean Pierre Spirli.
Flon flon ou La véritable histoire de l’humanité
de Pierre Lericq / Compagnie Les Épis Noirs
SAMEDI 31 JANVIER 20H30 / THÉÂTRE
Musique 49
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1ère partie : Œuvres de Bernard Cavanna.
Interprètes : Voix, percussions, cordes de l'Ecole de Musique de Cahors.
2e partie : Œuvres de Bernard Cavanna.
Interprètes : Ensemble ARS NOVA.
Violon, violoncelle, saxophone, accordéon.
- Trio avec accordéon – pour violon, violoncelle et accordéon.
- L'Album - pour accordéon – CRÉATION(commande de l'Association Patrimoine et Cultures Européennes en Midi-Pyrénées).
- Goutte d'or blues – pour saxophone et bande.
- Fauve – pour violon.
Pensionnaire à la Villa Médicis (85/86), Bernard Cavanna (né en 1951) reçoit le Prix
SACEM pour la meilleure création contemporaine (1998), lauréat de la Tribune
Internationale de l'UNESCO (1999). Victoire de la Musique, ses oeuvres ont produit
une forte impression sur le public et la critique. Il a également travaillé pour le
théâtre pour Antoine Vitez ou Stuart Seide, pour les chorégraphes Caroline
Marcadé, Angelin Preljocaj, Odile Duboc. Il dirige depuis 1987 l'École Nationale de
Musique de Genevilliers.
« Le trio pour accordéon semble être construit comme une délicate dentelle où le
fil de correspondance de timbres minutieusement tissé, tel un rayon de lumière,
éclaire un parcours musical raffiné et souvent doux. » E. Sikora - Diapason
L'ensemble instrumental Ars Nova se consacre à la recherche, découverte et créa-
tion de la musique d'aujourd'hui autour de son chef Philippe Nahon.
En partenariat avec l’Athanor (Scène Nationale d’Albi) et le CNM - Les Abattoirs de Toulouse.
Bernard Cavanna
JEUDI 18 MARS 20H30 / AUDITORIUM
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Qui n’a pas chanté « C’est une gamine charmante » et le célèbre air « Ah ! Toi tu m’af-
foles ! »… Phiphi vit le jour le 12 novembre 1918. Ce soir là, tous les airs furent bissés
et l’opérette resta trois ans à l’affiche à Paris. Traduite en douze langues, elle a été
jouée plus de 40 000 fois dans le monde entier.
Phiphi traite d’un thème universel : la femme, le mari et l’amant. La scène se passe
six cent ans avant Jésus Christ dans la Grèce antique. Les situations sont osées et
la vertu n’est triomphante que sous forme de sculpture.
Phiphi fait le pont entre l’opérette et la comédie musicale. C'est une œuvre imper-
tinente et cocasse, symbole de l’Opérette de l’après-guerre, pétillante et débor-
dante de cet humour des années 20 (les années folles). Ca swingue, ça chante, ça
danse, ça joue à cent à l’heure. C’est du rire et du charme pendant deux heures !
Mise en scène : Gilles Ramade. Direction : Marc Ursule, avec l’ensemble instrumental de Brives. Distribution :Gilles Ramade, Anne-Marie De Couyssy, Hubert Humeau, Sylvie Boulouïs, Fabrice Chikhaoui, Gilles Lacoste,Esther Candaës, Marie-Hélène Barreau, Mylène Lemesle, Audrey Senesse, Anna Raniade, Laure Redon.
Phiphide Christiné & Willemetz Compagnie Figaro & Co
SAMEDI 20 MARS 20H30 / AUDITORIUM
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Mônica Passos, c'est cinq octaves venues de São Paulo ! Si vous voulez voir une
femme qu'on dit diva parce qu'on a peur de la dire divine lorsqu'elle s'endiable, si
vous voulez voir, entendre et sentir une femme qui fait danser la vie et la mort avec
des mots posés sur l'émail des maux, si vous voulez une photo du Brésil sans la niai-
serie des cartes postales, si vous voulez voir en chair et en os une femme en chair
et en couleurs, vous viendrez écouter Mônica Passos !
Cette femme est un tourbillon, jubilatoire et essentiel. Un tempérament qui
marque. D’une intensive vitalité, elle chante avec une gourmandise passionnante
ses petites et grandes histoires et vagabonde dans les musiques plurielles qui lui
collent à la peau. Capable de réinventer les bruits de la forêt tropicale, de chanter
avec des éclats de diva ou la douceur d’une maman qui berce son bébé…
Chant : Mônica Passos. Guitare, guitare portugaise, direction musicale : Jean Philippe Crespin. Percussions,chœurs : Edmundo Carneiro. Guitare acoustique : Marcelo Né. Percussions cavaquinho : Julio Gonzales.
Mônica PassosBanzo !
VENDREDI 30 AVRIL 20H30 / THÉÂTRE
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Danse
Les rencontres : Élisa Martin-Pradal /Jean-Marc Padovani / Ramon Lopez /
Érika Winkler (le Théâtre de Cahorsest particulièrement heureux
d’avoir initié ce projet).Une très large variété de styles et
de formes : Emmanuel Grivet / Josef Nadj / Andy de Groat.
Animations / sensibilisations / formation du public en partenariat
avec l'ADDA du Lot.
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« Duels/dialogues entre une danseuse flamenca et une danseuse contemporaine
sur sons métissés flamenco/jazz. Nouer, serrer, tisser les fils qui constituent nos vies
et nous jeter sans retenue dans le monde. Oui, une pièce duelle entre rêve et réalité.
Et il y a la gestuelle, un voyage de frappes de pieds flamencas faites de rythmes purs
et austérité vertigineuse des lignes. Les frappes résonnent dans les corps, réveillent,
ici et maintenant. Réalité rassurante. Les frappes se taisent, s’éloignent, partent
dans l’infiniment grand, rejoignent le monde du silence et du mystère. L’espace est à
nouveau vide. Comment l’animer, le remplir, vivre… Entre plein et vide, le désir.
Se lancer alors à la recherche d’un son, d’une sensation qui longuement enfouie
dans nos structures, appartient à notre origine. Longtemps évacuée de notre
mémoire, presque oubliée : l’Espagne. » Élisa Martin-Pradal
Avec : Percussions : Ramon Lopez. Saxophones : Jean-Marc Padovani. Danse contemporaine : Élisa Martin-Pradal. Danse flamenco : Érika Winkler. Création Chorégraphique : Élisa Martin-Pradal. Création lumière etdécor : Jean-Louis Carausse. Coproduction : Compagnie La Baraque, Soleart, Ville de Colomiers (résidence-mis-sion), Théâtre de Cahors (résidence-création), CDC (Centre de Développement Chorégraphique de ToulouseMidi-Pyrénées).
Todo esto por amormise en spectacle par Élisa Martin-PradalPièce chorégraphique et musicale pour deux danseurs et deux musiciens
VENDREDI 7 NOVEMBRE 20H30 / THÉÂTRE CRÉATIONà Cahors
Danse 59
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Après « Voici » présenté la saison dernière, Emmanuel Grivet propose ici le voyage
d’une femme imaginée traversant un moment de crise intérieure : celle qui
marche et ne sait plus très bien pour où ni pourquoi. Question, doute, fracture.
L’autre, ange, s’y engouffre. L’ivresse et la fête aussi. La croisée des chemins impose
le choix, lâcher ou tenir, la lutte ou l’abandon.
Comme tout voyage, l’issue n’est jamais sûre. Pour autant celle qui s’abandonne
ouvre une porte : il faut beaucoup moins d’énergie pour se laisser porter par son
courant intérieur que pour lutter contre lui.
Conception et scénographie : Emmanuel Grivet. Danse et chorégraphie : Nathalie Galoppin, Laurence Mandrile,Davide Finelli, Aïcha Aouad, Christophe Brombin. Musique : Joan Melchior Claret. Conception décors : MladenMateric. Réalisation décors : Jean-Louis Carausse. Lumière et régie : Yvan Labasse. Coproduction : Centre deDéveloppement Chorégraphique de Toulouse, Théâtre de la Minoterie à Marseille, Centre Culturel Jean Gagnant,Scène Conventionnée pour la danse à Limoges, Ville de Tournefeuille, avec le soutien de l’ADAMI.
Celle qui marcheCompagnie Emmanuel Grivet
MERCREDI 14 JANVIER 20H30 / AUDITORIUM
Danse 61
Répétitions ouvertes et actions pédagogiques seront proposées en partenariat avec l’ADDA du Lot.
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Josef Nadj propose un concentré muet de ce Woyzeck de Büchner, drame inachevé,
« forme en devenir arrêtée net par la mort de l'auteur. Une pièce en morceaux… »
Le chorégraphe hongrois se révèle talentueux dans le grotesque qu’il manipule
avec art, et avec les moches, les ignobles et les méchants auxquels il insuffle féro-
cité et gentillesse. Capable de contrôler d’une façon extrêmement pointue tous ses
mouvements et de se déplacer dans des espaces restreints qu’il affectionne
(espaces contraignants et sombres, encombrés d’objet pauvres et de matériaux de
récupération, criblés d’ouvertures et de trappes), il offre une vision du monde, à la
fois douce et cruelle, avec ses laissés-pour-compte tout crottés, des aliénés, riches
de la poésie et de la sincérité que seuls les fous, incapables de masquer leurs senti-
ments, arrivent à manifester.
C'est un spectacle d’une très grande beauté.
Chorégraphie : Josef Nadj. Danseurs : Istvan Bickei, Denes Debrei, Peter Gemza, Franck Micheletti ou GyorkJoseph Szakonyi, Josef Nadj, Joseph Sarvari, Henrieta Varga. Musique : Aladar Racz. Co-production : ThéâtreNational de Bretagne-Rennes, Centre Chorégraphique National d’Orléans.
Woyzeck ou L’ébauche du vertige
d’après Büchner / Compagnie Josef Nadj Ce spectacle a remporté le premier prix du public au 32e Festival du « BITEF » à Belgrade en 1998, et le
« Masque d’or » du meilleur spectacle étranger présenté en Russie pour l’année 2002.
VENDREDI 6 FÉVRIER 20H30 / AUDITORIUM
Danse 63
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C’est l’histoire d’un homme. De deux hommes. En fait, ils sont trois… La porte de la
prison se referme derrière eux. Les trois ont de la poussière dans les narines.
L’impression que l’air a changé de consistance…
L’univers d’Antoine Volodine montre des personnages qui errent dans une nuit
« intérieure » - de héraults modernes annonciateurs de temps encore plus obscurs,
de citoyens ordinaires et pacifiques attachés à leur liberté – de « témoins » simple-
ment fidèles à ce qu’ils sont, anges/passeurs ordinaires dans ce parcours initiatique.
A son habitude, Andy de Groat nourrit son travail avec des rencontres : rencontre
de la langue singulière de Volodine, de l’écrit et du geste, de jeunes interprètes
venant d’horizons métissés à la frontière du théâtre et de la danse, du cirque, du
mime, du hip-hop… le langage poétique du chorégraphe surgissant de cette
mosaïque d’univers !
Chorégraphie : Andy de Groat. Danseurs : Martin Barre, François Lebas, Julien Vittecoq, Aragorn Boulanger,Alain Rigout. Lumière : Éric Fassa. Musiques : quatuor à cordes.
Alto soloRed Notes / Compagnie Andy de Groat
JEUDI 6 MAI 20H30 / AUDITORIUM
Danse 65
Une mini résidence d’une semaine d’action de sensibilisation du public et d’actions pédagogiques
sera proposée en partenariat avec l’ADDA du Lot.
Jeune public
Textes et auteurs : Homère / Jonathan Swift / Desnos, Roy…Les créateurs qui travaillent en région :Gérard Grimal / Pupella-Noguès / Le Balsamique Théâtre.
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L’Odyssée, c’est le voyage d’Ulysse – celui dont la ruse a permis la victoire des Grecs
sur les Troyens – qui voudrait regagner son île d’Ithaque. Mais après les flammes et
Troie détruite, Ulysse devra lutter avec les éléments, visiter les morts, apostropher
les dieux, charmer une magicienne, aveugler un cyclope. Il lui faudra ensuite triom-
pher des prétendants qui convoitent sa femme et son trône…
Il y a du mouvement, la vie jaillit de partout, la mort rôde. Anne Vassalo demande
aux muses son tribut d’histoires à partager avec nous. Les muses l’entendent, et le
théâtre s’embrase ! Le temps s’écoule… Lorsque le sablier sera à son terme, nous
aurons passé sept années chez la nymphe Calypso, quarante huit heures chez les
cyclopes, un mois sur l’île du dieu Éole, de nombreuses nuits en mer… Un beau
voyage de cinq siècles vers des temps inconnus.
Mise en scène : Geoffroy Barbier. Comédienne : Anne Vassallo. Musique : Stéphane Colin. Éléments scéniques :Pierre Lenczner. Lumière : Véronique Claudel.
L’Odysséed’après Homère
MERCREDI 12 NOVEMBRE 18H30 / THÉÂTRE
Scolaires : Jeudi 13 novembre à 10H00 & 14H30 / Vendredi 14 novembre à 10H00 & 14H30
Jeune public / à partir de 11 ans 69
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Nous sommes dans la cour de récréation. Soudain la cloche retentit, il faut rentrer
en classe, le maître s’agite : voici les leçons de chose, les droites parallèles, les pro-
blèmes d’encrier, plus rien ne vient perturber l'ambiance studieuse et calme. Seul le
temps s’écoule lentement et les saisons sont des prétextes pour chanter.
Ce spectacle se donnera avec la participation des ateliers vocaux des groupes scolaires
de Cahors. Le travail des différents ateliers aura pour base le chant et l’onomatopée
rythmique.
Mise en scène : Claude Martinez. Comédien : Jérome Lapara. Chant, percussion : Gérard Grimal. Piano : Jean-François Bastide. Guitare, luth, banjo, chœurs : Tony Margaléjo. Guitare basse, chœurs : Éric Bouat. Accordéon,claviers : Thierry Roques. Batterie : Éric Delclaux. Lumière : Yannick Bouzou. Son : Cyril Comte. Chœurs d’en-fants. En partenariat avec Le Théâtre de Cahors - L’Inspection Académique du Lot - Le Service éducatif de laVille de Cahors (Contrat éducatif local) - L’association Musique en Liberté
Chansons pour quatre saisonsAssociation Musiques en Liberté
MERCREDI 3 DÉCEMBRE 18H30 / VENDREDI 5 DÉCEMBRE 20H30 / THÉÂTRE
Scolaires : Lundi 1er déc. à 14H30 / Mardi 2 déc. à 10H00 & 14H30 / Mercredi 3 déc. à 14H30 * Jeudi 4 déc. à 10H00 & 14H30 / Vendredi 5 déc. à 10H00 & 14H30 * Établissements spécialisés
CRÉATIONà Cahors
Jeune public / à partir de 4 ans 71
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Ballade théâtrale aquatique nocturne et poétique sur des poèmes de Pierre Coran,
Robert Desnos, Jean-Luc Moreau, Jacqueline Saint-Jean, Raymond Queneau,
Claude Roy.
« Revêtus de bonnets de nuit et de chaussons, installés sur un très grand lit
douillet, des enfants s’émerveillent à l’écoute de mots qui tapotent, giclent, tour-
billonnent au dessous des étoiles, à la découverte d’objets / jouets métamorphosés,
d’histoires drôles ou intrigantes. De grands chevaux courant dans mon ciel / une
ribambelle d‘enfants dans la lune / d’où l’on voit mieux une rouge locomotive / qui
va de Moscou jusqu’à Bakou / une grenouille qui a peur de se mouiller / un loup gri-
bouille vexé de sentir le chien mouillé… »
Un univers tout à la fois chaleureux, merveilleux et fantastique a été créé où chaque
élément - objets métamorphosés, ombres, lumières, sons, voix et chansons contri-
buent à restituer la puissance émotionnelle des différentes langues poétiques.
Écriture et mise en scène : Joëlle Noguès. Comédiens : Christelle Maison et Giorgio Pupella. Musique : VictorBetti. Vidéo : Pierre Noguès.
Mais où est passé le tamanoir ?Compagnie Pupella Noguès
MERCREDI 4 FÉVRIER 18H30 / THÉÂTRE
Scolaires : Lundi 2 février à 10H00 & 14H30 / Mardi 3 février à 10H00 & 14H30
Jeune public / à partir de 3 ans 73
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À Lilliput, Gulliver est un géant, un vrai. De ceux qui franchissent les rivières d’un
pas, qui emprisonnent les armées, qui engloutissent des charrettes de victuailles.
Par ailleurs, ces Lilliputiens ont de bien curieuses coutumes, mais puisque tout ceci
se passe à l’autre bout du monde, elles ne nous concernent en rien… à moins que
Swift ne nous prête ses lunettes de philosophe humoristique…
À Brobdingnag, c’est au tour de Gulliver d’être une créature minuscule, à la merci
d’une population curieuse, amusée par sa taille réduite, peu convaincue de sa qua-
lité d’humain et peu disposée à lui laisser son libre arbitre.
Connue grâce aux célèbres « Voyages de Gulliver », l'œuvre de Jonathan Swift reste
ce qu’elle a toujours été : une protestation véhémente contre l’injustice et un plai-
doyer pour la liberté.
« Gulliver, un spectacle géant !… Il y a là une force et un souffle exceptionnels. »
La Presse
Mise en scène : Jean-louis Crinon. Comédiens : Sylvie Garbasi, Cyril Couton, Thierry Robard. Adaptation : MaryseLefebvre. Marionnettes : Moulad. Costumes : Olga Papp. Masques et décors : Jean-Louis Crinon. Lumière : Julie Berthon.
Gulliverd’après Les voyages de Gulliver de Jonathan SwiftCompagnie Les déménageurs associés
MERCREDI 28 AVRIL 18H30 / THÉÂTRE
Scolaires : Lundi 26 avril à 14H30 / Mardi 27 avril à 10H00 & 14H30
Jeune public / à partir de 6 ans 75
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Les habitants de deux royaumes séparés par une haute montagne vivent dans la
plus parfaite indifférence les uns vis à vis des autres. Tout pourrait continuer ainsi,
si à l’occasion du baptême des héritiers respectifs de chaque royaume, on n'avait
oublié d’inviter une fée, cousine commune aux deux familles. Pour se venger, celle-
ci offre simultanément aux uns une soupière et aux autres une louche, étant
entendu que seule la réunion des deux ustensiles permet d’obtenir une soupe aux
vertus extraordinaires, et ce sans aucune limite de bouches à nourrir. Dès lors,
chaque clan n’aura de cesse de s’emparer du bien de l’autre…
À partir d'un conte philosophico-comique de Michael Ende, l’équipe du Balsamique
Théâtre a conçu un décor qui divise le public en deux territoires, deux acteurs
manipulateurs croisent le fer par le jeu de marionnettes sur table, d’ombres, d’ob-
jets et d’images projetées.
Mise en scène : Aleksander Jochwed. Jeu : François Boulay. Marionnettes et scénographie : Lone Nedergaard. « La soupière et la louche » : titre provisoire…
La soupière et la loucheDe Michael EndeCompagnie Balsamique Théâtre
MERCREDI 19 MAI 18H30 / DOCKS CRÉATIONScolaires : Lundi 17 mai à 10H00 & 14H30 / Mardi 18 mai à 10H00 & 14H30 à Cahors
Jeune public / à partir de 7 ans 77
Cirque / Rue
Un art en mouvement ! : Le Petit travers ou l'École duLido (une certaine façon devoir le jonglage, comme ondit ailleurs et dans d’autresdisciplines, l'École de Briveou l'École de Barbizon…) /
L'Oboubambulle ou le Théâtreaux (et à travers) champs.
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Il était un navire avec quelques fous. Lancé sans voile ni rame sur le fleuve aux
mille doigts, sur la mer aux mille mains… et c'est parti pour un spectacle épique,
onirique, parabolique, satirique, poétique… et fringuant ! Un théâtre d’images et
de mots au rythme saltimbanque, un mystère moderne.
Né de l’imagerie des peintres de la fin du Moyen-âge et bien que s’inscrivant dans
un univers esthétique particulier, le spectacle se veut résolument contemporain. Il
nous parle de notre monde avec ironie et naïveté. Les décors sont mobiles, tout se
déplace, les changements se font à vue.
L’Oboubambulle est installée depuis quinze ans dans le village lotois de Limogne
en Quercy. Ses créations visent à amener le théâtre au plus près des publics, pen-
sées pour être jouées généralement en plein air ou dans des lieux non convention-
nels, pour relier l’intime et le spectaculaire.
Mise en scène : Patrick Janvier. Comédiens : Nathanaèl Petitjean. Frédérique Camaret, Sylvestre Mignot, ÉlieLorier, Véronique, Béatrice Kowalsky, Patrick Janvier. Scénographie/Décorateur : Frédérique et Patrick Janvier.Costumier : Frédérique Camaret. Régie Technique : Térence Turk.
La nef des fousde Patrick Janvier / Compagnie Oboubambulle
JEUDI 16 & VENDREDI 17 OCTOBRE 20H30 / DOCKS SPECTACLE GRATUITSUR RÉSERVATION
Cirque / Rue 81
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Ils viennent du Lido de Toulouse et sont jongleurs. Ils ont fabriqué une drôle d'his-
toire d’illusion et de déséquilibre, un spectacle chorégraphique et jonglé, mettant
en scène deux personnages gestuels, deux personnalités muettes.
Un petit travers, c’est presque rien, un défaut léger, pardonnable, où l'on peut se rat-
traper, in extremis, valse-hésiation entre dextérité et gaucherie. Dans ce monde
bancal, tout de guingois, tordu, biaisé, les balles rebondissent à côté de la plaque en
quelque sorte. Plus de logique, plus de pesanteur… Seulement un type de relation
à l’autre, un certain rapport de domination, de complicité, de tension…
Dans cette chorégraphie de la balle en mouvement, le jonglage devient une danse.
Les abstractions deviennent sensibles, prennent vie, attisent le plaisir de l’œil, de
l’oreille ; elles se font évidentes et belles.
Auteurs et mise en scène : Christian Coumin assisté de Lionel About. Auteurs, comédiens, jongleurs : NicolasMathis et Denis Fargeton. Création lumière : Arnaud Verra. Régie technique : François Darrey. Graphisme etillustrations : Aude Poirot. Coproduction : Théâtre de la Digue. Studio création Lido, centre des arts du cirquede Toulouse.
Le petit traversCompagnie Le petit travers
JEUDI 11 DÉCEMBRE 20H30 / THÉÂTRE
Cirque / Rue 83
Kantor, et après ?... Les formes d'aujourd'huinourrissent sur leurs flancs tout un monde enexpansion où s'expérimentent des conceptionsdifférentes du récit, du jeu et du lieu. À cetégard, l'influence du polonais Tadeusz Kantoraura été considérable. Dans le cadre de laSaison Culturelle polonaise en France (NovaPolska) et en partenariat avec l’AFAA(Association Française d’Action Artistique)attachée au Ministère des Affaires Étrangèreset au Ministère de la Culture et de la Communication, nous invitons à Cahorsquelques créateurs qui continuent le cheminentamé, quelques témoins, des passeurs d’insolite, des créateurs de regards qui nousparlent d’un « après Kantor ».
L’insolite
86
Ceci n’est pas un spectacle. C’est un hommage à Bruno Schulz, maître du gauchis-
sement inaperçu, du temps de seconde main, de l’hallucination débridée et des
repères froissés. Cela parle d’un monde englouti dans les grands embrasements de
l’histoire et nous appelle à la vigilance. C’est aussi un moment de rencontre où
l’équipe offre aux spectateurs un repas de fortune arrosé de vodka…
« Znorko est un passeur. Nous traduisant en scènes à la fois graves et joyeuses la
lointaine et douloureuse Pologne de Bruno Schulz, il nous ramène à nos incerti-
tudes, à nos errances, à nos déséquilibres d’aujourd’hui. Et, avec des riens - acces-
soires mal foutus, bibelots cassés -, il nous éveille à des émotions enfouies, loin-
taines . C’est de la magie. » Fabienne Pascaud, Télérama
Création et Mise en scène : Wladyslaw Znorko. Comédiens : Antonella Amirante, Élisabeth Ernolt, Jean-PierreHollebecq, Philippe Puigserver, Bruno La Brasca, Irina Vavilova, Philippe Vincenot. Univers Sonore : BernardValléry. Régie plateau et lumières : Raphael Odin.
Le traité des mannequinsde Wladyslaw Znorko, d’après l’œuvre de Bruno Schulz
Compagnie Cosmos Kolej
MARDI 1ER JUIN 20H30 / DOCKS
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« En attendant… ? Nous avons vécu la mort de Tadeusz Kantor avec douleur. Mais
nous avons décidé de ne pas abandonner le théâtre. Consciemment nous avons
rejeté la possibilité de nous appuyer sur l’œuvre de Witkacy, Gombrowicz ou
Schulz. Nous étions sûrs que nous devions commencer par le commencement.
“Subconsciemment”, nous avons choisi Beckett. »
Kantor créa ses œuvres, son Théâtre sur le plateau. Beckett, lui, écrivait ses drames
avec beaucoup de précision. Le sous-titre d’« Impromptu Ohio » de Beckett précise
que ce texte est écrit « pour deux acteurs les plus ressemblants ».
Nous n’attendons plus ! Vladimir, Estragon, Pozzo, Lucky – est arrivée l’heure de
Godot. Maintenant nous savons comment affronter cette pièce. Comme toujours,
nous serons fidèles à Beckett. A notre manière. » Waclaw et Leslaw Janicki.
« Les Jumeaux » Janicki ont fait partie de tous les spectacles de Tadeusz Kantor. Ils
travaillent aujourd'hui régulièrement autour de l’œuvre de Beckett.
Mise en scène, costumes, décors et avec Waclaw et Leslaw Janicki.
En attendant Godotde Samuel Beckett / Compagnie Twins Compagnia
JEUDI 3 JUIN 20H30 / THÉÂTRE
L’insolite 89
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« Il est cinq heures, la petite pendule marque le temps. Un Bossu et un Géant venant
de l’en-deça allant vers l’au-delà se croisent par accident sur une place ordinaire.
Une heure plus tard, les deux « galvaudeux » désespérément extraordinaires par la
taille, doivent reprendre chacun le chemin de leurs ministères pour scruter
l’ombre sans limite. Ils laissent l’homme ordinaire, en habit décoré, prendre par la
taille celle qu’il aime. C’est aux amoureux de prendre soin d’éteindre et d’allumer le
réverbère, de garder la lumière… »
Les trois personnages sont joués par des femmes, un mannequin joue « l’homme
ordinaire » et le texte est entièrement chanté, accompagné par un piano, des per-
cussions, un gong coréen et une sirène de pompier.
«Le jeu s’appuyant sur la mécanique de la marionnette et l’intrigue resserrée à son mini-
mum contribuent à l’exploration des limites du théâtre » Maja Souteillet, Libération
Mise en scène et musique : Dominique Collignon Maurin. Comédiens : Emmanuèle Stochl, Marie Vayssière,Young Sook Chang. Conseiller musical : Frédéric Stochl. Lumière : Bertrand Killy. Costumes : Francine Gasparet Sissou. Décors : Fabienne Killy. Régie générale : Florent Gallier. Régie : Clément Chicoisne.
Par la tailled’Alfred Jarry / La Colline Compagnie
SAMEDI 5 JUIN 20H30 / THÉÂTRE
L’insolite 91
À la frontière… / 1
Exposition d’installations et de photographies de Bruno Wagner
« Ces images et installations autour de Tadeusz Kantor et du Théâtre Cricot 2 sont toutes « fausses »,fabriquées, résultent d’assemblages divers, d’instants de théâtre, de fragments de vie et donc desouvenirs, de bouts de négatifs qui n’étaient pas a priori faits pour se rencontrer. Parce que je n’aimepas les exercices de style, les hommages et autres commémorations, elles sont peut-être un clind’œil à un obstiné au regard perçant, à l’un des plus grands créateurs du vingtième siècle. (…)Les tirages de l’exposition sont réalisés sur support baryté, viré sépia. Les encadrements et installa-tions utilisent des matériaux (tiroirs, éléments de mobilier, lampes, fenêtres…) qui ont servil’homme, si ce n’est que pour regarder à l’extérieur de « la pauvre chambre d’imagination » et qui unjour ont été abandonnés. » Bruno Wagner
Visite des vestiaires du Théâtre Cricot 2 / 2
Exposition de photographies d’Anne-Laure Czapla
À Cracovie, Tadeusz Kantor a laissé les traces d’un théâtre d’objets confrontant acteurs et figures decire, alors créateur d’une émotion exceptionnelle. L’acteur se démasque sous le masque… Cetteexposition de photographies – représentant les marionnettes et les costumes usés façonnés parKantor – parle de la matière du Théâtre Cricot 2 pour en laisser deviner la texture étrange. Lesobjets comme pris en cachette, en secret, dans leurs casiers de rangement ne s’endorment jamaiscomplètement et continuent à transmettre cette mémoire, cette chambre de l’imagination, crééesur scène par Tadeusz Kantor.
Exposition d’affiches du Théâtre Cricot 2 / 3
Collection La Cricothèque à Cracovie
Traces des spectacles et des œuvres de Kantor, elles racontent le parcours artistique et esthétiqued’un homme de scène(s) incontournable.
DU MARDI 1ER AU SAMEDI 12 JUIN / GRENIER DU CHAPITRE / 1 / 2, FOYER DU THÉÂTRE / 3
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MERCREDI 2 & JEUDI 3 JUIN / FOYER DU THÉÂTRE
L’insolite 93
Conférence de Marie Vayssière« Pour une approche de l’œuvre théâtrale de Tadeusz Kantor »
Marie Vayssière a joué dans les deux derniers spectacles de Tadeusz Kantor et elle fut son
assistante pour Les Classes d’Avignon.
Il s’agit ici de présenter les idées clés et singulières du théâtre de Tadeusz Kantor par des
échanges qui s’appuient sur une large documentation vidéo.
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Scènes de ville
Les festivals / la saison sousle signe de la rencontre :
pour commencer Les visagesfrancophones et le dialogue
des cultures et deslangues / pour finir Les
nuits chavirées : une villedialogue avec des créateursqui eux-mêmes dialoguent
entre eux. Cahors/terres du sud lesoccitans dialoguent avec
l'univers. Une ville en scène :
Divergences et Alfafar dialoguent aux Docks /
Jean-Marie Arnal dialogue avec sa ville et Sébastien Bournac
avec Marivaux…
La deuxième édition du festival Visages Francophones, organisé par la Ville de
Cahors, invite cette année le Vietnam et poursuit sa vocation première d’être le
rendez-vous de la découverte et de la diversité culturelle.
Choisir un pays comme le Vietnam, c’est établir et déguster le dialogue constant
entre tradition et modernité ; c’est également maintenir la double préoccupation
de manifestations populaires et recherche des formes contemporaines ; c’est enfin
garder au plus haut l’exigence de qualité artistique.
Cette démarche, déjà mise en œuvre à l’occasion de
la première édition du festival consacrée au
Liban, a été au cœur de la politique culturelle de
la Ville de Cahors.
Ce sont toutes les formes d’art du Vietnam (des
arts vivants à l’art de vivre) qui viendront habi-
ter la Ville de Cahors ; ses lieux« officiels » de spec-
tacle (Théâtre, Docks, Auditorium) certes mais
aussi des lieux plus ouverts voire plus secrets.
L'association des "Amis du Festival" se chargera
d'animer la ville et de la faire vivre au rythme
quotidien de l'exotisme et de la rencontre.
Visages du Vietnam
VISAGES FRANCOPHONES MARDI 30 SEPTEMBRE AU DIMANCHE 5 OCTOBRE / DANS LA VILLE…
96 Scènes de ville
SAMEDI 8 NOVEMBRE 20H30 / DOCKS CRÉATIONà Cahors
Soirée d’ouverture de la résidence de création. Les danseurs investissent les Docks :
performances, improvisations, installations chorégraphiques… La soirée se ter-
minera par un concert d'Alfafar.
La Compagnie Divergences est accueillie pour une résidence de création avec le groupe
Alfafar avec l'envie d’introduire la danse contemporaine dans l’univers du concert rock, de
créer une sorte de « concert chorégraphique ».
Tout au long de la saison, la compagnie proposera plusieurs rendez-vous autour de cette créa-
tion : répétitions publiques, rencontres avec les publics scolaires, stages. Des ateliers chorégra-
phiques seront destinés aux danseurs amateurs désireux de se perfectionner dans les tech-
niques de l’improvisation : création, recherche chorégraphique, interprétation, composition
(un samedi par mois de 18h00 à 21h00)… Un premier stage est proposé les 8 et 9 novembre de
10h00 à 12h00 et de 14h00 à 17h00. (Renseignements : 05 65 22 86 41.)
Chorégraphes : Dominique Guth et Richard Nadal. Musicien : Alfafar (Franck, Steveet Yann Férant) et Webcam (Frédéric Luneau). Danseurs : Michèle Bazillou, ThérésaBeynon, Christian Chauvet, Marie-Line Depardon, Catherine Desmousseaux, VioletteGuillarme, Dominique Guth, Sylvain Huc, Sarah Latour, Christine Mouret, RichardNadal, Marylin Nicol, Ludovic Parisi, Maria-Dolorès Pascual, Agnès Roudot, PetraRummel, Christine Sabrié, Amélie Viers.
Divergences s’expose Compagnie Divergences & AlfafarDanse et musique contemporaine
Scènes de ville 97
98 Scènes de ville
Que savons-nous de cette ville, de notre ville ? Et si, tout à la fois, elle était une et
multiple ? Et si la même ville contenait et cachait une multitude de villes qui s’en-
tremêlent et se séparent, qui se rencontrent ou s’ignorent, qui surgissent et se suc-
cèdent, qui se croisent et se frictionnent parfois…Quels échos de l’une à l’autre ?
Quelles énergies s’échangent entre les rives ? Quelles émotions assemblent ces
villes le temps d’un instant ?
Ce sont ces questions qui dessinent les lignes de ce spectacle. Conversations grap-
pillées, gestes du quotidien chapardés, scènes de rue détournées, c’est un assem-
blage poétique qui tente d’esquisser de fragiles passerelles d’une ville à l’autre…
Placée sous la direction de Jean-Marie Arnal, metteur en scène. L'équipe artistique est en cours de constitution.
Cette ville dont nous ne savons presque riende Jean-Marie Arnal / Compagnie Gouttes d’eau
VENDREDI 16 & SAMEDI 17 JANVIER 20H30 / THÉÂTRE CRÉATIONà Cahors
SPECTACLE GRATUITSUR RÉSERVATION
Rencontra Occitania/Méditerranéa
Scènes de ville 99
Plan venguda a totes a Caors ! Bienvenue à Cahors !
C'est parti pour être un grand moment, quand le théâtre, la poésie, la musique, les paroles
et les écrits d'aujourd'hui, quand une langue et une culture dessinent les contours d'une
identité en marche, d'une énergie riche d'évolutions où l'air que l'on respire ici n'est pas tout
à fait interchangeable avec celui d'à côté, où l'épaisseur de l'histoire a donné son visage à
une ville et une « certaine » conscience aux femmes et aux hommes. Où les créations du
Grand Sud donnent à « sentir » ce qu'est une identité commune.
Trois jours de gourmandises nécessaires au cours desquels une culture dit à tous, même
à ceux qui ne parlent pas ou peu la langue d'oc, les mondes de l'intime et la grande ruée
des rêves.
Ces journées sont organisées en partenariat étroit et complice avec le Cercle occitan de Bégoux-Cahors. Également, pen-dant ces trois jours, une formation à l'Art du conte (intervenante Thérèse Canet) à destination des divers acteurs de lavie culturelle locale professionnels ou bénévoles : animateurs de bibliothèque, enseignants, animateurs (centres de loi-sirs, maisons de retraite, tourisme) – Inscriptions au Théâtre de Cahors 05 65 20 88 55.
AGORA SUDVENDREDI 23, SAMEDI 24, DIMANCHE 25 JANVIER
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AGORA SUD
(scolaires)10H00 & 14H30 / docks
La pacha del fantastiLe Théâtre
de la Rampe
Lo Fantasti est à la fois un
diable, un ogre, un Drac…
intervenant dans la vie des
humains en se transformant
à volonté aussi bien en objet,
en animal qu'en humain. Ce
personnage de la tradition
occitane est mis en scène
dans des situations fortes aux
dialogues riches. Un spectacle
bilingue pour les plus jeunes.
18H00 / foyer du théâtre
Tolosa / Tlemcem /CordobaExposition
La circulation des idées et des
arts (architecture, sciences,
philosophie, poésie…) s'est
longtemps organisée autour
de cet axe dont l'Histoire a
retenu quelques hauts
moments et qu'on a nommé
civilisation arabo-andalouse.
Les traces de ce qui fut imprè-
gnent encore le présent.
20H30 / théâtre
Les oranges d’Aziz Chouaki
Un homme est là, assis sur le
toit en terrasse de son
immeuble, contemplant le
quartier bruissant de vie
sous le soleil…
L’atmosphère est imprégnée
d'une odeur de menthe et de
musc montant des plantes
fraîchement arrosées dans la
touffeur du soir de la medina.
Le talent d’Hocine Boudjemaa
pour un conte magnifique.
Mise en scène : Francis Azéma. Comédien : Hocine Boudjemaa.
VENDREDI 23 JANVIER / DOCKS, FOYER DU THÉÂTRE, THÉÂTRE…
Scènes de ville 101
10H00 & 12H00 place du marché
PassaCarrieraLa Banda Sagana et
le groupe l’Aubois
Dans la grande tradition
des musiques du sud, cette
fanfare distille une musique
chaude, énergique et inno-
vante, ouverte sur le monde,
où le public est pris à partie
de manière conviviale et
complice.
15H00lieu à préciser
Conférence« Frédéric Mistral,
écrivain d’Oc »
Jean Fourie,Majoral du Félibrige « Cigalo de l’Oulivié »
Dans le cadre des célébra-
tions du centenaire de l'at-
tribution du Prix Nobel de
Littérature à Mistral. Une
conférence abondamment
illustrée (diapos, docu-
ments sonores) par un des
meilleurs spécialistes.
15H00 & 18H00 lieu à préciser
JòcsEspace de jeux
traditionnels
Enfants de 7 à 77 ans sont
invités à découvrir ou redé-
couvrir les jeux tradition-
nels d'autrefois dans un
espace totalement dédié à
la détente et à l'amusement.
Des rencontres inter-âges
et interculturelles à faire en
famille.
SAMEDI 24 JANVIER / PLACE DU MARCHÉ, AUTRES LIEUX…
AGORA SUD
102 Scènes de ville
SAMEDI 24 JANVIER / DOCKS, THÉÂTRE…
AGORA SUD
20H30 / théâtre
Camins d’Oc et d’OltDes troubadours aux créa-
tions actuelles, la culture
occitane inspire et nourrit
les artistes du sud. Poètes,
musiciens, hommes de
scène, écrivains… témoi-
gnent de la vitalité d'une
langue et d'une culture.
Comédiens (sous réserve) : XavierVidal, Jean-Michel Lhubac et legroupe L'Auboi. Acteurs en Joia,Bernard Lubat, André Minvielle,Maire en Filha, Manciet, AndréBenedetto, Claude Alranq,Théâtre de la Rampe, Padena,Alem Surre-Garcia, Las Vespas…
23H00 / docks
Fabulous Troubadours /La BandaSagandaConcert
Tous, jeunes et moins jeunes,
connaissent le groupe tou-
lousain, à la vitalité et à la "
tchatche " débordantes… La
Banda Saganda allume les
scènes avec ses airs tradi-
tionnels parfumés d'afro
jazz pour entraîner dans la
danse et la fête sans fron-
tières. Un concert de feu !
18H00 / docks
Au pays deskess kessPhilippe Rigal & Awa
Troubadour sénégaulois,
Philippe Rigal est le créateur
de la « Rigal word mescla »,
mélange de mémoire quer-
cynoise et de légendes afri-
caines en dialecte d’Africoc-
citanie. Awa, danseuse et
percussionniste sénégalaise,
fait écho de ces rythmes.
AGORA SUDDIMANCHE 25 JANVIER / THÉÂTRE, ESPACE VALENTRÉ…
15H00 / théâtre
Purpan olos viradosde l’astradaSpectacle par la troupe de
théâtre amateur occitan
d'Anglars-Juillac.
17H30 / espace valentré
Xavier Vidalet l’ensembledes groupesde l’AMTPQ*Concert / bal
L'art du bien-vivre ensemble
sera à l'honneur ! Des pla-
teaux-repas sont prévus
pour faire de ce concert-bal
un grand moment de fête.
On mangera, on boira, on
dansera, on chantera, et on
se dira au revoir…
* Association des Groupes
de Musique et Traditions
Populaires en Quercy.
10H00 et 12H00 / théâtre
La créationdans lesPays d’OcRencontre / débat
En présence de tous les
artistes présents pendant
ces Rencontres. Animateur
Alem Surre-Garcia.
Suivi d'un apéritif musical
et festif.
Scènes de ville 103
Imaginons que dans une ville, Cahors par exemple, on demande à des créateurs
d'ici ou de plus loin de s'emparer de certains lieux, pas forcément les scènes habi-
tuelles de représentation, non, plutôt même les plus inattendus : bar, église, appar-
tement privé, rue, musée, commerce, pont, jardin, parking, cave, toit, cour… On
leur propose de faire un spectacle, une performance, un parcours, d'inventer en
fonction même de ces espaces, lectures, happenings, impromptus, cabarets, cho-
régraphies, concerts, petites représentations théâtrales… Un autre impératif : que
soient mêlées différentes disciplines artistiques, musique, chant, danse, vidéos,
marionnettes, peinture… Que tout bouge et se rencontre ! La ville elle-même
devient scène, objet et inspiratrice, les cloisonnements entre les lieux, les arts et les
publics sont abolis, on vit le jour, on vit la nuit, on prend du plaisir, les émotions
sont un droit… C'est cela, Les nuits chavirées !
Les nuits chavirées
JEUDI 17 AU DIMANCHE 20 JUIN / DANS LA VILLE…
LES NUITS CHAVIRÉES
104 Scènes de ville
JUIN 2004 / DANS LA VILLE…
Scènes de ville 105
Quelle occasion formidable, pour explorer les multiples visages de l'œuvre de
Marivaux, leur diversité formelle et thématique, d’investir un territoire et d’y ins-
crire ma démarche artistique : tisser des liens, inventer des résonances et des cor-
respondances entre une œuvre, un auteur, une ville et sa population. » S. Bournac
Ce projet s’adresse à tous ceux qui habitent cette ville et ses environs : amateurs de
théâtre, non-acteurs, étudiants, personnes âgées, enfants et ados, infirmières, ban-
quiers, vignerons, professeurs, agriculteurs, musiciens et danseurs, ouvriers,
cadres supérieurs, artisans…
Règles du jeu : Choisir un fragment de l’œuvre de Marivaux - Choisir ensuite un lieu
de la ville - Inventer une petite forme insolite ou décalée - Rassembler au mois de
juin 2004 toutes les pièces de ce puzzle Marivaux à travers la ville, théâtre utopique
où se jouera cette comédie humaine…
Coordination artistique : Sébastien Bournac
Matériaux MarivauxTabula Rasa Compagnie
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MARDI 16 DÉCEMBRE / TNT
La vie est un songeDe Pedro Calderon de la Barca
La vie est un songe, c'est une tragédie sur le cycle
de la vie. Le fils héritier, condamné par la sen-
tence d’un oracle, revient au palais et reconnaît
son père. Dans ce conflit obsessionnel entre
père et fils, Calderón nous rappelle que si
l’homme renonce à la volonté de transmettre, il
est condamné au chaos, ne suscitant alors
qu’appétit et désir despotique où règnent les
ténèbres, les oracles et les erreurs.
Mise en scène : Guillaume Delaveau. Texte français : CélineZins. Comédiens : Thierry Bosc, Jean-Claude Jay, RégisLaroche, Françoise Lebrun, Régis Lux, Fabrice Pierre,Agathe Rouillier, Ismaël Ruggiero. Scénographie : AurélieThomas. Lumière : Cyrille Siffer. Son : Aline Loustalot.Costumes : Aurélie Thomas et Françoise Busolini.Coproduction : TNT / Espacedes Arts – Chalon sur Saône /Théâtre Nanterre – Amandiers/ Le carreau – Scène nationalede Forbach et de l’est mosel-lan / Compagnie X ici.
MARDI 16 MARS / TNT
La cerisaieD’Anton Tchechov
La Cerisaie. Un verger d’une tendre blancheur, le
précieux jardin d’autrefois, un abri hors du
siècle. Et là, douze existences entrelacées - une
mère, son frère et ses deux filles, quelques
domestiques, un voisin, un étudiant, un fils de
moujik entré dans les affaires. Une célébration
du temps, un poème mélancolique sans com-
plaisance, d’une sombre légèreté, autour d’un
jardin invisible et promis à la destruction.
Mise en scène : Georges Lavaudant. Traduction : AndréMarkowicz et Françoise Morvan. Dramaturgie : DanielLoayza. Comédiens : la Troupe de l´Odéon. Décors et cos-tumes : Jean-Pierre Vergier assisté de Brigitte Tribouilloy.Production : Odéon-Théâtre de l´Europe.
SPECTACLES EN ASSOCIATION AVEC LE TNT (THÉÂTRE NATIONAL DE TOULOUSE)Le théâtre de Cahors propose à cinquante de ses abonnés d’aller en bus au TNT
Informations et réservations : 05 65 20 88 60T N
T
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éalisées en marge de la programmation, les actions culturelles sont l'oc-casion et le cadre de rencontres plus approfondies avec les publics. Lamise en place d'un SERVICE DE L'ACTION CULTURELLE a fait en sorte
qu'un des objectifs majeurs de l'action culturelle de la ville trouve là son affir-mation la plus ferme.Des ACTIONS DE SENSIBILISATION seront développées, notamment endirection des publics scolaires et des jeunes en général, va-et-vient per-manent entre le Théâtre et la cité, entre les artistes et les spectateurs,courant continu d'échanges et de rencontres.Un COMITÉ DES SPECTATEURS a été installé ; il sera conforté et associéencore plus étroitement à la vie du Théâtre. N'hésitez pas à le renforcer !Des VISITES GUIDÉES sont organisées tout au long de l'année. Plaisir dedécouvrir « l'envers du décor » ou plus précisément en liaison avec la pro-grammation, elles sont gratuites et ouvertes sur simple demande.Le soutien au PERFECTIONNEMENT DES PRATIQUES AMATEURS sera pour-suivi et amplifié. La présence à Cahors, durant la saison, de créateurs detalent fournira l'occasion d'un contact fructueux avec tous ceux qui sou-haitent approfondir leur pratique. Un partenariat étroit avec le ComitéDépartemental du Théâtre Amateur et en liaison avec l'ADDA du Lot et leThéâtre de la Digue de Toulouse a été mis en place pour offrir un cycle deformation et de réflexion.
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ACTIONS CULTURELLES
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PLAN SALLE
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LES TARIFS GÉNÉRAUX :Placements/catégories plein tarif tarif réduit *■ Parterre & 1er balcon 17 € 10 €■ Strapontins (parterre) 10 €■ 2e balcon de face & 1er balcon de côté 14 € 8 €■ 1er balcon extrémités & 2e balcon de côté 7 €Enfants (moins de 12 ans) 7 €Scolaires (gratuit pour les accompagnateurs) 5 €
LES TARIFS SPECTACLES JEUNE PUBLIC : 3 €Le spectacle « Chanson pour quatre saisons » est gratuit pour les scolaires.
LES TARIFS PARTICULIERS :« Hors les murs » (spectacles à l’auditorium et aux docks) plein tarif tarif réduit *
12 € 10 €
LES TARIFS GROUPES :À partir de 10 personnes (comité d’entreprise) la place■ Parterre & 1er balcon de face 14 €■ 2e balcon de face & 1er balcon de côté 10 €
LES TARIFS ABONNEMENTS :■ Abonnement « complicité » (parterre & 1er balcon de face)
minimum de 4 spectacles au théâtre (15 € la place) + 1 « Hors les murs » (10 € la place)■ Abonnement « paradis » (2e balcon de face & 1er balcon de côté)
minimum de 4 spectacles au théâtre (10 € la place) + 1 « Hors les murs » (10 € la place)■ Abonnement « jeune » (étudiants et moins de 25 ans)
minimum de 3 spectacles au théâtre (7 € la place)■ Abonnement « passeport » (parterre & 1er balcon de face)
minimum de 12 spectacles au théâtre (10 € la place) + 3 « Hors les murs » (10 € la place)
* moins de 25 ans, étudiants, RMIstes, CES, chômeurs de longue durée, minimum vieillesse
Dans le cadre d'une politique d'échanges et afin de favoriser la circulation des spectateurs en région Midi-Pyrénées, les abonnés du Théâtre de Cahors bénéficieront pour la saison 2003/2004 du tarif adhérent duThéâtre de la Digue et du CDC (sur présentation d'un justificatif à nous demander).
TARIFS
• AU THÉÂTREPour les abonnements :
- du lundi 7 au vendredi 18 juillet 2003
- du mercredi 8 octobre à la fin de la saison
Pour les billets à l’unité :
- À partir du mercredi 8 octobre pour les spectacles compris entre le 16 octobre 2003 et le 31 janvier 2004
- À partir du lundi 15 décembre 2003 pour les spectacles compris entre le mercredi 4 février et le samedi 5 juin 2004
Des quotas de places seront réservés aux nonabonnés pour les spectacles.
• PAR TÉLÉPHONE (05 65 20 88 60)
- À partir du mercredi 8 octobre, du lundiau vendredi de 13h30 à 18h00
Toute réservation par téléphone devra être régléedans les 48 heures, passé ce délai les placesseront remises à la vente.
Les abonnements ne seront pas pris par téléphone.
• PAR COURRIER- Remplir, découper et renvoyer
le formulaire (pages 111 & 112) d’abonnement à :Théâtre de Cahors - service LocationPlace François-Mitterrand - 46000 CAHORS
- Joindre au bulletin le règlement, par chèque uniquement, à l’ordre du Trésor Public.
- Les billets peuvent être retirés à la billetterie du théâtre ou vous êtreenvoyés par courrier en recommandé avec accusé de réception (supplément de 5 € pour frais d’envoi).
- Le soir de la représentation la billetteriesera ouverte sur le lieu du spectacle1 heure avant le lever de rideau.
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INFORMATIONS PRATIQUES / RÉSERVATIONS
Heures d'ouverture saison 2003-2004 : du lundi au vendredi de 13H30 à 18H00
Place François-Mitterrand - 46000 CahorsTéléphone billetterie : 05 65 20 88 60
Téléphone administration : 05 65 20 88 55Fax : 05 65 23 95 16
www.mairie-cahors.fr/theatre
réservations / billetterie T h é â t r e d e C a h o r s
BULLETIN D’ABONNEMENT - saison 03/04
✂abonnements (voir page 108)
« complicité » « padadis » « jeune » « passeport »Nbre d’abonnements : Nbre d’abonnements : Nbre d’abonnements : Nbre d’abonnements :
dates spectacles24 & 25 octobre Fa 5e, le cri de l’ange x 15 € x 10 € x 7 € x 10 €
04 novembre Tchernobyl x 10 € x 10 € •••••••••• x 10 €07 novembre Todo esto por amor x 15 € x 10 € x 7 € x 10 €20 novembre La double inconstance x 15 € x 10 € x 7 € x 10 €28 novembre Les sea girls / Les fouteurs de joie x 10 € x 10 € •••••••••• x 10 €11 décembre Le petit travers x 15 € x 10 € x 7 € x 10 €19 décembre Caf’conc’Hervé x 15 € x 10 € x 7 € x 10 €08 janvier Nuit d’orage sur Gaza x 10 € x 10 € •••••••••• x 10 €14 janvier Celle qui marche x 10 € x 10 € •••••••••• x 10 €28 janvier Amphitryon x 15 € x 10 € x 7 € x 10 €31 janvier Flon flon x 15 € x 10 € x 7 € x 10 €06 février Woyzeck x 10 € x 10 € •••••••••• x 10 €24 février La nuit des rois x 15 € x 10 € x 7 € x 10 €27 février Le songe d’une nuit d’été x 15 € x 10 € x 7 € x 10 €02 mars Ni sombra de lo que fuimos x 15 € x 10 € x 7 € x 10 €10 mars Ya basta x 15 € x 10 € x 7 € x 10 €18 mars Bernard Cavanna x 10 € x 10 € •••••••••• x 10 €20 mars Phiphi x 10 € x 10 € •••••••••• x 10 €23 mars Comme à Ostende x 15 € x 10 € x 7 € x 10 €25 mars Le grand théâtre x 15 € x 10 € x 7 € x 10 €27 mars La Princesse de Clèves x 15 € x 10 € x 7 € x 10 €30 mars Lettres de motivation x 15 € x 10 € x 7 € x 10 €1er avril Mémoires d’un rat x 15 € x 10 € x 7 € x 10 €03 avril La femme coquelicot x 15 € x 10 € x 7 € x 10 €21 avril Feu l’amour x 15 € x 10 € x 7 € x 10 €25 avril La puce à l’oreille x 15 € x 10 € x 7 € x 10 €30 avril Mônica Passos x 15 € x 10 € x 7 € x 10 €06 mai Alto solo x 10 € x 10 € •••••••••• x 10 €01 juin Le traité des mannequins x 10 € x 10 € •••••••••• x 10 €03 juin En attendant Godot x 15 € x 10 € x 7 € x 10 €05 juin Par la taille x 15 € x 10 € x 7 € x 10 €
Informations complémentaires : - Un unique bulletin peut être utilisé pour la commande de plusieurs abonnés domi-
ciliés à la même adresse et choisissant les mêmes spectacles aux mêmes dates. - Les abonnements sont nominatifs et incessibles.- Le nombre de places par spectacle choisi ne peut-être supérieur au nombre d’abon-
nement souscrits. Joindre au bulletin d’inscription le règlement par chèque unique-ment à l’ordre du Trésor Public accompagné des justificatifs pour l’abonnement jeune.
Conformément à l’article 27 de la loi Informatique et libertés, vous disposez d’un droit d’accès et de rectification des données vous concernant dont nous sommes seuls destinataires.
à compléter Nom : ........................................ Prénom : ......................................
Adresse : ..........................................................................................
Code postal : .............................. Ville : ..........................................
Tél. : .......................................... Fax : ............................................
Total 1 + 2 + 3 + 4 : ............................ €
+ 5 € si frais d’envois : ...................... €
TOTAL GÉNÉRAL : ................................ €
Total 1 : ........€ Total 2 : ........€ Total 3 : ........€ Total 4 : ........€
NOTES
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Conception graphique : François Cadart (05 65 23 91 64 / Cahors) ;Photogravure (sauf pp. 6, 10, 24, 42, 44, 48, 50, 62, 70, 86, 88, 93, 100, 104, 106) :Colorys (05 65 53 24 46 / Cahors) ; Impression : EscourbiacImprimerie (05 63 42 84 00 / Graulhet) ; Illustrations & Créditsphotographiques : François Cadart, 1ère de couverture, pp. 1, 2, 3,4/5, 26/27, 40/41, 56/57, 66/67, 78/79, 84/85, 94/95, 99/104(fond), 105, 4e de couverture ; Bruno Wagner, p. 6 ; Éric Didym, p. 8 ;Charles-Édouard Maisonabe, p. 10 ; Arène Théâtre, p. 12 ; PriscillaTelmon, p. 14 ; Compagnie Casalibus, p. 16 ; Gutiérez-Tamayo, p. 18 ;J.-P. Guimbretière, p. 20 ; Bruno Dewaele, p. 22 ; Anne-FrancePapazian, p. 28 ; Denis Rochard, p. 30 ; Brigitte Enguerand / AgenceEnguerand, p. 32 ; D.R., p. 34 ; Christian Bamale, p. 38 ; Magritte /Otto Dix, p. 42 ; Laurent Paolini, p. 44 ; Sylvain Gripoix, p. 44 ;Ramon Serena / Agence Bernand, p. 46 ; Sthéphane Pacho, p. 48 ;Isabel Muños, p. 58 ; Patricia Arminjon / Programme & Presse natio-nale, p. 60 ; Lajos Somlosi, p. 62 ; Nouvelles images, p. 64 ; BrunoVallet, p. 68 ; Pierre Lasvennes, p. 70 ; Compagnie Pupella Noguès,p. 72 ; Bruno Descouings, p. 74 ; Philippe Laliard, p. 80 ; Aude Poiret,p. 82 ; David Anémian / Déclics et des claps, p. 86 ; Bogdan Axman,p. 88 ; Bruno Wagner, p. 93 ; Anne-Laure Czapla, p. 93 ; LucaInvernizzi Tehoni, p. 96 ; Nelly Blaya, p. 97 ; Guillaume Rivière,p. 97 ; Patricia Tastet, p. 100 ; Goya, p. 106 ; Laure Vasconi, p. 106.
L’équipe du Théâtre de Cahors
Directeur José Sobrecases
Équipe administrative Cécile Arthuis, Sophie Camilotto,
Anne-Laure Czapla, Françoise Galou,Olivier Gomy, Christine Mouret
Équipe technique Yannick Bouzou, Cyril Comte, Arnaud
Delgado, Florent Érasme, Florent Garcia
Les partenaires du Théâtre de Cahors
La Direction Régionale des AffairesCulturelles de Midi-Pyrénées
Le Conseil Régional de Midi-Pyrénées
Le Conseil Général du Lot
La Caisse d’Épargne de Midi-Pyrénées,Direction Quercy-Lomagne
Les hôtels Kyriad & La Chartreuse
Saison 2003/2004
T h é â t r e d e C a h o r s
Ministère
Cu
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Direction régionaledes affaires culturelles
Midi-Pyrénées
Tél. 05 65 20 88 55 - Fax : 05 65 23 95 16 - www.mairie-cahors.fr/theatre
Zygomatiques
« Muscles rubanés qui s'étendent obliquementde la pommette à la commissure des lèvres, qu'ils relèvent
en se contractant (notamment dans le rire). » Le Robert
À assouplir et travailler.Seront souvent sollicités au cours de la saison.