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Edito

PAGE DE GARDE-FOU

Même s’il est placé en premier, l’édito sera écrit en dernier pour cette fois. Pour le premier numéro

de notre reboot de The404. Perso j’ai bien galéré pour certains trucs. Mais c’est l’avantage de

travailler en équipe, les talents des uns viennent palier aux défauts des autres. Et finalement, dans

notre cas, ça donne ça : 14 pages colorées, avec des choses qui nous tiennent à cœur.

On a voulu reprendre le travail déjà effectué sur The404 il y a quelques temps déjà, mais à notre

sauce, comme si ils nous avaient passé le flambeau en quelque sorte, sauf qu’il s’est écoulé un peu

de temps donc du coup bah, on remet un coup de jus à la machine, pour montrer qu’elle repart de

plus belle.

La vraie question est vers où ça va nous mener. Est-ce qu’on va réussir à respecter les délais sans

s’engueuler ? Est-ce qu’on va se faire éclater parce qu’on a pondu un truc qui plaît à personne ? Pour

le moment on n’en sait rien évidemment, mais ce premier numéro a été fait avec ce qu’on sait faire,

on a voulu faire un truc qui nous plaît, donc qui nous ressemble, et si vous, lecteurs, y adhérez, alors

y a moyen de faire un truc de malade. Et puis si vous n’y adhérez pas, bah y a toujours moyen de faire

un bon feu de camp sponsorisé par The 404. Tant qu’à faire, autant servir à quelque chose !

D’ailleurs, petit lecteur, oui je te vois toi qui est allé si loin dans cet édito, bravo à toi. Eh bien, pour

être allé si loin, j’aimerais te donner...non en fait j’ai un service à te demander. N’hésite pas à dire ce

que tu as pensé de ce numéro. Parce qu’il y a une chose qui est sûre, c’est que ce numéro est un

pilote (oui comme une mauvaise série américaine, tu as tout compris !) donc qu’il y aura encore

besoin de faire quelques petits réglages sur le prochain, et c’est grâce à toi que nous pourrons

améliorer notre formule (et non, donner de la bouffe aux lecteurs n’est pas une amélioration de

notre formule, je te vois venir petit scarabée !). Et d’ailleurs, si tu as envie e faire partie de l’équipe,

n’hésite pas non plus à soumettre un article. Il sera traité avec respect et franche rigolade, je puis te

l’assurer.

Bien, sur ce, je vous laisse lire ce premier numéro de notre 404 en espérant que ces quelques mots

ne vous ont pas déjà fait partir…

El Tortillas de la Muerte

Sommaire :

-Page 1 : Edito, Sommaire, Blaguounette du mois

-Page 2 à 3 : Articles centrés sur la technologie

-Page 4 à 5 : Articles plus généralistes

-Page 6 à 10 : Chroniques

-Page 11 à 12 : Coin Ciné, Casse-têtes & Crédits

La blague du mois :

« Quand la vie apporte des questions, Google donne les réponses. » Jeezyix

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Articles Tech

ARTICLES TECH

L’AGDQ

Ce mois de Janvier a été marqué par de nombreux évènements, tant au niveau économique, politique que culturel. Cependant, avez-vous regardé l’AGDQ ? Non pas l’âgée des culs, mais l’AGDQ… Vous ne savez pas ce que sait ? Laissez-moi vous expliquer. Derrière un acronyme assez barbare, se cache une idée au grand cœur; La GDQ (nom utilisé en général) signifie Games Done Quick. Comme son nom l’indique, c’est une sorte de tournoi auquel les meilleurs speedrunners du monde sont conviés. Quel est la récompense ? Aucune, ces speedrunners, ne reçoivent absolument rien, si ce n’est la gratitude des spectateurs… « Quelle est l’utilité ? » me direz-vous… La GDQ, est à proprement parler, une série d’élans de solidarité mise en avant par tous les speedrunners talentueux conviés pour l’occasion, des dons ont été reversés à diverses fondation / associations tel que la Fondation pour la prévention du Cancer L’AGDQ (Awesome Games Done Quick) s’est clôturé le 10 Janvier, après avoir débuté le 4 Janvier. Cette année, après plus de 160 heures de speedrun, le montant final a été de $1'575'000, soit environ 1, 219,050 €, qui ont été gracieusement reversés à la Fondation pour la prévention du cancer.

Loux

HoloLens

Avouez-le… Après avoir vu un bon film de SF avec des hologrammes, vous avez toujours rêvé que la même chose puisse se produire dans la vie réelle. Si c’est le cas, cet article devrait vous plaire, sinon, je vous encourage à le quitter...

Comme vous le savez certainement si vous suivez de près Microsoft (Si vous êtes plus un « Apple Fan » vous pouvez également partir :D ), la firme américaine a récemment tenu une conférence pour présenter les projets et les nouveautés prévues pour cette belle année qu’est 2015. Lors de cette conférence, Windows 10 et ses fonctionnalités que je vous présenterai plus tard ont été dévoilées. Cependant, le point d’orgue de cette conférence a été la présentation d’un projet de lunettes/ casque développé en secret avec la NASA, fonctionnant par Réalité Virtuelle (Même technologie que l’Oculus Rift) et permettant à l’utilisateur de faire apparaitre des

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hologrammes dans l’environnement de l’utilisateur. Bien qu’elle semble quelque peu exagérée/utopique, je vous laisse ci-joint la vidéo de présentation que Microsoft a utilisé : Bien que la nouvelle soit importante pour le secteur technologique

et pour l’évolution de nombreux domaines, il ne faudrait pas oublier

la dernière sortie « révolutionnaire », c’est-à-dire « Kinect »… Pour

vous convaincre, je vous propose de regarder la vidéo de

présentation de Kinect à l’époque de sa sortie et de la comparer

avec la vidéo de l’HoloLens. Espérons juste que cela n’est pas une

coïncidence…

Loux

Chaque mois, M.Clickmolette vous offre ses « protips » d’informaticien. Attention, vous risqueriez

d’apprendre des choses !

« En cliquant avec la petite molette de la souris (ou bouton n°3 pour les intimes), située entre le clic

gauche et le clic droit, sur un lien internet (ou hypertexte, toujours pour les intimes) vous pouvez

ouvrir un nouvel onglet sur votre navigateur ! »

« Saviez vous que lorsque vous appuyez en même temps sur Ctrl, Shift et Echap, vous pouviez

ouvrir directement votre gestionnaire de tâches ? Idéal lorsqu’il vous prend une envie de tout

fermer d’un coup ! »

M.Clickmolette

Mais qui est en réalité M.Clickmolette ?!

Réponse, peut-être, dans un prochain numéro...

ARTICLES TECH

La minute nécessaire de

M.Clickmolette

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Articles généralistes

Le sport en France en Février On sera d’accord pour dire que le sport c’est cool, mais quand on est chauvin, c’est encore mieux ! Parlons donc de ce qu’il s’est passé d’important dans ce dernier mois. Ne vous formalisez pas si je ne parle pas de tout, j’essaie d’être omnisport et puis sinon bah formalisez-vous, je m’en lave les mains avec une théière islandaise ! Alors, tout d’abord parlons du handball. En début de mois, les Indestructible (l’Equipe de France en fait) a remporté son cinquième championnat du monde face au Qatar (22-25) et est désormais seule à en posséder autant. Le fait qu’ils nous y aient habitué ne change en rien leur exploit, ils sont nettement sur une autre galaxie en terme de palmarès. Sachez sinon qu’en fin de mois se déroulait les championnats du monde de cyclisme sur piste, à Saint-Quentin-en-Yvelines et que François Pervis, après son triplé en or de l’année dernière est « seulement » reparti avec un doublé cette année (sur le kilomètre et le keirin —> QR code pour plus d’infos sur le keirin). A noter aussi la médaille d’or du trio de vitesse par équipe suite au déclassement des Néo-Zélandais (pour un mauvais passage de relais). Bravo à eux, cela n’enlève rien à leur performance : le respect des règles est primordial pour être champion. Ah on me signale d’ailleurs dans l’oreillette que Renaud Lavillenie est toujours perché au-dessus des 6 mètres. Avec 6,01 mètres il reprend sa ville, Clermont Ferrand à Serguei Bubka en terme de record sur le lieu. Le recordman du monde ne compte pas s’arrêter là ! Notons aussi le titre mondial de Jean-Baptiste Grange en slalom. C’est un exploit pour ce skieur qui revient de longues blessures sur plusieurs années. C’est son deuxième titre (après celui de 2011) et il ne l’a pas volé ! Et pour finir, sachez qu’en ce moment se déroule le tournoi des Six Nations et que la France est en excellente position pour décrocher…la cuillère de bois, c’est-à-dire la dernière place. Plus sérieusement, il reste deux matchs au XV de France pour se rattraper mais le titre pour cette année semble encore une fois compromis. Les résultats semblent en tout cas d’assez mauvaise augure en prévision de la coupe du monde qui arrivera d’ici quelques mois.

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ARTICLES GENERALISTES

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La crise du Franc Suisse (en 2 minutes chrono)

A la base je voulais parler de politique, mais je me suis dit que personne me lirait…surtout que l’actu politique du moment c’est Hollande et Valls qui boivent des binouzes au salon de l’agriculture. Bon, je plaisante, il y a plein de choses à dire, mais je vais plutôt parler un peu d’économie…Attendez ! Attendez ! Ne partez pas tout de suite ! Je sais que les cours de M. Gaillard ne sont pas vos préférés mais ne vous inquiétez pas, je vais essayer de mettre des blagues, promis. Frontaliers de votre état (oui, ce journal est destiné à des Annéciens, forcément), vous avez probablement entendu parler à la mi-janvier d’un problème de plancher à la bourse suisse. Non, aucun tremblement de terre à signaler, juste que pour faire simple, en 2011, la BNS (Banque Nationale Suisse) a dit « Ok, nous, on n’ira pas plus haut : 1,20 Franc Suisse ça fait 1€, un point c’est tout ». En pratique, ils ont été obligés de payer les banques commerciales (qui sont en relation avec des particuliers comme vous et moi) afin de conserver de l’argent suisse dans la Banque. Bref, ce plancher a craqué…enfin, plutôt ce plafond. On parle de plancher mais, le but de la limite imposé par la BNS est que la monnaie suisse ne s’apprécie pas trop par rapport à l’euro - en gros que le cours de la monnaie baisse et donc qu’il faille plus d’euros pour acheter un franc suisse, exemple : si 1€=1CHF et que le cours du CHF baisse à 1€=0,5CHF, il faut 2€ pour avoir 1 seul CHF. Le cours baisse, mais le « prix » de la monnaie flambe. Et c’est ce qui s’est passé : d’un coup, aux alentours de la mi-journée du 15/01, la BNS a abandonné ce plancher. Elle pensait qu’il n’y aurait pas de spéculation sur sa monnaie si elle ne touchait plus à rien, et soudain c’est la porte ouverte à toutes les fenêtres avec par exemple des taux à 0.78 CHF pour 1€ (le record apparemment). Du coup, pour exporter, c’est plus compliqué : les prix des produits suisses ont flambés d’environ 30% (ce qui a fait monter au créneau le PDG de Swatch par exemple). C’est d’ailleurs en partie pour que leurs exportations restent compétitives qu’ils avaient instauré ce cours plancher. (Pour plus d’explications sur ce fameux plancher, regardez le QR Code à droite) Exemple : Admettons que l’on veuille acheter une chaise qui coûte 120CHF. Avec 100€ en poche, c’est suffisant. Mais après l’effondrement du cours (prenons le moment record où 0,78CHF=1€) on est obligé de débourser environ 154€ pour la même chaise qui coûte 120CHF. C’est la magie des

fluctuations boursières. Mais cela marche aussi dans l’autre sens. Un frontalier qui travaille en suisse et qui va convertir son salaire aura gagné environ 30% de plus sans rien faire. Ça c’est rentable ! En tout cas, pour essayer de faire revenir à la hausse le cours de sa monnaie, la BNS a décidé de drastiquement baisser ses taux d’intérêts dans le but de dissuader les banques de déposer de l’argent auprès d’elle et d’investir ailleurs. En espérant ne pas avoir dit trop de bêtises….

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ARTICLES GENRALISTES

Articles généralistes

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Chronique Animé

Qui dit nouvelle année qui commence dit nouvelle saison d’animés ! En cet hiver, l’animation japonaise nous réserve son lot de nouvelles séries, dont la plupart s’avèrent être des ecchi et des harem. Eh oui, parce qu’il est devenu mainstream d’adapter des shonen (et surtout parce qu’il est dur de le faire en ce moment avec un manga possédant un scénario digne de ce nom), les studios décident de s’en mettre plein les fouilles : quoi de mieux que d’attirer le public masculin avec des femmes au corps de rêve et aux pastèques de dix kilos ? Vous l’avez probablement deviné avec cette dernière phrase : vous allez en manger du fan service cette saison ! En tant qu’otaku, il est de mon devoir de me ruer sur les nouvelles sorties, et ce n’est pas sans danger : il arrive, comme à chaque fois en fait, de tomber sur le flop du moment, vous torturant l’esprit avec de la philosophie, de l’amitié, du fan service sans aucun sens, un scénario chaotique voire absent, et, cerise sur le gâteau : un character design dessiné avec les pieds. Mais dans cette jungle d’animés, il arrive de tomber sur des perles, et heureusement d’ailleurs. Je vais éviter, pour des raisons que vous connaissez bien, de trop parler des ecchi. On attaque avec le premier animé en cours, s’intitulant Ansatsu Kyoushitsu :

Ansatsu Kyoushitsu (en anglais : Assassination Classroom), raconte l’histoire d’une classe de mauvais élèves, mise à l’écart des autres (de tous les bon élèves en somme). Il s’agit de la classe 3-E. Celle-ci se retrouve installée au beau milieu de nulle part, loin du bâtiment principal. En parallèle, un alien, aux allures de pieuvre et pouvant se déplacer à Mach 20, détruit 70% de la Lune, et annonce vouloir faire de même avec la Terre. Mais contre toute attente, celui-ci laisse un délai d’un an, et souhaite devenir le professeur principal de la classe 3-E pendant ce laps de temps. Le gouvernement met tout en œuvre pour éradiquer cette menace, et pour le faire avec discrétion, accepte non seulement la proposition de l’extraterrestre, mais va aussi former les élèves de la classe 3-E à l’assassinat, du fait de leur isolement. Ce manga avait déjà eu une adaptation en Octobre 2013 : il s’agit d’un OAV d’environ 30 minutes, mettant en scène le voyage de la classe 3-E à Kyoto. Cela vaut le coup de le regarder, car l’humour y est fortement présent. Pour ce qui est de l’anime, les dessins sont assez colorés, et mettent en place une ambiance assez chaleureuse et cartoonesque. Le character-design, quant à lui, reste plutôt classique. Les épisodes, jusque-là, suivent relativement bien les tomes, l’histoire avance normalement. On peut noter aussi l’ajout de la mascotte de l’école, Kunudon, absent à l’origine dans le manga, et dont on pourrait largement se passer. Le point fort de cet animé : les situations. Elles laissent place à l’humour, entraîné par des personnalités propres à chaque personnage, surtout celui de Kuro-sensei. De ce fait, l’action n’est pas mise au premier plan, mais il y en a (rappelons le : on a affaire à une classe d’assassins). Il serait dommage de passer à côté d’un tel animé puisque, à mon goût, il s’agit du meilleur que l’on puisse trouver cette saison.

CHRONIQUES

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L’autre animé dont je vais parler s’appelle Death Parade :

Toutes les personnes qui meurent, avant d’aller au Paradis ou en Enfer, passent par une étape intermédiaire. Elles sont amenées dans un bar, pour vivre leurs derniers instants. Mais ce bar est aussi un endroit où elles seront jugées par les « arbitres » qui tiennent les lieux. Comment ? En jouant à un jeu choisi au hasard sur une roulette (billard, fléchettes, bowling, etc). Cependant, elles ne pourront pas passer leur temps à s’amuser tranquillement : le but pour les arbitres est de pousser la situation à son extrême, afin de révéler la noirceur de l’âme des défunts. A la fin, ils pourront décider si la personne se réincarne dans un autre corps, ou si celle-ci doit aller en Enfer. Globalement, cet animé est assez sympa. De part un character design assez peu commun et bien fait, et des décors en majorité sombres, l’animé nous parle principalement des relations humaines, ce qui le rend intéressant. On y décerne même les vices de l’Homme, quand la véritable personnalité des personnages se révèle lors des jeux. Vous pouvez vous amuser à les juger vous-même dès le début de l’épisode, car en général, le fait d’observer leurs souvenirs d’avant leur mort peut être surprenant. L’animé est donc psychologique, à la fois triste et joyeux, et possède une petite touche d’humour, bien que ce ne soit pas le côté mis en avant. On lui reproche cependant une certaine redondance : une fois que vous avez compris le concept au bout de 2 ou 3 épisodes, il est facile de schématiser comment va se dérouler le suivant. Il vaut tout de même largement le détour parmi ce qu’on nous sert cette saison.

Ces avis sont 100% subjectifs : je ne peux que vous conseiller d’aller voir les animés cités plus haut pour vous forger votre propre opinion. Et n’oubliez pas, comme le disait Molière : « le fan service, c’est comme cette citation : on s’en fout ».

Potato-kun

Aujourd’hui :

MASS EFFECT VS BORDERLAND

Le but de cette chronique “THE VERSUS”, est de comparer deux jeux du même style (RPG, FPS, MOBA, etc..). Pour ce premier versus, je ne vais pas parler de célèbres conflits, à savoir League Of Legends / DOTA 2 ou encore Call Of Duty / BattleField (un jour, peut-être...). Je vais parler de deux sagas tournées Action-RPG et FPS, qui sont Borderlands et Mass Effect. Pour ceux qui ne connaissent pas, voici un petit point rapide sur chaque jeu :

The VERSUS

CHRONIQUES

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Dans Mass Effect, vous êtes le commandant Shepard, et vous allez devoir sauver le monde de la menace des Moissonneurs, race que l'on pensait éteinte (mais qui n’est pas si éteinte que ça…), et qui veut (évidemment) anéantir l’humanité, mais aussi tous les extraterrestres, donc plus généralement, toute vie pensante et vivante dans la galaxie (et au-delà !), le tout sur 3 épisodes qui vous prendront environ entre quarante et cinquante heures de jeu chacun (si vous faites toutes les quêtes secondaires). Le premier opus est très réussi pour l'époque, munitions illimitées à surchauffe (comme les armes covenant sur Halo), grande action sur les dialogues, etc. Le deuxième est encore mieux ! Passage à des munitions classiques, beaucoup plus de pouvoir sur le contrôle des dialogues, quête principale plus longue que sur le premier opus etc.. Le trois a beaucoup plus été centré sur l'action. Beaucoup moins d'incidence sur les dialogues, mais les conséquences des choix pendant les dialogues sont beaucoup plus grandes, un gameplay plus élaboré (possibilité de se cacher, capacité à faire des roulades etc..) que l’on ne retrouve pas dans les précédents opus (surtout le 1) et histoire beaucoup plus prenante : vous devez maintenant réunir une armée pour combattre la menace, et pour ce faire, vous devrez faire des choix d'alliance, et remplir des missions secondaires pour mener à bien les négociations…

Ensuite, dans Borderlands, vous incarnez un des quatre Chasseurs de l’Arche dans le but de trouver...une Arche justement, qui renfermerait tous les trésors de l’univers, sur une planète fictive nommée Pandore (non non, pas comme dans Avatar), le tout en vous faisant aider par les autochtones pour combattre la faune hostile de la planète (et beaucoup d’autres ennemis). Pour le moment, deux opus sont sortis, et un troisième, à peine annoncé, est en grande préparation. Comptez environ plus d’une cinquantaine d’heures pour chaque opus, avec les quêtes secondaires nécessaires à votre survie. Pour le premier Borderlands, nous avons un bel open-world vaste, des graphismes avec un style dessin animé, et le must : un générateur d’arme aléatoire, ce qui faisait du premier Borderlands le jeu qui avait plus de 800 000 armes différentes ! Pour le reste, des ennemis partout, des armes partout, bref, il y a de tout partout ! Le deuxième n’a pas trop changé, même si le nombre d’armes est passé de 800 000 à 1 million (plus, toujours plus !), toujours les mêmes graphismes et le même gameplay, car comme on dit, on ne change pas une recette qui fonctionne !

VS

CHRONIQUES

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Passons dès à présent au versus ! Pourquoi choisir Mass Effect ? Pourquoi choisir Borderlands ? Pourquoi pas les deux ? Et pourquoi pas aucun ? Voyons de plus près... Pour les armes, Mass Effect a eu plusieurs systèmes (3 en tout, un dans chaque opus), le premier où l’on trouve une arme qui a des caractéristiques bien précises (dégâts, précision, etc..) améliorable avec 2 types de mods, le deuxième améliorable via le laboratoire du vaisseau, et seulement jusqu’à 3 armes différentes par type (fusil d’assaut, pistolet mitrailleur, sniper etc..), et le dernier, avec, là aussi pas beaucoup de possibilités d’armes différentes par type, mais customisable avec des mods (les mods, le retour !) pour une plus grande puissance, ainsi qu’une possibilité d’acheter des améliorations pour l’ensemble de l’arme. Sur Borderlands, la question ne se pose même pas, avec minimum 800 000 armes différentes, vous aurez de quoi trouver le bonheur ! Et ceci avec plusieurs pouvoirs, déjà sur les armes, comme des munitions incendiaires, corrosives, explosives et autres. Pour le coté RPG de ces deux jeux, Mass Effect donne au joueur une grande possibilité de choix dans le scénario ainsi que des conséquences sur l’avenir (jusqu’à la fin du 3ème opus), avec toujours le même point : détruire les Moissonneurs et sauver la galaxie. Contrairement à Borderlands, qui, lui, a une histoire toute tracée. Le gameplay par contre est assez différent, sur Mass Effect : vous pouvez vous cacher derrière presque n’importe quel obstacle pour survivre (eh oui, le mode “bourrin” est fortement déconseillé !), contrairement à Borderlands, où il vous faut “sauter dans le tas” pour bien réussir en un minimum de temps ! Pareil pour les déplacements, Vous pourrez vous balader dans une voiture équipée de lance-roquettes ou de mitraillettes lourdes, alors que dans Mass Effect, il y a beaucoup de déplacements à pied, et aussi beaucoup de déplacements instantanés. Niveau graphismes, ils sont complètement différent : Borderlands a des graphismes très poussés “animé”, alors que Mass Effect tend plus vers du réaliste. Mais les deux restent tout de même excellents.

De mon point de vue, Mass Effect est le meilleur pour ceux qui cherchent plus un RPG avec un style de combat FPS à la troisième personne, mais Borderlands est le meilleur pour ceux qui aiment foncer dans le tas en ne laissant derrière eux que poussière, cadavres, et cartouches vides...Le chaos, en somme ! Subjectivement, je mettrais 18.5/20 à Mass Effect et 18/20 à Borderlands, mais ne vous y trompez pas, ce sont deux séries que j’adore ! Sur ce, je vous dis au mois prochain, et n’oubliez pas : Les jeux vidéo peuvent ruiner votre vie. Si cela se produit, une seule solution : RESPAWN !

Jeezyix

La chronique vidéoludique, qui tente d’être ludique

Pour la première, je vais pitcher ma chronique. J’apprécie le jeu vidéo. Mais pas que. C’est pour ça qu’il me paraît important de développer le contenu de certains jeux, pour ne pas passer à côté de messages qu’ils voudraient faire passer. Alors je vais essayer de mettre ensemble réflexion et/ou culture avec le jeu vidéo, sans prétention, avec les connaissances que j’ai du monde dans le but de faire ressortir un pan intéressant d’un jeu. Le tout succinctement et sans être trop lourd (chaud).

Vidéo & Ludique

CHRONIQUES

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Parce que, parfois, un simple jeu peut cacher quelque chose de bien plus profond que ce qu’un média grand public voudrait nous faire croire. Prêt ? Allons-y ! Je vais commencer par un jeu assez méconnu du grand public, sur PC, plutôt curieux. Nommé The Stanley Parable, et créé par deux personnes, ce petit Mod gratuit d’Half-Life 2 sorti en 2011 est devenu payant sur Steam deux ans plus tard. Pour faire simple, c’est une expérience assez curieuse pour quelqu’un d’habitué aux jeux vidéo. Sans gâcher le principe, disons que c’est une fiction interactive dans laquelle on combat le narrateur. Si vous avez été intrigué par ce que je viens de dire, foncez dessus, vous en ressortirez différents. Bien, ce qui est intéressant dans The Stan…TSP (ça ira hein) c’est qu’on peut faire des choix. Plein de choix. A tel point y a une bonne quinzaine fins différentes. Mais VRAIMENT différentes. L’intérêt du jeu réside dans le fait d’obéir ou non au narrateur. Mais cela va plus loin que tester le joueur pour voir s’il est un mouton ou non. En fait, TSP explore les limites du jeu vidéo. Oui. Le média jeu vidéo est constitué d’un gameplay. Mais le joueur est amené à utiliser ce dernier dans un but (explicite ou non) : une quête, survivre, gagner la partie, cuisiner un poulet, etc. Et là où ce but nous est fixé par le narrateur dans certains jeux par exemple, le joueur doit lui obéir pour pouvoir continuer sur la route tracée. Ici, on peut continuer sans obéir. Mais ce qui fait le sel du jeu, c’est que le narrateur réagit là où l’exploitation d’un bug ou bien quelque chose qui ne va pas dans la continuité d’une quête ne serait pas relevé par le jeu en lui-même. Le jeu a prévu que vous lui désobéirez. Plutôt cocasse non ? Désobéir à l’histoire prévue par un livre ou un film est impossible. En effet, on ne va pas dire « Tiens Luke, cette fois tu ne vas pas aller faire péter l’Etoile Noire, mais plutôt boire une binouze de l’espace à la Cantina de Mos Eisley ! ». Mais le jeu vidéo, de par son interactivité, le permet. Et c’est aussi cela qui fait que quelqu’un qui connaît mal le jeu vidéo (je ne sais pas…disons certains journalistes généralistes par exemple) ne peut comprendre les ressorts d’un tel jeu. Seuls des gens qui ont déjà une expérience « vidéoludique » et donc qui connaissent le déroulement d’un jeu « normal » avec un système de narration et une histoire à suivre ou autre, peuvent réellement comprendre l’enjeu de TSP. Au final, je pense que l’on peut en dire beaucoup plus sur ce jeu, on peut même échafauder des théories foireuses dessus et en parler pendant des heures, mais ce ne serait pas constructif. C’est quelque chose qu’un initié au jeu vidéo devrait vivre et sur lequel il devrait mener une réflexion (ou pas !). Mais le plus drôle dans l’histoire c’est que les deux développeurs de TSP, qui ont été interviewés sur « leur volonté de créer une réflexion philosophique qui transcenderait les âges blablabla »...ou un truc bien intello/soûlant du même style, ont en fait simplement expliqué qu’ils avaient envie de faire un jeu rigolo et amusant. Et bah voilà, ça c’est cool et sans prise de tête, bravo les gars !

El Tortillas de la Muerte

CHRONIQUES

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JUPITER : LE DESTIN DE L’UNIVERS (Jupiter Ascending)

Une fois par mois, je vais parler d’un film soit très attendu, soit qui m’a beaucoup plu. Pour cette première fois, j’ai décidé de parler d’un film attendu en général et que j’ai moi même beaucoup attendu, et beaucoup aimé, Jupiter Ascending ! Tout d’abord, pour ceux qui ne le savent pas encore, le film a été écrit et réalisé par Les Wachowski, les réalisateurs de la trilogie Matrix. Le film a été décalé de 7 mois, et Warner Bros n’en a pas expliqué les raisons. Mais les effets spéciaux de ce film sont magnifiques, encore plus en 3D. Cela dit, on n’en attendait pas moins des Wachowski ! Le film raconte l’histoire de Jupiter Jones, fille d’un astrologue et d’une mère au foyer russe. Elle vit actuellement seule avec sa famille, son père ayant été tué alors qu’elle n’était pas encore née. Vivant aux Etats-Unis, son seul métier est de nettoyer des toilettes pour qu’elle et sa famille puissent vivre. Jusqu’au jour où elle rencontre Caine, un hybride mi humain mi loup, qui la sauve d’une tentative d’assassinat commanditée par une famille extrêmement puissante et très ancienne : la famille Abrasax. Elle découvre alors que, grâce à son patrimoine génétique, elle peut réclamer un prix qui déplace l’entendement, et qui pourrait bien bouleverser l’univers tout entier… Voilà pour ce premier « coin cinéphile » , on se retrouve le mois prochain pour un nouveau film !

Jeezyix

Le coin cinéphile

Casse-têtes

Partage de bière (avec modération, bien sûr !) Clément est en panne de bière. Heureusement, ses amis Arthur et Baptiste sont plutôt bien approvisionnés : Arthur en a huit litres et Baptiste cinq. Ils décident de réunir leur stock et de le partager en trois. Après avoir procédé au partage, Clément leur donne 13 €. Comment partager cet argent de la manière la plus équitable possible ?

COIN CINÉ & CASSE-TÊTES

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Les bus

Deux bus partent en même temps sur la même ligne mais en sens inverse, chacun arrivant donc où est parti l’autre. Lorsqu’ils se croisent, il reste au plus lent 40 minutes de trajet, mais au plus rapide seulement 10 minute. Combien de fois ce dernier roule-t-il plus vite que l’autre bus ?

Les réponses au prochain numéro !

mrBen

The 404® est un mensuel (enfin on part sur un mensuel en tout cas) qui a été écrit par des étudiants

du département INFO de l’IUT d’Annecy-le-Vieux.

The 404® est édité par le Bureau des Etudiants du département INFO

Ont participé à ce numéro : Lagon Louis, Vivancos Esteban, Collet Benjamin, Keohane James, Dehours Loïc, Boudet Jason, Delzars Charles

Couverture : Collet Benjamin

Mise en page : Delzars Charles

Logo : Vivancos Esteban

Direction de la Publication : Emmanuelle Graziano

Pour toute demande d’informations, propositions d’articles (n’hésitez pas !) ou paiement de

canette/café, vous pouvez nous joindre à euh...bah nan en fait y a pas moyen de nous joindre désolé ♥

Date de parution : Mars 2015

Crédits CREDITS