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Crédit photosIvresses : Julia Gragnon / Affreux, bêtes et pédants : Jean-Louis Fernandez / Lior Shoov : Olivier Rust

Birds on a Wire : Jeremiah / P’tit Gus : Didier Olivre / Kareyce Fotso : Michel DeBock / Vieux : Jeff Rabillon310 Lunes : Bogdan Konopka / Benoît Paradis Trio : Sara A. Tremblay / Les 3B(ears) : Julie OrtizVoyage d’un courant d’air : Ernesto Timor / Sous l’Armure : Cie l’Artifice / Traces : Le Poulpe

Made in China : Si Yin Lei / Silence : Yves Kerstius / Retour à Reims : Simon Gosselin / Radio Elvis : Nicolas Despis Le Neveu de Rameau : Jean Depagne / Le Fond de l’air effraie : Nicolas Reitzaum / Niobé : Marc ChevalierLes Pieds Tanqués : Julien Anselme / Heures séculaires : Vincent Vanhecke / Happy Manif : Coralie Bougier

L’AGENdAsériE B ................... 25 Et 26 sEpt .. ChALoNNEs-sur-LoirE - p.2ivrEssEs ......................... 3 oCt .........fAyE d’ANjou - p.4AffrEux, BêtEs Et pédANts ......... 9 oCt ............... vihiErs - p.6BoîtE à GANts ................... 3 Nov ..... mozé-sur-LouEt - p.24rENAud GArCiA-foNs/Lior shoov ....6 Nov ................dENéE - p.8rENAud GArCiA-foNs/Lior shoov ... 7 Nov .... rABLAy-sur-LAyoN - p.8Birds oN A WirE/mAdjo .......... 20 Nov ........fAyE d’ANjou - p.10p’tit Gus ....................... 29 Nov . fAvErAyE-mâChELLEs - p.12KArEyCE fotso ................... 4 déC ...... LA possoNNièrE - p.14viEux .............................6 déC . ChALoNNEs-sur-LoirE - p.16310 LuNEs .......................11 déC ....... fAyE d’ANjou - p.18pArCours EN utopiE ! ............. 8 jAN . ChALoNNEs-sur-LoirE - p.20BENoit pArAdis trio ............. 22 jAN st LAmBErt du LAttAy - p.22trACEs + soLo ‘r’ ............... 29 jAN ....... fAyE d’ANjou - p.28LA viLLE dE L’ANNéE LoNGuE .... 6 Et 7 fév  st-BArthéLémy-d’ANjou - p.30LEs 3(BEArs) .....................24 fév ........... thouArCé - p.25 mAdE iN ChiNA ...................26 fév .............. vihiErs - p.32siLENCE ......................... 5 mArs . roChEfort-sur-LoirE - p.34rEtour à rEims ................. 18 mArs . ChALoNNEs-sur-LoirE - p.36rAdio ELvis .................... 25 mArs ....... fAyE d’ANjou - p.38voyAGE d’uN CourANt d’Air ..... 23 mArs .st-GEorGEs-sur-LoirE - p.26LE NEvEu dE rAmEAu ............. 1 AvriL  st-GEorGEs-sur-LoirE - p.40LE foNd dE L’Air EffrAiE ........ 21 AvriL ....... fAyE d’ANjou - p.42NioBé/fLAquE .................. 30 AvriL ..............vihiErs - p.44LEs piEds tANqués ................21 mAi  st-GEorGEs-sur-LoirE - p.46hEurEs séCuLAirEs/dENis péAN... .. 28 mAi .......... CErNussoN - p.48hAppy mANif .................... 11 juiN . ChALoNNEs-sur-LoirE - p.50mAN rEC/ExtENsioN .............. 11 juiN . ChALoNNEs-sur-LoirE - p.51résidENCEs d’ArtistEs, CréAtioNs ............................... p.52

viLLAGEs EN sCèNE vA fêtEr CEttE ANNéE sEs 15 ANs !A ses débuts, Villages en scène s’est attelé au développement artistique et culturel d’un territoire situé autour de la Loire, du Layon et de l’Aubance. 

En 15 années, nous avons accueilli plus de 500 compagnies de  théâtre, de musique, de danse ou de cirque, autour de projet de spectacles ou de temps d’échange à travers des rencontres ou des ateliers de pratique artistique en tout genre. Ce projet, nous l’avons construit et développé avec passion, en cherchant à être au plus près des habitants, des plus petits aux plus grands villages, et en essayant de toucher tous les publics.

En 15 années, le territoire et ses contours auront beaucoup évolué : la région de l’Aubance est partie avec le Pays Loire-Angers, le Gennois nous a rejoints puis est reparti avec le Saumurois et, cette année, le Vihiersois part vers les Mauges. Ce  territoire en mouvement perpétuel n’a pas  toujours  facilité  la tâche de Villages en scène qui a besoin de stabilité pour installer des compli-cités au sein des différents villages.

Pour autant, Villages en scène a connu un succès grandissant au fil des années, s’inscrivant progressivement comme un projet culturel de territoire reconnu à  l’extérieur et par nos partenaires comme un véritable projet fédérateur. Avec un succès  inégalé  jusque-là  (plus de 100 bénévoles, 6200 spectateurs et 1200 personnes à participer à des ateliers et  rencontres artistiques),  la dernière saison fut enthousiasmante et nous encourage à poursuivre, entre diffusion et projets culturels porteurs de lien social.

Aujourd’hui,  nous  formulons  l’espoir  que  le  territoire  se  stabilise  (pour  au moins quelques décennies !..) afin que nous puissions poursuivre l’aventure dans des conditions idéales pour les artistes et les spectateurs-citoyens de ce charmant coin.

Pour finir, un immense et sincère merci à vous de votre curiosité et de votre  soutien. Au plaisir de vous accueillir à l’occasion d’un spectacle, d’un temps de rencontre ou d’un atelier (voir p48) avec les artistes en résidence.

Jacques Genevois et Luc CHoHin

BurEAu dE viLLAGEs EN sCèNE Jacques Genevois (Président), Dominique Normandin, Martine Leroy-Rambaud,  Béatrice Debard, Philippe Jammes, Johelle Pourcher-Gentil, Claudine Taubin, Christophe Dehier, Denis Fallempin.

L’équipELuc CHoHin : Direction – Coordination ([email protected])

sylvaine CHAssARD : Médiatrice culturelle ([email protected]) stef eTienne, Tim Le HenAFF, Pierre CRAsnieR : Régisseurs 

Camille niCoLLe : Réalisation de la plaquette nYFA : Création graphique (www.nyfa.fr)

Damien Bossis : Photos et visuel couverture (www.damienbossis.fr)

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sériE BGroupe artistique ALiCELe polar dans la ville

Vous  les  avez  découvert  en Août  2014  en  pro-menade dans les rues de la ville de Chalonnes. Après  une année en  résidence dans  la  ville,  le groupe artistique va présenter sa nouvelle créa-tion tant attendue…Série B. 

Avec Série B,  la  ville de Chalonnes  va « entrer en polar » pendant 5 jours…  Opérant progressi-vement une transformation de la ville, le groupe Alice nous invite ainsi à suivre les traces de « la Petite » disparue. Aurez-vous le courage de par-ticiper avec nous à sa recherche? Vous risquez de ne pas en revenir…

Entre impromptus théâtraux, soirée jeu, détour-nement  de  l’espace  public,  projections  vidéos sur  les  façades,  rendez-vous  intimes  dans  des lieux  typiques  ou  atypiques  de  Chalonnes-sur-Loire, l’événement promet d’être unique !

L’histoire se clôturera par un grand final les 25 et 26 septembre 2015

Si vous souhaitez participer sur une soirée ou sur les 5 jours, il suffit de s’inscrire et vous recevrez toutes les infos par mail ou texto.

3

GrAtuit Et sur résErvAtioN sur le site de la compagnie : http://serieb-alice.jimdo.comou auprès de l’agent Dalaine : [email protected]

Direction artistique et mise en scène : Virginie Frappart Réalisation vidéo : Denis RochardDéco : Thècle NieuxRégie générale/logistique : Lucie BizaisDirection technique et lumières : Vincent RoudautSon : Sébastien Condolo / Vidéo : Stephen DronvalComédiens : Gaëlle Cerisier, Raphaël Dalaine, Yannick Pasgrimaud, Sophie PéaultComédien, écrivain public : Ricardo Montserrat 

Co-production : DRAC des Pays de la Loire, le Conseil Régional des Pays de la Loire, CNAR La Paperie,  Villages en scène – Pays de Loire en Layon, ville de Chalonnes-sur-Loire

ChALoNNEs-sur-LoirE

parcours encore

tenu secret...

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vEN.25 sEptEmBrE

19h30 et 21h

sAm.26 sEptEmBrE

19h30 et 21h Et dès le mardi 22 septembre 

pour des moments impromptus un peu partout dans la ville

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ivrEssEsClarika & daphnéChanson enivranteL’une est une poétesse, une créatrice d’images, une passionnée des mots ; l’autre  se  distingue  par  une  personnalité  fantasque  et  une  inspiration  oscillant  entre  la  pop  hexagonale  et  la  folk.  Clarika  et  Daphné  se  sont  rencontrées  en  octobre  2014  à  l’occasion  d’un  concert  à  La  Cigale.  La  rencontre fut belle et c’est de là que sont nées l’idée et l’envie de prolonger ce moment en créant un spectacle en poésies et en chansons autour de nos différents états d’ivresse.

En  1994,  Clarika  sortait  son  1er  album  « j ‘attendrai  pas  100  ans »  chez  Boucheries  Production,  6  albums  plus  tard,  Clarika  a  obtenu  le  prix  Félix  Leclerc  (1998),  le Grand Prix de  l’Académie Charles Cros  (2006),  la même année elle est finaliste du prix Constantin.

L’autodidacte Daphné, est  l’une des chanteuses  les plus douées et  les plus marquantes de sa génération (Lauréate du prix Constantin en 2007, meilleure interprète Globes de Cristal en 2008, coup de Coeur Académie Charles Cros en 2011 pour l’album « Bleu Venise »...).

Sur les fils du vertige, de l’alcool, du hasard, de l’amour, les deux chanteuses sont allées puiser dans leur répertoire mais aussi chez Baudelaire, Bukowski, Genet, et chez bien d’autres encore, des textes et des chansons qui font écho à cet état d’enivrement,  inséparable de notre genre humain depuis  la nuit des temps !

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fAyE d’ANjou

pôle Culturel

rue Albert LebrunsAmEdi 3oCtoBrE20h30

Chant : Clarika et DaphnéVioloncelle : Frédéric Kret

Batterie : Caroline GérylClaviers & guitares : Ludovic Leleu,

Son : Moon Le Noan,Lumière : Julien Bony

tArif A/1h304

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AffrEux, BêtEs Et pédANtsCie les dramaticulessatire de la vie culturelle française

Après « Salomé » et « Richard II », la compagnie des Dramaticules revient avec une satire foisonnante et percutante.  Issu  d’un  travail  d’écriture  collective,  Affreux,  bêtes  et  pédants  dresse  un  portrait  équitable des « acteurs » de la culture, empreint de beaucoup d’autodérision – une galerie de monstres  en  somme.  A  travers  les  idées  reçues,  les  lieux  communs,  les  clichés,  les  stéréotypes  et  la  bêtise  présentés  dans  cette  fresque  acide  et  jubilatoire  de  la  société  du  spectacle,  Jérémie  Le  Louët  et sa  troupe  souhaitent  dénoncer  quelques-unes des  plus  pitoyables  postures  et  impostures  de  la  société des hommes. Parmi  les  sujets explorés :  la  manipulation, le narcissisme, le snobisme, l’humilia-tion, le groupe, la carrière. L’occasion pour chacun de s’interroger sur ses habitudes de spectateur.

« Une  bande  de  trentenaires  dézingue  les  mûrs du milieu  théâtral. Une  satire au vitriol qui  remet  chacun à sa place. Drôle et salutaire. » – Le Figaro

« Satire  foisonnante  et  mordante  menée  tambour battant. Les Dramaticules prouvent une fois de plus leur inventivité et leur virtuosité. » – La Terrasse 

Écriture et interprétation : Julien Buchy, Anthony Courret, Noémie Guedj, Jérémie Le Louët et David Maison Scénario et mise en scène : Jérémie Le Louët Scénographie : Blandine Vieillot Vidéo : Thomas Chrétien, Simon Denis et Jérémie Le Louët Lumière : Thomas Chrétien Son : Simon Denis Régie : Thomas Chrétien et Simon Denis 

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vihiErsCiné’filplace st jean

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vENdrEdi 9 oCtoBrE20h30

Coup dE CoEur du fEstivAL d’AviGNoN

tArif B/1h50

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Lior shoov Depuis 5 ans maintenant, Lior Shoov parcourt les 4 coins du monde avec une tortue sur son dos et, dans ses bagages,  d’étranges  instruments. Ses concerts sont marqués par l’hu-mour,  la  danse  et  le  chant,  et  par la  multitude  d’objets  musicaux  qui s’enchaînent et s’entrechoquent.

Ukulélé, Hang, tubes en plastiques, harmonica,  jouets,  genoux  per-cussifs,  tambourins…  C’est  de  tous 

« On savait toute la force et le chant de  la  musique  de  Renaud  Garcia-Fons, on en découvre aujourd’hui le caractère universel et intemporel. » Citizen Jazz

« Un  long  voyage  entre  orient  et  occident, entre musiques anciennes et actuelles, ce virtuose de l’archet nous invite à partager avec bonheur la  douce  voix  de  sa  contrebasse  à cinq cordes.» – FIP

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soiréE musiquE Et soNs du moNdE

rENAud GArCiA-foNsRenaud  Garcia-Fons  est  de  ces  musiciens  qui  font  corps  avec  leur instrument.  Lui  a  choisi  de  faire de  sa  contrebasse  à  5  cordes  un  instrument  à  vocation  universelle qui se suffit à lui-même. Entre com-position  et  improvisation,  Renaud  Garcia-Fons  a  su  forger  sa  propre technique et développer un langage qui n’appartient qu’à lui. 

Tout  est  contrebasse  dans  ce  solo. De  l’archet au pizzicato en passant par  les percussions, Renaud Garcia-Fons  donne  à  entendre  les  «mille et  une  voix»  de  son  instrument  majestueux. L’inspiration des thèmes  

oscille entre orient et occident, mais aussi entre musique traditionnelle et musiques  actuelles  pour  un  voyage unique et inoubliable.

ces  « instruments »  que  Lior  Shoov  façonne  sa  musique  et  s’exprime dans  une  performance  mélangeant “musique  du  son  monde”,  jeu  corporel et  expression de  l’instant. D’origine  israélienne,  Lior  Shoov  entremêle ses influences sans  aucune difficulté pour mieux donner  à  voir  un  geste  singulier  et  une  personnalité hors du commun.

dENéEsalle polyvalente

rue du colonel

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vENdrEdi 6NovEmBrE

20h30

rABLAy-sur-LAyoN

Espace du mail

4 place du mailsAmEdi 7NovEmBrE

20h30

tArif B/1h+1h

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Birds oN A WirE rosemary standley (moriarty) & dom La NenaEnvolées musicalesDes oiseaux sur le fil... Une belle image  empruntée  à  la  fameuse chanson  de  Leonard  Cohen  Birds on  a  Wire,  pour  décrire  ce  duo  d’exception  fraichement  formé  par Rosemary  Standley  et  Dom  la  Nena pour notre plus grand plaisir.Rosemary  Standley  s’est  échappée de  Moriarty,  le  temps  de  renouer avec  les  chansons  qui  ont  accom-pagné  sa  vie  dans  un  songbook  fantasque  et  gourmand.  Elle  s’as-socie  avec  la  jeune  violoncelliste et  chanteuse  Dom  La  Nena  pour  réinventer  tout  en  douceur  quel-ques-uns des plus grands monuments de  la  musique  populaire  du  monde 

«  Un  programme  très  éclectique, [...]  qui  trouve  sa  cohérence  dans les  réarrangements  des  chansons, osés, atemporels. » Le JDD

« Ces  deux  oiseaux-là  cultivent, sur  les  notes  de  musique  d’un  violoncelle,  leur  manière  d’être  libres,  comme  la  belle  chanson  de Leonard Cohen qui a inspiré le titre de leur album. » - Le Télégramme

Voix : Rosemary StandleyVioloncelle et voix : Dom La Nena 

Lumières : Anne Muller Son : Lucie Laricq ou Anne Laurin 

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entier.  Entre  la  franco-américaine et  la  brésilienne,  les  répertoires s’échangent  et  s’entrechoquent. De  Claudio  Monteverdi  à  Leonard Cohen en passant par Purcell, John  Lennon ou Tom Waits, les deux fem-mes explorent ce répertoire de tous les  temps qu’elles  livrent  avec une irrésistible légèreté.

mAdjofolkMadjo,  qui  avait  marqué  la  saison 2010  de  Villages  en  scène,  est  une chanteuse  alpiniste  qui  s’exprime avec son corps entier et agrippe les amarrages  avec  cette  voix  tantôt bien  accrochée,  tantôt  suspendue dans le vide. Parce que créer, c’est avant  tout partir du vide. Saisir  les premières notes et les laisser filer, accepter de ne pas tout de suite les maîtriser. Pour dompter ce  rien qui entraîne  le  tout, Madjo  a  choisi  de revenir à la source. 

Bilan :  des  sons  qui  frappent  et  rebondissent,  des  rythmes  qui  appellent  l’urgence,  une  musique fugitive pour échapper à la mise en cage.

« Avec  sa  puissante  voix  soul  et ses  compositions  en  forme  de  montagnes  russes  […]  la demoiselle prend  de  la  hauteur,  touchante  sur toute la ligne » - Longueur d’Ondes

fAyE d’ANjou

pôle Culturel

rue Albert Lebrun

10

vENdrEdi 20NovEmBrE

20h30

tArif A/1h+1h

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p’tit Gus Cie unicitéConte/récit

Rouquin aux grandes oreilles et fils de boucher,  P’tit Gus  rêve de musique et  d’évasion.  Initié  par  le grand Auguste,  il a choisi  la bombarde.  Pour  ses  parents  c’est  clair  :  on  frôle  la  délinquance  rurale.  Dans  ce  spectacle  c’est sa propre confidence, pleine d’humanité, de poésie  et  surtout  de  musique,  que  nous  livre Jean Louis Le Vallégant. Celle d’une échappée solitaire à  la  conquête d’un héritage  culturel, à  l’heure  où  les  dernières  coiffes  croisent  les premières  crêtes.  Dans  un  road  movie  mené à  fond  la  caisse,  mots  notes  s’impactent  et  croquent  l’émancipation.  À  travers  ces  tran-ches  de  vie,  ce  « sonneur  de  saxophone »  et  « agitateur  d’intérieur »  témoigne  d’une  époque.  Un  prétexte  pour  un  aller-retour  passé-présent  mais  surtout  pour  parler  de  non-transmission  et  de  ces  nécessités  inti-mes  que  sont  l’indépendance,  la  création,  la  transmission... pour exister. Ainsi,le saxophone en  bandoulière,  Jean-Louis  Le  Vallégant  nous fait vivre avec tendresse les instants d’un monde au terme des trente glorieuses d’un côté et la maturation d’une matière artistique de l’autre.

Saxophone, écriture, jeu :  Jean-Louis Le VallégantAvec le regard de : Charlie WindelschmidtCréation lumière et régie technique : Sébastien Boucle

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fAvErAyE-mâChELLEs

salle des loisirs

rue Colonel Artemieff

12

dimANChE 29

NovEmBrE16h30

tArif C/1h

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KArEyCE fotsofolk Africain tendreKareyce  Fotso,  un  prénom  de  douceur, un nom de feu, une énergie généreuse, un corps en mouvement, une  voix  rauque  digne  des  grandes chanteuses, un timbre qui attire, un chant qui invite… 

Accompagnée  par  sa  guitare,  la chanteuse  nous  offre  de  jolies  mélodies,  blues  ou  plus  rythmées, qui  soulignent  toute  l’ampleur de  sa  voix.  Une  voix  puissante,  originale, teintée d’un voile légère-ment  éraillé  issu  du  blues  et  de  la tradition africaine. Tradition qu’elle n’oublie pas, s’accompagnant d’une sanza,  d’un  tambour  de bois  ou de sonnailles. Les chansons sont tantôt graves,  tantôt  drôles,  et  toujours empreintes d’émotions.

Sa performance nous plonge dans un univers sonore et visuel terriblement humain et féminin. Elle nous chante,  avec  amour  et  humour,  les  diffé-rences,  les  douleurs,  les  exils,  les  relations entre hommes et femmes, 

« Et  ça  se  prononce  comment son petit nom ? Si l’on se fie à la  douceur  de  ses  chansons,  comme une  caresse.  Ancienne  choriste  de Sally Nyolo, la Camerounaise voyage léger :  une  guitare  acoustique  aux cordes  pincées,  des  claquements de doigts, des choeurs presque chu-chotés  et  quelques  instruments  de  poche.  Du  folk  africain  tendre,  apaisé,  où  l’économie  des  arran-gements amplifie par contraste la sensation  d’espace,  et  l’intensité d’une voix comme du velours  râpé. Disque  du  matin  ensoleillé,  conclu par une petite bossa irrésistible qui l’annonce : Kareyce Fotso ira loin. » Les Inrocks

Chant, guitare, percussions : Kareyce FotsoGuitare : Fabien Degryse

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les  violences  et  les  déracinements de  toutes  sortes,  au  croisement de  la culture de ses ancêtres et du  monde moderne.Kareyce  Fotso,  c’est  une  caresse autant qu’une gifle d’une Afrique qui se chante avec dignité.

LA possoNNièrE

Le pontonrue Landeronde

14

vENdrEdi 4déCEmBrE

20h30

tArif B/1h30

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viEuxCie osteorockEntre danse, théâtre gestuel, mime et humourCréation 2015

« Nous  ne  savons  plus  quoi  faire  de  nos  vieux », on  attend  d’eux  qu’ils  n’attendent  rien  et  qu’ils n’aient pas peur d’en finir. Le corps vieillissant est  oublié,  malmené.  Un  constat  dont  la  choré-graphe Carole Bonneau et la compagnie Osteorock  s’emparent dans leur dernière création, Vieux, qui interroge le motif de la vieillesse dans nos sociétés actuelles.A  l’origine  de  ce  projet,  l’émotion  de  laisser  un parent  dans  sa  « dernière  maison ».  L’impression laissée par tous ces personnages qui y remplissent le  salon.  Certains  jouent  aux  vieux  rapidement, d’autres  jouent  au  jeune  pour  toujours,  à  petits  pas  ordinaires  ou  à  grandes  enjambées  tous  traversent le temps avant de percer le mystère de l’ailleurs. Pas  moins  de  quatre  disciplines  (la  danse,  le  théâtre,  la  musique  et  les  arts  plastiques)  sont  invoquées dans ce spectacle pour mettre en danse et  en  scène,  avec  tendresse,  bienveillance  mais sans  tabou,  ces  failles  du  corps  vieillissant  et  la difficulté de finir sa vie.

« Lumière et noir, qu’y a t’il après le noir ? Un brin de lumière en fin de tunnel ? Et ceux qu’on laisse, eux ils restent ? »

Direction artistique : Carole Bonneau et Jean-Michel NoëlCréé et interprété par Thérèse Angebault, Carole Bonneau, Hélène Maillou, Jean-Michel Noël, Justin Palermo, René SauloupMusique : Jean-Michel NoëlLumières : Julie DumonsCostumes : Thérèse AngebaultChargé de production et diffusion : Benoît Noras.

17

ChALoNNEs-sur-LoirE

Espace Cinérue félix faure

16

dimANChE 6déCEmBrE

17h00

tArif B

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310 LuNEsLo’jomusique du monde

310 lunes, c’est le temps qui s’est écoulé depuis les débuts discographiques de Lo’Jo en 1989, soit près de 25 ans. De cet anniversaire est né un spectacle exceptionnel où les six musiciens de Lo’Jo partagent la scène avec un sextet d’instruments à vent pour  une  expérience  sonore  aux  multiples  visages.  Une formation  savante  et  audacieuse  pour  jouer  les  réminiscences  des  musiques  historiques  de  Lo’Jo, dont  les  musiciens  se  mêlent  aux  envolées  de  cuivres et de bois.Dans  ce  concert,  Lo’Jo  raconte  son  histoire  en une  vingtaine  de  tableaux  sonores  -  agrémentés  d’anches et d’embouchures, d’images projetées des souvenirs  de  l’aventure.  Ils  réinventent  leur  pro-pre  répertoire  ancien  comme  récent  en  alternant  chansons  et  titres  instrumentaux  pour  une  balade musicale atypique.

Chant, melodica : Denis Péan Violon, imzad, kora : Richard Bourreau 

Contrebasse, basse : Nicolas Meslien / Batterie : Cyril Aveque Chant, saxophone soprano, percussions : Yamina Nid El Mourid 

Chant , percussions : Nadia Nid El Mourid Trombone, tuba, euphonium : Michel Massot Trombone, baryton, flute : Elisabeth Hérault

Basson : Stéphane Coutable / Trompette, bugle : Mickael Gasche Clarinettes : Yuka Okazaki / Saxophones, flûtes, clarinettes

arrangements orchestre : Renaud-Gabriel Pion

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« Un livre de photos agrémenté de deux CD : c’est ainsi  que  Lo’Jo,  le  collectif  angevin  à  la  carrière  internationale,  dresse  le  bilan  de  son  dernier quart  de  siècle.  [...]  Ce  coffret  est  la  bande-son idéale pour  se plonger dans  les  images de Bogdan  Konopka,  photographe  que  le  groupe  rencontre  à Cracovie  en  1988  et  qui,  depuis,  suit  ses  pérégri-nations.  Le  noir  et  blanc  raconte  à  merveille  la  chaleur des concerts, la vie nomade des musiciens en  tournée  et  la  découverte  du  pays  touareg,  au Mali. » - Libération

Spectacle accueilli dans le cadre de Voisinages, dispositif soutenu par la Région des Pays de la Loire pour encourager la diffusion des équipes artistiques. 310 Lunes est en tournée dans les Pays de la Loire : à l’Entracte à Sablé, à l’ONYX à St Herblain, et au Quartier Libre à Ancenis.

fAyE d’ANjou

pôle Culturel

rue Albert Lebrun

18

vENdrEdi 11déCEmBrE

20h30

tArif A/1h30

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jE BrAssE dE L’Airmagali rousseau

dEr misChBrotGoLEmzettlemann

Dans  Je  brasse  de  l’air,  Magali Rousseau  se met  en  scène  avec  les  mécanismes  poétiques  qu’elle  crée depuis  dix  ans.  Un  long  parcours, instinctif, pour finalement com-prendre  que  tous  ces  êtres  d’acier font partie de la même histoire. Son  histoire.  Derrière  un  texte  simple, personnel,  intime,  on  déambule 

pstéphane delaunay & Antoine BirotEn  s’appuyant  sur  l’utilisation  de la  fumée,  la  manipulation  d’objets et  de  petites  machineries,  Antoine  Birot et Stéphane Delaunay construi-sent  de  nouveaux  espaces  pour  traduire  l’évolution  de  l’homme et  son  désir  d’atteindre  le  soleil. P...  met  en  scène  la  nécessité  de l’homme à évoluer, à se perdre dans cette quête d’un inconnu utopique. Homme  primitif,  homme  moderne, 

avec elle dans le clair-obscur de cet espace hors du temps, peuplé de ma-chines qui entrent dans la lumière et s’animent  tour  à  tour.  Pathétiques, drôles,  tristes,  douces,  agressives, déterminées ou désemparées, toutes  déploient  des  trésors  d’ingéniosité dans des tentatives d’envol que l’on sait vouées à l’échec.

homme du futur... Tous animés d’un imaginaire  semblable  qui  les  mène à  se  transformer,  à  transformer  le monde...  Comparution  de  l’homme désireux de maîtriser  la matière et déjouant  les  lois  de  la  nature,  la  fumée comme métaphore du progrès nous  transporte  vers  des  question-nements  qui  nous  taraudent  et  des émotions riches et intenses.

Zettelmann est  un pataphysicien métamatérialiste,  voyageur  chronographe des zones inconnues. Entre expériences katachymiques et détournement d’us-tenciles de cuisine, il est depuis 2009 à la recherche de la pierre d’idiotie,  dans la digne lignée des alchimistes du Moyen-Âge. 

Der  Mischbrotgolem,  reprend  la  légende  du  Golem  dans  la  tradition  de  la Kaballah juive. Mais la frénésie de créer un être vivant artificiel devient vite incontrôlable et réserve bien des surprises. Les resultats produits s’avèrent bien  différents  de  ceux  qui  étaient  escomptés....  Un  spectacle  qui  nous  interroge sur notre époque, celle de la science et du génie génétique, et qui met en perspective les ambitions de l’être humain.

pArCours EN utopiE !soirée de petites formes orchestrée par

Antoine BirotCréateur  de  spectacles  et  installations,  musicien  et  compositeur,  Antoine  Birot  aime  s’associer  avec  des  artistes  de  différents  horizons  pour  expéri-menter de nouvelles formes artistiques,  insolites et poétiques,  inventer de  nouveaux dispositifs comme lieux de tous les imaginaires possibles. Accueilli en  résidence  à Chalonnes, Antoine  Birot  et  ses  invités  vous  proposent  une soirée unique autour de la thématique des  utopies et des rêves. Organisée  autour  de  deux  moments  de  repas,  vous  pourrez  y  découvrir  les  univers  atypiques et fantasques de Magali Rousseau, Zettlemann, et du LaRIO.

ChALoNNEs-sur-LoirE

halle des mariniers

place des halles

20

vENdrEdi 8jANviEr19h00

Je brasse de lÕairperformance mŽcanisŽe de magali rousseau

sous lÕaile de la CieLes Anges au Plafond

tArif B

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BENoit pArAdis triojazz décaléMusicien  montréalais,  BenoÎt  Paradis  esquisse  dans ses chansons à la fois drôles et déprimantes ses blues quotidiens de tromboniste-poète un peu parti, sa folie à lui.Influencé par Boris Vian, Georges Brassens, Jacques Tati ou encore Charlie Chaplin, c’est par ses chansons jazz nonchalantes et pleines de dérision que Benoît Paradis s’exprime.Sur scène, à l’aise comme dans son salon, le drôle de chanteur  touche  à  tout  joue  tour  à  tour  trombone, guitare, trompette et percussions, accompagné de ses deux complices de toujours Chantale Morin au piano et Benoît Coulombe à la contrebasse. Le trio propose un  tour  de  chant-jazz  décalé,  fait  de  chansons-BD, confidences humoristiques d’un artiste déprimé et attachant.

Trombone, guitare, trompette, percussions : Benoit Paradis Piano : Chantale Morin 

Contrebasse : Benoît Coulombe

23

st LAmBErt du LAttAy

salle marylise

rue du pont barrévENdrEdi 22jANviEr20h30

22tArif B/1h30

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LEs 3B(EArs)Cie piment Langue d’oiseauthéâtre d’objet

Il était une fois, trois ours, un grand, un  moyen  et  un  petit  qui  vivaient dans une maison au milieu de la fo-rêt. Un jour, en attendant que  leur repas refroidisse, ils décident d’aller faire une petite promenade. Pendant ce  temps  là,  quelqu’un  a  pénétré dans  leur  maison....  Cette  histoire n’est  pas  sans  rappeler  le  célèbre conte  « Boucle  d’Or ».  Il  s’agit  en fait de son ancêtre, « L’histoire des trois ours » de Robert Southey, dont s’inspire  la  compagnie  Piment  Lan-

« Francophones, anglophones, sourds et  malentendant,  petits  et  grands, sont sûrs de passer un bon moment » - L’Éclaireur

Création collective : Natalie Gallard, Marie Gaultier, Christine Lhôte et Jacques TempleraudJeu : Christine Lhôte et Marie GaultierConception et réalisation du décor : Annie PeltierAssistante : Alice ChochoyAvec la collaboration d’Equicom et de Monica Companys

gue d’Oiseau dans Les 3B(ears). Ici, en lieu et place de la fillette aux jolies boucles blondes,  se  tient,  en guise  d’héroïne  une  vieille  femme, pauvre, errante, et légèrement aca-riâtre  confrontée  à  la  famille  des trois  ours.  Et  comme  « toute  tra-duction est une  trahison »,  la  com-pagnie  a  choisi  de  jouer  ce  texte, riche  en  symboles  et  en  métapho-res,  dans  sa  version  originale :  en anglais. Elle se pose alors une ques-tion  essentielle :  Comment  se  faire comprendre  quand  on  ne  parle  pas la même langue ? Imitation, expres-sion corporelle, mimique, dessin ou langue des signes... tous les moyens sont bons pour y parvenir. Plus qu’un obstacle à la compréhension, la lan-gue devient un prétexte au jeu et à la découverte.

thouArCé

salle du Layon

sortie de thouarcémErCrEdi 24févriEr17h00 (séances scolaires les 23 et 24 fév.)

tArif uNiquE : 4€/40 miN

BoîtE à GANts La toute petite Compagniespectacle musical et burlesque« Approchez petits et grands, si vous voulez découvrir, ce que deviennent les vieux gants… »

Monsieur Paul et Michel vont de vil-le en ville,  récoltent  les gants hors d’usages et oubliés afin de raconter des histoires dans leur grande boîte à gants.Quels rapports entre une bataille in-tergalactique, un poulailler déjanté, une ancienne vedette du music hall, une  pèche  miraculeuse,  un  couple arachnotransformiste, un après-midi d’hiver ou un jardin secret ?Simplement  une  seconde  vie  pour des gants, offerte avec tendresse et poésie, en musique et  surtout avec beaucoup d’humour !Des  comptines  tarabiscotées,  des chansons,  des  séquences  loufoques et oniriques, des histoires à tiroir à dormir  debout  ou  à  jouer  du  piano couché, voila tout un monde tiré de la  relation  et  de  l’imaginaire  des deux  personnages…et  surtout  de leurs trouvailles !

« Un  plaisir  pour  les  enfants,  mais aussi pour les parents. Sans prendre de gant ou tout en tendresses, Clé-ment  et  Grégory  offrent  une  pièce haute  en  couleurs  avec  leurs  chan-sons et  sketchs » La Montagne

Création, distribution, scénographie : Clément Paré et Grégory TruchetAide à la mise en scène : Nicolas TuronCréation lumières : ENSATT Promo 73 Vaclav Havel

mozé-sur-LouEt

salle du coteau

Chemin des Ganaudières

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mArdi 3NovEmBrE

18h30

jEuNE puBLiC

(séances scolaires les 3 et 4 nov.)

tArif d/45 miN

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sous L’ArmurECie L’ArtificethéâtreLes  hommes  se  préparent  au  com-bat  car  l’ennemi  est  aux  portes  du château… Monseigneur a décidé que sa fille aînée, Christine, entrerait au couvent. Quant à son fils adoptif, Thibault,  il  combattra  à  ses  côtés. Seulement  Christine  est  éprise  de liberté et préfère mourir en combat-tant  comme  un  homme  plutôt  que d’étouffer  sous  un  voile.  Thibault, lui, est sensible et la guerre lui fait horreur; jamais  il ne pourra tuer ni même  blesser  quelqu’un.  Christine propose  alors  qu’ils  échangent  leur rôle et elle se dissimule sous l’armu-re. C’est le premier coup de théâtre d’une histoire qui nous entraîne sur les chemins de l’initiation à travers une forêt toute shakespearienne sy-nonyme d’épreuve. 

Comment parler de l’égalité fille-garçons aux enfants d’aujourd’hui ? C’est à cette question que tente de répondre le metteur en scène Chris-tian  Duchange  en  adaptant  cette pièce  de  Catherine  Anne.  Sans  ja-mais être simpliste avec humour et 

Jeu : Adeline Guillot, Ana Bogosavljevic, Julien Bodet, Aurélia Lüscher Et Emmanuel MatteCréation musicale : Stéphane ScottCréation lumière : Julien BarbazinCréation costumes: Nathalie MartellaRégie générale : Jérémie Renault

légèreté,  Sous  l’armure    accompa-gne chacun au sens par le sensible et nous fait mieux entrevoir l’universa-lité et la complexité du sujet.

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fAyE d’ANjou

pôle Culturel

rue Albert Lebrun

séance scolairejEudi 28

AvriL10h00

1h26

voyAGE d’uN CourANt d’AirCie Le Chat perplexethéâtre«Quand j’étais petite j’avais une bi-cyclette. Je roulais vite pour sentir le vent sur mes joues. Un jour je suis passée devant un moulin, il ne tour-nait pas… J’ai soufflé, soufflé, mais j’étais  trop  petite,  le  moulin  était trop grand. J’ai regardé les nuages… eux  aussi,  ils  étaient  en  panne  de vent. Ce jour-là, j’ai décidé de de-venir attrapeuse de courant d’air…»

La petite fille a grandi, elle étudie les courants d’air. Avec son vélo elle a  construit  une  drôle  de  machine. Elle a plein de petites bouteilles vi-des,  et  plein  de  petites  bouteilles pleines de vents…

Un  courant  d’air  c’est  une  feuille d’arbre,  une  plume,  une  poussiè-re  qui  danse  ;  c’est  le  battement d’ailes  d’un  papillon  qui  déclenche un  typhon  ;  c’est  le  vent  léger,  le vent furieux ; c’est quelqu’un d’es-soufflé qui court sans s’arrêter, c’est la première gorgée de vie que boit un  nouveau-né.  Lucie  Catsu  court après ce petit souffle de vie, l’at-trape,  l’étudie,  le  jette  en  l’air  et le poursuit. Elle  invente et  raconte ce  drôle  de  voyage,  où  l’invisible rend  le  monde  vivant.  Elle  explore le souffle, le chant, le goût de l’air, le goût du vent !

« Ce spectacle poétique et musical, au  croisement  des  arts,  transporte l’imaginaire des petits et des grands. (...) Un tourbillon original de poésie et de tendresse à la découverte des airs. Pendant 30 mn, les tout-petits ont  des  yeux  ronds  d’émerveille-ment… » - Journal du Palais

«Voyage d’un courant d’air» a trou-vé  son  lot  d’amateurs  de  douceur, de  notes  poétiques  nous  invitant au  voyage  avec  une  conteuse  nous transportant lentement, comme une plume dans le vent. » - La Montagne

De et avec: Lucie CatsuMise en scène : Stella Cohen HadriaScénographie : Nico GotroBande son : Estelle CoquinLumières : Emma Atkinson

sAiNt-GEorGEs-sur-LoirE

salle Beau site

rue des peupliersmErCrEdi 23mArs11h00 (séances scolaires les 21 et 22 mars)

tArif uNiquE : 4€/30 miN

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trACEs + soLo ‘r’Cie s’poartdanse/hip-hop

Une « trace » est l’influence d’un événement sur son  environnement.  C’est  ce  thème  qu’explore  le  choré-graphe Mickaël  Le Mer dans  cette  création portée par  3  danseurs qui évoluent ensemble ou individuellement dans un univers  poétique,  en  résonance  avec  la mémoire des corps. Cette pièce chorégraphique contemporaine, forgée par  l’exploration des  limites  du  geste, mais  aussi  par  la  richesse des différences que chacun porte en soi, s’appuie, dans la continuité des pièces précédentes du chorégraphe, sur des techniques de danse hip-hop retravaillées à partir  d’influences diverses. Ainsi, les 3 danseurs « b-boys »  virtuoses,  évoluent  avec  force  et  sensibilité  en  faisant  appel  à  leur  propre  histoire,  à  leur  singularité,  leurs  richesses et leurs expériences et traversent ensemble les émotions pour transformer le groupe et leurs danses.

Danseurs interprètes : Nicolas Sannier, Dylan Gagnant et Dara YouLumières : Nicolas TallecMusiques : Julien Camarena

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Spectacle  accueilli  dans  le  cadre  de  Voisinages,  dispositif  soutenu  par  la  Région  des  Pays  de  la  Loire  pour  encourager  la  diffusion  des  équipes artistiques. Traces est en tournée dans les Pays de la Loire : au Grand R à La Roche-sur-Yon, et au CNDC à Angers.

fAyE d’ANjou

pôle Culturel

rue Albert Lebrun

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vENdrEdi 29jANviEr20h30

tArif B/1h

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LA viLLE dE L’ANNéE LoNGuEthéâtre du rictusthéâtreC’est l’Histoire d’une famille qui habite une ville du cercle polaire. Famille un peu spéciale puisqu’on s’aperçoit  rapidement que  la  femme est mariée à  un  ours  polaire,  banquier  de  son  état,  et  journaliste  radio  à  ses  heures perdues. Se croisent, dans ce microcosme fantasque, banquiers, grand-mère (on  ne  sait  de  qui  d’ailleurs...),  enfant,  prix  Nobel  d’économie,  docteur  bobliomane...  autant  de  personnages  délurés  qui  trimbalent  le  spectateur dans une histoire décomplexée pleine de répétitions et reculades successives. Dans cette histoire qui paraît se trouer à mesure qu’elle avance, la famille, la  faune  sauvage,  la médecine  et  la  banque  élaborent  des  stratégies  pour se  tirer  du  mauvais  pas  où  elles  se  sont  embourbées.  Un  joyeux  désordre  ritualisé  où  personnages,  didascalies,  narrateur,  télé  et  radio  sont  en  concurrence  pour  bâtir  un  huis  clos  qui  craque  et  se  disloque ;  à  nous  spectateur de faire nos choix pour rassembler les décombres.

Voix Off : Claudine BonhommeauGrand Mère : Laurence HubyOurs polaire : Ghyslain Del PinoFemme : Ludivine AnberréeDocteur : Christophe GravouilStiglitz : Nicolas SansierBouton : Yann JossoPébereau : Loïc Auffret

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Spectacle accueilli dans le cadre de Voisinages, dispositif soutenu par la Région des Pays de la Loire pour encourager la diffusion des équipes artistiques. La Ville de l’année longue est en tournée dans les Pays de la Loire : au Grand R à La Roche-sur-Yon, au Théâtre de Laval, au Théâtre de St Nazaire et à l’ONYX à St Herblain.

sAiNt-BArthéLémy-d’ANjou

Le thv1 rue jean Gilles

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sAm.6 fév 20h30

dim.7 fév 17h

tArif B

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mAdE iN ChiNACie àthéâtre d’objetLa Chine est le plus grand producteur d’objets au monde. Tous ces objets  « Made  in China »,  arrivant  sur nos étales, dans nos cuisines, nos chambres, nos boites à jouets, nos poches, se  sont  multipliés,  dupliqués,  entassés,  ont  été  délaissés,  abandonnés dans un coin... Sensible à leur poésie ordinaire, la compagnie À a souhaité leur donner une seconde vie.

C’est  un  grand  chantier  burlesque  qui  se  déroule  sous  nos yeux. Au milieu, ouvriers et hommes d’affaires tentent tant bien que mal de s’adapter à un rythme qui va toujours trop vite, de  trouver  leur place dans ce chantier permanent, de rentrer dans cette course effrénée pour survivre et ne pas se faire engloutir.

A  travers  cette  nouvelle  création,  la  compagnie  explore,  comme à son habitude, le rapport qui lie l’acteur à l’objet. Elle propose un autre regard, loin des clichés et idées reçues, sur ces objets manufacturés qui envahissent notre quotidien et,  par  extension,  sur  la  consommation,  la  production  de  masse, ou encore le rapport à la norme.

Conception, mise en scène et direction artistique : Nicolas Alline et Dorothée SaysombatCollaboration artistique, accompagnement à la mise en scène et à la dramaturgie : Michel CerdaComédiens : Si Xianwei, Wu Liuqi, Nicolas Alline, Dorothée Saysombat Musicien : Wang LiCréation lumières et régie : Rodrigue Bernard Construction des accessoires : Latifa Le Forestier, en cours de distribution

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Spectacle accueilli dans le cadre de Voisinages, dispositif soutenu par la Région des Pays de la Loire pour encourager la diffusion des équipes artistiques. Made in China est en tournée dans les Pays de la Loire : au CC de l’Ernée, au Cargo à Segré, au Carré à Château-Gontier, au Grand R à La Roche-sur-Yon, au Théâtre de Laval et au THV à St Barthélémy.

vihiErsCiné’filplace st jean

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vENdrEdi 26févriEr20h30

tArif B/1h

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siLENCECie Night shop théâtrethéâtre/marionnettesJean  et  Elise  forment  un  couple d’un  âge  certain.  Après  65  ans  de vie  commune,  ils  s’aiment  comme au premier jour. Si aujourd’hui ils ne croquent plus la vie à pleines dents, c’est  qu’elles  sont  dans  un  verre d’eau. Silence nous présente leur quotidien, fait  de  petits  désordres  positifs,  tendres et drôles, mais nous confron-te  surtout  aux  affres  du  temps  qui passe.  Car  Elise  perd  peu  à  peu  la mémoire.  Comment  ne  pas  perdre le fil de ce qui est précieux quand l’autre nous quitte un peu ?Sur  scène,  deux  comédiennes  manipulent  et  accompagnent  ces personnages-marionnettes  et  leur donnent  vie  dans  un  univers  de  tendresse et d’ironie. Elise en Jean nous  embarquent  dans  un  voyage philosophique  sur  ce  qui  reste  et ceux  qui  restent,  la  transmission des  valeurs  à  travers  le  temps  et  surtout  la  force  de  l’amour  qui traverse tout, défie tout, même l’oubli.

«Peu  de  mots,  des  gestes  justes, une  émotion  intense,  une  immense complicité entre les marionnettistes  et leurs créatures, la fin de vie  racontée  avec  sensibilité  et  un  pu-blic bouleversé. - La Libre Belgique

«  De  l’or  dans  les  mains,  Isabelle Darras  et  Julie  Tenret  n’en  man-quent pas [...] dans Silence : encore une  pièce  qui  ose  la  douceur  et  la lenteur à l’heure du vacarme et du zapping.«Les  vieux  ne  parlent  plus ou  alors  seulement  parfois  du  bout des yeux, chantait Brel. Ce pourrait être la bande-son de cette pièce où l’on entend la pendule d´argent qui ronronne au salon en observant ces deux  petits  vieux,  marionnettes  à taille  humaine,  aux  gestes  immua-bles,  ankylosés,  et  pourtant  pleins d’ironie.» - Le Soir

Interprètes, en alternance, Julie Tenret et Isabelle Darras, Madeleine Guévart et Aurore LatourMise en scène : Bernard Senny.Auteurs : Julie Tenret, Isabelle Darras, Bernard SennyRéalisation films : Sébastien FernandezCréation lumière : Jérôme DejeanCréation sonore : Guillaume IstaceRégie : Karl Descarreaux, Dimitri Joukovsky (en alternance)Voix off : Suzanne WautersMarionnettes : Joachim Jannin et Pascal Berger (têtes), Julie Tenret et Totzli Godinez de Dios (corps)Scénographie et constructions : Bernard Senny avec Zoé Tenret, Isabelle Darras Julie Tenret.Photos : Yves Kerstius

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roChEfort-sur-LoirE

salle de la prée

rue haute des écoles

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sAmEdi 5mArs20h30

tArif B/1h

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rEtour à rEimsCie Anima motrixthéâtreAdaptation  de  l’essai  de  Didier  Eribon,  Retour  à  Reims  retrace  l’histoire  et  l’ascension  sociale  de ce philosophe et sociologue rémois.À  la  mort  de  son  père,  l’auteur  retourne  à  Reims  et  retrouve  son milieu  d’origine,  le  monde  ouvrier, avec  lequel  il  a  rompu  depuis  plus de  trente  ans.  Mais  impossible  d’étouffer  ce  sentiment  d’être  un «étranger chez soi». Face à sa mère, la vie du «jeune garçon gay effrayé»  ressurgit. Retour à la réalité sociale : pauvreté, violence du père, humi-liation  de  la  mère,  puis  l’injure  et la honte de ses origines pour ce fils d’ouvrier devenu sociologue. C’est le récit d’un départ, d’une délivrance  et  de  la  honte  qui  l’accompagne. C’est  la mise  en  lumière  d’un  déni et ses ressorts. A  chaque  étape  de  ce  récit  intime  se  mêlent  les  éléments  d’une  réflexion sur les classes, la fabri-cation  des  identités,  la  sexualité, la  politique...  Apparaissent  noir sur  blanc  les  multiples  formes  de la  domination  et  les  violences  qui en  résultent.  Le metteur en  scène,  Laurent  Hatat,  capte  parfaitement 

« Laurent Hatat est parvenu à trans-former un récit intime en réflexion sur le sentiment de ne pas se sentir socialement à sa place. [...] Il n’y a pas de pathos dans Retour à Reims, mais une vérité – qui doit beaucoup à  la  formidable  interprétation  de  Sylvie  Debrun  et  Antoine  Mathieu –  Sociologique  et  politique. »  Le Monde

« Du  livre  émouvant  écrit  en  2009 par  le  sociologue  et  philosophe  Didier  Eribon,  [...]  le  metteur en  scène  Laurent  Hatat  a  tiré  un  spectacle  sensible  et  intelligent. Il  y  navigue  entre  deux  pôles :  le  difficile retour vers « la misère ouvrière » d’un homme qui  l’a  fuie à  l’âge  de  20  ans  pour  construire son  existence  et  vivre  une  orienta-tion sexuelle différente, et l’analyse brillante  et  minutieuse  des  pesan-teurs  de  l’appartenance  sociale. » Télérama

Mise en scène et scénographie : Laurent HatatInterprètes : Sylvie Debrun, Antoine MathieuCollaboration dramaturgique : Laurent CaillonCréation sonore : Antoine ReibreCréation lumière : Anna Sauvage

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le propos de l’auteur et le retranscrit  au  travers  d’un  dialogue  émouvant entre le fils et sa mère.

ChALoNNEs-sur-LoirE

Espace Cinérue félix faure

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vENdrEdi 18mArs20h30

tArif B/1h15

Coup dE CoEur du fEstivAL d’AviGNoN

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rAdio ELvisChanson rock

Découvert lors du dernier Printemps de Bourges, Radio Elvis, groupe  aux  accents  chanson-rock,  nous  a  subjugué  par  sa présence, son énergie et sa maturité. 

« Enfants, nous grandissions au large de tout. Nous n’avions pas encore de but mais nous savions qu’il nous faudrait tout quitter. Dans  la chambre vide de nos parents, nous  lisions London  et  Saint-Exupéry.  À  la  vidéothèque,  sur  les  rayons déserts,  il  nous  restait Herzog  et  la  fureur  de  Kinski  pour nous donner du rêve. Nous n’avions pas vraiment connu les années 80 mais nous gardions quelques traces d’ Orchestre Rouge ou de Marquis de Sade. Nous n’avions jamais vu Man-chester  mais  nous  connaissions  sa  musique  et  ça  aussi  ça nous exaltait.Nous  étions  seuls  et  pourtant  des  continents  entiers  va-cillaient sous nos peaux. Des rives du Bosphore, du Rhum de Trinidad, de  l’opium de Shangaï nous connaissions  le goût, nous n’avions qu’à inventer ce que nous sommes aujourd’hui. Enfants, nous vivions seuls dans le péril du jour et, lorsque la nuit s’avançait sur nos maisons perdues, nous écrivions de légers poèmes avec l’espoir secret d’exister. Enfants, nous avions deviné qu’au  loin se tramait un  festin, nos voyages immobiles devaient nous y mener. »

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«S’inspirant des codes de la chanson française (Dominique A, Murat) et des outlaws déglingués de l’Ouest sauvage, Radio  Elvis  se  taille  un  costume  de  premier  choix  sur  la  scène  actuelle.» LES iNROCKS

fAyE d’ANjou

pôle culturel

rue Albert Lebrun

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vENdrEdi 25mArs20h30

tArif B

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LE NEvEu dE rAmEAuCie Grosse théâtrethéâtre« Woyzeck  dit  à  son  capitaine  :  « Nous  les  gens  simples,  on  n’a  pas de  vertu,  on  a  que  la  nature  [...] Ca  doit  être  quelque  chose  de  magnifique d’être vertueux. Mais je ne suis qu’un pauvre gars ». Rassurez-vous,  nous  sommes  tous, un  jour  ou  l’autre,  d’une  certaine manière,  ce  pauvre  gars.  Le  neveu de quelqu’un. »

Monsieur  MOI,  philosophe  de  son état,  donne  la  réplique  à  Monsieur LUI, à la fois musicien, misanthrope,  bourgeoise, petite fille, acteur,  actrice,  mari  cocu,  coquin  cochon, parasite  bohème  et  bavard,  ac-cidentellement  neveu  du  célèbre  compositeur Jean-Philippe Rameau. 

Pour  sa  nouvelle  création  le  très  atypique  artiste  nantais  Hervé  Guilloteau  propose  une  mise  en scène  à  son  image  du  Neveu  de  Rameau  de  Diderot.  Dans  ce  dialo-

Conception et mise en scène : Hervé Guilloteau Adaptation : Hervé Guilloteau et Bertrand Ducher Assistant : Tanguy Bordage Acteurs : Hervé Guilloteau, Coline Barraud, Kevin Laplaige, Sophie Merceron, Tanguy Bordage, Federico Pellegrini Musique : Federico Pellegrini Scénographie, construction, régie plateau : Geoffroy Perrin Costumes, accessoires : Julien Humeau Régie lumière : Thierry Mathieu Réalisation et régie sonore : Guillaume Bariou Production, administration : Christelle Guillotin, assistée de Véronique Lapoudge

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gue à  la  force émotionnelle  remar-quable, Diderot cherche à provoquer son  propre  égarement,  à  remettre en cause ses idées et à donner chair et  identité  à  un  être  de  mauvaise  compagnie – le neveu – qui n’est autre que lui-même. C’est ce qui a séduit Hervé  Guilloteau  et  sa  troupe  du Grosse Theâtre qui met en scène ce savant je t’aime moi non plus dans un théâtre organique, touchant et libé-rateur. Dans une sorte de squat chic et  décadent,  sans  mise  à  distance  ni  aucun  détachement  à  l’égard de  la  partition  écrite,  ce  spectacle donne  à  voir  l’errance,  la  solitude et  l’inconséquence  de  ce  person-nage  du  neveu.  Mais  ce  dialogue philosophique est surtout l’occasion  d’illustrer  le  gai  pessimisme  et  la  lucidité  de  Diderot  à  l’égard  du monde et de la place qu’on peut s’y faire. 

Spectacle accueilli dans le cadre de Voisinages, dispositif soutenu par la Région des Pays de la Loire pour encourager la diffusion des équipes artistiques. Le Neveu de Rameau est en tournée dans les Pays de la Loire : au Cargo à Segré, au T.U. à Nantes et au NTA à Angers.

sAiNt-GEorGEs-sur-LoirE

salle Beau site

rue des peupliers

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vENdrEdi 1er

AvriL20h30

tArif B/1h30

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LE foNd dE L’Air EffrAiEsophia ArAmhumourAprès  quatre  années  passées  à  croquer  l’actualité  au  sein  de  la  matinale  d’Inter,  Sophia Aram  s’interroge  librement  sur  notre  époque.  À  l’heure  où une marque d’eau minérale a plus d’abonnés sur twitter que n’importe quel prix Nobel, où « intello » est devenu une insulste, où le jihad commence sur Facebook, où  les bobos traquent  les traces de gluten dans  le chou frisé et où  Zemmour  réhabilite  Pétain...  Sophia Aram  dépeint  avec  tendresse  des  personnages se débattant dans l’air du temps et s’interroge sur l’état d’un débat public traversé par des idéologies et une actualité parfois dramatique.

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fAyE d’ANjou

pôle Culturel

rue Albert LebrunjEudi 21AvriL20h30

Avec Sophia AramLumières : Julien Barrillet

Musiques : Raphaël Elig

42tArif A/1h15

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fLAquECie defractoCirque/jonglageIl y aura du jonglage. Il y aura du mou. Il y aura des flaques. Il n’y aura ni torture animale, ni gâchis de banane, mais il y aura des chutes, du café, et une procession pour les dernières heures de la Reine Cléopâtre. 

Plus qu’un spectacle de jonglage, Flaque est un graffiti jonglé. Dans un  espace  clos,  délimité  par  du  scotch,  Éric  Longequel  et  Guillaume  Martin  évoluent dans un ballet jonglé entre cartoon et butô. Leurs corps  libres et élastiques tombent et se relèvent entre balles explosives, rattrapes torturées et ratés fantastiques. 

De et avec : David Maillard, Eric Longequel, Guillaume MartinetCréation Musicale, Régie Plateau : David Maillard

Mise en scène : Johan SwartvagherCréation Lumière : David Carney

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NioBéChansonChanteur,  auteur  compositeur,  co-médien.... Jean-Pierre Niobé est un artiste complet. Et ce touche-à-tout ne  fait pas  l’économie de  l’énergie  quand  il  monte  sur  scène,  nous  offrant un tour de chant sans cesse renouvelé et enrichie de ses rencon-tres  et  de  ses  voyages.  Les  textes de  Niobé,  tantôt  engagés,  tantôt tendres,  parfois  à  la  fois  tristes  et joyeux, glorifient nos existences  maladroites  et  vaniteuses,  mais  si pleines de charme. Trouvant un sens et de la poésie à  l’univers qui nous entoure, Niobé aborde tour à tour les 

« Textes exigeants, musiques typées, cuivrées,  qui  fanfaronnent  dans  le gai comme dans la nostalgie » Nos Enchanteurs

« Niobé  fait  partie  des  dignes  héritiers de Leprest avec ses textes ciselés,  imagés  et  métaphoriques » Francofans

Composition, chant, buggle, kayamb, banjo : NiobéGuitare, Basse : Jacques Livenais Guitare, basse, trompette, banjo, choeur : Thibault Niobé Percu, Tipijâze ,trombone, choeur : Kentin Juillard 

thèmes universels de l’amour, de la nature, de l’argent ou de l’enfance,  dans  une  orchestration  toujours  juste et au plus près de la narration. 

vihiErsLa Bouteillerie

rue du comte de Champagny

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sAmEdi 30AvriL20h30

tArif B/1h+1h

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LEs piEds tANquésCie ArtscenicumthéâtreYvan  Audouard,  grand  conteur  du Sud a dit du jeu de boules qu’il était à  la Provence ce que  le  théâtre de Delphes  était  la  Grèce  antique,  un lieu de Tragédie. Le metteur en scène Philippe Chuyen a  choisi  ce  terrain  de  jeu  pour  évoquer avec Les Pieds Tanqués cette période douloureuse de l’Histoire de France qu’est la guerre d’Algérie.Un  jeu  donc  pour  évoquer  les  problématiques  d’appartenance  à un  territoire,  de  déracinement  et  d’enracinement,  d’identité.  Une partie  de  boules  avec  ses  bons mots mais aussi ses coups bas, pour  évoquer  les  blessures  de  l’exil,  de la  culpabilité,  des  rancoeurs  et  le  pardon. Quatre  joueurs  sont  en  scène  dans cette  partie  de  pétanque  de  tous les dangers  : un  rapatrié d’Algérie, un  Français  de  l’immigration  algé-rienne,  un  Provençal  «de  souche» et  un  Parisien  fraîchement  arrivé en Provence. Au fil du jeu, les bles-sures  secrètes  refont  surface et  les  opposent, chacun livrant sa vérité.

« Un propos indispensable qui donne  à réfléchir, servi par des acteurs  talentueux et confondants de vérité. Un  texte  intelligent  et  cousu  main pour  nos  joueurs.  Il  y  avait  la  par-tie  de  carte  de  Pagnol,  il  y  aura  à présent la partie de boules des Pieds Tanqués.»  La Provence 

«  Un  spectacle  d’une  grande  humanité  qui  nous  interroge  et dans  lequel  la  gravité  des  propos  n’exclut  pas  l’humour.  Un  spectacle sur «hier» pour nous aider à construire un présent vivable. »  -  Kourandart 

«  Deux  bancs,  sous  le  soleil,  et un  rayonnement  puissant  pour  ce  spectacle  à  l’ardente  sincérité.  Au travers d’un jeu de pétanque, c’est la  guerre  d’Algérie  qui,  au  grand jour, est posée comme fondatrice de nos  identités  respectives. A  voir  et revoir sans modération ! » - La Boite à Culture 

Mise en scène : Philippe ChuyenComédiens : Philippe Chuyen, Sofiane Belmou-den, Gérard Dubouche, Thierry Paul« Choeur Antique » : Jean-Louis Todisco

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sAiNt-GEorGEs-sur-LoirE

société Le Cercle de l’union

route de Chalonnes

(entrée au niveau du n°13)

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sAmEdi 21mAi

17h00

tArif B/1h05

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hEurEs séCuLAirEsCie Les sélèneCirque contemplatif«Au fond du placard de Monsieur Satie, il y a une boîte à musique et un miroir dont les reflets éclairent toujours notre monde» Dans le champ de mémoire omniprésent de l’auteur-compositeur et musicien Erik Satie, voici un voyage futuriste d’âpreté et de grâce suspendus à vivre en présence des Sélène. Pour Heures Séculaires, les Sélène réunissent Laura de Lagillardaie et Olivier Brandicourt dans un travail qui puise sa force de l’air, dans cet espace baigné de lumière et de silence, qui laisse à entendre et voir cet endroit invisible et indicible…De et avec Laura de Lagillardaie et Olivier Brandicourt

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Denis  Péan  réunit  7  chanteuses/musiciennes  à fleur de tympan pour un concert tour à tour in-time et explosif. C’est ainsi que se mêlent cor-des  grattées  et  celles  que  l’archet  caresse,  les peaux, le bois, les cloches, la scie musicale, une voix d’homme, la poésie en français, en argentin en créole, puis d’autres onomatopées célestes, le piano, les embouchures cuivrées et les chants de  « LA TRIBU des FEMMES » pour des transes cho-rales. Au festin des musiques on croisera  le  feu de la milonga argentine aux poésies brodées à la manche de l’automne, des brocarts de phonèmes au sang de maloya.

dENis péAN Et LA triBu dEs fEmmEssuivi d’un Grand final avec le «big orchestre du Layon» !

Pour clôturer la résidence de Denis Péan, le groupe jouera un final avec des musiciens

et chanteurs amateurs du coin !

Chants, percussions, kamel’n’goni, saxophone : Nadia et Yamina Nid el Mourid de Lo’joChants, violoncelle, clarinettes, percussions : Laura et Gianna Caronni des Hermanas CaronniChants, percussions, violon, ukulélé, guitare, scie musicale : Oriane Lacaille et Coline Linder de Titi ZaroChant, saxophone baryton, trombone, flûte : Elisabeth HéraultChant, piano, mélodica : Denis Péan de Lo’jo

50 miN

viLLAGEs EN sCèNE fêtE sEs 15 ANs !

CErNussoN

parc de loisirs

rue de la motte

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sAmEdi 28mAi

20h30

tArif B

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mAN rECCie Amala dianor

danse« Man Rec » signifie « seulement moi »  en  wolof,  langue  la  plus  parlée  au Sénégal  dont  est  originaire  Amala Dianor.  Cette  nouvelle  création, chorégraphiée et interprêtée par le danseur  angevin,  propose  un  dialo-gue entre ses origines multiples, des danses urbaines à la danse contem-poraine  en  passant  par  les  danses africaines,  qu’il  conjugue  au  singu-lier.  Ce  spectacle  prend  pour  point  de  départ  la  nature  complexe  de 

Chorégraphié et interprêté par Amala Dianor Assistante à la chorégraphie : Rindra Rasoaveloson 

Musiques : LEON – François Przybylski Lumières : Augustin Sauldubois 

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ExtENsioNdanseExtension est un clin d’œil à  la première  rencontre sur  scène entre Amala Dianor et B- boy Junior à l’occasion des vingt ans du Festival Suresnes Cité Danses. Pour cette création ils développent un duo qui allie à la fois la grâce de leurs énergies félines, la virtuosité technique et leurs prouesses physiques dans un esprit de partage et de fraternité. Dialogue entre deux personnalités du hip hop  français,  Extension est  un prolongement de  chacun d’eux dans l’échange avec l’autre.

Chorégraphié et interprêté par : Amala Dianor et Junior Bosila (bboy Junior) Musiques : Oliver

l’individu : son identité, le rapport à l’autre et à la société. Avec ce solo, Amala Dianor se détache de tout ce qui le conditionne et l’enferme, pour nous  offrir  un  spectacle  riche  en  influences. Amala Dianor explore dans  ce  spectacle  les  «moi»  multi-ples qui se dévoilent et s’effacent les uns après les autres laissant la place à cet autre moi face à lui-même et debout devant vous.

ChALoNNEs-sur-LoirE

parvis de la halle

des marinierssAmEdi 11juiN20h30

Spectacle accueilli dans le cadre de Voisinages, dispositif soutenu par la Région des Pays de la Loire pour encourager la diffusion des équipes artistiques. Extension et Man Rec sont en tournée dans les Pays de la Loire, Extension au Cargo à Segré, et Man Rec à l’Espal au Mans.

GrAtuit/25 miN+15 miN

ChALoNNEs-sur-LoirE

départ square Aberlenc

rue des poilus (devant La poste)

50

sAmEdi 11juiN

12h et 18h

tArif C/45 miN

horizoN dANsE

hAppy mANifdavid rolland Chorégraphiesdéambulation chorégraphique décalée

Devenez  acteurs  d’une  joyeuse  ex-cursion dans les rues de Chalonnes ! Happy  Manif  se  présente  comme une  déambulation  chorégraphique joyeuse  et  décalée  propice  à  la bonne  humeur  générale,  un  jeu  de rôle grandeur nature. Casque sur les oreilles,  devenez  instantanément interprètes  d’une  partition  urbaine originales  sur  des  rythmes  électro-pop. Une fois le top départ annoncé,  une  bande  sonore  vous  délivre  des indications  de  déplacements  et d’actions,  pour  s’amuser  et  porter un regard nouveau sur la ville et sur nos comportements.

Conception : David RollandMontage sonore : Roland Ravard

(arriver 15 mn avant le début de la déambulation)

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ArtistEs EN résidENCE, stAGEs Et AtELiErs dE LA sAisoN

>> LEs Lo’jo EN résidENCE sur LE tErritoirEA  l’occasion des 15 ans de Villages en scène, nous accueillons cette année les Lo’Jo en résidence pour la réalisation d’une grande création collective et participative avec des chanteurs et des musiciens amateurs du coin. Deux ateliers de création sont proposés : un atelier instrumental dirigé par Denis Péan et un atelier chorale encadré par Nadia et Yamina Nid El Mourid. Ces ateliers auront lieu entre mars et mai 2016. Le résultat de cette création collective sera présenté le 28 mai, lors d’un concert final à Cernusson.

Alors, si vous avez envie de vous lancer dans le chant ou si vous jouez d’un instrument à vos heures perdues et que vous souhaitez prendre part à cette aventure unique, c’est le moment de vous lancer! 

inFos / insCRiPTions : [email protected]

Lors de cette résidence nous diffuserons également le documentaire « Denis Péan, Trésors de Paix »,  réalisé par Philippe Gasnier.  Filmé en 2013, Denis  nous organise un parcours dans le labyrinthe de sa vie faite de rencontres et de musiques, de réflexions et de voyages. De ces instants partagés émerge une personnalité hors du commun, au delà de toute frontière.

> Le film sera projeté mercredi 30 mars à 20h30 au cinéma de Thouarcé.

>> ANtoiNE Birot EN résidENCE AvEC horizoN(s) sAisoN dE ChALoNNEs-sur-LoirEArtiste au croisement du théâtre d’objet, plasticien et concepteur d’installa-tions mécaniques et de spectacles, Antoine Birot s’installe à partir de janvier à Chalonnes-sur-Loire pour une résidence artistique conçue autour du projet de création d’un cabinet de curiosité inspiré d’une figure locale de la ville. Au 19ème siècle vécut à Chalonnes Paul Bouton, un des personnages les plus géniaux et les plus insolites de son époque ! Son domaine de recherche : la curiosité. Au fil des ans, il a ainsi constitué une incroyable collection d’ob-jets en tous genres, étranges ou farfelus... Antoine Birot invite les habitants de Chalonnes à reconstituer cette histoire en participant à la réalisation de cette fantastique collection. Galerie des monstres, Instruments de musiques fantasques ou objets du quotidiens détournés. Des ateliers participatifs vont être proposés aux habitants. 

inFos/ insCRiPTion : [email protected]

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LEs tArifs dE LA sAisoN  pLEiN réduit supEr forfAit réduit fAmiLLEtArif A  19€ 16€ 11€tArif B  15€ 13€ 9€tArif C  13€ 11€ 8€ tArif d  10€ 6€ 4€ 18€ 

réduit : Abonnés,  demandeurs  d’emplois,  étudiants,  groupes  de plus de 10 personnes

super réduit : moins de 18 ans, bénéficiaires des minimas  sociaux, demandeurs d’emploi possédant la carte abonnement.

forfait famille : pour les (grands) parents et (petits) enfants d’une même famille

résErvAtioNs : 02.41.78.26.21(voir modalités sur le feuillet ci-contre)

>> ACtioN CuLturELLE Autour du spECtACLE ‘viEux’ dE LA CiE ostEoroCKEn parallèle de la diffusion de leur spectacle « Vieux », Carole Bonneau et la compagnie Osteorock proposent un dispositif  d’ateliers  intergénérationnels  en  partenariat  avec  les  collèges,  EHPAD  et  foyers  logement  du  territoire. Des ateliers autour de la danse et de l’expression corporelle mais aussi des  ateliers  de  « bavard’âge »  et  de  « tricotin’âge »  seront  ainsi  proposés  aux  jeunes et aux personnes âgées.

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>> CréAtioN AmAtEur AvEC AmALA diANorDans le cadre de la programmation de Man REC à Horizon danse, nous propo-sons un atelier de création danse contemporaine et Hip/hop le week-end du 4/5 juin. 

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viLLAGEs EN sCèNE est organisé par toutes les communes 

du Pays Loire en Layon accueillant les spectacles. Ce projet est soutenu haut et fort 

par les Communautés de Communes Loire-Layon, Coteaux du Layon, Vihiersois Haut Layon et par le Département de Maine-et-Loire.