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METAL + SERVICEZI Les Portes de Chambaran38 980 VIRIVILLETél. : 06 66 37 86 37 Fax : 04 74 54 09 89Mail : [email protected]
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ParachèvementStructures MétalliquesVous recherchez un partenaire de confiance, spécialiste dans la transformation des aciers.
Nos activités : Fabrication de structures et charpentes métalliques Parachèvement Serrureries industrielles Mécano-soudure Découpe laser, plasma et oxycoupage
Notre savoir-faire industriel et nos prestations techniques de qualité à des prix très compétitifs ont su ga-gner la confiance de grands donneurs d’ordre en France et à l’export.Alors pourquoi pas vous ?
La découpe des tôles et plaques :- le laser, qui allie rapidité et précision
- le plasma, en haute définition- l’oxycoupage, pour les fortes épaisseurs
Le parachèvement des profils : - le sciage, en coupe droite et biaise
- le perçage, à grande vitesse- le grugeage, alvéolaire ou d’extrémité
Le profil reconstitué soudé :- la reconstitution, de vos profils
droits ou cintrés- la soudure, sous flux en automatique
- la finalisation, par nos équipes de professionnels
La mécano-soudure :- l’assemblage, des pièces suivant vos plans
- la soudure, par notre personnel qualifié- les contrôles, par magnétoscopie,
ultrason ou même radio
Le magazine d’information de la construction métallique
N°
1-20
12
www.cticm.com
Ingénierie incendieMusée des civilisations de l’Europe et de la Méditerranée (MuCEM) de Marseille
Sur le terrainÀ Murles, le pari de l’acier au service d’une maison individuelle
DossierLes publications du CTICM
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Contactez-nous pour plus d’informations ou une offre !
Nemetschek Scia SARL, 2, Rue Louis Armand, F-92661 AsnièresTél: +33 1.46.13.47.09, Fax: +33 1.46.13.47.01, [email protected]
Fonctionnalités Eurocode• Chargesclimatiques2Dou3D(EC1)• Calculau2ndordreavecimperfectionsinitiales(EC3-1-1)• Vérificationdeséléments(EC3-1-1)*• Calculdelarésistanceaufeu(EC3-1-2)• Profilsminces(EC3-1-3)• PRSenclasse4(EC3-1-5)• Assemblagesavecpriseencomptedelasemi-rigiditéeffective(EC3-1-8)• Poutresetpoteauxmixtes(EC4)• Blocsdefondation(EC7),Calculssismiques(EC8),Aluminium(EC9)• PriseencomptedesprincipalesAnnexesNationales(NF-EN,DIN-EN,BS-EN, NBN-EN,NEN-ENetc.)
Scia Engineer. Au-delà du calcul. Explorer. Optimiser. Collaborer.
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Nouveautés CM 2011MéthodesECCS119/GaleaetLopez,Yong,SernapourlecalculdeMcr,priseencomptedelasoudurepourdéterminationdelaclassedesPRS,cataloguesdesparoismincesétendus,saisiedirectedescaractéristiquesefficaces,poutrelles-treillispréfabriquées,poteauxétrésilonnés,améliorationsdiversespourlespoutresetpoteauxmixtes.
Modélisation
Calcul
Production de plans d’ensemble
Lien vers Tekla Structures
Optimisation selon les Eurocodes
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Édito
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Le CTICM, 50 ans et de plus en plus vert
h oui, le CTICM entre dans le cercle des organismes quinquagénaires.Comme il nous a été loisible de le vérifier en consultant nos archives ou nos mémoires, ces cinquante ans de fonctionnement du Centre se caractérisent en premier lieu, et même si nous avons aussi connu de belles aventures plus
localisées dans le temps, par le caractère permanent de l’exécution de nos missions statutaires : la recherche, la normalisation, l’assistance technique aux entreprises, le transfert des connaissances.
– La recherche qui est le moteur de l’innovation et du progrès technique ;– La normalisation qui apporte aux entreprises un gage de constructions sûres, et un
cadre de concurrence loyale ;– L’assistance technique aux entreprises, qui leur fournit en temps réel l’information
ou l’explication dont elles ont besoin au quotidien ;– Le transfert des connaissances, qui leur procure, à une échelle de temps un peu plus
longue, l’information, les outils de calcul, la formation continue, pour renforcer leur socle de compétences.
Dans ce transfert des connaissances figurent au premier chef l’établissement et la diffusion de publications. C’est l’objet du dossier que nous vous présentons aujourd’hui.Publier consomme des ressources importantes, en temps de rédaction comme en frais d’édition. Aussi avons-nous dû ces deux dernières années différer quelque peu la réalisation de certaines de nos intentions. Mais nous avons bien l’intention de repartir de l’avant en 2012, et nous vous espérons avides d’étudier nos ouvrages.
Bonne lecture à tous.
Bruno CHABROLINDirecteur du transfert des connaissances,
CTICM
Votre centre technique depuis 1962
2012
3CMI N°1 – 2012Construction Métallique Informations
S T E E L T H I N K I N G
La nouvelle gamme de produits ENDEAVOUR a été développée pour améliorer le processus de perçage des profilées (de 610 x 310 mm à 1220 x 610 mm). Elle assure une meilleure qualité et une productivité supérieure à celle d’une ligne de perçage traditionnelle. Les trois têtes de perçages équipées de moteurs type «élèctrobroches» travaillent simultanément grâce à une course supplémentaire de 250 mm pour diminuer le mouvement des profilés. L’ENDEAVOUR peut être proposée également pour des profilés de 2030 x 610 mm.
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ENDEAVOUR 1203DDLigne de perçage
Basée à Varese, Italie, Ficep est le premier fabricant de machines-outils pour l’industrie de la construction métallique, avec des clients dans près de 90 pays dans le monde. La société offre la plus large gamme au monde de machines, à la fois pour la structure métallique et les industries de la forge.
Les systèmes entièrement automatiques de fabrication pour l’acier sont de plus en plus fréquents car ils fournissent: une réduction du besoin en compétences de haut niveau, un environnement de fabrication plus sécurisé, une diminution des heures / Tonne, une meilleure qualité, une augmentation de la production et une durabilité environnementale. Ficep est le premier fournisseur au monde pour les systèmes entièrement automatiques.
Système automatique
GEMINI HD36Portique automatique à commande numérique de perçage,
fraisage, et de coupe thermique pour le travail de la tôle de grandes dimensions
La GEMINI HD36 est un portique à commande numérique avancé pour le travail de la tôle, sa conception modulaire permet de réaliser des opérations de perçage, fraisage, marquage et de découpes thermiques (Oxycoupage + Plasma). De plus la GEMINI HD36 permet de réaliser des chanfreins en une seule opération grâce à une nouvelle technologie de tête orientable.
LIGNE DE PERCAGE SCIAGE AUTOMATIQUE
CENTRE DE PERCAGE, FRAISAGE, GRAVAGE,CHANFREINAGE ,DECOUPE PLASMA ET OXYCOUPEGE POUR TOLES FORTES
LIGNE DE POINCONNAGE, CISAILLAGE,MARQUAGE POUR CORNIERE
Sommaire
Informations techniques 6
Contrat de performance 2012-2015
Dossier 8
Les publications du CTICM
Actualités 22
ConstruirAcier s’affiche sur le web 22
Visite du CEREM à Marseille 22
À vos projets… Planchez ! 22
Collection Acier 10/50 à suivre… 22
Acier revue d’architecture n°4 vient de paraître 23
Portrait 24
RAVOYARD
Sur le terrain 28
À Murles Le pari de l’acier au service d’une maison individuelle
Ingénierie incendie 34
Musée des civilisations de l’Europe et de la Méditerranée (MuCEM) de Marseille Étude d’ingénierie incendie sur les passerelles en structure acier
Formation 36
Vos formations au CTICM
Assistance technique 40
Éditeur :CTICM - Centre Technique Industriel de la Construction MétalliqueDirecteur de la publication : Christophe Mathieu directeur général du CTICMRédaction : CTICM – Service publicationsContact : Isabelle Pharisier, Tél. : 01 60 13 83 00 E-mail : [email protected]é en FranceFabrication et réalisation : MRGS, Tél. : 09 52 28 81 07
CTICM Espace technologique L’Orme des Merisiers Bâtiment Apollo 91193 Saint-Aubin Tél. : 01 60 13 83 00 Fax : 01 60 13 13 03
CMI est diffusé gracieusement à 8 500 exemplaires.CMI, dans un souci de préservation de l’environnement, est imprimé sur papier recyclable. La reproduction même partielle de tout matériel publié dans CMI est strictement interdite. Les annonceurs prennent l’entière responsabilité des informations qu’ils insèrent et déclarent être autorisés à les utiliser.
Photo de couverture :Maison individuelle à Murles, Hérault. Voir notre article page 28.
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Informations techniques
a feuille de route du CTICM pour les quatre ans à venir est opérationnelle.
Trois enjeux majeurs ont été identifiés avec la profession :– l’application généralisée des normes eu-
ropéennes de conception, calcul et exécu-tion des ouvrages métalliques ;
– la diffusion et la banalisation dans la filière de techniques de conception actua-lisées : comportement en situation d’in-cendie, conception parasismique, effica-cité énergétique ;
– la maîtrise et l’anticipation des enjeux du Grenelle de l’environnement.
De ces trois enjeux découle une forte partie des actions de recherche, d’aide à l’innova-tion, d’information et de sensibilisation, de transfert des connaissances, qui forment le contenu plus détaillé de ce contrat de performances.
Le plan d’actions est constitué par 15 ru-briques identifiées ventilées selon 5 types d’activité. Précisons cependant qu’il n’a pas un caractère exhaustif.Chaque action est décrite par son but, ses bénéficiaires, les moyens mis en œuvre, son mode de financement, un ou des indi-cateurs de réussite et leur valeur cible.
Transfert– Publications et internet,– Performance énergétique,– Méthodes simplifiées et outils d’applica-
tion des normes,– Appropriation par les entreprises de la
conception en situation d’incendie,– Rencontres avec les entreprises.
R&D– FDES et Analyse du cycle de vie,– Eco-conception,– Performances thermiques et énergétiques,– Stabilité des structures à froid et sous
incendie,– Valorisation.
Normalisation– BNCM et autres activités de normalisation.
Formation et enseignement– Développement de l’offre de formation.
Veille et conseil– Veille et conseil technologiques,– Veille sur les risques et opportunités pour
la filière.
Formation (activités marchandes)– Réalisation de stages de formation.
Ce plan a été bâti en tenant compte du dé-roulement du contrat de performance 2008-2011, qui s’est révélé un outil de pilotage précieux, apte à supporter les aléas de la conjoncture, comme en témoignent ses in-dicateurs de réussite, qui atteignent globa-lement des niveaux supérieurs aux valeurs cibles, malgré quelques disparités, dans un sens comme dans l’autre, inévitables.
Après quatre années riches en activités, c’est donc avec confiance et détermination que nous abordons, munis de notre contrat de performance, cette nouvelle « olym-piade » 2012-2015.
Bruno ChabrolinDirecteur scientifique, CTICM
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Contrat de performance 2012-2015Depuis huit ans maintenant, le CTICM définit et conduit
ses actions, en concertation avec le Syndicat de la
construction métallique de France et le Ministère en
charge de l’industrie, sur la base de plans à quatre ans.
2012 marque le démarrage du troisième de ces plans.
6 CMI N°1 – 2012Construction Métallique Informations
Votre centre technique depuis 1962
2012
50 ansau service de la construction métallique
Dossier
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Ascap - capacités d’assemblages
Collection « les guides Ascap »-CTICM 2007Ouvrage collectif sous la direction de Dominique Semin (CTICM)Volume 1 :ISBN 978-2-902720-30-9Volume 2 :ISBN 978-2-902720-32-3Volume 3 :ISBN 978-2-902720-37-8Prix de vente au volume 60 E TTC ;Prix de vente volume 1+2 :100 E TTCFrais de port 4 E TTC
Les publications du CTICMLa recherche d’informations est bien souvent
fastidieuse. Pour preuve : qui ne s’est plaint un jour
de ne jamais trouver l’information quand il en avait
besoin ? Avoir une bonne bibliothèque prend tout son
sens dans ce cas précis.
Le CTICM vous propose de nombreuses publications
techniques dont il est l’éditeur ou le coéditeur, ou
simplement le diffuseur. Voici dans ce dossier un petit
panorama des incontournables pour votre bibliothèque.
P lusieurs catégories d’ou-vrages vous sont présentées dans le catalogue publication du CTICM. En premier lieu : la
Revue Construction Métallique parue sans discontinuer depuis 1964. Revue de réfé-rence en la matière, elle allie articles à ca-ractère scientifique, et notes techniques. Trimestrielle, elle constitue un véritable outil pour les enseignants, les concep-teurs et les praticiens de la construction métallique.Viennent ensuite les ouvrages tech-niques dont vous trouverez les titres les plus récents ou à paraître décrits dans ce dossier. L’ensemble de ces ouvrages est
catalogué à la rubrique « Publications » du site www.cticm.com. Un catalogue papier, disponible sur simple demande, est en cours d’actualisation et sera disponible prochainement auprès du service publica-tion (tél. :01 60 13 83 00).Les ouvrages que nous vous proposons sont soit des éditions du CTICM, soit des ouvrages réalisés par des éditeurs tels que la CECM, ConstruirAcier, le Cidect, etc.Ces publications techniques couvrent les aspects de la résistance des matériaux, de la conception et du calcul des ouvrages en acier, ils vous apportent un éclairage précis sur les évolutions les plus récentes de la construction métallique.
L’objet de la collection « Les guides ASCAP » est de fournir aux bureaux d’études des solutions rapides d’as-semblages dans les configurations les
plus courantes, pratiquement sans calcul, tout en fournissant pour ces assemblages des indications facilitant leur adaptation éventuelle.
ASCAPL’Eurocode 3 traite des assemblages dans sa
partie 1-8, dont le moins que l’on puisse dire
est qu’elle est d’application ardue ! Les logiciels
sont ou seront une solution, mais nous vous en
proposons une autre avec les guides ASCAP.
CMI N°1 – 2012Construction Métallique Informations
Chaque ouvrage débute par un chapitre dé-crivant les choix ayant présidé à la confec-tion des tables de capacités (nuances des aciers, types de profils, diamètre, qualité et disposition des boulons, soudures…)Les principes et méthodes de justification du type d’assemblage traité sont ensuite décrits. Un exemple particulier est entiè-rement traité « à la main ».Les solutions sont fournies sous forme de tables de capacité, et sont entièrement en cohérence avec l’EN 1993-1-8 et son annexe nationale française.Chaque ouvrage est accompagné d’un CD-Rom contenant une application permettant
d’accéder à un nombre encore plus grand de configurations. Les trois volumes « ASCAP » :• Assemblages de continuité de poutres
réalisés par platine d’about.• Encastrement de poutres sur poteaux
réalisés par platines d’about• Attaches de poutres réalisées par double
cornièreNuances d’acier : S 235 ou S 355Profils : IPE, HEA (dans les tables, le CD Rom offre un choix élargi)Boulons : 8.8 ou 10.9Les deux premiers volumes sont disponibles, le troisième paraîtra au premier semestre 2012.
Structures métalliques – Ouvrages simplesCapeb, CTICM, Otua, 2008ISBN 2-7258-0006-4Prix de vente 35E TTC Frais de port 4 E TTC
Structures metalliques - ouvrages simplesRéalisé par le CTICM en partenariat avec la Capeb et l’Otua,
ce guide est une version revue et augmentée de la première
édition qui remontait à 1991. Il s’adresse aux calculateurs
devant prédimensionner des ouvrages en acier simples.
Dans le contexte de l’entrée en vigueur des normes européennes, le calcul des ouvrages est décrit par référence aux Eurocodes.Le guide traite des différents aspects de la conception et du calcul des ouvrages. Il commence par rappeler et commenter les principales caractéristiques du maté-riau acier : normes de référence, désigna-tion des nuances, caractéristiques méca-niques (limite d’élasticité, résilience…), produits sidérurgiques.Les principales actions s’exerçant sur les ouvrages sont ensuite explicitées : poids propre et charges permanentes, neige, vent.Une dizaine de pages sont consacrées à la conception, avec de nombreux schémas à l’appui : système porteur d’un bâtiment, rôle des différents éléments (poteaux, poutres, stabilités, éléments supports de la couverture et des façades, chemine-ment des charges jusqu’aux fondations).On aborde alors le calcul, avec les prin-cipes fondamentaux du calcul que sont les états limites, les combinaisons d’actions, les coefficients de sécurité, les procédures de calcul des efforts dans les éléments, avant de traiter successivement les états limites de service (limitations de défor-mation), puis les états limites ultimes :
résistance à la traction, à la flexion, à la compression et au flambement. De nombreux exemples illustrent les différentes vérifications.Suit un chapitre revenant sur le rôle
CMI N°1 – 2012Construction Métallique Informations 9
ABONNEZ-VOUS!Tarif de l’abonnement annuel 2012 (4 numéros) :France 149 € TTCÉtranger 185 € TTC
Volume quantité prix unitaire prix total
Abonnement 2012 France* 149 € TTC
Abonnement 2012 Étranger* 185 € TTC
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déjà parus.
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Adresse de facturation (si différente) :........................................................................
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VOS COORDONNÉES
VOTRE COMMANDE
À retourner accompagné de votre règlement par chèque à l’ordre du CTICM:
CTICMservice publications
Espace technologiqueL’orme des merisiers
Immeuble Apollo
91193 Saint-Aubin
REVUE CONSTRUCTION MÉTALLIQUEla référence depuis plus de 47 ansrecherche, calcul et conception, ingénierie incendie, réglementation et normalisation,descriptions d’ouvrages
Conditions générales de ventes disponibles sur le site www.cticm.com ou sur simple demande à [email protected]
Construire en métal, un art, notre métier
Réalisé dans le cadre du programme recherche développement Métier de la FFB, avec le soutien de l’Ademe, ce guide résulte de la collaboration entre la Fédé-ration Française du Bâtiment (FFB) et le
Centre Technique Industriel de la Construc-tion Métallique (CTICM). Ce guide est un document d’étape ; il reprend les exigences de la réglementa-tion thermique en vigueur (RT 2005). Les
Toute poutre fléchie dans son plan de forte inertie peut présenter un risque d’instabili-té si elle n’est pas maintenue latéralement de façon efficace. Ce mode d’instabilité que l’on désigne par le terme « déverse-ment » est sans doute l’un des plus com-plexes que l’on peut rencontrer dans le do-maine de la construction. La résistance au déversement d’une poutre dépend en effet de nombreux paramètres qui ont presque toujours une influence significative sur les résultats : rigidités flexionnelles et torsion-nelles, disposition des charges appliquées, conditions d’appui, etc.Afin d’apporter quelques éclaircissement
sur le déversement des poutres, le CTICM publiera, dans les prochains mois, un guide pratique destiné aux bureaux d’études. Ce guide présente notamment des dia-grammes qui montrent l’influence relative des paramètres d’influence. Il propose aus-si des méthodes de calcul et des exemples, en se référant aux règles de l’Eurocode 3 (EN 1993-1-1). Ce guide résulte, pour une large part, de la traduction d’un rapport ré-digé dans le cadre d’un projet de recherche européen sur le déversement des poutres en acier et mixte acier-béton.Dès la publication de ce guide, une infor-mation sera donnée dans CMI.
Déversement des poutres en acier
Titre
Déversement
des poutres en acier
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Alain Bureau
ISBN : 978-2-902720-36-1Espace technologique
L’Orme des Merisiers
Bâtiment Apollo – 91193 Saint-Aubin
Tél. : 01 60 13 83 00
Fax : 01 60 13 83 74
Ouvrage en préparation
Réglementation thermique des bâtiments neufs
Guide construction métallique
Le défi de l’énergie dans les bâtiments neufs
Réglementation thermique des bâtiments neufs (Guide construction métallique)
Collection FFB, 2008Rédaction Amor Ben Larbi CTICMISBN 978-2-915162-80-6Prix de vente 13 E TTCFrais de port 4 E TTC
des différents composants d’un bâtiment et les dispositions constructives les plus adéquates, y compris pour les assem-blages, les liaisons aux fondations et les scellements.Enfin, on donne les principes de la pro-tection anti-corrosion et de la protection contre l’incendie.Plusieurs annexes fournissent des ta-bleaux de choix de profils en flexion ou
au flambement, ainsi que des tableaux de caractéristiques de profils. Accessible à tous, cet ouvrage permettra au lecteur de découvrir la construction métallique ou de conforter éventuellement des notions antérieures. Et pour tous, il constitue une entrée en matière pour la compréhension et la connaissance des Eurocodes.
CMI N°1 – 2012Construction Métallique Informations 11
Dossier
12
Cet ouvrage décrit dans le détail les étapes du calcul d’un bâtiment rectangulaire sta-bilisé par des portiques dans le sens trans-versal et des croix de Saint-André dans le sens longitudinal. Le bâtiment, qui ne com-porte pas de pont roulant, est à un niveau mais avec un plancher mezzanine sur l’un des côtés. Les portiques, articulés en pied, ont des poteaux laminés et des traverses
en treillis. Les pannes sont en IPE.Les calculs sont conformes aux nouvelles normes EN 1991 et EN 1993. Sont présen-tés l’évaluation des charges (exploitation, neige, vent), le calcul des sollicitations avec prise en compte des imperfections d’aplomb, les justifications des poteaux, traverses treillis, stabilités verticales et poutre au vent, pannes et assemblages.
Ce document a pour objet d’indiquer com-ment déterminer les actions du vent à considérer pour le calcul des bâtiments, selon les Eurocodes (EN 1991-1-4, l’EN 1991-1-1/NA et l’EN 1991-1-4/NA/A1).À partir d’une méthode simplifiée appli-quée à un bâtiment courant, il fournit les méthodes détaillées appliquées à des bâti-ments de plus en plus complexes.
Ce document s’applique aux bâtiments et constructions industrielles.Les méthodes et formulations expo-sées sont illustrées par des exemples d’application.Des annotations complémentaires four-nissent des indications comparatives par rapport aux Règles NV 65.
Dimensionnement d’un bâtiment industriel (parution 2012)
Éole (parution 2012)
Guide de calcul des pylônes (parution 2012-2013)
Le calcul des pylônes (EN 1993-3-1) pré-sente certaines étapes assez complexes : détermination des charges de vent et des cas de charges associés, prise en compte du givre, effets du second ordre éventuels, prise en compte des tensions de pose dans les haubans…
Ce guide comportera une partie méthodo-logique et quatre exemples détaillés de calcul : pylône treillis carré autostable, pylône treillis triangulaire autostable, pylône monofût haubanné , pylône treillis carré haubanné.) A ce jour les exemples de calcul sont finalisés.
informations données doivent être consi-dérées comme la base minimale de réa-lisation des ouvrages dans la mesure où ces exigences seront considérablement renforcées dans la prochaine réglementa-tion thermique (RT 2012), dont la mise en application est prévue courant 2011.Après un rappel de quelques notions de la RT 2005 et des systèmes constructifs en acier, ce guide présente les performances thermiques de différents procédés de fa-çade et de couverture en acier. Enfin, une grande partie du guide traite des ponts thermiques dans les enveloppes les plus courantes de bâtiments en construction
métallique avec notamment des solutions de de correction.Destiné aux professionnels du Bâtiment qui interviennent sur les constructions neuves, résidentielles et tertiaires, il a été rédigé par Amor Ben Larbi (CTICM) avec la participation d’un groupe de travail com-posé de représentants des Unions et Syn-dicats de métiers de la FFB. Le Syndicat de la Construction Métallique de France (SCMF-FFB), l’Union des Métalliers (FFB-Métallerie) et le Syndicat National du Pro-filage des Produits Plats en Acier (SNPPA) ont particulièrement contribué à l’aboutis-sement de cet ouvrage.
Exemples de systèmes constructifs en acier avec de hautes performances thermiques
CMI N°1 – 2012Construction Métallique Informations
Action du feu sur les structures en acier Calcul des structures en acier en situation d’incendie
CSTB - ÉDITION 2009 (74 pages) - ISBN 978-2-86891-426-2N. AymeCe guide d’application porte sur l’action du feu sur les structures en acier. Il s’inscrit dans le programme d’accompagnement de la Directive Produit de Construction (DPC) et a pour objectif de faciliter l’application de la NF EN 1993-1-2 de Novembre 2005 (Eurocode 3 – Calcul des structures en acier– Partie 1-2 : Règles générales – Calcul du comportement au feu) et de son Annexe Nationale (AN) d’octobre 2007.
Instabilité des barres de portiques en acier Méthodes de calcul pour les barres de portiques en acier (instabilité dans le plan et hors du plan) - D’après l’Eurocode 3 CSTB - ÉDITION 2009 (163 pages) - ISBN 978-2-86891-424-8Y. GaléaCe guide, élaboré par le CTICM fournit au praticien les compléments nécessaires au traitement par l’EN1993-1-1 de cas courants rencontrés dans la pratique en matière de véri-fication des poteaux et traverses de portiques en acier vis-à-vis des instabilités, notamment l’instabilité hors plan.Les outils et méthodes de calcul proposés permettent de respecter les principes de dimensionnement figurant dans l’EN1993-1-1, (Eurocode 3 partie 1-1).
Guides EurocodeL’objectif de la collection « Guide Euro-code » est de proposer de manière synthé-tique de nombreux points de conception-calcul pouvant présenter des difficultés d’application pratique, du fait de leur nou-veauté ou de leur relative complexité.Pour tous les guides de la collection, avec ou sans recours aux calculs automatisés, les auteurs exposent de manière pédago-gique et concise le déroulement des phases de calcul traitées, en citant systématique-ment l’article, ou les articles, concerné(s) de l’eurocode. Cette méthode a pour but
essentiel d’éclairer le projeteur sur l’objectif et les choix essentiels en phase calcul, en délestant l’approche de tout ce qui pourrait présenter des difficultés d’interprétation.Le parti pris est de permettre, outre le recours éventuel à des logiciels ou des feuilles de calcul, la possibilité d’un calcul manuel utilisant des tableaux ou abaques. Dans certains cas, libre choix est ainsi laissé au calculateur de recourir à la mé-thode qu’il juge la plus adaptée au cas particulier à traiter et aux moyens dont il dispose.
Revue construction métalliquecompilation des 47 années de parution de la revue (parution 2012-2013)
Depuis 1964, date de création du trimestriel Revue construction métallique, ce ne sont pas moins de 192 numéros qui ont paru.Le CTICM a souhaité que l’intégralité des textes puissent être accessibles faci-lement. Il vous sera donc possible d’ici
quelques mois de consulter articles, ru-briques, descriptions d’ouvrage… sur un Cdrom compilant tous les numéros. Un contenu indexé vous permettra d’acceder facilement aux textes susceptibles de cor-respondre à votre recherche.
Prix de vente à l’unité des guides : 45 €Frais de port : 4 €
Action du feu
sur les structures en acier
Calcul des structures en acier en situation d’incendie
D’après la norme EN 1993-1-2
(Eurocode 3, partie 1-2)
Avec la collection « Guides eurocodes », le CSTB offre aux professionnels du bâti-
ment des outils pratiques relatifs aux méthodes de conception et de calcul figu-
rant dans les normes Eurocodes.
L’objectif de cette collection, dirigée par le CSTB, est de présenter de manière syn-
thétique de nombreux points de conception-calcul pouvant présenter des difficul-
tés d’application pratique, du fait de leur nouveauté ou de leur relative complexité.
Pour tous les guides de la collection, avec ou sans recours aux calculs automatisés,
les auteurs présentent de manière pédagogique et concise le déroulement des pha-
ses de calcul traitées, en citant systématiquement l’article, ou les articles,
concerné(s) de l’eurocode. Cette méthode a pour but essentiel d’éclairer le projeteur
sur l’objectif et les choix essentiels en phase calcul, en délestant l’approche de tout
ce qui pourrait présenter des difficultés d’interprétation.
Le parti pris est de permettre, outre le recours éventuel à des logi-
ciels ou des feuilles de calcul Excel© (téléchargement gratuit
sur http://e-cahiers.cstb.fr), la possibilité d’un calcul manuel uti-
lisant des tableaux ou abaques. Dans certains cas, libre choix est
ainsi laissé au calculateur de recourir à la méthode qu’il juge la plus adaptée au cas
particulier à traiter et aux moyens dont il dispose.
Ce guide, élaboré par le CTICM s’inscrit dans ce programme général. Il est destiné
à permettre le calcul des structures en acier en situation d’incendie.
Les outils et méthodes de calcul proposés permettent de respecter les principes de
dimensionnement figurant dans l’EN1993-1-2 (Eurocode 3 partie 1-2).
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ISB
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Action du feu
sur les structures en acier
D’après l’Eurocode 3
Calcul des structures en acier
en situation d’incendie
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Feuilles de calcul
à télécharger
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Action feu) 28/08/09
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Instabilité des barres
de portiques en acier
Méthodes de calcul pour les barres de portiques en acier
(instabilité dans le plan et hors du plan)
D’après la norme EN 1993-1-1
(Eurocode 3, partie 1-1)
Avec la collection « Guides eurocodes », le CSTB offre aux professionnels du bâti-
ment des outils pratiques relatifs aux méthodes de conception et de calcul figu-
rant dans les normes Eurocodes.
L’objectif de cette collection, dirigée par le CSTB, est de présenter de manière syn-
thétique de nombreux points de conception-calcul pouvant présenter des difficul-
tés d’application pratique, du fait de leur nouveauté ou de leur relative complexité.
Pour tous les guides de la collection, avec ou sans recours aux calculs automatisés,
les auteurs présentent de manière pédagogique et concise le déroulement des pha-
ses de calcul traitées, en citant systématiquement l’article, ou les articles,
concerné(s) de l’eurocode. Cette méthode a pour but essentiel d’éclairer le projeteur
sur l’objectif et les choix essentiels en phase calcul, en délestant l’approche de tout
ce qui pourrait présenter des difficultés d’interprétation.
Le parti pris est de permettre, outre le recours éventuel à des logiciels ou des feuil-
les de calcul, la possibilité d’un calcul manuel utilisant des tableaux ou abaques.
Dans certains cas, libre choix est ainsi laissé au calculateur de recourir à la méthode
qu’il juge la plus adaptée au cas particulier à traiter et aux moyens dont il dispose.
Ce guide, élaboré par le CTICM s’inscrit dans ce programme général. Il est destiné
à fournir au praticien les compléments nécessaires au traitement par
l’EN1993-1-1 de cas courants rencontrés dans la pratique en matière de vérifica-
tion des poteaux et traverses de portiques en acier vis-à-vis des instabilités, notam-
ment l’instabilité hors plan.
Les outils et méthodes de calcul proposés permettent de respecter les principes de
dimensionnement figurant dans l’EN1993-1-1, (Eurocode 3 partie 1-1).
G08
-02
ISB
N
978-
2-86
891-
424-
8
Instabilité des barres
de portiques en acier
D’après l’Eurocode 3
Méthodes de calcul pour
les barres de portiques en acier
(instabilité dans le plan
et hors du plan)
Inst
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T É L . ( 3 3 ) 0 1 6 4 6 8 8 2 8 2 | F A X ( 3 3 ) 0 1 6 0 0 5 7 0 3 7 | w w w. c s t b . f r
Couv Eurocode 3 P1-1 (
barre de portique) 28
/08/09 15:02 Page 1
CMI N°1 – 2012Construction Métallique Informations 13
LES INTUMESCENTS : La nouvelle réglementation suivant l’EUROCODE 3
L’industrie liée aux peintures intumescentes en condition de feu cel-lulosique s’est développée à un rythme soutenu depuis ces dernières années sous l’emprise de la recherche et du développement, des nouvelles normes, des évolutions législatives, et réglementaires par-tout dans le monde.
Le choix d’une protection passive incendie par un revêtement qui conserve l’esthétique des profiles utilisés sur une charpente métal-lique devient une option répandue sur les projets à structure métal-lique.
Pourquoi ? Au-delà de l’esthé-tique, l’efficacité technologique en conformité aux nouvelles règles
associée à la flexibilité des solu-tions possibles permet d’entrevoir une autre réflexion sur la manière d’aborder la protection passive in-cendie dans sa mise en œuvre et son utilisation en condition d’ex-ploitation.
Dans cette perspective Interna-tional lance sur le marché Fran-çais et Européen ses nouvelles
technologies d’intumescents en accord avec l’EUROCODE 3 et les démarches HQE.
EUROCODE 3 : C’est la nouvelle règle générale en vigueur depuis Avril 2011 qui est désormais ré-glementaire pour la détermination de la protection passive incendie des ouvrages en acier.
Une gamme complète de pein-tures intumescentes sous l’appel-lation INTERCHAR ciblée suivant la durée de tenue du feu
Trois technologies disponibles :• Phase aqueuse• Phase solvant• Sans solvant. Exploitation jusqu’à une catégorie de corrosivité de type C5 suivant l’Iso 12944-2 qui permet d’envisager la protection de l’acier structurel jusqu’à 180 minutes.La certification ETA signifie que le produit a passé avec succès les tests suivants:1. Réaction au feu2. Résistance au feu3. Durabilité (résistance au vieillis-sement accéléré au feu)4. Contrôle de la production en
PRODUIT
INTERCHAR 404
INTERCHAR 1160
INTERCHAR 1120
INTERCHAR 212
RESISTANCE AU FEU
R15- R60 minutes
R60 minutes
R90 et R120 minutes
R15-R180 minutesApplication atelierExcellente protection anti corrosion
DESCRIPTION
Mono composant solvanté
Mono composant phase aqueuse
Mono composant phase aqueuse
Epoxy modifié sans solvant100% Volume solids
CERTIFICATION
EN 13381-8ETA 09/0259Marquage CE EN 13381-8ETA et Marquage CE en cours
EN 13381-8ETA 11/0045Marquage CE
EN 13381-8ETA 10/0470Marquage CE
Notre gamme se compose suivant :
International Peinture reste à votre écoute en cas de questions supplémentaires.
N’hésitez pas à nous joindre au 02 35 22 13 72 ou 73 ou à nous contacter par courriel :[email protected]
usine.Avec l’ETA, la durabilité ou durée de vie du revêtement intumes-cent est certifiée pour 10 ans.
L’attestation de conformité (qui est destiné à s’assurer que le
cahier des charges énoncées dans l’ETA est respectée), per-met aux fabricants d’apposer le marquage CE sur leurs produits.
Les produits Interchar 404, inter-char 1120 et interchar 212, ont
obtenu leurs certifications tech-niques européennes appelées ETA et le marquage CE.L’Interchar 1160 a passé les tests avec succès et est en cours d’obtention de l’ETA et bientôt marqué CE.
PRODUIT
INTERCHAR 404
INTERCHAR 1160
INTERCHAR 1120
INTERCHAR 212
RESISTANCE AU FEU
R15- R60 minutes
R60 minutes
R90 et R120 minutes
R15-R180 minutesApplication atelierExcellente protection anti corrosion
DESCRIPTION
Mono composant solvanté
Mono composant phase aqueuse
Mono composant phase aqueuse
Epoxy modifié sans solvant100% Volume solids
CERTIFICATION
EN 13381-8ETA 09/0259Marquage CE EN 13381-8ETA et Marquage CE en cours
EN 13381-8ETA 11/0045Marquage CE
EN 13381-8ETA 10/0470Marquage CE
Notre gamme se compose suivant :
International Peinture reste à votre écoute en cas de questions supplémentaires.
N’hésitez pas à nous joindre au 02 35 22 13 72 ou 73 ou à nous contacter par courriel :[email protected]
usine.Avec l’ETA, la durabilité ou durée de vie du revêtement intumes-cent est certifiée pour 10 ans.
L’attestation de conformité (qui est destiné à s’assurer que le
cahier des charges énoncées dans l’ETA est respectée), per-met aux fabricants d’apposer le marquage CE sur leurs produits.
Les produits Interchar 404, inter-char 1120 et interchar 212, ont
obtenu leurs certifications tech-niques européennes appelées ETA et le marquage CE.L’Interchar 1160 a passé les tests avec succès et est en cours d’obtention de l’ETA et bientôt marqué CE.
Dossier
16
Actions de la neige sur les bâtiments Calcul des charges de neige sur les toitures d’après l’Eurocode 1
CSTB - ÉDITION 2010 (80 pages) - ISBN 978-2-86891-447-7M. Chénaf, E. Belloir, C. Florence Les outils et méthodes de calcul proposés dans ce guide permettent de respecter les principes de dimensionnement figurant dans l’EN1991-1-3 (Eurocode 1, partie 1-3). Ce guide est destiné à permettre la détermi-nation des actions dues à la neige sur des ouvrages courants de bâtiments.
Tableaux de résistance des profilés en acier Tableaux de résistance de profilés en I ou H et de tubes carrés ou circulaires, sollicités en compression ou en flexionCSTB - ÉDITION 2009 (95 pages) - ISBN 978-2-86891-425-5A. Bureau, Y. Galéa, P. LechaffotecCe guide est destiné à permettre l’estima-tion rapide de la capacité résistante d’un élément de structure en acier, notamment dans la phase de pré-dimensionnement.Les outils et méthodes de calcul proposés dans ce guide permettent de respecter les principes de dimensionnement figurant dans l’EN1993-1-1, (Eurocode 3, partie 1-1).
Vérification des barres comprimées et fléchies Dimensionnement des barres en acier comprimées et fléchies vis-à-vis du flambement et du déversementCSTB - ÉDITION 2009 (172 pages) - ISBN 978-2-86891-423-1A. Bureau , Y. GaléaCe guide est destiné à permettre, pour les profilés métalliques utilisés en bâtiment, la vérification des barres simplement compri-mées, les barres simplement fléchies par rapport à leur axe de forte inertie et les barres comprimées et fléchies par rapport à leur axe de forte inertie.Les outils et méthodes de calcul propo-sés dans ce guide permettent de respec-ter les principes de dimensionnement figurant dans l’EN1993-1-1, (Eurocode 3, partie 1-1).
Assemblages des pieds de poteaux en acier. Dimensionnement des assemblages de pieds de poteaux métalliques encastrés et articulés
CSTB - ÉDITION 2009 (244 pages) - ISBN 978-2-86891-440-8I. RyanCe guide est destiné à permettre la concep-tion et le calcul des assemblages de pieds de poteaux des bâtiments courants en acier selon la version EN des Eurocodes. A cette fin, il présente les méthodes de vérification nécessaires, des exemples d’application de ces méthodes et donne des tableaux de dimensionnement des deux types d’assem-blages de pieds de poteaux les plus utilisés dans les bâtiments courants de la construc-tion métallique : les assemblages de pieds de poteaux par platine d’extrémité «articu-lés » et « encastrés ».
Actions du vent sur les bâtiments Calcul des pressions et forces de vent sur l’enveloppe des bâtiments d’après l’Eurocode 1
CSTB - ÉDITION 2010 (110 pages) - ISBN 978-2-86891-446-0M. Chénaf, E. Belloir, C. FlorenceLes outils et méthodes de calcul proposés dans ce guide permettent de respecter les principes de dimensionnement figurant dans l’EN1991-1-4 (Eurocode 1, partie 1-4). Ce guide est destiné à permettre la déter-mination des actions dues au vent sur des ouvrages courants de bâtiments.
Choix de l’analyse globale des ossatures en acier Analyse élastique avec prise en compte des effets de second ordre et des imperfections. Introduction à l’analyse plastiqueCSTB - ÉDITION 2011 (130 pages) - ISBN 978-2-86891-492-7Y. Galéa, A. BureauCe guide attire l’attention de l’utilisateur sur le domaine d’application couvert, for-cément restreint par rapport à celui de l’Eurocode en question. Le choix délibéré a été de traiter les cas les plus couramment rencontrés, cette restriction s’accompagne d’une simpli-fication de traitement Enfin, il est indis-pensable de souligner que les méthodes proposées dans ce guide sont destinées à réaliser des calculs de structure, et que leur utilisation suppose la connaissance
Vérification des barres comprimées et fléchiesDimensionnement des barres en acier comprimées et fléchies vis-à-vis du flambement et du dévesement
D’après la norme EN 1993-1-1(Eurocode 3, partie 1-1)
Avec la collection « Guides eurocodes », le CSTB offre aux professionnels du bâti-
ment des outils pratiques relatifs aux méthodes de conception et de calcul figu-
rant dans les normes Eurocodes. L’objectif de cette collection, dirigée par le CSTB, est de présenter de manière syn-
thétique de nombreux points de conception-calcul pouvant présenter des difficul-
tés d’application pratique, du fait de leur nouveauté ou de leur relative complexité.Pour tous les guides de la collection, avec ou sans recours aux calculs automatisés,
les auteurs présentent de manière pédagogique et concise le déroulement des pha-
ses de calcul traitées, en citant systématiquement l’article, ou les articles,
concerné(s) de l’eurocode. Cette méthode a pour but essentiel d’éclairer le projeteur
sur l’objectif et les choix essentiels en phase calcul, en délestant l’approche de tout
ce qui pourrait présenter des difficultés d’interprétation.Le parti pris est de permettre, outre le recours éventuel à des logi-ciels ou des feuilles de calcul Excel© (téléchargement gratuit surhttp://e-cahiers.cstb.fr), la possibilité d’un calcul manuel utilisantdes tableaux ou abaques. Dans certains cas, libre choix est ainsi
laissé au calculateur de recourir à la méthode qu’il juge la plus adaptée au cas par-
ticulier à traiter et aux moyens dont il dispose. Ce guide, élaboré par le CTICM s’inscrit dans ce programme général. Il est destiné
à permettre, pour les profilés métalliques utilisés en bâtiment, la vérification des
barres simplement comprimées, les barres simplement fléchies par rapport à leur
axe de forte inertie et les barres comprimées et fléchies par rapport à leur axe de
forte inertie. Les outils et méthodes de calcul proposés permettent de respecter les principes de
dimensionnement figurant dans l’EN1993-1-1, (Eurocode 3 partie 1-1).
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ISB
N
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Vérification des barres comprimées et fléchies
D’après l’Eurocode 3Dimensionnement des barres en acier comprimées et fléchies vis-à-vis du flambement et du déversement
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T É L . ( 3 3 ) 0 1 6 4 6 8 8 2 8 2 | F A X ( 3 3 ) 0 1 6 0 0 5 7 0 3 7 | w w w. c s t b . f r
D’après la norme EN 1993-1-8(Eurocode 3, partie 1-8)
Avec la collection « Guides eurocodes », le CSTB offre aux professionnels du bâtiment des outils
pratiques relatifs aux méthodes de conception et de calcul fi gurant dans les normes Eurocodes. L’objectif de cette collection, dirigée par le CSTB, est de présenter de manière synthétique de nom-
breux points de conception-calcul pouvant présenter des diffi cultés d’application pratique, du fait de
leur nouveauté ou de leur relative complexité.Pour tous les guides de la collection, avec ou sans recours aux calculs automatisés, les auteurs
présentent de manière pédagogique et concise le déroulement des phases de calcul traitées, en
citant systématiquement l’article ou les articles, concerné(s) de l’eurocode. Cette méthode a pour but
essentiel d’éclairer le projeteur sur l’objectif et les choix essentiels en phase calcul, en délestant
l’approche de tout ce qui pourrait présenter des diffi cultés d’interprétation.Le parti pris est de permettre, outre le recours éventuel à des logiciels ou des feuilles de calcul Excel© (téléchargement gratuit sur http://e-cahiers.cstb.fr), la possibilité d’un calcul manuel utilisant des tableaux ou abaques. Dans certains cas, libre choix est
ainsi laissé au calculateur de recourir à la méthode qu’il juge la plus adaptée au cas particulier à
traiter et aux moyens dont il dispose. Ce guide, élaboré par le CTICM, s’inscrit dans ce programme général. Il est destiné à permettre la
conception et le calcul des assemblages de pieds de poteaux des bâtiments courants en acier. Les outils et méthodes de calcul proposés permettent de respecter les principes de dimensionne-
ment fi gurant dans l’EN 1993-1-8, l’EN 1993-1-1 et l’EN 1992-1-1 (respectivement l’Eurocode 3 partie
1-8, l’Eurocode 3 partie 1-1 et l’Eurocode 2 partie 1-1).
Assemblages des pieds de poteaux en acier Dimensionnement des assemblages de pieds de poteaux métalliques encastrés et articulés
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Assemblages des pieds de poteaux en acier
> Dimensionnement des assemblages de pieds de poteaux métalliques encastrés et articulés
D’après l’Eurocode 3
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CMI N°1 – 2012Construction Métallique Informations
des principes généraux de résistance des matériaux et de la mécanique des struc-tures. Cette connaissance est indispen-sable pour effectuer les choix judicieux qui incombent au calculateur et apprécier la pertinence des résultats obtenus dans le contexte particulier de l’ouvrage qu’il dimensionne.
Effets du séisme sur les structures métalliques Calcul de la résistance au séisme des ossatures en acier
CSTB - ÉDITION 2011 (216 pages) - ISBN 978-2-86891-473-6 P.-O. Martin , J.-M. AribertLes outils et méthodes de calcul proposés dans ce guide permettent de respecter les principes de dimensionnement figurant dans l’EN 1998-1 (Eurocode 8, partie 1). Ce guide est destiné à permettre la conception et le calcul des ossatures en acier vis-à-vis des actions sismiques, avec une présentation pratique et opérationnelle des techniques de calcul.
Ce guide présente aux concepteurs et cal-culateurs d’ouvrages d’art les résultats du projet de recherche « MIKTI » terminé en 2006. Les quatre grands thèmes abordés sont :• les ouvrages de petite portée
- Assemblages de continuité- Poutres préfléchies- Poutres sans semelle supérieure, âme insérée dans le hourdis
- Optimisation de l’espacement des poutres dans les tabliers à poutrelles enrobées
• la dalle et sa connexion
- Connexion en seconde phase par pa-quets de goujons
- Collage de la dalle sur les poutres- Hourdis en BFUP (béton de fibres ultra-performant)
• l’optimisation des ouvrages bi poutres- bi poutre traditionnel- bi poutre avec hourdis inférieur- caissons
• l’inspection-maintenance- Caractérisation statistique de l’effica-cité des méthodes de contrôle
- Application à l’évaluation probabiliste de la durée de vie après inspection
Ponts mixtes acier-bétonUn guide pour des ouvrages innovants (Ed. Presses des Ponts, 2010)
Guide de la réhabilitation avec l’acier à l’usage des architectes et des ingénieurs Co-édition ArcelorMittal/ConstruirAcier ÉDITION 2010 (464 pages)Pierre Engel
À travers de nombreux exemples, ce guide pratique destiné aux acteurs de la construction ainsi qu’aux étudiants, four-nit toutes les informations nécessaires à l’utilisation de l’acier dans la réhabilitation
des bâtiments et la consolidation des structures quels que soient leurs maté-riaux constitutifs d’origine et dans le res-pect des exigences réglementaires…
Prix de vente : 120,00 e
CMI N°1 – 2012Construction Métallique Informations 17
HGG_06-2011(2).indd 1 10/06/2011 14:00:31
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Dossier
20
Produits en acier pour constructionCaractéristiques géométriques et mécaniquesConstruirAcier - ÉDITION 2010 (164 pages)
Informations de base sur les aciers utilisés en construction, les conditions de livrai-son, tolérances de fabrication. Caracté-ristiques dimensionnelles et mécaniques des poutrelles classiques, poutrelles
alvéolaires et intégrées au béton, tubes et profils creux pour construction, laminés marchands, barres et profilés en aciers inoxydables, palplanches et rails de ponts roulants.
Construction métalliqueConception des structures de bâtimentsPresses de l’école nationale des Ponts et chaussées - ÉDITION 2008 (137 pages)ISBN 978-2-85978-438-6Y. Lescouarc’h
Prix de vente : 40,00 e
Le dimensionnement des structures de bâtiments est réalisé par calculs informa-tiques et application de critères règlemen-taires définissant les efforts et déforma-tions admissibles. Ce n’est pas cet aspect qui est présenté dans le présent ouvrage, mais la phase qui précède ce dimension-nement, à savoir la conception d’ensemble
et de détails des structures, c’est-à-dire le choix des dispositions constructives pour les barres et assemblages : position des barres dans l’espace, choix de forme de section, nature des liaisons et appuis, choix de types d’assemblages et position de leurs composants…
Plus qu’une mise à jour du précédent guide édité en 2001, cet ouvrage prend en compte l’ensembledes évolutions du contexte normatif et règlementaire applicable aux garde-corps. Il fournit les informations nécessaires à leur conception, leur dimensionnement et leur mise en œuvre dans trois parties dis-tinctes selon la destination des ouvrages
: garde-corps accessibles au public (bâti-ments d’habitation, bureaux, commerces, ERP…), garde-corps industriels et garde-corps installés sur les tribunes et les stades. En annexe, le guide aborde aussi les rambardes des ponts et ouvrages d’art, ainsi que les barrières de protection des piscines.
Comment faire des garde-corps ?SEBTP - ÉDITION 2009 (144 pages)
CMI N°1 – 2012Construction Métallique Informations
Revue construction métallique
N° 3/2011
CONSTRUCTION MÉTALLIQUE
REVUE
ISSN 0045-8198 3
CO
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ÉTA
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E N° 3/2011
Espace technologique - L’Orme des Merisiers Bâtiment Apollo – 91193 Saint-Aubin cedexTél. : 01 60 13 83 00 - Fax : 01 60 13 13 [email protected]
Revue construction métallique 3-2011
TECHNIQUE ET APPLICATIONS• Résistance d’un poteau mixte sollicité
en compression et en flexion bi-axiale Ph. BEGUIN
• Formulaire pour la détermination des modes propres de structures simples P.-O. MARTIN - A. BEYER
• Application de l’Eurocode 8-1. Justifi-cations permettant l’utilisation de la classe de ductilite DCL avec un coeffi-cient de comportement q = 2. CTICM
• Conception et dimensionnement des diaphragmes horizontaux utilisés dans les constructions parasismiques CTICM
Revue construction métallique 4-2011
ARTICLES• Comportement des bâtiments métal-
liques lors du séisme de Christchurch, Nouvelle Zélande, en 2010 et 2011 M. BRUNEAU, O. CLIFTON G. MACRAE,
R. LEON A. FUSSELL• Risques pour les personnes dans les
incendies d’entrepôts à simple rez-de-chaussée N. HENNETON, J. KRUPPA, B. ZHAO
TECHNIQUE ET APPLICATIONS• Déversement des poutres suspendues -
Utilisation du gratuiciel LTBeam Y. GALÉA
• Résistance à la traction d’un assem-blage par brides circulaires boulonnées M. COUCHAUX
• Résistance au flambement d’un pro-fil creux circulaire de classe 4 selon l’eurocode 3 T. MINH NGUYEN
• Valeur du coefficient structural cscd pour un bâtiment en acier D. CLAVAUD
THÈSES• Analyse du comportement au feu des
planchers mixtes acier-béton constitués de poutres cellulaires G. BIHINA
• Comportement des assemblages par brides circulaires boulonnées M. COUCHAUX
N° 4/2011
CONSTRUCTION MÉTALLIQUEREVUE
ISSN 0045-81984
CO
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TR
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N M
ÉTA
LL
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E N° 4/2011
Espace technologique - L’Orme des Merisiers
Bâtiment Apollo – 91193 Saint-Aubin cedex
Tél. : 01 60 13 83 00 - Fax : 01 60 13 13 03
Les ouvrages présentés ici sont en vente au CTICM : 01 60 13 83 00
Tarifs de l’abonnement annuel 2012 (4 numéros) :France 149 € TTC Étranger 185 € TTC
Pour vous abonner : 01 60 13 83 00
Centre technique industriel de la construction métallique
REVUE
Tarifs de l’abonnement annuel 2012 (4 numéros) :
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Centre technique industrielCentre technique industriel de la construction métallique de la construction métallique
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CONSTRUCTION MÉTALLIQUE
Espace Technologique - L’orme des merisiers - Immeuble Apollo - 91193 Saint-AubinTél.: 01 60 13 83 00 Fax: 01 60 13 13 03
Conçu par l’architecte italien Stefano Boeri associé à deux architectes marseil-lais, Ivan di Pol et Jean-Pierre Manfredi, le Centre régional de la Méditerranée est en construction (CEREM) au bord d’une darse, face au Fort Saint-Jean. La structure en forme de « C » laissera la mer littérale-ment pénétrer à l’intérieur du bâtiment. Stefano Boeri a pensé l’ensemble eau et construction comme un tout : « la mer est une partie constitutive de l’architecture de ce centre, elle devient ainsi un véri-table espace public et symbolise la liaison
entre Marseille et la Méditerranée ». La partie supérieure du bâtiment accueillera un belvédère, un espace de promenade et plusieurs espaces d’expositions. Le hall d’accueil et les bureaux seront dans la partie centrale. La partie basse, qui se trouvera sous l’eau, sera composée d’un amphithéâtre de 450 places. Toute la structure sera constituée de nombreuses parties vitrées qui permettront de voir tou-jours la mer.A découvrir avec ConstruirAcier le 22 mars prochain.
Actualités
ConstruirAcier s’affiche sur le web
Visite du CEREM à Marseille
Fluidifier à la fois la navigation et la re-cherche d’informations en rendant compte de toute l’actualité de la filière acier : tels sont les principaux objectifs qui ont pré-sidé à la refonte du site de ConstruirAcier. Plus claire et plus ergonomique, la nouvelle interface propose entre autres nouveau-tés, une home page entièrement dédiée à l’actualité de ConstruirAcier et à l’univers de la construction, une nouvelle boutique en ligne pour les commandes d’ouvrages et de publications et, enfin, des contenus enrichis restituant tout le patrimoine de connaissances de l’acier de l’association depuis plus de 50 ans.
www.construiracier.fr, le site de référence de l’architecture et de la construction acier.
À vos projets… Planchez !Pour la dixième année consécutive, ConstruirAcier organise son grand concours d’idées. Sujet : « Plus vite, plus haut, plus fort » : l’acier aux Jeux olym-piques. Imaginez un ou plusieurs équipe-ments du parc olympique (stade d’athlé-tisme, salle indoor ou bâtiment du village des athlètes) en utilisant toutes les carac-téristiques techniques et esthétiques de l’acier. Remise impérative des dossiers : le
15 mars 2012.En partenariat avec les Compagnons du Devoir, le concours Culture Acier 2012 a, lui, pour thème « Le passage ». Pour un lieu existant de leur choix, les étudiants en école d’architecture intérieure devront concevoir une porte réalisée essentielle-ment à base d’acier. Remise des projets : le 28 mars 2012.Inscrivez-vous vite sur www.construiracier.fr
Collection Acier 10/50 à suivre…Après deux premiers numéros consacrés aux immeubles de bureaux et aux équipe-ments culturels parus en septembre 2011, ConstruirAcier vient de publier les opus 3 et 4 de sa toute nouvelle collection, dédiés
respectivement aux lieux d’enseignement et aux bâtiments de production et de lo-gistique. Bientôt disponibles sur le site et dans certaines librairies spécialisées.
22 CMI N°1 – 2012Construction Métallique Informations
Sommaire enseignement• LYCÉE D’ARSONVAL, Joué-lès-Tours (37)• COLLÈGE ROSA-BONHEUR, Bray-et-Lû (95)• LYCÉE EUGÈNE-IONESCO, Issy-les-Mouli-
neaux (92)• LYCÉE POLYVALENT JOSEPH-GALLIÉNI,
Toulouse (31)• HONG KONG DESIGN INSTITUTE, Sai
Kung District, Hong Kong• LYCÉE MARCEL-SEMBAT, Sotteville-lès-
Rouen (76)• ÉCOLE D’ARCHITECTURE DE PARIS-
BELLEVILLE, Paris 19e• ÉCOLE, COLLÈGE ET MUSÉE, Taufkirchen-
an-der-Pram, Autriche• INSTITUT DE FORMATION EN SOINS INFIR-
MIERS, Abbeville (80)• CENTRE DE FORMATION CNAM BRE-
TAGNE, Ploufragan (22)• ÉCOLE MATERNELLE JEAN-JAURÈS, Ce-
non (33)
Sommaire bâtiments de production :• CENTRE LOGISTIQUE, Aéroport de Paris-
Orly (94)• HALLE DE FABRICATION DU FALCON
F7X,Bordeaux-Mérignac (33)• BASE DE MAINTENANCE A380, Paris-Rois-
sy Charles-de-Gaulle (95)• CENTRE DE MAINTENANCE CARGOLUX,
Luxembourg-Findel• ÉTABLISSEMENTS TURBOMECA, Bordes (64) )• LES STUDIOS DU LENDIT, La Plaine Saint-
Denis (93)• CUISINE CENTRALE, Villeneuve-sur-Yonne
(89)• MAROQUINERIE DES ARDENNES, Bogny-
sur-Meuse (08)• LIGNE D’ASSEMBLAGE AIRBUS A350,
Toulouse-Blagnac (31)• CENTRE D’EXPLOITATION DES FORES-
TIERS SAPEURS, Brissac (34)• B’TWIN VILLAGE, Lille (59)
Fort de son tout nouveau stand réalisé en différentes nuance d’acier (autopatinable, inox polimiroir, galva…), ConstruirAcier était présent au salon Batilux de Monaco qui s’est déroulé du 19 au 20 janvier derniers. Une manifestation riches en contacts et échanges avec des architectes renommés. Dédié à la rencontre entre architectes et acteurs de la construction haut de gamme, le salon Batilux a ainsi organisé, le 20 jan-vier dernier, une table ronde réunissant 24 grandes signatures du monde de l’architec-ture. Au programme : la contrainte des normes et des réglementations face à la création architecturale.Des anciens, comme Jacques Ferrier, Bruno Rollet, Cyril Tretout, Francis Soler,
Jean-Paul Viguier, Cesare Maria Casati, aux nouveaux-venus, comme Anne Démians, Jean-Philippe Pargade, Franck Hammoutène ou en-core Manuel Gausa, tous se sont exprimés sur la nécessité de produire des règles de l’art, seules capables d’inscrire les normes, règles et certifications dans une relativité temporelle.Au-delà du seul état des lieux, les architectes ont mis un point d’honneur à rédiger « La dé-claration de Monaco », deuxième du genre, un manifeste prônant la fin des absolus, le retour au rôle de l’architecte, l’affirmation du principe architecte/création, industriel/innovation et un appel lancé à tous les acteurs du bâtir pour établir de bonnes pratiques intégrant les objec-tifs d’un mieux vivre la construction.
ACIER revue d’architecture n°4 vient de paraître
Les deuxièmes rencontres d’architectes de Monaco
Ne manquez pas le quatrième numéro de cette revue conjointement éditée par ConstruirAcier et le CEDAM. Au sommaire de ce numéro : • Grand Stade de Lille Métropole,
Villeneuve-d’Ascq-Lézennes• Revue des livres• Ancienne école d’architecture, Nanterre• Jean MasConstruire en acierImmeuble Basalte, Paris-La-Défense• Commissariat de Sécurité Publique, Cli-
chy Montfermeil
• Foyer logement de jeunes travailleurs, Paris 12e
• Hall D de l’aéroport, Toulouse-Blagnac• Passerelle sur la Marne, Meaux• Musée de la Grande Guerre, Meaux• Complexe sportif, Deauville• Atelier de maintenance des moteurs
d’Air France Industries, Paris-Orly• Rénovation de la tour Bois le Prêtre,
Paris• Prix européens 2011 de la construction
métallique• Les ponts en acier autopatinable
23CMI N°1 – 2012Construction Métallique Informations
RAVOYARDForce est de constater que bien souvent l’histoire d’une
société de construction métallique débute par : « Il était
une fois la forge familiale… ». Mais il y a toujours des
exceptions à la règle. La société Ravoyard fait partie des
exceptions. Devinette : quelle pouvait bien être l’activité
d’origine de cette société établie à Vaudrey dans le Jura,
département dont le taux de boisement est de plus de
46 % et où 25 % des emplois vont à la filière bois *?
De la charpente bois ? Bravo, quelle perspicacité, vous
avez gagné ! Mais ceci est du passé. Ravoyard holding
déclinée XXIe siècle c’est 3 sociétés dédiées au métal.
Entretien avec Éric Ravoyard 3e du nom à diriger la
société. Propos recueillis par Isabelle Pharisier
CMI - Comment passe-t-on de la charpente bois à la construction métallique ?
Éric Ravoyard : mon grand-père qui était menuisier charpentier a monté en 1937 une entreprise de charpente bois. Il était artisan. Il a commencé son activité avec trois ou quatre compagnons. Il avait deux fils. Lors de sa succession en 1964-1965, il a cédé à mon père l’entreprise de Vaudrey (celle où nous sommes toujours), et a “ins-tallé”, également dans le bois, son autre fils à Mouchard, un village proche de Vaudrey. Très rapidement les deux frères se sont retrouvés en concurrence.Or à cette époque, l’État incitait les agri-culteurs à faire des bâtiments en struc-ture métallique. Un jour, un agriculteur est venu voir mon père pour lui demander de réaliser un bâtiment non pas en bois mais en métal, et mon père s’est “laissé faire”. C’est de cette façon qu’il “est entré” en structure métallique. Au début, il a un peu “copié” ce qu’il voyait. Il faisait des plans le soir ou le week-end et la semaine il cou-pait, soudait, perçait. L’avantage c’est qu’il faisait tout. Les compagnons de la charpente bois se sont également mis à la
charpente métallique. En l’espace d’une di-zaine d’années il a considérablement déve-loppé l’entreprise et entre 1980 et 1990, comme pour beaucoup de constructeurs métalliques, cela a été “de la folie” !L’activité bois, axée exclusivement sur la maison individuelle, a été complètement abandonnée en 1992, elle n’était pas ren-table au regard de nos besoins.
CMI - À quel moment avez-vous intégré l’entreprise et pour quelle raison ?
Éric Ravoyard : je suis arrivé dans la société en 1989 à la création de Profil C, société de profilage et pliage acier. À la fin de mes études (une maîtrise de commerce interna-tional) j’ai repris une entreprise de chaudron-nerie viticole pour un groupe libanais. J’ai travaillé pour eux pendant trois ans. Puis mon père m’a “alléché” en me disant qu’il y avait de nombreuses choses à développer chez Ravoyard et notamment chez Profil C qui venait d’être créée. J’avais et j’ai tou-jours une grande attirance pour la tôle que j’ai appris à travailler dans la chaudronnerie, mais j’aime aussi beaucoup la charpente, en fait, j’aime le mixte des deux.
Éric Ravoyard, président de Ravoyard Holding
* source Made in Jura
Portrait
24 CMI N°1 – 2012Construction Métallique Informations
CMI - Vous avez commencé chez Profil C. Pour quelles raisons votre père avait-il créé cette société ?
Éric Ravoyard : chez Ravoyard nous avions besoin de certains produits en ossature secondaire, en couverture, en bardage… Mon père a donc créé Profil C pour réa-liser ces produits. Ravoyard charpente métallique était le premier et le principal client de Profil C. Nous avons développé les produits à l’échelle industrielle de manière à pouvoir les proposer à d’autres constructeurs métalliques… concurrents de Ravoyard ! Au début cela n’a pas été simple : imaginez lorsque vous démarchez de potentiels clients en vous nommant Ra-voyard et en étant basé à Vaudrey… Cer-tains ont catégoriquement refusé.Nous avions un gros avantage : l’approche était complètement différente de celle des industriels de la métallurgie, contraire-ment à eux nous pouvions nous présenter comme des professionnels de la charpente métallique qui apportaient des produits pour les charpentiers métalliques. Nous parlions le même langage que nos clients et en plus nous pouvions nous différencier des industriels de la métallurgie par la connaissance de l’approvisionnement, des plannings sur le terrain, la maîtrise de la
mise en œuvre du chantier…Ravoyard a été le client unique de Profil C pendant moins d’un an car mon but était de développer une autre clientèle. Il a tou-jours été important pour moi que les deux sociétés ne dépendent pas l’une de l’autre. Actuellement Ravoyard CM représente à peine 5 % du chiffre d’affaires de Profil c.En 1990 la société Ravoyard faisait à peu près 15 millions d’euros de chiffres d’affaires alors que Profil C n’en faisait que 100 000 € ! L’activité a commencé à prendre un peu d’importance vers 1994-1995 date à laquelle nous avons réalisé un chiffre d’affaires de l’ordre de 5 millions de francs (environ 760 000 euros).Aujourd’hui le groupe Ravoyard est com-posé de 5 sociétés et compte environ 100 salariés.
CMI - Votre père vous a laissé les rênes de Ravoyard CM et Profil C en 2002. Comment avez-vous repris le flambeau ?
Éric Ravoyard : en effet, si mon père est resté jusqu’à la fin 2011 en tant que pré-sident du conseil de surveillance de la hol-ding, en revanche il a pris sa retraite de dirigeant en août 2002 et il m’a confié les rênes.
65 000 m² d’ombrières construites dans les Pyrénées-Orientales
25CMI N°1 – 2012Construction Métallique Informations
Nous avons depuis beaucoup investi dans le parc machine-outil. Nous avons dévelop-pé de façon conséquente “l’activité tôle” avec l’acquisition de 3 lignes de profilage, une en 2002, une en 2007 et une fin 2011.À ma prise de fonction en 2002 je souhai-tais donner une autre image, une autre identité que celle donnée par mon père, cela me paraissait important. Il n’est ja-mais simple de reprendre une entreprise familiale, fortement marquée par les em-preintes du dirigeant « créateur ».Il m’a fallu plusieurs années pour maîtri-ser toutes les ficelles du métier et faire accepter mes méthodes. La réticence au changement…
CMI - Certaines années vous enregistrez un chiffre d’affaires important à l’export. Quels sont donc vos marchés à l’étranger ?Éric Ravoyard : certaines années nous fai-sons effectivement un chiffre d’affaires important à l’export. En parallèle à nos activités de charpentiers nous avons déve-loppé un produit : le pare grêle. C’est un brevet Ravoyard déposé en 1995 ou 96. Le chiffre d’affaires à l’export est presque entièrement réalisé grâce à ce produit. Nos clients pour les pare grêle sont essen-tiellement des constructeurs automobiles. Ces clients nous ont permis de nous déve-lopper énormément à l’export. Nous avons travaillé en Slovaquie, en Slovénie, en Algérie,... Ce sont toujours des marchés importants et qui plus est nous y répon-dons en TCE*.En France, nous venons de terminer un parking de 65 000 m², et nous sommes en train d’en finir un autre de 18 000 m² dans le sud de la France. Nous essayons de nous diversifier au maximum pour adapter nos offres à la demande.
CMI - Créer, inventer de nouveaux produits semble être votre carburant ?
Éric Ravoyard : oui effectivement, je n’ai de cesse de trouver de nouvelles solutions, de nouveaux produits. Quelques exemples à la volée ? Par le passé nous avons fait des gouttières demi-ronde. Nous avons égale-ment créé un système de panneaux d’affi-chage pour les entrées de ville. Ce produit a très bien fonctionné jusqu’au jour où le ministre de l’aménagement du territoire et de l’environnement, Dominique Voynet, a réduit de 30 % la surface d’affichage des entrées de ville…Je ne pourrais pas vous énumérer tous
les produits que nous avons mis en place, mais de tous ceux que j’ai inventés, la plus belle réussite est le pare grêle. Cela nous a permis d’avoir une ouverture vers d’autres pays, d’autres clients, d’autres industries que nous n’aurions pas captés sans ce produit.
CMI - À propos d’EDF EN, c’est pour eux que vous avez développé Profil S, expliquez-nous en quoi cela consiste ?Éric Ravoyard : Profil S est un système d’intégration de modules photovoltaïques souples sur une tôle. Nous l’avons mis en place en partenariat avec EDF EN.Ce produit est à la fois une solution de cou-verture pour les bâtiments et un outil de production d’électricité. Composée d’une partie bac acier et d’un module photovol-taïque. La puissance est de 50Wc/m². Selon la région où il est installé il peut pro-duire l’équivalent de la consommation de 20 foyers. Une telle surface permet d’éviter le rejet de 23 tonnes de CO2 dans l’atmos-phère. Dans le monde agricole, les bacs acier représentent une part importante du marché de la toiture.C’est pour répondre aux exigences de cette clientèle que le produit a été développé.La tôle solaire s’adapte sur tous les sup-ports (poutrelle, panne mince) tout en ga-rantissant l’étanchéité complète de la toi-ture. Grâce à son procédé de câblage exté-rieur, il offre des avantages très concrets : aucun risque de fuite.Nous avons créé la société Profil S pour développer et exercer cette activité. Cela a très bien fonctionné pendant deux ans, nous avons fait de nombreux hangars agri-coles qui étaient donc financés par EDF EN. L’activité est retombée brutalement lors de la baisse du tarif de rachat de l’électricité photovoltaïque.
CMI - Sur quel type de marché Ravoyard CM intervient et dans quel périmètre géographique ?
Éric Ravoyard : notre rayon d’action va de Lille à Valence en passant par Paris et Lyon, en gros la moitié Est de la France. L’inté-gralité de notre service commercial est implantée sur ce territoire (même si tout le monde est basé ici). Mais bien entendu nous allons au-delà de ce territoire dès lors que le projet le nécessite.Nous ne faisons jamais de marchés pu-blics ou presque. Nous répondons éven-tuellement aux appels d’offres régionaux
Portrait
* Tous corps d’état
Vus de l’atelier de Profil C © Ravoyard
26 CMI N°1 – 2012Construction Métallique Informations
comme par exemple cette année pour la maison de l’innovation à Dijon signée par Arte-Charpentier, ou encore le projet de la Commanderie de Dole -– un sacré pro-jet avec une poutre intégrant un passage technique humain à l’intérieur, le tout pesant 200 t et mesurant 70 m de long – mais nous n’irons pas faire un marché pu-blic à Paris. En fait, le secteur privé nous suffit.Nous réalisons 70 % de notre activité sur la Franche-Comté, l’Alsace et Paris. Dans ce triangle nous intervenons essentiel-lement pour des bâtiments industriels et commerciaux mais jamais pour du loge-ment. Cependant je songe à ce marché, nous étudions actuellement des solutions techniques. Nous cherchons des solutions innovantes et simples !
CMI - Pour quelle raison vous êtes vous également installés en Slovaquie ?
Éric Ravoyard : effectivement nous avons une petite agence Profil C en Slovaquie avec trois personnes du pays. J’ai créé cette agence après avoir fini le chantier de Trnava. Pour ce projet nous avons fait ap-pel à un bureau d’études local pour suivre le chantier. Ce dernier terminé j’ai proposé à l’ingénieur qui nous avait servi d’inter-prète et qui connaissait la charpente de continuer pour monter une petite agence qui vendrait nos produits sur place.Dans cette agence il y a un ingénieur cal-culateur, une dessinatrice qui fait des plans de charpente et une personne qui fait un peu de tout, dont le commercial. Avoir une dessinatrice est important: pour vendre des produits Profil C il faut qu’ils soient inté-grés au plan dès la phase conception, d’où l’intérêt de faire nous-même les plans ! En d’autres termes : nous faisons les plans des autres avec nos produits. Quand nous avons démarré en Slovaquie il y avait un marché énorme. Mais avec la crise, le marché a beaucoup diminué, bien plus qu’en France. Nous leur avons vendu beaucoup de pannes alors que je pensais leur vendre de la tôle !
CMI - Comment voyez-vous les années à venir ?
Éric Ravoyard : l’avenir à court terme : L’EN 1090. Nous avons commencé ce gros chantier il y a 6 mois. Notre objectif : être certifié à la fin de l’année. J’ai mis en place un groupe de travail constitué de six personnes (bureau d’études, ateliers, etc.) qui se réunit toutes les semaines.
Nous avons consacré les premières réu-nions à lecture de la norme afin d’une part que tout le monde comprenne les tenants et les aboutissants et d’autre part s’en imprègne. Nous travaillons sujet par sujet, demi-paragraphe par demi-pa-ragraphe ! Le projet est bien accepté car l’ensemble des salariés est fier d’essayer d’apporter des solutions. C’est d’ailleurs eux qui trouvent la majeure partie des solutions.Concernant le volume d’activité, 2012 démarre bien pour nous, nous sommes optimistes.Quoiqu’il advienne, nous devons rester dans notre cœur de métier mais diversifier nos produits. Il est trop dangereux de ba-ser une activité sur un unique produit. De nos jours un produit peut avoir le vent en poupe pendant deux années et retomber comme un soufflé. Nous essayons donc en permanence de renouveler, de dévelop-per des produits même s’ils doivent être éphémères.Pour l’avenir à moyen terme, je suis convain-cu d’une chose : il va falloir que nous nous développions.Depuis environ un an et demi nous nous sommes beaucoup investis dans le déve-loppement de Profil C. Nous avons eu rai-son puisque cette année nous atteignons 15 millions de chiffres d’affaires alors qu’en 2002 nous n’en faisions que 6.Pour Ravoyard nous devons développer des nouveaux produits nous permettant de proposer des systèmes qui feront tra-vailler les deux sociétés, l’avenir c’est l’adaptation.
Vus de l’atelier de Ravoyard © Ravoyard
27CMI N°1 – 2012Construction Métallique Informations
Nouvelle réglementation parasismique française applicable aux ponts à risque normal
Se reporter également à l’article page 6 du CMI N° 5-2011
Le texte officielArrêté du 26 octobre 2011 relatif à la classification et aux règles de construction parasismique applicables aux ponts de la classe dite « à risque normal » - Parution au JO du 10 novembre 2011.
Catégorie d’importanceTableau 1 : Catégorie d’importance
Catégorie d’importance
Coefficient d’importance γI
Ponts
I /Les ponts hors du domaine public, ne desservant pas un ERP et ne figurant pas en catégorie III ou IV.
II 1,0Les ponts hors du domaine public desservant un ERP ;Les ponts du domaine public ne figurant pas dans les catégories III et IV.
III 1,2
Les ponts du domaine public qui portent, franchissent ou longent une des voies suivantes : autoroute, route express, voie à grande circulation, ligne ferroviaire à grande vitesse ;Les ponts canaux (hors ceux de la classe à risque spécial) ;Les ponts situés dans l’emprise des ports maritimes ou fluviaux (hors ports de plaisance) ;Les ponts pour avions hors ceux de la catégorie IV.
IV 1,4
Les ponts pour une piste ou pour la circulation des avions des aéroports pouvant recevoir des avions de plus de 24 m d’envergure ou avec une largeur du train d’atterrissage supérieure à 6m ;Les ponts primordiaux pour les besoins de la sécurité civile, la défense nationale et le maintien de l’ordre public.
Paramètres des spectres de réponse élastiqueTableau 2 : Paramètres des spectres de réponse élastique dans les directions horizontales
Classe de sol
Zones de sismicité 1 à 4 Zone de sismicité 5
S TB (s) TC (s) TD (s) S TB (s) TC (s) TD (s)
A 1,00 0,03 0,20 2,50 1,00 0,15 0,40 2,0
B 1,35 0,05 0,25 2,50 1,20 0,15 0,50 2,0
C 1,50 0,06 0,40 2,00 1,15 0,20 0,60 2,0
D 1,60 0,10 0,60 1,50 1,35 0,20 0,80 2,0
E 1,80 0,08 0,45 1,25 1,40 0,15 0,50 2,0
Tableau 3 : Paramètres des spectres dans la direction verticale
Zones de sismicité avg / ag S TB (s) TC (s) TD (s)
1 à 4 0,9 1,0 0,03 0,20 2,5
5 0,8 1,0 0,15 0,40 2,0
Règles de constructionNF EN 1998-2 : Calcul des structures pour leur résistance au séisme – Partie 2 : Ponts
NF EN 1998-1 : Calcul des structures pour leur résistance au séisme – Partie 1 : Règles générales, actions sismiques et règles pour les bâtiments
NF EN 1998-5 : Calcul des structures pour leur résistance au séisme – Partie 5 : Fondations, ouvrages de soutènement et aspects géotechniques
Ces trois normes doivent être utilisées avec leur Annexe Nationale.
Mar
s 2
01
2 -
CM
I 1-2
01
2
Fiche
tech
nique
n° 1
4
Construire en métal, un art, notre métier
Mar
s 2
01
2 -
CM
I 1-2
01
2
Accelération horizontale du sol Accélération horizontale de calcul ag pour l’utilisation des spectres de calcul de l’Eurocode 8
Tableau 4 : Accélération horizontale de calcul ag
ag = γI agr
Zone de sismicité
Catégorie d’importance
II III IV
2 0,70 0,84 0,98
3 1,10 1,32 1,54
4 1,60 1,92 2,24
5 3,00 3,60 4,20
Accélération nominale aN pour l’utilisation du Guide AFPS 1992 pour la protection parasismique des ponts pendant la période transitoireTableau 5 : Accélération nominale aN
Pour une utilisation alternative du Guide AFPS 1992 pendant la période transitoire (en m/s2)
Zone de sismicitéII III IV
2 1,0 1,5 2,0
3 1,5 2,0 2,5
4 2,5 3,0 3,5
5 3,5 4,0 4,5
Pendant la période transitoire, c’est le zonage du décret 2010-1255 qui doit être pris en compte.
Calendrier de la mise en applicationTableau 6 : Dates d’entrée en vigueur de la nouvelle réglementation
Pont faisant l’objet d’une consultation ou d’un appel public à la concurrence pour le marché de travaux ?
Oui Non
Date de référenceDate de publication de la consultation ou
de l’appel publicDate de début des travaux
Date d’entrée en vigueur de la nouvelle réglementation
1er janvier 2012 1er janvier 2012
Date de fin de la période transitoire
31 mars 2012 31 décembre 2012
Zonage sismiqueDéfini par le décret 2010-1255 du 22 octobre 2010.
Carte de zonage : voir la fiche n° 13 parue dans le CMI 3-2011.
Fiche
tech
nique
n° 1
4
Le temps est venu de bousculer l’univers du résidentiel », soutient Vincent Birarda. Et tant pis si pour
concrétiser sa vision, ce fils de maçon doit symboliquement tuer le père, vouant à une disparition prochaine l’ancestral métier de constructeur au profit de celui d’assem-bleur. Depuis septembre 2011, l’ingénieur bâtiment habite en effet sa création, un système constructif complet résolument à contre-courant des tendances patrimo-niales actuelles et qu’il a voulu le prototype grandeur nature d’un grand défi : rendre ar-chitectural un produit industriel mettant en
œuvre l’ensemble des solutions acier - clos et couvert - offertes par le groupe Arcelor-Mittal Constructions (AMC).« Je voulais prouver qu’à partir des différents produits développés par le groupe pouvait être conçue de manière industrielle une maison individuelle, esthétique et confor-table, répondant à toutes les contraintes techniques, thermiques et sismiques », explique l’homme, responsable de l’activité planchers au sein de la branche Arval d’Ar-celorMittal. Pari réussi, à Murles (Hérault), avec l’aide de Serge Pradeille pour la partie architecturale.
À MurlesLe pari de l’acier au service d’une maison individuelleNée de la volonté trempée de son propriétaire, chef de
marché planchers au sein du groupe ArcelorMittal, la
maison de Vincent Birarda prouve que l’acier industriel
se plie parfaitement aux exigences d’une habitation
individuelle. Ou comment un exercice de style industriel
s’est fait prouesse architecturale et environnementale.
«Pose de la structure en acier
Sur le terrain
28 CMI N°1 – 2012Construction Métallique InformationsCMI N°1 – 2012Construction Métallique Informations
Un pari techniqueAfin que l’expérience soit concluante et le projet duplicable, toute solution sur me-sure devait être proscrite. Dont acte : seuls les matériaux standards présents sur le marché pénétreront le chantier ! Ainsi, sur un terrain choisi pour son sol argileux et sa forte déclivité afin de « corser » encore l’exercice, la construction acier repose sur 24 massifs de fondation préfabriqués plan-tés au sol (12 pour la construction elle-même, 12 pour la piscine et la terrasse), massifs ordinairement utilisés pour sup-porter les candélabres et devant l’insolite destination desquels le fournisseur a d’ail-leurs exigé une décharge de responsabi-lité ! Après que l’étude de sol ait défini la profondeur à laquelle chaque massif devait être situé (entre -1,5 m et -2,1 m), chacun de ces éléments a été relevé altimétri-quement pour dessiner aux cotes exactes la structure du support de l’édifice et re-prendre 10 tonnes du bâtiment.
Sur ces plots s’élève une ossature en acier galvanisé. Ce système poteaux-poutres s’appuie sur 14 poutres en T inversé SFB (Slim Floor Beam) et associe un plancher de dalles préfabriquées sur bac acier de type Cofradal® 200 à des poutres intégrées en acier dont l’aile inférieure est plus large que l’aile supérieure. Cette configuration permet d’accueillir lesdites dalles directe-ment sur la semelle inférieure de la poutre, les deux composants constituant alors le plancher. Avantage : optimiser le volume
utile des pièces par la réduction de l’épais-seur du plancher, offrir une plus grande flexibilité altimétrique et réduire les ponts thermiques linéiques.
Les planchers Cofradal® 200 combinent pour leur part bac acier avec laine de roche et béton. « Ce système, livré prêt à poser, affiche de nombreuses qualités », assure le spécialiste de la question. La légèreté d’abord (un poids deux à trois fois inférieur à celui des dalles traditionnelles en béton) bien que reprenant jusqu’à 400 kg/m2, la rapidité et le coût de pose ensuite (sans étaiement préalable ni béton rapporté), le comportement enfin, la laine de roche de densité 50 kg/m3 située dans l’âme du plancher faisant de ce produit un iso-lant thermique et acoustique autant qu’un écran coupe-feu (jusqu’à deux heures de résistance à l’incendie). Les planchers bas ont par ailleurs été complétés en usine par 100 mm de polyuréthanne (PU) en sous-face, dont le contact du débord avec la laine de roche des parois verticales as-sure la continuité d’isolation entre sol et façade, avec une résistance thermique de 5,80 m2.K/W.
Les parois extérieures, quant à elles, sont constitées de panneaux sandwich Taranis de la gamme FlamStyl (AMC/Arval - mo-dules de 1 m) dont la garniture en laine de roche doublée de chanvre a été optimisée pour une meilleure maîtrise thermique (voir encadré Rodrigue Leclech). Ces modules
Structure acier 3D
Vue de dessous
Début de la pose des panneaux de la façade
29CMI N°1 – 2012Construction Métallique Informations
CMI N°1 – 2012Construction Métallique Informations
Sur le terrain
permettent d’intégrer directement le pare-ment extérieur, une finition industrielle elle aussi dont la teinte ocre s’intègre parfaite-ment aux paysages languedociens.Tous les assemblages sont assurés par quatre vis traversantes par panneaux.
Enfin, la toiture est réalisée avec le même plancher Cofradal® 200 sur lequel reposent 200 mm de laine de roche (R = 8 m2.K/W) et supporte une terrasse végétalisée de 260 kg/m2 (150 mm de terre). La liaison avec la façade est là encore acquise par un débord de 200 mm en acrotère du panneau Aranis, auquel s’adjoignent un revêtement d’étanchéité et 15 cm de substrat.
À l’arrivée : une maison de 161 m2 SHON et 145 m2 habitables aux besoins de chauf-fage minimalistes !
Un enjeu énergétiqueEn effet, « à partir de janvier 2013, toutes les constructions devront satisfaire les normes des bâtiments de basse consom-mation (BBC) », rappelle le concepteur du
projet de Murles. Faire de son « modèle » un bâtiment répondant parfaitement aux critères éco-performantiels de labellisa-tion Effinergie constituait donc un impé-ratif majeur. D’où une ambition : atteindre, à réception du chantier, les objectifs de perméabilité à l’air exigé par le référentiel en fonction du climat et de l’altitude, ainsi qu’une consommation limitée à moins de 40 kWep/m2/an. Or, « cette gestion de la continuité de l’enveloppe isolante, point essentiel d’une conception BBC Effiner-gie, fut incontestablement l’aspect le plus marquant du projet », confie Vincent Bi-rarda. Accompagné par le bureau d’étude thermique Pouget Consultants, partenaire habituel d’AMC pour la partie R&D du Groupe, il identifie les points faibles de la construction, en renforce l’étanchéité et définit ses équipements d’usage (voir encadré page 31).Résultat : le projet remporte le premier prix 2011 du concours régional « Maisons individuelles basse consommation d’ener-gie-Effinergie ». Mieux encore : il est recon-nu à énergie positive (Bepos) puisque la maison produit plus d’énergie qu’elle n’en consomme grâce aux 4 120 kWh annuelle-ment produits par les 22 m2 de panneaux photovoltaïques projetés sous les débords de la toiture à plat, production appelée à compenser en grande partie les 4 785 kWh annuels consommés dans le même temps par la pompe à chaleur, le chauffe-eau ther-modynamique, la VMC et l’éclairage.« Cette maison exemplaire et reproductible prouve que le développement de systèmes constructifs acier sur le champ de l’habitat individuel peut représenter une carte ma-jeure pour la sauvegarde des ressources énergétiques et, plus généralement, celle de l’environnement », se réjouit Éric Barlet, co-animateur du concours régional au CAUE du Gard. Le projet de Vincent Birarda se classe en tête sur la plupart des critères : innovation, performances énergétiques « tout temps », reproductibilité industrielle…
Coupe verticale générale éclatée
Un chantier très particulier
Responsable depuis trois ans de l’entreprise Delord, filiale de Phocea Constructions Métalliques, Jean-Pierre Chay sait assurément monter la gamme ArcelorMittal Constructions du bout des doigts ! Pour autant, « le projet de Vincent Birarda exigeait un savoir-faire très différent de celui traditionnellement requis sur les chantiers industriels, avec des contraintes d’assemblage beaucoup plus fines répondant aux exigences esthétiques et de confort inhérentes à tout habitat privé », expose l’entrepreneur. Séduit par le challenge, ce dernier n’a néanmoins pas hésité à s’impliquer dès la phase de réflexion du concept afin de retravailler, sur plan, chaque détail, profil et section des fixations et attaches en fonction de ces impératifs, « un travail collaboratif plutôt exceptionnel dans ce métier mais très instructif et largement facilité par le double profil « maître d’œuvre/maître d’ouvrage » du propriétaire » souligne-t-il.
30 CMI N°1 – 2012Construction Métallique InformationsCMI N°1 – 2012Construction Métallique Informations
« Sans compter un impact environnemental très limité qui fait de ce bâtiment vertueux un bâtiment vert tout court », insiste Éric Barlet.
Un challenge environnementalPropre et rapide, le chantier signe déjà une empreinte écologique minimale. Tout comme le bois, le métal s’inscrit en effet dans la filière sèche, soit zéro m3 de béton coulé sur site ! À cette absence de déchet (et de nombreux transports) s’ajoutent les nuisances de voisinage très réduites : grâce à une pose très rapide de la structure pré-montée en usine, le gros œuvre n’a duré que quatre semaines, assuré par trois as-sembleurs et un grutier. Enfin, « la valorisa-tion de l’acier étant éternelle, la destruction future de la maison serait sans préjudice pour le terrain », se félicite Vincent Birarda.« Laine de roche, laine de chanvre… Le choix d’éco-matériaux pour se protéger du froid hivernal ou lutter contre la surchauffe estivale participe aussi de la dynamique durable », soutient par ailleurs Éric Barlet, lequel souligne également la pertinence du patio orienté plein sud et des occulta-tions mobiles pour profiter pleinement de la lumière sans subir l’intensité caniculaire. Même exigence encore avec la toiture-ter-rasse végétalisée de 200 m2 à l’arrosage assuré par un récupérateur d’eau de pluie de 15 m3 situé sous le patio, cette cuve ali-mentant parallèlement les sanitaires et la piscine suspendue.« Et les équipements intérieurs ne sont pas en reste », ajoute le conseiller info-énergie du CAUE du Gard : un éclairage LED vient
ainsi compléter un positionnement des fe-nêtres et un puits de lumière conçus pour assurer un éclairage naturel performant, tandis que tous les matériels d’aménage-ment (PAC, VMC…) sont fournis par les en-treprises locales, dans le souci de réduire les transports, garantir la maintenance et, bien entendu, soutenir l’économie locale.
Un défi architecturalMais un bâtiment soucieux de son envi-ronnement se doit aussi d’inscrire son architecture dans le territoire et « d’habi-ter » son paysage. « La maison d’acier de Murles devait donc être « contextualisée », avec un impact visuel réduit », détaille Vincent Birarda. Un vrai défi architectural !Outre sa contribution à la gestion ther-mique d’été, la toiture entièrement végétali-sée constitue une première réponse. Et, au passage, un nouveau défi, urbanistique ce-lui-là, puisque le permis de construire sera un premier temps refusé (voir témoignage Alain Guilbot).Quasi invisible sur ce toit dont l’inclinaison n’affiche que 10°, les futurs panneaux pho-tovoltaïques seront positionnés le long du débord de toiture de la partie Nord (mais orientés bien évidemment au Sud) afin de maintenir eux aussi l’intégration sur le site de l’ensemble de la construction.De la structure ensuite, seuls les poteaux de la terrasse sud ouest restent apparents et sont peints de couleur Onyx.Enfin, la piscine suspendue, très origi-nale, repose sur une plateforme
En quelques chiffres
• Durée totale du chantier : 5 mois dont 4 semaines de gros-œuvre
• 7 livraisons majeures :– 1 pour les massifs de
fondation– 1 pour la structure
porteuse– 2 pour les planchers
préfabriqués– 1 pour les accessoires
de structure (terrasse, débords de toiture,...)
– 1 pour l›isolation de la toiture et le revêtement d›étanchéité
– 1 pour les habillages intérieurs (menuiseries, doublage, cloisonnement…)
• Poids de la maison : 120 tonnes dont 20 tonnes pour la structure métallique
SHAB 143,6m²
SHON 164,7m²
Données économiquesCoût des équipements (en E TTC) 61 000 E (hors photovoltaïque)
Coût des matériaux 160 000 E
Coût de la maîtrise d’œuvre (en € TTC) 7 000 E
Coût total des travaux (en E TTC) 228 000 E
De gauche à droite :- Vue d’ensemble.
- Fixation poteaux sur massif
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Sur le terrain
Rodrigue Leclech, responsable du pôle « études thermiques » chez Pouget Consultants« TRAVAILLER SUR TOUTES LES INTERFACES »
La « maison d’acier » de Vincent Birarda relève d’un concept innovant pour de l’habitat individuel. A-t-il posé des problématiques particulières ?
L’énergie la plus respectueuse de l’envi-ronnement étant celle qui n’est pas consommée, la performance de l’enve-loppe est l’enjeu majeur des bâtiments à faible consommation d’énergie. Or, dans le cadre d’un système constructif tel que celui conçu par Vincent Birarda, l’isolation pèche souvent par les interfaces où des ponts thermiques viennent affecter la per-formance globale de l’ouvrage. Il a donc fallu relever un à un chacun de ces points de déperdition linéique possibles puis modéliser numériquement ces transferts thermiques de liaisons.
Quelles modifications ont ainsi dû être apportées au projet ?
Si les planchers Cofradal ® 200 ont offert d’emblée une parfaite isolation (valeur Up = 0,20 W/m2°C - résistance thermique de 6,25 en haut et 4,65 en bas), les pan-neaux FlamStyl posés en façades ont, en revanche, révélé une faiblesse surfacique à traiter, et ce malgré leur couche de laine de roche de 160 mm (R = 4,2 m2.K/W). Un complément d’isolation a donc été assuré par un doublage supplémentaire de 80 mm portant à 240 mm l’ensemble, doublage constitué de laine de chanvre (R = 2,10 m2.K/W) et laine de bois derrière une plaque de plâtre pour la protection au feu. Résultat : une continuité de l’isolation assurant une résistance thermique de 6,5 supérieure aux contraintes du référentiel BBC (entre 4 et 5).Néanmoins, la « faille » la plus importante du système provenait surtout des 12 poteaux traversant l’habitacle, ainsi que, dans une moindre mesure, des menui-series coulissantes. Aux joints posés en
usine sur les panneaux FlamStyl a donc été encore ajouté un scotchage renfor-çant l’étanchéité à l’air de l’ensemble, tandis que les menuiseries aluminium à rupteur de pont thermique (Profil System – R = 1,6 m2.k/W) ont finalement été mon-tées à l’aide de joints Compribande sur une ossature secondaire fixée de plan-cher à plancher.Résultats : les tests ont affiché des me-sures thermiques pour près d’un tiers (30 % exactement) supérieures à celles fixées par la réglementation technique.
Votre rôle s’est-il arrêté là ?Une fois la question de l’enveloppe iso-lante traitée, restait à concevoir l’équipe-ment intérieur de la maison, c’est-à-dire définir les systèmes les plus performants et pertinents pour minimiser les cinq consommations d’usage. Compte tenu de la relative constance du climat régional, nous avons donc opté pour une petite PAC (puissance 5 kW/cop 4,17) air-eau dont les calories sont redistribuées par le plan-cher à l’aide d’un système intégré dès l’usine. L’eau chaude sanitaire est four-nie par un chauffe-eau thermodynamique de 270 litres. Une ventilation simple flux hygroréglable gère les débits en fonction de l’humidité des pièces. Enfin, le patio orienté plein sud maximalise les apports de chaleur et de lumière tandis que des occultations mobiles préviennent de l’in-tensité d’une canicule…
L’ensemble de ces éléments porte à combien la consommation de la maison ?
Au final, nous arrivons à une consom-mation annuelle d’énergie primaire de 33 kWh/m2, soit 20 % de mieux que ce qu’exigent les performances du BBC dans cette zone (40 kWh/m2). Le label Effinergies-BBC était donc acquis, cer-tifié par Promotelec, mais la maison se classe même Bepos puisque 22 m2 de panneaux photovoltaïques SolarStyl vont venir compenser cette consommation.
Détail liaison poutre-poteau
INTERVIEW
32 CMI N°1 – 2012Construction Métallique InformationsCMI N°1 – 2012Construction Métallique Informations
porteuse en acier, elle-même posée sur pilotis (environ 3 m sous la pis-cine) afin d’absorber la déclivité du ter-rain. Tout comme la terrasse extérieure, son pourtour est habillé en Ipé.
Une ambition commercialeÉconome, écologique et esthétique… Pour rendre le projet viable, restait encore à le faire économique ! Là encore, la réussite semble au rendez-vous : « malgré sa performance globale et son haut degré écologique, son coût est inférieur à 1 350 €HT/m² SHON », spécifie Vincent Birarda qui peut ainsi espé-rer percer le marché de la construction indi-viduelle. « Le Grenelle de l’Environnement et la RT 2012 impliquent une évolution de fond sur la mise en œuvre et l’innovation. L’acier, dont les multiples avantages sont désormais connus promet dans ce cadre des solutions techniques performantes à des coûts maîtri-sés », assure le concepteur.Séduites par la « maison témoin » érigée depuis septembre sous le soleil langue-docien, plusieurs personnes ont déjà fait part de leur intérêt et pourraient être prêtes à prochainement adopter ce « mo-dèle », reproductible quels que soient le terrain, le climat (épaisseur de l’isolant
à adapter), la surface habitable ou la hauteur souhaitée.
Laurence Denès
Une réussite patrimoniale
Alain Guilbot, maire de Murles (280 hab.,
Hérault)
« UNE FIERTÉ LOCALE POUR TOUS LES HABITANTS »« Tuiles canal, façades de ton pierre et ruines médiévales… Niché au milieu des bois, à une quinzaine de kilomètres de Montpellier, Murles est un petit village rural à la démarche urbanistique des plus classiques. Inutile de dire que, dans ce contexte, la maison d’acier de Vincent Birarda pouvait sembler fort incongrue. Toutefois, Murles affiche depuis plusieurs années une forte sensibilité à la gestion des ressources et l’approche énergétique : régulation de l’éclairage public, réactivation
d’anciennes sources pour l’entretien des espaces verts… Dès lors, l’implantation sur notre territoire de ce projet résidentiel à forte valeur ajoutée environnementale ne pouvait que retenir notre attention. Aussi n’ai-je pas hésité à m’engager personnelle-ment, devant la DDTM*, à très rapidement modifier le PLU communal dans le sens du Grenelle 2 qui venait tout juste d’être pro-mulgué, afin que le permis de construire soit enfin délivré, et ce malgré ses « entorses » aux recommandations urbanistiques encore en cours (toit-terrasse notamment). La mai-son a ainsi pu être édifiée et, parfaitement intégrée à son environnement végétal, elle constitue aujourd’hui une véritable fierté locale pour les habitants, tous conviés à la visiter. Cette réussite patrimoniale suscite même des émules, d’autres habitations ayant, depuis, tablé elles aussi sur les ma-tériaux modernes pour faire rimer efficacité et inventivité. »
* Direction départementale des territoires et de la mer (ex DDE)
TÉMOIGNAGE
Données énergétiquesRéférence Valeur maison Murles Rapport Valeur
Ubat 0,41 < 0,59
C (kWh énergie primaire/m2/an)
33 < 106
Tic (°C) 33.4 < 33.8
Consommations
PosteEnergie finale Energie primaire par m²
kWhEF kWhEP/m²shon
Chauffage 447,3 7,0
ECS 1079,2 16,9
Eclairage 396,2 6,2
Auxiliaire 72,5 1,1
Ventilation 105,1 1,7
Cep RT05** 2100,3 32,9
Cep total 2100,3 32,9
*Le poste «autres usages» est calculé par la méthode des 3CL
**Le niveau BBC Effinergie impose que Cep RT05 < 40kWhEP/m²SHON.an
Les modules photovoltaïques installés présenteront une puissance de 3kWc et produiront 49kWhEP/mashon.an, soit plus que les consommations RT2005
33CMI N°1 – 2012Construction Métallique Informations
Ingénierie incendie
ContexteLa ville de Marseille a été choisie comme capitale européenne de la culture pour l’année 2013. Dans ce cadre, de nombreux projets, aménagements et constructions sont en cours de réalisation dans la cité phocéenne.Parmi ces projets, le Musée des civilisa-tions de l’Europe et de la Méditerranée (MuCEM) émane de la décentralisation du musée des Arts et traditions populaires (MNATP) de Paris. La livraison du bâtiment est prévue pour décembre 2012.L’architecte du bâtiment du MuCEM n’est autre que Rudy Ricciotti. La réalisation du gros œuvre a été confiée en 2010 à Dumez Méditerranée/Freyssinet dans le cadre d’un appel d’offres. Enfin, c’est l’entreprise de construction métallique Cabrol qui est en charge de la construction de la passerelle métallique suspendue, située en périphérie du musée.Une étude d’ingénierie incendie a été réali-sée en 2011 par la délégation régionale Mé-diterranée d’Efectis France afin de vérifier la stabilité au feu sous incendie réel des pas-serelles en structure acier présentes surtout à la périphérie du bâtiment principal.
Le bâtiment du MuCEMLe bâtiment a une emprise au sol de 72 m par 72 m pour une hauteur de 17,5 m
au-dessus du sol et 6,5 m sous le niveau du sol, affleurant le niveau de la mer.La zone centrale du musée est constituée de 3 niveaux principaux alors que les locaux administratifs en périphérie sur deux côtés sont répartis sur 7 niveaux dont 2 en sous-sol (voir Figures 2 et 3).L’ensemble est recouvert en toiture et sur les façades Sud et Ouest d’une résille en béton fibré (BFUP). Le taux d’ouverture de cette résille est de l’ordre de 75 %.Les niveaux inférieurs contiennent un am-phithéâtre, des locaux techniques et des locaux d’entreposage pour des œuvres du musée.
Les passerelles en structure en acierPrésentes sur la périphérie de la zone de musée, les passerelles sont suspendues en cascade sur 4 niveaux à des éléments béton ou métalliques disposés au niveau du plancher/terrasse (voir Figure 4).Les 4 niveaux de la passerelle sont com-plètement ouverts les uns sur les autres. Sur les façades sud et ouest, la passerelle n’est partiellement séparée de l’extérieur que par la résille. Sur les façades nord et est, la passerelle est comprise entre la zone administrative et la zone de musée ; ce volume, généralement appelé « zone de la faille » donne sur l’extérieur en toiture au travers de la résille.Les traverses et les longerons qui com-posent la passerelle sont en acier galva-nisé tandis que les tirants sont en acier inoxydable (voir Figure 5).
Problématique de la passerelle métallique vis-à-vis de l’incendieLa passerelle métallique est soumise à la même exigence réglementaire que l’en-semble du bâtiment, à savoir une stabilité au feu de degré 1h½ (R90). Comme toutes les exigences de la réglementation incen-die, cette exigence s’exprime relativement à l’action thermique normalisée de l’incen-die conventionnel (ISO 834).Les contraintes architecturales, mais aussi les contraintes techniques, sont telles qu’il
Musée des civilisations de l’Europe et de la Méditerranée (MuCEM) de MarseilleÉtude d’ingénierie incendie sur les passerelles en structure acier
Zone musée
Loca
ux
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Niveau inférieur
Zone
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Amphithéâtre
Zone musée Pass
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Sud
Zone administrative
Zone
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Zone de Musée
Zone de Musée
Zone de circulation
Coupe type du bâtiment selon l’axe Nord/Sud
Images de synthèse de la passe-relle (Image cabinet Ricciotti)
Plan du bâtiment niveau 2
a) Vue de face b) Vue de dessus
Représentation de la structure des
passerelles
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34 CMI N°1 – 2012Construction Métallique Informations
était difficilement envisageable de mettre en place la protection au feu de type pein-ture intumescente retenue initialement. Mais surtout, la pérennité de cette protec-tion semblait difficile à garantir du fait de l’exposition aux contraintes climatiques et de la proximité de la mer.Compte tenu des spécificités du bâtiment, en particulier du fait que la passerelle puisse être considérée comme située en extérieur du fait d’un fort taux d’ouverture de la résille (75 %), le recours à une étude d’ingénierie du comportement au feu afin de vérifier la stabilité au feu de la pas-serelle sous incendie réel s’est imposée naturellement. L’objectif était notamment de démontrer qu’il n’est pas nécessaire de mettre en œuvre une protection au feu sur les éléments de structure en acier de la passerelle pour assurer leur stabilité au feu.
Méthodologie appliquéeLa méthodologie appliquée dans le cadre de cette étude d’ingénierie incendie est en tous points conforme aux dispositions de l’arrêté du 22 mars 2004 modifié par l’ar-rêté du 14 mars 2011 :• Définition des scénarios d’incendie sus-
ceptibles de se produire dans les locaux (par EFECTIS France en collaboration avec Dumez) (feu en zone de bureaux, accueil, musée, amphithéâtre) ;
• Validation du choix des scénarios d’incen-die réel par le Bataillon des Marins Pom-piers de Marseille (BMPM) ;
• Vérification de la stabilité au feu des élé-ments de structure sur la base des scé-narios d’incendie validés (par EFECTIS France)– Calcul des actions thermiques maxi-
males susceptibles d’impacter les élé-ments de structure (à l’aide notamment du code de calcul FDS) (voir Figures 6 et 7)
– Calcul de l’échauffement des éléments de structure
– Étude du comportement thermoméca-nique des structures - Vérification de la stabilité au feu des éléments
• Avis sur étude réalisée par un laboratoire agréé ;
• Rédaction d’un cahier de charges d’ex-ploitation (par EFECTIS France).
Conclusion de l’étudeLes résultats ont montré que la stabilité au feu de la structure de la passerelle en acier non protégée est assurée pendant toute la durée d’un incendie réel. Deux dispositions ont toutefois été définies :• aucun habillage en bois (initialement pré-
vu au projet) ne doit être mis en place sur ou à proximité immédiate des éléments de structure en acier étudiés ;
• la librairie au rez-de-chaussée doit être séparée de la zone de la passerelle par des éléments pare-flamme 1h (E60).
L’ingénierie incendie a ainsi une nouvelle fois apporté une alternative efficace à l’exi-gence réglementaire.À noter enfin qu’une étude préliminaire, réa-lisée en 2010 au stade de l’appel d’offres, avait permis d’évaluer en amont la faisa-bilité de cette étude d’ingénierie incendie et ainsi de justifier auprès de Dumez l’in-térêt de sa réalisation en phase d’exécu-tion (rapport bénéfice/risque). S’agissant en particulier de projets neufs, le recours à des études préliminaires de faisabilité peut s’avérer une stratégie payante dans la mesure où elles permettent en amont des phases d’exécution de sécuriser et consoli-der les projets.
Damien MOLLIEREFECTIS France
Ingénieur d’études – Délégation Régionale Méditerranée
Vue extérieure du MuCEM avec le Fort Saint Jean en arrière (Image cabinet Ricciotti)
Exemple de modélisation de feu dans la zone du musée
Coupe devant le bureau présen-tant un instantané du flux net sur paroi froide sur les éléments de la passerelle (scénario 1 – bureau « standard »)
7
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35CMI N°1 – 2012Construction Métallique Informations
Trous surdimensionnés Utilisation des trous surdimensionnés : NF EN 1090-2 §6.6.1 et tableau 11
Le tableau 11 de la norme NF EN 1090-2 définit les dimensions des trous « normaux » et « surdimensionnés ». Un trou « surdimensionné » peut être « oblong long», « oblong court » et « surdimensionné rond ». Pour chaque cas, il est nécessaire de respecter les limitations sur le jeu nominal qui est défini comme étant :
• La différence entre le diamètre nominal du trou et le diamètre nominal du boulon pour les trous ronds (normaux ou surdimension-nés),
• La différence entre respectivement la longueur ou largeur du trou oblong et le dia-mètre nominal du boulon. La longueur et la largeur d’un trou oblong sont présentées à la figure suivante.
Longueur
Largeur
Dimensions caractéristiques d’un trou oblong
Le jeu transversal d’un trou oblong (dans le sens de la largeur) doit être identique au jeu d’un trou rond normal. Pour les différents types de trous surdimensionnés, les jeux nominaux sont présentés dans le tableau ci-dessous.
Les trous oblongs ou surdimensionnés ronds peuvent être utilisés pour faciliter le montage d’assemblages de pieds de poteaux par platine afin de prendre en compte les positions réelles
des tiges d’ancrages. Le positionnement des tiges dans le béton est ainsi d’une tolérance admise nettement plus importante que celle des assemblages usuels acier/acier. Dans ce cas, il y a lieu de poser une rondelle plate spéciale sous chaque écrou afin de combler le vide au-tour de la tige/écrou dans le trou élargi et per-mettre la reprise de l’effort de traction éventuel. Lorsque la tige doit travailler en cisaillement, la rondelle plate doit être attachée sur la platine par un cordon d’angle soudé sur le périmètre de la rondelle. Cette soudure doit être vérifiée pour l’effort de cisaillement transmis par la tige.
Les trous oblongs peuvent également être utilisés afin de libérer un déplacement dans le sens de la longueur du trou.
Les rondelles plates utilisées sous les écrous de tiges d’ancrages doivent avoir une épaisseur minimale de 4 mm. Afin d’ajuster la longueur de serrage, il est permis d’utiliser une rondelle en plat supplémentaire ou jusqu’à trois rondelles avec une épaisseur combinée maximale de 12 mm.
Résistances des éléments avec des trous surdimensionnés : NF EN 1993-1-8
La résistance à la pression diamétrale de boulons utilisés dans des trous oblongs et surdi-mensionnés ronds est réduite à respectivement 60 et 80% de la valeur obtenue pour des trous ronds normaux (Tableau 3.4 de l’NF EN 1993-1-8). Lorsque le boulon est non-précontraint aucun effort ne peut être transmis suivant la longueur du trou oblong.
Mar
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Fiche
tech
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Construire en métal, un art, notre métier
Diamètre nominal d du boulon ou de l’axe d’articulation
12-14 16-18-20-22 24 27 et plus
Trou rond surdimensionné 3 4 6 8
Trou oblong (sur la largeur) 1 2 3
Trou oblong court (sur la longueur) 4 6 8 10
Trou oblong long (sur la longueur)
1,5×d(1)
(1) La longueur du trou oblong sera alors égale à 2,5×d.
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Cependant s’il y a lieu de résister à un effort dans la longueur du trou, quelque soit sa forme, il est nécessaire d’utiliser des boulons précon-traints et de développer une résistance par frot-tement entre les pièces assemblées. La résis-tance de calcul au frottement est réduite par rapport à un assemblage avec boulons précon-traints utilisés dans des trous ronds normaux. Le coefficient ks, défini dans le Tableau 3.6 de l’EN
1993-1-8, permet de réduire cette résistance au frottement.
La résistance au cisaillement donnée dans le Tableau 3.4 ne peut être utilisée que dans des trous dont les jeux nominaux n’excédent pas ceux de trous ronds normaux. Les trous surdi-mensionnés ronds doivent être utilisés avec des boulons précontraints
Trous surdimensionnés
Fiche
tech
nique
n° 1
5
Trou oblong (court/long) Trou rond surdimensionné
Résistance au cisaillement : Fv,Rd
Effort suivant la largeur : Résistance obtenue pour un trou rond normal
Pas de résistanceEffort suivant la longueur :
Pas de résistance
Résistance en pression diamétrale : Fb,Rd
Effort suivant la largeur : 60 % de la résistance obtenue pour un trou rond
normal 80 % de la résistance obtenue pour un trou rond normalEffort suivant la longueur :
Pas de transmission d’efforts et de résistance
Résistance au frottement : Fs,Rd, Fs,Rd,ser
Réduction par le facteur ks en présence d’effort selon la largeur et la longueur
Réduction par le facteur ks
VOS FORMATIONS AU CTICM
7-11 Les structures métalliques face aux séismes (Initiation – Bâtiments courants faiblement dissipatifs) - les 7 et 8 mars
OBJECTIFÀ l’issue de ce stage, les participants auront abordé les notions essentielles à la base de la réglementation parasis-mique actuellement en vigueur et seront capables d’appliquer les méthodes de calcul réglementaires sur des bâtiments courants en zone peu ou moyennement sismique.Le cas où une dissipation importante de l’énergie sismique est requise (zone forte-ment sismique) n’est pas abordé de façon détaillée dans ce module (cf. 7-12).Les règlements abordés sont l’Eurocode 8-1, les règles PS92 (période transitoire) et les règles PS-MI applicables aux mai-sons individuelles et bâtiments assimilés.
PUBLICNiveaux I et IIIngénieurs PRÉ-REQUISDes rappels succincts concernant la théo-rie de la dynamique des structures sont effectués ; il est toutefois préférable de posséder des notions de dynamique.
PROGRAMMENotions de séismologieDétermination de la sécuritéRappel succinct de dynamiqueRègles PS-MIPrincipes généraux de la conception
parasismiqueDétermination du spectre de calculDétermination de l’action sismiqueRègles de vérificationsExempleDocument fourni, Guide Eurocode : Effets du séisme sur les structures métalliques.
5-02 Rappels de résistance des matériaux - les 13 et 14 mars
OBJECTIFLa résistance des matériaux permet l’étude de la stabilité et de la solidité des structures. Elle propose des méthodes d’analyse, utilisées d’une part pour la véri-fication de l’équilibre statique des struc-tures, et d’autre part pour le calcul des contraintes et des déformations des élé-ments de structures.Ces notions sont un pré-requis indispen-sable pour les modules suivants et sont présentées dans l’optique du calcul de structures en acier.Ce module traite du comportement de l’acier, des notions d’équilibre de structure et de diagramme d’efforts, de la différen-tiation entre structures isostatiques et hyperstatiques ainsi que des notions de contraintes et de stabilité des éléments de structures.À l’issue de ce stage, les participants auront les connaissances de base pour poursuivre vers une approche pratique d’analyse et de dimensionnement d’une ossature métallique suivant l’Eurocode 3.
PUBLICNiveau III et IV
Ces stages sont issus des cycles :
Calculer simplement une structure en acier
Concevoir en charpente métallique
Maîtriser les eurocodes
Réaliser les ouvrages en acier
Pour toutes informations contactez le service formaion : 01 60 13 83 07
Formation
36 CMI N°1 – 2012Construction Métallique Informations
Projeteurs et calculateurs chargés du di-mensionnement d’éléments courants de structure et de l’établissement de notes de calcul simples sous la direction d’un ingénieur ou d’un projeteur-calculateur qualifié.Projeteurs chargés du pré-dimension-nement de structure dans le cadre des études de prix.
PRÉ-REQUISLa formation initiale en mathématiques doit correspondre au moins à celle des classes terminales de l’enseignement se-condaire (connaissance des méthodes de calcul d’intégrales et dérivées)Une connaissance générale en bâtiment est également souhaitable…
PROGRAMMERappels de base en résistance des maté-riaux pour l’analyse des structuresÉquilibre des structuresPropriétés des matériaux et des barresLes déformations et déplacements d’élé-ments de structures
5-03 Analyse des structures - les 15 et 16 mars
OBJECTIFCe module présente les méthodes et prin-cipes de l’analyse des structures en acier en comportement élastique, intégrant les spécificités et exigences de l’Eurocode 3 (1993-1-1).Il permet au stagiaire d’appréhender la dé-termination des efforts dans la structure. Les notions d’imperfections, de défauts d’aplomb, d’instabilités locales et globales, et leur modélisation, sont présentées dans une approche d’analyse élastique du pre-mier ordre, simplifiée au maximum.Ces méthodes d’analyse sont illustrées et mises en pratique par les stagiaires, sur la base d’un exemple de note de calcul d’un bâtiment type, pour lequel la détermina-tion des actions et leurs combinaisons ont été étudiées au cours du module 5-01.À l’issue de ce stage, les participants au-ront également une approche pratique de l’utilisation des programmes informatiques de calcul de structures dans le cadre de l’Eurocode 3, leur permettant d’introduire les données de leur projet et d’en analyser les résultats d’une manière critique.PUBLICNiveau III et IV
Projeteurs, calculateurs et ingénieurs chargés du dimensionnement d’éléments courants de structure et de l’établisse-ment de notes de calcul simples sous la direction d’un ingénieur ou d’un projeteur-calculateur qualifié.Projeteurs chargés du pré-dimension-nement de structure dans le cadre des études de prix.
PRÉ-REQUISUne connaissance minimale en résistance des matéraux est demandée, incluant les notions de contrainte, de sollicitation d’effort normal, de moment fléchissant et d’effort tranchant.Se reporter au 5.02.
PROGRAMMELes bases de l’analyse des structuresAnalyse et modélisation structuraleExploitation sur ordinateur
2-01 Initiation à la construction métallique de bâtiment - systèmes constructifs et matériaux - les 19 au 20 mars 2012
OBJECTIFCe stage a pour objectif de faire connaitre et appréhender les technologies construc-tives courantes utilisées en construction métallique de bâtiment.À l’issue de ce stage, les participants ont acquis des connaissances générales sur :– les principes de base de la conception et
de la stabilité des ossatures en acier,– les systèmes constructifs courants de
bardage et de couverture,– les systèmes usuels de protection vis-à-
vis de la corrosion et de l’incendie.
PUBLICNiveau III et IVArchitectes, ingénieurs et techniciens dans des spécialités autres que la construction métallique, cadres de bureau d’étude ou de bureau de contrôle.Ingénieurs et techniciens débutants ou ayant une première expérience en construction métallique.
PRÉ-REQUISConnaissances de base en résistance des matériaux.
37CMI N°1 – 2012Construction Métallique Informations
Connaissances générales en bâtiment.
PROGRAMMELe matériau acierLes critères de conception générale d’une ossature métalliqueLes principes généraux de stabilité des ossaturesSystèmes de bases et types de stabilitéLa protection incendieL’enveloppe du bâtimentLa construction mixte acier-béton
2-02 Conception d’une ossature en acier de bâtiment - les 21 et 22 mars 2012
OBJECTIFEn complément du 2-01, ce stage a pour ob-jectif la maitrise des principes constructifs des ossatures métalliques et/ou mixtes.À l’issue de ce stage, les participants ont acquis les connaissances nécessaires à une conception saine d’une structure en acier de technicité courante :– les systèmes constructifs d’ossatures en
acier et de planchers mixtes acier-béton,– le rôle et les principes du comportement
structurel des éléments principaux et secondaires de ces ossatures.
Les conséquences de défauts de conception ou d’analyse sont également examinées.
PUBLICNiveau II à IVArchitectes, ingénieurs et techniciens de bureau d’études ou de bureau de contrôle.
PRÉ-REQUISDes connaissances de base en résistance des matériaux sont nécessaires.Avoir suivi le 2-01 ou avoir les connais-sances équivalentes.
PROGRAMMELes systèmes par portiquesConception des planchersLes Systèmes en treillisEmpannage et ossatures secondairesConception des assemblagesPathologie
2-03 Spécificités de conception d’une ossature en acier de bâtiment - le 23 mars 2012OBJECTIFEn complément des formations 2-01 et 2-02, ce stage a pour objectif la maitrise de la conception des ossatures supportant des ponts roulants et la connaissance des dispositions constructives particulières au risque sismique.À l’issue de ce stage, les participants sont capables :– de concevoir les détails constructifs spé-
cifiques aux ossatures des chemins de roulement,
– d’appréhender la conception générale des structures en acier en zone sismique.
PUBLICNiveau II à IVIngénieurs, techniciens confirmés et cadres de bureaux d’études.
PRÉ-REQUISConnaissances de base en résistance des matériaux.Avoir suivi les stages 2-01 et 2-02 ou avoir les connaissances équivalentes.
PROGRAMMEOssatures supportant des ponts roulantsConception parasismique
7-03 EC3 - Résistance ultime des sections - du 27 au 29 mars 2012OBJECTIFÀ l’issue de cette formation, les partici-pants connaissent les bases de calcul des structures développées dans l’EN 1990 telles que les états limites (ELU, ELS), les classifications et combinaisons des ac-tions ainsi que les coefficients partiels de sécurité.Ils sont capables de déterminer les actions appliquées sur les structures définies dans l’Eurocode 1 : poids volumique, poids propre, charges d’exploitation, structures exposées au feu, charges de neige et ac-tions du vent (statiques et dynamiques).Ce stage aborde tout type de structure trai-tée dans la partie 1-4 (Actions du vent) de l’Eurocode 1 : bâtiments simples, bâtiments
38 CMI N°1 – 2012Construction Métallique Informations
de grande hauteur, toitures isolées, struc-tures en treillis,… Les actions du vent sur les ponts n’y sont pas présentées.Les exemples d’application types per-mettent de s’approprier ces règles de calcul.
PUBLICNiveaux I et IIIngénieurs, cadres de bureaux d’études.
PRÉ-REQUISLa pratique des règles NV 65 et N 84 est souhaitable.
PROGRAMMEEurocode 1990 : EN 1990 bases de calcul des structuresEurocode 1 : EN 1991 actions sur les structuresSe munir des documents suivants :EN 1993-1-1 • EN 1993-1-5 et les annexes nationales correspondantes
3-01 L’exécution des ouvrages en acier et la norme EN 1090-2 - les 3 et 4 avril 2012
OBJECTIFLa norme EN 1090-2 a modifié le référen-tiel français pour l’exécution des ouvrages métalliques : elle remplace l’ensemble des normes d’exécution actuelles. Un seul document traite de tous les aspects de l’exécution depuis les spécifications de produits jusqu’au montage, en passant par les approvisionnements, les opérations de débit, d’assemblage par boulonnage et sou-dage, de traitement de surface, y compris les contrôles. Elle sert également de socle au fascicule 66 du CCTG pour les marchés publics comme au nouveau livret 2.32 de la SNCF.La norme EN 1090-2 implique également les maîtres d’ouvrage/maîtres d’œuvre par des choix préliminaires à exercer et des options à prendre lors de la rédaction des CCTP.Ce stage s’adresse aux différentes fonc-tions de l’entreprise de construction métal-lique concernées (y compris les études, la qualité), aux contrôleurs techniques et aux prescripteurs.
PUBLICNiveau I, II, IIIIngénieurs ou techniciens supérieurs d’en-treprises (fabrication ou études, services qualité…), bureaux d’études, maîtres
d’œuvre, maîtres d’ouvrage.
PRÉ-REQUISConnaissances générales en charpente, ou pratique de la rédaction de cahiers des charges.
ROGRAMMEContexte généralLes nouvelles approchesLes nouveautésLes sujets en évolutionSe munir des documents suivants :- EN 1090-2
5-04 Vérifications de résistances - du 10 au 12 avril 2012
OBJECTIFLes Eurocodes structuraux proposent de nouvelles méthodes de vérification en ré-sistance et en stabilité des structures en acier, méthodes d’évaluation basées sur le principe des états limites.Au cours de cette formation, les partici-pants acquièrent la pratique des règles de calcul de l’Eurocode 3, mais avec des méthodes simplifiées au maximum.Les critères de vérification au flambe-ment et/ou au déversement sont présen-tés pour les classes de section 1 à 3, essentiellement.Ces méthodes de vérification sont illus-trées et mises en pratique par les stagiaires tout au long de ce stage, sur la base d’un exemple de note de calcul d’un bâtiment type, pour lequel la détermination des ac-tions et l’analyse globale ont été étudiées au cours des modules 5-01 et 5-03.
PUBLICNiveaux III et IVProjeteurs-calculateurs et ingénieurs char-gés du dimensionnement d’éléments cou-rants de structure et de l’établissement de notes de calcul de bâtiments simples.Projeteurs chargés du pré-dimensionnement de structure dans le cadre des études de prix.
PRÉ-REQUISAvoir suivi les modules 5-01 à 5-03 ou avoir les connaissances équivalentes
ROGRAMMEClassification des sectionsVérifications aux états limites ultimesVérification aux états limites de service
39CMI N°1 – 2012Construction Métallique Informations
Assistance technique
Assistance téléphoniqueL’assistance technique contribue à faciliter et encourager le choix des solutions métalliques, et permet aux praticiens d’obtenir des réponses concrètes à leurs interrogations au quotidien. Elle est délivrée aux constructeurs métalliques mais également à l’ensemble des acteurs du secteur de la construction métallique.Il s’agit généralement de conseils ou renseignements ne nécessitant pas d’études appro-fondies, et qui sont donc donnés à titre gratuit.Dans le cas où la demande d’assistance nécessite une étude particulière de plus longue durée, un devis est alors proposé dans le cadre des prestations d’ingénierie et de conseil.
THÈMES CONTACTS TÉLÉPHONE COURRIEL
RÉGLEMENTATION ET NORMALISATION
Eurocodes : statut, avancement Valérie Lemaire 01 60 13 83 37 [email protected]
Réglementation et normalisation française Valérie Lemaire 01 60 13 83 37 [email protected]
Réglementation « sécurité incendie » pour bâtiments et ICPE
Patrice Russo 01 60 13 83 30 [email protected]
CONSTRUCTION MÉTALLIQUE - GÉNÉRALITÉS
Analyse globale des structures Yvan Galéa 01 60 13 83 72 [email protected]
Assemblages boulonnés Maël Couchaux 01 60 13 83 57 [email protected]
Assemblages soudés Dominique Semin 01 60 13 83 43 [email protected]
Assemblages par brides Maël Couchaux 01 60 13 83 57 [email protected]
Dynamique des structures - Vibrations Mladen Luki 01 60 13 83 68 [email protected]
Comportement des structures soumises au séisme PS92, EC8 PS-MI
Pierre-Olivier Martin 01 60 13 83 69 [email protected]
Exécution des structures métalliques : fabri-cation, montage, tolérances
Dominique Semin 01 60 13 83 43 [email protected]
Fatigue Mladen Luki 01 60 13 83 68 [email protected]
Justification du comportement (à froid) des structures par l’expérimentation
Alain Bureau 01 60 13 83 56 [email protected]
Logiciels utilisés en CM Jean-Claude Delongueville 01 60 13 83 42 [email protected]
Rupture fragile Bruno Chabrolin 01 60 13 83 05 [email protected]
Vérification des sections et des éléments. Flambement, déversement, voilement local
Alain Bureau 01 60 13 83 56 [email protected]
Voilement des plaques et EC3-1-5 Pierre-Olivier Martin 01 60 13 83 69 [email protected]
CONSTRUCTION MIXTE
Bâtiments mixtes acier-béton (planchers, poteaux,...)
Philippe Beguin 01 60 13 83 59 [email protected]
MATÉRIAUX
Aciers inoxydables et EC3-1.4 Alain Bureau 01 60 13 83 56 [email protected]
Boulonnerie – Fixations Maël Couchaux 01 60 13 83 57 [email protected]
Soudage Dominique Semin 01 60 13 83 43 [email protected]
Produits d’enveloppe en acier Stéphane Herbin 01 60 13 83 63 [email protected]
ÉLÉMENTS DE STRUCTURE ET OUVRAGES PARTICULIERS
Cheminées et EC3-3.2 Patrick Le Chaffotec 01 60 13 83 40 [email protected]
Chemins de roulement et EC1-3/EC3-6 Dominique Semin 01 60 13 83 43 [email protected]
Conception des structures de bâtiment Philippe Beguin 01 60 13 83 59 [email protected]
40 CMI N°1 – 2012Construction Métallique Informations
RéglementationS tHeRmiQUe Rt 2012 et PaRaSiSmiQUe
Pa
Rt
iCiP
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gR
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RT 2012 : Nouvelle réglementation et bâtiments en acier
Pause
La nouvelle réglementation parasismique
8H30 / 10H0010H00 / 10H3010H30 / 12H00
PRogRamme
Pour toutes questions sur
le déroulement de cette 1/2 journée :
Mélanie Emzivat / Chargée de Marketing
Tél. : 01 60 13 83 44
Développez vos connaissances…en profitant de l’expertise du CtiCm à l’occasion de cette ½ journée d’information et d’échange
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Régionales
Le CTICM mobilise et accompagne l’ensemble des acteurs de la construction métallique…
2 THèMEs abORdés
Rt 2012 : nouvelle réglementation et bâtiments en acier amor Ben larbi, Directeur de Recherche
Le Grenelle de l’environnement a fixé des objectifs très ambitieux pour réduire la consommation d’énergie dans le bâtiment. La RT 2012, qui se veut « performantielle », abandonne les garde-fous techniques de la RT 2005 pour se concentrer sur la performance globale du bâtiment.
la nouvelle réglementation parasismique Pierre-olivier martin, Directeur de Recherche
En mai 2011, la réglementation parasismique française a changé. Elle implique en particulier une nouvelle carte sismique et le passage à l’Eurocode 8. Cette réglementation sera expliquée au cours de ces Rencontres Régionales, ainsi que les conséquences sur la construction métallique.
Assistance technique
ÉLÉMENTS DE STRUCTURE ET OUVRAGES PARTICULIERS (suite)
Éléments minces formés à froid et EC3-1.3 Dominique Semin 01 60 13 83 43 [email protected]
Ponts métalliques et mixtes EC3-2 et EC4-2 Daniel Bitar 01 60 13 83 38 [email protected]
Poutres alvéolaires Alain Bureau 01 60 13 83 56 [email protected]
Pylônes et pylônes haubanés et EC3-3.1 Patrick Le Chaffotec 01 60 13 83 40 [email protected]
Silos et réservoirs et EC1-4/EC3-4 Patrick Le Chaffotec 01 60 13 83 40 [email protected]
Stabilisation d’un bâtiment par les parois - Effet diaphragme Mladen Luki 01 60 13 83 68 [email protected]
Structures en aluminum Mladen Luki 01 60 13 83 68 [email protected]
ACTIONS
Actions climatiques : neige et vent - Règles NV et EC1 Danielle Clavaud 01 60 13 83 36 [email protected]
Actions d’exploitation (charges) Danielle Clavaud 01 60 13 83 36 [email protected]
Combinaisons d’actions Danielle Clavaud 01 60 13 83 36 [email protected]
Actions sismiques PS92 et EC8 Danielle Clavaud 01 60 13 83 36 [email protected]
Actions en cas d’incendie EC 1-1.2 Christophe Thauvoye 01 60 13 83 21 [email protected]
États limites de service - Flèches admissibles Philippe Beguin 01 60 13 83 59 [email protected]
DÉVELOPPEMENT DURABLE
Construction métallique et développement durable Stéphane Herbin 01 60 13 83 63 [email protected]
Protection anticorrosion des structures métalliques Nour Ghandour 01 60 13 83 64 [email protected]
PHYSIQUE DU BÂTIMENT
Performances thermiques et énergétiques de bâti-ments à ossature métallique Amor Ben Larbi 01 60 13 83 61 [email protected]
Performances acoustiques de bâtiments à ossature métallique Philippe Beguin 01 60 13 83 59 [email protected]
Étanchéité à l’air de bâtiments à ossature métallique Philippe Beguin 01 60 13 83 59 [email protected]
INCENDIE
Calcul du comportement au feu des éléments de second œuvre à ossature métallique Christophe Renaud 01 60 13 83 27 [email protected]
Calcul du comportement au feu des structures mixtes. Application de l’EC4-1.2 Gisèle Bihina 01 60 13 83 26 [email protected]
Calcul du comportement au feu des structures en acier et aluminium – Application des EC3-1.2 et EC9-1.2 Christophe Renaud 01 60 13 83 27 [email protected]
Comportement au feu des entrepôts et bâtiments industriels Christophe Renaud 01 60 13 83 27 [email protected]
Comportement au feu des parcs de stationnement Bin Zhao 01 60 13 83 16 [email protected]
Ingénierie de la sécurité incendie – Méthodologie Nicolas Henneton 01 60 13 83 25 [email protected]
Sécurité incendie dans les bâtiments à simple rez-de-chaussée Nicolas Henneton 01 60 13 83 25 [email protected]
Flux thermique émis par un feu d’entrepôt (Flumilog) Christophe Thauvoye 01 60 13 83 21 [email protected]
Produits de protection des structures contre l’incendie Christophe Renaud 01 60 13 83 27 [email protected]
CERTIFICATION
Marquage CE des produits de construction métalliques Frédérique Algranti 01 60 13 83 15 [email protected]
42 CMI N°1 – 2012Construction Métallique Informations
Vitrages de résistance au feu à rayonnement limitéAppliqués en tant qu’éléments de remplissage de systèmes menuisés résistants au feu, les verres Pilkington permettent de lutter effi cacement contre l’incendie. Sous l’effet de la chaleur, les intercalaires intumescents s’opacifi ent et s’expansent progressivement, créant ainsi une barrière thermique contre le feu. Idéals pour le compartimentage dans le cadre d’une mise en conformité ou lors de la construction, leur haute performance de résistance au feu permet de les utiliser partout où prévalent les plus grandes exigences en matière de protection des personnes et des biens matériels.
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