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Le magazine de l’heure au Québec Tarifs publicitaires 2018–19

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Le magazine de l’heure au Québec

Tarifs publicitaires 2018–19

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2nouveau projet — trousse média 2018-19

140 — commentaire

commentaire • blogues

considéré dans ce texte Les blogues. Le premier et le second degré. Les hipsters. L’extimité. La transparence. La détox. L’art de mimer le réel dans la prose. Les racks à pastilles.

E n novembre 2012, le New York Times met en ligne un billet d’opi-nion de Christy Wampole intitulé

« How to Live Without Irony ». En l’espace de trois  jours, 740 lecteurs se ruent dans la section « Commentaires » pour soute-nir ou invalider les propos de la collabo-ratrice. Le billet reste au sommet de mon fil d’actualité Facebook pendant des jours; tout le monde le partage. Grosso modo, Wampole — qui est professeure adjointe au Département de français et d’italien de l’Université de Princeton — reproche aux milléniaux (et plus particulièrement aux hipsters) d’avoir fait de l’ironie un mode de vie. L’ironie permet à qui en use d’esqui-ver la responsabilité de ses choix, soutient-elle. Émettre un discours en le tournant d’emblée en ridi cule reviendrait à adopter une attitude défensive, puisqu’il est diffi-cile de déconstruire un second degré qui ne cherche pas à être signifiant. Mener une existence ironique serait donc une façon de se dissimuler en public. L’art de la conver-sation, du contact humain, de la présence à soi et aux autres, croit-elle, s’est effacé der-rière un narcissisme clinquant et défaitiste.

Un mois plus tard parait sur Littéraires après tout (un blogue collectif québé-cois qui se consacre à la littérature et à la

critique) le billet « Kill It With Fire », d’Alexie Morin [« Je me trouve à la limite de la magie », NP04]. L’auteure montréalaise y exprime sa détresse quant à l’étourdissante quantité d’absurdités et de savoirs véhicu-lés sur l’internet. Saturé d’articles de jour-naux et d’études féministes, de photos de chats et de florilèges de téléréalité, son esprit perd la faculté d’articuler des pen-sées cohérentes. Quand tout argumen-taire peut être déconstruit et que toutes les croyances ont été ébranlées, quand les dis-cours friables et le contenu WTF prévalent, et que le temps passé sur l’internet aurait été plus doux auprès des gens aimés, le sens se perd.

Le mois suivant, l’auteur Stéphane Larue publie sur Terreur ! Terreur ! (une « cen-trale d’écrivains » québécoise) un billet qui fait écho aux propos de Wampole et de Morin. Dans « In the Age of Social Media, Cleverness Is the New Gold Rush », Larue fait part de son ras-le-bol à l’égard de l’ironie, qu’il taxe d’artifice rhétorique servant à di-vertir la galerie virtuelle de Facebook. Il la dépeint comme un véhicule de vantardise, une manifestation de couardise, un bouclier derrière lequel parer d’éventuelles attaques.

Du discours des trois auteurs émane un souhait commun : celui de voir affluer davantage de sincérité dans les rapports humains, y compris sur l’internet. Ils récla-ment du premier degré. Du vrai. La vacuité belliqueuse a fait son temps, plaident-ils. L’heure est venue de se commettre.

À peu près à la même époque, comme pour mettre un baume sur la contrariété des détracteurs de l’ironie, des sites

comme BuzzFeed et Distractify adoptent le leitmotiv « To restore your faith in huma-nity » (« pour rétablir votre foi en l’humani-té »). Au fil de publications flamboyantes de premier degré, on se met à dresser la liste des 10 (des 30, des 50 !) photos qui sauront enfin prouver que l’humain est bon. Des clichés d’automobilistes arrêtant la cir-culation pour aider des personnes âgées à traverser la rue, des couples homosexuels fraichement mariés s’embrassant sur le parvis d’une église, des marathoniens ai-dant leurs compétiteurs blessés à franchir la ligne d’arrivée, des quidams sauvant des brebis de la noyade, des riches donnant aux pauvres — vous vouliez de l’humain ?

extimitéÀ l’ère où la publicité et les magazines cherchent à inciter les consommateurs à adopter des produits et des habitudes de vie qui promettent de « détoxifier » l’orga-nisme, il semble que le projet de purgation se soit étendu jusqu’à notre identité même.

Ces dernières années, quantité de per-sonnalités du web québécois ont pris l’ini-tiative de livrer le témoignage d’un épisode douloureux de leur vie ou d’un combat qu’elles poursuivent. Par exemple, dans un billet sur Urbania titré « Tomber dans le rack à pastilles », l’auteur, réalisateur, humoriste et comédien Jonathan Roberge fait le récit de sa première crise de panique et de la dépression qui a suivi. Marilou,

auteure -compositrice-interprète et fon-datrice de Trois fois par jour, un populaire blogue de cuisine, a publié sur celui-ci un texte intitulé « Les troubles du comporte-ment alimentaire : mes perceptions, mon histoire ». Elle y raconte ce qui a engendré lesdits troubles, dont la guérison a inspiré la marque de commerce de son entreprise. Le peintre et vlogueur Mathieu St-Onge révèle, dans une vidéo de 30 minutes sur

Rétablir sa foi en l’humanitéL’ironie a longtemps été l’accessoire culturel à la mode. Mais alors que la gloire du second degré pâlit, un discours axé sur la transparence gagne en popularité sur l’internet. Ces blogueurs ont survécu à l’anxiété, à la dépression, à l’obésité. Et ils racontent tout.

Laurence Gough

Ces blogueurs ont un souhait commun : celui de voir affluer davantage de sincérité dans les rapports humains, y compris sur l’internet. Ils réclament du premier degré.

commentaire — 141

Trouble.voir.ca, avoir entretenu une dépen-dance à la pornographie. Valérie Fraser, in-connue jusque-là, a créé la page Facebook « Le jour où j’ai arrêté d’être grosse », où elle partage avec ses abonnés ses accom-plissements et les difficultés inhérentes à son combat contre l’obésité.

Ces récits ont une vocation commune : fournir des repères à qui traverserait les mêmes épreuves. On peut aussi y déce-ler le souci qu’ont les blogueurs de se dé-peindre comme courageux, modestes et authentiques.

Il y a dans cette entreprise de dévoile-ment le reflet d’un esprit propre aux millé-niaux, soit la tranche de la population née entre les années 1980 et le début des an-nées 2000 (autrement dit, la génération qui a grandi avec et en même temps que

l’internet). En parallèle de la tendance à la raillerie adolescente pointée du doigt par Wampole et Larue, les milléniaux se carac-térisent par leur désir de transparence poli-tique, économique, morale et symbolique, relève le mythologue et spécialiste des marques Georges Lewi, dans son essai Les nouveaux Bovary : Génération Facebook, l’illusion de vivre autrement ?. Si l’on consi-dère qu’une large part des membres de cette génération arrivent à une étape de leur vie où ils sont prêts à se stabiliser, à s’accomplir professionnellement et à fon-der une famille, il n’est pas étonnant qu’ils en soient également à construire un pro-jet réflexif sur eux-mêmes et à dresser des bilans de leurs difficultés passées. « Voici ce qui m’a causé du tort. Voici comment je m’en suis sorti. » Et puisqu’à l’exigence

de transparence s’associent des besoins de visibilité et de reconnaissance, on com-prend pourquoi certains blogueurs font le choix de livrer un pan de ces bilans à leur lectorat.

Serge Tisseron, psychiatre, psychana-lyste et docteur en psychologie, fournit dans son essai L’intimité surexposée une définition éclairante des mécanismes qui sont ici à l’œuvre :

Le désir d’extimité est le mouvement qui pousse chacun de nous à mettre en avant une partie de sa vie intime, de son monde intérieur, afin d’en avoir un re-tour, une validation de sa façon de vivre, de penser, à travers les réactions des autres. Grâce à elles, je vais m’appro-prier mon identité, mieux me connaitre

52 — ouverture

ANNE DORVAL

La comédienne nous présente quelques-uns des principes qui guident ses actions et donnent du sens à sa vie.

1. LA GÉNÉROSITÉJe n’aime pas le calcul, les choses trop organisées. Je prends un immense plai-sir à partager et à donner aux autres. On m’a aidée quand j’étais plus jeune; j’es-saie d’aider à mon tour. Je trouve qu’on a besoin de se tenir ensemble, de faire la fête, pour souligner ce qui va bien. Et célébrer la grandeur de l’être humain, des fois. On parle trop d’économie aujourd’hui; il nous faut désapprendre à compter.

2. LA BEAUTÉOn sous-estime beaucoup l’impor-tance de la beauté dans nos vies. On la relègue au superficiel, alors qu’elle stimule les sens et répond à un besoin profond. Ça n’a rien à voir avec la richesse ou la pauvreté; c’est une ques-tion de raffinement. On a besoin de la nature qui est bien plus forte que nous, on a besoin de poésie, on a besoin de tout ce qui ne sert à rien en apparence, mais qui change quotidiennement notre façon de penser. La véritable beauté nous aide à vivre, à créer des liens entre nous. Il y a trop de vulgarité dans le monde, trop de laideur. Et ce manque de gout atteste d’un manque d’abandon, de réflexion, de culture.

4. LA SPONTANÉITÉJe me suis engagée dans un métier très insécurisant, et je passe beaucoup de temps à avoir peur — peur de l’avenir pour mes enfants, peur des dégradations environnementales, peur de l’avion, peur de la folie des êtres humains. Mais parado-xalement, je suis aussi profondément convaincue du carac-tère néfaste de l’excès d’anticipation. Le meilleur antidote à la peur est, selon moi, la spontanéité. On devrait l’encoura-ger et valoriser la prise de risque. Partir en voyage quand on n’a pas assez d’argent pour s’acheter un billet d’avion, par exemple. C’est effrayant, oui, mais si on n’essaie pas, il ne se passe jamais rien. Et s’il ne se passe rien, qu’est-ce qu’on fait ici, à part attendre la mort ?

5. LA SENSIBILITÉJe suis tannée de me faire dire que je suis trop sensible. On est, à mon sens, une bien meilleure personne quand on délaisse sa carapace — même si oui, c’est difficile. La société célèbre une forme d’insensibilisation, mais il faut refuser de s’habituer à la violence, au manque d’empathie, à l’érosion de l’hu-manisme et à la cruauté, notamment envers les animaux. Toute vie — végé-tale, animale, humaine — est impor-tante et mérite qu’on la respecte; on dépend tous les uns des autres. On ne sera jamais, jamais trop sensibles.

3. L’EXIGENCE DE DURABILITÉEn tant que société, on n’est pas assez riche pour s’acheter des affaires cheap. On n’a pas les moyens de s’entourer de choses laides, mal conçues et peu durables. Puisqu’elles occupent un ter-rain volé à la nature, les villes devraient être exemplaires. Je ne comprends pas qu’on ne fasse pas appel aux meil-leurs architectes pour chaque nouvelle construction. Faisons moins, ou faisons mieux : less is more.

ouverture • en principes

PROPOS RECUEILLIS PAR JUDITH OLIVER

Anne Dorval est une actrice québécoise. À la télévision, elle a notamment joué dans les comédies Le cœur a ses raisons et Les bobos avec son complice Marc Labrèche, de même que dans la série Les parents. Au cinéma, elle a brillé dans J’ai tué ma mère, le premier film de Xavier Dolan�—�un moment charnière pour celle qu’on a ensuite vue dans Les amours imaginaires, Laurence Anyways et Mommy du même réalisateur. Elle a récemment tourné dans le long-métrage Jalouse de David et Stéphane Foenkinos, dont la sortie est prévue pour 2018. Parmi ses prochains projets�: le tournage du Bye Bye 2017 et du film 14 jours, 12 nuits de Jean-Philippe Duval.

Photo�: Cindy Boyce

6. L’ACCEPTATIONOn se doit d’être exigeant envers soi-même, bien sûr, mais cela doit passer par l’acceptation de ses imperfections. Il vaut mieux accueillir ses contra-dictions que de s’avouer vaincu d’avance. Même si on la sait inaccessible, la perfection reste une belle quête, et la sagesse, encore plus. Elles supposent du temps, du travail sur soi; elles nécessitent qu’on continue à se cultiver et à chérir les choses qui ne sont pas utiles, mais grâce auxquelles on se sent moins seul.

7. LA FOI EN L’IMPOSSIBLEJ’ai toujours en tête cette phrase chère à mon ami Xavier Dolan : « À l’impos-sible je suis tenu. » Tout se peut, j’en suis convaincue. Y croire, c’est résis-ter. Donnons-nous le droit de rêver, de vouloir changer le système, d’avoir foi en l’impossible, car oui, nous y sommes tenus.

38 — ouverture

ouverture • le nouvel urbanisme

La vente de rue, au-delà de la bouffeAprès des décennies d’absence, la vente de rue est finalement de retour dans plusieurs villes du Québec. Mais son rôle ne se limite pas à nourrir le travailleur pressé ou le festivalier affamé. Comment donner une réelle utilité sociale à ce grand redéploiement commercial ?

Jonathan Lapalme

ouverture — 39

Designer stratégique et écologiste urbain, Jonathan Lapalme travaille sur des initiatives liées à divers enjeux à Montréal et à New York. Il a réalisé un documentaire dans le cadre de l’exposition Uneven Growth, présentée récemment au MoMA.

Illustration : Agent illustrateur

À New York, les vendeurs de rue font partie intégrante du tissu urbain depuis plus de 200 ans; ils sont une sorte de complément aux infrastructures fixes traditionnelles. Lorsqu’il se met à pleu­voir et qu’un parapluie est nécessaire, ou lors de manifestations politiques massives, telle Occupy Wall Street, ou encore après des évènements clima­tiques extrêmes, comme l’ouragan Sandy, la vente de rue se déploie en fonction des besoins de la population. Même chose au sein de quartiers mal desservis en fruits et légumes — et quali­fiés de « déserts alimentaires » —, où des vendeurs itinérants viennent pallier ce manque de ressources.

À Bombay, des milliers de dabbawal-lahs livrent à des centaines de milliers

de personnes des repas maison (litté­ralement), sans véhicule motorisé ni technologie avancée. Bien que la ma­jorité des dabbawallahs soient illettrés, l’extrême précision de leur système centenaire a été étudiée par les plus grandes entreprises de logistique du monde — FedEx, par exemple — en rai­son de leur taux d’erreur remarquable­ment faible. Au plus fort de la mousson, alors que les rues sont inondées et que plusieurs acteurs économiques fixes sont paralysés, leur efficacité demeure quasi intacte.

Grâce à la mobilité et à la flexibilité de ses infrastructures, de même qu’à sa façon distinctive de concevoir l’espace public, la bouffe de rue peut donc jouer une multitude de rôles connexes.

Mais les efforts excessifs de contrôle, de standardisation et de sédentarisation de ces structures mobiles peuvent étouf­fer l’expression de leurs qualités intrin­sèques. À Toronto, l’initiative Toronto A la Cart — un projet pilote qui visait à enrichir l’offre existante de hotdogs et de bretzels — s’est ainsi conclue par un échec, à cause des couts trop élevés et des règlements inflexibles, entre autres.

En nous basant sur différents exem­ples internationaux, nous avons éta­bli quelques suggestions d’orienta­tions pour une culture gastronomique de rue plus juste, accessible, flexible, résiliente, signifiante, foisonnante... et délicieuse.

Diversité des installationsPermettre une plus grande diversité d’instal­lations mobiles, en reconnaissant que le cout prohibitif des camions de bouffe de rue contri­bue à élever les barrières à l’entrée pour les en­trepreneurs moins fortunés, de même que la facture pour le consommateur.

Résilience énergétiqueEncourager l’adoption de sources d’énergie renouvelables indépendantes de la grille élec­trique principale, afin d’assurer une infrastruc­ture d’urgence intermédiaire en cas de panne de courant.

Mobilité sociale et économiqueOffrir des permis spéciaux pour des organismes de réinsertion sociale, question d’encourager l’entrepreneuriat dans des segments défavori­sés de la population.

Disponibilité des ressources numériquesPermettre aux vendeurs de rue d’utiliser les res­sources de l’internet, par exemple des plate­formes web favorisant l’achat à distance de plats qui pourront ensuite être offerts à des iti­nérants ou à des manifestants, lors de grands rassemblements.

Orientation du public et premiers soinsEncourager les vendeurs de rue à contribuer à l’orientation et à la sécurité du public, par leur position stratégique sur le trottoir. Par exemple, en leur offrant des formations en premiers soins, en tourisme, en santé publique, etc.

Lutte aux déserts alimentairesOffrir des permis supplémentaires dans le cadre d’un programme spécial visant à accroitre l’édu­cation et l’accès aux aliments de qualité dans les secteurs désignés comme déserts alimentaires.

Adoption d’une position démocratiséeDémocratiser les processus d’octroi de permis et de sélection des secteurs géographiques pour permettre une plus grande diversité d’intérêts et de groupes démographiques.

HivernalisationLancer une réflexion sur le rôle potentiel de la vente de rue en hiver, qui favoriserait la réap­propriation de l’espace public même par temps moins clément.

table des matières

P. 03 Prix et distinctions

P. 04 Dix bonnes raisons d’annoncer dans Nouveau Projet

P. 05 Le lectorat de Nouveau Projet

P. 06 Nouveau Projet en chiffres

P. 07 Une visibilité accrue

P. 08 Tarifs | Magazine papier

P. 09 Tarifs | Site de Nouveau Projet

P. 09 Tarifs | Infolettres et réseaux sociaux

P. 10 Tarifs | Encartage et ensachage

P. 11 Ils nous font confiance

P. 13 Coordonnées

Né au printemps 2012 et récipiendaire de plusieurs prix (Lux, Grafika, Prix du magazine canadien, etc.), Nouveau Projet a su s’imposer dans le paysage médiatique québécois comme un magazine de nouvelle génération. Chef de file du nouveau journalisme au Québec, ce semestriel respecté est à l’avant-garde des manières de produire et de diffuser les idées. Chacune de ses parutions est un évènement dont la presse et les réseaux sociaux se font l’écho.

Le magazine de l’heure au Québec

Naissance :  Printemps 2012Périodicité : 6 moisFormat : 8 x 10,5 poucesPagination :  164 pagesFaçonnage : Reliure allemandeImpression : Quadrichromie

Tirage : 8 000 exemplairesDiffusion :  En vente partout au Québec, site internet très fréquenté, librairies en ligne partout à travers le monde

On devrait s’intéresser à l’époque autant qu’à l’actualité. Merci Nouveau Projet de le faire. Vous faites scintiller mes neurones.— Marie-France Bazzo

Ça se vend comme des p’tits ponchos, m’a dit mon libraire. Y a de l’espoir.— Josée Blanchette, Le Devoir

Fort intéressant, intelligent, admirablement bien écrit. Je ne peux pas vous dire à quel point je suis épaté par ce magazine. Tout à fait remarquable. Magnifique !— Jacques Languirand, Radio-Canada

Le magazine Nouveau Projet est exactement ce dont le Québec avait besoin en presse écrite. Procurez-vous-le !— Ariane Moffatt

62 — dossier dossier — 63

Il y a peu de sujets aussi vastes que le travail. L’aborder, c’est inévitablement être confronté à des enjeux à la fois économiques, sociologiques, philosophiques, technologiques et environnementaux. Et puis il change, le travail. Affecté par des transformations tant techniques que sociales, il est en constante évolution. Nous avons choisi d’explorer différentes facettes du monde du travail actuel. De Saint-Henri au Vietnam en passant par Dubaï, d’Aristote à Mark Zuckerberg, de l’enclume au téléphone intelligent, voici 15 visions du travail, tel qu’il se présente à nous en 2015.

Photo : Pierre Manning(Shoot Studio)

Dossier

15 visions du travail en 2015

L’entrepreneuriat expatrié — 64 Les jobs merdiques — 67 Le travail jusqu’à la mort — 73 Les migrants — 74 Les nouveaux outils du capitalisme — 78 La recherche de sens — 80 Le syndicalisme — 85 Les espaces de travail partagés — 90 Le salaire minimum — 93 Les philosophes — 95 Les artisans — 101 L’ultraflexibilité des horaires — 104 Les modèles alternatifs — 106 Le travail dissocié de la rémunération — 110 Le travail manuel — 111

dossier

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3nouveau projet — trousse média 2018-19

Prix et distinctions

Vainqueur dans la catégorie « Magazine de l’année » aux prestigieux Prix du magazine canadien (2015), Nouveau Projet est finaliste à ce même titre, pour la quatrième année consécutive en 2017. En quatre éditions de ce concours national, il a reçu six médailles d’or, une médaille d’argent et quatorze mentions honorables.

Récipiendaire de trois prix d’excellence de la Sodep (2016 et 2015).

Six fois gagnant aux Grands prix du journalisme indépendant depuis 2013, entre autres avec le Prix Reconnaissance pour « contribution exceptionnelle au développement et à la reconnaissance du journalisme indépendant » accordé à Nicolas Langelier en 2016.

Projet primé au concours Grafika 2014 et 2015.

Gagnant du Concours des entrepreneurs émergents, organisé par la Fondation de la famille Claudine et Stephen Bronfman dans le cadre de C2MTL 2014.

Gagnant de deux Prix Lux en 2013 et 2017.

© Photos  : Cindy Boyce

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4nouveau projet — trousse média 2018-19

Dix bonnes raisons d’annoncer dans Nouveau Projet

Un support de qualité Maquette soignée, papier luxueux, 90 % de nos lecteurs s’estiment satisfaits ou très satisfaits de l’esthétique du magazine, et 94 % se disent satisfaits ou très satisfaits de la qualité de la langue, du ton et des différents sujets traités dans le magazine.

Une communication efficace Un environnement où les autres annonceurs sont peu nombreux (jamais plus de 20 % de publicité).

Une visibilité prolongée Nouveau Projet reste au moins six mois en kiosque, et éternellement en version numérique sur le site internet.

Une communication multisupports Connu pour ses évènements, ainsi que sa présence active sur les réseaux sociaux, Nouveau Projet s’associe régulièrement à ses annonceurs et partenaires pour étendre leur visibilité au-delà du magazine.

Une diffusion importante 8 000 exemplaires papier vendus dans tout le Québec, des milliers de copies numériques vendues à travers le monde, près de 200 points de vente physiques (librairies, kiosques, épiceries, pharmacies, etc.) et des dizaines de librairies en ligne.

Un accès privilégié Nouveau Projet permet de joindre une population active, jeune, urbaine et cultivée, dotée d’un fort pouvoir d’achat. Quelques détails page suivante.

Un lectorat élargiChaque numéro est lu en moyenne par 22 400 lecteurs*. Nouveau Projet est un magazine qu’on prête à ses amis, qu’on laisse trainer sur la table à café.

Un taux élevé de reprise en main Avec cinq à six reprises en main par numéro, Nouveau Projet est un magazine qu’on prend le temps de lire et de relire.

Une couverture médiatique exceptionnelle De La Presse et Le Devoir aux émissions les plus écoutées de Radio-Canada, en passant par plusieurs médias spécialisés, Nouveau Projet bénéficie d’une couverture médiatique exceptionnelle.

v

Un bouche à oreille remarquable Plus de 2 500 abonnés, 5 000 inscrits à notre infolettre, 40 000 adeptes de notre page Facebook, 6 000 abonnés Twitter et 2 000 Instagram, 15 000 visiteurs uniques par mois sur le site internet, une participation massive aux évènements et soirées de lancement : Nouveau Projet est LE magazine dont tout le monde parle en ce moment.

* Sondage réalisé auprès de 801 personnes pendant le mois de mars 2017.

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Le lectorat de Nouveau Projet La diffusion

Résolument urbain, le lecteur moyen de Nouveau Projet est un jeune homme ou une jeune femme d’environ 36 ans, actif, titulaire d’un baccalauréat ou d’un diplôme d’études supérieures, aux revenus annuels dépassant les 50 000 $. Curieux et cultivé, il mène une vie ouverte sur le monde, sort beaucoup et s’adonne à de nombreux loisirs, notamment culturels.

Un lectorat jeune, éduqué et ouvert, auprès duquel Nouveau Projet agit comme prescripteur permanent (89 % des lecteurs s’estiment satisfaits ou très satisfaits du contenu éditorial du magazine).

Cela dit, le lectorat de Nouveau Projet est aussi étonnamment diversifié : des gens de tous âges, tous niveaux de revenus, tous domaines professionnels... Un impressionnant succès multipublic.

Site internet : 15 000 visiteurs uniques par mois.Page Facebook : plus de 40 000 adeptes.Nombre d’abonnements : 2 500 abonnés.Nombre de lecteurs : 22 400 par numéro papier,plusieurs milliers de lecteurs pour les versions numériques.

l’âge des lecteurs *

niveau d’études *

55 ans et plus

46 – 55 ans

26 – 35 ans

36 – 45 ans

18 – 25 ans37%

23%

20%

10%

10%

Autre

Secondaire

Collégial

Baccalauréat

Études supérieures

10%

43%

44%1%

2%

70% des lecteurs de Nouveau Projet ont entre 18 et 45 ans

87% des lecteurs de Nouveau Projet ont un baccalauréat ou plus

lieu de résidence *

revenus moyens *

100 000 $ et plus

Préfère ne pas répondre

Moins de 20 000 $

20 000 à 39 999 $

40 000 et 59 999 $

60 000 et 99 999 $ 27%

26%

14%15%

10%

8%

Autre

Capitale nationale

Montérégie

Montréal

19%

60%

8%

13%

* Sondage réalisé auprès de 801 personnes pendant le mois de mars 2017.

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6nouveau projet — trousse média 2018-19

Nouveau Projet en chiffres

une communauté fidèle qui ne cesse de croitre

22 400 lecteurs par numéro 2 500 abonnés au magazine 40 000 adeptes Facebook 6 000 abonnés Twitter Au moins 350 personnes présentes à chaque évènement 15 000 visiteurs uniques par mois sur notre site Plus de 5 000 destinataires sur nos listes de diffusion

un succès de vente…

Un tirage de 8 000 exemplaires par numéro Plusieurs milliers de lecteurs pour la version numérique Près de 250 points de vente au Québec et en ligne

… et un succès d’estime

De nombreux prix et distinctions remportés en cinq ans d’existence De nombreux commentaires élogieux dans les médias

une présentation soignée, raffinée et distinguée

Maximum 20% de publicité dans le magazine Plusieurs prix soulignant l’excellence du design Une impression et un papier de grande qualité, 100% recyclé

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7nouveau projet — trousse média 2018-19

magazine papier et numérique

projets spéciaux

réseaux sociaux (facebook, twitter et instagram, linkedin)

contenu collaboratif article à même le magazine ou sous forme de brochure, dépliant, etc.

site web

partenariatsbaladodiffusion

commandite évènements et lancements

infolettres destinées aux abonnés

diffusion privilégiée de matériel promotionnel

Votre organisation + Plusieurs plateformes pour une multitude d’opportunités

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Réservation

1er février 2018

2 juillet 2018

1er février 2019

1er juillet 2019

Remise

13 février 2018

13 juillet 2018

13 février 2019

12 juillet 2019

En kiosque

19 mars 2018

18 septembre 2018

18 mars 2019

17 septembre 2019

8nouveau projet — trousse média 2018-19

Tarifs | Magazine papier

A

C

D E

B

Double page L : 16 poucesH : 10,5 pouces + 0,125 pouce de bleed de tous les côtés, sans marques de coupe

Page L : 8 poucesH : 10,5 pouces + 0,125 pouce de bleed de tous les côtés, sans marques de coupe

Demi-page verticale L : 3,3125 poucesH : 9 poucessans bleed, sans marques de coupe

Demi-page horizontale L : 6,8125 poucesH : 4,4375 poucessans bleed, sans marques de coupe

Quart de page L : 3,3125 poucesH : 4,4375 poucessans bleed, sans marques de coupe

impression et confectionCouleurs : quadrichromiePapier couverture : Rolland Enviro100 160M CouverturePapier intérieur : Rolland Enviro100 Texte 140MReliure : allemandePresses : Transcontinental InterglobeMarge de sécurité : ne pas mettre de texte à moins de 1/2 pouce du bord

les formats

rabais de volume

tarifs réguliers 1 x 2 x 3 x 4 xDouble page 3 300 $ 3 050 $ 2 800 $ 2 500 $Page 2 200 $ 1 950 $ 1 700 $ 1 400 $Demi-page 1 650 $ 1 500 $ 1 350 $ 1 200 $Quart de page 1 600 $ 1 300 $ 1 050 $ 800 $C2 ou C3 3 300$ 3 050$ 2 800$ 2 500$C4 4 950$ 4 450$ 3 950$ 3 400$

tarifs pour obnl 1 x 2 x 3 x 4 xDouble page 2 350 $ 2 100 $ 1 850 $ 1 600 $Page 1 600 $ 1 300 $ 1 050 $ 950 $Demi-page 1 050 $ 950 $ 850 $ 750 $Quart de page 800$ 700 $ 625 $ 575 $C2 ou C3 3 150$ 2 900$ 2 600$ 2 400$C4 4 700$ 4 200$ 3 700$ 3 150$

Pour toute demande de placement préférentiel, veuillez ajouter 20% aux tarifs réguliers.

remise des fichiersUne épreuve PDF du matériel publicitaire doit être soumise pour approbation par l’éditeur, avant la date limite de remise à [email protected]

Les fichiers finaux et approuvés devront être enregistrés en tiff ou en pdf à une résolution de 300 dpi, et envoyés à Jean-François Proulx : [email protected]. Les envois de plus de 8mb doivent être faits à l’aide d’un service comme Dropbox ou WeTransfer.

tombées publicitaires

Nouveau Projet 13printemps-été 2018

Nouveau Projet 14automne-hiver 2018

Nouveau Projet 15printemps-été 2019

Nouveau Projet 16automne-hiver 2019

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9nouveau projet — trousse média 2018-19

Tarifs | Site de Nouveau Projet

spécifications techniquesFichiers acceptés : jpegRésolution : 72 dpi, RGBPoids maximal : 50 ko

Une publicité dont l’arrière-plan est blanc doit être entourée d’une bordure pleine d’au moins un pixel.

le format

Bannière pour infolettre ( jusqu’à 5 000 abonnés)Visibilité dans les infolettres hebdomadaires

spécifications techniques et livrablesFichiers acceptés : JPG, GIF, GIF animé en boucles - 3 répétitionsRésolution : 72 dpiPoids maximum : 100 ko

le format

Tarifs | Infolettres

Large bannière 728 x 200 pixels

tarifs1 à 2 parutions : 400$ par envoi3 à 4 parutions : 375$ par envoi5 à 6 parutions : 350$ par envoi

remise des fichiersUne épreuve PDF du matériel publicitaire doit être soumise pour approbation de l’éditeur, avant la date limite de remise à [email protected]

Les fichiers finaux et approuvés, ainsi que l’URL de destination devront être envoyés à [email protected] cinq jours ouvrables avant le début de la campagne.

Large bannière dans le carrousel de la page d’accueil Version bureau : 2280 x 950 pixelsVersion mobile : 1280 x 1120 pixels

tarifsLarge bannière : 500$ | 2 semaines 1 000$ | mois (temps maximal)

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Les fichiers finaux et approuvés, ainsi que l’URL de destination devront être envoyés à [email protected] cinq jours ouvrables avant le début de la campagne.

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encartage ensachage

remise des fichiersLivraison du matériel chez le préparateur approximativement un mois avant l’arrivée en kiosque. La quantité totale de matériel livrée doit comprendre : le nombre d’encart / d’ensachage correspondant au nombre d’abonnés + une gâche supplémentaire de 5%. Une épreuve PDF du matériel publicitaire doit être soumise pour approbation de l’éditeur, avant la date limite de remise à [email protected]

Tarifs | Encartage

encartage dans Nouveau Projet

Un encart, format carte postale, inséré dans la revue Nouveau Projet. Une visibilité unique : un seul encart par magazine.

le formatUne feuille cartonnée, recto-versoDimensions maximales : 6 pouces x 9 pouces

tarif0,70$ par abonné (minimum 500$)

ensachage avec le magazine

Votre dépliant, brochure, catalogue ou programme envoyé à nos abonnés dans le même sachet de plastique que le magazine.Exclusivité: un seul ensachage par magazine

le formatPoids maximum: 45 grammes et moins ** un surplus de poids entrainera des modifications au tarif de baseDimensions maximales : 8 pouces x 10 pouces

tarif1,10$ par abonné

Tarifs | Ensachage

Réservation

1er février 2018

2 juillet 2018

1er février 2019

1er juillet 2019

Remise

13 février 2018

13 juillet 2018

13 février 2019

12 juillet 2019

En kiosque

19 mars 2018

18 septembre 2018

19 mars 2019

17 septembre 2019

tombées publicitaires

Nouveau Projet 13printemps-été 2018

Nouveau Projet 14automne-hiver 2018

Nouveau Projet 15printemps-été 2019

Nouveau Projet 16automne-hiver 2019

Encartage également disponible pour ces collections. Informez-vous des tarifs.

10nouveau projet — trousse média 2018-19

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11nouveau projet — trousse média 2018-19

Ils nous font confiance

Alto

Duceppe EXmuro TohuEspace pour la vieThéâtre Denise-Pelletier

DevMcGill Brasseurs RJ Théâtre La Chapelle

ON EN A FAIT DU CHEMIN DEPUIS 25 ANS.

L’Inis Théâtre du Nouveau Monde

SAJE

Juste pour rire SpectaclesCentre canadien d’architectureFestival du nouveau cinéma

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8 > 19 OCT. 2014 NOUVEAUCINEMA.CA MONTRÉAL

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FNC 43_Nouveau Projet 8x10.5.indd 1 2014-08-14 11:59 Fondaction Hydro-Québec

Desjardins STM

Université de Sherbrooke

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12nouveau projet — trousse média 2018-19

Ils nous font confiance

Orchestre Métropolitain

Université McGill Place des Arts

VertuoseAudiogramMAtv

Écosociété Éditions La Peuplade Mutek

La Rotonde Université Laval

Galerie Simon Blais

Éditions du Boréal

Via Capitale Recto-Verso

Il y a 50 ans, l’Université McGill lançait son Programme d’études sur le Québec. Elle

annonce maintenant la création du Centre de recherche multidisciplinaire sur Montréal,

le premier institut québécois de recherche multidisciplinaire consacré exclusivement à

la compréhension des enjeux et des possibilités que présente la vie à Montréal, où des

experts jetteront un nouveau regard sur l’histoire, la culture, la langue, la gouvernance,

l’architecture et les dynamiques urbaines.

Montréal + une multitude de perspectives = recherche urbaine novatrice

Ville de Montréal

C’est s’assurer d’une métropole attrayante grâce à des quartiers vivants.

FAIRE MONTRÉAL AVEC LES COMMERÇANTS

Et aussi Les Presses de l’Université de Montréal, Les Presses de l’Université de Québec, Les Presses de l’Université Laval, Québec Amérique, Del Busso Éditeur, Le Quartanier, Éditions de l’Hexagone, Éditions XYZ, Éditions du Septentrion, Ville-Marie Littérature, Dare to Care records, Centre du Théâtre d’Aujourd’hui, Canal Savoir, CRÉUM, iXmedia, Factulté de droit de l’Université de Montéal, Copibec, Institut de gériatrie de Montréal, Centre de recherche en éthique de l'Université de Montréal, Usine  C, MAI, I Musici, Tangente, L’avenue du Mont-Royal, Planète F, Les films du 3 mars, Université de Montréal, Caisse d’économie solidaire Desjardins, Espace pour la vie, CSN, ÉTS, Télé-Québec, Théâtre Périscope et plusieurs autres…

Bigico Espace Libre

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13nouveau projet — trousse média 2018-19

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Conseillère publicitaire et développement des partenariatsJosée Poirier (514) 273-5002 [email protected]

Bureaux156, rue Beaubien EstMontréal (Québec) H2S 1R2(514) 270-2010

nouveauprojet.com [email protected]/NPmagtwitter.com/Nouveau_Projet

Programme de partenariatNous disposons de programmes de partenariats sur mesure (infolettres, contenus collaboratifs, brochures, commandites, etc.) pour l’ensemble de la marque. Informations sur simple demande : [email protected]

spécial

PORTRAITSMarie-Claire BlaisMichel Rabagliati Marc Séguin Serge Bouchard Geneviève Pettersen Véronique Côté Alain FarahSylvie Drapeauet plusieurs autres

O9Nicolas DicknerSes six derniers mois

Humaniser la police en sept étapes

Big data et racisme sexuel

idées, récits et modesd’emploi pour le 21e siècle

David Altmejdvu par Cindy Boyce0 6 5 3 8 5   8 6 4 8 6     9 0 9

Printemps – été 2016 15,95 $/¤

Automne – hiver 2014 14,95 $/¤

RégénérescencesSociété, urbanisme, consommation et

spiritualité : un dossier de 40 pages

TinderLes nouvelles règles de l’amour

La fin des cubicules et le bonheur au travail

Surveiller et punirL’escalade sécuritaire au Canada O6

Une nouvelle inédite de

Stéphane Lafleur Et des textes de

Evelyne de la ChenelièreRafaële Germain

Catherine MavrikakisNicolas Charette

Sarah Berthiaumeet plusieurs autres

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