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-\T ^ Slainetli 16 NoycnillM^é'! 1 Fi” 46 . -» 32 '“' année. p n ix HK l/A B O .V K R nE W T t f.-iua •■• HoM.nv DiM«T«*w Rii raoft.ti^lS 'tiw Un an. . H' !tO ;^U wofS. ; 9 abW S j'upjqÿniBt'. w ÎIJSq!(ora pivi^iSra;^ 20 v,|i'îj tîk »■; AH IVO IVC I i f t Ë s . ’ABOIVA'R I ; »AÎB«nlia> an bureau <lu Journal, plaee de l'Ilé- ' tel-de-Ville; ^ A Paria, dira H. - HAVAS. rue Jean-JaMpiea Rtmiaeau. K, et chcs Hci(irura. I.AFnTe-&Uf.MRn et Çomp., p^ce dv la.Dourae, 8; ri dira |ct Mbrairea Un déparlrmriit. Ih.W lii !i'; Ife ' . , tic Jü n t'ka i p â GB. Avoini. *ÜÔ T T iO oo ^ 00 Oi 7 60 29 7 66 8 85, 4H 8 22 68 8 80 s sdAcT .L’Empereora adressé an minlslio d'Slal la IcUre sni> • Honsieiir le miaislre, • I.*oplnlonéniisecemaUibsnriinli'osliualion flnnncl&re I par si* Fotild; dans la réunion du Consnii privé «l du I conseil des mlnislr&s, a toute mon approbàlian. I 1 pepuls longleinps. vous le savez, ma préoccnpalinn I élail de renfermer le oudgei dans des limites inv.arial)les, I ri souvent, en présidant le conseil d'Eial. j'ai exprimé mon I désiré cet ég.ird. .. I Slalheiircusemcnt. des clrconslanccs imprévues et des atcessil^ toiijniiW croissanlr.s m’ont çntpAclié d'allclndrc I ce résuilal. Le seul moyen emcacu d'y parvenir est d'aban* IbonncrrésélAmenl la r.icnUéqul m'appartiendra d'ouvrir, I en. i’absence des cliambrcs, des crédits iiouveaiK. Le sys> Itème foncliniinera spiis préjudice poinr l'Elat si, après ■ ruamon allcnlir des économies possibles, une explication liofale des besoins réels du radministraiion persuade te lûirpa b^islatif de la nécessité de doter convenablement I les différents services. I I Je viens donc vous prévenir de mon intention de réii* Inir le3 décembre le Sénat, pour Ini faire connaître ma Idétermination de renoncer an pouvoir d’ouvrir, dans Inqtervalle des sessions, des'crédits snpplémcnlaires ou leslyAordinaires. Cette résqintinn feVif partie du sénains* I consulte qui, sulvaiil ma promesse, réglera par grandes I sections le vote du budget des dilférenls ministères. » En renonçant au droit qui élail égniinpcnt celui des Isouvcraiiis même constilnlionners qui m'ont préi-'édé. je 1 pense faire une chose utile à ta bonne gestion de nos I flnanres. Fidèle é mon origine. Je ne puis regarder les pré- I rogalives de la Couronne ni comme un dépôt sacré auquel loDue saurait toucher, ni vomme l'herilage de inespérés Iqui faille-avant tout Iriinsincltre’ intact ô mon iils. Klii du l|wiiptu, représunlanl'ses intéiéls, j’abandoimerai toujours I sans rrgrel toiiiè prérogaline inutile au bien public, de I même que je conserverai inébranlable dans mes mains tout I pouvoir indispensable ô la Iranquitilé et à la prospérité du I I^P*- I > S'il*ce. m nidniir ie minislre. je prie Dieu qu'ii vous ail lin sa sainte garde. Ecrit au palais de Compiègne, le 12 novembre l8Gt. NAPOLÉON. I/Empcreur a adressé à M. Achille l'ould l.i iellrc sui I vante < Mon .cher monsieur Fonld, » Vous avez fait ressortir avec tant de lucidité devant le I r.onse\\ privé et le Conseil des ininisires un danger de mon I Gouvernément. et votis avez souleiin votre opinion par des I arguiiiRiils si Ronvaiiicanls, que je suis décidé à adopter roniplèleinenl vus idées cl à faire in.sérer votre mémoire au UoMleur. J’accepte voire système d'anlani plus volontiers que de puis longtemps je cherehais, vous le .savéz^ lu moyen d'as seoir snitdenieni le crédit de l'Elat,-en reii|ennanl les mi nisires dans le budget réglennuitatn!. Mals ce' nouveau sys tème nu fonrlionnera aver. avantage que si celui qui a su en Approfondir'luuleji les difnuBitvsi<¥çul;so. consacrer à son cxtenlion. Je .vietis donc vnjis rhai^er.du'pprlefeuille des linances. et je vuus.sais gré «le ivoibt déVoum* A celte tôrhc ■loiit les résnltnts'seronl favorables .inxdutél'éts généraux. Je suis persuadé que dansci-lle nouvelle position, vous ne tesst-rez de (lie d«muer* coinméi|iar le pas.sé. des preuves de ilévouetneni et de patriotisme. Recevez, mon rlieh thunsiènb>Fauld, l'assurance do ma sincère amitié. '>•, = > ■ • - i- NAFÜLÉOM. Par décrelii rcnirUAià t^mpiègnb, le l i nove:nb,rc : M. Fould, membre du Conseil privé, est nommé minis- I tre desllnnnrA*8, en rempiaccmeiil de M. de Forcadc, dont I la déminsion est acceptée. U. de Forcade est élevé A la dignité de sénateur. > d'infanlorie avec les troupes de cavalerie, d'arlllleric cl » de génie qui y sout attachées, ce qui, aux larmes des • règiemonis milllaircs, siiflit pour cun'stitncr tin corps • d'armée. ' ' L’Eraperaura trouvé Juste que cet^ofüoicr général,- • dont II apprécie les services, exerçai désormais, eiMrcrlii > d'une commi.ssion de commandant de corps d’armée, los > pouvoirs dont il était elTeclivemenl revêtu. Eu soumet- • tant A Sa Majesté une proposition dans ce sens, le mnré- > chid mini.strc de la guerre a eu en vu^ de niellre le litre » du commandant des forces françaises en rapport avec • sa position réelle, ce qui n'altère en rien le caractère • essculièllcmuiit paciflqiiu et protecteur de notre mission • A Rome. » — S. A. I. le pritirc Napoléon a envoyé ATurin une somme de 5,000 fr. pour concourir A l'éi-ection du monument en rtiodueiir du comte de Cavour, cl S. A. I. la pi-itsce.-<so Cio- tilde une somme de 2,000 fr. dans le même but. Voici lc.s deux lettres qui accompagnaient ces otfrandH.s : ■ Paris, 29 octobre. » Messieurs. A nioii retour d'un long voyage, j'apprends sRiilemcnt qu'une souscription c.st ouverte pour,élever un muuumont au comte de Cavour. , • Les services que votre illustre compatriote A rendus A son pays, en aidant le roi Viclor-Ëmmannel A réaliiler i'é- uian'cipalion et l'unité de l'Italie, onl inarqué sa pl^Co parmi les grands hommes du dix-neuvième siècle. • Attaché A cet homme d'Elat par les liens d'une sincère et vive amitié, je désire rendre un dernier hommage A sa mémoire, et vous prie de m'inscrire parmi vos sonscripleurÿ pour une somme de 5,000 francs qiie jo fais rcipuHre A )l. le ministre d'Italie A Paris Recevez, 1068510111*8, l'assurance de mes senliincnls les plus distingués. » Napol£ox (Jérôme}. » ' ■ Palais-Royal, 29 octobre 1861. » 5!rs.sieiu*s, > En devenant française par mon mariage, mon cieur c-st resté .profundémeut dévoue A l'Italie. Je suis heureuse du vous le prouver aujourd'hui eu me rémiissaulA mon mari dans une circun.slance où il s'agit d'himorer la mémoire d'un homme comme'M. de Cavour. > Je fais remettre au minislre d'Ilnlic A Paris le moulant de ma souscription, el-jc voitsprie, iue.-:sieur.^, de recevoir l’assitrancc de mc.s sentiinenis distingués. ■ MAnie-CL0Tu.üB .N ai- olA ux. — On lit dans le Monilear universel dq 9 : < Pliisiem-s journaux ont parlé de la nuuiin.alion du gé- • iiéral de Goyon en qualité dv gcnéral en chef du corps > d'occupation A Rome, et Ils y ont cherché une siguiüca- médiaiic des coii.sulals, dans l'inlérél du nos nationaux. » lion que rien ne justiüc. ' (^louUcur.) L'Empereur, dans sa Itpute sollicitude pour tous les in térêts, vient de rendre, sur le rapport du ministre de.<( tiiianccs, un décret poMaul réorganisalioti de l'administra tion des Caisses d'amortis.sement et des dépôts et consigna tions, conformément aux proposilion.s faites par la com mission de surveillance (constituée par (a loi du 28 avril 1810) et sur la demande du dirvcicur général des deux caisse.s. Lu personnel de ces établissements. chargé.s de gérer une part si inléru.ssante do la fortune publique, comprend plus du 200 employés. L’imporlancc et le dévuloppemvnl (le leur.s travaux s'accroissent constamment par rcxtensioa des allrihulions d'une ndminisli-ation qui répond A la Juste conllance qu'elle inspire au pays et un Gouvernement. L; Caisse des dépôts et consignations donne garantie et sécii rité complètes aux intérêts litigieux druil la sauvegarde lui est contiée, et les villes ut les déparlomeuts trouvent dans celte Liii.sse les fonds nécessairo.s A l'exéculiuit des travaux utiles. L'élablissemcnt dans son cnseml>lc.osl devenu i'iuslru ment de la réalisation des institutions géiiércuses diic.s au génie de l'Empereur, telles que la caisse de rvlrailes pour la vieillesse, lu dotation accordée aux sociétés de secours mutuels, la caisse de la dotation de l'armée, celle destinée A secourir les eccbVsiasIiques âgés ou inôrmcs, la cais.sc des offrandes nationales en faveur'des arinées liu terre et de mer, etc., etc. On sait d'ailleurs nue les relations de ce grand élablissR' ment üuanoier s'étendent non-senlcmeut en Fruncc, Algérie et dans les colotiie.s françaises, mais encore l'étranger, dans toutes les parties du inonde, par l’inlcr nÀa^ù'rojraiim eJfaiien par la Delgique; aucun-açtè ad- Iheni^uc-ne cnnsitcrè oiiverlemeni et d une manière solen nelle èelte rocnunniss.ince, mais elle se .Irouye.'iinQljcile- menl faite par nu décret du 5 novembre, par loqiiel M. Henri Solvyns. ministre résidant près la'courde Lisbonnp, est nomme envoyé extraordinaire et ministre plénipoten tiaire A Turin . ... . • , > . U. Dom Roilro V, roi de Foriugal, a succombé, dans la soirée du II novembre, aux .atteintes d'une flèvi-c.mali gne qui Avail-prLs tout A coup un caractère inattendu de gravité A lu .suite de l'émotion causée A l’auguste malade par la mort de son frère. Dom Fei'dinand, père du roi, a été immédiatement reconnu régent par le conseil d’Etat, jusqu'A l’arrivée du duc d'Oporto, qui succède A son frère sons le nom du i.aiiis I". Le souverain que le l’urtugal vient do perdre-lnis-vrii dans sou pays de profomls regrei.s, cl sa mémoire restera associée, dans le cmur de son peuple, au souvenir, du cnur.igeux dévouemeul dont il a fait preuve pendant: l'épidémie qui, en 1859, a si cruellement sévi A Lisbonne. Le roi dom Pi^dro V, à peine Agé de vingt-quatre ans, avait succédé, lu 15 luivcmbre 1853, à la reine Doua Maria U, sa mère. Il avait épousé la princes.se Stéphanie-Frédéi'i- qiic-WilhcIniiuc llolienzidien Sigmariiigeii, morte lu 17 juillet 18Ç9. •. '..A Ujioüvclle de.la mort si rearcttabie du roi de l'orlii- gal. Leurs .MaJesiAs ont pris te ileuil immédiateineut, alin de donner A la fimille royale du Forlugal mie m'.irqne de leur vive sympathie. La célébration de la fêle de l’Impératrice est ajournée, ainsi (pie les chasses et les spcclacles. — Par décret ou date du 12 iiovcmhrc s(>nl nommés ; 1° Aux faiiclions de juge et de juge snppléint tic la chambre des niisu-s en açcu.salioii de la haute cour de jus tice, peur l'aniiéK judici.àire 1861-1862,1rs conseillers du la cour du cas.(alioii dont 1rs noms suivent. ^.MM. Lrgaguuiir, Fouchur, d'O.ns, Liiborir, J.dlou, juges; Delap.iitnr, Ijuéuault. juges suppléants. 2° Aux fourlions déjuge et déjuge suppléant de l.i cham bre de jugement de la h.iute cour de Justice, pourlii même année, les conseillers de la cour de cassation dont Ic.s noms suivent : MM. l’rcoiirl, de Biisdeiix, Moreau (<le la Meurlho), Le Roux de Rretagne, Sénéca. juges; Rrc.ssou, Pluugniilm, ju ges suppléants. I.n Rerue des Deux-i/oniles a reçn un avorlissenicnt A propos de la chronique do sou avant dernier numéro. Un journal de province, la France ccntrafe,.contirme le bruit (lui.nviiit couru ces jonrs ci, en aimouçaulque M. Forcade, auteur de l’article qui a motivé la décision niinistériellc, a d(-féré rcl avcriisscmeiit an con.scil d'Etat. C'est lA une qncsiioti toute nouvelle et' qui se rattache trop iulinieniriil aux principes sur lesquels est fondé en Fram^c lu droit de discussion, pour que nous n’y poi tions pas toute notre alicntjon. t^c n'est pas A nous d'apprécier SI ce pourvoi csl fondé; il sufllt que la i|ucstion soii posée devant une juridiction pour que nous ayons le devoir de n'exprimer aucune opinion. Disons seulement que cette affaire, par cela s-ni qu’elle se rattache à l'exercice du droit (le discussion en France, présente un intérêt parti culicr pour la presse et pour le pays, dont les sympathies linur une liberté sage seuibleut depuis ({iielque temps se manifester par d'Iicurcux symplômo.s auxquelles nous ap' piiUidirons toujours. — Le débordement du Mi avait inspiré, dit la Gtizellc du ilidi, i|iielqnes craintes-relativement, aux travaux du canal des deux mers, mais le jnui'nnl l'Isthme de Sucs donne A cet ég.ird des nouvelles compictemeul rassuruntos; l'inon dation n'a gagné auniui des points de ristliine, ni sur relie du c.uial d'eau douce. Elle a poussé ses plus exirêuies al- Irintrs en deçà de Zag'azig. Les ir.ivaux n'iuii été ni. inler- rompu.s ni gênés, en un mot, l'isthrnc tout rniier est resté exempt du iléau qui vient d'afiliger une partie de l'Egypte. Il n'a eu pour rrntreprise d'autre effet (jue d'ciHraver les coiuiniinicnlious cl de diminuçr un instant Fiiinuence des travailleurs. ^ M. Ferdinand de Lcsseps csl parti de Paris cl a dùs'em- L’entrepreneur général'! _____ ^ oi'i il l^Blibuvéen ce momcul. Atlendohs tes nouvelles. Je l’imiuilsion que la présence; de'ces messieurs, ne peul ,Riaii- qiicr de donner ai^x opérations . .... . ’ „ Les travaux loiilefuis se poursuivent aciivemen.t sii.r tous les points Je l'isibtne. La rigote qui doit unir Ferdiuic. A Kantara avance tpus les jours, éi no.s correspondants nou.s conûrmenl l'établissement de h commnoicalioh<sur le ca nal d’eau douce jiistÿu'A Ramsès et au-dclA.tOii marche sur celte ligne vers Makfar. ' ' — On parle d’un projet de Ini destiné A modifier la’llni. sur les boissons, notammènl en ce qui concerne l'exercice' chez les débitante, qui serait remplacé par iiiic taxe. Pour extrait cl rédaction : E. REG.MERV lOUTEtLES DËPiKTEllIEIITiLES. laotriicliaii prlnuiire- — Resislres matricnleM, Beauvais, le 30 octobre 18C1. Le Préfet de l'Oise. Chevalier de la Légiou'd'IIonneur, à M il. les Maires du département. Messieiii's, je vous prie de r.*ippeler aux institiileurs et. tnélilillrûses de vos raimmun'cs qu'ils doivent adre.sscr le 25 décembre de chaque année A l'inspecleur pi'imaire de. leur arrondissement, lu deuxième cxcmplnire du rcgislrc matricule. Veuillez leur recommander de s'.issurcr, avant de faire cet envoi, que Ilmii- travail est exact et complet. Ils auront soin de faire les totaux trimestriels et de munirer, par une réciipiluliillon, que ces totaux s'accordent parfaitement, avec le total général porté A la colonne 23, et reproduit dans les détails relatifs au traitement. Enfln ils ne pei'dront. pas de vue que le lablean récap'dnialif pré.sentniit la fré« quenlalion de l'école doit être rempli an moyen des .chiffres portés A la colonne 21. Rcreve/., etc. I.êox Ciievre. vu. GOUa D'ASSISSS VS L'OÏSS. 9ni«frième frlninslre 1601. — lilate du Jurjr. NM. Goullencourl (loau-Viclor), notaire A Songeons. Roiiycr (Edouard-Autoniii), vétérinaire A Senlis. Durand (Edouard), chunioiseur A Trio-LhAteau. .. , TrochoH (Ju(rquc.-(-François-Eilmohd). ciiUivaV A Bouillancv. Ferlé (Jean-Autoiue), propnélairc à Tracy-lc-Mont. B.(llel (ilippolyte-Antoinc), propriétaire â'Sainljnos. Poulain (Jcan-Lliarlcs-Julieii). propriélaîré A Si-.Maxim[ii.. Agutte (Jcan-Fraii(;.ois), propriétaire A Lompiègnc. Leduc (Jean-Jjcquc.-«), cultivât'' A V.lllcneuve-.sur-Verbcrie. Cossé-Urissac (comlcde) (Aimé-Mauricc-Arthur-Tliimoléon) propriétaire A Fayel. Dolndreue (Louis Florentin), propriél'el maire à Rrombos. Delabruyère (Pierre Lonis), capitaine retraité à Mérii. Léger (Charlos-Adrien), propriétaire A Ons^en-Rray. Aiidrieiix (Jeau-Césairr), cultivateur à Reilty. Üellenger (l'ierrc-Martial), notaire A Liciivillers. Lecouieulx (Maric-Eticnne). cultivateur .à Frnissy. Crussoiinier (Pierrc-Félix), adjoint au maire à Aitncull. Moreuil (J.-au-Baptiste). maire A Noinlel. * Dcbnire(LoUis-F*ranç.-Joseph), ancien huissier A Liancourt. Droiiard (Jcan-Daplislc-llénrij, itiarch. de bois A Fleiirines. Lùçay (comte de) (.Nàpoléon-Jnscph-Charlcs), propriétaire et m^ire A Ilondainviltc. Denis (Louis-Maiirice). propriétaire A Noyon. Bande ;Jean-Louis], propriétaire A Cauvignr. Bézard (i'ierre-François-J.-B.). fabricant A Grandvillicis. Fali.ssc (Dierrc-VIctor), mennier-A Traiîy-lc-Val. Butlcnx(Fieire], propriétaire A NiviRers. Dodé (Jean-François-Adolphc), cultivateur A FouriiivaL Baslard (Pierre-Âlexls), maire A Auneiiil. Roussel (Charlos-llynciiithe), propriél”'et m.'iire A Oudeitil. Delnzamie(Jean-L(>uis-Viiiceul). propriétaire A Urégy. Rndin (Félix-Maximilicu), maire A La Neuville. l.uvallée (Jenn-FéRx). propriétaire A l'récy. Galmel (Ileiiri-Arsène). cultivateur A 8.iinl‘tirépin. - Pelletier (Auguste), notaire honoraire A Noallles. FKÜILLETON. P! u iw e ; i<:x.ci]usno.\ . DAKS I l e b e r r y e t l a t o u r a in e _ Au frontispice de la principale entrée npparail, ficulpléc I tngros relief, la statue éqU6.stre de Louis Xll. Üans.rmté- I rieur, on remarque, faisant avaiil-(:m'p8 dans ta cour, une I tour d'escalier conduisant A lu pariie latérale du château, I éonstriiile snus François I". Celle tour, est admirablement I Kuljtlée et présente A chacun de ses étages le chiffre'dè ce I ni couronné de la sidamandre. La partie du milieu est I ane belle œuvre du siècle de Louis Xll ; les aiitrès parties I Mut des recoiistruclions et additions de Gaston d'Orléans, 1 frère de Louis X lil. La façade (>xtérieure du rôté de la ville I étonne par soti iMévaliou, le nombre et la forme de Ses fo- I nêircs, la singularité do sou archilceluris la beauté de scs I galeries, de scs balcons, do sc.s sciilplnrcs, et par la grau- I deur de sAn développement; elle domine une belle place I où l'on voit un délicieux jardin ou sciuare public orné d'un I IWKsin avec jet d'eau et où s'élève le beau portail de l'église I de Saint-Viucent de Paul. I Ce cbâlcaii, si intéicssunt sons le rapport de i'arl, ne I l’est pas moins sous le rapport de l'histoire. Il fut le séjour I dephiKicurs de nos rois et le IhéAtre des grands événc- I uients qui ont iunué sur le sort des peuples et du la tiio- uarehic.lSous Louis XI, Louis Xll, François 1”. Gaston d'Orléans, il recul des augmentations et des einbelllsse- I iiiciils. Après l’a mori do son époux, assassiné en M07, I Valeiiliue de Milan vînt s’y retirer ; elle avait pris pour «le- vise '."iRien ne m'est pUts, plus ne luesl rien. Elle y mourut fiirciil conçus les odieux massacres de la SairdrBarIhéIcmy. A SS^ans. Eu 1439. le Bâtard de Bourbon et Antoine de ! Lu jruin'roi y reçut l'amiral du Goligny et Henri de Na- Chalninues y vinrent, dans la guerre du la Pragucric, se I varro, doni on til les liauçaillcs avec Alaiguerite de Valois. Il joindre aux conjuré.^, dont le Dniphiu, depuis Louis XI, ! y iiii! si^ Elals généraux en 1576; ils y fui’cnt encore Icniis était le chef. Eu H40, Charles d'Orléans y fixa son séjour; ; en 158S. Los députés s’y remlironl au nombre do 411. Le Il y appela des arlistcs qui l'ornèrent do rhefs-iFuMivre et | duc dt- Guise y rivalisait d’aulorilé avec Henri III. Le 25 des hommes de lettres/ qui faisaient rhonuenr de sa r.our. ! décendn-e, ce roi ie fait assas-siner |*ar .scs gardes près de Eu 1402,,Loiiis d’Orléans y naqiiil; il y fol lenu sur les '.son cabinel. On nous montra la place où ce inalhenrenx duc fonds de lùptême par Louis XI cl élevé par Marie do Elève, 1 fut frappé, cl celle où il vint mourir au pied du lit du roi. duchcjwc d'Orléans, sa mère. Eu il98.il y fut salué comme i Caiberiue de Médiris, A gui le roi vint apprendre celte roi paiîune députation du parlement do Paris, et c’est lA | nouvelliî. Ini dit : C'est bien cnupé. mon fils, mais à présent que tfut prononcé ce mot devimu célèbre : Ce n'est pas nu .. il fuit coudre; couriuje donc cl aclivité. L'archevêque de roi dé F<-fliiceô vcii/yer te*/«jiWff.f du (/ne d'OrWinw. Eu 1499, ! Lyon et le cardinal de Guise, arrêtés après révénemcnl. Il y travailla avec une assemblée de notables cl dejuris- - sont enforimis dans un cachot grillé que l'on voit encore. con.sullc8 Ala (aincn.s'e ordomia'nre diteOj-doiinu/icedeBtete. > Peu après, le cardinal fut assassiné comme sou frère. Leurs li'auuéc suivante, il y reçut l’archiduc Philippe d’Autriche î corps furent brùh'is-ilaus la chambre des combles et (ours- «t son épouse, Jeanne <Ia~Castillc. dont IcTils fut depuis lô i.cnndivs jelées dau-sda rivière. 11 y a toujours des crimes célèbre Gharie.s-Quint. Le château élail alors dans sa plus ; dans lu demeure des Vois cl des pages sanglantes dans leur gramic splendeur. Celte réception fut niiigniii(|uo;^ clic : histoire. donna lieu A des réunions. de.s fêles qui durèrent [dusicurs ('.atherine de Médîcis, en proie A une lièvre ardente de puis l'assas.sinat des Guises, mourut au château de Rlois le 5 janvier 1589, dans sa 70* année. (Vest dans ce château uu’IIonri IV lit, on ICO-J, sou êdit sur los duels. Plus tard, il devint un lieu d'exil. Eu 1017, Marie de Médicis, \veuvo dc^lleuri IV, y est reléguée par le roi Louis XIII, soit fils, cl s'en évade eu IGIO. Gaston d'Orléans, retiré A Blois en 1633, avec M"* de M«mlpensier, sa lillc, f.dt commenciT nu Domaine. Eu 1855, l'adminisirallnn municipale, quVie pos sède Cil vertu d’un déèpet impérial de 1810, en a .nffeclé une partie pour une caserne d’iumntdric. Aujourd'hui, la ville ne pouvant subvenir aux-dênenses d'enlreljcn, a fait A Napoléon l'il, qui l'a accepté, I offre de ce château pour le priuRc impérial. La ville de Rlois s'embellit encore de .scs boulevards, de scs beaux-pouls, de sa grande rnièrc (la Loire), de scs vastes promenades et des sile.s charmants qui l’cntoureut. L'étranger qui les parcourt n'ndmire pas moins la magni- flceiicc de ses hôtels, La coquetterie, la richesse de ses bou- tique.s, les curiosiltte de ses bazars cl siirfoul l’exquise po litesse de scs habilanis. Bloi.s est la imlrie de plusieurs hommes célèbres, tels que L. Ilabcri, J. Boriiicr, l.saac cl Denis Papiu, « te. jours ctjémervcillèrcut la ville. \ la) 2 décembre 1509 y Bit célébré te mariage do Gharles. duc d'AIcnçon, nvcc Marguerite d'Angnulême. Une seconde fille y naquit A f.ôuls Xll et reçut le nom do Renée, t^'e.st A Blois que ce roi forma la riche collection bibliographique qu'on v(dt cncoro A la bibliothèque impériale, Anne d() lireiagnc, sou épouse, y mourut; son corps fut tr.auspnrié i 1635, avec M * de Mtuilpensler, sa llUc, f.m commencer au A âaint-Denis. Claude do France, sa .fille, épousn de Fran- fhâloau dos travaux qui ne purent être achevés; il y reçoit, çois I", aimait le châleaii de Blois et y f.ilsail sa résidence i 1659, f.nitis Xl\ ; Li que. jj'Unc euc«*re, ce roi vil habiluellc;elley mourut à l'Age de25nns, le 29 juillet 1521. • I’"'»'' L' vremusro fois H"* de a \allmrc. Gasiou y meurt Catherine de Médicis s'y plafsait aussi; elle y fil, en 1559. i 1609, la ssant dans la ville le souvenir d inn-mibrablcs représciilRr la Sophonisbe do Trissin. Après la im.rt du roi, ; b'Oiifails cl a plusieuis muscos dos i icIiossm d art amassées son époux, fa cour s'y rendit et l’on y vit une première I dans le cliâleau de Rlois. . _______ ...îi.i ....... I.. ..x,.....,. .1.. t v \- ..> I v»-i .... /.oi “Nous etîohs fatigués, nous avions passé .la nuit“ël uûo parlio du jour en voijitrc, lu vdlu curieuso ct montucusc do Blois avait, rous une lempéruîurc nrdeulo, bleu exercé nos jambes et nos yeux, je trouvai A une table d'hôte plus de mets que d'appétit et dans un bon lit plus do repos que de sommeil. io) lendemain, e/élail dimanche; en farc do notre hôtel était l'église de Saini-Vinceiit do ihiul, ou y disait une bas.sc messe, nous y assislAmcs; un grand nombre de fidèles s'y trouvaient rouiijs, nous priâmes avec eux. Heureux ceux qui ont la foi, ils trouvent dans la prière les doux épanchc- mcnls du ciciir, les sainlcs aspirations de l'Ame; elle nous grandit en nous mcliant en rapport avec Dieu, elle nous cons«de dans nos peines, nous foiiifiu dans nos faibles.scs, elle nous rend présents les morts que nous plcnrmis, pour qui nous prions, et dont le souvenir est dans notre pensée et le nom siir-nos lèvres. IlélasI'uous aussi, ma sœur et moi, nous avions A pleurer sur des êircs bien rhiu-s; leur souvenir voyageait avec nous, et nous venions, loin de leut^ tombe, prier pour eiix^ pour nmis, et pour reiix qui noud re.stenl. Vic.Ton OFFROA', de Daiimiartin.'. t- f i

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Slainetli 16 NoycnillM é'! 1 Fi” 4 6 . -» 3 2 '“' année.

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HoM.nv DiM«T«*wRii raoft.ti lS 'tiw Un an. . H' !tO

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abW c î S j'up jqÿn iB t'. w ÎIJSq!(ora p iv i^ iS ra ;^ 20 v , | i ' î j

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AHIVOIVCI i f t Ë s .

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; »A ÎB«nlia> an bureau <lu Journal, plaee de l'Ilé- ' tel-de-Ville; ^ A Paria, d ira H. - HAVAS. rue

Jean-JaMpiea Rtmiaeau. K, et chcs Hci(irura. I.AFnTe-&Uf.MRn et Çomp., p^ce dv la.Dourae, 8; r i d ira |c t Mbrairea Un déparlrmriit.

Ih.W li i !i'; I f e

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GB. Avoini.

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.L’Em pereora adressé an m inlslio d 'S la l la IcUre sni>

• Honsieiir le miaislre,• I.*oplnlonéniisecem aU ibsnriinli'osliualion flnnncl&re

I par si* Fotild; dans la réunion du Consnii privé «l du I conseil des mlnislr&s, a toute mon approbàlian.I 1 pepuls longleinps. vous le savez, ma préoccnpalinn I élail de renfermer le oudgei dans des limites inv.arial)les,I ri souvent, en présidant le conseil d 'E ia l. j 'a i exprim é monI désiré cet ég.ird. ..

I Slalheiircusemcnt. des clrconslanccs im prévues et des atcessil^ toiijniiW croissanlr.s m’ont çntpAclié d 'allclnd rc

I ce résuilal. Le seul moyen emcacu d'y parvenir est d'aban* IbonncrrésélAmenl la r.icnUéqul m 'appartiendra d 'ouvrir,I en. i’absence des cliam brcs, des créd its iiouveaiK. Le sys> Itème foncliniinera spiis préjudice poinr l 'E lat s i , après ■ ruamon allcn lir des économies possibles, une explication liofale des besoins réels du radm inistraiion persuade te lû irpa b^ isla tif de la nécessité de d o te r convenablement I les différents services.I I Je viens donc vous prévenir de mon intention de réii*In ir le3 décem bre le Sénat, pour Ini faire connaître ma Idétermination de renoncer an pouvoir d ’o u v rir , dans Inqtervalle des sessions, d es 'c réd its snpplém cnlaires ou leslyAordinaires. Cette résqintinn feVif partie du sénains*I consulte qui, sulvaiil ma promesse, réglera p a r grandes I sections le vote du budget des dilférenls m inistères.

» En renonçant au d ro it qui élail égniinpcnt celui des Isouvcraiiis m ême constilnlionners qui m 'ont préi-'édé. je 1 pense faire une chose u tile à ta bonne gestion de nos I flnanres. Fidèle é mon origine. Je ne puis reg ard er les pré- I rogalives de la Couronne ni comme un dépôt sac ré auquel loDue saurait toucher, n i vomme l'herilage de in esp érés Iqui faille-avant tout Iriinsincltre’ intact ô mon iils. Klii du l|wiiptu, représunlanl'ses in téiéls, j ’abandoim erai toujours I sans rrgrel toiiiè prérogaline inutile au bien public, de I même que je conserverai inébranlable dans m es m ains tout I pouvoir indispensable ô la Iranquitilé et à la p rospérité duI I P*-I > S'il*ce. m n idn iir ie m inislre. je prie Dieu qu 'ii vous a il l in sa sainte garde.

Ecrit au palais de Compiègne, le 12 novembre l8Gt.NAPOLÉON.

I/Em pcreur a adressé à M. Achille l'ould l.i ie llrc sui I vante

< Mon .cher m onsieur Fonld,» Vous avez fait resso rtir avec tan t de lucidité devant le

I r.onse\\ privé et le Conseil des ininisires un danger de mon I Gouvernément. e t votis avez souleiin votre opinion p a r des I arguiiiRiils si Ronvaiiicanls, que je suis décidé à adopter

roniplèleinenl vus idées cl à faire in.sérer votre m ém oire au UoMleur.

J ’accepte voire systèm e d 'an lan i plus volontiers que de­puis longtemps je cherehais, vous le .savéz^ lu moyen d 'as seoir snitdenieni le créd it de l'E lat,-en re ii|e n n an l les mi nisires dans le budget réglennuitatn!. Mals ce' nouveau sys­tème nu fonrlionnera aver. avantage que si celui qu i a su en Approfondir'luuleji les difnuBitvsi<¥çul;so. consacrer à son cxtenlion. J e .vietis donc vnjis rha i^e r.du 'pp rle feu ille des linances. et je vuus.sais g ré «le ivoibt déVoum* A celte tôrhc ■loiit les résn ltn ts 'seronl favorables .inxdutél'éts généraux. Je suis persuadé que dansci-lle nouvelle position, vous ne tesst-rez de (lie d«muer* co inm éi|iar le pas.sé. des preuves de ilévouetneni et de patriotism e.

Recevez, mon rlie h thunsiènb>Fauld, l'assurance do ma sincère am itié. '>•, = > ■ • - i- NAFÜLÉOM.

P ar décrelii rcnirUAià t^m piègnb, le l i nove:nb,rc :M . F ould, m em bre du Conseil privé, est nommé minis-

I tre desllnnnrA*8, en rempiaccm eiil de M. de Forcadc, dont I la déminsion est acceptée.

U . de Forcade est élevé A la dignité de sénateur.

> d 'infanlorie avec les troupes de cavalerie , d 'a rlllle ric cl » d e génie qui y sout attachées, ce qui, aux larm es des• règiemonis m illlaircs, siiflit pour cun'stitncr tin corps• d'armée. ' '

• L’E ra p era u ra trouvé Juste que cet^ofüoicr général,-• dont II apprécie les services, exerçai désorm ais, eiMrcrlii> d 'une commi.ssion de com m andant d e corps d ’arm ée, los> pouvoirs dont il é ta it elTeclivemenl revêtu. E u soum et-• tan t A Sa Majesté une proposition dans ce sens, le mnré-> chid mini.strc de la gu erre a eu en vu^ de n iellre le litre » du com m andant des forces françaises en rapport avec• sa position réelle, ce qu i n 'a ltè re en rien le carac tère• essculièllcmuiit paciflqiiu e t p ro tec teu r de notre mission• A Rome. » ■ ’

— S. A. I. le p ritirc Napoléon a envoyé A T urin une somme de 5,000 fr. pour concourir A l'éi-ection du m onum ent en rtiodueiir du com te de Cavour, c l S. A. I. la pi-itsce.-<so Cio- tilde une somme de 2,000 fr. dans le même but. Voici lc.s deux lettres qui accom pagnaient ces otfrandH.s :

■ P aris, 29 octobre.» M essieurs.

A nioii re tou r d 'u n long voyage, j 'app rends sRiilemcnt qu 'une souscription c.st ouverte pour,é lever un muuumont au com te de Cavour. ,

• Les services que votre illustre com patriote A rendus A son pays, en aidant le roi Viclor-Ëmmannel A réaliiler i'é- uian'cipalion et l'un ité de l'Italie , onl inarqué sa pl^Co parm i les grands hommes du dix-neuvième siècle.

• Attaché A cet homme d 'E la t p a r les liens d 'une sincère et vive am itié, je désire rendre un d e rn ie r hommage A sa mém oire, et vous prie de m 'inscrire parm i vos sonscripleurÿ p our une somme de 5,000 francs qiie jo fais rcipuHre A )l. le m inistre d 'Italie A Paris

Recevez, 1068510111*8, l'assurance de mes senliincnls les plus distingués. » Napol£ox (Jérôme}. » '

■ Palais-Royal, 29 octobre 1861.» 5!rs.sieiu*s,

> En devenant française p a r mon m ariage, mon c ieur c-st resté .profundém eut dévoue A l'Italie . Je suis heureuse du vous le prouver au jourd 'hu i eu me rém iissaulA mon m ari dans une circun.slance où il s 'agit d 'h im orer la m ém oire d 'u n homme comme'M . de Cavour.

> Je fais rem ettre au m inislre d 'Iln lic A Paris le m oulant de ma souscription, el-jc vo itsprie , iue.-:sieur.^, de recevoir l’assitrancc de mc.s sentiinenis distingués.

■ MAnie-CL0Tu.üB .Nai-olAux.

— On lit dans le Monilear universel dq 9 :< Pliisiem-s journaux ont parlé de la nuuiin.alion du gé-

• iiéral de Goyon en qualité dv gcnéral en che f du corps > d'occupation A Rome, e t Ils y ont cherché une siguiüca- m édiaiic des coii.sulals, dans l'in lérél du nos nationaux. » lion que rien ne justiüc . ' • (^louUcur.)

L 'Em pereur, dans sa Itpute sollicitude pour tous les in­térê ts , vient de ren d re , su r le rapport du m inistre de.<( tiiianccs, un décret poMaul réorganisalioti de l'adm inistra­tion des Caisses d'amortis.sement e t des dépôts et consigna­tions, conform ém ent aux proposilion.s faites p a r la com ­mission de surveillance (constituée par (a loi du 28 avril 1810) et su r la dem ande du d irvcicu r général des deux caisse.s.

Lu personnel de ces étab lissem ents. chargé.s de gérer une part si inléru.ssante do la fortune pub lique, com prend p lus du 200 employés. L’im porlancc et le dévuloppemvnl (le leur.s travaux s'accroissent constam m ent p ar rcxtensioa des a llrihu lions d 'une ndminisli-ation qui répond A la Juste conllance qu 'elle inspire au pays et un Gouvernem ent. L; Caisse des dépôts e t consignations donne garantie et sécii rité complètes aux intérêts litigieux druil la sauvegarde lui est contiée, et les villes ut les déparlom euts trouvent dans celte Liii.sse les fonds nécessairo.s A l'exéculiuit des travaux u tiles.

L 'élablissem cnt dans son cnseml>lc.osl devenu i'iuslru m ent de la réalisation des institutions géiiércuses diic.s au génie de l'E m pereur, telles que la caisse de rv lra ile s pour la vieillesse, lu dotation accordée aux sociétés de secours m utuels, la caisse de la dotation de l'a rm ée, celle destinée A secourir les eccbVsiasIiques âgés ou inôrm cs, la cais.sc des offrandes nationales en fa v e u r'd e s arinées liu te rre et de m er, e tc ., etc.

On sait d 'ailleurs nue les relations de ce grand élablissR' ment üuanoier s'étendent non-senlcm eut en F ru n cc , Algérie et dans les colotiie.s frança ises , m ais encore l'é tranger, dans toutes les parties du inonde, par l’inlcr

n À a ^ ù 'ro jra i im e J fa iie n p a r la Delgique; aucun-açtè ad- Iheni^uc-ne cnnsitcrè oiiverlemeni e t d une m anière solen­nelle èelte rocnunniss.ince, m ais elle se .Irouye.'iinQljcile- menl faite p ar nu décret du 5 novem bre, p a r loqiiel M. Henri Solvyns. m inistre résidant près la 'c o u rd e Lisbonnp, est nomme envoyé ex traord inaire e t m inistre plénipoten­tiaire A T u rin . . . . . • ,

>. U. Dom Roilro V, ro i de Foriugal, a succombé, dans la soirée du II novembre, aux .attein tes d 'une flèvi-c.mali­gne qui Avail-prLs tout A coup un carac tère inattendu de gravité A lu .suite de l'émotion causée A l’auguste malade p a r la m ort de son frère. Dom Fei'dinand, père du roi, a été immédiatement reconnu régent p a r le conseil d ’E tat, jusqu'A l’arrivée du duc d 'O porto, qui succède A son frère sons le nom du i.aiiis I" . Le souverain que le l’urtugal vient do perdre-lnis-vrii dans sou pays de profomls regrei.s, cl sa m ém oire restera associée, dans le cm ur de son peuple, au souvenir, du cnur.igeux dévouemeul dont il a fait preuve pendant: l'épidém ie qui, en 1859, a si cruellement sévi A Lisbonne.

Le roi dom Pi^dro V, à peine Agé de vingt-quatre ans, avait succédé, lu 15 luivcmbre 1853, à la reine Doua Maria U , sa mère. Il avait épousé la princes.se Stéphanie-Frédéi'i- qiic-WilhcIniiuc llolienzidien Sigmariiigeii, m orte lu 17 ju ille t 18Ç9. • .'..A U jioüvclle de.la mort si rearc ttab ie du roi de l'orlii- gal. Leurs .MaJesiAs ont pris te ileuil im m édiateineut, alin de donner A la fim ille royale du Forlugal mie m'.irqne de leur vive sympathie.

La célébration de la fêle de l’Im pératrice est ajournée, ainsi (pie les chasses et les spcclacles.

— Par décret ou date du 12 iiovcmhrc s(>nl nommés ;1° Aux faiiclions de juge e t de juge snppléin t t ic la

chambre des niisu-s en açcu.salioii de la haute cour de ju s ­tice, peur l'aniiéK judici.àire 1861-1862,1rs conseillers du la cour du cas.(alioii dont 1rs noms suivent.

.MM. Lrgaguuiir, Fouchur, d 'O .ns, Liiborir, J.dlou, juges; Delap.iitnr, Ijuéuault. juges suppléants.

2° Aux fourlions d é ju g e et d é juge suppléant de l.i cham ­bre de jugement de la h.iute cour de Justice, pourlii même année, les conseillers de la cour de cassation dont Ic.s noms suivent :

MM. l’rcoiirl, de B iisdeiix , Moreau (<le la Meurlho), Le Roux de Rretagne, Sénéca. juges; Rrc.ssou, Pluugniilm, j u ­ges suppléants.

I.n Rerue des Deux-i/oniles a reçn un avorlissenicnt A propos de la chronique do sou avant dern ie r num éro. Un jou rnal d e province, la France ccntrafe,.contirme le bruit (lui.nviiit couru ces jonrs ci, en aim ouçaulque M. Forcade, au teur de l’article qui a motivé la décision niinistériellc, a d(-féré rc l avcriisscmeiit an con.scil d 'E tat.

C'est lA une qncsiioti toute nouvelle et' qui se rattache trop iulinieniriil aux principes su r lesquels est fondé en Fram^c lu droit de discussion, pour que nous n’y poi tions pas toute notre alicntjon. t^c n 'est pas A nous d 'apprécier SI ce pourvoi csl fondé; il sufllt que la i|ucstion soii posée devant une juridiction pour que nous ayons le devoir de n 'exprim er aucune opinion. Disons seulement que cette affaire, par cela s-n i qu ’elle se ra ttache à l'exercice du droit (le discussion en France, présente un in térê t parti culicr pour la presse et pour le pays, dont les sym pathies linur une liberté sage seuibleut depuis ({iielque temps se m anifester par d 'Iicurcux symplômo.s auxquelles nous ap' piiUidirons toujours.

— Le débordem ent du Mi avait insp iré, dit la Gtizellc du ilid i, i|iielqnes craintes-relativement, aux travaux du canal des deux m ers, m ais le jnui'nnl l'Isthme de Sucs donne A cet ég.ird des nouvelles com pictemeul rassuruntos; l'inon­dation n'a gagné auniui des points de ristliine , ni s u r relie du c.uial d 'eau douce. Elle a poussé ses plus exirêuies al- Irintrs en deçà de Zag'azig. Les ir.ivaux n 'iuii été ni. inler- rompu.s ni gênés, en un m ot, l'isthrnc tout rn iie r est resté exempt du iléau qui vient d 'afiliger une partie de l'Egypte. Il n'a eu pour rrn tre p rise d 'au tre effet (jue d'ciHraver les coiuiniinicnlious cl de d im inuçr un instan t Fiiinuence des travailleurs. ^

M. Ferdinand de Lcsseps csl parti de Paris cl a dùs'em -

L’entrepreneur général'! _____ ^oi'i il l^B libuvéen ce m om cul. A tlendohs tes nouvelles. J e l’imiuilsion que la présence; de'ces messieurs, ne peul ,Riaii- q iicr de d onner ai^x opérations. . . . . . ’ „

Les travaux loiilefuis se poursuivent aciivemen.t sii.r tous les points J e l'isib tne. La rigo te qu i do it u n ir Ferdiuic. A K antara avance tpus les jou rs, é i no.s co rrespondants nou.s conûrm enl l'établissem ent de h commnoicalioh<sur le ca­nal d ’eau douce jiistÿu'A Ramsès e t au-dclA.tOii m arche su r celte ligne vers M akfar. ' '

— On parle d ’un projet de Ini destiné A modifier la ’llni. su r les boissons, notam m ènl en ce qui concerne l'exercice ' chez les débitan te , qui sera it remplacé p a r iiiic taxe.

Pour extrait cl rédaction : E . REG.MERV

lOUTEtLES DËPiKTEllIEIITiLES.la o triic lia ii prlnu iire- — R e s is lre s matricnleM,

Beauvais, le 30 octobre 18C1.Le Préfet de l'O ise . Chevalier de la Légiou'd'IIonneur,

à M il. les Maires du département.Messieiii's, je vous prie de r.*ippeler aux institiileurs et.

tnélilillrûses de vos raimmun'cs qu 'ils doivent adre.sscr le 25 décem bre de chaque année A l'inspecleur pi'im aire de. leu r arrondissem ent, lu deuxième cxcm plnire du rcgislrc m atricu le .

Veuillez leu r recom m ander de s'.issurcr, avant de faire cet envoi, que Ilmii- travail est exact et complet. Ils au ron t soin de faire les totaux trim estriels et de m unirer, p a r une réciipiluliillon, que ces totaux s'accordent parfaitem ent, avec le total général porté A la colonne 23, e t re p ro d u it dans les détails relatifs au traitem ent. Enfln ils ne pei'dront. pas de vue que le lablean récap'dnialif pré.sentniit la fré« quenlalion de l'école doit ê tre rem pli an moyen des .chiffres portés A la colonne 21.

Rcreve/., e tc . I.êox Ciievre.vu.

G O U a D 'A S S I S S S V S L 'O Ï S S .

9ni«frièm e frln in slre 1601. — lilate d u J u r jr .NM.

Goullencourl (loau-Viclor), notaire A Songeons.Roiiycr (Edouard-Autoniii), vétérinaire A Senlis.Durand (Edouard), chunioiseur A Trio-LhAteau. .. , TrochoH (Ju(rquc.-(-François-Eilmohd). ciiUivaV A Bouillancv. Ferlé (Jean-Autoiue), p ropné la irc à Tracy-lc-M ont.B.(llel (ilippolyte-Antoinc), p roprié taire â'Sain ljnos.Poulain (Jcan-Lliarlcs-Julieii). proprié laîré A Si-.Maxim[ii.. Agutte (Jcan-Fraii(;.ois), proprié taire A Lompiègnc.Leduc (Jean-Jjcquc.-«), cultivât'' A V.lllcneuve-.sur-Verbcrie. Cossé-Urissac (comlcde) (Aimé-Mauricc-Arthur-Tliimoléon)

proprié taire A Fayel.Dolndreue (Louis Florentin), p ro p r ié l 'e l m aire à Rrombos. Delabruyère (Pierre Lonis), capitaine re tra ité à Mérii.Léger (Charlos-Adrien), propriétaire A Ons^en-Rray. Aiidrieiix (Jeau-Césairr), cu ltivateur à Reilty.Üellenger (l'ierrc-M artial), notaire A Liciivillers.Lecouieulx (Maric-Eticnne). cultivateur .à Frnissy. Crussoiinier (Pierrc-Félix), adjoint au m aire à Aitncull. Moreuil (J.-au-Baptiste). m aire A Noinlel. *Dcbnire(LoUis-F*ranç.-Joseph), ancien huissier A Liancourt. Droiiard (Jcan-D aplislc-llénrij, itiarch. de bois A Fleiirines. Lùçay (comte de) (.Nàpoléon-Jnscph-Charlcs), propriétaire

et m ^ire A Ilondainviltc.Denis (Louis-Maiirice). p roprié taire A Noyon.Bande ;Jean-Louis], p roprié taire A Cauvignr.Bézard (i'ierre-François-J.-B .). fabricant A G randvillicis. Fali.ssc (Dierrc-VIctor), mennier-A Traiîy-lc-Val. B utlcnx(F ie ire], p roprié taire A NiviRers.Dodé (Jean-François-Adolphc), cu ltivateur A FouriiivaL Baslard (Pierre-Âlexls), m aire A Auneiiil.Roussel (Charlos-llynciiithe), propriél” 'e t m.'iire A Oudeitil. Delnzamie(Jean-L(>uis-Viiiceul). p roprié taire A Urégy. Rndin (Félix-Maximilicu), m aire A La Neuville. l.uvallée (Jenn-FéRx). p rop rié ta ire A l'récy.Galmel (Ileiiri-Arsène). cu ltivateur A 8.iinl‘tirépin. - Pelle tier (Auguste), no taire honoraire A Noallles.

FK Ü ILL ETO N .P!

u i w e ; i < : x . c i ] u s n o . \. DAKS

I l e b e r r y e t l a t o u r a i n e

_ Au frontispice de la principale en trée npparail, ficulpléc I tngros relief, la statue éqU6.stre de Louis X ll. Üans.rmté- I rieur, on rem arq u e , faisant avaiil-(:m'p8 dans ta cour, une I tour d 'escalier conduisant A lu pariie latérale du château,I éonstriiile snus François I". Celle tour, est adm irablem ent I Kuljtlée e t présente A chacun de ses étages le ch iffre'dè ce I n i couronné de la sidam andre. La p a rtie du milieu est I ane belle œuvre du siècle de Louis Xll ; les aiitrès parties I Mut des recoiistruclions et additions de Gaston d'O rléans, 1 frère de Louis X lil. La façade (>xtérieure du rô té de la ville I étonne p a r soti iMévaliou, le nom bre et la forme de Ses fo- I nêircs, la singularité do sou arch ilceluris la beauté de scs I galeries, de scs balcons, do sc.s sciilplnrcs, et p a r la grau- I deur de sAn développem ent; elle dom ine une belle place I où l'on voit un délicieux jard in ou sciuare public orné d'un I IWKsin avec je t d 'eau et où s'élève le beau portail de l'église I de Saint-Viucent de Paul.I Ce cbâlcaii, si in téicssunt sons le rapport de i 'a rl, ne I l’est pas moins sous le rapport de l'histoire. Il fut le séjour I dephiKicurs de nos rois et le IhéAtre des g rands événc- I uients qui ont iunué su r le sort des peuples et du la tiio-

uarehic.lSous Louis XI, Louis X ll, F rançois 1” . Gaston d'Orléans, il recu l des augm entations et des einbelllsse-

I iiiciils. Après l’a m ori do son époux, assassiné en M07, I Valeiiliue de Milan vînt s’y re tire r ; elle avait pris pour «le-

vise '."iRien ne m 'est pUts, plus ne luesl rien. Elle y m ourut fiirciil conçus les odieux massacres de la SairdrBarIhéIcmy.A SS^ans. Eu 1439. le B âtard de Bourbon et Antoine de ! Lu jru in 'ro i y reçut l'am iral du Goligny et Henri de Na- Chalninues y v in ren t, dans la guerre du la P ragucric, se I varro, doni on til les liauçaillcs avec Alaiguerite de Valois. Il jo ind re aux conjuré.^, dont le D niphiu, depuis Louis XI, ! y iiii! si^ Elals généraux en 1576; ils y fui’cnt encore Icniis était le chef. Eu H 40 , Charles d 'O rléans y fixa son sé jo u r; ; en 158S. Los députés s’y rem lironl au nom bre do 411. Le Il y appela des arlistcs qui l'ornèrent do rhefs-iFuMivre et | duc dt- Guise y rivalisait d ’au lorilé avec Henri III . Le 25 des hommes de lettres/ qui faisaient rhonuenr de sa r.our. ! décendn-e, ce roi ie fait assas-siner |*ar .scs gardes près de Eu 1402,,Loiiis d ’Orléans y naqiiil; il y fol lenu su r les '.son cabinel. On nous m ontra la place où ce inalhenrenx duc fonds de lùp têm e par Louis XI cl élevé par Marie do Elève, 1 fut frappé, cl celle où il vint m ourir au pied du lit du roi. duchcjwc d 'O rléans, sa m ère. Eu i l 9 8 . i l y fut salué comme i Caiberiue de Médiris, A gui le roi vint apprendre celte roi p a iîu n e députation du parlem ent do Paris, e t c’est lA | nouvelliî. Ini d it : C'est bien cnupé. mon fils, mais à présent que tfut prononcé ce mot devimu célèbre : Ce n'est pas nu .. il fu i t coudre; couriuje donc cl aclivité. L 'archevêque de ro i dé F<-fliiceô vcii/yer te*/«jiWff.f du (/ne d'OrWinw. Eu 1499, ! Lyon et le cardinal de Guise, arrê tés après révénem cnl. Il y travailla avec une assemblée de notables cl d e ju r is - - sont enforimis dans un cachot grillé que l'on voit encore. con.sullc8 A la (aincn.s'e ordom ia'nre diteOj-doiinu/icedeBtete. > Peu après, le cardinal fut assassiné comme sou frère. Leurs li'auuéc suivante, il y reçu t l’arch iduc Philippe d ’Autriche î corps furent brùh'is-ilaus la cham bre des combles et (ours- «t son épouse, Jeanne <Ia~Castillc. dont IcTils fut depuis lô i.cnndivs jelées dau-sda rivière. 11 y a toujours des crimes célèbre Gharie.s-Quint. Le château é la il alors dans sa plus ; dans lu dem eure des Vois c l des pages sanglantes dans leur gram ic splendeur. Celte réception fut niiigniii(|uo;^ clic : histoire.donna lieu A des réunions. de.s fêles qui du rèren t [dusicurs ('.atherine de Médîcis, en proie A une lièvre arden te de­

puis l'assas.sinat des Guises, m ourut au château de Rlois le 5 janvier 1589, dans sa 70* année. (Vest dans ce château uu’IIonri IV lit, on ICO-J, sou êd it su r los duels. Plus ta rd , il devint un lieu d'exil. Eu 1017, Marie de Médicis, \veuvo dc^ lleuri IV, y est reléguée par le roi Louis X III, soit fils, cl s'en évade eu IGIO. Gaston d'O rléans, re tiré A Blois en 1633, avec M"* de M«mlpensier, sa lillc, f.dt commenciT nu

Domaine. Eu 1855, l'adm inisirallnn m unicipale, quVie pos­sède Cil vertu d ’un déèpet im périal de 1810, en a .nffeclé une partie pour une caserne d ’iumntdric. A ujourd 'hui, la ville ne pouvant subvenir aux-dênenses d 'en lre ljcn , a fait A Napoléon l 'i l, qui l'a accepté, I offre de ce château pour le priuRc im périal.

La ville de Rlois s'em bellit encore de .scs boulevards, de scs beaux-pouls, de sa grande rn iè rc (la Loire), de scs vastes prom enades et des sile.s charm ants qui l’cntoureut. L 'étranger qui les parcourt n 'ndm ire pas moins la magni- flceiicc de ses hôtels, La coquetterie, la richesse de ses bou- tique.s, les curiosiltte de ses bazars c l siirfoul l’exquise po­litesse de scs habilanis. Bloi.s est la im lrie de plusieurs hom m es célèbres, tels que L. Ilabcri, J . Boriiicr, l.saac c l Denis Papiu, « te.

jo u rs ctjém ervcillèrcut la ville. \la) 2 décem bre 1509 y Bit célébré te m ariage do Gharles.

duc d'AIcnçon, nvcc M arguerite d'Angnulême. Une seconde fille y naquit A f.ôuls X ll et reçu t le nom do Renée, t 'e.st A Blois que ce roi forma la riche collection bibliographique qu 'on v(dt cncoro A la bibliothèque im périale, Anne d()lireiagnc, sou épouse, y m ourut; son corps fut tr.auspnrié i 1635, avec M * de Mtuilpensler, sa llUc, f.m com m encer au A âaint-Denis. Claude do France, sa .fille, épousn de Fran- fhâloau dos travaux qu i ne purent ê tre achevés; il y reçoit, çois I", aim ait le châleaii de Blois et y f.ilsail sa résidence i 1659, f.nitis X l\ ; Li que. jj'Unc euc«*re, ce roi vil h a b ilu e llc ;e lle y m ourut à l'Age de25nns, le 29 juillet 1521. • I’"'»'' L' vremusro fois H"* de a \a llm rc . Gasiou y m eurt Catherine de Médicis s'y plafsait aussi; elle y fil, en 1559. i 1609, la ssant dans la ville le souvenir d inn-mibrablcs représciilRr la Sophonisbe do Trissin . Après la im .rt du roi, ; b'Oiifails cl a plusieu is muscos dos i icIiossm d a r t amassées son époux, fa cour s'y rendit e t l’on y vit une prem ière I dans le cliâleau de Rlois.

. ’ _______ ...îi.i ... .. ..I.. ..x,.....,. .1.. t v \ - ..> I v»-i .... /.oi

“ Nous etîohs fatigués, nous avions passé .la nuit“ ë l uûo parlio du jo u r en voijitrc, lu vdlu curieuso ct m ontucusc do Blois avait, rous une lem péruîurc nrdeulo, bleu exercé nos jam bes et nos yeux, je trouvai A une table d 'hôte plus de m ets que d 'appétit et dans un bon lit plus do repos que de som meil.

io) lendemain, e/élail dim anche; en farc do no tre hôtel é ta it l'église de Saini-Vinceiit do ihiul, ou y disait une bas.sc messe, nous y assislAmcs; un g rand nom bre de fidèles s'y trouvaient rouiijs, nous priâm es avec eux. Heureux ceux qui ont la foi, ils trouvent dans la p rière les doux épanchc- m cnls du ciciir, les sain lcs aspirations de l'Ame; elle nous g randit en nous m clian t en rapport avec Dieu, elle nous cons«de d an s nos peines, nous foiiifiu dans nos faibles.scs, elle nous rend présents les m orts que nous plcnrm is, pour qui nous prions, et dont le souvenir est dans notre pensée et le nom siir-nos lèvres. IlélasI'uous aussi, m a sœ ur e t moi, nous avions A p leu re r su r des êircs bien rhiu-s; leur souvenir voyageait avec nous, et nous venions, loin de leut^ tom be, p rie r pour eiix^ pour nmis, et pour reiix qui noud re.stenl.

Vic.Ton OFFROA', de Daiimiartin.'.

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(Vicl«»r-1ÎViU'islv), «liivlrtir ru ùIk'liguiètv (Alcxîuuhv-Heuoiîir),' cu ltivai' à (':nitiy*sur*Malz.

Jures sujifitcmciiluircs.Tliévoiiol (l.ouis). pr«»|ii'ii:lu|i‘c i Ilcauvuis.Niutl (l.ouiH-llip|uilytu-Fi'.iii<*ols), proprit'liiii'c it lloiiiivul^. FflubvrI lJeaii>l{:i|itlslo), niicuMi tuarciiaiul à licaiivais. lli-i'soliu (Fduuai'ii;, prufcsseiii* (t llcauvais.

- I‘a r onloiiiiniico du p rr iu ii 'r |>tvsiilrul du la cour luj* us, 1rs assisrs <lii (Irparlrm ciit <ir l’Oise,pi^i'ialc d ’Ainiriis,

|iau r tu (|uaU'tèmc Iriiueslt'u <lù 1801, s 'ouvriruut •) Iluaii- vais,^u lundi II dccunibrc prochain, sou.' la |irûsldrnre du M. Hucuiiul du lloquoniuiil. ro n se illu râ ladili: tan ir iinpû-. Uucqiiul du Uoquoiuuiil riale.

M. Daujou, [irésidrul du Iriliimal rivil dn Huaiivais, rl M. llclacuiir, j»;îc au m i'iiir s irg r, sdiU m 'iuiuês pour h an r les assises aveu M le pi ê.sidrul.

d r l'adir-sse dr.s Irlires qu 'il uouilu A là poslu. anii d'i^vlicr e.s Taiissos direclloiis. I.ck nuins doivent Aire Âei'tlub lrm unt, ul surloiil le noiA du bureau de pM lc ou d e dis* Iribulioii nui dessert le lieu do desliitnlioii. Lorsque le HjBU du deslinalion a une druotuinalioii rum niiinc A plus^eurê localités, soil en France, soit è ré iraiiiie r, on doit ind iquerle nom du pays élroniter ou dn déiiarleiuenl françAls; par i5xrni|»le : ro lm w ValèMCe (Di'ôme), Grenafh

— I*ar décret im périal, n i date du 1*2 novem bre, rendu su r le rapport du niinislre do rin siruclion pnblicjur el des enitcs. Ai. Atourier, ré c iriir do ra radé in ie do llor<leanx, a é té uuimné.vice>it!t:leiir du r.ieadém iu du l'a ris . eu icni* plarenieni ifo M. A rlàud, décédé.

— Dans son nudiuuro dn -i novem bre, le tribunal de uommercc d e l.i Seine s'e.sl occupé d 'une alTaire qui se ra l- lache & là «uilaslraphu AIirè.s. Les liqniduleurs de la Caisse générale des cberoins de fur ilcinaiident A Al. de l'oulalha lu nallilé de la iransucliun dn lit décem bre rl le palcmeul d 'une somuiu de 1,700 mille francs. Al. du l'un* lâlba invuqnu rincompétonia.' dn tribunal cunsuhdrr.

,n cause u été mise eu «iélibéré. an rapport d r Al. le président Iluniêro. IVutis rendrons compte du jugotueiil (|ui

ROTIOIS eflÉ R A L E S SDB L E SERVICE DES POSTES.» * « 3

r( t*«ur Ico* nrmre»{('t IVlraRRrr.I.O.S lettres de rin lér ie iir d r l’Empire pour les iirmL'vs/'iüii-

(kipaiittc), Grenatte SM''Giu'onne (Itaule-Gai'OHHeJ. l/traque dans lu même déparlrn ieiit deux bureaux por.leiil In m ême nom, il est essentiel de les dt^ignor p a r les Itidicalldifè eomp!énientaire.s ajoutées à leu r nom priitcipalpoiir les dU- llngnrr les uns des au tres . Il r.st fort im portant aussi, puqr les grandes villes, d ’ind iquer 1» rue ol lo num éro de la de* m eure dn destinataire.

Lu tim lire d'airranchissemcnt doit ê tre placé s t tr l’angle droit su p érieu r de la lettre.

TiniHrr<fl*i»)iic!t. — De leur %ulrur. — De leur i^mplulLes timbrcs-poslos sont de J in it va]uurs dilTéronlcs,

1 centim e, t2 centim es, 4 centim es, bccnliAies, lOceiitinies, 20 eentim es, 40 centim es, 80 centim es. Ces dlirérenla tito ; , hres-postcs so n t diirérenoiés ctilre eux p a r leu r cn iilctirdp p a r leu r forme. Ils sont vendus dans les bureaux de poste, d ans les débits de tabac , el p a r les facteurs et les boîtiers dos postes.

Les pnriicniiers doivent coller cux-mémes les timbres- postes su r les olijets A alTrancbir.

Tonte le ttre pour l’in térienr revêtue d un limbre-po.ste insnnisant e.sl considérée comme non airriinchiu et faxée comiiie telle, sauf dédiiclion (lu prix du tim bre. Ainsi, p.ar exem ple, lorsqti’une lettre pesant njus rie 10 gram m es e.sl aflranchie avec un timbre-poste de 20 ceiitimes, elle est cou* sidérée comme tion affrancbic; elle doit 00 centimes ; en déduisant 20 centimes que rcprû.sentc ic tim bre bleu, i! rcsle- A paver 40 centim es. .

1.0 poids des tinibres-poslcs c.sl com pris dans le poids des lettres su r lesquelles ils sont apposés.

C littr r rM * (« x r« .

p |ir il.no au tre vole que rolliMle la po.sie, m aisû la rend it ion expresse que, dans rn n un l’an tre cas, les exem plaires tie rrorlcront aiiénno mention nu suscriptlnn de n atu re û en nciU lor la rem ise A d ’u tilres persumies que lo destinataire du paquet.

Des antiolalious raaiinsrrltes consignées su r les échantil- lotis on s u r les papiers d 'atraires enx<tnémes peuvent égale* inent ê tre ujoutées muyèpnatil rucqnittem eiil préalab le d’une taxe snpplém ejitaire do 20 eeiillm es.

I.’nsage d 'un tim bre-poste avunl déjà servi A rnirraiichis* -sem o n td 'u n eIc itru estn u iH d 'u n o am e n d ed cb O fr. A l ,000 francs. En cas de récidive, la poino est d 'un emprisonne-^ m ent do cinq jo u rs A tin m nise l l'am ende est double. Est luinl des iiiAmi's^peino.s, suivant les distinctionssns-étnblics ta éenic ou lentntivo de voiitc d 'u n tim bre poste ayant déjA servi. (I.ni dn 10 octobre 1849)

La loi défend i’insortlon dans le.s letlre.s cbargérs ou non chargées des inaltércs d 'o r ou d ’arg en t, des bijoux on a u ­tres objets précieux. E lte ln lc rd il, cti ou tre , rn iserlio n dans les lettresüQii chargées dns bijlcls debaiiqnc , bons, coupons do dividende.4 on d in lè ré li payables au po rteu r.

En cas d ’infraelion, rcxpéd ilen r est puni d ’une am ende de 50 A OOO francs: du 4 ju in 19^9 )

son re to u r des rliam ps ; sr.s r i l s én a ltrs lrh l , car ij pla|.puait sn bonleille. en disant t • O b i lesJ'aignanls, les làr’lipn, les brigands, ils ont sûrcm cnl t'iissd rAa Imntcllle, ma. ____ 1 . . r?ft Aftwk.n,.. ‘ **pauvre bouteille. • El comme ce rh a rre lle r se trouvait 15,- «’esl su r SOS épaules qu ’il n saisi le moyen de sécher sci larni ‘8, en ayant la m alcnronlreuse Idée do A adrftbcrt pins vicnurenx que lui et A aulagonisie qu i lut a ^fioW carrém en t qn ’lt faut to u rn er |e b ra s sept fol» avaiu de K baisser. Ce qn ’U a fait dq {iltis «ol a été de se plaindre; car il a eu la courte iMMe de voir délaisser R rasscur sans dé. pens des tins de la p lain te.

— Fi'ançois Désiré CoM^rd, Agé d e 41 ans , marcltaml de olaiilc, né et deiM uraD t A Foitlariné , p o rle 110 nom mal

sonnant aux o ro l l \^ d e la ge iidarinene e l habl^te une rom. m nnc regardée p q r la ffeudanneilu cq içm e’Iff mus arhir. née A la chasse appelée n ra tonnage. Le 35 oc ia b re , le ma.

échal des logl# o e gendarm erie d e Sentis é ta it ettcore, 4 une heure du n ta tln , en surveillance d an s les nlalnes de INmiarmé, e t il re ncon tre C olla rd ; |u i re te n a it de la dirc^ lion

BÉT1I!8Y-SA1NT.P1ERRE.< •Le g ard e cliam iiêtre Esmery avait été chargé p a r AÏ. Âlelaiid, syndic de la faillite dit sieu r Urttycr. de veiller su r l.a. m aisqp de ce d crp ic r, actuelle* m eut détenu à la m aisop d ’a r rê t dé Seuils. Il avait déposé daiKs l'un des bàllinciils de l'usine d ivers outils on fer. l,c

n de la fiM-êl p o u r re n tre r d î m U coniinuDe; U 1 arcMe le voit a rm é d 'u n Disil qo*ii po rtail en b an d o u lll^ .

ICnitard pré tend n 'ê tre pas e n ac tio n d e enaaae. N a i s j t ^ ; quoi revenir d e la fo r ê là pareille h e u re ; pourquoi éir# m uni d 'un fusil tout arn ié el cpargé avec du plomb n* 1.

ra<,vi-5 A l’élrangyr, rt récipreiiiiciiiunl.lne sup(t«irlenl que in Inxede direction A direction. hM'squ’i-iU'Ssn'ullransporlée.s excinsivomcut p ar des sci vicos frain;ais. Les k-ltre.s des a r­mées franenises ù i'étrnngor peur l'in té rieu r de rE m pii c duiveut ê tre déposées dans les Inireaux du pusle m ililuiros français, A l'cxcliis'ioii des bureaux de pusfc civils des p.iys «u'i sê trouvent les arniée.-<. Il n'eÿt pas reçu de lettres eiiar* gées cuntenaid des valeurs déclarées ni de valeurs cotées A désitiiation de ro tra n g er cl des .irmécs A l’e.xiérieur de l'Em pire.

IrvVolaiiln-i'cfil'efrAngcr.I.a taxe <d les coiidilions d ’envoi des lellres <■/ des imyri-

mes pour tes colonies franeotses et iclraiigur suul réglé-es par des décrets S|>éciaux Tous les renseignem ents utiles A ce .sujet .sont fournis an public dans les bureaux tle pusie ; ils sc trouvent aussi dans l'A tium ire des im le s , e t dans un ta rif dont ta vente aux particu iie is est autorisée.

Les letlres pour i’étrangersitnlidfr.inclnes. soit au ninyeu de tiud>res*postes et jetées A la boite, soit eu num éraire aux guleliuls des Imieaux et laissées en tre 1rs m ains des agents <|es postes. Itevèlues de tim bres insuldsanis. elles sont considérét’s comme non all'r.tucliies, et ne peuvent r e ­cevoir cours, elles sont eonsideivescum m e non airraneliies et ne (leuvent reruvoir cours, si elles sont à ile.'tin.ili>)ii -le.s pay.s pour lesi|uels l’ull'r.mcliissemonl est obli;^aloire.■■iprEfn.'M,£c1mRtiHoB«, Papicn^derM mmcrrr'oM^'aOrairr-t

Les rlii/}'rcsda.res sont de petites étiquettes imprimées représentaul chacune uno valeur do 10 rontiinesA percevoirTûntc lettre non affranchie, née et d lstribuab le dans la cir* eonsrripliou d'un iiurcait de poste, doit être revêtue d ’unnom bre de chilVrps-taxcs équivalent à la taxe exigible, la» ehiirres-taxessonl totijom*s apposé-s d 'avance p a r les agents des postes, l.n personne A laquelle serait pré.seiilée une Ic ltic de lu catégorie sus désignée, non revêtue du signe de taxe prescril.doit refuser d’en acqu itte r le porl|ctsigualcr le Lut A rudin in isiratlu ii.

L rK rca 'ch arafrs .Il est permis d 'in sére r dans les le ttres chargées des titres

ol r<i/ffi/vï/w/u'ors de toute nature . Les Icltix^ A fa ire charger diiivcul toujours ê tre présentées au bureau de poste e l àf- rraiuliies. l.’iidminisl ration en donne reç4i aux déposants cl ne les livre que s u r réçn aux dcslinalairc.s. Elles sont p'acécs suns enveloppa et cachetées nu moins de deux ca­chets en cire line de même couleur et portan t nue em prèiute spéciaje à rcxpédileur. Ces cachets soid placés de m ciiiére A re ten ir tons les plis do l'enveloppe. En cas d r perte d'une le ttre chargée, radm inislralion est pas.sibie d 'une indem- uilü de ôt) francs

l.rMrc» roatcRant «Irn tnlrni-N •irrlKrCcH.L'expéililenr qui veut s 'assu re r eu cas de porle, sau f le

cas de force m ajeure le remboni'semenl dos valeurs payables au p o rte u r insérées dans une le ttre , doit Ut faire charger, c l, en ouli'o, faire la déclaration du muiiUml des valeiii's que ce lte Icit ru contient.

La déclaration no doit pas oxcéiler 2,009 francs ; elle estU q r taxe psi;jrég!ée A |u ix réduits, movunnanl .alVran- j p o rlé e c n lo u lo s lc ttre sâ l’ang leg au cb csu p érieu r d e la sns-

chis.seiiuml préalable. Le poids des im prim és e l papiois rri|)lio ti du l'enveloppe c l énonry en fr.yucs et re id h

5 octobre, il s’aperçut que dçs m alfaitciirs s 'élaieiii Iniro- Inits dans cet édifice, en arrachan t le papier qui rem pla­

çait un cai'rcau et en ouvrant la fenêtre ; ils uvatcnl dérobé plusieurs ubjels, d ’une valeur de 12 fr. La gcndai'merle, prévenue anssilAl du vol,sc m il A rechercher les coupables; m ais tons 1rs elfurls pour lus découvrir ont été jusqu’ici inu tiles.

C ottard vont oxpliquor lé fa it e t allègue 'quil.^déj!^été condam né II y « neuf ans p o u r braronnage . «l que prouve que depuis neuf ans il est çprrIgAi San allégait(i| pa ra it p rouver une seule chose , c 'fs i que la corrw hoif de ce lle époque l 'a rendu p ru d e n t e l qt!’»! tt'enl m iaàl bienimr «C.S cardcK que depuis ncnf atip il a su évilct* I.9 ixinconlré des surveillants. Lo tribunal ro iidàm tie donc Collard ra

d'alTaiiys ne doil pas dépasser 5 kilogram m es; celui di échanlilbms, 300 gram m es, l.a dim ension des im primés. papier.s d 'allairos et échantilluns d'éloiVes su r carte , ne doil l>irt excéder L"* cenliinélre-î.^x'llcjilos an tres érlianlin<>ns 23|i'ciiliinûir('s.

Les iiiiprimêx saui ux|n';diés sons bandes intdiiles c-uivratil .111 p ln< le tiers du la su rfare du (laquul. Ils sont divis.'-s en trois classes:

I ’ Les journauc polili'pic.'', taxe t 4 centim es par esoiii- pl.iirc do illg ram m es et au-dessims. Au-dessus du 4U grain- mus, augm cnlaliuii dé 1 crniiniu p a r chaque 1.0 gran iim s excédant; nioiljé.dcs prix ci-dessus Lirsqne le ]->urn.djcst pour l’in lé r ie u rd u déparl.emonl où il csl publié ou pour les ilépartenienls lim itrophes. '.Les jon ruaux jmMiés d.nis les déjt.irlenieiiis de la Seine et du Seinu-et-Oise no jouissent pas de I4 réduction pour, les dé,'arl,<inieuls liniilroptu-s.)

2 ' Les pub'iealioiis ))criodi(pics uiiiipiemeid cuiisucrêes uiu: letlres, au.c scieuços. a itr arts, à l’agriculture et a l'iniiiislrie, taxé : ’içe n lim es par exem plaire d u 20 g ra n m u s et an-des- suns: au-dessus de2U gram m es, augineiitaJimi du I renliiiie par cha 'ine 10 grainines uu fiMction de 10 gram m es excé­dan t. Moitié de ces prix d iis le.s ca.s indiqués an paragru- phc précédctil.

3" Le* circulaires, prospectus, calalofiiies, aris divers ol p r ix courtMls aveu on sans érJiantiltoii.s, livres, gravures. H- lAoatiqfAio/, eu feuilles, brochés ou ridics. ut en général tous 1m lÜiprUués au tres que ceux spécillé.s dans les deux [uira- grM W Sprécédents, lu x e : 1 centim e p iru x e iu p la ire isolé «le 5 greiQineselaQ-desKuus,|>uur tou t l'Em pire; i ecntiine en «u« p a r cluuiuc 5 gram m es ou fracilun de 5 grummes. jusqu'A 51) gram m es, suus dépas.scr 10 cmitiines: de 50 gram m es ê 100 gram m es, 10 centim es nnirurm ém enl: au- dessus d e 100 gram m es. 1 centim e en sus [tar riiaipu! 10 gram m es ou fructioti de 10 gramm es.

i t » - iMWMNo^ ttnuHHge OH d ên ’s , le* prospectus,'■ catidogues, circulaires, p r ix courants et avis divers saut re ­

çus sous funiio de lettres eu sous envelop|ie ouvertes d 'un coté; taxe : ûcentim es par avis, prospectus catalogues, cir* ciilairés, etc ., de 10 gramm es et an-dcssmis, (m urll'arron- dl.<sémenl du bureau, et 10 centimes pour le reste de l'Eni-

' p ire; uiigmcnlalion, ücent'mies uu 10 centimes parch m |u e 10 gram iiirs on fraclKin du 10 graniiiie.s c.Xcédaiit.

Les cartes de visite (même deux cnsHuddi') sont reçues sous enveloppes non fermées, aux coiidiiionsci-dixisiis. t^ n t assimilées aux cartes de visite urd iuaires lus cartes d e vi­site-pur/rai'/s photographiées.

Les cchanliltoux sont afTranchLs au prix des im primés de la trpisiènie classe. Ils doivent purter.unu m arque im primée du.fabçhiantoudii m archandc.\péd itru r. Sont reçus comme échaiittllons, tons objets dn poids c l d ’uiiu dim ension 110 dépassant pas les m axim um fixés ci-dcssiis (voir (e t'(a lin é a d n présent article), <|ui ne sont pus de nutui e A d été rin rer

- on A «alir les corre.s>iun4lances on A eu rom prom ullrc la sû re té e t qui ne sont luis soumis aux dro its de douane un d 'octro i. Ùodes d'epvoi ; bamles mobiles, sacs e n toile ou en papier, tndlc.-i, é tu is fermés avec dus nrelle;» fueilos Adénouer. \

Le port ilos papiers de commerce ou d'affaires est de 50

ni»niaut dos valeurs insérées. Elle doit ê tre écrite d 'avanrc par re.xpédilenr lui-mènio sans ra tu re ni surcharge.

«'JinrcuooniM île *atcur« eali CH-Le.s valeiii's cûtées sont r e n r e r n i- /c .s , en présenre des

d ii-u e lc u i -s . d a n s (Iss bui(e.s ou étu is ayant an plus 10 c e n t i ­m ètres de longueur. 8 cenlim êtres de la b e u r cf 5 centimè- t re.s d 'é | i a i s s e u r . Les objets réunis A la boite ne doivent pas (it'-passiT le poids de 300 grainim'.s. En ra s du porte, l'ad- m lH is t r a l i o n t i e n t rum pte d n nuuitaiil de l'estim ation.

/ti-liclm d'nrK<-nl.La l'oslo sc charge, moyennant un droit de 2 p. 0/0, dn

li ansi-ocl des sommes d 'urgent «téposêes A ilécouverl dans' .-ii’.s linroanx. En échange, il csl rem is aux déposants dos inand.ils qui (luiivuni ùli'u payés aux ayants dro its dan.s tous les bureaux de rE m p irc el lie l'Algênu. Les envois d 'ai geut sont eiiroiv 1 eçus pour les années françaises en pays élran- gors. pour les mililaire.s el m arins employés dans les coin- nies fr.mçaises ou su r les bâtim ents de l'E tal, e l pour le.s Iranspoi'les A Eaycnne. Il n'est pas reçu de dé |iù t d 'argcnl au dessous du âh ccntimus Ait-dessns du 10 fraiius, les inaiuLds supjiorteiil, en outre, un d ro it du tim bre de 35 centim es.

dr |ir«irtiraltoai«pour retirer des valeurs côlées ou des valeurs déclarées,

cl pour toucher des mandats d'articles d'argent Lus facteurs ru raux sont au torisés A accepter des parti­

culiers qu i luui en donneront com m ission, et cela sans qu 'il puisse en ré su lte r aucune rcsponsabihlé pour l'aduvinisira­tion des postes, pouvoir de re tire r du bureau de poste au ­quel ils sont attachés des vatrui*s cotées et des le tlres cun- tenant des vafcnrs déclarées, ou do toiiclier A ce bureau des m andats d 'artic le s d 'argen t. (',e.« procurations peuvent êtres faites su r p ap ie r non tim bré. Ou un dunnc ci-dessons les modèles.

1" MODÈLE. (nErn.vfT n'tixe valkcii cotkb du o'uxr talbur DÉCLAnKK,)

Je snnssigué dcnum raut A autorisele s ieiir facteur ru ra l . A re tirer dn bureau d . clsan s qu 'il puisse en résu lter aiicnne responsabilité pour Tadm inlslration des postes, une ('eufeur côlée on lettre cou- tenant ilc* valeurs déclarées), dont l'avis, en d a te du IB iil, faisant connaître l'arrivée A mou adresse, est ei-joiril.

A le 18G1.(I.égdisalion do la signatu re .)

‘.Signature dn destitiutnirc.)2' MODÈf.E. (pAVBMEiXT »KS MAXOATS.)

Je soussigné dem eurant A autorise le sienrfauteur ru ra l, .4 re tire r nu biireaii de poste d , et sans qtiül puisse en i:ésitlteiliiiicijne.rçspousabilM.P<nM' C^djnt- nisiralioii des iiostes, le m ontant du m andat d ’arUeles d ’a r­gent ci-annexé du la somme de délivré àmon prufll par le bureau d lu 1851,

A le I8U1,(i.êguh.-tation de lu signature.)

- (Signature dn destinataire.)I C'an(rM«cntloNit l«ls «nr la ponic.

La loi in terd it le Irnnsporl. p a r toute voie étratigère ait

COMl'IÈGNE. — La représentations donnée jeitdi 7 no­vem bre an théâtre de la Cour p a r les artistes dn Gymnase Dram atique a été des plus attrayan tes. L’E m pereu r ul l'lin |)éra lrire , suivis de leurs invités, sont en trés datis la salle A hu it heures cl demie, cl le rideau a été aussitôt levé.

ISoiis avons fait connaître les nom s des invités de la pre­m ière série . Tous étaient dans la loge im périale , excepté cependant M. et M” 'd e Morny. M. cl M"" ThouvcncI; — le bru it courait dans la salle que m esdam es de Morny et ThouvcncI avaient été rclcintcs A Faris p a r une indispo­sition.

L’E m pereur est a rriv é donnant le b ras A la princcsiw Cloliidc: le priiico! Napoléon avnjt nn'crl son b ra s à l'im pé- rnlrice, cl le prince Murât A la princesse M athildc. L’Impé­ra trice avait une robe de satin b leu , couverte du dcnicllcs en point d'Ainnçon: elle portait une .sorte du tu rb an en vclonis bleu, o rné d ’un cro issant en diam ants. La robe de M*" la princesse Cloliidc était on salin ro.sc, couvortc éga­lement de dentelles. Parm i les dnmcs qui se trouvaient dans la loge im périale , on rem nrqiiaii M*" Léon Chevreau,

3ni portait nnu ravissante toilette, pleine de sim plicité et c bon goùl. On suit que )l. le Préfet de l’Oisu e t M” ' i.éon

Chcvrcnn ont fait partie du la prem ière série des invités du palais de Compiègnc.

Le spectacle a commencé p a r la Dcinoiselle à marier. On a joué ensuite J e (/ÙI6'c /<02 m a m ère, charm ante cotnédie- vaiiduvillc, dont la pensée m orale a paru plaire intiiiimcnt A l'Im pératrice . Sa Majesté, en elTut, a daigné app laud ir à phisiciir.s reprises. Le rôle de Sophie Ariumit, (jui naguère encore était rem pli avec laiit du distinction p a r .M"'Uosc C héri, a . été joué fort convcnablcmêiil p ar M"* Aulonine. i.afontaino a re ndu , comme toujours, son personmige du P ierre Didier avec la VLM've et tu taicnt qu'on lui counail

pièce de MM. Dccourcelle el Lam buri Thiboust a beau- coup plu à rassem blée.

Le spectacle a été term iné par* une comédie-v.auilcvillu fort gaie, intitulée ; f'Arÿi'Mf fa it peur. Culte .s[»irituulle Iducitu n’a été (|u ’un long éclat du rli'o, el les bravos n'ont m anqué ni aux au teu rs de l'ouvrage, ni aux a r lis le sc h a r gés du l'ititu rprétcr.

Dans la journée . Leurs Majestés et leurs hôtes étaient allés fuiru une promeniiile.A Pb-rrefonds. C'est au jourd 'hu i sam edi que les invités de la [u cm ière série ont qu itté Cuni- piègnu.

Le prince el la princesse do M ultcrnich, arrivés jeudi so ir A Paris, fout partie de la deuxième série , qui a dû si rendre imuli au Palais.

(Hmltntus pur puqnut du .">00 granmic.s et an-dcssou.s. Au- dessus de 509 gi iimmi'S, 1 ccniimo en sus par char|uu 10 gram m es un fcactlon du 10 gramm es. Envoi sons bandes mobiles ou sons tlcellcs faciles A dénouer.XlM-aVniMblM<tcaieal ou Iaan n sM arc iralTraaehiM irairni.

lAns in ’ils n’ont pas été affranchis, 1rs objets m cniioimés dans le tuMcail o-conirc cl daivs l'article ci-dessus sont luxés cominus lèttres; s’ils oui été afi'ranchis e t que raffran- chlsseraent soit insunisaiii, ils sont frappés en sus d ’une taxe égnio nu trip le de l'insufllsance. Ix port en est ncquilté À défaut du destiiuitairu, p a r l’expéditeur. C'intre lequel des potirsuilcii sont exercées en eus de refus du payement. (Lui d it2 0 m u H 8 5 4 .) Bc la «onerlptloM «Icm Irllr***.

sçrvicc dc.s fioslus, dus lettres uacheléus oli non cachetées circul.mi a découvert on rcnrurmêus dans des sar^r., boites.

Le public ne sau ra it apporte r trop do sein à la réilaction

paquets nu colis; elle in terd it égalem ent le tran sp o rt, par tout au tre voie que celle de ce m ême service, des journaux ouvrages périodiques, circulaires, prospectus. calalogneH et avis divers, im prim és, gravés, litnograpbiés ôit nutogrg- pliiés; elle in terd it, en outre, du ren ferm erduu8 les im|irl- rués, éehaniillons, papiers du com m erce un d'airiilre^, ad'r.inchis A prix rédu it, unciino luttro on note pouvant tun ir lieu de correspondance. Tonlu conli’avonllon est p u ­nie d 'u n ami'iidu de 150 A 300 francs, cl, en cas de récidive, d ’uno amuiidu de 300 frauus A 3.000 francs. (A rrêté du 27 p ra ir ia l an ix et loi des 22 juin 1851 et 2 3 iu h i 1850.)

P.iruxcuplion aux dispositions qui précèdunl.lesonvraffcs périodiques non politiques form ant un paqiiet i^onl lu poids dépa.s.so un kilogramme, ou fHisanl partie d 'u n paquet de lib rairie qui dépas.sé le mémo poids, pcnvonl c ire expédiés

On nflirmi’. que I.cnrs Majestés rrs le io n t A Compicgnu isqu'au 50 de ce mois. — Euuslant Moisand.

(Moniteur de l’Oise.)

— En chanloiir et une rhautensu ambidaiMs dnnnaicnf.. m ard i 5 novem bre, dans un café du la rue Solfurino, un concert vocal el instrum ental. A prèsh iséqnce , la cliantcusé dem anda si qncjqn’nn voulait bien hii p rê te r un m anteau pour couvrir ses épaulc.s. Un dus Assistants «'empressa de satisfaire an d ésir de la can ta lrice , qui rem ercia de «on plus gracieux so u rire . Ces! tout ru qqe l'obligeant consom­m ateu r .a pu ru lirc r de son affab'C. c a r djqm is nncques n’a entendu p .irler dn chan teu r, de la. cigale .sa compagne et du m anluan qu i lui couvrait le.-* épaules.

La pohcu est s u r leu r piste p o u r leu r fcdum ondcr, ou tre le vêtement si lestrm unl emprunté, pourquoi ils n’oul po.s payé A leu r hôtel une dépense d 'une soixantainu du francs?

EREII..'— Trois lapin.s, évalués A 7 fr .. ont été soustraits Il sieu r Poulain, chef d 'équipe . On est A la recherche du

voleur.

MO.NTATAlitE. — Un enfant do 23 mois. Ois d ’un ouvrier forgeron, nom m é S udrc, jouait anp.rè.s du sa m ère qui fai sa it la lessive. Il s 'écarta un moniuiit pour aller jusipi’ù h cour. Comme il ta rd a it A re n tre r , la m ère sortit pour l’a ller chnrcher. Ello rencontra s u r lu seuil de la porte nnu vnisinuqiii lui ra p p o ila it son enfant m ort : lu pauvre petit s’é ta it noyé dans une tinette où sc trouvait un demi-seau de lessive.

PONTPOl.NÏ.— Nous somm-*s heureux d ’appucndroAnos lecteurs que M. Mniipns, m arehand gra in ic r ul c.ullivnleui' A Moru. dépuAdanc.u du la commnnu de Pontpoint, vient d 'ob ten ir nue médaille d'mV*^nl A l’exposition nnivcrscllu du Nantes pour sa' belle collcciion de p roduits agricoles. C'est la onzièmu récompense de cette n a tu re que reçoit cul habile praticien. M'. 'Maupa.s a , eri qiielque so rte ,"changé t’ncpuct d e là vallée de Pont-Sainte-M axcnce, p a r la vive im pulsion'qu'il donne depuis qninzu ans A la cu ltu re fourrn- cë rc , e t par l'aceliflialntinu' de planlos e t d 'anim aux i '- baosu-cnur. Inconnus, pour ainsi ,dirc, auparavant dans contrée.

r^o tts fss c o r r e e l i a i» » t e t / 0 «fo

PRK.'unE.xen uv. M. Vatix.

Audience dn inercm li 13 Novembre ISOI.

lin burgcr employé chez un r.ultivalcnr du Scniis s'< pla in t d 'avoir été bien battu el m altraité par Louis-Nluolas B rasseur, uh.irticr dans la m ême ferme. Agé du 38 nus. rae.oniu qu 'ayant trouvé sa cabane dérangée p.ar eu chai r lie r, qui l’avait traînée hors do la pièce qu'il hci-sail, avait tra ité P.rassimr de fa inéant, et qu'aiis-ûlôt il av ruçu do lui plusieurs coups de bâton su r la lélu. Mais . qu ’il a oublié du d ire , c'est (pi’il a commencé p a r le mena- cur de hli casser la gueule ut p a r lui allonger une gounnadc «tir la llgiiru, cé qui 0 forcé Brasseur A riposter n ar f - CoupdahA lon. Ln vérité ust qnu co horgur avait «Lms cabane utiç liolu de liquide qu 'il sc prnpo.sait do cari-ssc

5 jo u rs de prison , 50 1r. d 'am undé, A ta coHnscàtioit de on fusil ci au aux uépeiLs.

— François-G itet Landry, âgé de 41 ans, pllôlc A Saint- m-<rE.ssercnl, appelé A l'aiiaiencc p o u r com baitfè |t»

allé.galionsde sa fcm nic,qtii pré tend êlreJoUrncHcinentmal­tra itée p a r lu i, ne com paraît pas, sans doute dé p eu r d èire m oins vigoureux de la tangue que dii imignctvColtcn/ij. heureuse femme lient nii c«nàméri;é d 'épiccriç, cl Ijindiy est m arin ier; la m aison p o u rra it û lrç bonite cl itoim 'lrn- uilemunt les tro is enfants c l lés époux, m ais Landry donne à la boisson, e t, sans ccs.<c, «nos m otif. 11 tômbel b ra s raro’.ourei s u r la pauvre fumine qui sc vqll forcée de sc p laindre, alln d 'avo ir l'occasioii de ac n ian d er nu Iribk- nal le moyen A p re n d re p o u r se g a ra n tir dus brululiils d 'un homme dont elle ne s’u p p ro rbe et auquel elle n’adresse la parole qu 'en Ircniblnnl. presque ce rta ine d 'avoir ponr toute réponse à ses questions dus coups de poing ou de l»Aton. lAi tr ib u n a l condam ne i,andry en deux mois de prison et aux frais.

— Louis Bongc, Agé d e 55 ans, cordonnier, demniiranl .. M ontalairo. est préverio d 'op lrages piib lics'â la piideéT. Une inslruciion ayant é té commencée contre lui, Boripc. prévoyant la découverte prochaine d é sa couduiic si bli- mâblCi a suppo.sé la fêle ide son pays n ala l, en Belglqtic.H y est parti avec sa fùmmé, «ans qd 'pn r n ait é té iiifiuldè avant «ou d ép a rt. DepuiH ce m om ent, il n 'n point rcparà; I.C tribunal le condam ne donc p a r dëfapt en une année d ’em prisonueiueiit, 1G francs d 'am ende c l aux frais.

— Rosalie M ercier. Agée de 24 an.*:, foniine du s irù r Haii- dullu, boulangère, dem eurant A i.évignen, s'est cru dk- pensée du inu lire la pâte nécessnirç.ponr form er le poldr du sou pain, parce que ce pain s'appelle Irès-improprcmçiil vain du fanliiisiP. i ’-c paiii csl dem andé fort cn it et desséché, I pèse donc m oins après la cuis.son. puisqu’il y a évapora­

tion. Sans d ou te , m ais cela no dispense pas- lo bonlaugrr du m uttrc le poids ou d e le com pléter. SI jn paie mon pain ;ivuu uno pièce étrangère ou nouvelle que mou boulanger an inn ifo rté lu désir du pdssédcr, certes, je satisfais A sa fantaisie: je le paie en m onnaie de fantaisie , me Inissun- l-il lu prix d e 5 .1 0 ou 15 centim «t p o u r cela? obi \ion! Pourquoi donc -nie rognerait-il ma pitance eu KilisfHtsanI A un uapricu. I.a dam e Mandcllu est donc condamnceea 39 fr. d ’am ende c l au.x frais.

— Louis-FTançote-Fuscicn l,écaillon. Agé do 32 ans, n»- tionvriur A Fre»iioy-ia-nivière. n p r i é d es coups à nul»- b itan t du pays» sann avo ir de vérilab lfs rai«ni»s. On sc rec- coniru, on su «erre la in a h i,e 'e s t A u n i se r re ra lu plus fort, de lA dus délie , éoneéqnenee natu re lle de« slatinna fail» lu cniiiirei. Après les pré lim inaires d e g u erre 'o n so q u ip

. t, assuz o ix liu iirem en l, la n u it m et Bu au x rancunes d aux débats. l4 eaU1on n 'a p a tv 6ulu a tten d re 1rs effets dt la nuit ; il n, 4e ao lr m êm e, rossé tra î t r^ s e m e n t celui qull savait ou pouvoir a ttaq u e r en face. I<e trib u n a l coudainnt donc |j>uaillon en B jo u rs d e prisou e l au x dépens.

- Frédéric-Bcnjam'm-AdolPhe t te r r . îligé de 51 ans. çm- plové, dcniuurnnt A l*aris; a dépensé d es som mes qui lut avaient été conliéc« puiir la paie d e divers ouvrière dentcu- rnnt A M ohlntalrc. Ilu rr a éprouvé des besoins, il se plaiDl de t'oxlpivilé do scs «tmotnmeiils, m ais cela ne peul excuserun abus de oonflance aussi coupblfrv 11 prélund que À aïo patron eû t été s u r les lieux,, il au ra it com blé ce lte lacanc et l’au ra it tiré d 'em b a rra s. Nous en summc,s .conyaiuc|< ûgatcnieut, m ais U devait, p o u r «e fourvoyer. Àltcmlrelc re tou r do son patron . Le tr ib u n a l uomiamne l lc rr en iia mois du prison et aux frais. Nolts sommc.s certahl.s que- l lc rr , p a r sa' condhltc A ven ir, répare ra e t effacoro celle e r re u r . A laq u e lle 'sc s précédents n ’o n t 'a jo u té aucune ;ravilé.

tic ),) cotnintin iSiiiuii il 11V.-1 *ul n'Ml ?Joill II » ta, on : • ûn l'emni.— “ au

— Agnè.s-Augnstinc llu n ri. Agée do 41 nus, femme île Adolphe Leprôtrc, inanouvrlèrc. dum ouraùl A BlinuoorI, av.\il été uti buis avec son m ari, e t, com m e ils ruvouaiMili lu garde uham pôtru les rencontre m unis de surpes; il leur fait observer que l’on ne doit alle r nu buis faire des foucff aveu aneiin tran c h an t; puis il veut visiter les fouées. U m ari ne d it rien , maLs la fcnime s y oppo.se. I.c garde cham pêtre a tten d , prie , enjoint, ordonue. e l c 'est comme s’iL chaulait. A p r^ une h eu re d 'invitntlon. la patience lui m anque, il veut couper les h n rts . C’est alors que l« femist Luprêlru le m enace de lut couper la giicnlu avec sa serre, c l su inet en devoir nui) pas d 'exécuter l/i m enace, nitiis çt lo uairilger m anuellem ent; dans la rixe, le garde r c ^ même iiu pouce gaucho une blessure la ite p a r la serpe de la prévenue. Lo tribunal condam ne lu femme l> ip rê tro« 15 jo u rs de prison et aux frais.

lmp. ii **'1 Ib dimanches (j«pl(|ues wutj 'ffèrcid P ws jgoiir prétendbiM Aétait seul cour porte du gard CD deux mois

— Louis-Victor Colpiu, Agé «lu 18 ans . dem eurant A riunval, a pi ofllé du jeune âge dO «on Ibère, Eharlda-Adr*** Golpln, Agé de 12 ans, p o u r roxpjg ilcr. S 'é lan i pw une m édaillé do plomb do la gronoini.rol do rM Ôiia. do ta forme e t «lu poids d 'd n u pièce de 5 f h , H envoie eii enfant chez la cabarc tièro dum andor la inotmnie C’éta it le jo u r do la fétu d u pays et lo so lr , lu cabarçlien donne ta m onnaie A la hAtc: c . i r i l y u chez ôllo ’pliis é inumlu qnb la maison n ’en peut conten ir. Cependant M Insliinl njn ès, cette pièce lui tom bant A lu vne. ello «r perçoit <lu to u r, court après «es escrocs, les rejoint, R prend sa monnaie et leu r rend la pièce, que le frère ai* enveloppe soigneusem ent daiis son m ouchoir, où elle ) trouvait encore au mom ent de l'arecstation. A l'audienr inêtni'. Colpiu l’aîné veut encore Iklro endosser A «011 peu fièro tout lu tort et la rusponsonllllé; m ais 11 avait In piW dans son m ouchoir et su proposait d ’oxpibiter Un uutb m arrhaiid du vin quand on est a rriv é a lu i.'Iæ tribiini acqiiitlu ('.harles-Adotphu conime ayant agi «ans dlscernC' meut ul II! rend A son père, nuis condam ne l/niis-Victoi eu (tu mois de prisou cl aux frais.

Aluxis-Dcnis Itcliour, âgé do 20 ans . m unouvrior, dÇ m uurant A Augur-Sninl-Vincunt, dans in nuit du 20 n u ï orluhrc, du d iinaurhe nu lundi, cbunta it dans les ruc

Ou fui dra.

Qu’en reiulit-<é après m mièru ill ncnf no

’glslré;il sur

lie Al, È ineuran rienvnl.

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tl ans. <ni' im QMi tui «nt demeu* ilseptaiDl ;ul«xwer que À 0 Dite lacoQf! roiiyniueus Àllctiilrelcllcrr en un Ttaiits que tcorn eellc lté aucune

Temmc de BlineoDii,

n^veitnienl, pes; il leur (Ic8 riitiéff foliées. U I.C gnrde

est comnie >nlieiicc lui e la remise !C sa serpti tx, mais «}e [ardu (cçol la scrpc de aiprôlro eu

rfebcom nitine. I.o sj.inlc vliampêlrp lijj «il ull il « '‘■••‘l l»«**»‘'« <1“ '•? e haiihu ; Kelituii-s,f n’est nas A «»H >«veu- du niiiUii. nims A «cl-n du caliarel E l li a quillii 11» IflboiMul II y » l>Q« il inslauls. riiiosie

• im • « ûn'nsl'Cd nue lu veux» l«l, gni do clnunpôUv, ju Kmni . » Jiwquodà, u u g a rd c cluin»|«lre uc se plaint pas Z li w i! que ce son l li» pidl|es$w d 'uuw u cl de n iîu eu r

u/Jinianciies dl IW lundis; inaM rnposH uphe fui suivie de K ues w m ite |M»iilg que Iw «aiHlps i-4iampéli-c.s di- îèrci i ptHê diracilPmem que les propos lualsmimm s Ile- L iir nréiciid qu’on ne chaiilail pas, cl que le garde s est 2;* à propos adrc?ft(é à lui quand u ii dd ses c iinaradns î a iscu l coiipÂliîü d ’aV olr-donné nu coup de pied dans la D oriedugardechiim pôlrn. Le Iribiiual condam ne ilelw iir Ïb deux mois de prison ol aux dépens.

^ B n s a Larsonniôiv figéo diV W aus^BOUlnrièrc. dem eu- MBi* Béthiiuflourl» ayaul .aidé à una vol>{inti* faire e l laver ^ less ivd . aVéc une a u ln i ouVrièVc do scs aniliM, avail Mfifldu son linge ùjm ii to u r devant la piirtc de lad ilc vol-dS 'flui, a’étânl aperçue qu’lt lui luanquail du liiige au îLwemaûl él* i l'appel, alla visiter ce linge cl roconuiU Sàtiewra de âwmoittUoirsdepoctie. |hî lA, plainte suivie

Inàlrucuon. Rpsa Mirsopuler .allègue; que les mou- 1,01» réclamés lui ont élé donnés comme souvenir par sim^ le . qui q u ltla il le pays, e l que a | ce,linge eù l ylé velé w reilc .elle o’o u ra il pas é té assez POUr I ‘ « n d re e n

do la porte de la personne volée. i.a fille Noé, çoni- ÏÏSie de l l< ^ . recherchée aqssIliW ct-lwqiTée en sorvlcç i Empiè2n^,.inlri’rugé«vàéioonl rallegaliou.dejlosa cl de­mande A être confrtmlée avec elle, Mais ne.t»dndl *•! ration de cette coiifronliillon, ladite Zélic NoC quille son ftDploi cl disparaît, sans qu'on aU )Ui. «avoir depuw de nucicété elle* liVuiné. l^s iriUiuial dulùiwe la IlUc'l.arson- uiçr de la poursuite intentée contre elle, sans dépens.

Jules-Louis Barré, âgé de 48 ans. tnécaniown aii clie- min de fer du Nord, detiicuranl à MmMmarlre, a commis nnccoulraveiiiioii au rcglenieul. «n faisant approcher sou train en station trop près d’iiiie hlfiircalion, ce qui ponv.iii cau se r de graves «ecident», ipie. forl licureusemeiit. on n apas eu A déplorer. Au passage d iin iraiu au point de cet e furcation, un frottement assez violent pour causer avarie

aux deux Ir.iins a ou lien, mais sans que là vie d «liCiino personne n’ait été com prom ise. U arré est un hom m e hBüU tiiellomeift p rudent et fort habile dans sa 'p a rlie . et jOUit, du la nonsidératiuii. I.c Iribiinul coiidninnç U arré eu & fr, d ’um eudc e t aux Trais.

— On a cent fois défundii a Mario Josèpbu D elsarl, femme Lefort, égéo du 43 an s ,' Riiiiliiiicru & Saint-M oxiinin, do vvndrc du Xiii A consom m er su r plara»; le garde cjianipêlre l’il p révenue maiiifi>s fols, et rependaiil, tu 11 oclobru, H ». trouvé U1I0 nom breuse sociélé n ltab lée chez la prév^nuç, e l v idant les litres, com m e si la cabare llêre était m unie de licence, L,i fummu lasfort s ’excuse en disant : • Il p}«|tvail, lu sociélé é ta it trem pée, ils n’ont pas voulu boire d e b lere , et, comme ce sont d w pratUpies du mu m aison, j i i r c r u pouvoir, serv ir iin peu du vin. » I,e tr ib u n a l condam no la fuminc befort eu 6 jom ’s de prison, *25 fr . d 'am ende e t aux fra is .

— D.iiis sou oiidicncc du 7 novem bre, lu Cour im périale d 'A m iens, chum brc dus a p p e ls 'd u police con-ecUoniiellc, a imiitlrinô le Jugem ent d u tribunal correctionnel de Seuils, du 7 ao û t IS fil. qu i a colidumiié 1“ Loills-Tliéodore-Xavier l)esessarls;*2‘’ ut l*’rançois-Alexaitdre Clémcid» d®“ * cultivateiii's, demctiruiil à O rrouy, chacun a quinze ioui'S de lirisou ol 50 fr . d 'am ende, p a iir eolporlage de g ib ier en

' “ B Ïns'sm l'lm dlenec du 9 u o ten ib rc . la miSnie Cniir a con- IlrraiS le inaonienl du Iribanal iiorreclionncl de Scniis, du 9 ae lubrc 1851, un i a eandaniud Jiwepli.i:i6mcnl \ iguernn,tisse rand , denieuranl à llanillaney. à SIX m ais de prisen .pour coup.s el blessures.

f a i t s d i v e r s .

— Les chem ins de fer sem blent se décider a e n tre r dans la voie des réform es des tarifs. P a r su ite d une conventionRommùne aux ra ilsw aysdu N ord, dç I Lsl elIl vient d ’ê tre opéré une i;orteIrunsnorls à pctiléw ilesse d ’uiic gruinle qu.iiitilc d articles siir tou tes les liguc.s du réseau. Ces am éliorations ne seraient

'nous assiirc l'Oii, que le point de départ d ’niie reform e gé­n érale.

- Il parnil que, depuis quelques jou rs, la Bonifie voit fi’écroiiler bien des fortunes privées. I.e flot uni 1rs avait uppnrlécs 1rs rem porte, et l’on parle de gros désastres. .Sur le champ riêbataille de la Bourse, il n’y a qti’tm nom inviil- Uérable. C’est celui duo Ituthschild. On d it que. l’iiivcnlairo d e 1800 vient d’ê tre d u s et qu 'il se lialance p ar iiii ac tif <riin hiff/i./rd. No crjez pas trop A riinposslbic, au fabuleux: on 18*28, il y à téiiglèmiis, vous le voyez, un» personne mit l'oc- casbtii uarticn iiere do connaiire le chiffre à peu nrés exact de l’avpir dep cinq cnm ptoirè qu i existaient alo rs A l.ondrc.s, Paris, Vienne, Vrtuicfort e l N aples; ce cliiffre é ta it de trois cen ts millions, et depuis lors la boule de neigd^a bien roulé.

Il est question de la miSc à exécution d 'n ii nouveau et ffiganlosqiie projet d 'em bellissem ent de la capitale, conçu en J8 II p a r Napoléon !■' pondant l'édililô de M. Frocliol, c l que les événem ents dc'1812 e t 1813 cmpêclieix’iit uo poui-sulvre. A cctio époque, Naiioléon 1" avait ivsolii de /faire de# quais une véritable Vin'e roniamc. Lu f.icc des 'T uileries et du L o u tre , on devait (dacrr s u r les ponts les 's ta tu e s des souverains les plus célèbres de F rance. S u r le 'tÀual 'C onti. devant r in s li tu t , on devait élever des slalucs

aiix poètes, aux écrivains, oux «nvapls les p lus justem ent célèbres. Dftvaiit le palais do justice, c’élm ent le.s sfalues des m agistrats ics plus distingués. Devant I llolel-nc-yitlo, les stalues des écncvins, des chefs de ré d ililé parisienne qui ont rendu les plus grands service.': A lu graiido capitale, linnn , su r ics ponts des qîiaîs les plus rapproches dn laii' bourg-Saint-A nfoinc, les stalues des grands m dnslriels français, et en prem ière ligne les ouvriers devenus chefs de. g rands établissements indn .dricis.

L’em pereur Napoléon l l ï au ra it étudié ce plan et .'iiirait. d i l 'o n , dem andé qu’il fû t revu avec soin et qu on lui sou­m it un nouveau plan étab li,sur le même systèm e. ,

qu 'il V a jo in t, (vl.s que le.j paillassotis on jonc plat et sjii’ . cham’i), le.s aloôs, cocos, sparterio.s, soies végôlal«.s, tapi»*-brosses, nalles indiennes et rmids de salle A manger.

Il y a aussi nu grand clioi.v de toiles cirées pour m eubles, escaliers cl appartem ents, dans toutes les aim eqsions, e t Itiil'S iiuperiiiéables pour lits de malades, r t d enfiints, étoll'es caoutchouc, lablicr.s. taiïelas gommé,'Cl tout ce qui su fait en caoutchouc. '

La tah lellerie offre une grande variéle en objets td ljcs cl agréable.s, ainsi que dans les jeux de ja rd in et de so cie lt.

La malson de M. GlflAULT, place de l’Hètel do ville, à Seiilis, déjà bien cortnue pour les arlicles de voyage eu tons gènrus, se recommande tout pour la ftoiiuo f.ibricalion que pour la m odicité de ses pri.s, ainsi que dans les arliclc.s

;^V|S. — On peut voir cl se p rocurer A la lib ra irie de M’»" veuve Ucgmer, de nouveaux iiinhrcs tînillomot hum ides xpéditifs pour »dmini.slralions, iiouvaiit tim brer 500 fois sans rep ren d re d ’eiicre.

\:illu sh aUoH coulienl dans son num éro du 9 novem bre : Itcviic politique de la sem aine. — C .onrr'er de P aris. —-

Couronucmeiit du roi do Priis.se. — Causerie dram atique . .— Chronique lU téra irr. — Jean Joiirnot. — Le mols-d nç- loiiro eu Pologne.—Consécration dn l’église Suinl-Bcriiard.— nénédiction d ’nnu hAtelleriu A la Saüile-Baitmc, p a r les îlominloains.— Revue Rcicnliflqnu.-rVnyage do.sir Ldniund Broomley à la .recherche d 'une i.isse A thé. — C orrespon­dance. — I.c service dom estique dans les pays A esclaves.

G raviim : Fêle offerte au roi ol à la reine de Prusse par le maréclial Mac-Mahon. — B éccplion-diuis la salle du Tronc. — Entrée du roi et de la l'élue de Prusse à R erlin .— Fête olloi ie au roi cl A la reine do Prusse : le souper.— Jean Journc t. — Bacr Meisseils, archl-rabbin de Vai’sovie.— Do'clonr JaslroW , prédicateur de la synagogue. — Oh.se- qiics de .Mgr FijülkowsUi. archevêque de Varsovie. — Con- sécratiou de l'église Saint-B ernard. — Bénédiction d uiio hôtrilcrie A la Sainte-Bannie par les Dominicains.—Voyage de s ir Edim nid Broomley (11 .hwsins). — l.cclère. a r tls tu des Variétés. — l.es preniière.s régales de M arseille. — Echecs. — Uéims.

Le Gâ'iiiil vt'fjiotisabh, l ’.nSKST RF.GNIER

Annonces Judiciaires.A i ît .

Etude de M* C ii.m ii.e s P IN SSO N , avoué A Çginpiègnc..

. V K N T E ■ ■Ml SUITEDE.LICITATION, ENTRE MAJEUR & MtKEURS.

En’Ià l'naison A vendre pi-aprè.s désijgnéé,R p ar 7c uMnwfére ile M' O itisoN , nolairc d

H èthûy-Saiiil-P ierre. commis à cet effet.

Située aiix, Ef-iiATS; .com m un^ d Orrouy,

y/ c i d e ' O P iÔ M fe.v .',

D £ M £ T lK )lS T m iSS Sîttiéos te rro ir ij f^ n o tiY , .

l i t f f i lus flniffemrhl

L'.\diitdicalion aura lieu le Dimanche «/m'iisi f D è o n b rc /& g t. bTnidi;

Ou fait savyir à tong. pçux!qu 'n .iip |)ârl»ct|- dma . ’ ' '

Qu’en vertu çj vj? exécution d’un jugem ertlrcm iu-^htM diciobrenw nl e u li« 4 « a |w rlie 8 ci-après nom m ées p a r le in lniim l civil ile j» rc- mièru instance. sé.ini a Corripiègiié. le vingi- netif aoùl iiiil hu it cotil soixante cl u n , ciirê-

’glslré; ■-U sera, au x .rcq u éte , ponrsu ite et diligcnrc

lie Al. ktu ilu Collas, m ajeur, m anoiivricr, de­meurant ù V andram poui, com m une do Mo- rieiivnl. poursuivant, avant pour Avoué con-

's titu c M 'C h . P inson , dcm euM iilnC om piègtic;Ku p ri^once ou eux dûment- appelés de :

! ! • M. Emild Sim éon Collas, cultivaieiir,dem eurant aux E lu ats . oum m iine d ’O rrouy;

' . .« -An u o m e i com m e tu teu r datif deA mabic.» Colla» e t Aluxqndre Collas, enfants m ineurs,» m n » . d u - rhariage diL sÜi’t i r Jean-Bftpiifite » Collas, avec Ir dante A ntqinctjc V idal, sa n deuxièm e IpoéU e.-tüiis deéy iWeédé»; .

2 * Mâdamÿ inor-entioe ÿ o irô o v dem cùran t ’a S ain t-Jea n -au -R o is , veuve de M. Jee“ - Baplistc C td las;

« T a n t on. son nom pcrspnni'i q p e com m e ' » ayant été coinm uno. en b iens avec sou d é r

» funt m ari que com m e tu trice nature lle e t • légale de P aiil-Jcan -llap tis ie ('.ollas, etifiinl B'jiiiitcMi'. issu de son m ariage avec, ledit feu «‘"s'ièur C ollas; »

IVéTéndeui^, liyant p o u r sv o â é constitué M* Léon Danjou. dem eurant à Coinpiègnc;

Et aussi en présence oit eux dûm en t a p p e ­lés de ;

M. Louis Rridiint, bûcheron , dem eurant à Lacroix-Saint-O iien ;

« Au nom e l com m e su h ro g é-tu lcu r desdils » m ineurs .AmableC^ollasetAlcxiiiidrelaillas; »

Et 2" .de Victor G érard , co rdonnier, dcmcu Tant à Compiègne ;

« Au nom e l com m e subrogé-tu teu r dudit » m ineur P au l-Jcan -R ap iisle C ollas; »

P rocéilé le dim anche quinze décem bre mil huit cen t so ixante e t ù n .u .m id i, eu la.m aison c i-ap rès ilésignée, et p a r le m inistère de M* G risou , no taire à B éth isy -Sa in t-P ie rre ,

, com m is li ce t ejTel, des iinm eubles dont la dé- éimiAlinb SuW.* " *

Le tout d 'u n seul ensem ble , tenant d’un cô té nord h M, F rançois P inson el aux héri­tie rs 'C lém en t, d’au tre côté A M. A lexandreO sselin , d ’un b o u t orien t à la sen te des Champs,et d ’a i |lre bou t au chem in d’O rrouy aux Eluats.

E lau l csjd iqué que dans la pièce de terre et tqjjlis sus-désigncc, existe une petite pièce de taHlis à M. G ossicr, instiliileur, laquelle se lyouvc enclavée dans la proprié té h vcndri?.• -Un petit jard in sis au inéme lieu , de I au tre

co té dn chem in d’Orrouy aux E luats, proche ladite m aison, con tenan t quatrc-v ing l-quatrc

■CCilÜArè^t c l »l3bs I.eqnçl se trouve un pm is miiovén avec M. P inson , tcn.'int d orien t au chètb to , du couchant c l d’un bout à M. M cn- û c ^ n , d’an tre bout b m ondii siciir P inson,' E t un au tre petit jard in s itué audit lieu, de la contenance d e un arc so ixante-d ix-sept ceu tiarcs, tcn ap l d ’un côte orien t au chem in, ilVccidcnt et d ’un bout nord à M. M cnncsson, d ’a u tre bout à M. Pinson.

O bservation faite que les contenance? sn s- indiqiiées son t celles ovistani d ’après la jou is- .saiic* aeliielle, lesquelles contenances réunies BOiil de cinquan te -hu it ares soixaiUe-huii cc n - tt.'iFi'S, cl que celle d’après les titres des inai-

:fipii et jard in so n t de so ixante ares ip iatrc- v ingt-quinze centiare?.

n rs is tém e I joE.T ro is arcs qùarande-doux centiares de terre ,

aux E lnats, proche la m aison ci-dessus, t e ­n an t d ’iin cô té «i M, C harlcs-E inilc Collas, d ’aiilre cOlé 5 U Billorii. il’iin Iroul Ji la ru e dos T ro is -F ro ics . cl d’auti'c boiil a M, Mon- nesson .

T r o i s i è m e IjoE.Dix arcs q u a tre -v in g t-u n centiares de terre

e t bois taillis, lieu d it la rue d csT ro is -F rè re s , tenan t d’un cô té nord à P ie rre -A uguste Col­las, d ’au tre cô té îi M. Charles-Em ilc Collas, d ’un bou t lev a n t aux h éritiers P raqu iu , cl 'd’au lrc bout à la rue des T ro is-F rè rcs .

' s o s i a n v A T i o i T1EI.il Qll'EllE EST H Silil ID C.IHEI DES CIIMES.

r .o M im m e t te r r o ir il’O r r o u ÿ . a m to n ’cle C r é p y , o r r o n i l is s e i iw it /te S e n t i s l'OiseJ.

P m n i r r IdU t.U ne Maison s itu ée aux E luats, com m une

d’O rrouy, lieu d it lé Larris-IV ud’h om m c.co n - sistRUl ch :

Un corps de bâtim ent divisé on pièce d 'ha- 1 b iia lio n , écu iio , g rango, le to u t couvert en ' tu ile s , toit h porc.s, cave d errière lu corps

d’hab itation . .U ne jiiècc de lo rrc cl bois taillis derrière

e l s u r le cô té desd ils bâtim ents, contenant, y com pris rem placem ent dos consiiucilons, cin­quante-six ares dix-sopl oeutiare».

Ç p a i i tr i r m e liOl*Vingt-six arcs Iren lc -tro is cen tiares de

te rre , Uèu d it le Mofrier, ten an t d ’un cote midi A M. C iiarlcs-E inilc Collas, d 'au tre côté h M, P ie rre -A uguste Collas, d ’un bout A M. .Dorin, e t d 'au tre bout à la forêt.

d a ^ w l è m e I jo ( ,I Onze arcs v ingt-huit conliaros de te rre , a u -

dcsMis de la G arenne d ’O rrouy, tenant d ’un cô té noyd h Urbain D escaucbercux, d’au tre Côté à M. C harles-E m ilc Collas, d’un bout o rien t au chem in do la H aie Caîiidrainc, et d 'au tre bou t A Rem iol eu a u trcs .

S islèm e l<oE>Q uatre ares tren te -s ix centiares do teriv ,

lieu dit le.s Sablons ten an t d ’un côté nord ù U rbain O escaiichereiix . d ’au tre côté à H. C bJilc s-E m ilc Collas, d 'u n bout orien t M. D am bry, et d ’au tre bout à .M. D escssart, com m e ferm ier.

tte|ilî«m e I<ot.Six ares quinze cen tiares de terre, lieu dit

llaute-A veine, tenant d’u n cô té h M. Jacquiu , d’au tre cô té m idi A M. Charics-Em ile O illas, d’un bout A -madam e de Suzcimt, et d ’au tre bout au taillis des Eluats.

IBultièiue lLol«Cinq ares treize centiares de lerrc e t taillis

licii ’d it la ru e des U runcts, tenan t il'u.n côté nord A M. Ililloré, d ’au tre côté A M llarnahé Caron, d ’un bou t orien t A V. Clém ent, d ’au tre bout A la sen te des Itrunets.

O n x ic m e Ï jO|*Neuf ares seize centiares de taillis, lieu dit

le Jard in -L ochon , tenan t d ’un cô te nord A François Laudigeois, d’au lrccôlé. aux héritiers Clém ent, d ’nn bout orien t A Jo.u*ph C lém ent, et d’an tre bout au quatorzièm e lot c i-après.

D o u z iè m e I io t .Un are quaIrérTvm gt-huit centiares de

terre , lieu d it Q uàtre-E cus, tenant d’un bout orient an sieu r CIcTC, d ’autre côté A Alexandre More!, d ’un bout m idi A Jacques G ossier el d ’au tre bout A V ictor D escsscrt.

T r s iB lè m e lo t ,Un arc vingt-1iuit centiares de p ré , lieu dit

le Ilû -de-V isery , tenan t d’un côté nord au sieur B oucher, d ’a n tre côté A André Gage, d 'un bout au fossé du rù , el d 'au tre bout au sieur Barré.'

Q u a to r z i è u x e l /o t-•Cinq arcs 15 centiares de terre , lieu d it le

M oirier, tenan t d ’un cô té orien t A Denis b e u - laine, d ’au lrc côté aux héritiers Bedoux d ’un bout nord AH. Ü o n a ,e td ’au treboutauouzièn io lot d -dcs.sus.

Ç yiiinzS èm e e t « le r i i ie e I^ o t.E l v ing t-un a»*e.s qooranle-ileux cen tiares de

ip ire, lieu d it.lc l.arris-H eurtaux , tenan t d’un côté orient A jeau-M arie M arot, d’au tre côté A Emile Collas, e t par haclie A M. Lopelleiier, d ’un bout midi A m adame de S uzenel, el d au­tre bout aux héritiers P raqn in .

1 £ I $ S 3 A F I A I Z .

En o u tre des charges etoondiU ons de l’ad­judication, les im m eubles c i-dessus seront

l criés su r les m ises A prix su ivantes lisécs par le jugcm eut sus-daté : po u r le 1" lot, la som me d e . .Pour le 2» lû t, celle de . . . . - vpour le 5* lot, celle de . . . .p o u r le 4« lot, celle de . * . -P our le 5 ' lo t, celle de . . . • ^p o u r le C* lo t, celle de . . . • ^P our le 7* lof, celle de . . . . ^P our le 8“ lot, celle de . . . -P our le 9* lot, celle de . . . • ^Pour lu 10* lo t, celle d e . • • • *>P our le f l * lo t, celle d e . . . •P our lû 1 2 ' lot, celle do . . . . -Pour le 15* lo t, celle d e . . . . lPour le U * lo t, celle d e . . . . aPour le 1 o 'lo t , celle d e . . . . -D

B tu sa m lile d e « « h j u l s M o b i lie r » , S lo r - clin iid iM ep e t M a té r ie l^C.M»MSS.V>T I.F,niT IIOTEI.,

E n V cfudc cl p a r la m iiiis lc re d e M' Bivinni:, n o la irc ii C rc il,

L e Dimanche I " D écem bre 1801. A u n e heure ' S 'a d resser p o u r les renseù jiw n inn ls :

1* A M . M é l a n d , s ip id ic d e la fa il l i le a Sciilis; 2 “ E i a u d it M ' l U v i ù n E , iw la irc .

A n i i o n i - . e s l î i v e i - s e s .

Elude de M 'Hesui SALLÊ.com m issaire-priseur - à Scniis.

i t s i î î ' J i i i ' i i i !ES VEntü Tl’USK OimOSSASr.E,

A Senlis, en la salle des v en tfs , rue Bollon. L e D in ia n c h l ~ A ’o w w A r c i S G i ,

h e u re de m id i.

On vendra : couchelles. arm oires, com m o­de. I.ibles, chaises, ustensiles de cuisine et de m énage, linge, effets d ’habillem ent, plaucln-s ferra ille, ou tils , el a u tre s objets

An C nm plaut. t ’rnU ofdlnr.lre».

Elude dcM'DlGO’l' .ucôatieaulMessis-BenavilIc.

% 0 1 3 S U I T E ,

D N E FDBIÜSS9 5 HECTARES DE TER R Ec i le Ü la i é r îc l «|eai e n d é p e n d .S'adresser audit M' B ic o r, «ofai're.

Hf.ME firuDE.

PETITE M;\lSOFBOERGEOiSE.Avec J.AHaSBIA île A t n r c ^ c e n t i a r e »

.Silnée an Plessts-Bclleville, cl A proxim ité de la station dn chem in <lc for,

.1 V E V » H E A l i - A M I A I t L , E ,S'adresser audit M* B ig o t, notaire.

A 'V B A 'D S S E à l ’a n i î a i i l e ,

m CORPS DE FERMEET EKVIIION

72 Hcct.ii-cs lie Tei-rcsE u d-‘pendan i ;

D a n s l e c a n t o n d e t r é p y .Ferm age, n e t d ’im pô ts, 5.00B fr.

Bail expiran t en 1870.S'adresser pour tous reuseiynemcnis :

A M* TASSAIVr, iiolaire à Crépij;E l à M* MARGE, nolaiVc à Villers-Cullerels.

Ktudc de M* GRAUX, notaire à Acy.

A V E X O U K A10 UN

GRAND CORPS DE FËEIEe t loMfe» mcm Déiiendj»|iee»,

S itué A Betz. derrière FF-glisiV-

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.1 . \ E V I L L Y ~ S M . \T - F l t O y T f-lisuc}. S’ad resser au titu la ire.Ou A Senlis, an (jaissier do M' BEKOisf.,

notaire. ____________

\ â r a m i a b l c ,

M l

T otal des m ises A prix . . 7 8 8fr.

S'adresser p our les renseignéments :A H* PINSON, avoué poursuivant ;

2» J M* D.VNJOU,aeai*é co-liWtnnJf

5» E t tt M* G R ISO X , HolmVe. rédacteur et dépositaire du cahier des charges.

F ait e t d ressé p a r l’avoué poursuivant sous-

'*'*Conipiègne, le tre iz e novem bre mil hu it cent

s o ix a n le e u ,,. . : pjN SO N .

F nrogislré A Compiègne, le quatorze noycm - bré mil h u it cc n lso ix a n tc c t un,-roçu un Iratic dix centim es, décim e com pris.

Signe : Ci ia c v o t . , Requis l’insertion :

Signé : F uémv .

IVcuvIcme liOt.Deux a res ircn tc-ncnf centiares ne vignes,

lieu d it le V ivier, ten an t d 'u n cô lé nord A P ierre âiartel, d ’au tre côté A U rbain D rscauchcreus, d’un bou t ledit sieu r Descauchcreux, e t d ’autre bout A la sen te de Gillocourt.

IJlxlVBUC fiOt*Cinq arcs quairc-viiig-dix-lm il cen tiares do

te rre et taillis, lieu d it la rn c des T ro is-F ièrcs , ten an t d ’uA côté nord A Sim éon tjolias, d 'au tre côté A Ë m ile Collas, d 'u n bout levant aux hé­ritiers P raqu in , cl d 'au tre bout A la rue des ’r r o is - F r è r n .

S ise A üv tz , ru e des Ja rd in s ,O” t X B

BELLE HHSON BOURGEOISESise A B clz, rue de Crépy,

4” ïJiic autre MAISOÎXSituée aussi A B etz, rue dos Jard ins,

5 * o 4 e i i t l p o n t î l l l E C T A B B I i j N i

D a T B R u a a ? s o i sSitués su r le te rro ir de Betz. en très-bon

étal de culture.O n cemlrait la grande ferme, el ics terres en­

semble ou .spmirilmcnf nu gré des amateurs.On (issiireraïf à l’acquéreur des terres tin rc -

venu de 3 4 l i pour 0(0. . , •Boiz est A 11) kilom èl. de la station de l.repv

e t A 11 de celle de Niinlcuil.S ’adro.'iser u iid il M ' C tiA U X . im ln tre .

KNVIUONEssence : chêne, frêne, hêtre, chà'aignier

cl autres,F.B d e u x '

S itués ; le prem ier, lieu dit les 25 A rpents, terroir de Bargny,

Le second, lieu dit la P lantation, terroir de Lcvignen,

Bordant la route de Cvépj' A Meaux. A 4 Li- lontètres de la station de Crépy-cn-V alots.

SOUS FU ÏA IF.H u v iBase é l c m l u e a i» p a* cx L ÎaM atîv c

1 (1ç 9 l l c e l a t* o s <A"a(/rr.«ser pour fou.s rrnsciflnemcntL

A M. V lüT . propriétaire à liargm j.^orA . Le b o isc i-d o ssn sélan l destiné A être

défriché, il sera accordé A l'acquéreur un !oi;g tiélai p o u r l’oulèvcment, et un endroit pour faire un dépôt su r le bord de la route.

\ Ï j O U K U s< * im i* é m o n 4 ,/ “ Pour entrer en jouiM funr par les reversages

de ISO i el les emivrainesde 1865.

LA FERME BIS FOSSÉSComm une dT laram oni.

CONTEXAXGK :H 9 l l o c l a i 'O H 1> » . t s 'o s ,

A quatre kilom ètres de V dlcis-(.ottoiéls.2* E t p o u r « ifrcr çu jouissance par les reversagcs ■ de iS 6 3 ê t lcscnueratrir.s-(tei864,

Am*. 2 .Etude de M 'lÜVIÈRK, no taire â Crcil (Oise)

V E N T Ed é f i n i t i v e e t s a n s DEM ISE,

l'IH ( O is DE «OIIEBCEs n p j l t i s s i b r

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M' l.KFfcvuK. n o ta ire ;.A Villers-Cotterôis, à M' SI'Xa ut . notaire; Kt a la Ferté-M ilon. à M* .Mii.e i’, notaire.

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Silncu à Süiiüs, pla(^>(le la llaH c-H u-U lé.So, A V E . 'V U R E

l 'a r ndjiidii^tiuii vuluiiluiiv.En l'élude el inir le minislère de Bl* Bkxuist,

}iQ/(i(Ve (i ScHlis,xiivCitssei/rde M 'Ciiaiitikr,Le BlarJi 5 Décuinhro 1801, à iiiidi,

.S’i jd rm w flJirfiV M'llaNoisT. iiolaire.

COUPE DE B O l im Ü SET DE HAUTE FUTA IE

A fMire Mur M IleriM rm MS Area C’.Au teiToir du K^iron,

E T 100 SAPIiXSAu IIUMIIC U'IToii'.

A V E N D R E |M»a* A 4l ju < lîc « iiio u ,A- llaroit, en la Mairie,

- Lo DiiiiaiK'lii* â i iNovctiihre 180 1 . à midi. /*«»■ le inittisli're de SI' IJBxmsr, iiolaircàSciiU'i.

S’:idivs.sui' nudil BI' Bcxoist, iiolalru

243 PEUPLIERS SUISSESI O R H E K

(’omjmsaiil l’avuime du la lunnc du la Ciluriiu- Ti'tü iilili. siiuûu uom nniiiuduTi'iüniii),A VJ-MHU-: l ’AH A lu n U C A T IO N .

Kn N l.fttH. — Nur IraLu Diduniclic l*' DiHarttiliru 1801, à uiidi.

l 'n r f f iiiifiislcrc ilr M 'IO .-N o ist , iintuirc tt St-n i.<.

F aciltlùsiiouric jiaicniuiil.Ou se réunira îi l.a funue de la (liiuruo.

S 'adresser audil SI' Hrxoist, uolah c.

Kludu de .M' MAITUE-DKVALI.O.N. uolalru à Oliaiitbiy (Oisci.

COUPE DE BOIS TAILLISMur O eierf«rrii environ,

Alix Ifuis do la FoiiUiiiic ul de .Nuivé,A a ’e ; . \ » r i <:

Kti — Mur Ira liras.Par le m in is lè re d e M' SIaithe-Oevxllux, nohiire

à Chainldij,Lo himniu'Iic I " Décoailiru 1801. à 11 heures. Ou comineiiuera |uir le bais du la l'oiiiariie.

S 'a d resse r aud il SI .SlAiTUK-l)KVALi.ex, utilaire

SIèiiiu (Miidu.

Par suite du dêecs du SI*' la V a la ru è g u eA CbAuiMy,

Lu la m aison qu’eîlu liahitaii si.su ruedei'iisors P arle iniiiisiérc de SI* .M.viTUE-ÜEV.vuLox,

uoloire (i Cluimblii, l-e Oiinaiicliu Ü t iNovumbre Î8 0 I , à midi.

Celle vuiiiu consiste e u : |ic!les, piiicelU’S. ganiliures leu, b tU m iedeeu isiiiu , jimci-lame, )u t^e(‘l liardus, nioiildes eu acajou, iiterit'.

Beaux inbluaux |>ciiite.sà rin iile el autres. Foéle, garde-iiiauger cl u uegraude tiuaiillié

d 'au tres objets.Siidrvsser audit .SI' SlAiTnRdlKVALLo.x, nolairc

Ltude de SI' IUVIKH8, nolairc à C.veil (Oise;.

M O ltïD l^ RET MATÉRIEL DE CULTURE

Se irouvaul dans la F eim e de G uurua\, conim im c de .Monlaïuire.

A V lüA ’O R E a u x eiivhiVrPN,les lieu.r.

Le l> im auciic2I Noveiubro 1801. Ii m idi,01 jou rs fiuitnnis, s ’il y a lieu.

Par le »«ûim/c/ c de SI' ItiviÈRK, nolairc à Crcil, Cetio vcR lccom |ucudra . :

Uuo grande |).)rtie du Mub'dior giirnissanl la niai&nu (riia lH ia liou . tels que r m e u b le s . cbam licrcs (18'» liires), bois à b rid er , une gi andeqiianiilé de planches, tonneaux cl bou- leilles vides, etc.

Le .Matériel de rn iin re cousistanl en : i> chevaux, 13 vachc.s, pm cs. charrues, herses, r» voitures, pntssoir, n ionliiis, et beaucoup d ’iisteiisiles h usage de lerinc. I

Une grande <|nnntiié de gerbéos, fetirres, I fourrage, m cnue-paille cl fumier, etc , |

A V K A i m E IPnriK lJudlrn tinn «•■•nlalre. |

A Ormofi- Villers. coubni de Crépij, en l'école, » Le Dimanche 21 Novembre 18ÔI, à m idi, * j

Par le tninislère de M' T assa rt, notaire à Créin/, ; l-iii présence de M' (îraxujiaxck, iw/rt«e

fl Coinpièyne,

Dit U lC M DE lERBESitué su r le (erriloirc de Villcrs-Sainl -Gcucsl,

. canton de Iteiz,E n 21 piicfs,

9 lireliire» »A «re«« l «rait.fl se ra accordé des facililés pour payer.

S'adresser aitxdilt SI" T assa rt ci Gn vxumaxgb.

Cliide J e ST BIGOT, notaire nu Plessis-Rellevlllo

PETITE FERME.Sise au Plcssis-Relloville,

A A R A R R RP ar udjudtculiou vuiuiilnirc,

lAf Dimanche 24 j\'ooembre 4864, ô m iJt, En l'élude el par le minislère de SI* Bigot,

nolaire ai( Plessis-ltelleviUe.

A « é d c r d e H uN e e l à r n u i i a b l e ,

de J5<» llcclares ilc TerreSis aux IciToirc de Lagny-le-Sec è l le P lessis-

sis-IItdleville..S’rtdrc.«5cr<iu(h'/ BP Bigot, nolaire._________

Klude de BP LEMOINE, -nctairo à ('.Unnlilly.

A I . O U R R D R S V I T R ,

LA F E R M i:ET LE HODLIN D'HËRITÂDX

KHUcmMe T c rrru et P réaKX IléeKKOAXT,

Le (rm/ d ’imc cmdcuniicc superficielle de ■• i O t l l e e l n r e s A i-é.s O I C .Kn (piinzc pièces situées su r les terro irs d’i le -

rivaux. Luzarches et Bollofoniaine. arro n ­dissem ent de Pontoisc, cl la Lh.ipellc-cn- Serval. arronflissem enl de Senlis. S'adresser pour reiisclyncmenls, «i M' Lrmoixk.

IIAIITK fllTâii i f l M SA Acy et llouvrcs,A V E N D R S

P n r n < tju < lir iillo n « o la n ln lr e .En l'élude cl par le minislère de .BP üh a i'X ,

« « b iû 'c à A c jf,Le Dimanche 1 " Décimibre 1801. à midi. .S\idcf.<wrnudd BP Gn.vi'X, noUiin^________

Llude de )P TOUBNEL'B, notaire à Verborio.

Par su ite do départ,V erberic,

E n la doiicurc de iM'"" LoittiAiin. 'sise rue de Paris, muisan de la poste <iii.r/cttrc^,

l.c Dimanche 2-t Novendiro 1801. à midi précis cl les jours suivants, .s’il y a lieu.

i^U'/c»iù//.</(TC(/<;M'Tta:iixEi:ti.iifjViiû’Cfi Vc/7<cc/c Le beau m olntier à vendre consiste on ‘ It.iiti-ric de cu isine, garn iinres «le !' ver,

porcelaine, vcrnu ie . poterie , boiitoilles xiiios, meubles en acajou m-issif. piano ac:ijuii. p en ­dule ariisliipnf, horloge. f«nirnean-cni>iui«‘re . literie, rideaux, vieux linge. T rès-belles arm es de Lepagc. et une infinité d 'an tres objets.

S'adresser audit >1' Ttn HXEi n, nolaire.

Ltudc «le .M' BELI.LNG8II, huissier à Bel/. (Oi.se)

A E A T K V o i T o A T A i n EPour cause de cessation de culture,

JiESTIAÜ X," CHEVAUX, ET OBJETS DE CULTURE

A Tillvri>i-Zininl*4i>enealyE n lu demeure de .\l. Louis SussET, culllvulrur

Le D im an c h e2 i N ovem bre 1KBI, à midi. Par le minislère dudit BP Bkllexgcr.

Cette vente c«>nsiste eu : un cheval âgé de 3 à Crans, une vache lailüa'e jeune.

1.2tMI bottes «le luzerne et irôlle ;1.2tX» bottes de [laide.Une grande vatitnre «h‘ ciiliure, tom bereaux,

herses, tarare , moulin h beurre, Iraiis, càhie il voilure. El auln-s objets.

.%M C o in p U a a l. F r n la o r iU i ia ir e i .

C'oMiiniiiit* il(> :?E«ii<nfRire.

A D J U U I € A T I O \

LA PRIME FXZËCompagnie anonyme d'aesuranccs

C O m T R E X A E R E E E

CAPITAL SOCIAL 4 e U K I 'X i» V IX A T H tlI.M O !V S .

Moyennant une pH m eproportionnée nu r is ­que Cl h l’applicalion d'uue Iranchisso graduée hclon les perles. r iX B ' garan tira ,quRiit aux IVuils des arbres el des vignes, la inlallté du dom rnage sous le rapport de laq u a n - t ité .e { . quant b lou les autres récoltes, r in l i - g ra lité d e lu p e r te , non-seulem ent sous le rap ­port de la quanilU mais encore koub celui de t(l qualdé, ce dont -aucune au tre com pagnie anonym e ne répond.

La F n m e F f^ e fera de pins parfi'ci'per h 's as ­su rés à ers bénéfices; rnais com m e, sans une pnndéralinn rationnelle cl rigoureux dc.s ris­ques, il n ’y a' pas d's&snirance possible en ma­tière de grô lc, cllc.limilefa provisoirem ent scs opérations ^ un certain chitTrc de valeurs a s ­surées par com m une.

La com pagnie est en voli;d( fom lation; clic espère avoir, (d)lenu sou au turisatiou pour la cam pagne prochaine.

S’adresser, pour tous ren.soignomenls pour tonte dem ande d ’agence, au d iivcleor général do la Prim.- F ixe , quai Voltaire, ii® H , h P aris

U ÿ««n% cr< e I n r o m j ^ r n l i l e p u r mu V e r tu . |lÜAlI TOi\l<BIJK I

PAMCHOTE DES CHEVEÜSe»r t 'I l A S i n i .V , C l t i i i t iu lv . j

C rile k-iim|><iaiiio» est inrniililite pnMr.irrèt<'r|>""’>|‘' (•'Ririii lit clinli* tl«x<'lieri'u<i | e lle en em|iô<'Ii<- l.i •/<■> l'tra iio ii. 'ifito iie [m iju iien ie/ii te cu ir t-hevelu , ilv ii n i '

'■I :s m itiifi-et ffiyiiiseu tet e l p c 'I ie n le t bhiuclt.iift;» ; p opiD lrs i-fgrrivittliirrs J 'nt-or,f;n l tu ycproiliicîtnn^. d< nn-M-e,mT ih e .c u t , 1rs Inil è |>ai.k irfi n m l son-' |>t ’ e l |jr illn n(> .el e<n|iè(-lie le liliineiiinieiii ; lUkAii-j

--i- — i'ri:k «lu J'Iaeuii, i Tr.l'iit/rh /iie « Runeu , rwc île i’ili'jiititi, 4<». — l ) ‘p I/,

«<iMii-& les Mlli-.t <le Prniice; — » Renuv.ii«, eliez! . /.an :;lc l, r«c Saiiit-Hsiivi iir ; — a S e iilts , rlie»!

M. e ^ itU in r ttf to iÿ 'e ti i^ p a rJu ii ie i ir , r in ceitc tii tlull<',j

PBODOIT8 PHiBliCEOTIQUESlyfrwtéinrl’iatoMeHiféiiileieltietiee

Ponr pi«p«rcr Mti nlin)-., intUnltn. el eree U plut gnad* mnionie,iwitr DïifM*, dont lu propriiitce

luItuieuMS

l*-»r IVinjil»!nit iGiii’nl (-rj.'

A r’xérut^r |»9tir I» roc»nittri(ciioii u n PHKMBVTICHE.

Le Maire du la com iniiuc do Blontatairc fait avoir «juo le Dimanche Déccmlirr l<SI>l,

à m idi, il procédera à rm ljudioalioit au rabais t fiar voii^ de .soiimi.ssions cachetées, «b s ir.i-

vaox à «‘xéculer pour la reconstn ictiou du PrcsSiytère. h’8«|uels travaux s’élèvent eu lo- lalitc il la som m e «h* 12 .388 l'r. O ie .

L'atljudiciitiou aura lieu soit en un seul lut, soit en 7 lots p a r u a .un : de travaux .

S 'a d r m e r à la ^Mairie de J/o«fafuiVe. pour voir les devis et cahier de charges.

A V E A I D R EI'AR ADJUIIICATiUX VOLOXTAIRK,

A Vf z . canton de Crépy, en la stdle d ’école. Le Diinauclm I"D i'‘cetubre ISÜ l. à midi.

Par le mipislèrc de M' T assa rt, nolaireù Cré.py, E h présence dudil BP (inASUMAKCE, nolairc, \

loSitués sn r les territoires dt^ Vez, Lmévillu

et. flaram ont.C o n fM ia i i i l 1 9 l i c c l . 1 5 a r r » H 7 e .S'adresser m ixdils SI" Taîwabt el Giiaxdmakce.

D E L L 4 - M 0 a 4f O Ê i . t m n - F V l U M S T M i ,

A ÜRXIjIS, riiir MMliit-llilalre, u** 19,Prc-s la Halle,

A riiq u n eu rd e vous «lonncr av isip i’il a foi «h> b Senlis, où il est connu depm s tro is ans comme bon o u « rier ,4un établlsscinent ayant pour ob ­je t la cunsiriictlon des calorifères eonlenaul des appareils très-économ iques, de toutes so rtes de dim ensions, ut il construit les four­neaux en tous genres.

Il fait égalcnu'iii les travaux el les répa a - tions nccejsairi’s pour em pêcher riu lroduc t iin de la filmée Jan.s les appartem ents.

Il fait .'tiissi ta vente de toutes les fouriiir tu rcs nécessaires pour tus construirtious neu ­ves, Cl celles exigées pour les réparations.

Il tien t lo.s inarbnts de cliitminées. châssis à rideaux cl faïence pntrr 'devantures de cbe- niinées d e toiiios ditnt-nsious,

Le tout d des p r ix très-modérés.

... inoyrn li'iilinmiarM' « IIzm iKIlirr. dont Tutzgc r>| U rnieat-<> riiiitio !<>« iiilgrditie*,'Ic« n.'iralpi/i, litn ii.iliitlaliniiii, If< crnmp«» liVfl'Mnsie H timlF* les doulfiir, qnl piii.-ieniK-nt - - ^ ^ 1 I ' . . I . 1

^ r f ^ p ir r r soi-mÿim la v^riltblp lu

m m mPour la cniriion de la cldnroM (pllia ton.

leiinj, de I indmln, de la leuehorrfe. pour for«tn«r In trinpératnmb faihlcs et lyiriiib* liqunt.Mdinstouilesea.où - •« Rrrustneaz sool ordonnés ■« par les médecin

PHiRMieiEIlS DÉPO-ITJIRESK e n lU , MH. CliasIainB; B e a n v a l s , Gr.in)!; B r r -

>riit|.ABr>%'o7 r . I.rrranc; C o m p iè g a e , R.iii(l<H|iiiii; ( r e i l , l'o iiia in yC réF J'iF m in iiersF orm erie Cnm|Mun; M érii, WiUi.ini; S a in (-J i i> it-£ n -C h n n « « é e , CoUiny.

I:T z\ T C ÏV IL DK S E X L IS .Naissances.

Blorul (Auguste-Bciiis). l'o irez (.Miirle-l,Ucie-.\leximdrineV

.V«w'ûi</«’.

Remy (Rmlle-Agbu'c), cl Rgusscl (Adélaïde* CléiiiRiitine}.

' Décès.Chaotcpio (Mprie-Rcnée), 80 ans 7 ans,

P u M i e M I a i » 4 e M B r l a s e a .

Euiro M. Lnbmircix (Ju les-lire tor), garçon i boulanger A Seuils, c l m ademoiselle BIsudA (lAtocadiC'Sylvie}, ft IlémévilleiN. |

E n tre M. Darbirr(6uBi»ve*lrénée),chnufrt'iirau chem in de fer è T ergnior, e l rnademoisella I L esueur (Marie*Clarn). blanchisséuse â

PILULES PURGATIVES OE zm m l'll.ieUCIE\-CIIJIIISTE BE L'ÉCOLE Si FÉIIIEIBE DE IMDIS.

l'Iui-f olf l’Arr-i1c-Triniii|ilic. 10 , n l*nr«s.>T,:,l )

c«» eit.LT.i:.s soni niGiî.sTivrs roNuyi!!-:-. <•« d k i ' u r a t i v k s ;|fnr li-ur <-nicni-ilv rt pnr Iciircm - |iliii rnnlc niitjtici clii-s ic prè- (CMl, fli.-s Mxii II- mi'illriir t'Uit- OaTIF piiiir .«■■nlL.mru la COVR- T ll’ATiON.ilriruirrlcsnUUKURK rt t'At.IlKTK IIII SANG r( |><>iir

. 'rami'iu’rlTiarmonirtlan» tes fuiir. (tuns fiia ln s. Cotnposêri Ué'HUU.ST.xRlîl'.H Vi^;Ê- TA1.KR, e les n n l la |iro|>riété «le donner «lu Inn ans t iilex in s, lie {lurgcr sans raligucr l'esloinac ni nnHt- lilir au. un (ircaur.

O s r it.U L tis ii'esigi-nt n i régime ni l>oUson spi:- u ia li] sous rc r.sjifKiri, elles rnnMtiueni tn ptiis eniii- motle e l l e plus eilicacc lies PUROVTIVt» eoiiiitiij aussi sont-eilcs ordiinuécs V ite aitecès «laiii les ni.-il .• «lie* algiiCa e( ehruuiques, GASTniTI'..A, tlNGlIUGI'.- XtRMH, ASTIIMKH- G.lTAnBUKS. IWULLURS, Ali- GR \INKS, SCnoi liLU.Ks. etc.'

O «ncrjte de ces ril.tJI,E.S prat se réiunu-r eu ces mois E llB T xm .m un KNTUETKNttl la-s.m«c. l'RIX IIB LA ItUlTE I V fTliNG.S avec uiitii;c en eitui•USUc. ' I

'«■■(ini itnns les l’Iiarinatues lileii essorlies «loitMiiui'■ illu

' C M .ir , e lie i M. ChaM alU C * ptiaFinai-ieu.

'■ M pnruouâ A la û c d e ta v ille d e S e n lis , p o u r Irpn li- ia lioii d e h t siann tu re d e A I. P euiiier, n iil 'a iie h l 'a t t . I

Ce te A'ni-e>»/>ie I86 f . 1

K n re g is tr i h S e n lis , leIKOt, r- ne.^i

AIJ NOUVEAU JUIF-ERRANT.

M A I E S H A I T S B D B Z T Q i r T B A i r T i S ' B 7 O O l Z F B O ï I O i ra u e t i e M * s , m B B i r ^ g n , ’ 1

A riinnneiir de p révenir 1rs dam«« qu’elfe à jo in t b son com m erce l«A JFA BR lctA V iiiiji^iJ e»KM 4 onsKTë^Bnnu c o u l u r e s t CorseiB algéricnst- Corsets brassières h l'Impéràliici d 'une solidité garan iie , b p a r tir deM S fiA h 18 f r . ; Corsets den il*cou lq ,''coup |^ an m écanique b 6 cl 8 fr.; Corsets cobiuiA, dep iiis '3 fr, j u ^ i t ’h 18 fr . ; (^ r se ts enfants, sa couturc.s, dc|)uis 2 IV. jnsqu’b O fr. 8 0 c . '

Mrg t — $l e m tsie iê J n ^ e isr ie t,

" “ a n c ie n n e m a is o n l a m a d o nr u e d e R e a n v a its ,

L A C O D R E SUCCESSEUR,A l’Iioiiiietir do prévenir Messieurs les Voyageurs et Ciillivatcurs qu’il a joint à

son coinniorco do i*àüëi«oi*ic un R e s i l a n r a a t à l a e a rd e ; qu’il lient K e u i^ I c l B Sciiiîsc; q n o l'un tronvcr<i chez lui tout le coiiroi'table nécessaire.

B je io s e t à p r i œ

P O T H D M a s a S A Ï I O Ï T D M O O i m a R O B .

M . T A N T O T?iT\ » ?.X5 » s-g-xi n » 5ni-»y-gyn(ay-F4T-»>i,’rg > c y » ^

B U are t f r i ^ H é te M e ^ T U I e , 4 SElVEsM S,A rim nncui do p révenir lue personnes qoi voudront l’h o n o re rd u leur confiance ({u’il v em ln l

à prix réiluii luiiios h^s marcliâttiHscB qu ’il a d an s ses m agasins.

CHAMFxAGNIL CH. FARRE, A REIMS.nvilasElc. de elnmnr. RhpmHIbr uulvcraelle IS5». — IIS. Ch. FARRR,

du licim s. rouriiissour breveté des cours d ’E spagne, d e P ru sse , e tc ., offre aux am aténrs d a \liis moussi iix irès-supcricurs â 4 fr, el î»5 fr. la hoiiteille, rendue franco. (E crire âireetemeni.j

€ l t o c o l a t - l b l e dOSIXB nVDRADLIQOB

<» K e n tH e o B v t(p»-ae^ui«^

4 ,R 1 1 B m T O BBP Mm w tn d e té tU é U B M t

P R È S L’H O TEL-D E-VILLEhR euaerlek

■m*iT »c up p o sr n a« L a H a l M a B D L G D m 4 4 (

p i t n r f a b r i q u e r b e l/l € h o r o ln < - lb lc 4 sevondcheslesp , rfasBOMlMBaiptotMi.-

PÎDMM.IDE DES CHATEL.'IllVESO U L ’H T G I B N E l lU M O tlS N -A G E .

0 «(i' P.iinitm.ti- p>« «-oniiHtsre «le |>lnnle« hv}|t«;u«.|ue*, n l« tp Ionique — IVccruverl par GtlALUI.N, danf nii ' ri'initlp iii1:iillii>lc éla ii eiiiptuye |tar no» tieile* rhiilelaini** «tu m oT'a-àge p >iir i-ona«-r«rr, iazqu'à iv.vtei-, leurs cheveux «t'iiiie h«-aiite rvm:in|iraMe. — Ce pnHtiiii ac iive aeci: vigueur la eroe ilev r ilimn-L «tu lirillaiit, «Ir la «o iip lç iie , n tes t'in|>êehe «te liianrliir, rn a’e ii a-.-rvanl iou rn etlenral. ]iai',('.ltll.U I.\, ihiuii«(«--|kiirriinliur, a Rhiicu, rui-«ie ITIiipital, 31 e l A'o

/> « / V n u P O T , t f r . S o e . e l 3 J r . Ao c .

Dépôt :* Senlis. clu 'z SI. P icL inm tT , cnill'onr-parfnm cur, place d e la H a lle , 5 5 , h lieaucais, chi'zM . L a k g l r t , ru e S ain l-Sanveiir;

fane II- ,.ti clievciix , I- p..,

E i i vente à 1.1 Eil»i-.iii-ic de M™' v' REGNIER,

À G E N D A F R A N Ç A I SOU M e s ta e R to J o n m a l i e r p o u rAGENDA PB POCHE.

MJA ilGHS pouB 1862DK i , ’II .IX '.N rR .V n«N . . . . PriaDES H.IB.ONS . . . ' ...........................IIX l'ëT R A T IO A N n o d c rn e u , . . . II.LUtiiTKfC it«;N D ru x M o ad ru . n iiN ( il.O IR ü S A'ATIOIXiaUlSi . . .o u HUNÏ^E U K ë F A niL L K H . . .DU MOXeiK IL I.U .ST B tfS ......................OU E.'UNBVKRM ILUUNTRIË . . . .DU VOl.KIJR IL L U ëT R ife......................rtl! r i t i l R O ............................................DU M.aCl.tGIlV P IT T O R B 8Q U U . . .DU U a t R I V A R I ......................DK F R tX C E .....................fO M iqU Si. r i( lQ re a « |a e cl D ro la llq iae rU O P R fiT IQ B E el U llle . . • . . LA n ihR U ttlOUCA'R , Aini. de* KnfanU

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7 8 2 5 87;On

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67 0 0 00

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SKNLiK, TVPnt'.n«\l*H!K KT UTIIOIÎILVPIIIK DE M"’ V REGNIER